[RP] Les bains, thermes et massages de Mortagne

--666

666 etait plus remonté que jamais. Si Tysha etaient partit si vite, c'est qu'elle avait sentit une demoiselle en danger.

[entrée]

Les portes exterieur etaient ouvertes, mais celles qui donnaient sur la piscine centrale etaient fermées. 666 vit sa panthere, boitant d'une patte, se raprochée d'elle. Elle enleva le masque qui lui dissimulait le visage, rognant l'une des régles qu'elle s'était elle même imposé. Marre d'etre gentille, la ça allait saigner. Faire du mal à sa panthere la faisait sortir de ses gonds. C'est se qui arriva au portes lorsqu'elle mis un magistral coup de pied dedans. Son épée a la main, qu'elle serait si fort qu'elle aurait pu la déformé, elle se jeta sur le truc vaguement humain qui cherchait a faire du mal a Hamnel.

Latika

Elle vit le gressiur foncer sur elle, et dans un saut appliqué elle l'esquiva,
mais celui ci se rabattit sur Yama,
alors qu'elle fut un instant déroutée par l'arrivée d'un autre qui poussa un cri soulevant au dessus de sa tête une forme humaine, elle pencha la tête et decouvrit avec horreur que c'était Hamnel, qui la regardait avec horreur,
elle l'avait cru partie, elle l'avait crue sauvée, elle grogna, et entendit alors Yama gémir derrière elle, elle se retourna au moment où celui ci lui planter ses doigts dans les yeux.

Elle ne savait où frapper la première et aller choisir de sauver Hamnel qui était le plus en danger, quand une femme arrivant de l'extérieur sauta sur le gressiur qui la retenait.

Bien son choix fut vite fait, cela détournerait la créature un instant de la pauvre Hamnel,
elle sauta alors sur le dos du gressiur qui se trouvait sur Yama,
et lui attrappa la tête entre ses deux bras commença à la tourner, sentant les os de son cou craquer sous ses mains.

Yama sors de la dessous... arriva t elle à glisser dans un souffle entrecoupé de feulements.
Elle entendit les os craquer et elle lacha l'homme qui tomba inanimée au sol.

Elle s'approcha alors de l'autre qui tenait toujours Hamnel sous un bras, elle s'approche et grogna, le fixant, elle avait peur qu'il lâche Hamnel, qu'il la jette.

Lâche là! Laisse la par terre et doucement! Si tu lui fais le moindre mal, je m'occuperais personnelement de toi, et je peux t'assurer que tu me prieras de te tuer... Lâches la!

Elle le regarda droit dans les yeux, grognant...
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Hamnel

C'était comme dans une danse, dans laquelle on ne veut pas danser mais qu'il faut le faire sinon la chutte serait éminente et fatale. Hamnel tentait donc de suivre le rythme, de ne pas tenter de fuir. Pas dans cette position.

Soudain la bete qui la tenait gémit fortement, sous un coup porté par quelqu'un surement. Elle ne voyait pas ce qui se passait, Elle était trop élevée pour oser regarder. D'ailleurs il fallait qu'absolument qu'elle garde sa concentration. Un moment d'innatention et la mort l'attendait. A moins d'etre jeter dans le bassin. L'eau peut etre ralentirait elle la vitesse de la chute.

Elle ferma les yeux pour entendre une voix qui parlait à son monstre. Car il cria tel un animal en colère quand une jeune femme l'intima de la déposée. Elle reconnue lentement la voix de Latika. Grognant dans ses mots. Au moins savait-elle maintenant qu'elle ne faisait pas partie de ses monstres sanguinaires. Se qui au moins elle n'emporterait pas dans la mort si cette bete la fracassait brutalement en la lançant elle ne savait trop où. Devinant qu'il n'avait rien à n'en faire d'elle malgré la menace.

Il s'était tout de meme arreter de la secouer. Ce qui lui permit de respirer un peu. Son coeur battant toujours follement.

Mais est-ce que cette histoire n'était qu'un cauchemar ? Qu'elle se réveillerait à quelque part pour s'apercevoir qu'elle avait eut peur d'un rêve horrible ?

Dans ce moment stationnaire au dessus de cette tete, elle osa bouger lentement une main pour voir si cette bestiole avait des cheveux. Une vive déception la désola. Il était chauve. Ciel qu'elle lui aurait tirer la crinière si au bout de ses doigts une chevelure avait été à sa merci. Qu'une larme de dépit s'écoula de ses yeux qui avaient cessés de pleurer pour se concentrer.

Elle avait tellement peur.

.judas.

Lorsqu'il fut sorti de l'eau la premiere fois, ses poumons étaient déjà bien remplies d'eau. La vie était encore en lui, et il revisionnait les evenements tout juste passés comme des souvenirs lointain.... Un autre homme dans l'eau, venu l'aider...il avait pu lacher prise....puis Latika, innerte...et Hamnel...pourquoi Hamnel? qu'aurait-elle fait là? Il devait délirer....

Puis enfin une main secourable. Un répis de sourte durée. Une prise violente et l'eau à nouveau, qui venait finir ce qu'elle avait commencé.

Pour lui, la troisième noyade était la bonne.
Il ne paniquait pas, il l'avait sentie au moment de plonger.
Son corps, pantin abandonné aux mouvements de l'eau, coulait lentement alors qu'au contraire, son esprit se liberait de toutes contrainte physiques....

Il mourrait comme il avait vécu...à la légère...

(ps: merci aux monstres et autres panthères de ne pas MANGER mon corps...un peux de repect merrde

)
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Ayez confiance...

--Derval

Il avait à peine eu le temps de reprendre sa respiration que le gressiur l'avait plongé au fond de l'eau, emmenant l'autre homme qui l'avait aidé tout au début.

Il sentit la morsure de ses dents et poussant un cri, il avala de l'eau et sentit ses poumons se gonfler, la douleur failli lui faire tourner de l'oeil.
Dans une poussée d'adrenaline, que connaisse certaines personnes quand la mort est toute proche mais qu'il la refuse...

Il se détacha des dents du monstre, laissant au passage un bout de chair dans sa bouche, le sang qui jaillit lui donna envie de vomir,
il arriva à attrapper le bord de la piscine et commença à se hisser sur le bord, crachant l'eau de ses poumons, essayant de ne pas penser à sa jambe.

Le gressiur lui retint la jambe dans l'eau et le refit plonger, il lui decocha un coup de pied dans la machoire, et se retourna un instant, il vit l'autre homme qui dérivait dans l'eau, la vie semblant s'échapper de lui...

Dans un élan, il remonta sur le bord de la piscine et arriva à s'extirper de la piscine, il reprit quelques instants son souffle, et chercha Latika des yeux.

Il vit de l'autre côté, Yama qui se trouvait non loin d'un gressiur à terre,
il regarda l'eau, l'homme du début, celui du tatouage, avait disparu... mais où était il, il ne l'avait pas vu disparaitre, pensant trop à sa survie.

Il vit alors l'autre homme flotter à la dérive, non loin du gressiur qui semblait vouloir s'interesser à lui, il était trop faible pour retourner dans l'eau.

Il se releva et courrut vers le devant la piscine, il y vit Latika, ... comme transformée, il l'avait déjà vu avant comme ça, quand elle avait tuée son père, mais il ne s'empechait de la regarder avec un melange de crainte et d'admiration dans ses moments, elle était une toute autre femme.

Le gressiur face à elle fit une sorte de rictus, et tandis que derrière celui ci, un femme sembla l'assaillir, et Latika prete à l'attaquer,
le gressiur grogna quelquechose et lança ce qu'il avait dans ses mains vers lui.
Il comprit rapidement que c'était quelqu'un et il se jetta en avant, rattrapant la forme, et tomba à la renverse avec, il amortit sa chute, et sa tête cogna contre le mur, tandis que celle de la jeune femme rebondissait sur son torse.

Ca... ca va? vous allez bien?
Il se rappella alors l'homme dans l'eau...
Lati! Il se noie, dans l'eau! Et le gressiur va le tuer! Saute!

Latika

Latika était prête à attaquer,
mais alors que l'autre femme derrière le gressiur se precipita sur lui,
il grogna quelquechose et jetta Hamnel en avant,
elle poussa un cri et se retourna, vit Derval qui la rattrapait et ils glisserent tous les deux, percutant avec une certaine vitesse le mur.

Elle allait courrir vers eux, jettant un regard à Yama, qui se trouvait toujours prêt du corps du deuxieme gressiur, qui semblait toujours inerte, depuis qu'elle lui avait brisée quelques os, dans la nuque.

Mais Derval lui hurla :
Lati! Il se noie, dans l'eau! Et le gressiur va le tuer! Saute!

Elle s'arreta et suivant le doigt du regard, elle vit Judas, qui semblait couler, le gressiur se rapprochant dangereusement de lui.
Elle regarda un instant plus loin, et ne vit pas l'homme au tatouage,
où était-il?
Elle vit une silhouette au fond par la porte entrouverte de la salle de massage, elle se concentra sur sa vue et elle le vit, il semblait avoir pris du parchemin et de quoi écrire,
son esprit ne mit pas longtemps à comprendre,
elle se retourna en direction de Yama et hurla :

Yama! L'homme là bas dans la salle de massage, il écrit quelquechose, il doit prévenir les autres, rattrappes le!!!!
Elle poussa un grognement, luttant contre sa propre envie d'y aller elle-même, ils avaient peut etre une chance, s'ils tuaient tous ceux présents, s'il écrivait là maintenant c'est qu'il ne les avait pas prévenu avant, surement pas du moins, ils avaient peut etre une chance...

Elle voulut y aller quand même et s'assurer de cette chance mais c'est là qu'elle vit Judas à nouveau qui semblait couler plus profondement,
tandis que le premier gressiur s'approchait dangereusement de lui.

Elle plongea dans la piscine et fendant l'eau elle arriva à la hauteur du monstre, pas le temps de s'en occcuper vraiment, elle le coutourna et se retournant brusquement, elle le fixa du regard, ses yeux or ouvert dans l'eau brillaient, le gressiur paru surpris et elle en profita pour lui décocher un grand coup de ses deux jambes, il sembla étourdi et surtout il fut expulsé plus loin dans la piscine, il aurait pu l'être plus, mais l'eau ralentissait les mouvements.

Elle se retourna vers Judas et posa sa main sur son torse, elle sentait le sang battre encore dans ses veines mais faiblement.
Elle le prit sous un bras, le collant contre son torse, elle remonta à la surface, quand sa bouche trouva l'air libre elle aspira un grand coup, et agrippa le bord de la piscine, elle remonta non sans peine Judas sur le rebord de la piscine, non loin du gressiur inanimé.
Elle se hissa à ses côtés et lui souleva la tête.

Sa haine désemplit quelque peu laissant place à l'inquiétude.
Judas! Judas! Reviens! Reviens nous... T'as pas le droit de partir comme ça... T'as pas le droit de mourrir... Pas à cause de moi en plus...
Judas!

Elle reposa delicatement sa tête au sol, et se rappela ce qu'un docteur lui avait montré, elle placa ses mains entre ses pectoraux, et commença à appuyer dessus en rythme.
Elle posa ses lèvres sur les siennes et souffla dedans,
elle le sentit se convulser, elle le tourna sur le côté et celui ci cracha violement beaucoup d'eau. Elle lui tapa dans le dos.
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Hamnel

Comment se sent-on quand on survole l'air sans rien pour se retenir tel un singe dans un arbre? Effrayée comme jamais!

Hamnel se vit projeter dans le vide sans rien pour se retrapper. Elle voyait le sol se rapprocher près de la piscine sans trop savoir sur quoi elle allait tomber. L'eau, le plancher ou.... sur l'homme qui.....lui tendait les bras.

Dans d'autres circonstances elle aurait largement sourit a un tel geste de la gente masculine, mais là, tout ce qui lui monta à l'esprit fut de l'inquiète mêlé d'espoir. Allait-il vraiment l'attraper? Meme si elle ne le connaissait pas, elle parvint dans cette chute libre ou l'air sfflait dans ses oreilles à tenter d'éviter du moins, le rebord de la piscine et orienter sa plonge vers l'homme.

La collision fut violente. Moins que le sol entier comme réceptable, mais brutale quand meme et vint un arrêt tout aussi brusque. Où sa tete rebondit sur le torse de l'homme qui lui avait reçu un coup elle en était certaine.

Pendant ce temps elle avait pu apercevoir Latika hésiter en les regardant et tout autant la piscine. Jusqu'au moment où l'homme, son sauveur l'attrapa. Là elle ne vit rien mais entendit un corps se jeter a l'eau suite aux paroles que proférait l'homme à l'intention de Latika.

Lati! Il se noie, dans l'eau! Et le gressiur va le tuer! Saute!

A cet instant ses esprits reprirent leurs places. Elle se leva d'un geste assez brusque qu'elle chancela....Qui allait se noyer? pensa-t-elle au meme instant en voyant Latika surgir de l'eau avec...... JUDAS qui semblait inanimé.

Mon DIEU! s'écria-t-elle d'une faible voix, la peur si encrer en elle qu'elle en avait perdu la voix. Ses yeux sur eux, Hamnel vit la jeune femme pousser sur le torse de ce dernier avant de lui..... donner un étrange baiser qui lui fit sortir l'eau qu'il avait dans les poumons.Voyant tout autant la meme frayeur chez Latika dans les paroles qu'elle prenonçait à Judas.

Respire pensa-t-elle alors. RESPIRE Judas! Respire!!!! Ne nous fais pas ça. Ne me fais pas ça!

Elle aurait dû courir a toutes jambes vers lui, se jeter sur lui, lui donner des coups de poings pour qu'il respire. Mais elle en avait pas le droit. Qu'elle resta là à le fixer dans l'espoir qu'il reprenne vie. Tout en jetant des regards a la dérobée a Latika la remerciant intérieurement de l'avoir sorti de l'eau et surtout de tenter de les sauver tous.

Fraxie

Au même instant quartier du Lys…Fraxie rêvait....
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L'important est dans ton regard et non dans la chose regardée...

--Mysterio

mysterio etait la il avait tous vu il regarder la scène impuissant et dans la minute suivante il avait disparu....

Fabiau

fabiau entra au thermes en claquant la porte , et il vu trois monstre
il s'approchait d'un et il lui dit : EH casanova !!! Et une seconde plus tard il se prit un beau coup de poing ...il se releva et en poussant un au hasard il tombai
puis il sortit en courant ...il revint avec une bouteille d'alcool tres fort .
Il sautait sur un monstre et lui vidait l'alcool sur les yeux ... Puis il fut projeté
sur un mur et il restait la assommé ,hors combat...

--666

Sans bien comprendre se qu'il s'etait passer, le gressiur devant elle se retrouva avec de l'alcool dans les yeux et un hommes de plus se trouva hors combat.

Profitant des l'aveuglement de la créature, 666 le faucha de son épée au niveau du ventre. Ils sentait fort a l'origine, mais leurs sang puait encore bien plus. N'ecoutant que sa rage, elle s'acharna sur le corp de cette abomination de la nature. Le sang giclait abondament. Une odeur acre s'élevait du charnier qu'elle venait de créé.

Sa robe et ses plaques d'armures maculées de sang, son épée ruiselante, elle se redressa, prenant pour cible du regard une autre de ses abjectes créatures.

Latika

Latika regardait Judas, celui ci après avoir recraché de l'eau, ne reprenait toujours pas connaissance,
elle le regarda suppliante, puis levant les yeux tomba sur le regard de Hamnel, elles se regarderent, leurs esprits se liant dans la même pensée, elle lui fit signe de la tête de venir les rejoindre.

C'est à ce moment là qu'elle se rendit compte de ce qui se passait à l'entrée, l'arrivée d'un homme étrange, qui avait rejoint la jeune femme et son animal.
Elle grogna, elle n'aimait pas ça, trop de monde, aucune confiance en eux, qui étaient ils, que venaient ils faire ici... il était hors de question qu'ils restent, soit ils avaient tué un monstre, mais elle ne les laisserait pas rester.

Hamnel les rejoignit, elle déposa la tête inanimée dans ses bras, posa sa main sur le sien, mais sentant bien que elle lui fesait encore un peu peur, et se rendant bien compte de son apparence si différente de d'habitude, elle retira sa main de peur de la gêner et se retourna vers les autres individus,
elle s'approcha menaçante, et à nouveau en position d'attaque.

Allez vous en! Tous, toi et ton animal, et emmène l'autre là qui gît au sol.
Je vous conseille de partir, ce combat n'est pas le votre...
Laissez nous! PARTEZ!!!!!!!!!!!!!!

Elle hurla, sifflant entre ses dents, la jeune femme n'hésita pas et rappelant son animal, elle alla chercher le corps de l'homme qui avait versé de l'alcool sur les yeux, elle le mit sur sa panthère et ils partirent, refermant la porte des thermes afin que d'autres intrus ne viennent plus.

Elle se détendit un instant avant d'entendre un cri, elle se retourna et se rendit compte que Yama avait disparu, surement à la poursuite de l'homme au tatouage, et c'est là qu'elle vit le dernier gressiur en vie qui avait grimpé sur le bord de la piscine à l'attaque de Derval, encore étendu contre le mur. Elle sauta dans l'eau, traversa la piscine et attrappa la jambe du gressiur et le tira dans la piscine.
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Hamnel

Elle aurait su dire combien de temps que dura ce regard prenant qu'elles eurent toutes les deux. Suspendues entre avant et après, dans un présent qui s'éternisait, Hamnel fini par avancer, sans trop s'attarder sur Derval qui gémissait derrière. En fait, elle était hypnotisée par le regard de Latika. Ce regard d'or qui en imposait.

Elle se retrouva avec la tete de Judas entre les mains, prenant la place qu'avait Latika avant de la lui céder et de la voir rugir envers des inconnus qui venaient de rentrer dans les thermes. Certes, Hamnel ne les avait pas remarqué, cependant, les sens aiguisés de la jeune femme eux les avaient interceptés.

Sa main trembla quand elle la déposa sur la joue froide de Judas. Par la mort,? L'eau? Elle ne savait pas. Pourtant, la mort semblait très bien etre l'oeuvre de la frigidité du corps du jeune homme. Hamnel se mit a caresser les cheveux de Judas, n'entendant pas la colère de Latika. Loin de tout ça. Loin de cet horreur barbare.

Tu me manqueras pauvre idiot. T'etre laissé avoir ainsi.... oui, tu me manqueras... Elle déposa alors un tendre baiser sur chaque oeil.

D'un geste rageur elle essuya les deux larmes qui roulèrent sur ses joues. Qu'elle se leva plus brusquement que désiré en déposant quand meme la tete de son amant sur le sol avec délicatesse. Le regardant pour une dernière fois, elle se détourna. D'un peu elle se serait jetée dessus comme une perdue pour l'intimer d'ouvrir les yeux, de respirer, de..... de....

Son regard a cet instant tomba sur l'homme qui l'avait empeché de se faire atrocement mal en tombant et se secouant tant bien que mal elle alla le rejoindre pour lui venir en aide.

Lui! Il était vivant!. Pas qu'elle avait des intentions quelconque. Le moment n'étant vraiment le bon pour avoir des fantasmes.

Elle prit sa tete avec douceur pour regarder si il n'y avait pas de plaie et rassurer, elle le regarda,

Je vais vous aider a vous levez si vous le voulez.

Hamnel n'eut aucunement le temps d'ajouter ou de dire quoi que ce soit qu'une poigne de fer la prit par un bras et la serra très fort. Une autre main la tira par les cheveux et la traina de force pas loin de Latika qui semblait avoir réussis a vaincre une autre créature monstrueuse.

Regarde ce que j'ai là Latika! Tu aimerais que je lui tranche la gorge ? Un horrible sourire sadique flottait sur les lèvres du moribond.

Hamnel ne vit rien. Ne voyant pas Latika. Mais elle gémissait. Pleurant cette fois par la douleur trop intense par la force bestiale qu'avait l'homme de lui tirer les cheveux et de lui serrer le bras. Elle le sentait broyé sous ses doigts tant que la douleur l'irradiait entièrement.

En fait, elle n'était qu'une poupée géante sans ame pour cet homme qui toutefois semblait jouer sa dernière carte.

Yamakun

Yama! L'homme là bas dans la salle de massage, il écrit quelque chose, il doit prévenir les autres, rattrapes le!!!!

Yama regarda en direction de la salle et il vit cet homme...cet homme qui avait sur lui un dessin de Latika.
Son sang ne fit qu'un tour, il courra vers la salle de massage, puis s'arrêta près de la porte sans faire de bruit, l'homme continuait d'écrire...

Il ne m'a pas entendu arriver...tant mieux, sa mort n'en sera que plus courte.

Il se glissa dans la salle et s'approcha de Freloon, il avait envi de le tuer...mais il ne pouvait s'empêcher de penser qu'il devait avoir des informations cruciales.
Freloon avait arrêté d'écrire, Yama n'attendit pas qu'il se retourne. Il lui sauta dessus et le plaqua au sol.

Alors, tu t'attendais pas à me voir.

Il lui décocha une droite qui fit rebondir la tête de Freloon par terre.
Il continua à le frapper de toutes ses forces, il voulait le tuer...puis soudain il s'arrêta.
Freloon ne bronchait pas, il regardait Yama fixement, un léger sourire aux lèvres. Yama...prit de rage, se leva et prit une chaise et frappa Freloon au visage qui poussa un hurlement de douleur.

Ah bah, enfin tu hurles... j'aime beaucoup ton cri.

Freloon tenta de se lever. Yama attendit qu'il soit accroupi pour lui assener un deuxième coup qui projeta Freloon au sol, la tête la première. Le visage de Freloon était en sang. Yama se mit au-dessus de lui...

Je ne vais pas te tuer...il y a une charmante demoiselle qui veut te parler, tu sais...Maria!
Je pense qu'elle aura...beaucoup de choses à te dire.

Il lui adressa un large sourire. Freloon avait changé d'expression...il avait l'air terrifié.
Yama posa sa chaise et s'assit dessus, fixant Freloon.

Mon pauvre...j'aimerai pas à être à ta place quand elle arrivera.

Il se leva, trouva un tissu assez solide pour attacher un homme.
Il attacha donc Freloon, en lui mettant quelques baffes pour vérifier si il était toujours vivant.
Freloon ne sa débattait même pas, il avait l'air tétanisé.
Yama se leva, ouvrit la porte en grand et voyant Latika se battre contre un de ces montres, il préféra attendre qu'elle est finie.

Ahlala mon pauvre, elle est dans une de ces rages...j'aimerai franchement pas être à ta place, bon je vais me divertir un peu avec toi.

Il passa derrière Freloon, lui attrapa les cheveux et lui tira la tête en arrière jusqu'à se que Freloon pousse un léger cri de douleur. Puis, il se mit devant lui et avec un pied de chaise, il s'amusa à lui frapper dans le ventre. Freloon tomba à la renverse et Yama lui mit des coups de pied au visage en rigolant.

--Gressiurs

Il allait enfin pouvoir en tuer un, l'homme qui était avec l'autre, il sembalit se noyer, un petit étranglement et il en aurait fini,
c'est la que la femme aux yeux d'or arriva, et le renvoya au milieu de la piscine d'un coup qui lui fit perdre un instant les esprits,
quand il regarda à nouveau, elle avait sorti l'homme de l'eau.

Il nagea jusqu'au bout de la piscine et se posa sur les marches un instant, regardant la scene autour de lui, c'est là qu'il se rendit compte qu'à part son maitre qui avait disparu, ses deux autres acolytes étaient morts, il poussa un grognement féroce, et replongea dans l'eau pour aller attrapper un des hommes qui semblait assomé sur le bord.

Le temps qu'il traverse la piscine à la nage, de nombreuses actions s'étaient écoulées,
la femme aux yeux or hurlaient sur d'autres personnes qui s'en allèrent, il se souleva d'un coup, attaquant l'homme sur le bord, mais alors qu'il l'avait vu il y a peu au bord de la piscine il se sentit tirer vers le bas, replongea dans la piscine.

Dans une rage, il envoya un grand coup de pied, qui atterit dans la ventre de la femme, la femme aux yeux qui brulent, elle sembla sous le choc,
il en profita pour nager plus loin sachant qu'il ne pourrait lutter contre elle sous l'eau, il sauta sur la rive et aperçu une jeune femme blonde, qui s'était penché à nouveau sur l'homme qu'il souhaitait attaquer peu de temps avant.

Il bondit en avant, et attrapant le couteau à sa ceinture, il lui mit sous la gorge, et hurla à Latika qui avait, comme il l'avait prévu déjà repris ses esprits et sauté sur le bord :Regarde ce que j'ai là Latika! Tu aimerais que je lui tranche la gorge ?

La femme sembla surprise et elle sembla ... comme avoir mal... il sourit, accentuant la pression de la lame sur sa gorge.

Les bains, thermes et massages de Mortagne

Latika

[RP ouvert à tous, bien entendu,
je vous demanderais juste de mettre entre parenthèse l'endroit des thermes où vosu vous trouverez,
cela facilitant la compréhension.

Merci et à bientôt.]

[La batisse en rénovation]

Latika avait commencé la rénovation dès qu'elle était arrivée dans cette ville,
elle se rappelait encore s'être fait la réflection...

Mais c'était la première fois qu'elle retournait sur les travaux,
heureusement pour elle, elle avait ou acheter une vielle et grande batisse qui serait facilement rénovable.

Elle avait engagé des ouvriers qui venait de finir une église dans un village non loin,
et ceux ci étaient très efficaces.

Elle s'approcha avec son panier plein de nourriture, et appela les ouvriers pour les faire s'arrêter et manger, elle déposa le panier et pendant que ceux ci se jettaient sur la nourriture,
elle se mit à faire le tour de la batisse.
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Latika

[la batisse en rénovation ]

Les thermes seraient plus petits que ceux dans lesquels elle avait travaillée avant, mais ce n'était pas plus mal c'était assez familial.

On entrait d'abord dans une grande pièce qui servait d'entrées, on trouvait une porte de chaque côtés et une grande ouverture face à l'entrée,
dans cette pièce elle installerait une table comme bureau,
ainsi que nombreux tabourets, pour les gens qui souhaitaient attendre, ou juste se reposer.

Les deux petites portes sur lesquelles elle placa les panneaux "apodytérium", menaient chacune à une petite salle, assez basse de plafond, qui serviraient de vestiaires,
Latika nota mentalement qu'il ne fallait pas qu'elle oublie de mettre des serviettes pour ceux qui oublieraient les leurs.

Les deux petites salles donnaient sur de petits couloirs perpendiculaires,
en face une porte, sur lequel elle installerait les panneaux "frigidarium",
les couloirs longeant les vestaires se rejoignait face à l'ouverture de l'entrée.

Au milieu, après l'entrée se trouvait une grande piscine, toute en longueur, sans température précise, plus pour l'exercice, des bancs étaient
déjà installés tout le long, permettant les discutions.
Dans cette unique pièce, les hommes et les femmes étaient rassemblés, pour tous les autres bains, la coutume voulait que les sexes soient séparés, mais ce n'était pas elle qui allait faire régir ce genre de loi.

Tout le long de la piscine, les arcades formaient comme deux couloirs ouvrés, dans lequel on voyait trois portes, de chaque côté.

Sur la première porte on retrouvait les panneaux "frigidarium", sur les deuxièmes "tepidarium", on entrait alors dans des pièces de même taille que les premières mais où l'eau était plus chaude déjà, de même température à peu près que la grande piscine centrale,
dans ces pieces du milieu, une deuxieme porte donnant sur le frigidarium et une autre donnant sur les pièces du fond.

On trouvait alors sur ces portes-ci et sur les troisièmes des couloirs centraux, un petite panneau indiquant "caldarium", pièce où l'eau y était beaucoup plus chaud.

Le fond de la pièce était quand à lui occupé par deux petites portes sur les côtés et quelques marches qui montaient vers une autre grande salle, mais dont les murs étaient circulaires, formant comme un demi-cercle.

Sur les deux petites portes, se trouvaient un petit panneau disant chacun "sudatorium", le titre étant plutôt évocateur de l'ambiance des salles se trouvant derrière ces portes.

Quand à la grande salle, ce serait son lieu de travail, elle en réservait la rénovation pour la fin et l'aménagement par elle seule...

Le sol était recouvert de mosaïques et chauffé par un système de chauffage par le sol et de réservoirs : l'hypocauste, alimenté par un foyer attenant. Les fumées du foyer étant évacuées par des conduits situés dans l'épaisseur des murs les chauffaient par la même occasion.

Dans les vestiaires, on distinguait aussi deux autres petites portes qui menaient chacune aux latrines qui formaient de petites rotondes à l'entrée de la batisse.
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Latika

[devant et dans la batisse]

Latika passa toute l'après midi à travailler sur le chantiers,
à préparer les panneaux pour les différentes pièces,
à retaper des bancs, des fauteuils,
à aller chercher des serviettes,
à fignoler des décorations...

Il fesait chaud à courrir dans tous les coins,
elle avait relevé sa robe blanche et l'avait noué à sa ceinture,
dévoilant ses fines jambes galbées,
elle se retourna un moment,
le burin qui lui permettait de travailler le bois des pancartes dans une main,
et vit un des ouvriers qui la regardait sans gêne.

Hey toi là-bas,
tu ferais mieux de retourner travailler
si tu ne veux pas que ce que j'ai en main se retrouve entre tes deux yeux!

Autant les plaisirs charnels étaient quelquechose qu'elle appréciait grandement,
autant pendant qu'elle travaillait il n'était question, surtout de façon si rustre.

Elle se coucha le soir, dans l'entrée des thermes, exténuée,
à même le sol, la fatigue ne lui permit pas de se soucier de la dureté du sol.
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Latika

[dans les thermes]

Le lendemain, les ouvriers la reveillerent en lui disant qu'il était temps de remplir les termes d'eau,
elle se leva le sourire aux levres,

elle donna le signal pour que l'on fasse céder le barrage provisoire,
et ils attendirent tous dans la grande pièce,
un premier flux arriva, fesant place à un jet de grande puissance,
tous les bassins se remplissaient peu à peu,
les ouvriers le sourire aux lèvres regardaient le travail accompli
et Latika passait de pièce en pièce en sautillant,
le sourire aux lèvres.

Elle passa alors le reste de la journée à tout aménagé, sauf la pièce du fond.

[apodytérium femme et homme]
Elle deposa les bancs, et fit accrocher des morceaux de fer aux murs, pour accrocher les vetements,
puis elle plassa dans un petit meuble de nombreuses serviettes pour se secher et pour deambuler et de grands tissus blancs, pour entrer dans la piscine.

[piscine centrale]
Elle installa les fauteuils qu'elle avait confectionné.

[entrée]
Elle installa les tabourets,
son bureau, un fauteuil derrière.

Puis elle parcourut tous les thermes pour installer les panneaux indiquantes les différentes pièces,
qu'elle accrocha non sans mal aux portes.

Quand elle souffla enfin, elle regarda ce qu'elle avait fait,
et refléchis à ce qu'il fallait encore faire...
La pièce du fond à amenager,
une affiche de bienvenue et un plan des thermes à faire et à afficher dans l'entrée,
sa maisonnette à construire juste à côté,
et faire le choix dans les gens qui étaient venus de ceux qu'elle choisirait pour travailler dans les thermes.

Elle souffla et s'affala dans un fauteuil....
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Latika

[entrée]
Elle fit rentrer les femmes qui étaient venus pour se faire engager dans la grande pièce,
elle choisit les cinq qui semblaient les plus débrouillardes,
renvoyant les autres avec quelques écus pour le déplacement.

Ensuite elle parcourrut la batisse, donnant ses instructions,
expliquant le fonctionnement des differentes salles,
les differentes regles qui régissait l'ensemble et chaque pièce précisement.

L'une des femmes ayant dejà travaillé pour des thermes, elle la nomma superviseur.

Puis les laissant vérifier que tout était prêt,
elle courrut dehors pour retenir deux ouvriers,
elle leur indiqua l'endroit voulu juste derrière la batisse pour contruire une sommaire hutte, elle aurait le temps de l'améliorer plus tard.

Elle les laisse travailler revenant à l'intérieur et appela deux des employées, avec leur aide, elle amena de sa charette tout ce qu'il fallait pour la pièce du fond,
puis les renvoya nettoyer les thermes de toutes les saletes des travaux,
il fallait que tout soit prêt avant d'ouvrir, et tout propre, c'etait necessaire.
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Latika

[salle de massages]

Le lendemain, elle se reveille, la couche de massage sur laquelle elle a dormi était bien plus agréable que le sol dur de l'entrée.

Elle s'occupa alors de l'aménagement de cette pièce, entendant dehors, les ouvriers qui finissaient de construire sa maison, ce soir elle dormirait dans un vrai lit.

Elle commença alors avec l'aide d'une des employées à amménager la pièce,
elle accroche avec la femme un grand rideau rouge qui éloigne le regard et les bruits,
ensuite elle accroche sur tous les murs, de longues tapisseries rouges.

Elle place alors un grand meuble en bois, comme un lit mais sans tête de lit et plus haut, et elle place la natte de massage sur lequel elle a dormi et la place dessus, rendant plus moelleux la table de massage.

Elle se fait ensuite aider pour installer au fond de la piece un placard, dans lequel elle prend presque le reste de la journée à ranger toutes ses huiles et les onguents qu'elle possède.

Elle place ensuite des tapis dans toute la pièce et des bougies partout dans la pièce,
ainsi que de grands bouquets de fleurs, et des pots d'huile qui contiennent de l'huile essentielle quand il y a du monde,
puis elle regarde autour d'elle et sourit du travail accompli.

[piscine centrale]

Elle felicita toutes les employees pour tout le travail, il ne manquait le plan et l'affiche d'acceuil et elle pouvait ouvrir les thermes.

Elle les renvoya toutes ses elles, avant de se rendre compte qu'ils restaient tous les pots de fleurs et d'huile essentielle à disperser dans toutes les pièces.

Elle le fit alors elle-même et quand elle eut fini, et qu'elle ferme les portes de l'entrée des thermes, le soleil avait disparu du ciel.

[maison]

Elle rangea sa maison à son tour, installant les meubles, à la sueur de son front,
installant les tentures, et les rideaux.

Elle s'écroula alors que le coq chantait l'aube, elle tomba dans son lit, et ne mit pas une minute à s'endormir
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Latika

[porte d'entrée]

Elle s'était révéillé, midi étati passée depuis belle lurette,
elle se leva et alla à l'entrée de la batisse.

Elle avait fait deux affiches, une pour l'entrée et une pour afficher dans la ville peut -être si elle osait.

Elle attacha solidement la plus grande afiche dans l'entrée des thermes.

Une grande pancarte en bois sur le haut de la porte indiquait que la batisse contenait les thermes.

