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[RP] Les bains, thermes et massages de Mortagne

--Derval


[maison]

Il allait s'endormir, quand il entendit des cris etouffés en bas,
il ouvrit la trappe et vit une femme gesticulée dans tous les sens,
il saut d'un bond au sol,
et entendit la vieille femme parler,
il regarda Yama et lui dit :


Yama, c'est eux, c'est surement eux,
Latika m'a dit qu'elle t'avait parlé de son passé,
regarde moi,
tu vas devoir chercher, chercher dans ses affaires,
dans ses placards, il doit y avoir un médaillon,
un médaillon avec une pierre bleue,
trouve le, elle en aura besoin si c'est eux!


Il regarda Yama qui ne semblait pas vouloi obeir, préférant surement aller la sauver, ce qu'il pouvait parfaitement comprendre.
Il le regarda fixement, pour lui faire comprendre que c'était très important.

Il se tourna ensuite vers la dame :

Rentrez chez vous, et ne dites mot de cela à personne, vous comprenez,
rentrez chez vous et fermez bien votre porte, j'espere qu'ils ne vous ont pas vu!


Il vit Yama qui avait déjà commençé à fouiller, et il partit en courant vers les thermes.

[thermes]

Quand il arriva il courut vers la pièce centrale, ne sachant au début où aller,
il entendit les bruits dans l'eau et son regard s'y orienta,
il y vit trois formes, ils étaient donc deux contre elle.

Il plongea s'attaquant aux deux hommes lorsqu'il vit les mains de l'un agrippés les mains de l'autre aux cheveux longs, il mit quelque temps à comprendre, restant en stationnaire,
et c'est là qu'il vit le signe sur la poitrine de l'homme aux cheveux longs comment l'oublier...

Il se jetta sur l'homme, l'attrappant aux epaules,
il fit signe alors à l'autre homme d'un mouvement de tête de s'occuper de Latika,
il tourna la tête un instant, et la vue de ces yeux clos, de ce sang autour d'elle le troubla,
l'homme en profita pour lui attrapper la gorge et dans un mouvement il attrappa la sienne, ce serait à celui qui serrerait le plus fort...
Hamnel
Elle était revenue vers les thermes. Non loin de là, la noiceur l'empechant de bien distinguer les ombres, Hamnel entendit des cris qui la figèrent. Un cri a l'aide et des pas qui fuit.

Devant le batiment, elle vit la porte ouverte en grand, alors que ce lieu devait etre fermé vu l'heure.

Elle entra. Intriguée surtout. Sa curiosité toujours a l'affut.

Sur le coup elle ne vit rien..... sauf que les clapotis de l'eau, attira son regard. Son sang ne fit qu'un tour. L'eau était rouge et elle vit des gens sous l'eau. Elle parvint a distinguer une bagarre qu'elle se jeta a l'eau sans réfléchir après une bonne respiration.

Elle vit deux hommes se battre et....judas aller vers un corps qui semblait inerte. Elle alla vers eux et vit Latika comme sans vie. Son coeur s'affola, mais garda le controle d'elle meme.

Hamnel souleva avec judas le corps de la jeune femme et une fois a sa taille elle fit signe a ce dernier qu'elle montait avec Latika et qu'il aille aider celui qui défendait Latika.

Nageant de ses pieds pour la pousser ver le eau, Hamnel parvint a hiser a la surface le corp inerte et d'une main nagea tant bien que mal vers l'escalier du moins pour parvenir a sortir Latika du danger de l'eau.

Elle avait eut le temps de comprendre qu'elle était en plus gravement blessée a la tete le sang provenant de là.

Prenant une grande respiration elle écouta si Latika respirait encore. Et souffla un soupir de soulagement. Elle respirait. Certes, faiblement, mais elle respirait. Juste plongée dans l'inconscience.

Se levant elle la prit sous les aiselles et vint l'étendre sur la céramique loin du bord de l'eau. Les hommes, remarqua-t-elle se battant toujours.

Devait elle aller les aider ou bien rester près de Latika pour au cas où.... Elle resta près d'elle....Inquiète de son sort. Elle l'aimait cette virulente passionnée.


Allé Latika Réveilles toi! MAIS ALLÉ!!!!!

