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[RP]Ouverture des festivités, le 22 octobre

Skip_lo_casalier
Juste avant l'arrivée de la Reine, et de tout le reste - moi aussi je joue avec le temps... - Skip eu le temps de répondre à quelques questions du Chevalier de Jeneffe. Une connaissance du Berger Chevalier. C'est comme si deux légende se croisait et parlait du bon vieux temps. Il aurait voulu que son fils et son petit fils soit là pour entendre les deux vieil homme discuter. Toutes les vieilles histoires aurait pris vie devant leurs yeux éblouis! Mais non, ils sont resté à Bourges avec Anna, la Gouvernante.

En effet, Cavalièr. L'un de mes fils, mon héritier, qui est chez les Hospitalier, porte en second prénom celui de Feu Cristòl. Mon plus vieux, Adelphe, à même eu un enfant avec sa fille, Feu Aimelina, le Très-Haut ait son âme. Et j'ai la garde de son petit fils, qui est aussi le miens, de fait. Cristòl Étienne.

Ceci dit, il réalise avoir fait tout l'arbre généalogique jusqu'à maintenant. Comment, en quelques phrases, à peine, il est arrivé à expliquer les derniers développements dans la famille Sìarr et Casalièr. Heureusement, il n'a pas commencé avec les débuts de cette aventure. Il y serait encore.

Quand il est présenté à Vittoria, il sourit à cette dernière. Ils ne sont pas étranger, l'un et l'autre. Il la salut donc avec un certain plaisir, souvenir d'un temps révolu où il était au Louvre. Concernant la bénédiction...


Si vous désirez vraiment la bénédiction, Cavalièr, il faudra souffrir que les hérétiques puissent ne pas apprécier. Pourtant, je crois pouvoir faire quelque chose qui puisse satisfaire le plus grand nombre. Il sera pourtant claire que je suis Romain.

Il n'a pas le temps d'avoir de réponse que Sa Majesté la Reine est présentée. Dans les présentations qui sont faite, il est évidemment mis de côté. Normal après tout, il n'est qu'un sujet parmi tant d'autres! Il assiste pourtant à tous l'échange et sourit en voyant les broches. Ce sont là de très jolis objets.

Est-ce qu'il s'écarte? Bien sur que non! S'il doit faire une bénédiction, ce qu'il a proposé et attend toujours de voir si ce sera accepté, il devra au moins se présenter à la Reine, puisqu'elle entendra la bénédiction comme tous les autres. Ce n'est pas chose faite encore pourtant. Il attend donc sagement son tour. Oui oui, le vieux Skip peut attendre sagement parfois, plutôt que de foncer comme toujours...

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Erwelyn
Mon guieu, il l'avait fait ! Et s'il y avait bien une personne au monde qui arrivait, à peu près à chaque fois, à faire taire la Jeneffe pendant quelques instants, c'était bien son père. Il fallait avouer que le voir se pencher vers Floraine et se mettre à la chatouiller avait de quoi la laisser comme deux ronds de flan. D'autant que cette gamine là, c'était pas la plus commode vu son parcours. C'était limite si elle ne détestait pas concrètement son père et sa mère de ne pas s'être occupés d'elle petite. Alors bon, un grand-père totalement inconnu au bataillon... Donc, le tableau de l'aïeul et de sa descendance qui, secrètement, ne rêvait que d'une chose c'était devenir chevalière, la laissait dans le mutisme le plus complet, assorti à une bouche ouverte d'étonnement. Et apparemment, Lynette n'était pas la seule à buguer face à la réaction du chevalier, autour d'eux, cela suscitait murmures, sourires et mouilles interloquées.
Fianchtre, et maintenant tout le monde venait le voir pour le saluer. Floraine, quant à elle, ne se départit pas de son aplomb habituel et répondit tout de go après avoir bien explosé de rire suite à la séance de chatouilles, la mimine encore fichée dans celle, beaucoup plus grande, de son grand-père :


Alors c'est toi mon papy ? Mais t'es encore plus vieux que qu'est-ce que maman m'a dit ! J'veux deviendre chevalière, elle t'a dit aussi ? Elle m'a dit que t'était chevaliérisé aussi, comment t'as fait ? Et j'peux viendre avec toi pour être chevaliérisée aussi ?