Elle s'assit alors à son bureau, rangeant l'autre affiche pour l'instant derrière le bureau, elle se concentra sur le plan des lieux.
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Comteseelisa

elisa se promenais une peu partotu dans la ville lorce quelle vie un nouvelle batiste ou étais aficher un pancarte écrite: bienvenus aux thermes de mortagne

elle désida de rentrer pour se relaxer un peux avent de reprendre le cour de sa journer. elle entra donc et chercha quelle qun qui pourais lui expliquer comment tousa foxionais

Latika

[entrée]

Latika travaillait dur sur son plan depuis pas mal de temps,
une de ses employées vint lui dire qu'elles avaient fini de dessiner les symboles homme et femme sur les portes,
cela suffirait largement, les symboles étaient officiellement mis,
après elle avait donné l'instruction à ses employées de laisser aller les gens.

Latika regarda alors son plan avec satisfaction,
bon c'était pas une oeuvre d'art mais c'était tout à fait suffisant,
elle se leva et alla l'accrocher sous l'affiche d'accueil,
à gauche, face à l'entrée, son bureau étant sur la droite.

A ce moment elle vit entrer une jeune femme qui semblait légèrement perdue.

Bonjour et bienvenue aux thermes.
Dites moi ce qui vous ferait plaisir ou ce dont vous avez besoin.
Si vous voulez aussi simplement visité je me ferais une joie de vous accompagner.
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Yamakun

Ayant vu l'affiche sur l'entrée d'une taverne, Yama avait décidé d'aller voir de quoi il en retournait.

[Entrée]
Arrivé devant la bâtisse, il fut d'abord surpris par la beauté du lieu.
Puis il entra, et voyant une jeune femme qu'il connaissait bien, assise derrière un bureau, il se dirigea vers elle pour la saluer et pour qu'elle lui parle un peu de ces "thermes".

Latika

[entrée]

Tandis qu'elle acceuillait la nouvelle venue, elle vit entrer par la porte Youma,
elle lui sourit, heureuse de le voir.

Bienvenue à vous aussi messire.

Elle lui fit un clin d'oeil.

Dites moi donc ce qui peut vous faire plaisir tous deux,
si vous avez des douleurs, des besoins, ou autre,
je me ferais un plaisir d'y remédier.
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Yamakun

Je dois bien dire que les travaux dans les champs sont épuisants et je n'ai rien contre un petit massage, mais je voudrai savoir combien il faut payer et comment sa se passe.

Latika

Yama lui fit part de sa requete :

Alors mon cher Yama pour qu'un bon massage soit efficace,
il ne faut pas que les muscles du corps soient trop tendus,
je te propose alors de passer un quart d'heures dans un bain froid,
suivi d'un quart d'heure dans un bain chaud,
ensuite je verrais à te faire une place dans la salle de massage.

Elle rit et lui sourit tendrement.

Pour ce qui est du prix,
pour l'instant il ne s'agira que de deux ecus symboliques,
vous voyez la grande caisse en bois encastrée dans le mur?

Elle leur montra l'endroit du bout du doigt.

Et bien vous déposez deux écus, et vous êtes libre de déambuler dans les thermes.
Seules certaines huiles spéciales pour le massage sont payantes si je dois en utiliser, ce qui n'est pas toujours le cas, j'en ai une de base que je frabrique moi même et qui ne necessite pas d'argent.

Elle se tourna vers la visiteuse, bien silencieuse, depuis l'arrivée de Yama.

Et vous demoiselle que puis je pour vous?

Puis se rémémorant un instant un marché entre Yama et elle,
elle le regarda tout sourire.

Ah et il faudra que tu me dises quand tu veux prendre tes cours de natation?
D'ailleurs je mettrais un panneau, peut etre d'autres desirent apprendre à nager dans cette jolie ville.
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Tarlina

Tarlina arrva devant les nouveaux batiments des thermes..... depuis le temps qu'elle en revait enfin un grand bassin .....pouvoir nager.......
Elle decida d'entrer afin de voir a quoi ressemblait tout ça.
Elle poussa la grande porte et pousa un cri de stupeur

-hoo mais c magnifique c'est un travail admirable mais ou dois-je aller maintenant? je vais me perdre dans tous ces couloirs

Elle regarda le plan et finalement décida d'attendre que quelqu'un vienne vers elle pour la guider
Latika etait déja occuper avec des baigneurs, elle n'osa pas la deranger.
La moiteur de l'endroit la rechauffait, elle enleva son châle et attendait sagement en admirant c qu'elle avait devant elle.
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Latika

[entrée]

Elle avait donné ses conseils à Yama et regardait à présent la jeune femme qui était arrivée la première et qui semblait dans ses pensées et elle lui chuchota :

Si vous avez besoin de quoi que ce soit n'hésitez pas, je ne serais pas loin,
conseil, indication, aide, pas de soucis.

Elle lui sourit et se retourna, entendant des pas à la porte.

Tarlina!!!
Bienvenue! Je suis tellement contente de te voir, viens entre!

Tu veux aller dans la piscine, je suppose?
Je te rassure je n'y ai encore noyé personne!

Elle rit et regarda son amie, attendant ses requêtes éventuelles.
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Yamakun

Écoutant attentivement les instructions, Yama ne pouvait pas s'empêcher de sourire

D'accord, j'ai tout compris

Merci beaucoup, je m'y met tout de suite.

Il lui adressa un large sourire puis il se dirigea vers la boite, mis deux écus dedans et entra dans l'apodytérium

Apodytérium

Alors, c'est là qu'on se change si j'ai bien compris. Alors, où sont les serviettes?

Il se tourna la tête et vit une dizaine de serviette accrochée au mur, il en prit une et enleva ses vêtements

Bon, un bain froid puis un chaud...frissonne rien qu'à l'idée de rentrer dans un bain d'eau froide
Aller, je dois prendre mon courage à deux mains.

Il se dirige vers le frigidarium, sa serviette autour de la taille.

Frigidarium

Vu la fraîcheur de la pièce, c'est forcément sa.

Il se laissa tomber sa serviette et entra dans l'eau très, mais alors trèèèès froide

J'imaginais pas sa aussi froid, j'ai l'impression de me baigner dans un étang en hiver.

Puis, s'habituant à la température, il entreprit de réduire sa respiration pour que ses pensées s'envole

Latika

[entrée]

Tout à coup Latika se rappelle qu'elle a oubliée d'accrocher le petit panneau des instructions.

Elle fait signe à Tarlina de la suivre jusqu'à son bureau à quelques metres et jusqu'au mur où elle accroche les deux derniers petits panneaux, completant la demeurre.

Puis elle regarde son amie, prête à lui répondre.
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Comteseelisa

avent écouter bien comme il le faut les consigne elisa pensa a se quelle voulais faire tellement quelle partie dans le lune et quand elle en sortie elle étais de nouveau seul

il faut vraiment que j`arête sa moi

elle décida donc de passer au vestiaire elle se déshabilla et prie une serviette elle se rendit donc au frigidarium pour se détendre un peu dans l`eau froide

Tarlina

Tarlina sourrie à latika et avant qu'elle ne prit la parole elle lui montra les consignes pour la piscine.

*blabla*... hum *blabla* .....bla *blabla*......bla ..... ben voyons..

-Heu latika je veux bien mais j'ai juste un probleme moi je nage comment avec un grand drap .....?? Tu n'as encore noyé personne mais là je vais etre la premiere je veux pas barboter mais nagerrrrr ^^

Elle prit la serviette avec elle et se dirigea tranquillement vers le grand bassin.

Whaouu y a de quoi faire de belle brassée ici en effet

Elle regarda le drap et le laissa sur le banc a coté de la serviette, vetue de sa chemise blanche elle entra dans l'eau doucement.

L'eau etait bonne pas trop froide pour ne pas lui glacer le sang , ni trop chaude.

Tarlina était bien, enfin dans de l'eau, elle nagea longtemps jusqu'a oublier le temps qui passait.

Elle a toujours aimé nager et cela lui avait manqué, enfin elle va pouvoir oublier les tracas de tous les jours le temps d'une baignade.

Elle continua de nager en regardant droit devant et soufflant l'air qui entrait dans ses poumons

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Latika

[entrée]

Latika vit la jeune femme sortir de ses pensées et se diriger vers les vestiaires, plus tard elle la vit se diriger vers le frigidarium,
elle se dit en son for intérieur que si elle avait besoin,
elle saurait bien la trouver, elle semblait vouloir penser, c'était mieux d'être seule pour ça.

Puis elle entendit Tarlina et elle rit à la remarque de son amie.

C'est pour ça qu'il y a ecrit en dessous que je peux vous aider à les draper, les grands draps, ils sont pas si grand que ça,
mais c'est une technique à prendre, quand on sait le faire, cela cache juste le nécessaire, et permet à tout le reste du corps, d'être entièrement libre de ses mouvements.
Mais je vois que tu as une chemise blanche c'est parfait aussi.

Dis moi si tu as besoin de quoi que ce soit.

Elle la laissa aller se changer, et plus tard quand elle traversa la piscine centrale, elle la vit nager de long en large, le sourire,
elle sourit en la regardant.

Puis elle se dirigea vers la salle de massage pour préparer un peu d'huile de massage.
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--Freloon

Freloon arriva dans la ville suivante,
et entra dans les thermes,
ceux-ci étaient à l'entrée de la ville,
et il aurait bien besoin de détente,
et puis si jamais elle était dans cette ville ou même juste passée,
elle se serait forcément arrêter ici.

Il entra dedans et se dirigea vers les vestaires hommes.
Puis il penetra dans la piscine centrale,
une belle femme nage dans l'eau,
il entre dans la première salle, un homme y est plongé dans l'eau,
et frissonne,
non il fait bien trop froid la dedans pour lui.

Il ressort de la salle et refermant la porte derriere lui, se retourne,
et là il s'arrete.

Venant de sortir de la grande pièce du fond, portant des petits pots dans la main, c'est elle...
il en est sûr,
pas besoin de regarder le dessin griffonnée par son maitre,
il la reconnu au premier coup d'oeil,
elle porte une robe rouge, au decollete plongeant,
s'arretant aux genoux et fendue sur le côté, devoilant de grandes jambes sculptées,
mais c'est son visage qui attire le plus, ses grands yeux or qui semblent briller et dans lequel se reflette l'eau de la piscine,
sa bouche en coeur, ses levres rouges et pulpeuses,
ses longs cheveux noirs qui encadrent ce doux visage,
sa peau si blanche...

Un instant il regrette presque sa mission,
mais reprenant ses esprits,
il rentre à nouveau dans la chambre froide,
le tout étant de ne pas trop se faire remarquer.

--Derval

Une longue course en cheval sur la route,
quelques arrêts ponctués de quelques plaisirs avec quelques jeunes femmes bien aimable,
Derval avait quand même hâte d'arriver.

A son installation dans cette ville, Lati lui avait envoyé un pigeon pour lui dire qu'elle ouvrait des thermes, et qu'elle aimerait qu'il vienne y travailler.

En effet Derval n'était pas peu fier d'être connu comme un des masseurs les plus talentueux de sa région.
Mais son ancien travail commençant à le fatiguer,
et comme il avait envie de changer d'air,
il accepta de suite la proposition de Latika.
De toute façon comment lui dire non...

Il entra dans les thermes à sa recherche, laissant son cheval à l'entrée.

Latika

[salle de massage]

Latika venait de finir son huile,
et eteignit le feu dans le petit âtre de la pièce.

Puis elle versa l'huile contenue dans la marmite, dans de petits pots,
en rangea la plupart dans l'armoire,
puis en garda deux pour la maison, en stock.

Elle sortit dans la grande salle, et aperçu un homme aux longs cheveux qui rentrait dans le frigidarium,
tiens ça fera de la compagnie à Yama pensa t elle.

Elle traversait la grande salle de la piscine, lorqu'un jeune homme entra dans les thermes.

Il avait le teint plus hâlé qu'avant,
mais elle le reconnut tout de suite,
et posant ses pots sur un banc et courrut vers lui.

Arrivé dans l'entrée, elle lui sauta dans les bras,
il la fit tourner comme avant.

Derval !!! Je ne t'attendais pas de sitôt!
Tu ... tu es seul n'est ce pas?
Je veux dire... si tu es là c'est qu'il n'y a pas de risques...
Je sais c'est fou de vouloir être réunis, mais tu m'as trop manqué,
et puis tu avais disparu de la circulation, ils doivent penser que tu n'es plus de ce monde n'est ce pas!
Oh Derv, je suis tellement contente de te retrouver!
Elle le serra dans ses bras.
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Tarlina

[piscine centrale]

Tarlina avait nager longtemps ...jusqu'a se sentir épuisée et c'est bien ce qu'elle voulait.
Elle sorti de l'eau en frissonnant, s'enroula dans la grande serviette etchercha Latika.

Elle voulait prendre un petit bain chaud pour se rechauffer avant de s'habiller et rentrer chez elle.

Elle erra quelques minutes rencontrant un grand homme chevelu qu'elle salua d'un signe de tête puis entendit la voix de la maitresse des lieux et se dirigea ainsi. Elle ne devait etre loin.

Elle l'apperçue en train de discuter avec un fort bel homme qui la prenait dans ses bras.

Elle decida de faire demi tour afin de ne pas les déranger ....
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--Derval

[entrée]

Il la vit courir et la serra dans ses bras aussi fort qu'il le put, mais pas trop fort quand même.

Derval !!! Je ne t'attendais pas de sitôt!
Tu ... tu es seul n'est ce pas?
Je veux dire... si tu es là c'est qu'il n'y a pas de risques...
Je sais c'est fou de vouloir être réunis, mais tu m'as trop manqué,
et puis tu avais disparu de la circulation, ils doivent penser que tu n'es plus de ce monde n'est ce pas!
Oh Derv, je suis tellement contente de te retrouver!

Il lui sourit et lui prit le visage dans les mains.

A ton avis, je serais venu s'il y avait du danger?
Hein? Bécasse va!
Ne t'inquiètes pas! Ils pensent même avoir assisté à mon enterrement!
Tu m'as tellement manqué aussi!

Il rit et la regarda.

Tu es toujours aussi belle toi!
Je me suis toujours demandé comment Falgius avait fait pour t'avoir!

Ah au fait! Euh je suis qui officiellement?

Il sourit et attendit sa réponse, peu après une belle femme rousse s'approcha, elle semblait connaître Lati mais les voyant ensemble, elle
les contourna.

Poucinette, je crois qu'on te cherche!
Tu me présentes?

Comteseelisa

élisa qui avait fini de se détendre étais ressorti passer au vestiaire pour se rhabiller et aller prendre une promenade

sais toute détendu quelle ressortie des thermes elle passe près de la boite et y déposa 2 écus avent de partir

avent de sortie elle dit au revoir a gens qui s'étais attrouper a l'entrée et leurs dit: bye bye et dsl pour tantôt j'espère vous revoir bientôt

Itenet

Itenet avait tout d'abord décidé d'aller rendre visite à Fraxie, histoire de faire plus ample connaissance. Elle s'était renseigné sur l'adresse de sa maison auprès d'un aimable vieillard qui regardait la vie passée devant son banc.

Mais c'est alors qu'elle se rendit compte de l'apparence qu'elle avait. Elle ne pouvait pas rester comme ça c'était impossible, de plus son bien aimé devait arriver rapidement et elle ne pouvait pas le retrouver dans cet état.

Elle se souvint alors des paroles de Dame Latika qu'elle avait rencontré en taverne qui l'inviter à aller visiter ces nouveaux thermes. Mais bien sur elle avait amplement le temps d'aller se détendre aux thermes et d'aller ensuite rendre visite à Fraxie.
Elle se dirigea donc d'un pas plus vif en se souvenant des indications qu'elle avait entendus en taverne.
Elle trouva sans difficulté (chose qui l'étonna d'ailleurs

).

[ entrée ]

Elle entra donc d'un pas décidé et fut étonné de l'impression de tranquillité et de douceur qui émanait de l'endroit.
Elle pris le temps d'admirer le batiment et de lire les panneaux explicatifs, elle ne compris pas vraiment tout.
En se retournant pour avoir des renseignements elle vit dame Latika en discussion avec un homme et décida donc d'attendre tranquillement qu'elle puisse lui expliquer le fonctionnement du bâtiment.
Elle choisit un des tabourets disposés à cet effet et s'abima dans ses pensées

Latika

[entrée]

Derval la rassura et la complimenta.

Charmeur comme d'habitude, tu n'as pas changé!
Tu es euh..., oh il suffit de ne pas rentrer dans les détails, tu peux être qui tu es vraiment mais en moins précis!

Elle rit et c'est à ce moment que Derval la prevint alors que quelqu'un semblait vouloir lui parler.
Poucinette, je crois qu'on te cherche!
Tu me présentes?

Elle sourit au nom de Poucinette, celui-ci lui fesant revenir tant de choses en mémoire.

Oui oui!
Tarlina, viens voir, je te présente Derval,
un très bon... ami, que j'ai rencontré... il y a longtemps
C'était le meilleur ami de mon mari et mon meilleur ami aussi.
Il se trouve que je lui ai demandé s'il acceptait de venir travailler ici,
et je crois que sa présence représente un beau oui!

C'était bien la piscine? Tu aimerais autre chose?
Dis moi je suis toute à ta disposition.

Elle rit et à ce moment la jeune femme perdue dans ces pensées du début arriva dans l'entrée, mit deux écus dans la boîte et repartit en leur glissant un petit mot.

Pas de problème dame! Et à bientôt!

La femme sortit, croisant une autre qui rentrait,
decidement, Latika eu le sourire aux lèvres de les voir tous venir.
Elle reconnut immediatement Itenet, qu'elle avait rencontré en taverne la veille.
Celle ci ne voulant pas déranger, s'assit sur un tabouret,
mais elle ne resta pas assise longtemps, Latika l'invitant à les rejoindre.

Itenet, viens, je te présente Derval, le nouveau super masseur des bains, et nouvel habitant aussi donc!
Dis moi ce que tu souhaites je t'aiderais volontiers!
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Hamnel

De plus en plus ça se parlait. Les thermes étaient ouverts. Et a tous. Curieuse de nature, Hamnel en cette fin de matinée décida d'aller voir ce qu'il en était.

de sa démarche souple et ondulante, elle arriva devant l'immense batiment et rentra.

Elle ne put que s'extasier devant la beauté des lieux. Devant ces merveilles qui l'appelaient à elle. A défaut de la mer dans cette ville, voir toute cette eau dans une saison aussi froide et pouvoir y mettre les pieds, le corps et en profiter pleinement, elle regarda autour d'elle si la maitresse de l'endroit était là.

Vite son regard tomba sur Letika et Itenet .... d'un sourire entendu elle s'approcha d'elles et attendit que son tour vienne. Sincérement, elle espérait s'y détendre, faire de belles rencontre et profiter d'un massage comme il en était offert l'ayant lu sur l'affiche d'entrée.

Itenet

Itenet sourit en entendant Latika l'interpeler

Citation:

Itenet, viens, je te présente Derval, le nouveau super masseur des bains, et nouvel habitant aussi donc!
Dis moi ce que tu souhaites je t'aiderais volontiers!

Elle se leva donc et s'approcha de Latika et du jeune homme. Elle ne put s'empecher de sourire et de penser à leur conversation de la veille en voyant le fameux nouveau masseur.

Bonjour Latika, tu vas bien?
Enchanté messire, je me nomme Itenet et je viens d'arriver à Mortagne pour quelques temps.
Je voudrais bien me rafraichir un peu avant l'arrivée de Marno et ma visite chez Fraxie mais j'avoue ne pas être très au courant des fonctionnements du lieu, tu peux m'indiquer ce que je dois faire ?

Itenet regarda vers l'intérieur du batiment, et le grand bassin qui s'ouvrait devant elle la tenter fortement

--Valouuu

entrée

La vieille femme avait été honoré d'être choisi comme régisseuse,
elle avait déjà travaillé dans des thermes, une bonne partie de sa vie,
ceux ci étaient particulièrement soignés, et d'une grande pureté.
Et elle comptait tout faire pour les maintenir ainsi.

Elle avait une grande estime pour dame Latika qui lui avait donné ce poste d'importance, et comptait ne jamais la decevoir.
Elle avait sous ces ordres quatre femmes, et comptait bien là encore être un bon chef,
il y avait ses deux femmes tout juste plus jeunes qu'elle et très bosseuse, Larun et Vilin,
il y avait cette enfant, une toute jeune femme pas tres jolie et très timide, mais qui avait l'air de bien travailler, ce qui importait pour elle, Pulini;
et enfin cette autre femme, Valou ne l'appreciait pas vraiment, elle semblait plutot paresseuse, comment s'appelait elle deja Vamille ou quelquechose comme ça, elle la surveillerait

Elle passa dans la grande pièce, pour faire son tour général,
elles cinq étaient chargés des bains, des sudatoriums, de la piscine et de l'entretien général de la batisse.
Elle regarda vers l'entrée d'où venait des voix, et aperçu sa patronne entourée de nombreuses personnes.

Et bien elle en attire des gens, ça ne m'etonne pas,
trois jeunes femmes et un bel homme qui devait être le nouveau masseur dont Latika lui avait parlé.

Elle ne s'attarda pas, ayant fort à faire.

--Derval

[entrée]

Que de femmes, et que de belles surtout.
Une autre jeune femme, que Latika appela par son prénom les rejoignit.

Enchanté, je suis le nouveau masseur oui!

Il leur sourit à toutes les deux
Pour se détendre, si vous n'avez pas de douleurs musculaires, je vous propose un bon bain chaud.
Si vous avez quelques douleurs musculaires, un bain froid suivi d'un bain chaud sera plus efficace ;
si vous voulez juste vous détendre dans le sens où vous n'etes pas fatigué, c'est la piscine qui vous tend les bras.

Et enfin bien sûr quoi de plus reposant qu'un massage.

Il gratifia les deux femmes d'un clind 'oeil et posa la main sur l'epaule de Latika, il aimait la sentir non loin de lui, protecteur...

C'est à ce moment qu'une troisième femme entra dans les thermes,
et Derval ne put que sourire à sa vue.

Entrez donc jeune femme, vous êtes la bienvenue,
j'expliquais aux dames présentes le fonctionnement,
si vous avez besoin n'hesitez pas,
je suis à votre entière disposition toutes les trois!

Il se pencha alors vers Latika et lui murmurre.
Je vais m'installer, je peux dormir chez toi en attendant de me construire un petit truc à côté?
Je reviens juste après, je suis bien content d'avoir accepté.

Il lui sourit et lui déposa un gros baiser sur la joue.

Dames je reviens vite, je vais m'installer et je suis de retour.

Latika

[entrée]

Elle vit passer Valou et lui fit un signe de main, elle ne regrettait pas une seule seconde de l'avoir embauchée celle ci fesait un travail admirable et plus encore.

Itenet les rejoignit Tarlina, Derval et elle.
Elle allait lui répondre, quand Derval le fit à sa place,
elle sourit d'acquiescement.

Puis Hamnel entra, elle sourit à la jeune femme et lui fit signe de s'approcher.
Puis Derval lui demanda si il pouvait s'installer chez elle, le temps de se retourner.

Evidement, bétassou!
Si tu veux avoir un peu d'intimité, montes au grenier, il y a une échelle, et tu peux y grimper facilement, tu as ta propre chambre comme ça!
Vas y et fais comme chez toi!

Elle rit et le regarda partir.

Alors mesdames, j'avais pas menti hein! Il est pas mal!
Serieusement vous avez besoin d'autres conseils ou je vous laisse partir à votre détente.

Elle leur sourit, attedant leur réponse à toutes les trois.
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Hamnel

(entrée)

Elle s'était approchée tout en détaillant ce nouvel inconnu qui n'était pas trop mal et apprenant qu'il serait le masseur de la place, Hamnel se promit d'aller se détendre entre ses mains. Question de sentir le plaisir d'etre ainsi dorloter.

Mmmmmmmm Latika, petite question quelque peu disons intriguante.... Hamnel sourit d'un sourire entendu et ajouta en meme temps, Nous sommes libre ou pas de nous baigner dans nos plus simple apparats ou bien faut-il un minimum de descence ? Tu sais, moi j'ai aucun problème, sauf que je ne voudrais surtout pas gaffer.

Pendant ce temps, elle regardait l'eau miroiter dans le bassin central et son envie de s'y jeter à corps nu la fit frissonner. Surement que dans son regard on pouvait y voir ce désir l'habiter.

Itenet

[ Entrée ]

Itenet fut surprise que ce soit le nouvel arrivant qui réponde à ses questions mais ne s'en formalisa pas.

Un grand merci messire pour ses précieux renseignements, je vais donc commencer simplement par la piscine et nous ferons bien par la suite

Itenet sourit à Latika et se dirigea vers l'apodytérium afin de se mettre dans la tenue adéquate pour son bain. Elle se déshabilla et mis ses vetements sur les étagères prévues à cet effet et s'enveloppa du grand drap prévu pour ça puis elle se dirigea vers le bassin. Elle y entra doucement de peur que l'eau ne soit où trop froide ou trop chaude mais ce n'était pas le cas elle était à la température idéale.
Ce bain lui faisait un bien fou, après les fatigues du voyage, prendre le temps de se détendre n'était pas superflu.
Elle en profita pour repenser à son arrivée à Mortagne. Elle sourit se remémorant son arrivée dans la taverne municipale et de sa rencontre avec Fraxie. Cette dernière avait raison pour cette impression bizarre de se connaitre sans s'être jamais vu.
L'eau lui donnait l'impression de la laver de toutes ses fatigues, comme une armure que l'on enlève d'un coup.
Elle resta un long moment dans l'eau dans un état semi-conscient à se ressourcer puis décida de sortir du bain et de se rhabiller.
Les autres salles seront pour un autre jour, elle ne devait plus trainer, elle voulait passer dire bonjour à Fraxie et attendre l'arrivée de Marno.
A cette pensée, une sourire se dessina sur ses lèvres et une douce chaleur l'envahit.
Elle se rhabilla tranquillement, et sortit sans oublier de mettre les écus dans l'urne prévue à cette effet. Elle avait l'impression d'être soudain légère et parti d'un pas alerte vers le quartier des Lys

Latika

[entrée]

La remarque de Hamnel la fit rire.

Et bien je suis désolé, la loi veut que pour les lieux mixtes, les femmes et les hommes doivent porter au moins un drap blanc cachant les parties intimes,
alors soit tu gardes tes dessous et une grande chemise, comme l'a fait Tarli,
ou alors tu prends un drap et tu te drapes dedans,
si tu veux je te montre, là d'ou je viens j'ai appris une facon de draper surprenante qui laisse les jambes, le haut du buste et les bras totalement libre.
Cependant si vraiment tu y tiens, je te dirais simplement de prendre un grand drap, de rentrer dans l'eau avec et apres si tu l'enleves et le pose sur le rebord, personne ne t'en tiendra rigueur ma chère Hamnel.

Je dois avouer que je preferes aussi y aller nue, quand il n'y a personne.

Pendant leur discution, Itenet était déjà parti se changer et elle pouvait la voir nager de long en large dans la piscine, elle sourit.

Laissant Hamnel allait se changer, se doutant bien d'ailleurs de la solution qu'elle prendrait, et souriant de cette initiative,
elle regarda Tarlina qui semblait perdu dans ses pensees, et lui fit signe qu'elle s'asseyait au bureau.

Elle devait en effet prevoir le panneau qui indiquerait pour qui voulait qu'elle pouvait donner des cours de natation.
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Servalien

Servalien entra aux Thermes. Tout le monde en disait tellement de bien qu'il voulait voir ça de plus près. Il paya les 2 écus demandés à l'entrée, lut les instructions qui étaient parfaitement claires.

On voyait qu'il s'agissait là d'un établissement professionnel, parfaitement au courant des us et coutumes qui régissent ce genre de lieu. Il se dirigea vers l'apodytérium situé à gauche de l'entrée, se déshabilla, fit un tour aux latrines par prudence, et prit une serviette qu'il plaça conformément à la bienséance.

Il repassa par l'entrée et s'avança vers l'intérieur du lieu. Tout de suite il tomba en arrêt devant la splendide piscine centrale. C'était tout à fait ce qui lui convenait. Il faisait encore bien trop froid pour qu'il ait envie du frigidarium. Mais se baigner dans l'eau tiède serait sûrement agréable.

[piscine centrale]

Servalien posa sa serviette, prit un drap qu'il mit du mieux qu'il put, et descendit dans l'eau. Elle était tiède comme prévu et bien agréable pour se détendre après une journée de travail. Par contre, le drap n'était pas très pratique pour nager. Il se dit qu'il y avait sans doute une meilleure manière de l'enrouler autour de son corps. Il y réfléchirait plus tard et profita de ce bain très agréable.
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Nos rêves sont la carte de notre humanité.
Y a t il en ce monde un être qui ne soit pas en exil?

Hamnel

[piscine centrale]

Hamnel après le départ de Latika et son explication sourit avec un air moqueur et se rendit dans le vestiaire des dames. Elle avait pensé garder ses sous vetements, sauf qu'ils se retrouverait tout trempés, donc, elle enleva le tout, plia ses vetements et s'enroulant dans la serviette et se rendit au bassin central.

Devant lui, elle jeta un regard circulaire et vit de nombreux visages connus. Nullement intimidée, elle alla s'enrouler d'un drap qui lui cachait se qu'elle devait dissimuler et après avoir déposer sa serviette sur le rebord descendit dans le bassin.

C'est là qu'elle vit Servalien et sourit de voir enfin un homme dans les lieux. Il sera bien entouré pensa t elle en souriant davantage. Cependant, elle marcha vers le coté droit et dès qu'elle eut dégagé la descente se mit sur le dos pour flotter en douceur.

Elle était sous le charme d'un homme mais son coeur frémissait pour un autre qui d'avance elle savait qu'il ne la verrait jamais autrement comme la petite Hamnel de jadis.

Doucement elle ferma les yeux et se laissa emporter par la douceur de l'eau. De sa tiedeur. De ses douces ondulations.

Tarlina

Tarlina restait dans ra reverie un lonf moment et quand elle revient à elle chacun vaquait à ses occupations. Elle se rhabilla aà la hate et rentra chez elle tout en se promettant de revenir faire des longueurs.

Au passage elle vit Latika dans son bureau et la salua de la main.
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Yamakun

Frigidarium

Yama sorti de ses rêveries lorsqu'il commença à ne plus sentir ses jambes

Hein? Quoi? Qu'est se qui se passe?

Il aperçu un homme, à l'air un peu stressé

Hé, mon bon monsieur. Je vous laisse la place, vous verrez sa vous fera un bien fou!
Personnellement, je vais passer dans un bain plus chaud, histoire de détendre tout mon muscles.

Il sortit de l'eau, manquant de trébucher car ses jambes ne le portaient plus

Erf, j'ai du rester bien trop longtemps, j'espère que la chaleur va m'arranger tout sa!

Il salua l'homme qui n'avait pas bougé d'un pouce et s'en alla, frissonnant.
Il traversa le tepidarium, ou la chaleur présente lui réchauffer déjà un peu les muscles, et arriva dans une salle ou la chaleur l'assoma

Caldarium

Et bien, si sa ne me détend pas, je veux bien être transformer en cochon.

Il sauta dans l'eau brûlante, presque bouillante

AAAAAHHHHH!!! Sa réchauffe! Je ressors, c'est insupportable...surtout avec ces muscles gelés.

Il chercha sa serviette mais ne la trouva pas

Zut, je l'ai oublié au frigidarium.

Il retourna au bain froid, dans lequel l'étrange homme était entré et sembler s'être assoupi car il ne bougeait pas, n'était pas même parcouru d'un frisson

ChuchoteVoyons, ou est-elle?

Il chercha sa serviette et la trouva près de l'homme dans le bain.
Il s'approcha doucement, pris sa serviette et vu...un papier où une femme était dessiné...et la reconnu tout de suite. Cette femme qui lui avait pris son cœur dès la première fois où il l'avait vu

Latika...

Yama vit l'homme bouger et préféra filer en douce et retourna au caldarium, se demandant pourquoi cet homme se baladait avec ce papier et décida d'en parler à Latika dès qu'il la verrai

Latika

[entrée]

En quelques instants, plusieurs actions se deroulerent devant les yeux de Latika,
qui ne releva completement qu'au départ de Tarlina le bout de son nez.

Un homme entra, elle sourit, le vit lire les instructions, et comme il ne demandait rien, espera et supposa qu'il est tout compris, il avait le sourire aux lèvres, et le sourire étant contagieux, Latika l'eut aussi.

Hamnel pendant ce temps était partie se changer, et en se baissant et en tournant la tête, Latika l'aperçu qui nageait, un grand drap autour du corps, celle ci fesait la planche.

Elle sourit en la regardant, se disant qu'elle avait pris un drap trop grand pour sa fine taille et elle se promit de lui montrer comment nouer les petits draps autour de son corps, pour être le plus à l'aise possible.

Puis Tarlina disparu dans les vestiaires et quand elle réapparu elle lui fit un petit signe avant de s'en aller.
Latika lui repondit de la même façon en souriant.

Puis le travail étant fini, elle s'était amusé à faire de petits dessus, elle alla accrocher le petit panneau, en dessous des instructions, juste à côté des prix.

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Gulian, incarné par Yamakun

Gulian était épuisé. Ses vêtements en lambeaux, ses chausses étaient trouées. Des entailles courraient le long de ses bras, sur son visage.

Il...faut...que je le...trouve. Ce bâtiment...il faut que je trouve quelqu'un qui le...connaisse.

Il entra dans les thermes, il y avait du monde. A vrai dire, tout le monde s'était tourné vers lui.

Pouvez-vous appeler la personne qui s'occupe de ce lieu?

Il s'effondra, épuisé

Latika

[entrée]

Latika venait à peine de poser le petit panneau et vérifiait qu'il était droit,
elle se disait qu'elle allait voir si Yama allait bien,
mais c'est alors qu'elle entendit un souffle, des pas et une voix derrière elle.

Elle se retourna aux paroles de l'homme et le vit s'effondrer,
elle courrut et n'eut le temps que de le retenir un peu.

Les habits de l'homme était en lambeaux, et il était bléssé.
Latika le retint et lui parla doucement.

Je suis la personne qui s'occupe de ce lieu.
Qu'est ce qui vous est arrivé?

Elle se mit à prier que Derval arrive et se dit que l'appeler serait plus simple.

Derval! Der!
On va vous aider monsieur, ne vous inquietez pas on va s'occuper de vous.
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--Derval

[extérieur]

Il avait installé toutes ses affaires dans le grenier,
s'était quelque peu débarbouillé et avait changé de vetement,
avait mis des braies rouges, de petites chausses ,noires et une chemise blanche qui mettait en avant ses muscles.

Il se dirigeait vers les thermes, lorsqu'il entendit la vois de Lati.
Il courrut et arriva dans l'entrée.

[entrée]

Latika soutenait un homme et lui parlait à voix basse,
il s'approcha,
l'homme paressait mal en point,
il le prit dans ses bras et fit signe à Latika de la suivre dans la salle de massage.