Elle la gifla doucement sur les deux joues.

ALLÉ RÉVEILLE MA BELLE. RÉVEILLES TOI"
Yamakun
Yama avait été réveillé par les cris de cette femme. Il n'en compris pas tout de suite le sens.
Il ne compris qu'un seul mot...son nom


Latika...

Il se leva près à aller à son secours mais il vu attiré par le bruit de quelqu'un retombant sur le sol et vit un homme dont il ignorait la présence jusque là.

Yama, c'est eux, c'est surement eux,
Latika m'a dit qu'elle t'avait parlé de son passé,
regarde moi,
tu vas devoir chercher, chercher dans ses affaires,
dans ses placards, il doit y avoir un médaillon,
un médaillon avec une pierre bleue,
trouve le, elle en aura besoin si c'est eux!


Son sang ne fit qu'un tour, il se allait partir précipitamment quand le regard de l'homme se fit plus insistant.

Je ne serai peut-être plus utile en trouvant ce médaillon, se dit-il.

Il commença à chercher activement ce médaillon, retournant les tiroirs, fouillant le moindre recoin.
Il entendit l'homme partir et murmura une prière. Une violente poussée d'adrénaline le fit entré dans une rage non contenue, il retourna toute la maison avant de trouver...un coffret dans un trou dans le mur.
Il l'ouvrit et fut surpris par la beauté du médaillon...la pierre bleue scintillait de milles feux et répandait une légère lumière dans la pièce.


Je l'ai....je dois aller la trouver. Je dois aider cet homme, si ils sont plusieurs, il n'y arrivera probablement pas seul.

Il fonça hors de la maison, le médaillon dans la main. Il entra dans les thermes...

Thermes: piscine centrale.

Yama chercha du regard, il vit trois ombres se battre, puis une autre près d'une ombre inanimée dont il connaissait les formes sur le bout des doigts. Il fonça vers ces deux ombres, il s'arrêta lorsqu'il vît tout ce sang s'échapper de la tête de Latika. Il reconnut Hamnel qui semblait désemparée.

Je...

Il s'agnouilla près du corps de Latika, et passa machinalement sa main dans ses cheveux, il sentait son sang coulait abondamment.

Il regarda en direction d'Hamnel...


Hamnel, il faut...que tu t'en aille c'est bien trop dangereux. Je te suis reconnaissant de l'avoir aidé mais la connaissant elle n'aimerait pas que tu risque ta vie pour elle.


Il se tourna alors vers les hommes en train de se battre et hurla à plein poumon.


DERVAL!!! QUE DOIS JE FAIRE AVEC LE MÉDAILLON?

Il montra le médaillon, diffusant une lumière bleutée dans toute la piscine. Mais les hommes continuaient à se battre sans faire attention à lui. Il retourna alors près de Latika, Hamnel étant toujours là, il la regarda dans les yeux et la supplia de partir.
Il mit le médaillon devant les yeux clos de Latika en espérant que sa aurait de l'effet.


Latika, que dois-je faire avec ce médaillon? Réveille toi, je t'en prie....

Des larmes coulèrent le long de ses joues, il jura de la sauver quoiqu'il arrive.
Hamnel
Voyant Yamakun arrivée près de Latika Hamnel, se leva et écoutant se dernier, sans rien dire elle quitta les lieux. Courrant presque la peur au ventre.

Elle n'était pas de taille pour se battre.
--Freloon


Il allait la tuer,
il le sentait, il sentait la vie s'échapper d'elle, il en jubilait,
la sentant sans force, il remonta à la surface reprendre de l'air,
et de peur qu'elle ne se débatte, replongea sous l'eau.

Et c'est là que tout dérapa,
un homme se jeta à l'eau et lui fit lacher prise, il vit sa proie s'eloigner de lui, il voulu se jetter sur l'autre homme et le tuer rapidement, pour revenir à Latika, c'est là qu'un autre homme arriva dans l'eau, et se jetta sur eux tout d'abord et sur lui finalement,
le premier se rapprocha de Latika,
il se retourna alors vers le premier et s'empara de sa gorge,
celui ci fit de même,
c'est alors qu'une autre forme plongea dans l'eau et fit sortir Latika de son champs de vision, tandis que l'autre homme revenait difficilement, mais revenait à la charge.