Ouais, une vraie descendante de poney, vous l'avez noté. Lynette leva les yeux au ciel, amusée, attendant une accalmie des bonjours pour enfin s'avancer franchement vers le paternel, ayant repris, du moins en partie, ses esprits.

Mon père, ravie d'enfin vous revoir après tous ces mois d'attente !

Paf, une pique, mais même pas consciente. Et c'est pile à ce moment là que la reine fit son entrée et à l'annonce de l'huissier, la princesse plongea en une révérence maîtrisée, moult années de noblesse derrière elle oblige. Du coin de l’œil, elle avisa si Floraine faisait de même mais que nenni, elle n'avait d'yeux que pour son papy qui semblait d'un coup être devenu la huitième merveille du monde. Puis, en se relevant, son regard alla se ficher à nouveau dans celui du chevalier-papy, profitant d'une accalmie entre toutes les sollicitations qu'il recevait de toutes parts.

Je vous présente Floraine, notre fille la plus âgée. Je vous préviens, dès qu'elle aime quelqu'un elle est collante, vous risquez de l'avoir dans les jambes une bonne partie de la soirée. Surtout que bon, y a son histoire de chevaliérisation là, ça la quitte plus.

Lynette allait continuer quand une jeune femme de la maison royale s'approcha de leur petit groupe, distribuant les petites insignes en forme de licorne. Elle eut un sourire en coin alors qu'on le sollicitait en tant que grand maître alors que ce n'était pas lui, puis en profita pour saluer Vittoria, revenue parmi eux, et Karyaan, qui se trouvait non loin. La petite broche ayant atterri dans sa main, elle se pencha vers Floraine toujours accrochée à papy et l'accrocha sur sa robe avec un clin d’œil, avant d'attendre signe de son père pour pouvoir continuer à faire les présentations avant que ses gamins, du moins ceux qui pouvaient déjà marcher, ne s'éparpillent dans la salle.
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Gauvin.
L'Errant ne connaissait pas beaucoup de monde, ou juste de vue, hormis ses frères et soeurs d'arme bien évidement. Il déambulait dans la salle, saluant les arrivants. Les bals c'est vraiment pas son truc, il sait jamais où se mettre, ni quoi faire. La dance, on ne lui avait jamais appris, hormis celle du combat, avec des armes tranchantes. Il n'était pas dans son élément et cela ce voyait. Quand la Reyne de France arriva et fût annoncé, Gauvin s'inclina comme tous le monde et il éprouvait une grande fierté de voir la souveraine de France.
Il resta dans un coin de la salle, à observer et à écouter la musique jouée par les musiciens que la Maison Royal avait fait venir.

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Guillaume_de_jeneffe
[Parce que jouer avec les flash-backs, c'est bien]

Retour à la rencontre familiale.

- Oui, non, ça a prit du temps, et oui, ou comment tenter de faire réfléchir une enfant en la forçant à associer chacune de ses questions – qu'elle a sans doute déjà oubliées, ou au moins leur ordre - à une réponse quasi-monosyllabique. Le pire, là-dedans, c'est que ça a l'air de fonctionner. En tout cas, ça lui donne le temps de correctement accueillir sa fille.

« Ma fille, le plaisir est mien. Qu'importent les attentes, si les sentiments ne s'effilochent pas, après tout. Et je ne peux vous dire mon plaisir de vous voir présente en ce jour qui veut tant dire pour moi. »

Puis hop, on débobine pour arriver au moment où les vieux, comprenez Skip et Guillaume, discutent. Il se signe en apprenant la disparition de la vicomtesse des Fenouillèdes, et adresse in petto une prière au Très-Haut, pour qu'il l'accueille en Paradis. Une prière qu'il formule en même temps qu'il continue la discussion. Ou plutôt qu'il se trace mentalement les imbrications lignagères des Síarr et des Casalier. Heureusement que ces questions matrimoniales avaient toujours été de ses favorites et qu'il y avait gardé un intérêt capital, avant, pendant et après son séjour à Saint-Antoine.