En passant dans la grande salle, il regarda les gens dont le regard était tous tournés vers lui portant l'homme bléssé.

Ne vous inquiétez pas! Nous allons nous en occuper!
Vous pouvez continuer à nager et vous relaxez, nous nous occupons de tout!

[salle de massage]

Il déposa l'homme sur la table de massage,
et ayant sorti un grand drap blanc,
commença à lui retirer ses vetements, pour pouvoir nettoyer ses plaies.

Qui vous a fait ça mon brave?
Dites moi! Vous pouvez avoir confiance en nous.

--Gulian

Salle de massage

Gulian se remettait de son évanouissement, les voix autour de lui était vagues

Il faut...que je le trouve....je dois trouver mon frère...
C'est de la plus haute importance... mon frère s'appelle Yamakun...

Il reprit un peu ses esprits au fur et à mesure que l'on nettoyait ses blessures. Mais continuer de répéter

Je dois le trouver...au plus vite

Latika

[salle de massage]

Apres avoir traverse la grande piscine, fesant de grands sourires reconfortants aux gens qui s'y trouvaient,
elle suivit Derval dans la salle de massage,
lui tendit le drap,
et se rapprocha quand l'homme se mit à parler.

Il faut...que je le trouve....je dois trouver mon frère...
C'est de la plus haute importance... mon frère s'appelle Yamakun...

Elle ouvrit de grands yeux.

Yama! Vous ... vous êtes le frère de Yama!
Je... je vais le chercher...

Elle l'entendit l'homme mumurrer d'autres phrases,
mais elle était déjà parti trouver Yama.

[piscine centrale]

Elle traversa la grande salle et les gens la regardant.

Ne vous inquietez pas, tout va bien, il va s'en sortir!

[frigidarium]

Elle entra, pensant le trouver,
mais ne vit qu'un homme, un peu étrange, aux longs cheveux,
qui demeurrait immobile dans l'eau froide.

Oh excusez moi monsieur!
Je ... cherche quelqu'un, continuez à profiter des thermes,
et si jamais vous avez besoin faites moi signe.

L'homme avait réagi étrangement à sa venue,
mais elle ne s'en soucit pas, elle doit trouver Yama,
elle se tape la tête, en se disant que ça fait bien longtemps qu'il doit être dans le caldarium.

Elle traverse le tepidarium et arrive au caldarium.

[caldarium]

Elle le vit, nu dans l'eau chaude, grimacant.

Yama!

Elle plongea dans le bain, ressentant la chaleur la bruler sur tout son corps, sa robe se plaquant contre son corps. Elle lui prends le visage dans les mains, ne sachant comment lui annoncer la nouvelle.

Yama! Je... je dois te dire quelquechose...
Tu te rappelles ce dont on a parlé la nuit dernière...
Il y a quelqu'un...
Un homme est là... et il prétend être ton frère...
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--Freloon

Frigidarium

L'homme qui est là lui parle, mais peu lui importe,
il sent sa présence derrière la porte,
la quête est terminée,
il n'a plus qu'à la suivre quelquetemps, être sûre qu'elle en bougera pas,
quand il ira chercher les autres,
suivre et connaitre ses moindres gestes.

L'homme s'en va,
et il sort de ses pensées,
il entre dans l'eau,
elle est froide, peu lui importe.
Il est bien content qu'il n'y ait personne, cette femme et sa beauté ont révéillé l'homme en lui, et enlevant sa serviette, il ne peut le cacher.

L'eau froide lui fait du bien, il s'assoupit,
il entend sa voix, parmi les autres,
puis la porte qui s'ouvre et l'homme qui revient et murmurre quelquechose,
il l'entend se pencher et se rapelle mais trop tard qu'il a déposé le dessin représentant Maria sur le bord,
l'homme prononce un prénom, il bouge un peu essayant de comprendre.

Latika, mais qu'est ce que ce nom...

L'homme a du penser à sa femme, et prononcer son nom, en tout cas il ne doit pas avoir vu le dessin sinon il aurait dit quelquechose.

Il reste encore là un instant, et c'est là qu'elle entre,
elle semble quelque peu affolée,
il ne bouge pas mais tous ses muscles se contractent,
il la regarde partir et elle surprend son regard.

Elle lui dit de s'adresser à elle, si il a besoin de quelquechose.
Les pensées se suivent, et s'assemblent...
Elle travaille ici, ou bien même ceci lui appartient,
ça lui ressemblerait bien...

Il se leve alors, remet sa serviette, récupère le dessin un instant,
sur le dessin le symbole de son clan... il sourit.

Il repart alors vers les vestiaires,
chercher à en apprendre le plus, c'est son travail.....

Yamakun

Yama fit un bond quand il senti quelqu'un ou quelque chose plongé dans l'eau et lui prendre le visage.
Il ouvrit les yeux et vit une jeune femme aux long cheveux noirs collés contre son visage, il posa son regard sur son décolleté, il connaissait cette personne mais son esprit était trop embrumé pour distinguer exactement qui cette personne était.

Qui...

Yama! Je... je dois te dire quelquechose...
Tu te rappelles ce dont on a parlé la nuit dernière...
Il y a quelqu'un...
Un homme est là... et il prétend être ton frère...

Il crut que son coeur s'était arrêté.

Où est-il? Je dois le voir, lui parler!

Il s'apprêtait à sortir de l'eau à toute vitesse, mais il voulait d'abord savoir qui cette femme était
Il croisa son regard d'or et un flash lui transperça l'esprit

Latika...que...?

Il se rendit compte qu'il était nu et qu'elle était presque collé à lui.
Il sauta hors de l'eau, mis sa serviette autour de sa taille. Aida Latika à sortir de l'eau et lui demanda de l'emmener à son frère.
Elle le mena jusqu'à la salle de massage puis quand il vit son frère allongé, un homme soignant ses blessures, il tomba sur les genoux, désemparé.

C'est bien lui...je...

Il se leva difficilement et se dirigea vers son frère, le regarda et lui sourit.

Je te croyais mort...

Il passa sa main dans ses cheveux et les ébouriffa légèrement. Puis, pris la main de son frère et resta à coté de lui, ne pouvant dire plus de mots

Servalien

Citation:

[piscine centrale]

Elle traversa la grande salle et les gens la regardant.

Ne vous inquietez pas, tout va bien, il va s'en sortir!

Servalien vit passer Latika qu'il avait croisée en taverne. C'était donc elle qui dirigeait les thermes! Pour l'instant elle semblait légitimement agitée par l'arrivée de cet homme qui paraissait en bien mauvais état.

Il lui sembla que l'heure n'était plus au délassement et qu'il y avait bien plus urgent à faire. Servalien fit un sourire à Hamnel qui profitait aussi des bienfaits de la piscine et sortit rapidement. Il mit la serviette, posa le drap, et prit le chemin inverse pour aller se rhabiller.

Il y avait suffisamment de monde pour aider le malheureux et il n'était pas nécessaire de s'attarder davantage. Il sortit donc des thermes en se promettant de revenir, et en espérant que ce serait moins agité la prochaine fois.
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Nos rêves sont la carte de notre humanité.
Y a t il en ce monde un être qui ne soit pas en exil?

--Gulian

Je te croyais mort...

Cette...voix, il la connaissait. Il l'avait enfin retrouvé. Il sentit sa main ébouriffé ses cheveux

Tu n'as pas changé...Yama, toujours à jouer avec mes cheveux

Il regarda son frère...il était si heureux de le revoir

Il faudra que je te parle, lorsqu'on sera seul.

D'accord, je t'accompagne chez moi.

Yama aida Gulian à se relever et ils partirent discrètement.
Yama revint plusieurs heures plus tard et alla au caldarium pour réfléchir aux évènements de la journée.

Fraxie

Fraxie était bien passée devant le somptueux et nouveau bâtiment des thermes entre le dispensaire et la taverne mais entre son travail à la mairie, sa certes voulue mais nouvelle solitude, ses divers déboires et l’enquête qu’elle menait discrètement dans les rues de Mortagne –et qui commençait à porter enfin ses fruits, l’arrivée du livreur et celle maintenant de son parrain et d’Ite…
Et bien jamais elle n’avait eu encore si peu de temps à elle…. et jamais autant besoin de se détendre….

Ce fut donc avec enfin la ferme intention de se préoccuper enfin d’elle et que d’elle, de retrouver quelque salvateur plaisir qu’elle en franchit le seuil….

On ne lui avait pas menti, l’endroit était magnifique…..
L’impression d’espace, la pierre blanche des colonnes, les éclatantes mosaïque, les affilées d’arcades, les quelques voix étouffée résonnant, se mêlant au clapotis de l’eau….
C’était presque comme entrer en une cathédrale..ou non plutôt un temple….un temple qui parlait au corps afin de mieux soulager les âmes...et cette démarche la touchait bien plus que celle des trop spirituelles églises…

Elle n’était guère habituée de ce genre d’endroit mais dame Latika avait bien fait les choses…il y avait là sur divers écriteaux assez d’informations pour ne point s’y sentir trop perdu….
Après quelques instants elle savait fort bien où ses pas la conduirait…vers le caldarium….elle avait besoin de chaleur, de sentir fondre la moindre de ses tensions dans une moiteur épaisse….et puis après..un massage peut être….sentir sur sa peau et le long de son corps des mains expertes et dévouées à son seul bien –être…si elles pouvaient être masculines et le masseur charmant cela serait divin…elle en frémissait d’avance d’impatience…

Elle aperçut la silhouette de Serv qui s’engouffrait dans les vestiaires des hommes trop rapidement pour qu’elle puisse le saluer….ah ça elle n’atait pas le première de Mortagne à venir profiter de la quiétude des lieux…c’était bien…très bien..qu’un tel endroit existe….

Elle passa par le vestiaire des femmes, se dévêtit, se douta bien que les draps laissés là devait servir à se vêtir mais ne sachant comment les nouer pour ne pas s’y sentir empêtrée, garda simplement sa chemise blanche, attrapa une serviette et se dirigea vers le caldarium....

Au fond vers la salle de massage, il semblait y avoir quelque agitation.Au passage dans la piscine centrale elle aperçut Hamnel.. …mais elle ne fit que la saluer d’un sourire amical….
Elle avait envie, besoin d’être seule, de se ressourcer, d’urgence…..

Elle entra dans le caldarium. Il n’y avait personne et elle se dit qu’en cet endroit non-mixte, il n’y aurait nul regard désapprobateur ou au contraire trop scrutateur.
Elle abandonna donc sa chemise qu’elle posa à coté de sa serviette, une courte seconde presque troublée de se sentir ainsi si dénudée dans un lieu encore inconnu et plongea un pied dans l’eau…
Elle était brûlante, brûlante à en lui donner la chair de poule…
Elle s’assit au bord du bassin, laissant ses jambes d’abord s’habituer puis ses cuisses puis lentement se glissa toute entière dans l’eau….

Une bouffée de chaleur l’envahie soudain, presque excessive, son souffle se coupa, une goutte de sueur perla sur son front, mais vite son corps se confondit, s’imprégna, ne fit plus qu’un avec cette eau brûlante, réconfortante…..

Et…

Hummm…

Fermer les yeux….
Se laisser glisser, dériver, flotter….
Sentir chacun de ses muscles se détendre, s’amollir, vaincus par cette chaude torpeur….
Se sentir légère, aérienne et pourtant si charnelle……
le corps comme engourdi et pourtant réceptif comme jamais…..
N’avoir plus de pensées…plus une…..juste …..ressentir……profiter de cette quiétude….rassurante….caressante…enveloppante…..
Soupirer de bonheur…..

Hummmmm…
_________________
L'important est dans ton regard et non dans la chose regardée...

Latika

[salle de massage]

Yama avait sembler perdu, il ne l'avait même pas reconnu,
ce qui elle devait se l'avouer l'avait un peu véxée.

Elle l'accompagna jusqu'à son frere, Derval avait été rapide et avait nettoyé les blessures qui n'était pas trop graves.

Il lui avait passé un grand drap et l'y avait entourré.

Latika et Derval s'éloignèrent pendant que Yama et son frere se retrouvaient, puis ils deciderent de partir.

Latika pensa que ce n'etait pas forcement une bonne idee mais elle ne dit rien, les laissant se debrouiller.

Elle put alors ranger la pièce et les choses rentrèrent dans l'ordre,
elle remarqua tout de même le départ d'un des hommes, servalien, et se dit que l'entrée remarquée du frere de Yama en était surement pour quelquechose, et elle en était désolé.

Elle vit Yama revenir seul et se diriger vers le caldarium,
elle decida de finir ce qu'elle fesait et d'aller le trouver.

Elle se dirigeait vers le caldarium des hommes lorsqu'elle vit Fraxie arriver, elle lui sourit mais celle ci semblait dans ses pensées, préssée de se détendre et elle le comprenait fort bien,
elle la vit s'engager dans le caldarium des femmes,
et elle fit signe à une de ces employées en lui designant la porte puis en mettant devant sa bouche un doigt en signe de silence, de veiller à ce que personne ne dérange son amie.

Puis elle entra dans le caldarium des hommes,
sa robe étant encore mouillée, elle penetra dans l'eau,
Yama ne la vit pas arriver et elle s'assit simplement à ses côtés,
ses yeux or le regardant tendrement.
_________________

Yamakun

Caldarium

Yama était noyé dans ses pensées

C'est trop d'un coup...tout ça...mais au moins, mon frère est vivant, si...si Latika a un problème j'aurai quelqu'un pour m'aider.

Il se mit à penser au papier qu'il avait vu...il pensait l'avoir pris, mais il se rendit compte qu'il l'avait laissé là bas. Il ne pouvait s'empêcher de penser à ce symbole... à cet homme... à ce dessin...de la femme qu'il aimait.

Pourquoi?

Il tourna la tête et vit ses yeux...ses yeux qui aspirait son âme, son cœur et qui le faisait rêver.

Latika? Que fait tu là? Je...

Il ne savait que dire et la présence de la femme qu'il aimait l'intimidait

Latika

[caldarium]

Il tourna alors son regard vers elle,
et il mit du temps à reprendre ses esprits.

Elle lui sourit tendrement,
elle avait tant de tendresse, tant de reconnaissance, tant de...
elle ne savait l'expliquer... pas de l'amour, elle n'en était plus capable, mais ce quelquechose qui dans son univers s'en approchait.

Il avait tout accepté d'elle, les bribes de passé qu'elle lui avait raconté,
sa culpabilité,
son ancienne vie, ou du moins ce qu'il en savait,
et surtout ce besoin qu'elle avait, en souvenir de son mari, de ne pas appartenir à un seul homme,
et pourtant elle aurait aimé... ce n'est pas le mot juste, elle aurait souhaité pouvoir aimer un homme, et ça aurait été lui,
elle ne pouvait s'empêcher lorsqu'il la regardait ainsi, si débordant d'un amour si pur, qu'elle ne méritait pas.

Il bredouilla, elle lui sourit.

A ton avis! Ton frère réapparait et tu me demandes ce que je fais là?

Elle passa sa main mouillée sur son visage.

Tu vas bien Yama? Ou est il? Qu'est ce que... qu'est ce qui s'est passé?
Et surtout qu'est ce que cette ombre sur ton visage alors que tu devrais rayonner...?
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Hamnel

Elle avait vu Servalien la saluer et partir. Vu Fraxie arriver et disparaitre vers l'arrière. Pendant se temps elle était sortie de l'eau, quelque peu songeuse. et vite elle avait quitté le bassin pour aller se changer. En fait, avec tout ce tintamarre et cet étrange impression qui l'avait saisit, elle ne se sentait plus sereine.

Elle quitta les thermes en ne voyant personne tout en déposant les écus symboliques se promettant de revenir. Un massage l'aurait surement aidé mais là, sans trop se comprendre elle meme elle avait perdu le plaisir de charmer.

Doucement ses pas la mena devant la mairie.

Yamakun

Yama regarde Latika, le regard sombre, presque sans vie

Mon frère? Il se repose, il est très fatigué.
Apparemment, ce serait une attaque de bandits, il y en a réchappé de justesse. Mais apparemment, sa lui a rappeler un très mauvais souvenir.
chuchote
comme à moi d'ailleurs.

Il savait qu'elle l'avait entendu et regretta ses paroles. Il se tourna vers elle et lui afficha un grand sourire forcé
Rien de naturel là dedans, elle va se faire du souci, pensa-t'il

Il s'approcha d'elle et déposa un tendre baiser sur ses lèvres

Je m'inquiète pour toi et j'ai un mauvais pressentiment, mais je veillerai sur toi aussi longtemps qu'il le faudra.
Et...l'arrivée de mon frère... est tellement inattendue, de plus, l'état dans lequel il est arrivé est préoccupant. Je me demande même si il ne serait pas tombé sur...les hommes qui te cherchent.
Enfin, je m'inquiète surement trop...mais je ne veux pas te perdre, tu es tellement cher à mes yeux.
Je t'aime.

Il redéposa un baiser, plus long cette fois ci, sur les lèvres de Latika et lui sourit. Parler lui avait fait le plus grand des biens.

Latika

[Caldarium]

Le regarde parler, ses yeux sont tristes,
elle le voit se forcer à sourire,
et ses yeux à elle deviennent tristes à leur tour.

Il lui parle de son frère, de son arrivée, des hommes qui la cherchent,
à leur évocation, malgrè l'eau brulante, elle frissonne.

Il lui dit qu'il l'aime, elle le sait, elle le sait plus que tout,
mais justement à cause de cet amour il est prêt à mettre sa vie et celle de son frère en jeu,
et ça Latika ne le permettra pas, jamais,
le sang a déjà coulé pour elle, et ça lui a coûté un coeur...

Elle veut le rassurer, même si depuis ce matin,
en elle une boule s'est formée,
la peur...
mais jamais il ne doit souffrir par sa faute,
alors elle aussi, elle doit faire comme si de rien n'était,
et ça, elle sait très bien le faire,
elle en a l'habitude, il n'y verra rien ou juste une lueur qu'il prendra pour de la peur ou de la tristesse.
Elle lui sourit, ses yeux brillants à nouveau :

Mais non Yama, et oui tu te fais bien trop de soucis à mon égard,
les hommes qui me cherchent comme tu dis,
ne sont pas des brigants,
c'est ce qui les rends si forts, si puissants, si dangereux,
jamais ils ne se serraient attaqué à un pauvre homme seul et sans défense!

Ne t'inquiètes pas va! J'ai changé de nom, j'ai changé de vie,
ils ne peuvent pas me trouver!

Il l'embrasse et elle lui rend son baiser,
passionnée.
L'eau chaude rendant les mouvements comme flou, elle le serre contre elle le plus fort qu'elle peut, elle l'embrasse, et par son baiser tente de le calmer et de le rassurer.
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Yamakun

...Ne t'inquiètes pas va! J'ai changé de nom, j'ai changé de vie,
ils ne peuvent pas me trouver!

Rassuré par ces paroles, Yama se détendit et se laissa transporter par la chaleur du bain et celle apporté par la tendresse de Latika. Ce sont des moments comme sa qui font tout oublié... il oublia...ses soucis, son inquiétude. Il se sentait bien avec elle et c'était le principal

Je t'aime et je te fais confiance. Mais n'oublie pas qu'il y aura toujours quelqu'un pour veiller sur toi, quel qu'en soit le prix à payer.

Il baissa la tête

J'aimerai que...enfin que tu me parle de toi...mais avant. Que tu me présente ton ami, Derval je crois. Je veux tout savoir, où tu es née, si tu as de la famille.
Je veux te connaître par coeur, je veux aussi savoir...ton vraie nom. Je veux savoir si tu as déjà été avec un homme.
Je veux savoir pourquoi tu fuis, depuis combien de temps.

Il releva la tête

Je veux aussi savoir...pourquoi tu répète que tu ne pourras jamais aimé...alors que parfois, je ressens en toi un sentiment qui y ressemble.
Sa fait très peu de temps qu'on se connait et je sais qu'il y a des choses que tu ne m'as jamais dites, j'aimerais les connaître.
Tu es une femme tellement...mystérieuse, j'aimerai enlevé quelques uns de tes voiles, pour voir qui tu es réellement.

Latika

[caldarium]

Yama sourit à nouveau, et elle se dit que son mensonge était passé, ou du moins qu'il avait été un peu rassuré.

Je sais que tu m'aimes Yama, et c'est bien ce qui me fait peur pour toi.

Il lui demande de lui parler d'elle, et elle se renfrogne,
se glissant à nouveau sur le banc à ses côtés, elle monte ses pieds, dessus, se retrouvant les jambes pliées, appuyées contre la poitrine, les bras les entourant. L'eau chaude glisse le long de son menton.

Rencontrer Derval, il n'y a aucun problème, dès qu'on sortira d'ici.
Pour ce qui est de ma vie d'avant, je sais pas Yama...
Je n'aime pas... je ne devrais pas...
Mais ... d'accord!

Ce que tu peux savoir, c'est que ma vie a très mal commencée,
et mon enfance n'a été faite que de batailles, de fuites, de rage, de haine et de violence.
J'ai fuit tout ça, j'ai fuit ma vie, mon destin tout traçé.
Je me suis engagée dans un chateau, au service d'un seigneur assez dur, mais bon et généreux ;
il n'avait pas de filles, et son fils était parti à la guerre,
il m'a appris tant de choses, la médecine par les mains, les huiles,
il était fasciné par le corps humain, il m'en a appris beaucoup de mystère.

Et un jour son fils est revenu, je m'en rappelle encore,
j'étais partie à cheval dans les bois, et je ne fesais attention à rien, je galopais, tout à coup mon cheval a henni car il s'est retrouvé face au sien et a eu peur, je suis alors tombée à la renverse dans la boue ;
il est descendue de son cheval et m'a tendu la main, s'excusant ;
je ne l'ai même pas regarder, j'étais trop véxée et humiliée, d'un bond j'ai sauté sur mon cheval et je suis partie au galop.

Plus tard dans la soirée, après m'être lavée et habillée d'une belle robe, j'ai été soupé, et c'est là que le seigneur m'a présentée son fils, Falgius, je lui ai fait une belle révérence, ne le reconnaissant pas, et je l'ai trouvé si parfait,
c'est là qu'en souriant il m'a dit qu'il ne savait s'il me préférait si joliment vêtue ou bien pleine de boue.
Et ça a été le début de notre amour.

Elle sourit de toutes ses dents, fermant les yeux pour le revoir.

Mais c'était un seigneur, et officiellement je n'étais qu'une servante, et non une noble.
On s'est opposé à notre amour, à notre union, alors on s'est enfui, avec son meilleur ami Derval, et une amie à moi Losly,
on s'est marié en secret, et on s'est aimé, comme jamais j'avais aimé,
on n'avait beau être au fuite, je n'ai jamais été aussi heureuse,
on a vécu simplement mais c'était tellement beau,
je suis tombée enceinte et nous avons eu un fils Noah,
la vie était tellement belle, on aurait pu vivre ainsi une éternité,
mais mon passé m'a rattrappé.

Les hommes de mon père... que dis-je, de l'homme qui m'a engendré, m'avait suivie depuis le début, ils avaient été là tout le temps où j'étais chez le père de Falgius, mais j'étais sous sa protection alors, cela aurait été trop dangereux de s'attaquer à moi.
Quand nous avons fuit avec Falgius, ils m'ont perdu un temps, le temps où j'ai été la plus heureuse,
mais ils m'ont retrouvé, nous n'avions plus de protection,
nous étions à leur merci.
Noah avait un an, et je pensais malgrè ce qui m'était arrivée, que j'étais la femme la plus heureuse au monde.

Elle grimaça, fermant les yeux, sentant la douleur vive montée, en elle

Et tout a bascule...
Ils ont... ils ont enleve mon fils...
on l'a cher..cherché, ...on a été le chercher...
mon père ... nous a rendu son cadavre...
on a reussi à fuir avec son corps serré contre nous...
on l'a enterré ...et j'ai... j'ai enterré ...la moitié de mon coeur ce jour là....
puis on a voulu se venger... on ... on s'est vengé... de beaucoup...
j'ai... j'ai... tué mon... père...
mais... mais ça n'a pas suffit... mon...mon frere... a pris la releve...
on a compris... trop tard... qu'il... était encore... plus puissant que mon pere...
Falgius a été touché... on a réussi pourtant à fuir..
mais... mais il est ... il est mort... dans mes bras...
il...il m'a fait jurer... de continuer à vivre... de ne pas me...venger...
de leur... survivre à tous les deux...
j'ai donc... enterré mon mari... et j'ai enterré... l'autre partie de mon coeur... avec lui...

Ses dernières paroles étaient à peine audible, entrecoupées de pleures et de soupirs.

Tu veux savoir qui je suis... Yama... je ne suis qu'une fille dangereuse... mes amants le disent souvent... mais ils ne savent pas que sous cette phrase... pleine de desir... se cache en fait ... une verite douloureuse...

Quand à mon vrai prénom... il est le rappel de tant de souffrances, que je souhaites que jamais tu ne le prononces...
à ma naissance... ma mère... paix à son âme... m'a donné le nom de ....Maria...

Elle cacha sa tête dans ses genoux, ne pouvant retenir ses pleures,
les larmes salées se mêlant à l'eau chaude du bassin.
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Fraxie

[Caldarium]

Fraxie ne savait pas depuis combien de temps elle flottait ainsi enveloppée par l’eau chaude du Caldarium, peut être quelques dizaines minutes, peut être plus d’une heure…qu’importe….elle avait simplement attendue l’envie de s’en extraire, le corps enfin comblé, repus de chaleur……..et le moment était venu…

L’esprit toujours aussi bienheureux d’être vide de pensée, juste un corps vivant et apaisé, elle s’essuya, s’habilla de sa modeste chemise et se retrouva à nouveau au milieu des arcades longeant la piscine centrale……

Il n’y avait plus personne dans le bassin… Elle résista à l’envie de plonger, de nager dans cette eau qui ne semblait s’offrir qu’à elle seule, trop soucieuse de garder la torpeur dans laquelle l’avait plongée celle qu’elle venait de quitter….

Hormis quelques voix étouffées dont elle n’arrivait à cerner la provenance, elle avait l’impression d’être presque seule au monde ici ……

Au fond...la salle de massage…elle y dirigea ses pas et frappa doucement à la porte…..
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L'important est dans ton regard et non dans la chose regardée...

--Derval

[salle de massage]

Trop de choses s'étaient déroulées...
L'arrivée du frère, puis de Yama, cet homme dont Latika lui avait parlé...
Leur départ...
Le rangement de la salle...
Latika qui part retrouver Yama pour comprendre...

Il était heureux d'être là et pourtant au fond de lui, une sourde menace grondait...
Il l'avait toujours, depuis qu'il avait fui avec Falgius et la femme qu'il aimait, à l'époque c'est ce qu'était Latika pour lui, juste la femme qui avait ravi le coeur de son frère d'âme...

Il l'avait rencontré et il avait compris...
Il avait même espéré que ça lui arrive...
tout la période où ils avaient vécus ainsi, il avait appris les massages, la médecine par les mains, lui qui avait toujours vécu de luxe, de savantes phrases, de pensées philosophiques, et de maniement des armes, il apprenait que ces mains pouvaient guérrir, parfois mieux que les remèdes dont on lui avait fait apprendre les recettes à l'étude.

Et puis cette violence qui s'était dechainée...
La mort de son filleul, le hurlement de Latika a la vue du corps de son fils...
Il n'avait jamais autant haï un homme, Noah n'était qu'un enfant, un petit garçon si beau...

Il ravala ses larmes, la suite avait été pire, il avait vu son meilleur ami mourrir, il lui avait promis en secret de veiller sur Latika, il l'avait vu elle, ne pouvoir pleurrer sur le corps de son meilleur ami, c'était trop dur pour elle, il l'avait soulevé, il l'avait mis dans la charette d'un homme qui partait vers le sud, et il avait été provoqué le frère de Latika, lui permettant de s'enfuir, il lui en avait fallu de peu qu'il ne s'en tire, mais il avait réussi à leur faire croire qu'il l'avait eu, il ne pourrait l'oublier...

Il se toucha le bas ventre, sentant sous ses doigts l'endroit où se trouvait sa cicatrice et ses pensées furent interrompies par un doux son à la porte.

Il se passa de l'eau froide sur la tête et alla ouvrir la porte,
il s'arreta devant la jeune femme qui se trouvait derrière la porte.
Il venait de se rappeler trop de choses qui avait mis son esprit à rude esprit et cette jeune femme qui semblait si tranquille, ce petit sourire qu'elle avait eu quand il avait ouvert la porte, il ferma les yeux,
tentant de se concentrer.

Bonjour belle demoiselle, je peux peut-être vous aider?
Un message est cela qui vous amène à moi?

Il sourit tranquillement, lui fesant signe de rentrer dans la pièce.

Fraxie

Quand la porte s’ouvrit Fraxie découvrit avec un sourire de contentement non dissimulé…un fort charmant apollon…
Peut être n’était elle plus tout a fait objective, gagnée par l’ambiance des lieux…..mais quand même…une telle présence…si... masculine….et plaisante au regard…c’était bien plus que ce qu’elle espérait…….
Intuitive de nature elle ne put cependant s’empêcher de remarquer qu’elle le tirait de quelques pensées bien perplexes, voir inquiètes……

Mais elle oublia bien vite cette sensation quand il s’adressa à elle….

Bonjour belle demoiselle, je peux peut-être vous aider?
Un massage est cela qui vous amène à moi?

Mais….tout a fait……lui répondit elle dans un large sourire et en finissant d’entrer dans la pièce à son invitation..

Je suis fort..comment dire…tendue en ce moment….et on m’a vanté les mérites de vos mains…enfin des massages je veux dire…..
Mais je n’en suis guère une habituée je l’avoue….je m’en remet donc à vous…totalement…

Fraxie tenta de calmer un peu le léger trouble qui la prenait à l’idée que cet homme allait sans tarder poser ses mains sur elle…c’était bien nouveau pour elle l’idée de se faire ainsi caresser….heu…masser…..par un bel inconnu….

"Fraxie, ma fille, t’es en manque de douceurs toi !! " se dit à elle à elle-même sous forme de boutade et pour retrouver quelque contenance..

Puis en souriant, elle l’interrogea du regard sur la suite à donner à son entrée ici...
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L'important est dans ton regard et non dans la chose regardée...

--Freloon

[caldarium]

Il était allé dans les vestaires et y avait passé un bon moment,
cherchant le moyen de savoir le plus de choses,
se demandant comment il allait l'attrapper, quand aller chercher ses maitres....

Il se leva en entendant la porte, il fila aux latrines, c'était l'homme de tout à l'heure,
il le suivit et se glissa derriere la porte du Caldarium pour écouter s'il se disait quelquechose,
et grande chance, elle vint, et plus encore elle lui raconta son histoire.

Il ecouta tout et comprit alors que Latika était le nom qu'elle avait pris dans sa fuite.
Il s'assit, cogitant un moment et se rappella que l'homme à qui elle était en train de parler, il avait prononcé ce nom.
Il avait donc vu la photo, il poussa un cri étouffé et sortit en courant, il se changea,
il devait faire plus vite que prévu,
il sortit des thermes à peine habillé en courant.

Yamakun

Je sais que tu m'aimes Yama, et c'est bien ce qui me fait peur pour toi.

Yama se crispa, cette phrase était tellement...dur à accepter pour lui. Il préféra changer de sujet en la harcelant de question car il voulait à tout prix, tout savoir sur elle

elle se renfrogne,
se glissant à nouveau sur le banc à ses côtés, elle monte ses pieds, dessus, se retrouvant les jambes pliées, appuyées contre la poitrine, les bras les entourant. L'eau chaude glisse le long de son menton.

Il l'écouta attentivement, retenant parfois une grimace, parfois une larme et il mourrait d'envie la consoler

Alors...c'est...sa ton passé? Je...

Ne sachant que dire, il préféra poser une main réconfortante sur l'épaule de Latika puis, il lui redressa la tête et lui adressa son plus beau sourire

et bien soit, chacun de nous a un passé plus ou moins heureux... Maintenant que je sais à quel point tu as souffert...je ne peux m'empêcher de te promettre que je ferai tout pour qu'à partir de maintenant, tu sois heureuse, du moins autant que...tu puisse l'être.
Je sais que rien ne pourra rempacer...Falgius et Noah, et que ton coeur ne pourra jamais être le même qu'avant mais au moins maintenant, je te comprend et je sais quoi faire pour t'aider à tenir.
En tout cas, Falgius a bien eu de la chance de se faire aimer par une femme comme toi.

Il prit son visage entre ses mains, essuya ses larmes du bout des doigts et lui déposa un léger baiser sur ses lèvres

Mais, je veux que tu me jure quelque chose...C'est que quoi qu'il arrive, tu accepteras mon aide et si jamais tu ressens un danger proche, je veux que tu viennes me chercher tout de suite.
Je pense qu'avec Derval, mon frère et moi, nous sommes assez pour te protéger.
Et s'il doit m'arriver quelque chose, je veux que tu n'y pense pas et que tu continu de fuir, je souffrirai trop d'apprendre qu'ils t'ont eu.
Je tiens trop à toi.

--Derval

[salle de massage]

Il la fit entrer dans la salle de massage.
Je suis fort..comment dire…tendue en ce moment….et on m’a vanté les mérites de vos mains…enfin des massages je veux dire…..
Mais je n’en suis guère une habituée je l’avoue….je m’en remet donc à vous…totalement…

Il lui sourit, ses propos désordonnés lui donnant un charme total et le fesant sourir, sentant une petite lueur s'éveiller dans ces yeux en la regardant.

Je dois vous demander, par respect, si cela ne vous dérange si j'enlève ma chemise, il vaut mieux, pour être le plus efficace que je sois totalement libre de mes mouvements.

Elle acquiesca et il retira sa chemise, son corps était parfaitement sculpté, Derval se rappelait les séances où il apprenait les muscles et où Latika s'entrainait à les regarder sur lui, cela le fit rire, que de parties de fous rires en ce temps.

Il lui fit signe avec délicatesse de s'allonger sur la table de massage, et le sourire aux lèvres il lui dit :
Mettez vous le plus à l'aise possible,
je me présente quand même je suis Derval et je suis enchanté,
si vous voulez enlever bien enlevez votre chemise, pour la serviette c'est vous qui voyez...
Je vais allumer les huiles, vous verrez c'est Latika qui les prépare celle là et celle de massage, exquis!

Il se détourna par respect pendant qu'elle se déshabillait et qu'elle s'allongeait sur le ventre, sur la table de massage,
il alluma les petits feux sous les pots en terre, remplis d'huiles essentielles,
il alla fermer le verrou de la porte, c'était rassurant pour les clients de savoir que personne ne rentrerait pendant ce moment de détente.

Il fit glisser le contenu d'un petit pot d'huile de lavande dans une grande assiette et la posa sur la petite table à côté de celle de massage.
Il s'approcha d'elle et ne put qu'admirer ce dos si lisse,
ses mains n'eurent aucun mal, aucune retenue à le rejoindre.