Tout tourner à sa défaveur et il rugit de rage, dans un élan de colère,
il reussit à atteindre la surface, il bouillonait de frustration,
et il prit le sifflet autour de son cou, un simple petit sifflet mais à ultrason, et il savait qui répondrait à ce sifflet.

Il n'aimait pas faire appel à eux, ces hommes ou plutôt ces créatures, s'ils avaient été des hommes, cela fesait bien longtemps que tout trace d'âme les avait déserté, ils ressemblaient à des bêtes plus qu'à des hommes, son maitre les élevait ainsi, comme des animaux sauvages.

Il hésita une seconde, il n'aimait pas les appeler car il ne les controlait pas vraiment,
mais il n'avait pasle choix, il porta le sifflet à sa bouche et souffla avec force, avant d'être agrippé à nouveau par le deuxième homme et de devoir se reconcentrer sur celui ci, et l'autre qui ne devait pas être loin.
Latika
Elle se sentit libérer de ses mains,
cela baissa sa concentration,
elle se sentit flotter seule dans l'eau,
puis des mains qui l'entourent, un bras qui l'emporte,
le contact de l'air, ses narines qui s'ouvrent et aspirent enfin l'air,
et puis une voix, une vois cristalline juste à côté d'elle,

Une voix qu'elle reconnait, Hamnel, mais que fait elle là,
non elle, ils vont lui faire du mal, elle est trop fragile, elle ne veux pas, elle se débat, mais son corps ne répond plus,
elle entend alors une autre voix, Yama, il dit à Hamnel de partir, il a raison c'est bien trop dangereux,
elle l'entend se lever et partir, ça vaut mieux.

Elle entend alors Yama appeler Derval, il est là forcement,
elle l'entends suite parler du medaillon,
le medaillon, il l'a trouvé, il l'a...

Elle le sent l'approcher d'elle, se concentrer, se focaliser sur son corps,
controler son corps,
elle a appris à le faire, depuis qu'elle est toute petite, une arme puissant c'est qu'elle devait être, elle se concentre, entrevoit la lumiere bleue, il reveille un vieil instinct en elle,
elle a peur, peur de le reveiller, peur de ne pas le controler, peur de ne plus se controler, peur de leur faire peur à eux, à ses amis,
peur de leur faire mal dans sa rage,
un combat commence au plus profond d'elle même...

C'est là qu'elle entend le sifflet, il fait hurler les vivants, mais surtout ils les appelent eux... les gressiurs... les monstres de son père comme elle les appelait,
il n'est pas venu seul, bien sûr que non, comme elle a été naive,
le choix est alors fait dans son esprit, elle ne sais combien ils sont, mais elle ne pourra les combattre que si elle redevient elle... enfin l'autre partie d'elle.

Elle se reconcentre alors, et dans un geste violent elle attrappe le medaillon de la main de Yama, et le serre contre elle...

_________________

--Gressiurs



[forêt]

Ils attendaient depuis longtemps,
ils n'avaient qu'une envie tuer, se battre, bouger dans tous les cas,
l'immobilité les rendait irrascibles,
ils s'étaient déjà attaqués à tous les animaux qu'ils pouvaient trouver autour d'eux,
la forêt était calme tout autour d'eux, ils commençaient à se battre entre eux,
quand ils entendirent le sifflet.

Ils poussèrent des grognements de joie, puis se bousculant ils courrurent jusqu'au terme, la bave aux levres, les dents sortis, les couteaux dans les mains.

Ils ne croiserent personne, et heureusement pour ceux ci,
ils ne se seraient arrêtés, étant attendus, mais ils leur aurait fait plus que peur.
Ils avaient été des hommes, mais voilà bien longtemps,
ils avaient été emprisonnés, battus, torturés, dréssés enfin.
Leurs visages étaient sillonnés de coutures et de cicatrices, celles ci se refermant en gonflant, leur deformant les traits.


[thermes]

Ils arriverent aux thermes et là ils virent une jeune fille en sortir en courant, ils grognerent et elle s'arreta de stupeur et d'horreur devant leurs traits,
deux d'entre eux passèrent à ses côtés en rentrant dans la batisse, et courrurent vers la grande salle, découvrant la scène,
ils poussèrent un hurlement à faire se glacer le sang, pour signaler leur arrivée.