« En effet, j'ai rencontré Olivier Cristól lors de plusieurs campagnes auxquelles nos ordres prirent une part active. Et il est évident que si je peux quoi que ce soit pour vous et votre famille, en souvenir des bienfaits dont j'ai été gratifié par le baron Rekkared comme par son fils, je le ferai avec grand plaisir. Quant à la bénédiction, je vous fais confiance, alors. »

Et on appuie sur le bouton [Fast forward] une fois de plus pour enfin revenir au présent. C'est-à-dire lorsque eurent lieu les premières remises des broches. Le chevalier reporta alors son attention vers Maine : « Elle est sans doute un peu jeune pour déjà prendre les armes, mais si vous le désirez, je puis lui transmettre ce que j'ai appris dans ce domaine. C'est certainement celui où je suis le moins ignorant. »Et il n'y avait là nulle fausse modestie, le Flamand demeurant persuadé que même là il y avait encore bien des choses qu'il ne connaissait pas. Moins qu'en matière de théologie spinoziste, certes, mais tout de même.

Sentant toujours la présence du Languedocien à ses côtés, il se tourna ensuite vers la Farnezze :
« Grande Chambellan, je vous laisse organiser avec le sire de Counozouls cette bénédiction, car je crains avoir encore une fois pris une place qui ne me revenait pas. C'est vous, et non, moi, qui êtes à la manœuvre, ce soir, il me faudrait pourtant m'en souvenir. »

Et enfin, il avisa Gauvin à qui il fit un signe d'invite. Il n'allait pas rester tout seul, le Tourangeau. Pas alors que Boucanier, Karyaan et Rhuyzar se trouvaient déjà là, non loin du Jeneffe.
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]
Arioce
Les festivités étaient complètes et semblait il très bien organisées. Des tournois, une réception, tout pour passer un bon séjour, d’agréables moments. Entre la sueur et l’excitation des duels à pieds, des joutes et de la course à cheval, il y avait la chaleureuse et musicale ambiance de la fête. Et qui dit festivités, dit cavaliers et cavalières. Et pour l’occasion, accompagnant la Duchesse de Touraine, je lui demandais si elle pouvait me faire l’honneur d’être à mon bras lors de la réception. Sachant ma proposition complexe, pour des raisons d’ordre personnel, je lui laissais le temps de la réflexion. J’espérais qu’elle accepte, mais je comprendrais parfaitement si elle déclinait. Ce fut le jour même, à quelques heures de l’évènement, qu’elle vint me donner réponse et non sans les mains vident. Ainsi, c’est vêtu d’une tenue neuve, magnifique et de couleurs éclatantes, offerte par la Brune, que je me rendrais chez les Licornes accompagné de cette dernière qui, m’avait-elle dit, serait parée d’une robe aux même couleurs que mon ensemble, et que je découvrirais le moment venu.

Premier bal ensemble, et pas le dernier j’y comptais bien, rien ne serait laissé au hasard. Un bon bain froid revigorant, cheveux et barbe peignés, taillée et soyeuse. Et devant le miroir ajustement des habits, de l’apparence. « Et n’oubliez pas une ceinture, c’est important » avait-elle lancé avant de quitter ma chambre. La ceinture serrait donc bien ma taille, et venait compléter cet ensemble de toute beauté. Plus que satisfait du reflet que me renvoyait la glace, je sortis et attendis la Duchesse. J’étais impatient de la découvrir dans sa robe, que je savais par expérience, serait sublime.
L’attente ne fut pas longue et lorsqu’elle se présenta à moi, l’effet fut immédiat et au garde à vous, malgré moi, je lui adressais un sourire. Elle était de toute beauté. Mes yeux bruns la détaillèrent, sur toutes les coutures qui mettaient donné de voir. Elle n’avait pas menti, sa robe était en accord avec mon costume. Quelques mots furent échangés, complimentant l’apparence de l’un et de l’autre. Gestes, paroles ; puis je lui proposais mon bras et nous partîmes ensemble rejoindre le lieu de la fête.




Devant les portes, la Duchesse nous présenta aux gardes officiants là, qui nous annoncèrent.
« Alvira de Silly de la Duranxie, Duchesse de Touraine. Et, Arioce Horn, Seigneur d’Etuz. »
L’entrée fut faites, nous reçûmes chacun un insigne en licorne, à priori en or massif. Décidément, les organisateurs faisaient dans les détails également. En même temps, il s’agissait de la Couronne, à ce que j’avais pu comprendre.
Premières fois que j’assistais à de tel festivités, et ne connaissant personne, je laissais Alvira mener la danse. Elle était du milieu, elle devait bien avoir là des amis, des connaissances.
Mon regard s’arrêta sur la pièce en elle-même, ses décorations, les tables disposées empli de mets et boissons, les différents tableaux de portrait où je reconnu ceux des anciens monarques Français, l’autre ligne devait être de grands personnages également, surement chevalier de la Licorne. Rien à redire, la salle avait bon gout et bonne ambiance. Musiciens jouaient un air encore tranquille, posé ; peut-être que les morceaux dansants viendraient par la suite. J’aime danser, et s’il y a possibilité, je n’y manquerais pas, entrainant volontiers ma ducale cavalière pour quelques pas.