Il passa d'abord de l'huile sur tout son dos,
les huiles commençaient à se diffuser avec la chaleur dans toute la pièce et on aurait pu se croire dans un champs en plein printemps.
Il fit glisser ses mains sur tout son dos étalant l'huile qui fit briller le dos de la jeune femme.

Il commença alors à effecuer une légère pression, et decrivit de grands cercles sur tout son dos,
et des formes géométriques, des 8, des 6, des ronds, des lignes, il parcourrait son dos, alternant vitesse puis lenteur experte.

Il repéra les points douloureux sous ses mains,
et s'attarda dessus, appuyant plus en profondeur, plus fortement mais toujours en douceur sur ses noeuds musculaires,
les sentant fondre sous ses doigts,
à chaque fois cela le fesait sourire, une fois tous les noeuds défait, il refit une série de cercle visant à homogénéiser l'ensemble de la détente.

Votre dos est plus qu'agréable à masser, un vrai plaisir, votre peau est... très douce, et mon massage n'est pas superflu, vous étiez bien tendu belle demoiselle, dont je ne connais même pas le prénom.
murmurra t il pour ne point troubler le calme.

Il passa alors ses mains sur ses épaules, et les massa dans le sens de la longueur, il la sentait se détendre à présent complétement sous ses doigts.
Il essuya ses mains sur la serviette attachée à sa taille,
le massage ayant déjà durer une bonne demi-heure l'huile avait pénétrée la peau veloutée de Fraxie, mais lui les fesant courir sur son corps en avait encore sur les mains.

Il lui souleva alors les cheveux qui tombaient sur sa nuque et s'arrêta un instant, il avait toujours eu une faiblesse pour le cou des femmes,
il s'y attarda du regard une seconde, chaque femme en avait un différent, chacun sa spécialité, comme un caractère, celui semblait tendre comme s'il invitait aux baisers, il ferma les yeux chassant ses pensées, et se concentra sur ses mains.

Il passe alors la pulpe de ses doigts délicatement dans son cou, remontant jusqu'à la racine des cheveux,
puis passa ses mains dans ses cheveux et trouva les points de jonction du crane, y placa ses doitgts et exercant une lègère pression, effectua de petits cercles dessus.

Puis il redescendit dans son cou, sur ses épaules, sur le haut de son dos, dans la jonction des ses omoplates qu'elle avait très fines, sa colonne vertébral, dont il fit plusieurs fois les contours, ses côtes, le milieu de son dos, ses lombaires enfin et remontant d'un très vif jusqu'à ses épaules, il se pencha et murmurra :

Et voilà belle demoiselle, il fait déjà nuit, je continuerais bien mais je dois fermer les thermes...
Je vous conseille une bonne nuit de sommeil, et je vous conseille de revenir bientôt.

Il se retourna en souriant, et rangea toutes les affaires pendant qu'elle se rhabillait, puis il l'accompagna à la porte et lui prit la main pour y déposer un baiser.

Ma dernière phrase était plus une requête qu'un véritable conseil...
Au revoir belle Fraxie, à très bientôt,
en esperant vous avoir été utile et agréable...

Il la regarda s'éloigner, sa démarche chalouppée et élégante lui fit monter d'autres pensées en tête et il sourit.
Fermant les yeux il alla ranger la pièce, puis sortant il ferma la pièce derrière lui,
entendant la voix de Lati derrière la porte du caldarium des hommes, il secoua la tête et se rendant compte qu'il n'y avait plus personne d'autres cria :
Latika je rentre, vous êtes seuls à présent, il n'y a plus que vous deux alors je te dis à toute à l'heure à la maison, ou... à demain.

Il s'éloigna et refermant la porte des thermes derrière lui, rentra dans la petite maison annexe et alla se coucher directement.

Latika

[Caldarium]

Il lui parla tendrement, l'embrassa tendrement, la calma comme lui seul savait le faire,
elle se retourna et lui sourit,
il lui fit alors part du fait que Derval, lui et son frère était là pour elle, pour la protéger...

Elle lui sourit et se rendant compte qu'ils étaient là depuis des heures se leva et lui tendit la main :

Si ça te dit, tu vas m'attendre à la maison, je ranges un peu, je fermes les thermes et j'arrive d'accord?

Elle lui sourit et l'accompagna à la porte où elle l'embrassa tendrement, avant d'aller faire son tour de garde pour fermer.
_________________

Yamakun

Il se contraignit à la laisser seule et partit

J'espère qu'elle fera vite, elle me manque déjà.

Il ne pouvait s'empêcher d'avoir un mauvais pressentiment.
Il secoua la tête et accéléra le pas, espérant qu'elle le rejoindrait bientôt

Je suis épuisé, il faut que j'arrive à la maison au plus vite.

Il arriva enfin à la maison, ouvrit doucement la porte, s'assit sur une chaise et s'endormit en attendant le retour de celle qu'il aimait

--Freloon

[entrée]

Il avait vu tout le monde sortir,
il vit son compagnon, apparement sortir, elle était toujours dedans,
il ne savait que faire, envoyer un courrier à ses maitres et attendre là,
mais risquer de la laisser s'echapper ...

Le choix fut rapidement pris, si jamais il lui ramenait la fille,
il obtiendrait la gloire, il entra dans les thermes,
et puis c'etait un petit bout de femme,
malgrè ce qu'il avait entendu sur elle, il n'y croyait pas, et puis il n'avait pas entendu, on lui avait dit méfie toi d'elle.... gnagna... ne la sous estimes pas .... gnagna...
il était à deux doigts de gagner la gloire il la saisit et entra dans les thermes.

Il referma la porte derrière lui sans un bruit et entendant du bruit dans le frigidarium des femmes il entra dans les vestiaires de celle ci et lui fit face, le sourire aux lèvres dangereux,
puis ouvrant sa chemise, il lui montra le signe, gravé sur sa poitrine...

Latika

[frigidarium]

Elle ne l'entendit pas arriver, elle avait presque fini son tour, se contentant de ramasser une serviette qui trainait au sol, elle irait la poser dans le panier de linge à laver et rentrerait chez elle, retrouver Yama.

Quand il entra, elle fut etonnée, ne reconnaissant de suite l'homme de tout à l'heure elle lui dit :

Oh je suis désolé monsieur nous sommes fermés.
Oh mais je vous ai vu tout à l'heure vous avez oublié quelquech...

Il commença à ouvrir sa chemise, et pendant une fraction de seconde elle crut qu'il voulait la violer, et elle se dit qu'elle aurait bien la force de le battre, quand elle vit le signe...
sur sa poitrine...
le signe de son père... de son frere...
de leur clan...
le signe qu'elle avait vu graver sur le corps de son fils...
elle hurla...
ses yeux se brouillerent...
ils l'avaient retrouvés....

NOOOOOONNNNN!!!!!!!!!
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--Valouuu

Elle avait oublié ses chausses de rechange,
elle esperait que sa patronne n'avait pas fermé les thermes,
la porte était en effet ouverte,
elle entra et se dirigeait vers le fond de la batisse, lorsqu'elle entendit un cri affreux...
un cri à vous glacer le sang.

C'était dame Latika... elle courrut, ouvrit la porte et decouvrit un homme qui se précipitait sur elle,
elle n'avait aucune force, ni aucun courage,
elle se rappela alors que le masseur, sire Derval logeait chez sa patronne.
Elle sortit de la batisse en courrant mais elle ne courrait vite et devait reprendre son souffle souvent, elle arriva à la cabane plusieurs minutes apres et ouvrant la porte avec fracas, vit un homme sur la chaise qui somnolait.

Au secours! Au secours! Dame Latika .... elle ... elle est attaquée!
Au secoooooooooooooooooours!!!

--Freloon

Elle poussa un cri, il se boucha un instant les oreilles,
puis se precipita sur elle,
il lui sembla que la porte s'ouvrait mais il ne fesait plus attention,
il bondit sur elle et l'attrappa, ils tomberent tous les deux au sol.

Elle lui envoya un coup de coude dans la machoire et reussit à s'enfuir vers l'autre salle, il la poursuivit de prêt.

Je t'ai trouvé! Tu ne m'échaperas pas!
On t'aura! Si tu crois que tu peux échapper aux serviteurs du grand Cesco, tu te trompes!
Ca ne sert à rien de courrir ma jolie, à rien!

Il la rattrappa alors qu'elle penetrait dans la salle centrale après avoir traverse le tepidarium et le caldarium, il lui attrappa la cheville et la fit tomber violement au sol.

Latika

Il se jetta sur elle, elle réussit à le repousser d'un coup de coude et elle se mit à courir, sa robe se dechira, s'accrochant à la porte, elle traversa les deux pièces, l'entendant juste derriere elle.

Elle n'avait pas le temps de penser, comment était il là?
comment l'avait il retrouvé?
comment?
et pourquoi?

Il se jetta sur elle et lui aggrippa la jambe, alors qu'elle penetrait dans la grande salle.

Elle tomba violement au sol, sa tête heurta la pierre dure,
et une violente douleur lui sillonna la tête,
d'un coup de pied elle le fit lacher prise, elle se mit à quatre pattes et rampa jusqu'au bassin, sur le sol, un liquide rouge foncé,
elle comprit que c'était son sang, elle porta sa main à la tête, et juste avant de plonger dans l'eau elle la regarda, celle ci était maculée de sang.

Elle plongea dans la piscine, et ses instincts retrouverent le dessus, elle ondula jusqu'au fond puis obliquant à droite et avec uen vitesse incroyable, elle commença à nager vers la sortie.
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--Freloon

La garce lui fit lacher prise en lui donnant un coup de pied, le temps de se relever elle avait plongée à l'eau,
il regarda le sol et sourit de satisfaction en voyant la marre de sang.

Puis il courrut vers la piscine et la vit au fond,
il la suivait, en courrant le long, elle nageait à une vitesse incroyable,
il la vit émerger à un moment et en profita pour lancer sa dague qui alla se planter dans son épaule,
il la vit faire un soubresault et couler au fond de l'eau,
il se delesta de sa ceinture, et plongea dans l'eau, éclaboussant partout à sa suite.

Il l'attrappa alors qu'elle se trouvait au fond de l'eau et lui attrappa la gorge à deux mains,
quitte à ne pas la ramener, ce qui à présent lui semblait impossible,
autant la tuer, il l'aggrippa plus fort encore et la regarda se débattre.

Latika

Elle s'approchait du bord quand elle sentit quelquechose lui transpercer l'epaule,
elle hurla, de l'eau entra dans ses poumons, et elle suffoqua,
elle coula au fond de l'eau,
tentant de reprendre ses eprits,
elle attrappa l'objet métallique et le tira d'un coup sec,
une nuée de rouge envahit la piscine.

Ses longs cheveux noirs flottaient autour d'elle,
et comme une aura rouge, partant de sa tête et de son épaule l'entourrait.

Une masse plongea à côté d'elle et deux mains vinrent se serrer contre son cou, elle suffoqua et commença à se débattre.

Un moment elle n'eut plus d'air dans les poumons,
les mains de l'homme se serrant encore plus,
elle vit son tatouage sur son torse,
le signe...
ainsi c'est ça la dernière image qu'elle aurait avant de mourrir...

Elle ferma les yeux, sentant tout son corps se gonfler même si elle savait que c'était dans son esprit,
elle ne cherchait plus à respirer, cela lui fesait trop mal,
elle sentit ses membres s'engourdir, elle ne suffoquait plus,
l'homme remonta quelque peu à la surface, pour respirer surement,
elle n'avait plus la force d'essayer de se liberer, de respirer elle aussi...

Elle pensa à sa mère... elle avait de son sang en elle, elle avait acquis cette fabuleuse capacité de nager grâce à elle,
sa mère n'était qu'une expérience de plus pour son père, elle avait eu la malchance d'être belle, et désirée par le maitre,
elle était tombée enceinte, et on l'avait tuée à la naissance du bébé,
elle n'avait qu'un dessin d'elle, dans l'eau évidement....

Ainsi elle mourrait dans l'eau, son milieu, là où elle se sentait le plus libre,
elle pensa à Falgius et à son fils,
elle les retrouverait bientôt, Falgius serait faché mais il ne lui resisterait pas longtemps,
et puis elle pense aux nouveaux, à cette nouvelle vie : elle pensa à ceux qu'elles avaient été si heureuse de trouver, de rencontrer,
elle pensa à tout cet amour qu'il lui donnait, lui,
elle ne pouvait pas se laisser mourrir...

Elle ferma les yeux et se concentra, sentant une chaleur bouillir en elle,
se reveiller alors qu'elle l'avait toujours enfoui au plus profond d'elle même...
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.judas.

Comme promis quelques jours plus tôt, Judas était venu aux thermes tenue par Latika, pour y découvrir les plaisirs de l'eau... Plaisirs qui n'étaient pas pour lui une évidence puisqu'il avait déjà par deux fois manqué de ne se noyer, ce qui avait provoqué chez lui une certaine phobie de l'eau profonde...

Il se baladait dans les thermes étrangement vides..Peut être n'avait-il pas bien lu les horaires d'ouvertures...peut lui importait, il comptait bien y trouver Latika, et un peu de tranquillité n'était pas pour lui déplaire..

Judas commença par éviter soigneusement la piscine centrale, la plus profonde, pour ne se concentrer que sur les plus petits bassins. Après tout, il avait tellement de chance en ce moment qu'il n'imaginait pas devoir subir quoique ce soit de déplaisant...

Puis, force étant de constater qu'il ne la voyait nul part, il se résigna et approcha du fameux bassin.
En approchant, il entendit de nombreux bruits qui tranchaient singulièrement avec l'ambiance des bains...des cris...des éclaboussures...

"Oh...elle est peut être occupée avec un client...ou avec un...ami" se dit-il...

Cette réflexion ne l'empêcha pas de continuer vers les bruits, qu'il trouvait de plus en plus étrange...

Et en effet, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il vit l'eau du bain rougis de sang, et deux formes humaines ondulantes, se débattant au fond de l'eau.

Lorsqu'il reconnu Latika, son sang ne fit qu'un tour et il se précipita sur le bord du bassin le plus proche deux. Sans se poser de questions il plongea les deux pieds en avant, pénétrant dans l'eau avec fracas.

Bien que malhabile, son plongeon avait le bénéfice d'avoir été précis, et se transforma en véritable attaque. Ses deux pieds vinrent percuter le dos de l'agresseur sous marin, le faisant vaciller sous le choc. Puis, se contorsionnant d'instinct, Judas se plaça à sa hauteur et lui saisit les poignets, le forçant à lâcher sa prise sur son amie...

Judas ne savait pas nager, mais qu'importe, de toute façon ses deux mains enserraient les poignets du malfaiteur, lui écartant les bras, libérant ainsi Latika de son joug aquatique...Cependant à coup sur l'homme était plus habile sous l'eau, et la lutte ne faisait que commencer...
_________________
Ayez confiance...

--Derval

[maison]

Il allait s'endormir, quand il entendit des cris etouffés en bas,
il ouvrit la trappe et vit une femme gesticulée dans tous les sens,
il saut d'un bond au sol,
et entendit la vieille femme parler,
il regarda Yama et lui dit :

Yama, c'est eux, c'est surement eux,
Latika m'a dit qu'elle t'avait parlé de son passé,
regarde moi,
tu vas devoir chercher, chercher dans ses affaires,
dans ses placards, il doit y avoir un médaillon,
un médaillon avec une pierre bleue,
trouve le, elle en aura besoin si c'est eux!

Il regarda Yama qui ne semblait pas vouloi obeir, préférant surement aller la sauver, ce qu'il pouvait parfaitement comprendre.
Il le regarda fixement, pour lui faire comprendre que c'était très important.

Il se tourna ensuite vers la dame :
Rentrez chez vous, et ne dites mot de cela à personne, vous comprenez,
rentrez chez vous et fermez bien votre porte, j'espere qu'ils ne vous ont pas vu!

Il vit Yama qui avait déjà commençé à fouiller, et il partit en courant vers les thermes.

[thermes]

Quand il arriva il courut vers la pièce centrale, ne sachant au début où aller,
il entendit les bruits dans l'eau et son regard s'y orienta,
il y vit trois formes, ils étaient donc deux contre elle.

Il plongea s'attaquant aux deux hommes lorsqu'il vit les mains de l'un agrippés les mains de l'autre aux cheveux longs, il mit quelque temps à comprendre, restant en stationnaire,
et c'est là qu'il vit le signe sur la poitrine de l'homme aux cheveux longs comment l'oublier...

Il se jetta sur l'homme, l'attrappant aux epaules,
il fit signe alors à l'autre homme d'un mouvement de tête de s'occuper de Latika,
il tourna la tête un instant, et la vue de ces yeux clos, de ce sang autour d'elle le troubla,
l'homme en profita pour lui attrapper la gorge et dans un mouvement il attrappa la sienne, ce serait à celui qui serrerait le plus fort...

Hamnel

Elle était revenue vers les thermes. Non loin de là, la noiceur l'empechant de bien distinguer les ombres, Hamnel entendit des cris qui la figèrent. Un cri a l'aide et des pas qui fuit.

Devant le batiment, elle vit la porte ouverte en grand, alors que ce lieu devait etre fermé vu l'heure.

Elle entra. Intriguée surtout. Sa curiosité toujours a l'affut.

Sur le coup elle ne vit rien..... sauf que les clapotis de l'eau, attira son regard. Son sang ne fit qu'un tour. L'eau était rouge et elle vit des gens sous l'eau. Elle parvint a distinguer une bagarre qu'elle se jeta a l'eau sans réfléchir après une bonne respiration.

Elle vit deux hommes se battre et....judas aller vers un corps qui semblait inerte. Elle alla vers eux et vit Latika comme sans vie. Son coeur s'affola, mais garda le controle d'elle meme.

Hamnel souleva avec judas le corps de la jeune femme et une fois a sa taille elle fit signe a ce dernier qu'elle montait avec Latika et qu'il aille aider celui qui défendait Latika.

Nageant de ses pieds pour la pousser ver le eau, Hamnel parvint a hiser a la surface le corp inerte et d'une main nagea tant bien que mal vers l'escalier du moins pour parvenir a sortir Latika du danger de l'eau.

Elle avait eut le temps de comprendre qu'elle était en plus gravement blessée a la tete le sang provenant de là.

Prenant une grande respiration elle écouta si Latika respirait encore. Et souffla un soupir de soulagement. Elle respirait. Certes, faiblement, mais elle respirait. Juste plongée dans l'inconscience.

Se levant elle la prit sous les aiselles et vint l'étendre sur la céramique loin du bord de l'eau. Les hommes, remarqua-t-elle se battant toujours.

Devait elle aller les aider ou bien rester près de Latika pour au cas où.... Elle resta près d'elle....Inquiète de son sort. Elle l'aimait cette virulente passionnée.

Allé Latika Réveilles toi! MAIS ALLÉ!!!!!

Elle la gifla doucement sur les deux joues.

ALLÉ RÉVEILLE MA BELLE. RÉVEILLES TOI"

Yamakun

Yama avait été réveillé par les cris de cette femme. Il n'en compris pas tout de suite le sens.
Il ne compris qu'un seul mot...son nom

Latika...

Il se leva près à aller à son secours mais il vu attiré par le bruit de quelqu'un retombant sur le sol et vit un homme dont il ignorait la présence jusque là.

Yama, c'est eux, c'est surement eux,
Latika m'a dit qu'elle t'avait parlé de son passé,
regarde moi,
tu vas devoir chercher, chercher dans ses affaires,
dans ses placards, il doit y avoir un médaillon,
un médaillon avec une pierre bleue,
trouve le, elle en aura besoin si c'est eux!

Son sang ne fit qu'un tour, il se allait partir précipitamment quand le regard de l'homme se fit plus insistant.

Je ne serai peut-être plus utile en trouvant ce médaillon, se dit-il.

Il commença à chercher activement ce médaillon, retournant les tiroirs, fouillant le moindre recoin.
Il entendit l'homme partir et murmura une prière. Une violente poussée d'adrénaline le fit entré dans une rage non contenue, il retourna toute la maison avant de trouver...un coffret dans un trou dans le mur.
Il l'ouvrit et fut surpris par la beauté du médaillon...la pierre bleue scintillait de milles feux et répandait une légère lumière dans la pièce.

Je l'ai....je dois aller la trouver. Je dois aider cet homme, si ils sont plusieurs, il n'y arrivera probablement pas seul.

Il fonça hors de la maison, le médaillon dans la main. Il entra dans les thermes...

Thermes: piscine centrale.

Yama chercha du regard, il vit trois ombres se battre, puis une autre près d'une ombre inanimée dont il connaissait les formes sur le bout des doigts. Il fonça vers ces deux ombres, il s'arrêta lorsqu'il vît tout ce sang s'échapper de la tête de Latika. Il reconnut Hamnel qui semblait désemparée.

Je...

Il s'agnouilla près du corps de Latika, et passa machinalement sa main dans ses cheveux, il sentait son sang coulait abondamment.

Il regarda en direction d'Hamnel...

Hamnel, il faut...que tu t'en aille c'est bien trop dangereux. Je te suis reconnaissant de l'avoir aidé mais la connaissant elle n'aimerait pas que tu risque ta vie pour elle.

Il se tourna alors vers les hommes en train de se battre et hurla à plein poumon.

DERVAL!!! QUE DOIS JE FAIRE AVEC LE MÉDAILLON?

Il montra le médaillon, diffusant une lumière bleutée dans toute la piscine. Mais les hommes continuaient à se battre sans faire attention à lui. Il retourna alors près de Latika, Hamnel étant toujours là, il la regarda dans les yeux et la supplia de partir.
Il mit le médaillon devant les yeux clos de Latika en espérant que sa aurait de l'effet.

Latika, que dois-je faire avec ce médaillon? Réveille toi, je t'en prie....

Des larmes coulèrent le long de ses joues, il jura de la sauver quoiqu'il arrive.

Hamnel

Voyant Yamakun arrivée près de Latika Hamnel, se leva et écoutant se dernier, sans rien dire elle quitta les lieux. Courrant presque la peur au ventre.

Elle n'était pas de taille pour se battre.

--Freloon

Il allait la tuer,
il le sentait, il sentait la vie s'échapper d'elle, il en jubilait,
la sentant sans force, il remonta à la surface reprendre de l'air,
et de peur qu'elle ne se débatte, replongea sous l'eau.

Et c'est là que tout dérapa,
un homme se jeta à l'eau et lui fit lacher prise, il vit sa proie s'eloigner de lui, il voulu se jetter sur l'autre homme et le tuer rapidement, pour revenir à Latika, c'est là qu'un autre homme arriva dans l'eau, et se jetta sur eux tout d'abord et sur lui finalement,
le premier se rapprocha de Latika,
il se retourna alors vers le premier et s'empara de sa gorge,
celui ci fit de même,
c'est alors qu'une autre forme plongea dans l'eau et fit sortir Latika de son champs de vision, tandis que l'autre homme revenait difficilement, mais revenait à la charge.

Tout tourner à sa défaveur et il rugit de rage, dans un élan de colère,
il reussit à atteindre la surface, il bouillonait de frustration,
et il prit le sifflet autour de son cou, un simple petit sifflet mais à ultrason, et il savait qui répondrait à ce sifflet.

Il n'aimait pas faire appel à eux, ces hommes ou plutôt ces créatures, s'ils avaient été des hommes, cela fesait bien longtemps que tout trace d'âme les avait déserté, ils ressemblaient à des bêtes plus qu'à des hommes, son maitre les élevait ainsi, comme des animaux sauvages.

Il hésita une seconde, il n'aimait pas les appeler car il ne les controlait pas vraiment,
mais il n'avait pasle choix, il porta le sifflet à sa bouche et souffla avec force, avant d'être agrippé à nouveau par le deuxième homme et de devoir se reconcentrer sur celui ci, et l'autre qui ne devait pas être loin.

Latika

Elle se sentit libérer de ses mains,
cela baissa sa concentration,
elle se sentit flotter seule dans l'eau,
puis des mains qui l'entourent, un bras qui l'emporte,
le contact de l'air, ses narines qui s'ouvrent et aspirent enfin l'air,
et puis une voix, une vois cristalline juste à côté d'elle,

Une voix qu'elle reconnait, Hamnel, mais que fait elle là,
non elle, ils vont lui faire du mal, elle est trop fragile, elle ne veux pas, elle se débat, mais son corps ne répond plus,
elle entend alors une autre voix, Yama, il dit à Hamnel de partir, il a raison c'est bien trop dangereux,
elle l'entend se lever et partir, ça vaut mieux.

Elle entend alors Yama appeler Derval, il est là forcement,
elle l'entends suite parler du medaillon,
le medaillon, il l'a trouvé, il l'a...

Elle le sent l'approcher d'elle, se concentrer, se focaliser sur son corps,
controler son corps,
elle a appris à le faire, depuis qu'elle est toute petite, une arme puissant c'est qu'elle devait être, elle se concentre, entrevoit la lumiere bleue, il reveille un vieil instinct en elle,
elle a peur, peur de le reveiller, peur de ne pas le controler, peur de ne plus se controler, peur de leur faire peur à eux, à ses amis,
peur de leur faire mal dans sa rage,
un combat commence au plus profond d'elle même...

C'est là qu'elle entend le sifflet, il fait hurler les vivants, mais surtout ils les appelent eux... les gressiurs... les monstres de son père comme elle les appelait,
il n'est pas venu seul, bien sûr que non, comme elle a été naive,
le choix est alors fait dans son esprit, elle ne sais combien ils sont, mais elle ne pourra les combattre que si elle redevient elle... enfin l'autre partie d'elle.

Elle se reconcentre alors, et dans un geste violent elle attrappe le medaillon de la main de Yama, et le serre contre elle...
_________________

--Gressiurs

[forêt]

Ils attendaient depuis longtemps,
ils n'avaient qu'une envie tuer, se battre, bouger dans tous les cas,
l'immobilité les rendait irrascibles,
ils s'étaient déjà attaqués à tous les animaux qu'ils pouvaient trouver autour d'eux,
la forêt était calme tout autour d'eux, ils commençaient à se battre entre eux,
quand ils entendirent le sifflet.

Ils poussèrent des grognements de joie, puis se bousculant ils courrurent jusqu'au terme, la bave aux levres, les dents sortis, les couteaux dans les mains.

Ils ne croiserent personne, et heureusement pour ceux ci,
ils ne se seraient arrêtés, étant attendus, mais ils leur aurait fait plus que peur.
Ils avaient été des hommes, mais voilà bien longtemps,
ils avaient été emprisonnés, battus, torturés, dréssés enfin.
Leurs visages étaient sillonnés de coutures et de cicatrices, celles ci se refermant en gonflant, leur deformant les traits.

[thermes]

Ils arriverent aux thermes et là ils virent une jeune fille en sortir en courant, ils grognerent et elle s'arreta de stupeur et d'horreur devant leurs traits,
deux d'entre eux passèrent à ses côtés en rentrant dans la batisse, et courrurent vers la grande salle, découvrant la scène,
ils poussèrent un hurlement à faire se glacer le sang, pour signaler leur arrivée.

Pendant ce temps le troisième resté à la porte, bloqua la jeune fille dans contre le mur et montra les crocs ;
puis il l'attrappa, celle ci se débattait bien malgrè sa petite taille, il lui enserra les bras, et la portant à bout de bras, s'appreta à l'emmener dans les thermes.

Hamnel

Malheureusement, elle n'eut pas le temps de se rendre bien loin. A la vision qui s'offrit à elle, elle hurla avant de s'étouffer par la peur et de regarder passer deux horribles créatures, ressemblant a des hommes mais dont l'horreur de leur physionomie les rendaient plus betes qu'humain.

Pas le temps de soupirer de soulagement par le fait que les deux ne se préoccupèrent pas d'elle que déjà le troisieme l'accola au mur de pierre sans aucune chance de fuir.

Dans sa témérité inutile, elle se débattit eb hurlant de la laisser partir. Tentant en meme temps de donner des coups de pieds, mais en vain. Elle retint alors ses cris effrayée par la peur qui lui faisait tourner la tete.

Elle n'était pas pourtant au bout de ses peines. Cette horrible créature lui serra les bras au point presque de lui broyer les os. Qu'elle cru s'évanouir le temps d'une seconde. Peut etre cela aurait il était la meilleure issue, cependant, tel ne fut pas le cas et brutalement elle fut entrainer malgré elle aux portes des Thermes.

--Derval

L'homme lui décocha un grand coup,
alors qu'il semblait regarder l'endroit d'où la fine forme qui avait plongé, avait tiré Latika, mais qui était-ce?

Il reprit ses esprits, sortit de l'eau un instant, reprendre son souffle,
il entrevut Latika et Yama penché sur elle, elle tenait quelquechose dans ses mains,
le médaillon ... il sourit...

C'est à ce moment qu'il entendit un son à lui vriller les tympans.
Il comprit instantanement ce qui se passait, l'ordure appelait ses monstres,
ils ne tarderaient pas, son sang se glaça, il les avait combattu et avant, et ses hommes n'éprouvaient rien ni physiquement, mais pire encore ni moralement.

Il attrappa l'homme et avec une force incroyable l'entraina au fond de l'eau, sa tête heurta le fond de la piscine et il sembla évanoui,
il le laissa là, et aidant l'autre homme qui semblait peu à l'aise dans l'eau, ils arriverent sur les marches de la piscine et reprirent pieds.

C'est là que les monstres entrerent, leur vue le fit frémir, il ne se rappelait que trop bien ses êtres sans nom,
il regarda l'autre homme.

J'espere que tu sais te battre, parce que ceux là sont pires que tout!

Puis il hurla à Yama, sachant exactement ce qui devait se passer dans la tête de Latika :
Aides la à se concentrer Yama, parle lui, dis lui qu'on a besoin d'elle, dis lui de ne pas avoir peur! Dis lui qu'elle sera parfaite et qu'elle ne nous fera pas de mal! Dis lui qu'on a besoin d'elle là!

C'est là qu'il reçut le premier coup, avec une telle intensité qu'il eut le souffle coupé, un des monstres s'était jetté sur lui, lui envoyant sa tête en plein dans les côtes.

--Tysha

Une fois de plus elle était partit comme une fléche et sa maitresse arriverait avec un peu de retard. Comme d'hab.

[entrée]

Tysha ne chercha même pas à comprendre, une homme brutalisait une femme. Il n'en fallait pas plus. Elle se jeta sur l'homme et lui planta ses crocs dans le mollet.

Yamakun

Heureux de la voir bouger mais inquiet de la violence dont elle venait de faire preuve, Yama ne faisait plus attention à se qui se passait autour de lui, ni l'horrible sifflement, ni le cri terrifiant n'arrivait à le sortir de ses pensées.
Son regard était fixé sur Latika puis soudain, une voix le ramena à lui.

Aides la à se concentrer Yama, parle lui, dis lui qu'on a besoin d'elle, dis lui de ne pas avoir peur! Dis lui qu'elle sera parfaite et qu'elle ne nous fera pas de mal! Dis lui qu'on a besoin d'elle là!

Il ne put s'empêcher d'obéir. Il prit Latika dans ses bras et lui murmura:

Mon amour, on va avoir besoin de ton aide, on ne peut rien sans toi. Tu ne dois rien craindre, tu es une femme merveilleuse et tout se que tu fais est toujours parfait.
Ne t'inquiète pas pour nous, tu ne nous fera aucun mal, mais si tu veux qu'il ne nous arrive rien, il va falloir que tu nous aide maintenant.

Il la sentait bouillir, il recula, la regarda et pour l'encourager l'embrassa tendrement.
Ses lèvres étaient bouillantes mais Yama ne les quitta pas.

Il faut que je réussisse au moins sa...

Soudain, il entendit un grognement et un bruit de choc. Il se tourna et vit Derval plié en deux. Il prit Latika par les épaules et la regardant droit dans les yeux...lui dit une ultime phrase..

Aide nous...pour l'amour que je te porte.

Latika

Elle était entré au plus profond d'elle même,
s'était rappelé son enfance, elle avait besoin de toute cette haine pour combattre, elle se rappella les scenes.

Je te bats... pour que tu sois plus forte...
Tu as ça en toi ma fille...
Tu vas devenir une arme pour moi...
Mais elle n'a que quatre ans chef...
La ferme... je sais ce que je fais...
J'ai fais de sa mère une femme presque sirène, grâce à mes méthodes...
Je peux faire ce que je veux d'un être humain...

Père, je ne peux pas... ils sont trop rapides
Paaaf
Si tu redis ça, ça sera pire,
Ce sont des biches Maria, ils ne sont pas plus rapides que toi...
Et rappelle toi si tu ne vas pas assez vite, si tu ne les attrappes pas, tu ne mangeras pas!

Mais père c'est un ours, il est trop gros... il va me tuer...
Il te tuera si tu es faible... et dans ce cas, tant pis pour toi...

S'il vous plaît j'ai faim... j'ai tellement faim...
Alors va chasser ma fille...
Mais je n'aime pas ça, chasser juste avec mes mains...
Paaaaaaf

Fermes les yeux.... maintenant ils vont t'attaquer et tu dois savoir quand ils arrivent
Paaaaaaf
Aiiiiiie!!!! Mais père je ne les vois pas, comment savoir où ils sont?
Concentre toi! Tout est question de concentration!

Aiiiiiiiiiiiie! Mais père... pourquoi...
La ferme Maria, ce n'est rien qu'une petite blessure, maintenant concentres toi... concentre toi sur tes battements de coeur...
Ralentis les... Arretes les... Et tu arreteras de saigner!
Une petite blessure, vous m'avez entaillé sur toute la longueur du bras, et si j'arrete mon coeur je vais mourrir...
Paaaaaf
Alors c'est que tu seras faible...

Pourquoi ça père, pourquoi me faire si mal...
Paaaaaf
Parce que c'est comme ça, tu es née pour ça, ta mère était ... spéciale,
et je fais tout pour l'être aussi! Et entre la nourriture et mon éducation, tu vas devenir un soldat d'élite...
Et si je ne veux pas!
Alors je te tuerais, je tuerais tout ceux que tu aimes, tu sais que je le ferais n'est ce pas!

C'est à cause de mes yeux, c'est ça?
Quand je les ai vu la première fois, Maria, j'ai su que je ne te tuerais pas comme je le pensais... ils sont le signe... je ne sais d'où ils te viennent ces yeux... mais alors que tu venais de naitre, rien qu'avec ton regard... tu m'as empeche de te tuer...
Ils ressemblent à ceux des grands fauves, c'est pourquoi tu dois devenir comme eux...
Tu pourrais obliger n'importe qui à faire n'importe quoi... avec ce regard, il faut que tu le travailles...
Ca veut dire quoi c'est le signe?
Tu es fais pour faire le mal Maria, pour tuer comme je te l'ai enseigné, pour te battre, tu feras ma fortune, tu es le mal Maria...
Noooooooooon je refuse!