Pendant ce temps le troisième resté à la porte, bloqua la jeune fille dans contre le mur et montra les crocs ;
puis il l'attrappa, celle ci se débattait bien malgrè sa petite taille, il lui enserra les bras, et la portant à bout de bras, s'appreta à l'emmener dans les thermes.
Hamnel
Malheureusement, elle n'eut pas le temps de se rendre bien loin. A la vision qui s'offrit à elle, elle hurla avant de s'étouffer par la peur et de regarder passer deux horribles créatures, ressemblant a des hommes mais dont l'horreur de leur physionomie les rendaient plus betes qu'humain.

Pas le temps de soupirer de soulagement par le fait que les deux ne se préoccupèrent pas d'elle que déjà le troisieme l'accola au mur de pierre sans aucune chance de fuir.

Dans sa témérité inutile, elle se débattit eb hurlant de la laisser partir. Tentant en meme temps de donner des coups de pieds, mais en vain. Elle retint alors ses cris effrayée par la peur qui lui faisait tourner la tete.

Elle n'était pas pourtant au bout de ses peines. Cette horrible créature lui serra les bras au point presque de lui broyer les os. Qu'elle cru s'évanouir le temps d'une seconde. Peut etre cela aurait il était la meilleure issue, cependant, tel ne fut pas le cas et brutalement elle fut entrainer malgré elle aux portes des Thermes.
--Derval


L'homme lui décocha un grand coup,
alors qu'il semblait regarder l'endroit d'où la fine forme qui avait plongé, avait tiré Latika, mais qui était-ce?

Il reprit ses esprits, sortit de l'eau un instant, reprendre son souffle,
il entrevut Latika et Yama penché sur elle, elle tenait quelquechose dans ses mains,
le médaillon ... il sourit...

C'est à ce moment qu'il entendit un son à lui vriller les tympans.
Il comprit instantanement ce qui se passait, l'ordure appelait ses monstres,
ils ne tarderaient pas, son sang se glaça, il les avait combattu et avant, et ses hommes n'éprouvaient rien ni physiquement, mais pire encore ni moralement.

Il attrappa l'homme et avec une force incroyable l'entraina au fond de l'eau, sa tête heurta le fond de la piscine et il sembla évanoui,
il le laissa là, et aidant l'autre homme qui semblait peu à l'aise dans l'eau, ils arriverent sur les marches de la piscine et reprirent pieds.

C'est là que les monstres entrerent, leur vue le fit frémir, il ne se rappelait que trop bien ses êtres sans nom,
il regarda l'autre homme.


J'espere que tu sais te battre, parce que ceux là sont pires que tout!

Puis il hurla à Yama, sachant exactement ce qui devait se passer dans la tête de Latika :
Aides la à se concentrer Yama, parle lui, dis lui qu'on a besoin d'elle, dis lui de ne pas avoir peur! Dis lui qu'elle sera parfaite et qu'elle ne nous fera pas de mal! Dis lui qu'on a besoin d'elle là!

C'est là qu'il reçut le premier coup, avec une telle intensité qu'il eut le souffle coupé, un des monstres s'était jetté sur lui, lui envoyant sa tête en plein dans les côtes.
--Tysha
Une fois de plus elle était partit comme une fléche et sa maitresse arriverait avec un peu de retard. Comme d'hab.

[entrée]

Tysha ne chercha même pas à comprendre, une homme brutalisait une femme. Il n'en fallait pas plus. Elle se jeta sur l'homme et lui planta ses crocs dans le mollet.
Yamakun
Heureux de la voir bouger mais inquiet de la violence dont elle venait de faire preuve, Yama ne faisait plus attention à se qui se passait autour de lui, ni l'horrible sifflement, ni le cri terrifiant n'arrivait à le sortir de ses pensées.
Son regard était fixé sur Latika puis soudain, une voix le ramena à lui.


Aides la à se concentrer Yama, parle lui, dis lui qu'on a besoin d'elle, dis lui de ne pas avoir peur! Dis lui qu'elle sera parfaite et qu'elle ne nous fera pas de mal! Dis lui qu'on a besoin d'elle là!