Très vite je compris aussi qu’il y avait anguille sous roche. Quelque chose m’était passée sous le nez dans les premières minutes. Les gens autour de nous semblaient plus ou moins focalisés sur quelque chose, ou peut être quelqu’un. Ce fut l’Infernale qui découvrit le poteau rose, qui n’en était pas un, excepté pour moi, et qui me le glissa doucement à l’oreille « Sur votre droite, sa Majestée… » Ça Majestée, comment ça ? La Reyne de France, ici ? Petit zieutage sur cette droite. Bordel, s’était bien elle. Il est rare que je perde mes moyens, et pourtant se fut le cas. Devais je prendre la direction du monarque pour saluer, se prosterner, ou autre protocole dont je n’avais absolument pas connaissance ? Je n’en savais rien. Heureusement qu’Alvira était là « Je vous laisse les rênes ». Petit sourire, hop, je me remis à elle pour ce qu’il allait suivre ou pas. Elle guiderait. Je m’occupais du ravitaillement en boisson et nourritures, ainsi que mener nos futurs déhanchés sur la piste de danse. Pour le reste, elle était bien plus compétente que moi.


[Ecrit en concertation avec jd Alvira]
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Shaomye
A la bourre totale après s'être perdue dans Rey, la brune, grâce aux indications d'un serviteur, trouve enfin la salle où se passe la cérémonie d'ouverture de la fête des 10 ans de la Licorne.

Vêtue simplement, comme à son habitude, crinière noire tressée sur son épaule, elle entre sans bruit, et observe les présents. Du beau monde, à n'en pas douter...
Discrète, elle s'installe dans un coin, et observe avec intérêt.

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Rebecca_laurentia
Elle se mordit juste les lèvres n'aimant pas trop qu'on écorche son prénom mais après tout, elle le comprennait et l'excusait. Ses joues étaient juste un peu rouge gênée que tous était chaque fois embêté ainsi. Elle murmura juste dans l'oreille de Vittoria :

Lancaster-Gropaj, c'est plus simple votre Grandeur

Elle fit une petite révérence devant Guillaume après avoir été présentée, un peu timide, ravie que les chandelles en forme de corne plaise même si elle ne doutait pas de son excentricité qui commençait à vrai dire, à être un peu remarquée et faire son charme ou marque de fabrique chez la jeune femme.

Oh...scusi...

Et baf la bourde, elle mit la main devant sa bouche et devint toute rouge, temps pour elle de partir continuer sa distribution. Karyaan check, les demoiselles de la Maison Royale check, le vieux prêcheur check, Erwelyn check...

Elle continua de se ballade entre le monde suivie par le domestique en présentant les licornes d'or. Elle arriva devant Gauvin et lui en tendit une aussi.


Sire, un présent symbole de l'or des Lys et de la Licorne de l'ordre.

Vos Grâces...soyez les bienvenues.


Les de la Duranxie se firent annoncer et la Maître des cérémonies leur remis aussi la licorne d'or après Gauvin. Elle avait à présent fait le tour de la salle pour retourner à ses occupations mais elle apperçu un visage familier au loin.

Shaomye ! ?

Si, si c'était bien elle, elle se hissa sur la pointe des pieds puis Rebecca se dirigea vers elle heureuse de la voir ici. Elle lui avait toujours été sympathique, autant pour sa bienveillance, son hospitalité lorsque Rebecca était venu les premiers jours dans le Maine que pour son investissement pour le duché. La Princesse alla l’accueillir à la réception et lui remis également une licorne d'or.

Je suis heureuse de vous voir ici. N'hésitez pas si vous avez besoin d'aide ou de renseignements.