Regardez moi Maria, mais qu'avez vous fait?
Mes yeux... j'ai essayé de les arracher... je n'ai pas réussi...
Oh mon dieu ma pauvre enfant!
Mais vous ne comprenez pas, ils sont ce que vous êtes Maria
Ils sont ce qui fait que vous pouvez vous battre contre votre père...
Vous êtes la seule à pouvoir nous aider Maria...

Lâchez les... c'est un ordre...
Ah ma tête qu'est ce qu'elle fait à ma tête!
C'est purement scientifique, il suffit juste de la concentration, c'est ce que votre cher maitre m'a appris... c'est drôle non?
Pitié, on les relachera ... mais arretez ça... baissez vos yeux... pitié

Tu vois Maria... ils...ils sont ta force..., à chaque fois que tu douteras de ta force, tu regarderas ça...
Non ne me laissez pas, vous êtes celle qui m'a fait oser fuir, vous m'avez sauvé, s'il vous plait...
Je vais mourrir, alors prenez ce medaillon, il appartenait à votre mère... et rappelez vous qui vous pouvez être...

Elle serra la medaillon contre sa poitrine, et reprit conscience, garda pourtant les yeux fermés, sentant la force la parcourrir,
elle se concentra et repera aux bruits l'emplacement de chacun, la presence de chacun, leurs mouvements...

Elle entendit Yama lui parler et sa dernière phrase sonna comme un coup dans son coeur, elle ouvrit les yeux.
Elle préféra ne pas regarder Yama, de peur de l'effrayer,
ses yeux or semblaient bruler d'un feu ardent, ils étaient durs et cruels,
elle passa le médaillon à son cou, sa machoire contractée, elle poussa un grognement presque animal, où regnait la haine et la colère...

D'un bond elle se releva, et pliant ses genoux, en position d'attaque, elle regarda la scène qui se trouvait devant ses yeux...
_________________

--Gressiurs

Le troisième avait attrappée la jeune fille dans ses bras,
elle se débattait, hurlant, il poussa un cri sauvage à deux centimetres de son visage, devoilant ses horribles dents ravagées et comme taillée en pointe pour mieux déchiqueter la viande crue, dont il était friand.
Son visage n'avait plus grand chose d'humain, les fractures et les blessures à répétition qui cicatrisait de façon purulente lui donnait l'air d'une bête.

Il la souleva comme si elle avait été une simple poupée de chiffon, il la placa sur son épaule.
Un animal lui attrappa la jambe et apres un grognement, il lui décocha un grand coup de pied qui le fit valser à plusieurs mètres.

Puis il entra dans les thermes à la suite des autres, et referma la porte pour empecher la petite bete poilue de revenir,
il arriva dans la salle et poussant un cri il brandit la jeune fille au dessus de sa tête.

Le premier qui semblait être le chef et dont le visage était peinturluré de formes étranges, s'était jetté sur l'homme dans l'eau qui parlait,
il le fit couler au fond de l'eau, et de sa main droite il aggrippa l'autre jeune homme qui stationnait sur les marches et les emmena tous les deux dans l'eau, il planta ses dents dans le bras du premier et serra ses ongles sur le bras de l'autre.

Quand au troisième il avait vu la jeune femme se levée, il l'avait vu prendre une position de combat,
quand son compagnon arriva brandissant une jeune femme, il se dit que lui aussi il brandirait bien un petit bout de chai fraiche au bout des bras,
il se jetta sur la jeune femme et l'homme qui l'accompagnait.
Il courrut presque à quatre pattes et se jetta sur la jeune fille qui sautant en l'air bien plus haut qu'il ne l'aurait prévu l'évita, il finit donc sa course, sur l'homme à ses côtés,
lui enfoncant ses dents dans le mollet, il le plaqua au sol et attrappa son bras commença à le tordre dans l'autre sens.

Yamakun

Yama n'avait pas fait attention au premier monstre qui s'était jeté sur Judas et Derval, il était inquiet pour Latika, elle murmurait des choses incompréhensible puis il entendit un cri de bête sauvage, il se tourna et vit cette "chose" tenant une jeune femme au-dessus de sa.

Oh non...pourquoi lui ai-je demandé de partir...?

Soudain, son attention revint vers Latika qui d'un bond c'était relevé et adopter une posture de prédateur.
Il voulu lui parler mais...il était bien trop soucieux de voir la bête courir vers Latika. Soudain, il l'a vit sauter dans les airs...la fixant du regard.
Il ne reprit ses esprits que lorsqu'il sentit une vive douleur dans son mollet puis sans qu'il puisse bouger, il se fit plaquer au sol et sentit que quelqu'un ou quelque chose lui tordait le bras.
Il retient un cri...la douleur était tellement grande...il en avait le souffle coupé.

Comment...vais-je...faire pour....*longue pause*....me sortir de là?!

Il avait l'esprit vague, les idées ne circulaient plus...il ne pouvait plus bouger, ses membres étaient engourdis par la peur...il avait envi de s'enfuir mais son corps refusait.
Soudain, la bête tordit son bras encore plus fort, lui arrachant un cri de douleur qui résonna dans toute la pièce.
Il sentait son bras sur le point de céder...la douleur était si vive qu'il sentait son esprit prêt à s'éteindre, soudain...une image traversa son esprit...le visage de la femme qu'il aimait...

....Lati...ka....

Une violente montée d'adrénaline lui fit oublier tout se qui l'entourait, la douleur, cette bête difforme. Il voulait survivre...il lui avait promis qu'il ne lui arriverait rien.
Il sentit son sang parcourir tout son corps, réveillant son mollet endolori...sa main qui jusque là manquait de sang à cause de la pression qu'exerçait le monstre sur son bras.
Il tenta de se relever mais le monstre l'écrasa au sol.

*bruit étouffé* Tu...ne m'aura pas...je ne vais pas me laisser faire...

Il réessaya de se relever mais la bête força sur son bras, cette fois ci c'était trop, il retomba durement par terre...la bête lâcha son bras, lui mit un coup de pied dans les cotes pour qu'il soit allonger sur le dos, puis approcha son visage du sien.
Yama tressaillit en sentant l'haleine de la bête, sa puait la chair en décomposition. D'un mouvement brusque, il ouvrit les yeux et planta ses deux doigts dans les yeux du monstre, qui poussa un cri déchirant, laissant ainsi la chance à Yama de reculer pour se préparer à affronter ce démon.

Hamnel

Si enfant elle avait connu la brutalité humaine, Hamnel du faire un immense effort pour ne pas se laisser aller a la panique quand cette bete lui cria au visage dégageant une haleine fétide qui la répugna.

Rien dans ce regard ne donnait la possibilité infime de croire qu'elle pourrait l'amadouer. Et comme de fait, tout aussi brutalement il la mit sur son épaule, après avoir balancé le pauvre chien qui avait tenté de la sauver, allant s'écraser horriblement quelques metres plus loin dans une plainte qui démontrait qu'il était blessé.

Hamnel ne pouvait rien faire. Il la tenait si fermement qu'elle sentait ses griffes dans sa chair qui semblait se déchirer par la force de la bete.

Elle aurait aimé etre forte et de ne pas pleurer, mais la peur qui la prit fut elle qu'au moment où il la brandit au dessus de sa tete, elle pleurait et tremblait dans la crainte affreuse qu'il la lance comme une peau de chevre. Sans égard aucune pour l'etre vivant qu'elle était.

Ainsi, vit-elle un Latika bien étrange. Son regard d'or brulant de mille feux. Ses gestes devenus.... presqu'animal.... qu'elle se dit qu'elle était devenue une proie aux coeurs de pierres qui l'entourait, mettant la jeune femme dans ce lot.

Ses yeux se fermèrent pour quelques secondes et ainsi entendit elle les bruits qui l'entourait. Les cris des vrais hommes sous les griffes de ces betes féroces. L'eau qui remuait fortement. Des voix qu'elle ne parvenait pas à saisir les mots.

En vérité elle était si terrorisée qu'elle espérait tout simplement que sa mort soit instantané et non morbide pour subir des tortures interminables.

Pour la première fois, elle pria Aristote. Pensa a son papa Rasta qui ne supporterait pas de la perdre.

Ces griffes monstrueuses qui laccéraient sa peau la fit gémir de douleur. Ravivant le plaisir de la bete.

Tout ça, parce qu'elle avait voulu sauver.....une bete tout aussi cruelle.

--666

Latika

Hamnel

.judas.

)
_________________
Ayez confiance...

--Derval

Latika

Hamnel

Fraxie

Au même instant quartier du Lys…Fraxie rêvait....
_________________
L'important est dans ton regard et non dans la chose regardée...

--Mysterio

mysterio etait la il avait tous vu il regarder la scène impuissant et dans la minute suivante il avait disparu....

Fabiau

--666

Latika

Hamnel

Yamakun

--Gressiurs

--Derval

Il reprenait ses esprits, la jeune femme blonde était partie, elle était penchée sur un corps qui semblait presque sans vie.
Il referma les yeux, tentant de reprendre son souffle, et quand il les rouvrit elle était là, et lui souriait, il essaya de lui rendre son sourire mais grimaça.
Elle se pencha sur lui et lui prit sa tête dans ses mains avec douceur, il se laissa faire :
Je vais vous aider a vous levez si vous le voulez!

Elle n'eut pas le temps de continuer, sans qu'il s'en rendre compte, le dernier gressiur en vie, avait sauté sur la berge, l'avait attrappé, et avait mis un couteau sous la gorge.
Noonn!

Il se redressa mais Latika se mit devant lui :
Non! Derval, va aider Yama dans la pièce à côté je m'en occupes!

Il la regarda un instant mais son ton et son regard ne laissait pas la place à l'hésitation, il les contourna avec regret, se jurant de revenir les aider au moindre problème.

Il retrouva Yama et l'homme au tatouage, ce dernier avait le visage en sang, et Yama se trouvait dessus, avec une chaise dessus le bloquant, et lui parlant, il sourit à ces paroles.

Tout à fait d'accord Yama,
Derval pour vous servir, on va te tenir au chaud mon grand,
Maria va s'occuper de toi...
et pour l'avoir vu à l'oeuvre... je n'aimerais pas être à ta place!

Je connais déjà sa question, est ce que tu as prévenu son frère qu'elle était là??? Reponds!!!

Latika

Elle se prit un coup dans les cotes et en sentant quelques unes craquees, elle ferma les yeux, mais pas longtemps, les rouvrant elle ne vit plus le gressiur mais entendit ses pas sur le bord,
elle sauta sur celui ci et lui fit face,
mais elle reprima un cri.

Il tenait sous sa dague Hamnel dont les yeux étaient agrandis par la peur et la douleur.
Derval se releva mais elle tendit la main :
Non! Derval, va aider Yama dans la pièce à côté je m'en occupes!

Elle le vit s'éloigner, et regarda à nouveau le gressiur, fixant son regard, le sien était rempli d'une haine nouvelle, elle frissonnait de sa force qui la parcourrait, prendre son amie en otage avait la pire chose qu'il pouvait faire, elle l'amait trop, la voir souffrir ainsi, la fit frissonner, et un instant ses yeux croiserent ceux de Hamnel et elle eut peur, elle eut mal...

Elle se reconcentra alors, il était hors de question, hors de question qu'elle meurre bien sûr, Judas avait déjà payé, elle, il ne lui ferait pas de mal :
Lâches la! Je te jure! Lâches là!
Si tu ne le fais pas maintenant, je m'occuperais de toi, je te jure...
Tu me prieras de te tuer, mais je ne le ferais pas...
_________________

--Freloon

L'homme l'avait rejoint, ce Yama, il l'avait pris par surprise, l'avait frappé, l'avait attaché.
C'est là que l'autre arriva et lui posa les questions,
non il n'avait pas prévenu les autres, ils etaient seuls, s'il laissait Latika seule, c'est que les gressiurs étaient morts ou sur le point de mourrir.

D'un coup de rage et pour se libérer, il se dégagea, envoya Yama valser plus loin, se retrouvant coincé lui même sous sa chaise,
Derval le poursuivit, dans la grande salle, il ne fit pas très attention à la scène qui se déroulait dans la salle, le dernier gressiur en vie apparement avait reculé dans une des salles accolées,
il se retourna, prenant Derval par surprise et lui enfonçant son poignard dans le ventre, il le poussa dans le sudatorium et bloqua la porte, cassant l'ouverture, d'un coup de manche de poignard.

Il vit alors Yama revenir à la charge, et il courrut vers la sortie, vers le lac, et ne se retourna que quand il y arriva.

Fraxie

Fraxie avait couru comme jamais dans les rues de Mortagne, ses pas résonnant de rues en rues…
Il lui semblait en entendre d’autres derrière elle..peut être Ite qui la suivait..peut être l’écho….elle ne prit même pas le temps de vérifier….

Puis au détour d’une rue, les thermes enfin..
Au fur et à mesure qu’elle se rapprochait des cris de plus en plus distincts, certains presque inhumains…elle attrapa son couteau et le tint fermement dans sa main….
Les portes en étaient grandes ouvertes, des bruits de lutte résonnaient en ses murs, après quelques pas dans l’entrée, elle aperçut les taches de sang par terre…..son rêve était vrai…..elle frémis quelques secondes…elle n’avait point l’âme d’une guerrière….elle eu peur, oui, un peur affreuse qui lui glaça les entrailles mais qui se mua soudain en primitif instinct de violence quand au milieu des cris, des gémissements, des chocs sur la pierre elle entendit la voix gémissante d’Hamnel.

Elle se rua alors vers la piscine centrale, découvrant l’affreux spectacle des corps sans vie d’immondes créatures, …..Judas gisant livide au bord du bassin et ….. cet « homme » qui était en train de vouloir égorger Hamnel....

Il regardait latika de l’autre coté du bassin…..il lui tournait le dos….il ne l’avait pas vu entrer….

Lâches la! Je te jure! Lâches là!
Si tu ne le fais pas maintenant, je m'occuperais de toi, je te jure...
Tu me prieras de te tuer, mais je ne le ferais pas...

Latika elle, la vit aussitôt …..elle porta immédiatement sur elle son regard….un regard étrangement flamboyant….et lui désigna la porte du sudatorium....

Fraxie compris…..elle s’y précipita….la porte était fermée…..de derrière lui parvenait des gémissements de souffrance étouffés….
La poignée était cassé…..impossible d’ouvrir…..
Elle tenta quelques coups d’épaules….mais la porte ne frémit même pas….. Elle se pencha alors vers elle, regardant de plus près le mécanisme cassé…..elle fit glisser la lame de son couteau le long du chambranle de la porte …la lame forçait un peu…..puis butta …..d’un coup sec elle releva sa lame…..la porte s’ouvrit soudain…

Elle entra vivement dans la pièce et découvrit le corps d’un homme recroquevillé à terre, les deux mains sur le ventre….elle se précipita vers lui, s’agenouilla, découvrit son visage tordu par la douleur …..

Derval c’était lui, son charmant apollon de tout à l’heure, là étendu, gisant, se vidant de son sang …..

Pas de temps à perdre en sourire, elle lui écarta doucement les mains, le rassurant de quelques paroles, pour regarder sa plaie..elle était profonde mais nette…..mais il saignait, il saignait trop…. Elle finit déchirer un pan de sa chemise, la roula et la posa en boule sur la plaie..

Derval, Derval , vous m’entendez ?....ça va aller……vous pouvez appuyer là....le plus fort que vous pouvez…

Elle accompagna ces paroles en posant ses mains sur le tissu....Avec toutes les huiles qu’elle avait aperçues dans la salle de massage il devait bien avoir ici une sorte d’officine ….

Derval…dites moi savez vous où se trouve stocker les huiles et plantes……

Il avait du mal à lui répondre, respirant difficilement….elle lui caressa doucement le front, cherchant à se montrer le plus calme possible....

Salle de massage ?...c’est ça ?
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L'important est dans ton regard et non dans la chose regardée...

--Derval

L'homme se redressa d'un coup, les suprenant tous les deux, lui et Yama, ce dernier se retrouvant bloqué par la chaise, il partit à la poursuitre de Freloon seul, il le rattrapait dans la grande piscine, ne fesant pas garde à ce qui s'y passait, trop obnubilé par le fait de rattraper à l'homme avant qu'il ne puisse avertir quelconque renfort.

Celui se retourna brusquement, et alors qu'il vit quelquechose scintillait dans sa main, il sentit quelquechose de froid lui pénetrer le ventre, il comprit bien vite l'origine du scintillement, il venait d'être poignardé, sous le choc du coup, il ne put se retenir quand Freloon le poussa en arrière,
il se retrouva projetter au sol, dans une chaleur suffocante, le caldarium...
La porte se ferma et il entendit un grand coup contre celle-ci, l'homme avait du bloquer la porte.

Il voulut se lever, mais ne réussit qu'à ramper, il poussa de toutes ses forces, mais celle ci ne bougea pas d'un millimètre, la douleur étant trop violente, il s'allongea au sol, tentant d'y trouver un peu de fraicheur.

Il avait du mal à respirer, ne pouvait pas appeler à l'aide, seuls quelques gémissements, sortait de sa bouche entrouverte.
C'est là qu'il entendit des coups sur la porte, comme un espoir qui renaissait, il gémit plus fort pour signaler sa présence, un coup sec au niveau de la poignée, la personne maniant la lame qui le délivrait était bien futée, il n'avait même pas pensé à essayer.

Et c'est là qu'elle entra, la jeune femme de son massage, la si belle Fraxie, dont seuls les évenements si brusques et si tragiques l'avaient empeché de penser à elle.
Elle le regarda un instant, puis d'approcher de lui, elle écarta ses mains pour regarder sa blessure, même dans de pareilles situations, elle avait une grâce innée, qui la rendait si charmante,
il tenta de sourire, grimaçant seulement, et ferma les yeux, pour les rouvrir et découvrir non loin du sien qui lui parlait doucement.

Il lui obeit, et posa ses mains sur le chiffon, tentant d'appuyer avec les maigres forces qui lui restaient.
Elle lui demanda s'ils avaient des herbes et des huiles de soin,
il tenta de murmurer quelquechose, sembla que sa bouche n'arrivait plus à sortir de réels sons distincts.

Salle de massage ?...c’est ça ?

Il la regarda et lui fit oui de la tête, c'est tout ce dont il était capable, elle sortit en courant, emmenant avec elle la fraicheur qu'elle dégageait, il étouffa sans elle, quand elle revint, il lui attrappa la main, elle était si douce, même sous ses doigts douloureux.

Fraxie.... comment ... Latika... où... et Yama et le méchant.... où....
Il serra les machoires sous la douleur.
Je... je dois.... les.... aider....

Hamnel

*Hamnel concentre toi! Ne te laisse pas prendre par la peur. Respire ma belle. Respire* lui disait cette voix intérieur, comme si Jamal tentait de lui parler venant de là-haut. *Respire ... lentement*

Ce qu'elle se mit a faire. Au début, avec peine. Cette sensation horrible sous la gorge qui d'une fraction de seconde elle pouvait ne plus vivre était affreuse. Toutefois, elle y parvint.

*Maintenant, fait comme si tu t'évanouissais. Doucement mais devient molle. Il devra supporter encore plus ton poids et ainsi, se déconcentrer de son assurance il devra se réajuster, regarder ailleurs et....* lui disait toujours cette voix. Pourtant, elle lui fit confiance à cette voix. Jamal ? Sa conscience ou autre avait peu de valeur, juste qu'elle savait qu'il fallait qu'elle tente le peu qu'elle pouvait.

Donc, elle se laissa ramolir, devenant vraiment une poupée inerte. Comme si la peur avait eut raison d'elle qu'elle n'était qu'un lourd fardeau à suppporter, la lame touchant malgré tout la peau de sa tendre gorge.

Elle ne tremblait plus. Ne gémissait plus.

Aussi étrangement que cela puisse être. Elle se sentait drolement bien ainsi. Plus de douleur. Plus de penser. Plus rien. Le vide. Le vide de la concentration.

Fraxie

Fraxie partit à la course, au bord du bassin l’homme tenait toujours Hamnel mais une sorte de terreur habitait son regard posé sur Latika…

Elle ne s’attarda pas et entra dans la salle de massage… des restes de cordes sur une chaise …du sang là aussi…. …aucun lieux des thermes ne semblait avoir été épargné par la violence et la fureur…

Elle fit rapidement le tour de la salle et avisa une étagère encastrée dans le mur de pierre….elle en ouvrit les portes….et appela à elle de souvenir de sa sœur….il lui fallait du thym pour nettoyer et désinfecter la plaie…..utilisé aussi pour les douleurs musculaire elle eu tôt fait d’en découvrir un sachet…de la consoude aussi cela aurait été parfait pour la cicatrisation…mais un tel endroit n’en avait guère l’usage….il n’y en avait pas….elle ne vit rien d’autre qu’elle aurait put utiliser avec certitude….

Elle se mit donc en quête de trouver du fil et une aiguille, une marmite, des linges propres qu’elle finit par trouver dans une des chambres qui donnait sur les thermes….

Elle rejoint hâtivement Derval ….il était agité….il attrapa sa main et la serra dans la sienne....

Fraxie.... comment ... Latika... où... et Yama et le méchant.... où....
Je... je dois.... les.... aider....

Calme toi, calme toi……Latika va s’en sortir….Hamnel aussi……elle omit de dire qu’elle n’avais pas vu Yama, que judas semblait déja mort et qu’elle espérait dire vrai.....

Les braises étaient encore chaudes…..elle les raviva et mis la marmite d’eau à bouillir y jetant une grosse poignée de thym puis retourna auprès de Derval…

Il était blanc, la respiration courte, les yeux fermés ses mains juste posées, inertes, n’appuyaient plus assez sur le linge imbibé de sang…

Hooooo Derval, Derval !!!!!!!! hurla Fraxie en lui donnant des tapes sur la joue….pars pas, reste éveillé….ouvre les yeux, regarde moi…….

Il revint un peu à lui et la regarda dans un gémissement de douleur

D’une main elle tira sa flasque de gnole qu’elle emportait comme son couteau partout avec elle pendant que de l’autre elle lui relevait légèrement la tête…elle en fit sauter le bouchon avec les dents et la lui présenta au bord des lèvres….
Bois ça mon beau… Bois…tu vas en avoir besoin…

L’eau bouillait….elle s’éloigna de lui et y mis des linges à tremper….en sortit un qu’elle essora soigneusement, passa l’aiguille à la flamme puis revint à ses cotés…..Elle souleva celui souillé qui cachait sa plaie……il saignait beaucoup moins déjà cela la rassura….elle nettoya soigneusement la blessure avec l’infusion de thym…

Elle se tourna vers lui, reporta la flasque à ses lèvres et lui caressa doucement les cheveux…

Courage…. Ta plaie est propre, je ne crois pas que la lame ait fait de dégâts….en disant cela Fraxie pria pour ne pas se tromper….
Mais je vais devoir la refermer….je vais faire au mieux Derval…..l’impossible même…..
je vais essayer de faire vite….

Fraxie pris plusieurs longues et profondes inspirations, se concentra…puis rapprochant les chairs d’une main, elle commença de l’autre à le recoudre…
Le visage de Derval se crispa dans une plainte mais il ne bougea pas….

En quelques coups d’aiguille la plaie était refermée…..elle la nettoya à nouveau, puis posa dessus un linge sec et lui entoura le corps d’une bande de tissu pour la maintenir…

Elle avait fait son possible…pourvu que ce soit suffisant, qu’elle n’ai commis aucune erreur…

J’ai finis…..ça va aller.... ça va aller dit elle comme pour se rassurer aussi…elle s’assit à coté de lui, mis sa tête sur ses genoux, déposa un baiser sur son front…refoulant les larmes qui envahissait ses yeux….regardant avec appréhension par la porte entrouverte ce qui se passait au bord du bassin…..
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L'important est dans ton regard et non dans la chose regardée...

--Derval

Elle revint vite heureusement, rapportant avec elle, une bouffée de chaleur, et d'air frais, il respira à nouveau.
Elle s'occupa de lui, les differents mouvements, les differentes actions étaient flous et mélangées...

Il sentit une grande douleur, il entendit sa douce voix, il ressentit une grande chaleur, il se mordit la lèvre pour ne pas crier...
Elle lui donna à boire, la fraicheur... suivie de la chaleur, tout comme l'effet qu'elle lui fesait...

Elle lui dit que c'était fini... elle prit sa tête sur ses genoux, tenta de le réconforter, déposa un baiser sur son front.
Il sourit et lui prit la main, la posa sur son coeur, il leva les yeux vers elle, et vit des larmes dans ses yeux, il serra la main dans la sienne.

Merci... je ne saurais vous dire... combien votre présence me réconforte...
Je... j'aurais préféré vous revoir dans d'autres circonstances!

Dites ... que se passe t il là bas? Plus de danger, sinon je ne supporterais que vous risquiez quoique ce soit en restant là....

Latika

Latika ne savait vraiment pas comment se sortir de cette situation, elle regardait avec horreur, Hamnel dans les bras de cet être affreux.
Elle vit l'homme au tatouage courrir, suivi de Derval, un bref affrontement, et Derval qui se fait enfermé dans le sudatorium.

Elle ne comprends pas tout, juste qu'elle ne peut pas l'aider,
et c'est là que Fraxie arriva, d'où venait elle, elle ne le savait pas, elle savait juste qu'elle serait d'une aide précieuse, elle lui montra la porte derrière laquelle se trouvait Derval, et elle vit celle ci s'y diriger acquiescant.

Elle retourna la tête vers le gressiur, et vit que son expression avait changé, il semblait géné, et quelquepeu mal à l'aise, elle observa Hamnel et vit avec peur que celle ci semblait comme une poupée désarticulée,
elle faillit hurler, quand elle entendit un faible son, elle se concentra sur son ouie, et entendit le sang de Hamnel battre dans ses veines, faiblement certes, mais il battait.

Elle jouait... elle fesait semblant... Latika décida de rentrer dans son jeu, elle prit un air désespéré puis rageur, et hurla au gressiur :
Tu l'as tué, tu es content!
Tu l'as tué... et tu viens de perdre ta dernière monnaie d'échange!
Alors lâches là, et viens... viens faire face à la mort!

Elle pria qu'il ne lance pas comme le vulgaire cadavre, qu'il croyait que c'était, pour lui, et le regarda menacante.
Heureusement pour Hamnel il la laissa juste tomber à ses pieds, celle ci joua le jeu et ne broncha pas, elle jouait d'ailleurs vraiment bien le jeu, et Latika espera un instant ne pas s'être trompée sur son sort.
Mais elle ne se laissa pas beaucoup de temps de réflexion et d'observation, et sauta litteralement à la gorge du gressiur, entourant ses jambes autour de sa taille, et placant ses mains le long de sa tête.

La force de son saut fit reculer le monstre de quelques pas, libérant Hamnel sous lui.
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Fraxie

Il la regarda et ses yeux osèrent enfin plonger dans les siens, d’un bleu profond à se perdre, se noyer….il lui sourit et un instant Fraxie oublia et le lieu et sa peur ….il pris sa main et la posa sur son cœur….sous sa paume sa chaleur, de sourds battements…sa main dans la sienne…elle se sentit légèrement rosir…..un bref instant il n’y avait plus que lui….qu’eux….

Merci... je ne saurais vous dire... combien votre présence me réconforte...
Je... j'aurais préféré vous revoir dans d'autres circonstances!

Elle aussi, oui…..

Dites ... que se passe t il là bas? Plus de danger, sinon je ne supporterais que vous risquiez quoique ce soit en restant là....

Ce qui se passe là-bas ?...je ne sais pas….je ne comprends pas ce qui arrive …..

Retombant brutalement sur terre, elle se pencha pour mieux observer ce qui se passait au bord du bassin….Hamnel était à terre, Latika, accroché à la créature semblait prendre le dessus dégageant un aura rageur et guerrier….
Mais combien étaient ils, combien en restaient ils…..elle ne savait pas…..et rester dans cette pièce à l’unique issue pourrait vite se révéler un véritable piège à rat…

Vous pensez pouvoir vous lever…je vous aiderais...il serait préférable de sortir d’ici je crois…..
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L'important est dans ton regard et non dans la chose regardée...

Hamnel

Hamnel dans ce temps d'éloignement pour être le plus crédible possible ne pensait plus à rien. Juste un immense vide. Jusqu'au moment où elle se sentit tombée sur le sol froid. Le froid la fit revenir à la réalité.

Elle ne bougea tout de meme pas. Pas encore. Il fallait que ce monstre s'éloigne d'elle si elle ne voulait être écrasée vive.

Lentement elle ouvrit les yeux pour voir une Latikq sauter a la gorge de cette chose, et sur le coup il recula. Elle ne se leva pas vivement pour autant. Il fallait qu'elle reprenne son souffle régulier et aussi, agir avec lenteur. Ne pas se faire voir. Alors en douce, elle alla chercher dans sa braie sa dague bien cachée. Certes, ceci ne le tuerait pas, seulement, cela aurait le don de l'agacer, donnant une chance de plus à Latika d'avoir l'avantage et ensuite elle s'éloignerait allant voir par où était passé Fraxie ou retourné près de Judas...

Elle se leva donc, en douceur et tout aussi en douce, elle alla derrière cette abobinable créature et lui planta sa dague dans un bras et disparue.... s'en allant vers où Fraxie était partie plus tot.

Il ne fallait surtout pas qu'Elle reste proche, elle n'était pas de taille contre ça! Trop délicate et pas assez forte.

Fraxie.... appela-t-elle quand meme en allant vers l'arrière. Fraxie?! Jetant au passage un regard vers Judas qui ne se réveillait pas. Qui en fait, était surement mort après tout ce temps passé sans réaction. Retenant ses émotions, elle ferma les yeux pour passer à coté de lui.

.judas.

Ouvrir un oeil...puis l'autre...Dieu qu'il était bien dans son rêve.
Tout y paraissait si évident, si calme et reposant. Il avait suivi les lignes de lumières un bon moment, et la musique était divine....

Puis ses pas étaient devenus de plus en plus lourds, et le décors se mit à défiler à l'envers avant qu'enfin...

Ouvrir un oeil....puis l'autre...

Ses sensations corporelles se rappelèrent progressivement à lui ; la froideur du sol, l'humidité de ses vêtements, la douleur de ses muscles...

En ouvrant les yeux, il vit l'eau, calme.
A la voir, il l'a sentait s'infiltrer dans ses poumons, envahir son corps, lui fermer les yeux...
A ce moment précis, Judas n'avait pas la force de se relever, tout juste se redressa-t-il avant de se trainer quelques mètres plus loin;le temps pour lui d'apercevoir Hamnel s'enfuir, et Latika, seule face à une créatur sans nom...

Respirer...se redresser...revivre....puis se relever.
Ses amies avaient encore besoin de lui et seule la mort pouvait le stopper...
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Ayez confiance...

--Gressiurs

La partie était finie,
ses deux acolytes étaient morts,
son maitre avait disparu, poursuivi, et pour peu qu'il arrive à s'enfuir, il ne viendrait pas le chercher.

Il lâcha la faible proie qu'il tenait dans ses mains,
il ne fut même pas réjoui de l'avoir apparement tué,
celle ci s'écrasa à ses pieds.

L'assaut fut violent, Latika lui sauta dessus, le fesant reculer brutalement, il ne se débattit qu'à peine.
Il se fit projeter contre le mur, et il sentit en même temps la morsure d'une lame dans son bras.
Il jeta un coup d'oeil et vit la jeune femme qu'il pensait avoir tuée à l'instant, qui s'échappait, plus vivante que jamais.

La rage et l'humiliation lui donna quelques forces supplémentaires,
il se retourna brutalement, fesant face au mur, et prenant de l'élan, il se propulsa contre celui ci afin d'exploser Latika dessus.

Pendant la course, il sentit cependant les bras expert de la femme autour de son cou, se tourner d'un coup sec, il entendit les os de son cou craquer,
il ressentit la douleur, breve mais intense, et puis plus rien...

Il ne se sentit pas continuer sa course, entrainé par son poids,
il n'entendit pas le corps de Latika s'écraser sur le mur,
il n'entendit pas son cri de douleur,
il ne se sentit pas glisser au sol,
il ne la sentit pas s'écraser sur lui...
plus rien...
c'est ainsi qu'agit la mort...

--Derval

Ce qui se passe là-bas ?...je ne sais pas….je ne comprends pas ce qui arrive …..

Elle se pencha, tentant de voir à travers ce qu'il se passait,
il ne pouvait réfléchir, juste espérer que Latika n'avait rien,
qu'ils allaient tous s'en sortir.

Vous pensez pouvoir vous lever…je vous aiderais...il serait préférable de sortir d’ici je crois…..

Oui je pense que vous avez raison, je vais m'appuyer sur vous...

Il se releva avec difficulté, s'appuyant sur son épaule, mais ne voulant pas appuyer trop fort, réprimant les cris et les grincements de dents,
il ferma les yeux, reprenant ses esprits.

Ils entendirent alors une voix appeler Fraxie, et la jeune fille blonde qu'il avait rattrappé toute à l'heure, passa par la porte du sudatorium,
elle avait l'air d'aller plutôt bien, il s'en trouva quelque peu rassuré.

Il faut... sortir d'ici...

Hamnel passa un bras sous son autre bras, et soutenu par les deux femmes ils sortirent de la pièce suffocante,
l'air de la grande salle lui fit du bien, il découvrit Latika et le dernier gressiur en pleine bataille,
il ne savait que faire, terrible dilemne que celui de vouloir l'aider mais de savoir qu'on rique plus de la gêner...

Ses yeux tombèrent sur le corps sans vie de Judas... sans vie... pas si sûr,
sa poitrine semblait bouger.

Je crois... je crois qu'il est vivant...

Ils s'approcherent tous les trois à grande vitesse, et tandis que Judas ouvrait les yeux, ils entendirent un grand craquement, puis un grand fracas, suivie de peu du cri déchirant de Latika.

Il leva les yeux et la découvrit s'affalant sur le cadavre du dernier gressiur.

Latika!!!!!!!!

Hamnel

Hamnel en apercevant les deux jeunes gens comprit tout de suite la situation et vint de l'autre coté de Derval pour l'aider a avancer avec Fraxie.

En sortant l'air plus fraiche lui fit du bien. Parce que sans s'en rendre compte l'air était très humide dans la pièce qu'ils venaient de quitter.

Seulement, croyant ferme que Juda était mort, Hamnel se sentit se figer l'espace d'une fraction de seconde quand le jeune dit qu'il vivait alors que pas loin d'eux Latika menait une bataille qui serait le sort qu'aurait tous ces gens de Mortagne. Si le Monstre vivait il en serait terminé d'eux alors que l'inverse... serait leur victoire.

Évidemment, Hamnel ne savait pas se qu'il en était réellement. Sauf que pour l'instant, en regardant Latika s'affaler sur la bete, elle n'eut qu'une réaction d'aller voir si elle allait. Pour le moment elle ne bougeait pas et laissa à Derval et Fraxie le soin de voir ce qu'il en était de Judas. Après elle verrait.

