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[RP] Dix ans - Tournoi d'escrime

Gauvin.
L'Errant salua son adversaire de son épée à l'arrivée de celui ci. Puis il attendit le signale. Top c'est parti. Gauvin se mit en garde bouclier en avant, épée posée sur son épaule, pointe vers l'arrière. Près à fondre sur l'adversaire d'un simple geste. L'attaque viens du Comte, la danse commence, le Licorneux pare l'attaque de son épée, levant la lame de son adversaire qui continue sa course, et se baissant pour faciliter la parade. Gauvin tenta la contre attaque du revers mais sans succès, son attaque bloqué il se dégagea en reculant.
Il se remit en garde, observant son adversaire, mais déjà la lame du Comte fond sur lui sur son flan droit, non protégé par son écus. Il n'eut pas le temps de bloquer la lame que celle ci viens le heurter dans un fracas métallique. L'armure et les protections font leur travail, et cela permis à l'Errant de contre attaquer avant que le Comte se dégage, il abattit sa bâtarde sur le flan désormais exposé de son adversaire.
L’attaque suivante aurait pu faire très mal sans une bonne armure, le choc fit reculer Gauvin, qui dans un râle d’effort abattit à sa lame sur le buste de son adversaire. Le combat était serré, l'Errant était déjà en sueur, mais l'habitude et l’entraînement lui permirent de continuer.
Le Comte voudrait il sa peau ? L'Errant allait lui montrer que cela ne serait pas chose facile. Quand celui ci visa sa tête, le jeune Turons dévia l'attaque de son bouclier et frappa fort sur la cuisse gauche du Comte. Le bruit de métal tinta encore avec la rencontrant des protections du Comte et l'épée du Licorneux. Mais pas le temps de se remettre en garde que l'épée à deux main du Comte frappa le jeune homme au ventre, l'arme était passé sous le bouclier et le choc le fit reculer. Un coup d'écus vers le bas, empêcha le Comte de se remettre en garde, un pas en avant et la bâtarde de l'Errant fut abattu sur le heaume du Comte.
L'Errant brisa la danse et se recula, laissant le Comte reprendre ses esprits après le choc, c'est que ça devait sonner et résonner là dedans après un tel coup.
Le Comte attaqua et frappa les jambes de l'Errant, mais cela était la passe de la victoire et l'adrénaline retiens un peu la douleur et l'Errant se décala sur la droite de son adversaire et abattit aussitôt son épée sur le genou de son adversaire.
Il fit un pas en arrière se remit en garde, et le signale de la fin du duel retentit. L'Errant venait de gagner son premier duel, il espérait faire de même pour les suivants. Il salua de son épée son adversaire et dit :


Merci votre Grandeur pour se beau combat.

Puis après cela, il chercha du regarde Alvira, et leva son épée en signe de victoire. Il cala ensuite son arme sous le bras et retira son heaume, puis quitta la lice. Il remit son épée au fourreau et récupéra son ceinturon. Il alla rejoindre Alvira, une gourde d'eau à la main en buvant une grande gorgée d'eau fraîche venant du puits. Il sourit à la Duchesse de Touraine et lui demanda :

Alors que pensez vous de se premier duel ?
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Guillaume_de_jeneffe
Après les deux premiers combats, Guillaume laissa passer quelques minutes, afin que l'on nivelle le sable qui, sous les pas des quatre escrimeurs, avait déjà commencer à dessiner des reliefs qui pourraient être autant d'obstacles pour ceux qui suivraient. Et le chevalier refusait qu'un combat soit perdu à cause du mauvais état du terrain. D'une part car cela état incorrect et de l'autre car il craignait que cela rejaillisse sur la réputation de son Ordre. Il patienta donc, sourire aux lèvres et coupe de vin clairet à la main, souriant par-devers lui à la bonne entente qui semblait régner entre Gauvin et la jeune femme qui l'accompagnait – ou qu'il accompagnait – partout...

Quand on lui fit signe que tout était prêt, il se débarrassa de sa boisson et revint aux choses sérieuses.


- J'appelle maintenant les prochains duellistes.

Citation:
Guillaume du Bruck, Duc de Macaye, Seigneur de Geaune et d’Aire sur l’Adour, et Petitrusse, Duc de La Mothe-Bromont, Vicomte de Chaveroche, Seigneur d’Albepierre et de Thorey-en-Plaine, Membre de l’Ordre du Mérite du Lys Royal, Chevalier de l’Ordre Souverain de l’Étoile, Membre de l’Ordre Dynastique du Griffon et Maître Archer du Bourbonnais-Auvergne.