Bon l'aide, elle trouverait toujours bien un serviteur pour refiler la demande mais après tout, c'était ce qu'elle devait en parfaite hôtesse faire en toute discrétions (tant qu'elle pouvait et était capable de le faire).
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Vittoria
Vittoria salua Skip, qu'elle connaissait d'un temps qui lui sembla soudainement lointain. Ce sentiment s'installait souvent en elle lorsqu'elle rencontrait des anciens collègues de la Maison Royale ou lorsqu'on évoquait des événements passés. Cela lui rappelait incontestablement qu'elle devait être la plus vieille de la Maison Royale avec Maitre Florentin.

La Comtesse se tourna néanmoins vers le chevalier Guillaume qui s'en remettait à elle concernant la bénédiction. A vrai dire, cela n'était strictement pas prévu et un certain timing se devait d'être respecté car c'était toute une véritable organisation qui se tramait derrière la joyeuseté de l'événement. Néanmoins, Vittoria n'y vit là pas d'objection mais elle se permit une remarque :

Tant qu'il ne s'agit là que d'une bénédiction, cela devrait être rapide et ne point bousculer toute l'organisation. Nous pouvons donc nous permettre ce petit imprévu avant que nous commencions les discours et annonces relatives aux festivités.
Sachez cependant que Sa Majesté ne met point en avant une quelconque religion.

Vittoria savait la reyne tolérante mais par respect envers la souveraine présente, elle se devait de signaler ce point.

Cela dit, je vous laisse faire en conséquence Messire.

La comtesse sourit doucement et fit un geste qui proposait à Skip de prendre la parole dès à présent, après quoi, elle enchainera sur ce qui était prévu.
Une levée de main en direction des musiciens et la mélodie qui s'élevait dans la grande salle prit fin.

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Shaomye
Un haussement de sourcil en entendant son nom, et un grand sourire en voyant arriver Rebecca : voilà la réaction de la brune en apercevant le visage familier

Bonjorn ! Nombre de mes Frères et Sœurs étant en mer, ils ne peuvent pas être présents, alors je les représente, en quelque sorte !

Nouveau sourire

Heureuse de vous voir aussi ! Des questions... est ce qu’il y a des zones réservées à certaines personnes, histoire que je ne gaffe pas ?


C’est qu’elle se souvient bien du couronnement, et des zones réservées, alors elle préfère ne pas faire de bourde...
Un instant, elle regarde la petite Licorne dans sa main, et l’instant d’après elle la fixe fièrement sur son pourpoint


Mercé! Je vais me sentir Licorneuse pour la journée !

Elle rit doucement
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Gauvin.
L'Errant inclina la tête à l'approche de la Princesse, puis il la regarda et sourit. Il prit la licorne d'or qu'elle lui tendit.

Je vous remercie votre Altesse, ces licorne d'or sont un magnifique cadeau de la part de la Maison Royal. Je tiens également à vous remerciez pour cette organisation.

Il lui sourit et la laissa filer. Guillaume lui avait fait signe, et l'Errant alla vers le Chevalier, la Reyne était encore là. Il attendit que les discutions entre les personne de haut rang soient finis puis il s'inclina devant la Reyne de France.


Votre Majesté, Gauvin, Errant de l'Ordre Royal de la Licorne, pour servir.

Puis il se redressa et recula un peu, restant vers ses frères et soeurs d'armes ainsi que de la Souveraine de France.
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Karyaan
Toute occupée à détailler la broche qui venait d'être distribuée, la Sombre se crispa légèrement quand elle entendit la demande de l'homme qui lui était inconnu.
Une bénédiction...
Son visage se ferma. Elle en aurait grogner la Sorcière, si elle avait pu, mais elle ne le fera pas, parce qu'elle n'oublie pas que, même si l'Ordre n'est pas un ordre religieux, il n'en reste pas moins qu'ils vivent dans un monde qui l'est. Et la foi de Rome prédomine.
Une bénédiction...
Ce seul lieu où justement elle n'était pas contrainte de porter un foutu masque. Et là, on lui claque au visage.
Une bénédiction...
Elle ne le connait pas ce vieux là, mais elle l'aurait bien bouffé sur place si elle avait pu. Mais elle ne peut pas, et s’abstiendra de tout commentaire, cherchant à rester le plus impassible possible. Tendue, mais impassible.

Et puis...


Shaomye ! ?