C'est donc en regardant la créature, qu'elle s'approcha craintive près de Latika et la secoua quelque peu pour savoir si elle était consciente ou pas en disant.

Latika!!!

Fraxie

Hamnel et Derval qui reprit quelques couleurs à l’air frais, résonnèrent du même cri en voyant Latika s’effondrer sur la créature.
Fraxie elle arrivée tardivement sur les lieux et ne savait combien il en restait, s’apprêtant à voir surgir à tout moment un autre de ces êtres...Elle ne savait pas non plus depuis combien de temps Judas était allongé ainsi apparemment inconscient, mais sans doute bien plus que cela, aux regards stupéfaits que les autres portèrent sur sa poitrine agitée d’un léger souffle….et au souvenir du rêve qu’elle avait fait et qui l’avait conduit ici….

Hamnel était déjà auprès de Latika, Fraxie abandonna le bras de Derval, lui demandant de rester le plus calme possible afin de ne pas trop forcer sur sa blessure, et au prise à l’idée de les mettre vite et tous rapidement à l’abri d’un nouveau danger, elle se pencha au dessus de Judas…il respirait faiblement, les yeux mi-clos, le teint blafard, les lèvres légèrement bleutée….il revenait de loin ne put elle s’empêcher de penser….à moins qu’il y repartait..
Elle l’attrapa par les épaules le secouant légèrement pour le faire réagir, puis lui tapota les joues….il ouvrit les yeux et dans un hoquet recracha un peu d’eau…..

He Judas..c’est pas le moment de faire la sieste lui dit elle en lui souriant rassurée

Elle l’aida à s’asseoir puis lui tendit la main pour l’aider à relever….quand il fut debout, face à elle, chancelant, certes mais bel et bien vivant elle le serra brièvement dans ses bras…

Contente de te revoir parmi nous l’ami...

Puis elle se tourna vers Hamnel pour savoir ce qu’il en était de Latika….
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L'important est dans ton regard et non dans la chose regardée...

Hamnel

Devant l'inertie de Latika Hamnel commença sérieusement à s'inquieter. regardant Fraxie et Derval elle su que Judas étaient entre de bonnes mains qu'elle revint a la jeune femme et la secoua un peu.

Peine perdue, elle ne broncha pas. Si ce n'était que de glisser un peu du corps puant et morbide du monstre.

Elle la tira donc par le bras pour commencer, et dès qu'elle le pu, elle la pris par la taille, a bras le corps et vint l'étendre sur le sol assez loin de la créature pour ne pas trop craindre d'un sursaut de vie et de violence subite.

Était-elle évanouie par le choc du coup? Ou morte ? Pourtant Hamnel avait peine à percevoir si elle respirait ou non. Et a l'apparence qu'elle avait, elle dû s'avouer qu'elle la craignait si elle venait à se réveiller et la prendre pour une ennemie. Elle risquait gros.

Le plus étrange, c'est que l'endroit avait retrouvé son calme. L'eau du bassin central, était a nouveau silencieux, et c'eut été de son eau rougit tout aurait semblé naturel.

Fraxie, il faudrait aller chercher de l'aide. Seule toi ou moi peut le faire. Alors j'y vais.

Ce qu'elle ne disait pas, c'est qu'il fallait qu'elle sorte de ce lieu. L'air commençait a lui faire défaut. Elle ne se sentait vraiment pas bien. Elle quitta donc les lieux lachement pour se rendre au dispensaire.

Latika

Elle fit tourner ses bras autour du cou de l'infâme créature,
elle entendit ses os craqués,
en elle un profond soulagement l'envahit, c'était fini,
enfin du moins les monstres étaient tous morts... ils allaient pouvoir s'en sortir, ils allaient pouvoir...

Un grand bruit, une grande douleur, un cri, son cri...
Ses yeux sont fermés, elle se sent tombée, se sent tirée, elle est etendue, elle ne sait où,
la force la quitte, elle veut se retrouver, redevenir elle.

Elle se concentre, ne plus rien ressentir, elle la sent s'en aller, elle se sent devenir faible,
et c'est là qu'elle comprend que en même temps que sa force la quitte, les douleurs se font plus fortes, elle ressent chacun de ses muscles, chacun de ses os qui a craqué...

Elle serre les dents et reprend vie au moment où elle voit la silhouette de Hamnel s'en allait, elle tourne la tête et aperçoit de l'autre côté de la piscine Judas debout, chancelant devant Fraxie et juste à leur côté Derval,
ils n'avaient pas l'air completement indemne, mais ils étaient vivants.

Elle ferma les yeux.
Il ne manquait que Yama et le chef par qui tout avait commencé, où étaient ils tous les deux?

Elle rouvrit les yeux et tomba sur le regard de Derval, elle lui sourit et ils resterent ainsi un instant.
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.judas.

Mouillé des pieds à la tête, frissonant du froid de la mort qui l'avait manqué de peu, Judas reprit peu à peu conscience. Il ouvrit les yeux complement et vit Fraxie. Une fois relevé, il la regarda, un sourire s'illumina sur son visage alors qu'il essayait de se remémorer les evenements irréels qui venaient de se produire.

Autours d'eux, plus aucune agitation, comme si rien ne s'était produit, Fraxie l'etreint brièvement, ils furent heureux et eurent beaucoup d'enfants...(Non je plaisante, mais depuis le temps que je rêve d'écrire ça...)

Euh donc, leur corps se séparèrent, le regard hagard, Judas dis ce qu'il avait de mieux à dire sur le moment...

"Bon, c'est décidé, plus jamais je ne me baignerais, et le prochain qui me parle de cours de nage, je...je...me bouche les oreilles

"

L'heure n'était pas à la plaisanterie, mais que voulez vous, la légereté n'était pas pour lui un choix...c'était une necessité...
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Ayez confiance...

Hamnel

Hamnel rentra dans les thermes completement épuisée, qu'un peu elle se serait écroulée, mais il y avait encore à faire, et voyant rentrer Hannalin, elle lui montra Latika...

Tant qu'a elle, bien, voyant que Judas était debout, elle s'approcha du Trio et demanda s'ils devaient tous sortir.

C'est qu'elle ne voulait vraiment pas rester ici.

Hannalin

Hannalin fut paniquée devant tant de désolation!
Les thermes si beaux avaient été le témoin d'une horrible boucherie!
Au sol gisaient, heureusement inertes, d'affreuses créatures informes!
D'un coté elle vit Fraxie soutenant un homme qu'elle ne connaissait pas (fort séduisant au demeurant!!!

) et Judas, tous deux avaient l'air bien amochés
Hamnel se dirigeait déjà vers eux........

De l'autre coté de la grande piscine, elle vit Latika, étendue sous l'un des énormes monstres, inconsciente!

Mon Dieu, faites qu'elle vive encore

Voyant le Trio prendre la direction de la sortie avec Hamnel, Hanna se dirigea vers Latika.
Elle fut agressée par l'odeur nauséabonde dégagée par l'horrible bête, mais Latika avait besoin d'elle, elle s'approcha. Le monstre ne respirait plus.
Elle dégagea Latika en prenant soin de ne pas causer de traumatismes supplémentaires.

Qu'il est lourd cet affreux!!!!!!!!

Une fois dégagée, elle s'agenouilla aux cotés de la jeune femme, elle avait du livrer une terrible bataille, vu les blessures et les ecchymoses qui couvraient son corps
Heureusement elle respirait encore, faiblement mais la vie était toujours là!!!!
Hanna plia sa cape et la mit sous la tête de Latika et commença à vérifier les différentes blessures et surtout ses fonctions vitales.
Certes, aucun muscle ne semblait avoir été épargné, mais pas de blessure mortelle à déplorer, semblait-il.......

Hanna prit sa besace, il fallait commencer à tout soigner, heureusement elle avait pris un minimum de survie.
Cette femme a fait preuve d'un très grand courage pensa-t-elle

Elle commença à soigner Latika sans penser une seconde au décor sordide qui l'entourait, elle savait que bientôt de l'aide allait arriver.......

Mais que s'était-il passé ici, qui étaient ces monstres ?
qui pourrait lui répondre, et aurait elle un jour une réponse???????????,
_________________

Un jour, peut être!!!

Latika

Latika senti qu'on s'occupait d'elle,
on lui appliquait des paumades,
elle ouvrit la bouche et aspira un grand bol d'air frais,
elle tenta d'ouvrir les yeux, lutta au début puis doucement, y arriva.

Elle ne comprit pas ce qu'il lui arrivait,
elle entendit la voix de Derval, elle sentit ses bras qui la portait,
elle sentit un lit sous elle, reconnut le sien, elle revit la femme qui était là à son reveil qui se tenait à ses côtés.

Elle vit Derval non loin d'elle, elle arriva à articuler :
Derval où? où sont les autres? qu'est ce qu'il s'est passé?
Tout va bien?
Et où sont Yama et l'autre horrible...

Elle sentit une grande fatigue et referma les yeux, s'endormant alors plus profondement.
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Hannalin

L'homme qu'elle ne connaissait pas était revenu l'aider et avait porté Latika jusqu'à sa maison derrière les thermes,
Il l'avait déposée avec une infinie douceur sur son lit.
La jeune femme était à nouveau inconsciente, elle avait essayé de parler, elle s'inquiétait pour d'autres personnes,
plus que pour son propre sort semblait-il.

Hanna se posait de plus en plus de questions, tout en continuant de veiller sur son repos et sur ses plaies.
Elle savait qu'elle ne poserait aucune question à la jeune femme,
elle espérait juste que le passé celle-ci ne mettrait pas le village en danger.
Imaginer qu'il pouvait y avoir d'autres de ces créatures monstrueuses cachées dans un coin sombre,attendant leur heure, terrifiait Hanna.

Certes elle avait Bébèr pour la défendre, mais elle ne se faisait pas trop d'illusion sur ses capacités face aux horribles personnages........

Elle attendrait patiemment que Latika se sente mieux, elle était quand même très surprise de sa résistance physique.
Quelle force mystérieuse l'animait? Comment avait elle survécu?
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Un jour, peut être!!!

--Derval

[piscine]

Il vit Judas se reveiller, Fraxie et Hamnel étaient à ses côtés et semblaient plutôt en forme.
Avec Hamnel était arrivée une femme qui s'approcha de Latika,
il emmena tout le monde dehors et les regarda avec reconnaissance.

Merci pour tout, tous les trois, Judas, remet toi vite, et promis plus de bain approvisé, je suppose qu'on vous devra sûrement une explication et nous serons prêt à répondre à la plupart de vos questions, mais plus tard, je pense que l'on a tous besoin de repos et de tranquilité après ce qu'il vient de se passer.

Merci encore, rentrez bien, à très bientôt et dans de meilleures conditions je l'espère bien.

Il les regarda encore avec une certaine reconnaissance, ces gens les avaient aidés sans demander leur reste, sans demander quoique ce soit, et ils avaient risqué leur vie.

Il les regarda s'éloigner tous les trois, et après un instant à reprendre son souffle, il se redirigea vers les thermes, s'approcha de Latika et de la jeune femme, et la prit dans ses bras.

Suivez moi madame, nous allons la déposer dans son lit, loin de cet endroit ça ira mieux!

Il les emmena toutes les deux, et installa Latika dans son lit, et regarda la jeune femme s'occuper encore de Latika.

Celle ci se reveilla, et l'interpella, lui posant de nombreuses questions.
Les autres vont bien ma belle, ils sont rentrés se reposer chez eux, ne t"inquiètes pas, reposes toi!
Quand à Yama et l'autre, je ne sais pas, reposes toi, je promets que je vais m'en occuper!

Puis il sortit en dehors de la maison, et respira un grand coup, Yama devait se débrouiller, il se sentait lâche, mais il n'en avait pas envie, pas envie de se remettre à courrir...

Il se dirigea alors vers les thermes, et y entra, voyant les dégats, il comprit que pour se calmer, rien ne vaudrait de tout remettre en ordre.

Il fit glisser le corps des trois horribles bêtes, et les entassa les uns sur les autres, puis y mit le feu.

Rentrant à nouveau dans les thermes, il ouvrit les vannes de tous les bassins, un changement de toutes ces eaux n'était pas du luxe, et arrangerait tout le monde.

Il astiqua, nettoya toutes les pièces, rangea les meubles et les serviettes,
il alla mettre dans le feu tous les dechets, et la chaise cassée.

Il remit alors tout en eau, l'eau propre et le nettoyage avait rendu la fraicheur à l'endroit.
Il alla même dehors recherché des fleurs, qu'il mit dans les vases renversés, il alluma alors toutes les coupes d'huiles essentielles, celles ci dégageant une bonne odeur.

Au fur et à mesure que les huiles essentielles se repartissaient dans l'air ambiant, il enlevait et semblait effacer toutes les horreurs qu'il venait de se passer.

Il alla ensuite ramasser les cendres du grand feu, et les enterra au fond d'un grand trou, il s'assit alors au milieu du grand champs d'herbe devant la maison, il savait qu'il devait retourner voir si Latika allait bien, partir à la recherche de Yama et de l'homme par qui tout avait commencé, mais il était fatigué, fatigué de tout ça...

Il s'allongea sur l'herbe, la nuit était tombée depuis bien longtemps, et il ne savait même pas quelle heure il était, il ferma juste les yeux tentant de reprendre ses esprits.

Latika

[Maison derrière les thermes]

Elle ouvrit les yeux, et tomba sur un visage infiniment doux qui semblait la veiller,
un visage qu'elle ne connaissait pas mais qu'elle avait déjà aperçu il n'y a pas longtemps.

Elle se rappela avoir dormi, combien de temps, elle n'en savait rien.

La jeune femme semblait aussi quelque peu dans ses pensées,
elle tendit la main et avec hésitation la posa sur la sienne,
esquissant un sourire.

Merci... c'est à vous que je dois de me sentir mieux...?
Je ne sais même pas à qui j'ai l'honneur de parler...

Elle tenta de se relever, fesant craquer quelques os endoloris et grimaça, puis s'asseyant dans le lit, elle regarda la jeune femme en souriant un peu sonnée encore.
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--Derval

Il ouvre les yeux à nouveau, sur le ciel étoilé.
Il soupire.

Il sourit.
C'est fini, du moins il l'espère.

Il se demande comment ils pourront les remercier.
Il se demande ce qu'ils vont devoir dire.
Il se demande ce qu'ils vont pouvoir dire.

Et puis non, il se dit juste qu'il veut ne plus y penser.
Cela restera dans les mémoires, mais si seulement on pouvait faire comme si rien ne s'était passé.

Il n'a pas entendu la jeune femme partir.
Elle doit être encore avec Lati.
Elle l'aurait appelé s'il y avait besoin.

Il ferme les yeux.
Il se revoit tout jeune, avec Falgius.
Il se revoit en haut des chênes du parc du chateau.
Il se revoit chantonnant à tue tête.

Et là il vit un visage... un joli visage...
Il se dit qu'il devait aller voir comment elle allait...

Il se leva d'un bond, regarda la maisonnette en souriant,
et partit un peu moins sûr de lui vers sa maison à elle.

--Valouuu

Elle s'était réfugiée chez elle, depuis que le sire Derval le lui avait demandé, mais elle ne cessait de tourner en rond.

Elle avait essayé de dormir, de manger, rien n'y fesait...
Elle décida de prendre son courage à deux mains et partit vers les thermes.

Quand elle y arriva, plus un bruit, tout était calme,
elle s'attendait à voir l'affreux monsieur du départ, ou autre, mais rien.

Elle s'approcha et entra dans les thermes, ils étaient déserts, mais parfaitement propres, ils sentaient bons même,
elle parcourrut les pièces, cherchant une trace, un indice mais rien, rien ne lui indiquait ce qu'il s'était passé.

Elle ouvrit grand les portes et fit rentrer l'air frais dans la batisse, dissipant quelque peu les odeurs fortes d'huiles essentielles.

Elle se dirigea alors vers la maisonnette de dame Latika et c'est là qu'elle la trouva avec une autre femme qu'elle ne connaissait pas.

Elle se présenta : Valou, au service de dame Latika, elle demanda de ses nouvelles,
et comme dame Latika semblait s'en remettre, elle la regarda avec la tendresse des vieilles femmes qu'elle avait dans ces yeux et lui promit qu'elle s'occuperait des termes tant qu'elle en aurait besoin.

Elle lui sourit alors, et alla devant les termes, avisant un petit garçon qui passait, elle lui donna quelques écus pour aller chercher les autres femmes qui travaillaient ici,
puis elle ferma un des battants des thermes et laissa l'autre ouvert comme à leur habitude.

Les thermes reprenaient du service, elle s'en assurerait.

Hannalin

Latika dormait et Hanna était partie dans ses pensées
Elle sursauta lorsque celle-ci posa sa main sur la sienne.....

Surtout restez tranquille, je suis Hannalin, mais tous mes amis m'appellent Hanna.
N'essayez surtout pas de bouger, vous êtes encore très faible. Je vais rester près de vous jusqu'à ce que vos amis reviennent, je veillerai sur vous, vous pouvez dormir et vous reposer maintenant

Hanna n'avait pas entendu la vieille femme arriver, elle sursauta à nouveau mais se rendit vite compte qu'il n'y avait aucun danger!
Cette jeune femme avait vraiment des amis dévoués, il faudrait qu'elle apprenne à la connaitre dans d'autres circonstances
Latika s'était rendormie, elle semblait apaisée maintenant
Hanna se promit de préserver cet instant de repos
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Un jour, peut être!!!

Hannalin

Hannalin veillait toujours sur Latika qui dormait paisiblement
la première partie de son sommeil avait été agitée, mais là elle était complètement détendue,
même ses traits semblaient apaisés...

Hanna ne pouvait rester davantage, elle savait que la jeune femme était tirée d'affaire, et qu'il n'y avait plus rien à craindre désormais,
la période critique était passée, elle pouvait la laisser
Certes elle garderait longtemps les traces de son combat, ecchymoses, plaies, cicatrices, mais avec un peu de soins et beaucoup de repos, cela devrait passer!

Elle se leva, prit sa gibecière,(celle-ci l'accompagnerait dans son voyage, on n'était jamais trop prudent!), et rejoignit l'extérieur.

Elle trouva Derval allongé sur l'herbe devant les thermes, lui aussi semblait épuisé!
Elle s'approcha doucement, ne pas le faire sursauter surtout!

Bonjour, vous vous souvenez de moi,
Votre amie est tirée d'affaire maintenant, elle a juste besoin de repos,
Surtout ne la laissez pas se lever avant 3 jours, ses plaies se rouvriraient....
Je vous laisse des baumes pour ses bleus et d'autres pour ses plaies, à appliquer 2 fois par jours jusqu'à disparition des premiers, et cicatrisation des secondes
Prenez soin d'elle, elle en a besoin,
Je dois vous quitter, je prends la route ce soir,
Mais je reviendrai, j'espère que vous serez toujours là à mon retour
Au fait, moi c'est Hanna!

Hanna s'en alla aussi vite qu'elle était arrivée sans comprendre ce qui s'était passé aux thermes, mais en se promettant de taire leur histoire.........
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Un jour, peut être!!!

Latika

Elle se reveilla et rencontra la jeune femme qui l'avait aidé.
Elle se sentait reposée et presque sans douleur... presque...

Elle reussit à murmurer :
Enchantée Hanna, j'espère vous revoir dans de meilleures circonstances...
Merci... Merci pour tout...

Elle se rendormit, se reveilla, se rendormit encore...
durant deux jours...
et quand elle se reveilla, elle vit le doux visage de Derval à ses côtés, elle sourit tendrement, et lui prit la main.

Celui ci lui annonça quand allant faire un tour dans le village, il avait appris le départ de Fraxie, elle décida d'y aller.

Derval refusa premierement de la laisser sortir, mais il dut comprendre qu'il n'était pas question de la laisser manquer ce moment.

Il l'aida à s'habiller, elle fit glisser une longue robe blanche, sur son corps encore couvert de bleus et de quelques plaies qui peinaient à s'en aller.

Au moment de partir, Derval ne voulut pas la suivre, elle dut user de tous ces arguments pour le faire venir.
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--Derval

Derval après s'être fait embarqué à la fête d'adieu de Fraxie et Grenade, ramena Latika à la maison.

Elle s'allongea sur le lit et alors qu'il préparait le diner lorsqu'il revint, elle dormait déjà.
Il sourit, grignota quelques morceaux de viande et puis s'allongea à ses côtés, refermant ses bras autour d'elle comme pour la protéger d'un danger alors pourtant innexistant à cet instant.

Il ferma les yeux et pensa à Fraxie, il ne savait où il en était,
il aimait être avec cette femme,
mais il n'y a pas si longtemps elle avait voulu en suivre un autre,
et il n'avait jamais aimé, que cela donnerait il?
Il avait peur...

Et laisser Lati jamais, c'était sa famille, sa vie...
Il serra un peu plus les bras autour d'elle.

Tiamarys

Jeanne était partit au lavoir avec une pile impressionnante de linge. Tiamarys sourit à sa servante. Elle était heureuse de l'avoir à son service.

Elle sourit tendrement à Paillard.

Dis mon coeur, je suis très tentée par un bon bain chaud...
M'accompagnerais tu aux thermes que nous avons vu en arrivant.
L'idée d'une eau claire, chaude et parfumée glissant sur ma peau m'enivre par avance!
Et puis nous allons avoir du linge propre que Jeanne aura parfumé...Ce serait sacrilège de le porter sur un corps sale.

Elle lui sourit canaille. Elle lui prit la main et l'entraina à sa suite vers la salle des bains...

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Latika

[maison]

Ils avaient traversés la ville nue, et n'avait croisé heureusement que peu de personne et personne de connu,
mais cela les avait fait plus rire qu'autre chose,
c'est le sourire aux lèvres qu'ils arrivèrent chez elle,
il l'avait porté comme une mariée, ses bras autour de son cou,
il la déposa tendrement sur le lit, et se glissant contre elle,
il s'endormit rapidement, ses bras autour d'elle,
elle se serra un peu plus contre lui, et riant doucement,
elle le regarda, tournant légèrement la tête.
Mais c'est qu'il est presque attendrissant quand il dort ce petit!

Elle ferma les yeux, posa sa tête sur son bras, glissa son bras contre son torse et s'endormit elle aussi.
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Allyxia

A l'accueil des bains

Depuis le temps qu'elle en parlait...Allyxia s'était enfin décidée. Aujourd'hui, elle prendrait le temps pour elle, elle laisserait ses enfants à Melwina, sa bonne amie, et à Adrienne, l'aide de Clody, pour se rendre aux thermes du village dont on lui avait tant vanté les mérites. La salle d'eau de sa sœur n'était certes pas dénudée de confort, mais la rouquine avait toujours eu un faible pour les gigantesques bacs d'eau et ces vapeurs qui donnaient l'impression de se débarrasser de toutes traces de fatigue ainsi que de tout souci.

Après avoir vérifié que sa bourse était bien accrochée à sa ceinture, Allyxia prit rapidement la route qu'on lui avait indiqué, c'est qu'elle n'avait pas non plus toute la journée devant elle, et elle avait hâte de se détendre.
Bien vite, les lieux apparurent à ses yeux, et c'est sans se poser de questions qu'elle poussa les portes qui lui permirent d'accéder à l'intérieur.

Intérieur plutôt coquet au passage. Ne sachant où aller et les thermes changeant de fonctionnement d'un village à l'autre, Ally se dirigea vers là où elle pensait qu'on pourrait rapidement l'aiguiller...mais ne voyant personne venir à elle, elle se permit un petit appel.

Hum, bonjour...il y a quelqu'un ?

edit : précision du lieu où se trouve Allyxia.
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.judas.

la maison de Latika, juste à coté

La nuit avait été delicieuse mais courte. Et bientôt, les bruits de la vie alentours reveillèrent Judas, qui mis quelques instants à se re-situer...

En regardant l'exquise créature qui se lovait sans ses bras, les souvenirs d'une veille bien arrosée revinrent à lui...La soirée d'Hamnel...la danse...la fuite...le clair de lune...l'herbe fraiche...

De délicates sensations s'emparèrent alors de son corps à mesure qu'il revivait mentalement sa nuit avec Latika, et...alors que son esprit encore embué recommençait à sombrer dans les limbes du sommeil, son corps lui s'était pleinement eveillé et quelque part dans cette couche, le soleil s'était levé

Un dernier regard vers Latika, dont la beauté endormie n'était comparable à aucune autre, une derniere caresse sur ses lèvres endormies et souriantes, et Judas sombra dans cet état entre deux mondes, entre le rêve et l'eveil...
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Ayez confiance...

--Derval

[maison]

Il était rentré plus tôt que Latika, et l'avait entendu rentré au matin, accompagnée...
Il soupira un peu, et descendit de son grenier, sans faire de bruit,
il alla jusqu'aux thermes.

[thermes]

Il dut parler avec Valou pendant de longues minutes, tentant de la rassurer sur l'état de Latika, sur le fait que le danger n'existait plus.
Il n'avait pas revu Yama, mais avait eu de ses nouvelles,
il avait envoyé un message, pour dire qu'il avait eu l'homme, ce Freloon, mais qu'il avait besoin avec tout ça, de s'éloigner.

Une fois Valou rassurée, il alla s'installer dans la salle de massage, et se mit à faire des mélanges d'huile pour les massages, ça le calmait.
Puis il alla verifier qu'il ne manquait rien, nulle part, il était dans les vestaires des hommes, quand il entendit une petite voix appeler.

Il sortit dans l'entrée, et y découvrit une jolie jeune femme qui semblait un peu perdue.

Bonjour et bienvenue aux thermes!
Je peux vous aider peut être ?
Vous avez envie d'un bain, de nager, d'un massage, qu'est ce qui vous ferait plaisir ?

Latika

[maison]

Elle se reveilla, s'étirant et frotta délicatement ses yeux.
Des bras autour d'elle, ses bras, elle sourit, et se retournant tout doucement, le regarda dormir un instant,
elle déposa un tendre baiser sur ses lèvres,
puis se mordit la lèvre à l'idée qui venait de lui traverser l'esprit.

Elle se glissa toute en délicatesse sous les draps,
et découvrit son soleil, elle s'y attarda longuement,
le sentant s'éveiller sous ses caresses expertes,
un long moment après, tandis qu'elle continuait à le rendre fou, elle le sentit au bord de l'explosion,
elle alla alors jusqu'à s'y abreuver avec déléctation, lui fesant goûter aux délices dès le matin.

Elle se glissa alors contre lui et lui sourit, tendit qu'il secouait la tête, encore surpris et emerveillé de sa méthode de réveil,
elle rit et déposa un baiser sur son nez.

Bien dormi toi?
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.judas.

A la Maison

Il est des jours ou on se lève du bon pieds avant même d'avoir sortie la jambe du lit, et pour Judas ce jour-ci en était assurément un.
Livré à sa voracité de si bon matin, c'est avec un sourire des plus sincères qu'il accueillit la princesse des plaisirs lorsque celle-ci pointa son minois hors des couvertures.

La question était indispensable; avait-il bien dormi?

"Non seulement j'ai bien dormi, mais je viens de me perdre dans une réalité plus belle encore que mes rêves

"

Judas déposa le baisé d'un homme conquis sur les lèvres de la douce; lui aurait-elle demander de se couper la jambe avant de s'arracher le cœur, il l'aurait fait sans même réfléchir!

Il s'étira, se lova contre elle avant de reprendre ses esprits. Il se leva promptement, en pleine forme, et déambula dans la pièce, à la recherche de ses vêtements...Le hic dans cette histoire, c'est que les vêtements étaient tous restés au lac...

C'est donc dans le dénuement le plus total qu'il se dirigea vers ce qui faisait office de cuisine, et s'empara de quelques condiments, avant de se tourner à nouveau vers Latika et de lui proposer, accompagné de son plus charmant sourire:

"Petit déjeuné au lit pour ma reine d'une nuit?

"
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Ayez confiance...

Allyxia

Aux bains

Une voix qui arrivait derrière elle la fit se tourner. Étonnée d'être reçue par un homme et non par une femme comme elle s'y attendait, la rouquine en perdit d'abord la langue, avant de balbutier quelques mots.

Euh..bonjour, je..hum..

Pour camoufler cette petite gêne passagère, Ally simula une petite toux avant de reprendre.

En fait je voulais venir me détendre en prenant un bain...s'il y a un bac de libre bien entendu.

Elle disait vrai, c'était pour se détendre qu'elle était venue jusque là et pas un instant elle avait imaginé qu'on lui proposerait un massage...fait par lui-même ? Peut-être bien, il devait être doué, cela se voyait au premier regard...mais elle préféra ne pas revenir là-dessus pour le moment..

Vous pouvez m'indiquer la marche à suivre ?
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Latika

[maison]

"Non seulement j'ai bien dormi, mais je viens de me perdre dans une réalité plus belle encore que mes rêves "

Il l'embrassa et après un bref mais tendre calin, il se leva,
et c'est nu comme un ver qu'il alla chercher à manger à la cuisine,
il ramena quelques ingrédients pour un petit déjeuner fort sympathique!

"Petit déjeuné au lit pour ma reine d'une nuit? "

D'une nuit? Je crois avoir été la reine de plus d'une nuit!

Elle se mit à rire et devant son air géné, elle l'attira à elle, déposant le pateau de victuailles à cote dans le lit, et elle l'embrassa.

Je rigole! Allez viens manger, j'ai une faim d'ogre, et je ne me demande pas pourquoi!
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Allyxia

[Aux bains]

Finalement, avant même que le bellâtre ne s'exprime, la rouquine se ravisa dans son choix...Le fait d'être reçue par un homme en ces lieux l'avait peut-être perturbée plus qu'elle ne voulait bien l'admettre..

hum..tout compte fait...je crois que je reviendrai..oui, c'est ça, je reviendrai..Et encore désolée de vous avoir fait venir pour rien.

Elle se força à une légère révérence avant de vite tourner les talons pour quitter les thermes. Sensation bien étrange qu'elle ressentait là...bah..après quelques bons verres, ça serait bien vite oublié sans doute...
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.judas.

[maison]

Souriant aux propos de la belle, Judas se réinstalla à ses cotés le temps de partager quelques fruits, allant ça et la de caresses sur ses cuisses nues et de regards qui se voulaient autant charmeur qu'ils étaient charmés.

Il l'embrassa encore, menant l'espace d'une matiné la vie revée du parfait petit couple nageant en plein bonheur, avant de tirer d'un geste le draps qui les recouvrait partiellement.
Il se leva et se l'ajusta au corps, à la manière d'un empereur Romain.

"Que penses-tu de mon nouveaux style? Je vais faire sensation dans Mortagne comme ça.."

Disant cela, Judas termina de se l'accrocher au corps, puis se pencha une dernière fois et vint cueillir les lèvres de la belle de milles nuits^^

Un dernier regard, plein de promesses qui n'avaient de valeur que si on ne leur accordait pas d'importances, et Judas se dirigea vers la porte de la maison, bien decidé à rendre à son coeur et à son corps l'independance qu'ils aimaient tous deux.

"Au revoir joli delice, ne te fais pas trop rare, il y a tant de lieux à Mortagne que nous n'avons pas encore visité

"

Sur ces mots, et ne l'arrachant à son regard qu'au tout dernier moment, Judas se glissa dans l'ouverture de la porte et disparu à la vue de Latika....
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Ayez confiance...

Latika

[maison]

Ils partagèrent nourriture et baisers avec délice, à ne pas les connaitre, on aurait pu les croire ensemble.

Il se leva et se drapa de la parure du lit.
"Que penses-tu de mon nouveaux style? Je vais faire sensation dans Mortagne comme ça.."

Elle explosa de rire en secouant la tête.
Ca c'est sûr, tu ne risques pas de passer inaperçu!
Allez viens là dieu de ma nuit, pour ton dernier baiser!

Elle rit et le vit s'approcher et déposer un passionné baiser sur ses lèvres auquel elle répondit avidement,
puis elle sourit de ces propos.

Ne t'inquiètes pas! Même si ma tête a plein de choses à penser et à faire, mon corps saura lui faire comprendre qu'il faut venir te voir!

Elle rit et le regarda partir avec un clin d'oeil, puis elle s'étira de tout son long dans le lit, commençant à frissonner de n'avoir plus de drap,
elle se leva à la hâte et alla faire une de ses longues toilettes qu'elle affectionnait.

Elle passa une simple robe crème, et attrappant un ruban, le glissa dans ses cheveux pour se les attacher en hauteur,
elle passa de la crème parfumée dans son cou, et elle fila aux thermes.

[thermes]

Lorsqu'elle arriva, elle vit une femme en sortir l'air troublé, elle la salua en souriant,
puis entra et trouva Derval, qui semblait un peu perdu au milieu de la pièce,
il sourit en la voyant et elle lui sauta presque au cou, déposant deux gros baisers sur ses joues.

Et bien qu'est ce que tu fais là, comme ça?
Et qui est cette femme qui vient de sortir?
Heho! Derv! Tu m'écoutes quand je te parles?

Bon allez viens je vais te faire un massage,
depuis le départ de tu sais qui, tu es tout tendu!
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--Derval

[entrée des thermes]

La jeune femme balbutie quelques mots avant de partir

hum..tout compte fait...je crois que je reviendrai..oui, c'est ça, je reviendrai..Et encore désolée de vous avoir fait venir pour rien.

Il la regarde partir sans comprendre, esperant qu'il n'en est pas la cause,
c'est là qu'arrive Latika,
à sa vue, son visage s'illumine et il lui sourit,
elle lui parle avec tendresse, comme à son habitude :

Et bien qu'est ce que tu fais là, comme ça?
Et qui est cette femme qui vient de sortir?
Heho! Derv! Tu m'écoutes quand je te parles?

Bon allez viens je vais te faire un massage,
depuis le départ de tu sais qui, tu es tout tendu!

Il lui sourit et se laisse prendre la main et guider jusqu'à la salle de massage.
Il enlève ses vêtements, comme ailleurs, la voit qui rigole et se rend compte qu'il est nu, il rougit et s'allonge sur la table de massage, et attrappe une serviette et la jette sur lui.

Il soupire et regarde Lati en riant.

Oui bah quoi, je suis ailleurs!
Et oui c'est en rapport avec tu sais qui, j'ai eu tort de m'attacher un peu,
elle est partie et elle m'a dit qu'elle en trouvait déjà d'autres!
Enfin bref, de toute façon, je ne suis pas fait pour aimer,
à part toi!

Hamnel

[Bain Chaud]

Hamnel avait hésité avant de revenir ici. A vrai dire, les mauvais souvenirs qui concernait cet endroit étaient tenaces. Toutefois, elle avait une terrible envie de prendre un bain chaud et pourquoi pas se faire masser. Quoique là, elle n'en était pas certaine.

Devant la porte elle dit à Bestiole,

Va batifoler ma belle, j'en ai pour un petit moment.