Le duc de Macaye ne semble pas s'être endormi pendant la pause impromptue puisqu'il assène à son adversaire un retentissant coup de taille sur le plastron. Les choses commencent en force !
Puis il pare une attaque, elle aussi dirigée contre son ventre. Une touche à rien, il prend déjà l'avantage.
Et il continue. Par un coup d'une vivacité surprenante, il aplatit à deux reprises sa lame sur le heaume du duc de La Mothe-Bromont. Trois touche à rien.
Mais ça se réveille du côté du Bourbonnais-Auvergne. Petitrusse touche enfin. Et sur la tête ennemie, rien que cela ! Décidément, les deux hommes ne cherchent pas à s'épargner.
D'autant que Guillaume répond par un autre coup droit sur le chef adverse. Quatre touches à un, il peut voir venir, comme on dit !
Mais ce qu'il n'a pas vu venir c'est l'attaque droit sur ses jambes. Le fer de son armure en vibre encore. Quatre touches à deux.
Est-ce le début du doute ? Oui... non. Cette fois c'est sur le torse adverse qu'il dirige son attaque. Qui porte.
Le chevalier de Jeneffe interrompt le combat.


« Guillaume du Bruck remporte ce duel et franchit donc le premier tour. Il affrontera demain le vainqueur du prochain combat. »

Citation:
Theodhene, Homme d’armes de l’Ordre royal de la Licorne, face à Malwyn, Errant du même Ordre.

Là non plus on n'a pas décidé de traîner. Theodhene fond sur son frère d'armes à toute vitesse et lui enfonce le plastron.
Mais Malwyn ne s'en laisse pas compter et le frappe violemment dans les jambes. C'est un partout, pour ceux qui ne suivraient pas.
On a fait le ventre, on a fait les jambes... Et on va faire la têt... Ah non, Malwyn pare adroitement l'attaque.
Et comme pour se venger cisaille le torse adverse à deux reprises. Il prend l'avantage, trois touches à une.
Theodhene semble déconcentré, car sa nouvelle attaque est parée en route.
Malwyn, lui, est tout à fait là, et son épée dans les genoux de son adversaire. Quatre touches à une, est-ce que ça sentirait la fin ?
Pas tout à fait car l'homme d'armes frappe la panse de l'Errant.
Et pare ensuite son attaque sur les jambes. Quatre à deux.
Mais il échoue dans son attaque au ventre. Dommage, car il aurait pu revenir dans la course.
Qu'interrompt définitivement Malwyn, avec une nouvelle frappe sur les jambes, sa marque de fabrique dirait-on.


Guillaume reprend la parole, après avoir séparé les deux hommes : « La victoire revient à Malwyn. Et maintenant, place à la suite. »

Citation:
Elorn Coatmeur de Guérande, Baron de Poissy, face à Shawie.
SCHCKLONCK et re-SCHKLONCK. Aussi bien Elorn que Shawie voient leur première attaque parée. Un combat plus tactique s'annonce peut-être...
Elorn reprend l'initiative, et frappe la dame.. au visage ! Heureusement que l'on est au combat, sans cela, ce serait crime de lèse-courtoisie.
Mais la dame ne s'en laisse évidemment pas compter, et lui heurte la pansière.
Puis bloque son attaque, pourtant dirigée sous la ceinture. Quel polisson cet Elorn.
Qui se souviendra longtemps du coup, non, pardon, des deux coups, j'ai été trop vite, qu'il reçoit dans les jambes. Le voici mené trois à un.
Il riposte, car il ne semble pas né de la dernière pluie, droit dans le ventre. Trois à deux, il recolle au score, à défaut de le faire à la dame.
Mais se reçoit un furieux coup sur la tête. Quatre à deux.
Quatre à trois, car il joue une nouvelle fois sous la ceinture.
Ce qui ne plaît guère à Shawie qui vient l'estourbir, elle aussi dans les jambes.


« Et c'est une victoire de dame Shawie », conclut le Jeneffe, avant de laisser entrer les deux suivants dans la lice, et les petites mains, à nouveau, égaliser le niveau du sable.

Citation:
Edouard de Noireterr, Capitaine de Vaulx, face à Marvailh Canmore, Apprentie de l’Ordre de la Dame Blanche à l’Écu vert.