Son cœur manqua un battement. Sauvée par le plus délicieux des gongs !
Son visage s'illumina quand elle vit arriver la représentante de l'Ordre du Saint Sépulcre, le Chevalier Shaomye... accessoirement... sa meilleure amie, sœur d'âme et de cœur.
Même si l'envie la tiraillait de lui sauter dessus, la Sombre attendit qu'elle entre, broche en main. Puis se détachant de son mâle et du groupe de licorneux, le Cavalier s'approcha de sa Damamoua.
Lui attrapant la main, elle lui murmura dans un souffle.


Viens... ta place est avec nous !

Et sans attendre la moindre acceptation, elle l’entraîna vers ses frères d'armes, le Grand Chambellan, et la Reyne de France.
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"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
Sakurahime
Oui, oui, elle était à la bourre.
Enfin, pas sur que tout avait commencé, ou peut-être que si en fait, mais arriver après la Reyne signifiait être en retard.

Bon...
Soit...
Elle n'en mourrait pas, il suffirait de se faire petite. Elle ne serait pas annoncée de toute façon, personne ne la verrait.
Sans compter que la Grande Amazone était surtout là pour voir son frère.
Il s'était dépensé sans compter dans ce projet, même s'il ne lui en avait que très peu parlé, elle le savait, pas besoin d'être devin pour en être certaine.
Et elle était immensément fière de lui, et très heureuse pour lui.
Le succès escompté serait-il au rendez-vous? elle l'espérait sincèrement, rien que la présence de la Reyne auréolait les festivités d'une aura différente.

Elle vérifia une dernière fois sa mise, une robe très simple de velours crême et vert profond, dont le dos était dissimulés par sa cape du même vert frappé de la Dame Blanche, symbole de son Ordre, puis sa coiffure, un chignon haut et lâche dont quelques mèches folles s'échappaient.

Elle aurait aimé que son tendre colosse soit à son bras en ce jour mais il n'était guère friand de ce genre d'événements. Elle le présenterait à son frère un autre jour, se promit-elle en soupirant intérieurement, quelque peu déçue.

Satisfaite, elle se présenta à l'entrée, espérant qu'il y aurait encore quelqu'un pour l'orienter.

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Grand Ecuyer de France
Shaomye
Deux âmes qui vibrent à l’unisson. Qui se chamaillent, un peu parfois, mais qui ne vont pas l’un sans l’autre. Qui ne peuvent pas aller l'une sans l'autre...

Aucune hésitation de son coté, elle lui saute dessus, avec délicatesse keu meme (si si) et la bizouille tendrement.


Comme toujours ma Dame...

Main dans la sienne, elle suit le mouvement, rejoint les Licornes, les connues, qu’elle salue d’un sourire, les autres, qu’elle salue aussi d’un sourire, sans discrimination. Du pur Shao quoi, de saluer aussi naturellement le quidam du coin que la Duchesse... Un moyen bizarre de se faire oublier, peut être.

Toujours est il qu’après une bise à Rhuyzar, elle reprend sa place au coté de son amie


C’est quoi le programme ?
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Skip_lo_casalier
Skip était heureux d'entendre les paroles du Chevalier de Jeneffe. Savoir avoir un allié est toujours une bonne nouvelle. Il salut donc de la tête l'invitation en souriant doucement. Ce genre de sourire que l'on donne à un ami retrouvé après tant d'année. Entendre des noms qu'il croyait oublié de tous être évoqué avec autant d'honneur dans la voix fait chaud au coeur. Surtout pour un vieux coeur comme le siens, toujours nostalgique de sa prime parution dans le monde.

Senher Cavalièr, sachez qu'il en est de même pour vous. En souvenir d'un temps que beaucoup ont oublié, vous serez toujours le bienvenu dans les Demeures de ma famille. Je suis certain que Cristòl Étienne serait heureux d'entendre des histoires de son arrière grand-père.

Puis, concernant la bénédiction, il reçoit l'accord de Guillaume, avec un mais. Le "mais" est Vittoria qui donne aussi son accord, avec une condition, ne pas préférer un courant plus qu'un autre. Skip pense avoir en tête le meilleur qui soit. Un petit poème.

Je pense avoir le bon texte pour ça. Mercé plan.

C'est ainsi que, de retour au présent, Skip s'éclaircie la gorge et commence ainsi.

Majesté. Mes amis! Mes frères, mes soeurs! Bonjour. Bonjour et bienvenu à ce Tournoie célébrant l'anniversaire de l'Ordre Royal de la Licorne. Je suis Skip Lo Casalièr, un simple Diacre, qui aimerait pouvoir dire ici une pensée pour ceux qui iront croiser le fer et la lance.