Sans trop savoir si la chienne avait vraiment compris les paroles de sa maitresse, celle-ci partie à la course et disparue en tournant sur le chemin.

Bon, voilà Hammy, il te faut faire le pas et rentrer dans ce lieu.

Prenant une grande respiration, avant de prendre ses jambes à son cou, elle poussa la grande porte et rentra. Devant les bains propres, presque vides de gens. Elle alla déposer quelques écus dans la boite de dons, et s'en alla directement vers le bain chaud des femmes.

Là, elle se dévetei entièrement, déposa ses vetements sur un banc, déposa aussi une servitte tout près du bain et lentement, elle se glissa dans l'eau pour fermer les yeux et se laisser ainsi porter flottant sur celle ci avec délice. Sensation d'etre quelque peu à la mer, se berçant sans trop s'interroger...

Oubliant meme où elle était, tant elle était bien.

Latika

[salle de massage]

Il se met nu devant elle,
elle rigole,
il lui dit que jamais il ne sera fait pour aimer,
personne sauf elle,
elle sourit et se penche sur le corps nu, lui embrasse le haut de la tête tendrement.

Ne dis pas ça, ne te fermes pas mon coeur!
Promets le moi d'accord?

Puis elle se met à le masser,
elle s'attarde sur son cou et ses épaules qui sont très nouées,
elle fait glisser ses mains sur son dos, libérant les tensions,
le sentant se décontracter sous ses doigts,
elle le laisse ensuite seule dans la salle, l'entendant s'être presque endormi.

Elle sort, va se déshabiller, pose ses affaires dans la salle de massage où Derval dort vraiment maintenant, elle sourit et le laisse.

[piscine]

Elle regarde autour, ne voit personne, fait tomber la serviette qui la cache, et plonge nue dans l'eau de la piscine, sentant toutes ses tensions à elle s'envoler.
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Hamnel

[Bain froid pour finir^^]

La chaleur de ce bassin l'allanguit quelque peu, qu'elle se sentait ensommeiller, pour se revigorer les esprits avoir avoir offert a son corps cette douce langueur bien mérité, Hamnel sortie de cette chaleur, enroula la serviette autour d'elle et quitta ce lieu coté femme pour se rendre au bain central.

Elle vit un corps se balader dans l'eau sans trop remarquer pour le moment qui était la personne. Sauf, que vite, elle découvrir que la femme, elle le constata par les courbes des hanches, de la courbure du dos et la longue chevelure qu'elle partie dans la direction du bain froid. Question de reprendre ses sens au plus vite.

Hamnel marcha plus vivement, étonnée de voir une femme nue dans ce bain, alors qu'il était réservé aux deux genres. Hommes et femmes. Qu'à cela ne tienne, dans le bassin d'eau froide, elle y rentra en serrant les dents, tant le froid lui mordi la chair et la fit frissonner, pire qu'une dinde glacée.

Pourtant, elle s'obligea a rester....

Hamnel

Hamnel ne s'éternisa pas.... Ce bain la glaçait tant, qu'elle s'en retourna vite au bain chaud quelques minutes et en sortie pour se revetir.

En fait, ce lieu lui semblait bien triste maintenant. Qu'elle quitta les lieux pour se dire que bientot dans la nature elle trouvera bien un lieu pour se baigner véritablement.

Au moins, se sentait-elle bien pour repartir du bon pied et en pleine forme.

--Derval

[salle de massage]

Il s'est endormi, les mains de Lati ont fait un travail merveilleux sur les tensions, qui l'animaient.
Il ne sait plus où il est, il est bien, il n'a pas dormi comme ça depuis longtemps.

A son reveil, il alla chercher la lettre de Fraxie dans ses affaires, il la relut,
puis alla chercher dans la petite table de la pièce de quoi ecrire et il s'attabla, et écrivit une lettre pour la jeune femme.

Il sortit par la fenètre et appela leur pigeon voyageur, celui ci ne mit pas longtemps à arriver et Derval lui attacha le message à la patte et l'envoya.

Il s'assit sur la table de massage un instant, se prenant la tête dans les mains, réfléchissant, quand il ouvrit les yeux, il se leva et ouvrant la porte de la salle de massage, il tomba sur la pile de vêtements de Lati,
intrigué son regard remonta jusqu'à la piscine et il vit la serviette de celle ci sur le bord de la piscine,
il retint un battement, au loin il vit dame Hamnel qui s'en allait,
il n'eut pas le temps ni la présence d'esprit d'aller la rattrapper.

Ses yeux replongèrent vers la piscine et il y vit Latika, nue comme un ver qui nageait au fond de la piscine.
Il sourit malicieux, et otant tous ses vêtements il plongea dans la piscine à sa suite.

Latika

[piscine centrale]

Elle n'entend que des bruits sourds.
Elle a fermé ses yeux et sent l'eau sur ses paupières.

Elle entend des pas, légers, une femme qui s'en va, elle ne cherche pas à savoir qui c'est.

Puis elle entend d'autres pas, qui viennent de derrière, la salle de massage, Derval.

Elle sourit de savoir la tête qu'il va faire quand il va la voir nue, et à son grand étonnement, après un petit moment sans mouvement,
elle entend, ressent un gros spatch, un plongeon.

Elle se retourne, ouvre les yeux, et le voit en boule au fond de l'eau, l'air rieur, qui remonte à la surface, elle nage jusqu'à lui, réapparait à son niveau,
ils émergent en même temps de l'eau, elle l'asperge,
elle rit avec lui, essaie de le couler.
A bout de souffle elle se raccroche à son cou, leurs deux corps nus l'un contre l'autre devrait la gêner mais il n'en est rien.
_________________

--Derval

[piscine]

Elle l'éclabousse, et tente en vain de le couler,
il ressort en riant, et la serre contre lui quand elle ressort de l'eau.

Mais alors que Lati n'a pas l'air géné de leurs deux corps nus l'un contre l'autre, il ne peut contenir le sien qui s'éveille, et il la repousse gentiment,
le rouge aux joues, il nage jusque de l'autre côté de la piscine,
elle le suit sans comprendre.

En se retournant, il la regarde, et la voit si belle à ses côtés, l'eau qui glisse sur sa peau nue, ses longs cheveux qui s'étale autour d'elle comme un voile, quelques gouttes sur ses lèvres rouges,
il ne l'avait pas vu ainsi, il la découvre si... si désirable.

Ils ont déjà partagé les plaisirs ensemble, mais comme s'ils étaient deux personnes différentes, comme un jeu ou un besoin, il y a quelques jours encore, ils ont fait l'amour, mais pendant la nuit, sans savoir vraiment ce qu'ils fesaient, qui ils étaient ;
c'est la première fois qu'il est Derval et qu'il la voit elle, Latika et qu'il se dit à quel point il la désire, dans tous les sens du terme...

Il ferme les yeux, quand il les rouvre, elle le regarde sans comprendre,
alors sans comprendre lui même il s'approche et dépose ses lèvres sur les siennes.

Latika

[piscine centrale]

Alors qu'il jouait normalement, nus certes, il la repoussa et nagea de l'autre côté de la piscine,
elle le suivit et attendit en silence de comprendre,
il la regarda, referma les yeux à nouveau,
mais que se passait il, est ce qu'il ne se sentait pas bien, mais pourquoi ne disait il rien?

Et c'est là qu'il rouvrit les yeux et s'approchant d'elle, il l'embrassa,
elle goûta au contact de ses lèvres, sans comprendre,
partagea ce baiser sans s'en rendre compte,
elle passa même sa main sur son épaule, savourant le contact.

Avant de prendre conscience de la situation et la main sur son épaule l'aida à le repousser,
d'un saut, elle remonta sur le bord de la piscine et courrut chercher sa serviette, s'y roula en boule et se retourna alors vers lui sans comprendre.

Derv... tu... pourquoi? Mais qu'est ce qui t'as pris?
Tu... tu es le meilleur ami de Falgius, enfin tu étais... enfin je me comprends...
Tu es comme... enfin je sais pas... mais...
On était d'accord pour dire que quand on était... enfin tu sais...
Quand on fait l'amour, c'est nos corps, pas nos têtes, enfin je me comprends... toi aussi j'espere...
Mais là... là c'était toi... là...
Qu'est ce qui s'est passé?
_________________

--Derval

[grande piscine]

Elle l'a repoussé, après avoir partagé quelques instants un baiser qui l'avait transporté ailleurs, elle l'a repoussé, et lui il revient à la réalité.
Il la cherches des yeux et la voit sur le bord de la piscine entourrée de sa serviette.

Derv... tu... pourquoi? Mais qu'est ce qui t'as pris?
Tu... tu es le meilleur ami de Falgius, enfin tu étais... enfin je me comprends...
Tu es comme... enfin je sais pas... mais...
On était d'accord pour dire que quand on était... enfin tu sais...
Quand on fait l'amour, c'est nos corps, pas nos têtes, enfin je me comprends... toi aussi j'espere...
Mais là... là c'était toi... là...
Qu'est ce qui s'est passé là?

Il la regarde et saute sur le rebord de la piscine.
Je sais pas, vraiment, je sais pas ce qui m'a pris, pardonnes moi d'accord...
J'ai fait ça comme ça sans réfléchir.

Il la regarde contri, avant qu'elle ne lui fasse un sourrire, alors il s'approche et la serre dans ses bras.

Ils partent alors vers des occupations différentes, tentant d'oublier ce petit incident.

Latika

[piscine centrale]

Il sortit de la piscine et la rejoignit.
Je sais pas, vraiment, je sais pas ce qui m'a pris, pardonnes moi d'accord...
J'ai fait ça comme ça sans réfléchir.

Elle le regarda un peu sceptique au début, puis finit par lui sourrire,
elle se serra dans ses bras, et le regarda partir,
ils feraient sans doute comme si de rien n'était,
mais elle n'était pas prête, elle, d'oublier ce baiser.

Elle se demande si le départ de Fraxie, et le fait qu'ils n'avaient eux même pas fait l'amour ensemble depuis un bail.
Elle revit la première nuit où ils ont fait l'amour, juste après qu'ils se soient retrouvés, après avoir fuit chacun de leurs côtés,
et puis une fuite encore, et puis le voyage vers Mortagne,
leur retrouvaille et leur deuxième nuit en tant qu'amants,
et puis ici, cette troisième nuit avant hier.

Elle ne comprend pas, le revoit s'approchant, mais ils ne sont pas eux, ils ne savent même pas où ils sont, comme à chaque fois, à la limite du réel,d d'ailleurs c'est peut être un rêve... elle est perdue...

[maison]

Elle alla se changer, et vit le petit pot de confiture qui attendait sur la table, cela fesait plusieurs jours qu'elle avait dit qu'elle irait remercier Hannalin, ce qu'elle se décida à faire.
_________________

Latika

[maison]

En revenant du dispensaire, où elle avait croisé Hannalin,
elle se tapa la tête dans ses mains,
elle était bête, elle aurait pu en profiter pour demander à la jeune femme si elle n'avait pas quelquechose pour le mal de ventre.

Elle s'assit dans son lit, et commença à se masser le ventre, elle s'allongea pour être plus à l'aise, et regardant le plafond, ses idées se mirent à bouillonner.

Cela ne pouvait être dû à ses blessures, la plupart étaient réparées depuis bien longtemps, il ne restait que quelques traces sur lesquelles elle continuait d'appliquer le baume de Hanna.

Elle n'avait pas abusé des oeufs de pâques qu'elle avait reçu ou acheté,
elle n'avait rien mangé de spécial d'ailleurs.

Une idée lui vint en tête qu'elle chassa aussitôt,
il en était hors de question et ce n'était même pas possible d'ailleurs.
Cela fesait quelques temps.... mais non, elle secoua la tête,
le combat avait déréglé tout son corps.

Elle se releva et la nausée la prit comme toujours en ce moment quand elle s'était couchée et relevée trop vite,
elle courrut jusqu'au dehors et vomit, avant de s'assoir par terre,
et de se prendre la tête dans les mains.
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--Derval

[thermes]

Il vaqua à ses occupations habituelles, créant de nouvelles huiles essentielles, rangeant un peu partout, acceuillant de nouvelles personnes qu'il ne connaissait pas.

Puis à la fin de la journée, il ferma les portes et se dirigea vers la maison.

[maison]

Il arriva devant la maison, et de loin il vit Latika qui se tenait la tête dans les mains,
il accelera le pas et arriva jusqu'à elle, il s'accroupit et prit son visage dans ses mains et le remonta jusqu'à lui.

Et puce, qu'est ce qui se passe? C'est quoi cette tête?

Latika

[maison]

Elle entendit une voix, des mains qui lui redressent le visage,
et le visage de Derval devant le sien.

Sa gorge se noue, elle le regarde et arrive à articuler quelques mots, ces quelques mots.

Je... je suis... j'attends... j'attends un enfant...

Derval n'articula plus un mot, la regardant seulement sans rien dire.

C'est, c'est qui tu sais le père... je vais aller lui dire...
Il faut que je le previenne...

Elle ferma les yeux et rebaissa sa tête.
Puis laissant là Derval à sa méditation, sa décision prise, elle alla à l'intérieur de la maison, et écrivit une lettre au père de son futur enfant.

Elle repassa devant Derval, en lui souriant, hêla un petit garçon dans la rue, et lui tendit la missive.

Va le porter à messire ...
lui chuchota t elle, celui ci courrut alors vers la maison de l'homme,
elle soupira esperant qu'il viendrait, et alla s'assoir à nouveau à côté de Derval qui n'avait pas bougé.
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--Derval

[maison]

Je... je suis... j'attends... j'attends un enfant...
C'est, c'est qui tu sais le père... je vais aller lui dire...
Il faut que je le previenne...

Bien sûr qu'il savait qui était le père,
malgrè toutes les médisances que les gens pouvaient dire à son sujet, Latika aimait séduire mais elle n'avait pas tant d'amants que ça ;
eux deux ils avaient fait l'amour avant hier, et Yama avait disparu depuis des mois,
et donc depuis plusieurs mois Lati n'avait pour amant que cet homme,
alors bien sûr qu'à l'instant où elle avait dit qu'elle était enceinte, il avait su que c'était Judas le père.

Mais il ne savait pas ce qui le gênait le plus,
savoir qu'elle attendait un autre enfant,
savoir qu'elle allait devenir si vulnérable,
ou savoir que c'était lui le père, cet homme qui prenait tout à la légère,
est ce qu'il saurait être là pour elle,
lui, il serait là bien sûr, mais ça ne serait pas pareil.

Mais du coup cela changeait tout,
l'idée de peut être rejoindre Fraxie,
même s'il ne se sentait pas le courage,
avec Latika enceinte puis mère, c'était tout bonnement impossible.

Pendant que toutes ces idées lui traversaient l'esprit,
Latika s'était levé, plusieurs minutes après avait réapparu, s'était éloignée dans la rue et était revenue s'assoir près de lui.

Il la regarda tendrement, et la prit dans ses bras.
Tu sais que je serais là, toujours, hein?

.judas.

Une missive, l'écriture tremblante de Latika et soudain, un coup de poing dans le ventre.

Estomaché, Judas apprenait noir sur blanc la raison qui allait les lier d'une manière ou d'une autre pour toujours.
Elle attendait un enfant, son enfant.

Il cligna des yeux plusieurs fois, se secoua la tête...rien à faire, la réalité était là; inchangeable.

Nul ne pourrait dire combien de temps il resta planté la, l'esprit ailleurs, les yeux rivé sur le ciel qu'il ne voyait même pas, à errer parmis tous ses futurs possible.

Cependant, et puisque les imbéciles ont cette merveilleuses faculté à être heureux, Judas balaya les doutes et les questions d'un revers de main, et se dirigea d'un pas alerte chez Latika.

Avoir un enfant? Cela n'avait pas été très difficile à faire, et la vie était belle alors pourquoi douter?

C'est fort de ces quelques affirmations qu'il entra chez elle.
Lorsqu'il la vit, un sourire se dessina sur ses lèvres. Il ne prefera rien dire, sachant pertinement qu'il ne dirait rien d'approprié, mais s'approcha d'elle.
Il l'entoura de ses bras , la serra contre lui et lui murmura:

"C'est un garçon, à mon avis j'sais faire que des garçons..."
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Ayez confiance...

Latika

[maison]

Derval la regarda avec tendresse, puis il la prit dans ses bras, lui disant qu'il serait toujours là pour elle.

Oui je le sais, et c'est très important pour moi tu le sais.
Et je sais que tu feras un parrain extraordinaire, comme pour Noah!

Elle lui sourit, tandis que ces yeux à lui s'illuminaient, puis elle le laissa aller se coucher, preferant elle, regarder un peu les étoiles avant d'aller dormir.

Elle s'assit à la nuit tombante, dans l'herbe et regarda le ciel, la main sur le ventre, ça c'est sûr qu'il n'était pas attendu ce petit, mais à y voir maintenant, elle ne changerait son état pour rien au monde.

Elle rentra pour se coucher et c'est là qu'il arriva, plus rapide que prévu,
il s'approcha d'elle, le sourire aux lèvres et sans un mot et mit ses bras autour d'elle, la serrant contre son torse.

"C'est un garçon, à mon avis j'sais faire que des garçons..."

Elle sourit et le regarda avec tendresse.

Moi aussi je sais faire que des garçons, alors...

Elle rit doucement et plaça ses bras autour de son cou pour le regarder.

Est ce que ça te fait aussi peur que moi?
Tu sais je suis désolé de t'embarquer dans une aventure comme ça,
mais je crois que si c'était à refaire, je le referais...

Elle sourit et approcha son visage du sien.
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.judas.

Judas déposa un baisé sur ses lèvres en souriant.

"Peur? Pas du tout tu sais, je suis sans peur et sans reproche...

"

Il n'y avait en effet pas de quoi avoir peur, des enfants naissaient tous les jours, et avec des parents pires que lui encore...

Cette nuit là Judas resta chez Latika, et pour le première fois depuis leur rencontre, cette nuit ne fut pas celle de tous les excès...
Allongés l'un près de l'autre, ils discutèrent longuement du présent, de l'avenir, mais aussi du passé...

Lorsque le soleil se leva, ils ne s'étaient assoupis que quelques instants, et en se reveillant, ils savaient tous deux ce qu'ils étaient l'un pour l'autre, et comment ils devaient agir envers l'autre.

Aucune promesse de vie commune, ni d'appartenance; la liberté qui leur était si chère ne mourrait pas à la naissance de l'enfant. Ils n'arreteraient donc pas d'être ce qu'ils étaient, n'en déplaise à certains. Et s'il fallait recommencer, et bien ils le feraient, petite soeur, petit frère, tous les jours si l'envie les en prenait....et advienne que pourra...
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Ayez confiance...

Latika

[maison]

"Peur? Pas du tout tu sais, je suis sans peur et sans reproche... "

Elle rit et lui rendit son baiser avec tendresse,
ils allèrent se coucher, mais le sommeil n'eut pas raison d'eux,
ils parlèrent presque toute la nuit,
de ce qu'ils voulaient pour l'enfant,
de ce qu'ils étaient, de ce qu'ils avaient été et de ce qu'ils seront l'un pour l'autre, à présent et à jamais.

Ils parlèrent même de prénom, Latika étouffait ses rires pour ne pas réveiller Derval qui dormait au dessus, et lorsque les noms étaient trop incongrus, un long baiser suffisait à faire taire quelques instants Judas.

Ils évoquèrent surtout ce qu'ils voulaient tous les deux, pour que tout se passe pour le mieux, ce qu'ils aimaient l'un chez l'autre, outre l'attirance physique, c'était cette liberté, cette légéreté qui leur était propre, qui leur apportait tant d'agrément mais aussi tant de jugements.

Elle savait que pour elle, le fait d'être enceinte changerait tout, car à part les hommes qui partageaient déjà sa vie, elle n'en laisserait plus rentrer, du moins très difficilement, elle continuerait de séduire, bien sûr c'était sa nature, mais le jeu serait déjà plus retenu.

Quand à lui, jamais elle ne lui dirais d'arrêter d'être qui il était, le fait d'avoir un enfant les lier à jamais, mais ne les bridait pas pour autant.
Elle l'avait déjà vu de nombreuses fois avec d'autres femmes, et cela ne la touchait pas, ou plus du moins. Oh bien sûr elle continuerait d'être possessive quand elle était avec lui, mais il semblait s'y habituer.

Elle sourit à ses pensées, et le sommeil commençant à faire son oeuvre, elle se glissa tout contre lui, posa la main de Judas sur son ventre, déposa un plus vif baiser sur ses lèvres, et glissant sa tête contre son épaule, ferma les yeux, impatiente de voir l'avenir...
_________________

Latika

[maison puis thermes puis maison...]

Au matin, elle le trouva endormi contre elle et le regarda en souriant,
puis se levant doucement pour ne pas avoir la tête qui tourne, elle alla préparer à manger, elle amena un plateau et ils mangèrent tous les deux.

Ils passèrent toute la journée à parler et à rire dans le lit,
à se goinfrer de bonnes choses, se levant uniquement pour une brève toilette, ou quelques lettres à écrire ;
et la nuit, ils la passèrent à partager d'autres nombreux plaisirs...

Le lendemain matin, cependant ils durent revenir à la réalité de la vie.
Judas partit travailler, il repasserait le soir, elle voulait lui montrer quelquechose, qui lui tenait à coeur, depuis quelques temps.
Elle s'occupa aux thermes, à la maison,
et attendait le retour de Judas, lorsqu'elle reçut un pigeon d'une amie très chère.

Citation:

Chère amie, chère Latika,

Tout d'abord excuse-moi de ne pas t'avoir écrit avant pour te donner directement de nos nouvelles mais Judas venant de m'apprendre pour toi, pour vous, il est grand temps je crois de prendre un peu la plume!

J'espère que cette grossesse bien qu'assez imprévue te comble de bonheur et de joie.
Je me doute qu'elle doit s'accompagner de quelques craintes mais apaise les. Je connais bien Judas, et si certes il n'est guère l'homme d'une seule femme, ce n'est ni un lâche ni un goujat bien au contraire et je suis certaine qu'il saura être là prés de toi.

Prends bien soin de toi en tout cas, repose toi, profite de chaque instant, satisfait la moindre de tes envies et fait toi chouchouter par le futur papa comme par ce cher Derval!
Et même si c'est bientôt la saison des fraises n'hésite pas à aller cueillir quelques fraiches et jeunes pousses d'orties pour t'en faire tisanes et soupes. Elles seront de précieuses alliées pour ton corps comme celui de ton bébé et t'éviteront une trop grand fatigue.

Ensuite, ayant longuement trainé en route, nous ne serons en Suisse qu'à la fin de la semaine.
Déjà nous apercevons les hautes cimes mais même si le voyage est toujours aussi plaisant et joyeux, je dois avouer que de plus en plus souvent la nostalgie me prend.
Mes pensées se tournent vers Mortagne, vers vous et vous me manquez alors affreusement!
Le parrain et Ite parlent de continuer la route jusqu'en Espagne rien de moins!
Nos chemins vont donc se séparer bientôt car Grenade et moi reviendrons bien vite vers vous, il est temps de tester un peu la vitesse de galop de nos chevaux et les escales du retour seront fort brèves sans aucun doute.

Je t'embrasse bien fort en tout cas,
mes pensées t'accompagnent toi et les futures rondeurs qui vont venir t'embellir plus encore!

A très bientôt

Fraxie.

Elle sourit et alors qu'elle ne l'entendit arriver, elle sentit la présence de Judas, elle lui tendit la lettre en riant, déposant un léger baiser sur sa joue fatiguée d'un homme ayant durement travaillé toute la journée.

Tiens lis ça, c'est une lettre de Fraxie, et après je te "montre" ce dont je t'ai parlé ce matin!
_________________

.judas.

Judas, qui avait pris ce matin le chemin de la mine, s'était finalement arreté en route pour s'offrir une journée de congé, pour le plaisir de resté allonger au soleil, près de l'eau.

Ainsi lorsqu'il revint le soir chez Latika, qui voulait lui avait-elle dit, lui montrer quelque chose d'important, Judas pris l'air du travailleur accablé de fatigue, dans l'unique but qu'elle s'occupe de lui

Elle lui déposa un baisé avant de lui tendre la lettre de Fraxie, qu'il lut le sourire aux lèvres; des nouvelles d'une si chère amie ne pouvaient que le rejouir mais bientôt, Judas releva le menton de observa Latika.

Il s'approcha, lui reservant le regard qui jusqu'ici, lui avait permis de la charmer, tourna autours d'elle avant de s'arreter derrière et de lui sussurer:

"Alors? C'est quoi la surprise aujourd'hui ma jolie?"

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Ayez confiance...

Latika

[maison]

Il lui susurra à l'oreille, voulant savoir quelle était sa surprise,
elle sourit malicieuse,
alla chercher un foulard en soie, elle arriva et lui noua autour des yeux, lui cachant la vue,
elle le prit par la main,
et l'entraina vers les thermes, elle le rassura lorsqu'il eut peur de sentir toute cette eau près de lui.

[thermes]

Elle l'emmena jusqu'à la petite porte, de la salle de massage, et l'y entraina,
toujours les yeux bandés, elle le déshabilla délicatement, lui passa ensuite avec professionnalisme une serviette autour de la taille, avant de l'emmener jusqu'à la table de massage.

L'air était embaumé d'huiles essentielles au miel, donnant une saveur sucrée à la pièce,
elle le fit s'allonger sur le ventre, puis le demandant de garder le foulard,
elle s'éloigna, se deshabilla, et passa uniquement le grand drap de couleur, drapée autour d'elle, puis elle attacha ses longs cheveux en une longue queue de cheval, les cheveux retombant sur ses épaules dénudées par le drap.

Elle passa ses mains dans une huile spéciale de massage, et s'approchant de lui, du bout des doigts, elle fit glisser le foulard pour que Judas découvre son univers.

Elle sourit à la vue du regard que lui lançait Judas, elle l'invita à mieux s'installer, et elle posa ses mains sur ses épaules.

Tu es prêt...? dit elle d'une voix volontairement sensuelle.
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.judas.

Lorsqu'à l'aide de gestes doux, Latika lui banda les yeux, Judas envisagea immediatement toutes les possibilités qui s'offraient à eux, et cette perspective l'enchantait.

Puis elle le guida, il marchait lentement, se laissant guider pas sa belle compagne. Lorsqu'ils entrèrent dans les thermes, Judas frissonna.
Il reconnut immediatement l'odeur de l'eau, son bruit calme et sa main se ressera instinctivement sur celle de Latika.

L'espace d'une seconde il s'imagina de nouveau propulsé dans cette eau hostile, et cette pensée le mis mal à l'aise.

Mais lorsqu'ils arrivèrent dans la salle de massage, les odeurs d'huile lui eveillèrent l'esprit, et Judas compris enfin quelle était le surprise. Un large sourire naquit sur son visage: Qu'avait donc-t-il fait au ciel pour meriter tant de charmantes attentions?

Il prit place, se laissant guider avec ravissement et lorsqu'elle lui ota le bandeau, il decouvrit l'endroit, auquel il accorda beaucoup moins d'attention qu'à la propriétaire des lieux, magnifique de simplicité dans son grand drap. Un regard brulant pour elle, puis il s'abandonna à ses mains expertes.

Toutes les tensions de son corps furent vaincus une à une sous l'assault delicats des doigts de fée de la belle masseuse. L'esprit de Judas flottait dans la pièce, paisible, serein et en même temps que tout son corps, c'est ses pensées qui se clarifièrent. Il était bien, elle était parfaite, et après un long soupire, il pris la parole, laissant son inconscient s'exprimer pour lui.

"mmmm....En fait j'en veux trois...3 bébés tu peux faire ça pour moi? Et on leur apprendra à nager..."

Sitot ces mots dis, il se laissa de nouveau aller aux delices qu'elle lui reservait, conquis par son savoir faire...
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Ayez confiance...

Latika

[salle de massage]

Judas commença à se détendre, et c'est le sourire aux lèvres et l'esprit un peu ailleurs qu'il lui dit.

"mmmm....En fait j'en veux trois...3 bébés tu peux faire ça pour moi? Et on leur apprendra à nager..."

Elle rit, et déposa un tendre baiser sur sa joue.

On va déjà essayer de réussir celui là tu veux bien ?

Il sembla acquiescer et ferma les yeux,
elle sourit et posa ses mains expertes sur ses épaules.

Elle commença par lui détendre celles ci, les muscles de Judas étaient durs comme de la pierre et c'est à force de patience, de douceur et de savoir faire que tout doucement, sous ses doigts elle les sentit se relacher,
puis elle repris un peu d'huile,
et en enduit le dos entier de son amant, avant d'y faire glisser la paume de sa main,
suivant la forme des muscles, reperrant les tensions,
et c'est après du bout des doigts qu'elle alla chercher ses noeuds,
et qu'elle les défit un par un,
elle descendit au plus bas de son dos, à la limite d'une autre zone, massant cet endroit avec force et vigeur, celui ci étant une zone facilement fatiguable.

Elle parcourut son dos parrallèlement à celui ci, puis perpendiculairement,
effectua des cercles, des dessins de toutes formes,
jouant avec la peau de l'homme pour mieux le détendre encore.
Puis elle remonta sur ses épaules, et ses mains glissèrent sur les muscles saillants de ces bras, elle les massa avec délicatesse, du plus haut jusqu'au dos de ces mains.
Puis elle vint s'attarder sur son cou, le sentant crispé, elle finit par celui ci, et sous ses doigts agiles, le corps de Judas ne fut bientôt plus qu'une poupée de chiffon.

Lorsqu'elle eut finit, elle allait dire quelquechose lorsqu'elle se rendit compte qu'il s'était endormi, elle alla se rincer les mains,
puis sortant de la salle de massage, elle vit Valou qui lui dit qu'elle allait fermer les thermes dans quelques instants, elle la renvoya plus tôt chez elle,
attendit que le dernier client soit parti et ferma derrière lui,
elle retourna dans la salle de massage et voyant que Judas dormait toujours, elle laissa la porte ouverte, defit son long pagne,
l'étala avec un bout qui restait dans l'ouverture de la porte, comme une invitation,
puis elle alluma toutes les bougies de la grande piscine,
et après avoir fait son tour de garde, nue comme un ver, ce qui la fesait bien rire,
elle s'adonna à un de ses plaisirs favoris.

[piscine centrale]

Elle entra tout doucement dans la piscine, marche après marche, l'eau lui monta jusqu'au cou,
et elle se mit sur le dos pour faire la planche,
l'eau fesait miroiter toutes les bougies, les huiles essentielles de la salle de massage, s'échappant par la porte ouverte, embaumaient toute la pièce,
sur sa peau blanche se reflétaient l'eau et la lueur des bougies,
elle humecta ses lèvres rouges, et posa la tête sur l'eau,
ses longs cheveux s'éparpillèrent autour d'elle, tel une auréole,
et elle ferma ses grands yeux jaunes sur le bien être, posant une main sur son ventre qui s'arrondissait légèrement sous ses doigts.
_________________

--Derval

[maison]

Elle lui avait rappelé Noah, son rôle de parrain,
elle lui avait ouvert une porte pour plus tard, lui avait parlé d'être le parrain de son enfant à venir,
et c'est donc le coeur en paix et le sourire aux lèvres qu'il s'endormit.

Le lendemain et les jours suivants, il ne vit que peu Latika, celle ci passait du temps avec Judas, et même si une pointe de jalousie le parcourrait, il était heureux que celui ci s'engage et soit là pour elle.

Il les vit partir tous les deux, Judas les yeux bandés vers la salle de massage,
il secoua la tête en riant, la veille, Latika avait essayé d'aller chercher des orties comme Fraxie lui avait recommandé, mais elle était revenue, une moue aux lèvres,
avec seulement quelques petites pousses et des piqures partout,
alors il alla en chercher pour elle.

Le couple ne revenant pas, il les déposa sur le buffet et alla se coucher, demain il irait se promener, se changer les idées, changer...

.judas.

Lorsque Judas se reveilla, il mit quelques instants à reprendre ses esprits et à se ressituer. Les thermes....Latika...le massage...

Un sourire illumina son visage et il se retourna, croyant qu'elle serait là derrière lui...

En lieu place de ça, il vit le tissu qu'elle portait dans l'ouverture de la porte. Il avait due s'assoupir plus longtemps qu'il ne le pensait et l'espace d'un instant, l'effroi le saisit.
Il se rappela les evenements recents qui avaient eus lieu ici et se leva d'un bond, terrifié à l'idée qu'hommes et créatures aient pus revenir à la charge.

Judas se precipita à l'instinct sur les traces de son amante jusqu'au grand bain. Lorsqu'il l'a vit sur le dos, dans l'eau, son sang ne fit qu'un tour...Il arrivait trop tard.

Il se precipita vers le bassin et allait se jeter à l'eau lorsqu'il la vit bouger, respirer, sourire...se caresser le ventre.....tout allait bien...

Le coeur battant à tout rompre, Judas souffla, se reprimandant mentalement d'avoir imaginé le pire, et prenant conscience de l'attachement qui le liait à elle, et à leur enfant...

Prenant son courage à deux mains, il entra dans le bassin par l'escalier, l'eau lui arriva rapidement à la taille...Il était calme, tentait de maitriser son appréhension en fixant son regard sur elle, qui ne l'avait pas vu venir.

Puis, comme pour l'appeler, il fit vibrer l'eau d'un pet sec...(nooon j'rigole, désolé j'ai pas pu me retenir

) comme pour l'appeler donc, il fit vibrer l'eau d'un ample mouvement du bras, elle leva les yeux sur lui, il souriait...

"Alors....Tu m'apprends à nager?"
_________________
Ayez confiance...

Latika

[piscine centrale]

Un bruit qui la sort de son état de sommeil,
un mouvement dans l'eau,
elle ouvre les yeux, se redresse et le voit, l'eau lui arrivant à la taille,
le visage rouge et le souffle court,
elle se demande ce qui l'a mis dans cet état là et lui sourit doucement.
Il lui sourit en retour :
"Alors....Tu m'apprends à nager?"

Elle le regarde étonnée, puis son doux visage se fend d'un grand sourire.
C'est vrai? Tu veux?

Elle s'approche de lui assez rapidement et pose ses doigts mouillés sur ses lèvres.
Non ne réponds pas, j'ai trop peur que tu changes d'avis!

Elle sourit et lui prend les mains dans les siennes et se tenant devant lui, reculant tout doucement,
ils ont à présent de l'eau jusqu'au milieu du torse, la poitrine de Latika juste à la surface.

L'important c'est qu'il faut se sentir bien, sentir l'eau sur chaque parcelle de ton corps, savoir faire corps avec elle, la voir comme un élément de grâce et non une gêne autour de toi.
Apprends à bouger avec elle, apprends la vitesse de tes mouvements qui n'est pas la même, apprends à te sentir à l'aise.