La Blanche attaque, et frappe le ventre adverse.
Puis se défend avec brio, lorsque c'est le sien qui est visé.
Décidément, elle a mangé du lion ! Elle cabosse maintenant, deux fois de suite, le heaume adverse.
Et ne s'arrête pas là, puisqu'elle pare l'attaque ennemie.
Puis frappe dans les jambes.
Pare une lame qui arrivait sur sa tête. Et riposte aussitôt. Cinq touches à zéro. Quelle correction !


« Diable, voila un combat rapide. La victoire va à Marvailh Canmore. Nous aurons donc un duel de Blanches, demain. »

Citation:
Walan de Meyrieux, Chevalier de l’Ordre royal de la Licorne et Prince d’Igny, face à Arioce Horn, Seigneur d’Etuz.

A-t-il eu la tête tournée par toutes ces dames, le chevalier ? En tous cas, son premier assaut est un échec.
Son adversaire, lui, ne rate pas son coup. BING, fait le heaume princier.
Ce qui remet les idées en place, visiblement. Walan déforme le plastron adverse, comme pour rire.
Puis c'est à son tour d'avoir le souffle coupé, un instant. Deux touches à une pour Arioce.
Deux touches à deux, puisque le Meyrieux frappe droit sur la tête du Horn.
Et ça reste deux à deux. L'attaque dans les jambes est parée par le chevalier.
Qui poursuit par un violent coup au ventre.
Et par une parade à nouveau aux jambes.
Et et par une riposte dont il a visiblement le secret.
Et et et par un choc sur le crâne ! Heureusement qu'Elorn était bien armé. Cinq touches à deux, c'est ce qui s'appelle un retournement de situation.


« La victoire est pour le chevalier Walan de Meyrieux, on comprend mieux pourquoi on le nomme Sans Repos », s'emporte Guillaume pour interrompre le combat. Bientôt, ce serait à lui d'entrer en scène...

Parce que je suis juste et bon et miséricordieux, ou simplement parce que je n'aime pas exclure les gens qui pourraient avoir des indisponibilités temporaires, je repousse l'heure d'exclusion – qui ne concerne plus que Margaux_ – jusqu'à ce soir, disons 20 heures.

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]
Azorak
C'était là une première pour le jeune Seigneur, le duel à l'épée. Il avait pu échanger quelques passes lors de deux joutes qui ont du se résoudre par l'épée. Il avait perdu les deux fois. Malgré son apprentissage succin dans son plus jeune age, il n'avait entretenu et affuté ses connaissances. Maintenant qu'il avait avec lui au Castel un homme d'arme il espérait bien s'améliorer, mais il n'avait pas vraiment eu le temps de se préparer.

Il vint alors se présenter à l'organisateur et les quelques autres combattants qu'il croisait. Il y avait là des chevaliers, qui manient l'épée bien mieux que lui, mais il essayerait d'apprendre de ses combats.

Son combat était le deuxième, cela lui laisserait le temps de se concentrer pour son match contre un écuyer. Il devrait sûrement mieux manier l'épée que lui mais bon, il ne se laisserait pas faire pour autant. Le premier match était serré, il espérait qu'il en soit tout autant pour lui.

Une fois le match fini, Azorak est appelé sur la lice. Il plante alors son épée dans le semble tout en regardant son adversaire pour essayer de le jauger...mais sa maigre expérience ne lui permet pas de lire dans la posture de son adversaire une quelconque aide... Il salua alors son adversaire et abaissa son heaume, épée bâtarde en main prêt à en découdre.

...

Verdict, une défaite mais il a au moins pour lui de s'être bien défendu, il s'approcha alors de l'homme.


Félicitation Messire, ce fut un combat fort appréciable, je ne peux que vous souhaiter bon courage pour la suite. Vous faîtes honneur à votre Duchesse.
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Theodhene_
Theodhene avait suivi avec passion les premiers combats et étatit impressionné par la qualité et la dextérité des adversaires.

quand vint son tour, il fut un peu nerveux car c'était son premier combat en compétition et cela n'avait rien à voir avec les champs de bataille...



Guillaume_de_jeneffe a écrit:
Après les deux premiers combats, Guillaume laissa passer quelques minutes, afin que l'on nivelle le sable qui, sous les pas des quatre escrimeurs, avait déjà commencer à dessiner des reliefs qui pourraient être autant d'obstacles pour ceux qui suivraient. Et le chevalier refusait qu'un combat soit perdu à cause du mauvais état du terrain. D'une part car cela état incorrect et de l'autre car il craignait que cela rejaillisse sur la réputation de son Ordre. Il patienta donc, sourire aux lèvres et coupe de vin clairet à la main, souriant par-devers lui à la bonne entente qui semblait régner entre Gauvin et la jeune femme qui l'accompagnait – ou qu'il accompagnait – partout...