Un très cour instant de silence, pour être certain d'avoir l'attention de tous.

Du royaume de la renaissance.

La vie. Une route à multiple directions.
Elle nous entraîne souvent dans moult décisions,
Étrange mirage de notre imagination,
De la nommer « Aléa » avec conviction.

Pour le Pensant, le hasard est inexistant.
Chaque événement est dessein du Tout Puissant.
Tout chemin emprunté est l'aboutissement,
De sa volonté, car Dieu est omnipotent.

Oane fut notre guide dans des temps lointains.
Une seule question fut posée à tous et chacun.
Détenteur de la réponse pour tous ses prochains,
Préférés de Dieu, ainsi devinrent les humains.

Dans sa bonté le Très Haut nous offrit l'amour,
Pour nous différencier des animaux pour toujours.
Dans sa mansuétude et dans un bref discours,
L'âme, Il nous donna pour nous élever un jour.

Pour éprouver notre Foi et notre raison,
Sur la sente de nos vies il plaça le « sans nom ».
Hargneux, égoïste et violent, le vil démon
Jura que notre Foi serait à l'abandon.

L'homme se devra toujours d'être vertueux,
Sa vie finie, il se verra rejoindre Dieu.
Dans la clémence du Créateur dans les cieux,
L'Unique, le seul maître et juge de ces lieux.

L'impie, dans son trépas, connaîtra en son choix,
Les tumultes de l'enfer, devenant sa proie.
Le démon, pour tribut aura son désarroi,
Et son âme à brûler plus de mille fois.

Nous sommes tous les créatures du Très Haut.
C'est par amour qu'Il nous a créés tous égaux.
Par notre dévouement nous prônerons les mots,
Qui, à tout jamais de notre Foi seront l'écho.


Il sourit et termine en ajoutant ceci:

Tous égaux aux yeux du Très-Haut, Écuyer ou Chevalier, Prince ou Seigneur, c'est ainsi que vous vous affronterez. Que le Très-Haut vous bénisse tous.

Amen.


Le texte qu'il vient de prononcer de mémoire est issue du missel qu'il a lu et relu un nombre incalculable de fois. C'est une certaine Anne Sauvage qui aurait écrit ceci il y a déjà un bon moment et il lui semble qu'en les circonstance, c'est celui qui rappel le mieux qui nous somme devant le Très-Haut et ce, que nous soyons de Rome, de France ou de la Réforme. C'est ce qu'il croit.

Après avoir fait son petit discourt, Skip salut la Reine.


Entre tous, Votre Majesté, soyez bénis et que le Très-Haut vous soit de bon conseil.

Il s'incline et salut une dernière fois Vittoria et Guillaume avant de s'écarter un peu. Le vrai début des festivité allait commencer!
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Vittoria
La bénédiction fut prononcée et Vittoria remercia l'homme d'un signe de tête pour ces quelques mots qui trouveront sans doute écho dans les esprits des personnes présentes.
Pour autant, Vittoria ne devait point perdre de temps et elle monta sans tarder sur l'estrade en bois pour faire face à la petite assemblée. Elle s'éclaircit la voix et prit la parole :


Votre Majesté, membres de l'Ordre Royal de la Licorne, et autres personnes ici présentes, invités et amis, nous sommes réunis pour les jours prochains afin de célébrer la reconnaissance royale de la Licorne.
Pour marquer cette reconnaissance de plusieurs années, l'Ordre Royal a souhaité organisé des festivités par le biais de joutes, de duels à l'épée et de courses équestres.
Un concours de couture a été également souhaité par l'Ordre et qui sera présenté sous peu par Rebecca, Maitre des Cérémonies.
Mais avant cela, nous allons laisser la parole aux membres de la Licorne et à Sa Majesté pour marquer cette célébration.


Vittoria balaya son petit public du moment du regard, à la recherche du Grand Maitre mais ne le trouvant pas, elle opta pour une autre solution. Comme elle s'était fait un copain de fête depuis le début, ses yeux se posèrent totalement au hasard sur de Jeneffe :

Chevalier Guillaume, souhaiteriez-vous prononcer quelques mots pour célébrer cette reconnaissance royale ?

Le Grand Chambellan tendit une main vers lui et l'invita fortement à venur sur la petite estrade pour prendre la parole.
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