Il ne put s'empêcher d'obéir. Il prit Latika dans ses bras et lui murmura:

Mon amour, on va avoir besoin de ton aide, on ne peut rien sans toi. Tu ne dois rien craindre, tu es une femme merveilleuse et tout se que tu fais est toujours parfait.
Ne t'inquiète pas pour nous, tu ne nous fera aucun mal, mais si tu veux qu'il ne nous arrive rien, il va falloir que tu nous aide maintenant.


Il la sentait bouillir, il recula, la regarda et pour l'encourager l'embrassa tendrement.
Ses lèvres étaient bouillantes mais Yama ne les quitta pas.

Il faut que je réussisse au moins sa...


Soudain, il entendit un grognement et un bruit de choc. Il se tourna et vit Derval plié en deux. Il prit Latika par les épaules et la regardant droit dans les yeux...lui dit une ultime phrase..


Aide nous...pour l'amour que je te porte.
Latika
Elle était entré au plus profond d'elle même,
s'était rappelé son enfance, elle avait besoin de toute cette haine pour combattre, elle se rappella les scenes.


Je te bats... pour que tu sois plus forte...
Tu as ça en toi ma fille...
Tu vas devenir une arme pour moi...

Mais elle n'a que quatre ans chef...
La ferme... je sais ce que je fais...
J'ai fais de sa mère une femme presque sirène, grâce à mes méthodes...
Je peux faire ce que je veux d'un être humain...


Père, je ne peux pas... ils sont trop rapides
Paaaf
Si tu redis ça, ça sera pire,
Ce sont des biches Maria, ils ne sont pas plus rapides que toi...
Et rappelle toi si tu ne vas pas assez vite, si tu ne les attrappes pas, tu ne mangeras pas!


Mais père c'est un ours, il est trop gros... il va me tuer...
Il te tuera si tu es faible... et dans ce cas, tant pis pour toi...

S'il vous plaît j'ai faim... j'ai tellement faim...
Alors va chasser ma fille...
Mais je n'aime pas ça, chasser juste avec mes mains...
Paaaaaaf

Fermes les yeux.... maintenant ils vont t'attaquer et tu dois savoir quand ils arrivent
Paaaaaaf
Aiiiiiie!!!! Mais père je ne les vois pas, comment savoir où ils sont?
Concentre toi! Tout est question de concentration!

Aiiiiiiiiiiiie! Mais père... pourquoi...
La ferme Maria, ce n'est rien qu'une petite blessure, maintenant concentres toi... concentre toi sur tes battements de coeur...
Ralentis les... Arretes les... Et tu arreteras de saigner!

Une petite blessure, vous m'avez entaillé sur toute la longueur du bras, et si j'arrete mon coeur je vais mourrir...
Paaaaaf
Alors c'est que tu seras faible...


Pourquoi ça père, pourquoi me faire si mal...
Paaaaaf
Parce que c'est comme ça, tu es née pour ça, ta mère était ... spéciale,
et je fais tout pour l'être aussi! Et entre la nourriture et mon éducation, tu vas devenir un soldat d'élite...

Et si je ne veux pas!
Alors je te tuerais, je tuerais tout ceux que tu aimes, tu sais que je le ferais n'est ce pas!

C'est à cause de mes yeux, c'est ça?
Quand je les ai vu la première fois, Maria, j'ai su que je ne te tuerais pas comme je le pensais... ils sont le signe... je ne sais d'où ils te viennent ces yeux... mais alors que tu venais de naitre, rien qu'avec ton regard... tu m'as empeche de te tuer...
Ils ressemblent à ceux des grands fauves, c'est pourquoi tu dois devenir comme eux...
Tu pourrais obliger n'importe qui à faire n'importe quoi... avec ce regard, il faut que tu le travailles...

Ca veut dire quoi c'est le signe?
Tu es fais pour faire le mal Maria, pour tuer comme je te l'ai enseigné, pour te battre, tu feras ma fortune, tu es le mal Maria...
Noooooooooon je refuse!