Quand on lui fit signe que tout était prêt, il se débarrassa de sa boisson et revint aux choses sérieuses.


- J'appelle maintenant les prochains duellistes.


Citation:
Theodhene, Homme d’armes de l’Ordre royal de la Licorne, face à Malwyn, Errant du même Ordre.

Là non plus on n'a pas décidé de traîner. Theodhene fond sur son frère d'armes à toute vitesse et lui enfonce le plastron.
Mais Malwyn ne s'en laisse pas compter et le frappe violemment dans les jambes. C'est un partout, pour ceux qui ne suivraient pas.
On a fait le ventre, on a fait les jambes... Et on va faire la têt... Ah non, Malwyn pare adroitement l'attaque.
Et comme pour se venger cisaille le torse adverse à deux reprises. Il prend l'avantage, trois touches à une.
Theodhene semble déconcentré, car sa nouvelle attaque est parée en route.
Malwyn, lui, est tout à fait là, et son épée dans les genoux de son adversaire. Quatre touches à une, est-ce que ça sentirait la fin ?
Pas tout à fait car l'homme d'armes frappe la panse de l'Errant.
Et pare ensuite son attaque sur les jambes. Quatre à deux.
Mais il échoue dans son attaque au ventre. Dommage, car il aurait pu revenir dans la course.
Qu'interrompt définitivement Malwyn, avec une nouvelle frappe sur les jambes, sa marque de fabrique dirait-on.


Guillaume reprend la parole, après avoir séparé les deux hommes : « La victoire revient à Malwyn. Et maintenant, place à la suite. »





il avait perdu son duel mais était fier d'y avoir participer et félicita chaleureusement son frère d'armes pour son beau combat puis il se dirigea tranquillement voir le reste des festivités...
Malwyn
Discret jusque là, ce fut enfin le moment de montrer que je ne dormais pas. Je saluais mon frère d'arme d'un signe de tête et le combat commença.

Citation:
Theodhene, Homme d’armes de l’Ordre royal de la Licorne, face à Malwyn, Errant du même Ordre.

Là non plus on n'a pas décidé de traîner. Theodhene fond sur son frère d'armes à toute vitesse et lui enfonce le plastron.
Mais Malwyn ne s'en laisse pas compter et le frappe violemment dans les jambes. C'est un partout, pour ceux qui ne suivraient pas.
On a fait le ventre, on a fait les jambes... Et on va faire la têt... Ah non, Malwyn pare adroitement l'attaque.
Et comme pour se venger cisaille le torse adverse à deux reprises. Il prend l'avantage, trois touches à une.
Theodhene semble déconcentré, car sa nouvelle attaque est parée en route.
Malwyn, lui, est tout à fait là, et son épée dans les genoux de son adversaire. Quatre touches à une, est-ce que ça sentirait la fin ?
Pas tout à fait car l'homme d'armes frappe la panse de l'Errant.
Et pare ensuite son attaque sur les jambes. Quatre à deux.
Mais il échoue dans son attaque au ventre. Dommage, car il aurait pu revenir dans la course.
Qu'interrompt définitivement Malwyn, avec une nouvelle frappe sur les jambes, sa marque de fabrique dirait-on.


Le combat avait été rude et j'aurais surement des courbatures demain mais ça en avait valu la peine. Cet homme d'arme en avait dans les bras, je devais pensé à m'entrainer pour la suite. Je le saluais à nouveau et quittais le combat à la demande de Guillaume. Il se faisait soif.
Guillaume_de_jeneffe
Il avait comme sœur Anne, attendu à ne plus savoir que faire. Maquillé sa patience et sa recherche de conversations plus ou moins inoffensives. Pris des nouvelles de l'un ou de l'autre, veillé à des questions de la plus absolue non-urgence. Et même promis d'être témoin d'un mariage d'un métayer de Saint-Ouen dans six mois. Tout ça pour donner, encore, à son adversaire l'occasion de se présenter. Mais nul part où se posait son regard ne trouvait-il la Blanche. Ce fut donc la mort dans l'âme, et alors que le soleil jetait ses derniers feux sur la campagne sancto-michaelienne, qu'il se résolut à reprendre la parole à destination de l'assemblée.

- Devant l'absence de Margaux, Membre de l'Ordre royal de la Dame blanche à l’Écu vert, je suis contraint de me déclarer vainqueur par abandon. Nous nous reverrons demain, comme prévu, pour la prochaine phase des duels.

A demain, si vous le voulez bien, se dit-il, sans bien trop savoir pourquoi...
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Manon_cieran.amnell


Là aussi la blondinette avait laissé filer la date, absorbée qu'elle avait été ces dernières semaines. Néanmoins, tout comme à la course équestre, Manon était présente pour encourager ses soeurs qui participaient à l'épreuve de duel à l'épée. Accoudée contre la palissade, emmitouflée dans sa cape couleur aubergine et doublée en peau de lapin, Manon observait et écoutait le chevalier énoncer le tirage au sort des duels. Elle souffla de soulagement lorsqu'elle se rendit compte que les Blanches ne combattraient pas les unes contre les autres. Cela leur laissait plus de chances pour la finale. D'autant plus, que toutes, Margaux, Shawie et Marvailh excellaient au combat à l'épée.

La victoire était pour l'une d'entre elles, Manon n'en doutait aucunement. Toutefois, le tirage au sort de Margaux lui arracha une petite moue. Enfin, il n'y avait plus qu'à attendre pour voir, mais, l'apprentie Blanche croisait les doigts pour les autres membres de son ordre. A Marvailh qu'elle aperçut, l'adolescente adressa un sourire d'encouragement.



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Shawie
Un jeu d'épée ... elle aurait du refuser par sagesse ou par bon sens mais finalement c'était toute enjouée qu'elle avait décidé d'y participer plutôt deux fois qu'une. Jamais elle n'avait participé à ce genre de "combat à la régulière". Le plus souvent, c'était absolument pas pour cette raison ni même dans ces conditions et respecter des règles était bien difficile.

Le coup au visage entame le duel pour de bon. Directement, elle enchaîne, le sang lui monta déjà au cerveau. La seule chose qu'elle eut le temps de viser, c'est les jambes, donc elle s'active pour essayer de le faire tomber. Sur un malentendu, elle pourrait lui foutre un coup de savate dans la tronche. Ni vu ni connu, elle aurait gagné.

Bon en temps normal, elle aurait déjà insulté et tenté un truc déloyal. En temps normal, elle aurait chanté sa victoire sur le corps de son ennemi mais un peu de tenue. Même si elle ne l'avait pas annoncé clairement, elle jouait quand même du côté des Blanches. Sautillant sur ces gambettes pour esquiver, elle arrive à placer quelques coups bien placés puis s'en reçoit un direct dans le ventre. Foutu ventre.



Hey mais ! Il triche dépuis lé début ! Non ... ?


Up, dernière attaque, emballé c'est pesé.


Et c'est une victoire de dame Shawie !


Le Dame est en trop mais jé prend quand même !
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Orazio.
Le premier duel était plutôt serré et intéressant à regarder, Gauvin s’était bien débrouillé mais maintenant était arrivé mon heure. Je mis mon armet sur la tête, l’attacha et je rejoignis mon adversaire dans l’arène. Je le saluais également avant de fermer la visière et de dégainer mon épée, au signal j’avais pris la décision de rester en retrait et d’attendre qu’il attaque en premier. Je voulais d’abord regarder ce qu’il allait faire, peut-être même de lire ces mouvements.

Je pris initialement l’avantage sur lui, parant plusieurs coups pour lui en infliger rapidement mais il se ressaisi et rendit le combat bien plus serré qu’il ne devait l’être initialement. Je n’étais pas totalement satisfait de ma prestation, je devais essayer de faire preuve de moins de laxisme au combat ! Il fallait toujours être impitoyable, tel était ma philosophie ! Nous allions voir si j’allais réussir à mettre cela en avant pour mon prochain combat. J’ouvris à nouveau la visière de mon casque, je lui souris et fis un signe de la tête.


Vous vous êtes bien défendu, au plaisir de vous revoir.


Il n’était pas nécessaire de préciser que j’avais suivi avec attention les autres combats afin de me faire une idée des adversaires potentiels ! Il avait quelques spécimens plutôt intéressants, il restait à voir qui j’allais affronter ensuite...
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Marvailh
    A l'appel de son nom, elle se prépare très vite. Casque simple, cotte de mailles, cuissardes de plaques et bottes de cuir, on voit tout de suite que son armure n'est qu'un assemblage de pièces récupérés ici et là, plus ou moins bien entretenues. Mais le secret de la victoire, selon elle, c'est la souplesse et la rapidité, et elle ne peut les obtenir qu'en étant à l'aise.
    Elle entre dans la lice, et attend son adversaire. Lorsqu'il arrive, elle le prend d'abord pour un page. Mais en voyant son armure, son allure, elle devine que c'est lui. Un jeune. Si jeune que même elle aurait presque honte de le prendre pour amant.