Regardez moi Maria, mais qu'avez vous fait?
Mes yeux... j'ai essayé de les arracher... je n'ai pas réussi...
Oh mon dieu ma pauvre enfant!
Mais vous ne comprenez pas, ils sont ce que vous êtes Maria
Ils sont ce qui fait que vous pouvez vous battre contre votre père...
Vous êtes la seule à pouvoir nous aider Maria...


Lâchez les... c'est un ordre...
Ah ma tête qu'est ce qu'elle fait à ma tête!
C'est purement scientifique, il suffit juste de la concentration, c'est ce que votre cher maitre m'a appris... c'est drôle non?
Pitié, on les relachera ... mais arretez ça... baissez vos yeux... pitié

Tu vois Maria... ils...ils sont ta force..., à chaque fois que tu douteras de ta force, tu regarderas ça...
Non ne me laissez pas, vous êtes celle qui m'a fait oser fuir, vous m'avez sauvé, s'il vous plait...
Je vais mourrir, alors prenez ce medaillon, il appartenait à votre mère... et rappelez vous qui vous pouvez être...

Elle serra la medaillon contre sa poitrine, et reprit conscience, garda pourtant les yeux fermés, sentant la force la parcourrir,
elle se concentra et repera aux bruits l'emplacement de chacun, la presence de chacun, leurs mouvements...

Elle entendit Yama lui parler et sa dernière phrase sonna comme un coup dans son coeur, elle ouvrit les yeux.
Elle préféra ne pas regarder Yama, de peur de l'effrayer,
ses yeux or semblaient bruler d'un feu ardent, ils étaient durs et cruels,
elle passa le médaillon à son cou, sa machoire contractée, elle poussa un grognement presque animal, où regnait la haine et la colère...

D'un bond elle se releva, et pliant ses genoux, en position d'attaque, elle regarda la scène qui se trouvait devant ses yeux...

_________________

--Gressiurs



Le troisième avait attrappée la jeune fille dans ses bras,
elle se débattait, hurlant, il poussa un cri sauvage à deux centimetres de son visage, devoilant ses horribles dents ravagées et comme taillée en pointe pour mieux déchiqueter la viande crue, dont il était friand.
Son visage n'avait plus grand chose d'humain, les fractures et les blessures à répétition qui cicatrisait de façon purulente lui donnait l'air d'une bête.

Il la souleva comme si elle avait été une simple poupée de chiffon, il la placa sur son épaule.
Un animal lui attrappa la jambe et apres un grognement, il lui décocha un grand coup de pied qui le fit valser à plusieurs mètres.

Puis il entra dans les thermes à la suite des autres, et referma la porte pour empecher la petite bete poilue de revenir,
il arriva dans la salle et poussant un cri il brandit la jeune fille au dessus de sa tête.

Le premier qui semblait être le chef et dont le visage était peinturluré de formes étranges, s'était jetté sur l'homme dans l'eau qui parlait,
il le fit couler au fond de l'eau, et de sa main droite il aggrippa l'autre jeune homme qui stationnait sur les marches et les emmena tous les deux dans l'eau, il planta ses dents dans le bras du premier et serra ses ongles sur le bras de l'autre.

Quand au troisième il avait vu la jeune femme se levée, il l'avait vu prendre une position de combat,
quand son compagnon arriva brandissant une jeune femme, il se dit que lui aussi il brandirait bien un petit bout de chai fraiche au bout des bras,
il se jetta sur la jeune femme et l'homme qui l'accompagnait.
Il courrut presque à quatre pattes et se jetta sur la jeune fille qui sautant en l'air bien plus haut qu'il ne l'aurait prévu l'évita, il finit donc sa course, sur l'homme à ses côtés,
lui enfoncant ses dents dans le mollet, il le plaqua au sol et attrappa son bras commença à le tordre dans l'autre sens.
Yamakun
Yama n'avait pas fait attention au premier monstre qui s'était jeté sur Judas et Derval, il était inquiet pour Latika, elle murmurait des choses incompréhensible puis il entendit un cri de bête sauvage, il se tourna et vit cette "chose" tenant une jeune femme au-dessus de sa.

Oh non...pourquoi lui ai-je demandé de partir...?