    - Quoi, c'est ça, Edouard de Noireterr ? s'étonne-t-elle à demi-voix. Vous vous foutez d'moi ? Il a même pas d'barbe !

    La surprise et la déception passée, on sonne le début du combat. Aussitôt, elle lui saute dessus, l'assenant de coups et parant les siens. Elle qui croyait perdre en défense sans son bouclier fétiche, elle se rend compte que ne pas l'avoir améliore considérablement son champ de vision et sa vitesse. Ventre, tête deux fois, elle sourit. Mine de rien, bien qu'il ne soit pas à la hauteur de ses espérances, il fait un très bon entraînement.
    Finalement, au bout de cinq touches à zéro, on la déclare victorieuse. Elle ne peut s'empêcher de lancer une dernière pique à son adversaire.


    - Allez, m'sieur, sans rancune. On s'revoit quand vous s'rez grand !

    Elle quitte la lice, épée sur l'épaule, un grand sourire sur les lèvres. Dommage qu'Arthanagor ne soit pas là, il aurait bien trouvé le moyen de la chambrer d'une façon ou d'une autre.

    - Nous aurons donc un duel de Blanches, demain.

    Ah, ça c'est moins drôle, déjà.

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Livia_sade
Livia avait rejoint Manon pour soutenir les blanches qui participaient au tournoi d'escrime.
Margaux était absente, mais lorsque Shawie monta à la lice, Livia se retint de lui taper l'affiche en poussant un grand cri façon pom pom girl prépubère.
Elle se contenta de secouer les bras en souriant.
Le combat avait été rude, l'homme en face de Shawie n'avait pas pris en compte qu'il s'agissait d'une dame, enfin dans le cas de Shawie ça pouvait se comprendre.
Un instant, la petite Ménéac crut que Shawie se prendrait une raclée, mais non, elle reprit rapidement le dessus et s'imposa.

    - Bravo Shawiiiiie !

C'était sorti tout seul.
Elle se cacha donc rapidement derière Manon pour ne pas se manger le regard assasin de l'espagnole puis se décalant pour rester cachée, se prépara a observer le combat de Marvaihl.

Livia savait que Marvaihl était une guerrière aguerrie. Elle avait admiré sa dextérité lorsqu'elle lui apprenait à se servir d'une épée et c'est un peu pour cela qu'elle ne s'était pas inscrite à cette partie là. Elle était loin d'être douée à l'épée et apprenait toujours.
Comme prévu ce fut un combat vite plié. Les performances à l'esquive de la Canmore étaient impressionnantes !

    - T'as vu ça Manon, comment Marvaihl assure ???

Les yeux brillants, Livia regarda la Canmore quitter la lice determinée à lui demander de lui apprendre tous ces secrets. Un entrainement plus intensif s'imposait !
En attendant, le combat de demain s'annonçait épique : deux blanches l'une contre l'autre, deux styles de combat différents, deux personalités différentes, ça promettait en étincelles !

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Aspirante Dame Blanche
Guillaume_de_jeneffe
[Le lendemain]

Après les émotions du premier tour, Guillaume avait eu droit à une bonne nuit d'un profond sommeil réparateur. Sa chambre-cellule de la tour Saint-Michel n'était qu'à quelques mètres, et il en profita. Il n'eut donc ni le sommeil interrompu par des jouteurs lents à couvrir les feux, ni par les bruits de la nuit, ni même, au matin, par les chants des coqs des alentours, le vent devait souffler dans un sens favorable. Il se lava donc, à la fraîche, fit retailler sa barbe qui, malgré les années, avait encore ses moments de rébellion et, dans l'après-midi, s'était glissé, une nouvelle fois, dans son armure, que l'on avait assurée de la plus sérieuse des façons. Il espérait qu'il aurait cette fois l'occasion de la mettre à l'épreuve, dut-ce être contre son frère d'armes, le chevalier Walan. Au moins celui-ci était-il présent et le spectacle qu'ils donneraient, il en était persuadé, vaudrait le déplacement. Pour ne rien dire de l'affiche qui s'était dessinée la veille.

Après avoir avalé un roboratif déjeuner, oui oui, vous avez bien suivi, déjà tout équipé, sauf de sa salade, il avait descendu les escaliers qu le conduisirent hors de la ville, sur les lieux des festivités. Sans trop dévier de sa trajectoire, il alla vers la lice du tournoi d'escrime et s'entretint là quelques instants avec la poignée de valets qui avaient été chargés de tout remettre en état. Et tout était en état, ce qui leur valut les compliments du chevalier et leur vaudrait bientôt un petit plus sur leurs gages. Pour le moment, toutefois, le Jeneffe dût les congédier, car la foule qui peu à peu se formait indiquait que l'heure approchait. Ce que confirmèrent soudain les clochers des alentours. Ne pouvant lutter – en matière de cloche, il n'était pas à la hauteur, malgré ses efforts –, il attendit donc la fin du vacarme pour enfin prendre la parole.


- Combattantes et combattants, spectatrices et spectateurs, le bonjour. Vous voici déjà nombreux pour assister, et prendre part, à la deuxième journée des duels d'escrime. Nous avons tous encore en mémoire les superbes passes d'hier, mais je ne doute pas que ceux qui sont encore parmi nous nous réservent quelques belles surprises. Nous assisterons donc, ce jour, à quatre duels, puis nous laisserons deux nuits passer avant d'assister, déjà, aux demi-finales. Devant vous s'affronteront Gauvin, Errant de l'Ordre royal de la Licorne, et Orazio di Carrenza, écuyer de la dchesse Exaltation Lablanche d'Abancourt, Guillaume du Bruck, Duc de Macaye, Seigneur de Geaune et d'Aire sur l'Adour, et Malwyn, lui aussi Errant de l'Ordre royal de la Licorne. Nous aurons ensuite droit à deux duels fratricides. Ou sororicide, dans le premier cas, puisque croiseront le fer deux Dames Blanches, à savoir Shawie et Marvailh Canmore. Et enfin Walan de Meyrieux et Guillaume de Jeneffe, deux chevaliers de l'Ordre royal de la Licorne. Si vous n'en avez pas assez avec cela, venez avec moi, nous partons reprendre Constantinoble ! Car vous ne trouverez plus beaux combats nulle part ailleurs, s'emporta-t-il enfin.
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Koreldy
Le duc était en bord d'arène, attendant son tour et s'arnachant aidé de son écuyer. L'arme se devait d'être lourde, mais le duc avait toujours eu une armure un peu spéciale pour ce genre de combat. Il n'était pas forcément fan des armures lourdes, car elles manquaient de souplesse à son humble avis. Ainsi le duc avait fait retiré certains pièces ou en avait allégé certaines pour garder plus de mobilité au détriment de la défense. Mais il était de ceux qui prônaient que l'attaque restait la meilleure des défenses.

A son nom, le duc, enfila son heaume et se dirigea dans l'arène, nom pas pour affronté le lion, mais bien le russe. Il connaissait de nom son adversaire et savait pertinemment que ce n'était pas un petit morceau. Ce fait ne l'inquiétait pas, ni ne le rassurait d'ailleurs. Concentré, le duc agrippa sans accroc son épée pour le combat et attendit le signal.

Citation:
Guillaume du Bruck, Duc de Macaye, Seigneur de Geaune et d’Aire sur l’Adour, et Petitrusse, Duc de La Mothe-Bromont, Vicomte de Chaveroche, Seigneur d’Albepierre et de Thorey-en-Plaine, Membre de l’Ordre du Mérite du Lys Royal, Chevalier de l’Ordre Souverain de l’Étoile, Membre de l’Ordre Dynastique du Griffon et Maître Archer du Bourbonnais-Auvergne.

Le duc de Macaye ne semble pas s'être endormi pendant la pause impromptue puisqu'il assène à son adversaire un retentissant coup de taille sur le plastron. Les choses commencent en force !
Puis il pare une attaque, elle aussi dirigée contre son ventre. Une touche à rien, il prend déjà l'avantage.
Et il continue. Par un coup d'une vivacité surprenante, il aplatit à deux reprises sa lame sur le heaume du duc de La Mothe-Bromont. Trois touche à rien.
Mais ça se réveille du côté du Bourbonnais-Auvergne. Petitrusse touche enfin. Et sur la tête ennemie, rien que cela ! Décidément, les deux hommes ne cherchent pas à s'épargner.
D'autant que Guillaume répond par un autre coup droit sur le chef adverse. Quatre touches à un, il peut voir venir, comme on dit !
Mais ce qu'il n'a pas vu venir c'est l'attaque droit sur ses jambes. Le fer de son armure en vibre encore. Quatre touches à deux.
Est-ce le début du doute ? Oui... non. Cette fois c'est sur le torse adverse qu'il dirige son attaque. Qui porte.
Le chevalier de Jeneffe interrompt le combat.