Soudain, son attention revint vers Latika qui d'un bond c'était relevé et adopter une posture de prédateur.
Il voulu lui parler mais...il était bien trop soucieux de voir la bête courir vers Latika. Soudain, il l'a vit sauter dans les airs...la fixant du regard.
Il ne reprit ses esprits que lorsqu'il sentit une vive douleur dans son mollet puis sans qu'il puisse bouger, il se fit plaquer au sol et sentit que quelqu'un ou quelque chose lui tordait le bras.
Il retient un cri...la douleur était tellement grande...il en avait le souffle coupé.


Comment...vais-je...faire pour....
*longue pause*....me sortir de là?!

Il avait l'esprit vague, les idées ne circulaient plus...il ne pouvait plus bouger, ses membres étaient engourdis par la peur...il avait envi de s'enfuir mais son corps refusait.
Soudain, la bête tordit son bras encore plus fort, lui arrachant un cri de douleur qui résonna dans toute la pièce.
Il sentait son bras sur le point de céder...la douleur était si vive qu'il sentait son esprit prêt à s'éteindre, soudain...une image traversa son esprit...le visage de la femme qu'il aimait...


....Lati...ka....

Une violente montée d'adrénaline lui fit oublier tout se qui l'entourait, la douleur, cette bête difforme. Il voulait survivre...il lui avait promis qu'il ne lui arriverait rien.
Il sentit son sang parcourir tout son corps, réveillant son mollet endolori...sa main qui jusque là manquait de sang à cause de la pression qu'exerçait le monstre sur son bras.
Il tenta de se relever mais le monstre l'écrasa au sol.

*bruit étouffé* Tu...ne m'aura pas...je ne vais pas me laisser faire...

Il réessaya de se relever mais la bête força sur son bras, cette fois ci c'était trop, il retomba durement par terre...la bête lâcha son bras, lui mit un coup de pied dans les cotes pour qu'il soit allonger sur le dos, puis approcha son visage du sien.
Yama tressaillit en sentant l'haleine de la bête, sa puait la chair en décomposition. D'un mouvement brusque, il ouvrit les yeux et planta ses deux doigts dans les yeux du monstre, qui poussa un cri déchirant, laissant ainsi la chance à Yama de reculer pour se préparer à affronter ce démon.
Hamnel
Si enfant elle avait connu la brutalité humaine, Hamnel du faire un immense effort pour ne pas se laisser aller a la panique quand cette bete lui cria au visage dégageant une haleine fétide qui la répugna.

Rien dans ce regard ne donnait la possibilité infime de croire qu'elle pourrait l'amadouer. Et comme de fait, tout aussi brutalement il la mit sur son épaule, après avoir balancé le pauvre chien qui avait tenté de la sauver, allant s'écraser horriblement quelques metres plus loin dans une plainte qui démontrait qu'il était blessé.

Hamnel ne pouvait rien faire. Il la tenait si fermement qu'elle sentait ses griffes dans sa chair qui semblait se déchirer par la force de la bete.

Elle aurait aimé etre forte et de ne pas pleurer, mais la peur qui la prit fut elle qu'au moment où il la brandit au dessus de sa tete, elle pleurait et tremblait dans la crainte affreuse qu'il la lance comme une peau de chevre. Sans égard aucune pour l'etre vivant qu'elle était.

Ainsi, vit-elle un Latika bien étrange. Son regard d'or brulant de mille feux. Ses gestes devenus.... presqu'animal.... qu'elle se dit qu'elle était devenue une proie aux coeurs de pierres qui l'entourait, mettant la jeune femme dans ce lot.

Ses yeux se fermèrent pour quelques secondes et ainsi entendit elle les bruits qui l'entourait. Les cris des vrais hommes sous les griffes de ces betes féroces. L'eau qui remuait fortement. Des voix qu'elle ne parvenait pas à saisir les mots.

En vérité elle était si terrorisée qu'elle espérait tout simplement que sa mort soit instantané et non morbide pour subir des tortures interminables.

Pour la première fois, elle pria Aristote. Pensa a son papa Rasta qui ne supporterait pas de la perdre.

Ces griffes monstrueuses qui laccéraient sa peau la fit gémir de douleur. Ravivant le plaisir de la bete.

Tout ça, parce qu'elle avait voulu sauver.....une bete tout aussi cruelle.
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