Au signal le duc fonce sur son adversaire et d'un bon geste du poignet, il vise de toute ses force vers le plastron de son adversaire. Un brin étonné de la réussite mais sur ses gardes, le duc à tout juste le temps de se remettre en garde, pour protéger son ventre. Le duc respire tant bien que mal et déjà de la sueur commence à se former sous son heaume. Mais que diable, qui à monté le chauffage?
Ayant retrouvé des appuis convenable, le duc sort une botte et commence à frapper son adversaire, l'épée haute en direction de la tête du russe! Une chance pour le duc vu que son adversaire ne s'y attendait pas et il en profita pour assené deux coups rapide sur son heaume.

Trop enthousiaste de sa réussite et pensant avoir sonné son adversaire, le duc traine à se remettre, chose que son adversaire profita et d'un coup, il sentit le choc au niveau de sa tête. Le bruit du fer résonne dans sa tête, mais le duc ne s'y laisse point prendre. Le duc met un grand coup de poignet rendant coup pour coup. Mais son adversaire avant déjà commencé sa prochaine action si bien que le coup ne fut pas aussi fort qu'escompter et le russe assena un coup violent dans les jambes de Guillaume. Bien que vacillant et alors que son adversaire se remettait en garde et qu'un de ses pieds était dans les airs, le duc fendit l'air d'un coup et vint défaire la défense de son adversaire touchant le torse de son adversaire de la pointe de son épée, avant de se vautrer. Oui c'était bien, un tout pour le tout.

C'est une fois par terre et respirant à grande pompe que le duc entendit le chevalier l'annoncer vainqueur. Il se releva et alla échange une poignée de main amical avec son adversaire.


Je vous remercie pour ce combat votre grasce, vous n'avez pas été de tout repos!
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GuillaumeIV de Bruck dict le Fougueux
Elorn
[Elorn vs Shawie]


Et merde .. pensée de blond devant le tirage au sort.
C'est qui ça d'abord ? encore une donzelle c'est sur. Bordel! je perds toujours contre les donzelles. Pas de ma faute si je préfère les bousculer dans une chambrée que dans une arène. C'est que ma mère m'a apprit à ne pas être violent avec les Dames ..

Arnaché au mieux pour se protéger , c'est que ça peut être fourbe une donzelle surtout avec les équipements bien où il faut.

En place , on se jauge , un peu mais pas trop faut pas pousser non plus. Et le fer qui s'entrechoque . C'est qu'elle est agile la bougresse .. et costaud !

Hey! mes jambes! tout ça parceque je suis grand .. maman bobo , pourquoi tu m'as fait ainsi j'suis trop grand

ET paf ! de cinq .. rien vu venir le blond.


Et c'est une victoire de dame Shawie !


Il enlève son heaume , sa batarde remisée à sa taille et s'incline devant la combattante.

Ma Dame, ce fut un réel plaisir .

Bon , c'était pas tout à fait vrai , voir même pas du tout. Il était mécontent de lui , ces quelques mois chez les moines l'avait clairement ramolli. Heureusement qu'il n'avait pas choisi les joutes à cheval!
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Bannière en cours
Alvira
Et bien que de mouvements. A peine avait-elle eu le temps de prendre place que les duels avaient commencés, autant dire que le Tourangeau avait été de ceux qui dépucelèrent le sable de la lice rapidement.

Oeil aux aguets, la Duchesse zieutait la rencontre, espérant que l'Errant gagnerait, car autant après tant de vaillance, qu'il puisse emporter la clameur de la foule. Toutefois, la jeune femme resta plutôt impassible afin de ne pas trop marquer son enthousiasme. Le résultat fut de l'ordre de ses espérance. Un sourire se hissa sur ses lippes alors que Gauvin profitait de sa victoire en agitant son bras au ciel.

Dès qu'il s'approcha, un "bravo !" vint claquer dans la bouche Duranxienne.


J'ai trouvé ça fort distrayant !
J'avoue, il vous manque de la souplesse. Encore et toujours de l'entrainement Gauvin !


Pure taquinerie, il s'était franchement bien défendu.

Plus tard ce fut d'autres hommes qui croisèrent le fer, d'entre eux, représentant l'Auvergne et la Gascogne. Ses pairs en un mot. Soucieuse, Alvira quitta le Turon, cherchant Arioce du regard. La défaite avait été rude, et elle se demandait si il allait bien. S'excusant auprès de son hôte, c'est entre les tentes, et les paddock de fortune, que notre Duranxie espérait retrouver le Précepteur.

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