Elle ferme les yeux, l'invitant à faire de même, puis lachant une de ses mains, elle tourne autour de lui, fait glisser de l'eau sur ses épaules, l'invite à avancer les yeux fermés.

Les odeurs, le calme, le silence, cette complicité qui les liait, les éléments étaint propices pour un moment plein de douceur et presque de magie dans l'air...

Elle sentit Judas qui se détendait peu à peu, il bougeait plus facilement dans l'eau, oser lâcher sa main et avancer jusqu'à avoir de l'eau jusqu'au cou.

Elle sourit, les rapprocha du bord, et là, le regardant avec un sourire malicieux, elle prit une grande bouffée d'air et plongea sous l'eau,
elle n'eut le temps que de voir ses yeux qui semblaient ne pas comprendre.

Elle attendit, sachant qu'au bout d'un moment il se demanderait pourquoi elle ne remontait pas,
elle ouvrit les yeux, les jambes de Judas étaient juste devant elle,
elle avait tourné autour de lui tellement rapidement qu'il ne semblait s'en être aperçu, elle le vit se pencher et de ses bras palper l'eau devant lui.

Elle le vit s'accroupir, toucher le fond de ses doigts, et commencer tout doucement à mettre la tête dans l'eau, alors tout doucement elle retourna autour de lui pour se placer face à lui.

A sa deuxième tentative de la tête sous l'eau, il tomba donc nez à nez avec lui et elle lui sourit, posant une main sur sa joue.
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.judas.

Délicate, sa maitresse nageuse du jour l'entraina lentement vers plus de profondeur avant de disparaitre subitement sous l'eau.

La façon dont elle semblait prendre plaisir à se mouvoir dans l'élément l'incitait à chasser sa peur, et bientôt, deux forces contraires l'agitaient:
L'envie de la rejoindre dans le bleu, et l'envie de s'accrocher au bord pour ne plus le lacher.

C'est la premiere envie qui prit le dessus et bientôt, Judas fut lui aussi sous l'eau. La sensation n'était pas nouvelle puisqu'il l'avait dejà vécu, mais cette fois-ci, il commençait à aimer. D'une main il vint caresser la joue de Latika et l'espace d'un instant, il se prit à regretter qu'on ne puisse respirer sous l'eau, imaginant déjà les ébats d'allure aérienne qu'il pourrait avoir avec elle...

Très vite cependant, l'air vint à lui manquer, et il emergea precipitement hors de l'eau, rapidement rejoins par elle qui lui adressa un sourire enjoleur, sorte de récompense à sa témérité....

Il lui sourit en retour, et d'un mouvement s'approcha d'elle, les mains sous l'eau tendus vers elle vinrent saisir delicatement sa taille, ses jambes quittant le sol du bassin pour tenter pour la premiere fois de flotter, suspendu dans les eaux...

"Eh...tu es ma boué de sauvetage toi..."

Puis d'un geste il se fit glisser derrière elle, ses mains toujours autours de sa taille, sa joue contre la sienne, il déposa un baisé au coin de ses lèvres.

"Alors? La suite de la leçon?....

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Ayez confiance...

Latika

[piscine centrale]

Ils remontèrent à la surface,
dans les yeux de Judas elle perçu une lueur qui ne fesait aucun doute,
et auquelles ses pensées répondirent,
elle lui apprendrait bientôt à rester de plus en plus longtemps sous l'eau, à être de plus en plus à l'aise,
et alors ils pourront partager de nombreux plaisirs, sans rapport avec la nage dans la piscine...

Il posa ses mains sur ses hanches
"Eh...tu es ma boué de sauvetage toi..."
puis déposa un baiser au coin de ses lèvres
"Alors? La suite de la leçon?....

Elle lui sourit et se retourna.
Pour aujourd'hui, je pense que ça suffit,
il ne faut pas en faire trop trop, et puis si je veux être sûr de te garder comme élève il vaut mieux que j'en garde pour la suite non?

Elle lui sourit et l'embrassa, le repoussant tout doucement vers les marches, elle le forca à s'assoir sur l'avant dernière, l'eau lui arrivait juste au dessus de la taille,
elle glissa sur l'eau jusqu'à lui, celle ci la portant encore et elle lui murmura :
Et je crois qu'un vieux proverbe a dit : Après l'effort...

Elle lui fit un clin d'oeil et posant ses deux mains sur ses cuisses, telle une sirène elle émergea de l'eau, se hissant jusqu'à ses lèvres pour un baiser qu'il n'était pas prêt d'oublier...
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.judas.

La leçon fut courte, mais Judas n'avait pas de quoi se plaindre. Sa monitrice s'occupait de lui avec une attention toute particulière et ce n'était pas pour lui déplaire...

Elle se hissa jusqu'à lui et l'embrassa comme on embrasse quelqu'un qu'on veut garder près de soit et, lui qui avait imaginé rentrer chez lui après la baignade se surpris à vouloir rester encore un peu....
Après tout, n'y avait-il pas une femme séduisante, nue dans ses bras?

Souriant, Judas y alla de sa caresse tendre sur sa joue avant que son regard ne transmette à celui de la belle tout l'erotisme de la situation.
Ils se sourirent, une fois de plus complices comme ils savaient l'être lorsqu'ils s'accordaient un peu d'exclusivité, et d'une legère etreinte, Judas fit flotter le corps de sa partenaire jusqu'à lui. Leur bassin se joignirent lorsqu'elle s'assit sur lui, et c'est tout naturellement qu'ils s'unirent une fois de plus, lentement, tendrement, épousant à merveille le mouvement subtil de l'eau. Comme elle ils étaient calme, et comme elle ils cachaient une puissance qui ne demandait qu'à s'eveiller....
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Ayez confiance...

Latika

Ils partagèrent un long moment dans l'eau,
leurs deux corps mêlés portés par l'eau,
leur ébat fut passionné mais tendre, calmé par la douceur du lieu.

Ce fut elle qui après avoir passé quelques temps dans ces bras,
se leva et sortit de l'eau,
elle alla se draper dans sa tunique,
et déposant un léger baiser sur ses lèvres encore mouillés,
elle l'invita à sortir par la petite porte de la salle de massage, celle de l'entrée étant fermée.

Elle referma la porte derrière elle, et se tournant vers Judas qui finissait de nouer ses braies, ce qui la fit sourire, elle lui dit en souriant.

Bon, moi je vais me rentrer chez moi...
Je pense qu'après ce bon massage et ce petit passage dans l'eau, tu vas faire un gros dodo dans ton lit, n'est ce pas?

Elle lui sourit et sentant l'air froid glisser sur sa peau, en frissonnant, elle fit courrir son doigt sur sa joue, et avec un sourire courrut vers sa maison pour se blottir au chaud.
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.judas.

Toute belle chose ayant une fin, le séjour prolongé que Latika et Judas avaient partagé l'un avec l'autre trouva son terme lorsque la belle rentra chez elle, le laissant sur le pas de la porte.

Judas lui n'avait pas sommeil, au contraire il se sentait d'attaque à conquerir le monde et s'en fut, leger sur les chemins, loins de se douter que quelque part dans l'esprit de son épisodique compagne, des envies contraires naissaient et grandissaient...

Leur relation avait toujours été ambigüe, tout en restant simple, et c'est sans se poser de questions que Judas pris rendez vous avec l'avenir, lequel l'attendais à tous les coins de rue....
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Ayez confiance...

Latika

[maison]

Elle jette un coup d'oeil en arrière et voit Judas partir,
son coeur se serre et elle soupire,
leur relation, toujours simple et pourtant si entremêlée,
elle ne sait plus que faire, ils se disputent souvent, pas beaucoup d'après Judas, mais beaucoup trop pour elle,
et puis elle a l'impression qu'elle n'a pas d'amie à elle,
toutes ses amies sont devenue des amantes de Judas ou des futures...
Elle ne sait pas comment le prendre, que faire ;
elle ne veut, ne peut plus en parler à Derval,
car il lui a proposé une solution bien trop radicale.

Reprennant ses esprits, elle entre chez elle.

Elle s'arrête net, tombant sur Derval au milieu de la pièce, un sac de voyage posé à côté de lui,
le choc manque de la faire tomber,
elle le regarde bouche bée.
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--Derval

[maison]

Il ne savait que faire, Latika lui avait parlé de ses disputes envers Judas,
de son mal-être, il ne le supportait plus, lui,
il n'avait jamais supporté de la voir triste.

Quand il lui avait proposé la dernière fois de partir quelquepart avec lui,
elle n'avait pas l'air contre,
mais n'arrivait pas à se décider.

Mais là, elle lui avait dit, le matin encore qu'il l'avait ignorée,
il voulait aller parler à cet homme, savoir ce qu'il en pensait lui,
ce qu'il éprouvait,
mais en allant le trouver, alors qu'il savait qu'il avait rendez vous avec Latika juste après, il l'avait vu avec une autre femme, coucher avec celle ci,
puis rejoindre Latika juste après, il ne comprenait pas comment elle pouvait accepter ça, il ne l'acceptait pas.

Il rentra donc, n'ayant pas le temps de parler à Latika, avant qu'il passe tout ce temps ensemble.
Alors il prépara ses affaires, et l'attendit dans l'entrée,
à l'instant où elle entra, elle resta bouche bée.

Ma belle, je sais que c'est un choc, mais je veux plus que tu souffres,
je veux partir, avec toi bien sûr...

Latika

[Maison]

Il lui sembla qu'il se passait des heures pendant lesquels personne ne parla,
puis tout à coup Derval prononça des mots, elle mit du temps avant d'en comprendre tout le sens :

Ma belle, je sais que c'est un choc, mais je veux plus que tu souffres,
je veux partir, avec toi bien sûr...

Quoi? Mais Derv, je ne comprends pas!
Je ne souffres pas! Je ne suis pas malheureuse!
Derval d'où sors tu ça!

Elle comprit en un instant,
elle ferma les yeux et s'approcha tendrement de lui,
elle lui prit la main, et elle l'entraina sur son lit,
s'asseyant à ses côtés, elle le regarda en souriant tristement.

Rien à changer chéri, je n'ai pas changé, Judas n'a pas changé et ce n'est pas ça qui pose problème,
tu n'as pas compris ce que j'ai voulu te dire, je crois que lui non plus d'ailleurs,
ce n'est pas qu'il couche avec d'autre femmes qui me gêne, il a toujours été comme ça, il le sera toujours et je crois que c'est ce que j'aime chez lui, d'une certaine façon,
c'est juste que c'est derniers temps, toutes mes amies finissaient dans son lit, je n'en avais plus juste pour moi, des amies j'entends,
et on arrêtais pas de s'embêter, et on ne fesait plus, ce qui fait qu'on est qui on est...
Mais maintenant tout va bien!

Elle baissa les yeux et lui prit le visage dans les mains, elle déposa ses lèvres sur les siennes tout doucement.

Calme toi s'il te plait...
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Latika

[maison]

Ils avaient parlé encore un peu,
puis ils s'étaient allongés l'un contre l'autre et Derval s'était endormi contre elle,
elle ne savait pas si finalement elle l'avait fait changé d'avis,
elle ne le croyait pas vraiment.

Il était encore tôt et elle se leva et se décida à aller faire un tour.

[retour maison]

Deux bonnes heures s'étaient écoulées et pas n'importe lesquelles,
elle avait aperçu Judas mais comme d'habitude il n'était pas resté longtemps,
mais surtout elle avait parlé longuement avec sa chère amie Lys,
et ce qu'il en était sorti lui restait encore en travers de la gorge,
elle ne savait comment s'habituer à ce dont elle venait de se rendre compte.

Elle entra dans la maison et secoua Derval,
puis s'asseyant sur le bord du lit,
elle le regarda, et lorsqu'elle vit son regard attendri,
elle explosa en sanglot et arriva à lui dire ces quelques mots, résumé de sa discution avec son amie en taverne.

J'ai compris Derv, je viens de comprendre...
Je... je sais pas quoi faire...
Tout d'abord, mais ça je le savais, je ne pourrais arrêter de m'énerver, parce que c'est mon égo sur... surdimensionné, qui refuse que cet homme ne soit pas comme les autres envers moi...
et je ne supporterais jamais que lorsque je suis là, en taverne, il "s'amuse" avec d'autre,
autant je continue à dire et j'en suis sûre que j'en ai rien à faire qu'il couche avec d'autres, je fais pareil,
mais quand je suis là, c'est moi, toi tu le fais tellement bien, Yama le fesait tellement bien, Eldra....
Tous sauf lui!
Et j'en suis venue à cette conclusion, mais je me trouve horrible de penser ça...

Elle regarda Derv qui semblait ne pas tout comprendre, et à l'idée de ce qu'elle allait dire, ces pleures redoublèrent.

J'ai été amoureuse de lui, je ne le nie pas,
je ne l'ai jamais aimé, je ne peux plus, mais j'ai été amoureuse,
et maintenant je suis passé à l'opposé,
je crois que je le déteste Derval....
Je hais l'homme dont je porte l'enfant!

Quand je suis avec lui, je ne peux m'empêcher de ne rien dire, et de me forcer à sourire, même si de plus en plus je m'en rend compte, j'ai du mal...
Je ne peux m'empêcher de lui lancer des piques incessantes!
Mais le pire c'est que quand on fait l'amour j'oublie, enfin ça ne dure que le temps où on se donne du plaisir, ça disparait aussi vite que c'est venu!

Reussir à dire la vérité l'avait déchargé d'un poid, et elle ne pouvait plus s'arrêter, elle devait tout lui dire, tout ce qu'elle avait sur le coeur, elle parlait à une vitesse incroyable, et les larmes ne rendaient pas la pronociation très facile.

C'est horrible Derv, mais ma nouvelle vie est là, mes amis, mes amies, mes thermes, tout est là, c'est ici que je me suis reconstruite,
et le seul qui fait que j'ai envie de partir, c'est lui et c'est pour ça que je le déteste!
Je ne peux rester parce que je ne peux plus être près de lui dans ces conditions, je ne serais plus heureuse, libre et insouciante comme avant,
mais je ne veux pas partir!
Je veux... je veux qu'il disparaisse Derval...
Je suis un monstre...
Surtout qu'il y a encore une partie de moi... cette partie de moi qui l'aime encore tellement...

Ayant posé sa main sur son ventre pour la dernière phrase, elle explosa en sanglot et ne put dire un mot de plus, se glissant en boule dans le lit.
Derval la glissa sous les couvertures et se glissa à ses côtés, la prenant dans ses bras en silence.
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--Derval

[Maison]

Elle lui parla longuement et pourtant sa position ne changea pas,
ils s'allongèrent dans le lit
et il s'endormit en la serrant contre lui,
et en lui murmurant :
Je te connais ma belle, je sais quand tu es heureuse ou non...

Il la sentit partir mais il ne dit rien,
il la sentit revenir, le secouer et quand il ouvrit les yeux il vit son visage ravagé par la douleur,
il sentit son coeur se crisper et l'écouta.

Elle parlait vite, en pleure, il avait du mal à tout comprendre,
mais saisissait l'essentiel,
il ne dit rien, s'avouant lui même qu'il était étonné de sa conclusion,
et comme auparavant il la prit juste dans ses bras et la serra longuement jusqu'à ce qu'elle s'endorme,
lui ne put fermer l'oeil.

Latika

[maison]

Au matin elle décida d'aller parler à Judas.
La discution fut rude,
et un grand malaise la prit,
elle tomba dans les pommes,
ils eurent peur que le bébé ne vienne au monde trop tôt,
il restait encore trois petits mois avant qu'il n'arrive,
ils passèrent après un moment très dur, un moment très doux,
concluant que c'était le bébé leur priorité et qu'ils feraient tout pour lui.

Judas la ramena dans ses bras et la posa sur son lit pour qu'elle se repose,
elle lui fit signe qu'il pouvait partir,
et elle resta là allongée, caressant son ventre et lui parlant tout doucement.
Puis elle se mit à chanter tout doucement de petites comptines,
puis Derval vint la rejoindre et posant les mains sur son ventre,
elle sentit le bébé se calmer instantanement.

Elle passa alors les semaines suivantes au calme, sortant très peu,
Judas venant la voir de temps en temps,
le terme approchant doucement mais surement.
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.judas.

Un grand soleil éclairait ce matin ou, comme pratiquement tous les autres, Judas rendait visite à la futur maman. Comme à leurs habitudes, Dervhal et Judas firent en sorte de ne pas se croiser, et Judas trouva Latika seule dans sa chambre.

"Bonjour Mère de toute vie, la nuit t'a été douce?"

Disant cela, il s'assit sur le lit, la gratifia d'un baisé sur le front et ouvrit le petit panier qu'il avait apporté.

Dedans il y avait tout ce dont deux corps en un ont besoins: des fleurs pour l'odeur, des fruits pour le gout un grand verre de lait et...une petite liqueur de prune....

C'est que, ayant ses propres idées sur la formation des enfants, Judas s'était mis en tête que si l'enfant buvait suffisamment d'alcool, il deviendrait grand et fort , comme son papa sommes toute.

Sachant Latika farouchement opposée à ce precepte de famille, Judas se deployait d'inventivité pour bien emballer son intention.

Ce matin là, la-dites liqueur était accompagnée d'un déjeuné divinement équilibré, digne d'une scène paradisiaque de chez Ricoré, lequel était bien sur accompagné de son sourire le plus naturel, à la fois franc et coupable.

"Je deploie une nappe et on va boir...manger sur la pelouse ma Belle?

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Ayez confiance...

Latika

[maison]

Le soleil se leva, la journée promettait d'être chaude,
aussi choisit-elle la nouvelle robe qu'elle avait faite,
celle ci en un tissu blanc très léger, s'attachait en haut par de fines bretelles, le tissu tombant en un très simple mais néanmoins profond décolleté, dévoilant sa poitrine, gonflée par la grossesse,
la robe glissait le long de son ventre, à présent bien bien rond,
et le tissu s'arrêtait au dessus de ses genoux en vagues, dévoilant les jambes qu'elle avait su garder fines.

Elle attacha ses longs cheveux en une queue de cheval haute,
elle mis un peu de rose sur ses joues,
et allait sortir lorsqu'elle vit Judas entrer,
elle lui sourit et rit à sa question.

Très douce! Mais Judas, Mère de toute vie, d'où tu sors ça!

Elle rit, et regarda dans le panier qu'il avait apporté, il avait réussi à y caser une bouteille d'alcool et elle réprima un sourire.

Elle acquiesca à sa délicate attention, et le suivit dehors.
Il dressa une nappe au sol et elle s'y allongea doucement,
son ventre dépassait d'autant plus dans cette position,
et elle se mit à rire.

Je ne vois plus devant moi quand je suis comme ça!
Vivement qu'il soit l'heure qu'il sorte!
Il ou elle d'ailleurs!
Mais je crois que c'est "il"! Sent comme il bouge!

Elle attrappa la main de Judas et la posa sur son ventre au moment où le bébé donnait un grand cou, ce qui les fit sourire tous les deux.

Bientôt! Bientôt bout d'chou! Tu pourras bientôt voir celui dont tu tapes si souvent les mains!

Elle sourit et ferma les yeux, savourant les rayons du soleil, qui commençaient à colorer sa peau d'une douce teinte dorée, s'alliant parfaitement avec ses yeux or,
elle soupira et humecta ses lèvres, se rapellant qu'elle avait soif,
elle se redressa alors et regarda Judas.

Tu sais ce dont on devrait parler?
Comment on l'appelera?

Elle attrappa une mèche qui glissait devant les yeux de Judas, et la glissa derrière son oreille, avec un petit sourire, s'attendant au pire de ses suggestions.
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Esquimote

[ENTREE]

De retour du lavoir, le regard d'Esquimote fut attirée par la pancarte indiquant des thermes.

Intriguée, et curieuse, elle décida de pousser la porte.

Bonjour, J'ai pour nom Esquimote, j'arrive de Montmirail, votre pancarte m'a attirée l'oeil, nous n'avons pas un tel établissement à Montmirail. J'aurais grand plaisir à visiter vos installations ?

.judas.

[ la maison]

Ils s'installèrent tout deux sous le soleil matinal et dégustèrent tranquillement le petit dejeuner. Judas tenait une forme olympique, aussi ne cacha-t-il pas son enthousiasme lorsque Latika mit sur le tapis le sujet du nom de l'enfant, qui dans l'esprit de l'un comme de l'autre, ne pouvait être qu'un garçon.

" Oh j'ai bien réfléchie, j'en ai trouvé pleins!
Zidane, ça fait nerveux mais un nom de champion j'te dis, ou bien Juste, c' est une idée de Rasta, sinon j'en ai d'autres: Hyppolite, Korkmaz, Kurt, DOnald, Highlander, Tomtom comme ça il se perdra jamais, mmm Jesus-Joseph, Odile, Big Mac ou Albator ... "

La liste fut encore longue et éprouvante pour Latika, fort heureusement pour elle, la petite clochette liée à la porte des thermes se mit à teinter. Judas bondit sur ses pieds, soucieux d'éviter tout effort à Latika et fila à grande vitesse vers les thermes, déposant au passage un baisé sur les lèvres de la belle et lui glissant au passage qu'il allait voir qui c'était.

[ les thermes, entrée ]

Essouflé, Judas se planta dans la pièce d'entrée. La demoiselle, puisqu'il s'agissait d'une demoiselle, était déjà entrée, et semblait chercher un guide. Judas, bien que ne travaillant pas ici, examina minutieusement la nouvelle venue et lui déclara dans son plus beau sourire:

" Bienvenue aux thermes demoiselle. Je suis Derval, à votre service.
Bains, massages et encore bien d'autres douceurs vous attendent ici alors dites un mot seulement, et vous verrez tout ce que je peux faire pour vous

"

Bien sur le veritable Derval allait forcement arriver, ça se passait toujours comme ça dans les comédies. Mais en attendant, Judas était dans le rôle, et l'accueil de cette voyageuse ne serait pas comme les autres...
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Ayez confiance...

Esquimote

[ENTREE]

Esquimote vit arrivé un jeune homme tout essouflé et se présentant sous le nom de Derval.

Son magnifique sourire la rassura.

Grand merci de votre accueil, Sire Derval.

J'arrive de Montmirail où nous n'avons pas ce genre d'établissement.

Votre pancarte à l'extérieur m'a intriguée, et la curiosité m'a poussée à franchir votre porte.

Ne connaissant pas de Thermes, je me demandais à quoi cela pouvait bien ressembler. J'aurais donc grand plaisir à visiter si cela est possible bien sûr.

.judas.

La jeune femme ne semblait se douter de rien, comment aurait-elle pu de toute façon?

Judas ne se decontenança pas lorsque la demoiselle, charmante, ce qui ne gachait rien, exigea aimablement de visiter les thermes.
Judas lui ouvrit le chemin, marchant à ses cotés et lui indiquant les chemins à prendre.

" Et bien comme vous le voyez, les thermes sont un vaste complexe. On y trouve des bains en tout genre, eau chaude ou froide selon vos désirs; et ici, vos désirs sont rois sachez le.

Disant cela, il montrait à la visiteuse les differents bains, très à l'aise dans son rôle de guide.

" Il y a aussi les massages evidemment. Rien de tel après un bain chaud que de passer entre les mains expertes de nos masseurs...dont je fais partis ajouta-t-il discretement, non sans y joindre un sourire coupable.

Ils s'arretèrent un moment, et Judas désigna les piles de peignoirs qui se presentaient à eux.

"Alors mademoiselle, par quoi aller vous vous laisser tenter? Puisqu'il serait dommage de quitter les lieux sans avoir profité de ses bienfaits...."

Disant cela, il lui tendit un peignoirs à sa taille et lui indiqua une cabine dans laquelle elle pourrait se changer en toute discretion...
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Ayez confiance...

Esquimote

.judas. a écrit:

"Alors mademoiselle, par quoi aller vous vous laisser tenter? Puisqu'il serait dommage de quitter les lieux sans avoir profité de ses bienfaits...."

Disant cela, il lui tendit un peignoirs à sa taille et lui indiqua une cabine dans laquelle elle pourrait se changer en toute discretion...

Décontenancée par les paroles du jeune homme, et le peignoir qu’il lui tendait, l’image de Chapuce fixée dans sa tête, elle se mit à bafouiller.

« euh oui c’est vrai que cela serait dommage, mais je viens déjà de me baigner dans l’eau fraîche de l’étang près de chez Dame Fraxie, et j’attend mon ami, bien qu’un massage, mais je ne sais, Chapuce doit me chercher,

Esquimote ne savait plus que penser. Tenaillée entre l’idée de se détendre ou de chercher Chapuce. Un peu vexée du fait que depuis deux jours elle ne l’avait pas vue, elle décida donc se laisser guider et prit le peignoir.

Euh, vous avez raison, il serait dommage de ne pas profiter de tous ces bienfaits avant de repartir à Montmirail.

Mais je suis novice en la matière, et je ne sais….. Que dois-je faire ?

Latika

[maison]

La clochette de la porte des thermes les interrompit,
elle laissa tout d'abord Judas y aller,
mais le voyant disparaitre au coin du mur,
elle soupira,
par esprit professionnel, et parce que aussi elle n'avait absolument pas confiance en Judas,
elle decida d'aller voir,d'autant qu'il ne revenait pas, il avait donc du faire entrer le ou la nouvel(lle) venu(e).

Elle se leva avec quelques efforts, plia un peu la nappe, pour ne pas qu'elle s'envole, et se dirigea vers les thermes.
Mais que pouvait-il bien faire, il n'y connaissait rien, pourquoi restait il aussi longtemps?

Une pensée traversa son esprit et elle crispa la machoire et accelera le pas,
il n'oserait tout de même pas, si c'est une femme, lui mentir pour la draguer,
bien sur que si pensa t elle aussi tôt!
Mais pas sur mon terrain, pas dans mes thermes quand même!

[thermes]

Elle penetra dans ceux ci,
et entendant des voix dans le vestiaire, elle s'arrêta et écouta, son sang ne fit qu'un tour,
si il avait le culot de faire ce qu'elle n'osait à peine penser tellement c'était ...
Elle ne trouvait pas de mots, lorsqu'il se proposa comme masseur, elle serra les dents,
elle entendit la jeune femme repondre, celle ci semblait elle même mal à l'aise par le culot et le rentre-dedans non dissumulé que lui fesait Judas,
et elle ne savait même pas à quel point ce qu'il fesait était mesquin.

Elle ouvrit la porte, essayant de ne pas la claquer et esquissant un sourire, elle regarda la jeune femme.
Enchantée, je suis la responsable des termes, je vais m'occuper de vous dans un instant.
Je suis contente que vous soyez là, nous nous étions vu en taverne n'est ce pas?
Je vais vous demander juste une seconde.

Parler à la femme la calma un peu, en effet envers elle, elle n'avait que d'agréales pensées et d'agréables attentions.
Elle se tourna alors vers Judas et sans qu'elle essaie de le controler, ses yeux se mettant à briller de colere,
elle lui parla, elle tenta de controler sa voix, et y arriva à sa grande surprise.
Elle en fut contente car elle ne voulait pas effrayer la nouvelle venue.

Judas, est ce que je peux te parler dehors et maintenant!
Sa voix ne sonnait pourtant pas comme une question et il la suivit dehors.
Elle se retourna un instant et souriantà nouveau, s'adressa à la jeune femme.
Je vous laisse passer le peignoir, je me joignerais à vous après si vous le voulez bien.
Elle sourit une derniere fois à l'acquiescement de la femme et ferma la porte, elle sortit alors des thermes pour eviter que la femme l'entende, Judas la suivait.

Elle se retourna alors et plus énervée que jamais,
elle le regarda, pleine de colère et de la haine qu'elle essayait pourtant de controler.
Va t'en Judas, rentre chez toi!
Tu as interet... non rien... laisse tomber!
Mais je te jure, reprends ton panier, ta nappe et ta saleté de bouteille d'alcool et dégage!
Je veux plus te voir, c'est compris!
En tout cas, pas tant que à chaque fois que je te verrais, j'aurais juste envie de te claquer!
Alors VA T'EN !!!

Elle avait sans pouvoir le retenir, crier la dernière phrase,
et sans laisser le temps à Judas de répliquer,
celui ci qui d'ailleurs comme d'habitude, ne devait surement pas savoir ce qu'il avait fait de mal, ce qui l'enervait elle encore plus,
une larme commençant à couler sur sa joue, qu'elle essuya rapidement,
elle rerentra dans les termes,
allant directement chercher son propre peignoir dans la salle de massage,
avant de rejoindre la jeune femme qui l'attendait surement.
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Esquimote

[ENTREE . THERMES . VESTIAIRE]

Ayant pris le peignoir, Esquimote s'apprêtait à suivre le jeune homme quand une femme très aimable se présenta comme la responsable de l'Etablissement.

Effectivement elle l'avait rencontrée la veille à la taverne.

Malgré son sourire et sa gentillesse à son égard, Esquimote sentit un feu couver près d'éclater en apercevant ses yeux briller de colère en s'adressant à Judas. Elle lui enjoignit de sortir immédiatement et le suivi.

Des éclats de voix indistincts parvenaient aux oreilles d'Esquimote, ce qui accrue son mal aise.

Se retrouvant seule, un peignoir à la main, abandonnée par Chapuce, la panique l'a prit soudainement. Elle ne savait trop où Judas l'avait emmenée il y avait bien les cabines, mais où se trouvait donc la sortie, elle n'avait pas pris le temps de regarder le plan à l'entrée.

Elle posa le peignoir et s'enfuit en courant se promettant de revenir présenter ses excuses à la propriétaire plus tard.

Latika

[vestiaire]

Elle alla se changer puis alla rejoindre la jeune femme.
Elle y entra et trouva le peignoir au sol,
elle avait deja senti le malaise de la femme en arrivant,
elle s'assoit sur un banc, et craque, elle n'a meme pas eu le coeur de s'enerver.

Comment... comment elle va faire pour le supporter?
Apres ses belles promesses, il a osé draguer un femme dans son propre établissement,
avec Grenade revenue qui le soutenait sans cesse, et avec qui il était plus qu'insupporable
et elle n'en peut plus.

Elle sort, lache son peignoir, se retrouve nue, avec son gros ventre,
et son bébé dedans, qui semble vouloir respecter la peine de sa mere et qui se tient calme.

Elle rentre dans l'eau, se pose sur la marche du fond, seules ses épaules et sa tête dépassent de l'eau,
ses larmes se mêlent avec l'eau de la piscine.

Comment a t elle pu en arriver là?
Comment peut elle supporter tout ça...
C'est pas possible...
C'est pas elle...
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--Derval

[thermes]

Ces derniers temps, Derval passait ses nuits à veiller sur le sommeil de Latika,
et ses jours à rattrapper son sommeil, et à travailler un peu aux thermes.

Il entra dans ceux ci et trouva Latika au milieu de la piscine, en pleurres, et son coeur se brisa, et sa decision fut prise.

Il s'approcha et se glissa près d'elle, la prit dans ses bras et alors qu'elle allait parler, il lui mit un doigt sur les levres et la regarde droit dans les yeux.

Je te previens je m'en vais et je t'emmene avec moi!
Bien sur tu peux encore dire non, mais je sais que tu es malheureuse,
alors laisse moi t'emmener avec moi!
Moi je te previens de toute façon je m'en vais, j'en peux plus de voir ça...

Il l'embrassa sans qu'elle réagisse, ce qu'il prit comme une bonne chose, elle refechissait à tout ça.
Il se leva et vit Judas qui était toujours devant la porte, il se retint d'aller lui exploser la tête tout de suite, il s'approcha de lui et soupirant pour tenter de ne pas crier.

Je... je l'emmene avec moi!Je supporte plus de... de ce que tu fais d'elle.
Moi je m'en vais et elle me suivra, tu n'es tellement un moins que rien...
Tu la détruis et moi je l'aime et il est hors de question que je continue à voir ça et dans la mesure du possible à te laisser le faire!
Moi je peux plus te voir, je ne comprends meme pas comment elle a pu...

Latika

[Piscine]

Perdue...
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.judas.

Latika était arrivée. Il savait qu'elle arriverait, elle ne l'aurait jamais laissé seul s'occuper de client, n'aurait pas eu confiance; et pourtant il se debrouillait pas mal!

Lorsqu'elle le prit à part, il vit tout de suite dans ses yeux la colère, la souffrance....Le joyeux imbécile en perdit immédiatement son sourire d'enfant effronté, et ressentit la peine de celle qu'il avait si souvent serré contre lui...

Lorsqu'elle lui intima l'ordre de partir, il resta planté, ressassant ce qui venait de se passer...evidemment planter une femme, enceinte qui plus est, en plein rendez-vous, pour aller s'occuper d'une autre...sans parler du fait qu'il s'était fais passer pour le propriétaire....Il méritait bien qu'on écrive sur sa tombe ou partout ailleurs "ci-git un crétin"....mais pourtant...

Judas n'arrivait pas à comprendre les réactions qu'elle avait pour lui. Pourquoi et comment avait-elle pu s'attacher à lui de cette façon, et pourquoi était-il incapable de s'en rendre compte, ni de l'assumer?

C'est sur ces interogations que Derval surgit, car il surgit. (effet dramatique eh

)

Il écouta sans réagir sa juste colère ; ne répondit rien. Il n'avait rien à répondre à cet homme, n'avait jamais demandé à répondre de quoi que ce soit, et pourtant il ne pouvait pas la laisser partir.

Alors il réagit.
D'un coup il entra, ecartant Derval sur le passage et couru jusqu'à Latika. Il n'osa pas lui prendre la main, mais il la regarda franchement, comme il l'avait toujours fait.

"Latika, ne pars pas. Ignore moi, deteste moi, détruit moi s'il le faut, mais reste....Car je veux être là le jour ou ton coeur me pardonnera et si tu t'en vas, cet enfant lui, ne me le pardonnera jamais..."
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Ayez confiance...

Latika

[Piscine]

Partir...
Elle commençait à se faire à l'idée...

Et là Judas qui arrive, qui la regarde et :
"Latika, ne pars pas. Ignore moi, deteste moi, détruit moi s'il le faut, mais reste....Car je veux être là le jour ou ton coeur me pardonnera et si tu t'en vas, cet enfant lui, ne me le pardonnera jamais..."

Elle ne pleurrait plus, du moins c'est ce qu'elle croyait elle ne sentait plus les larmes qui coulait sur ses joues.

Judas... je peux plus... te détruire... mais qu'est ce que tu racontes ?
Pour te détruire, il faudrait que je comptes pour toi, et pas dans ce sens là, pas en amie! Enfin bref tout cela est stupide de toute façon!
Je veux pas, je ne veux pas te détruire, je ne veux pas te hair et je ne peux meme pas t'ignorer, on a les memes amis, on vit dans la meme ville...

C'est pas possible... et je suis desole Judas mais mon coeur ne pourra jamais te pardonner si je reste...
Quand à l'enfant, tant que je serais loin d'ici, je lui parlerais de toi, et en bien je te promets, mais là c'est plus possible...
Et crois moi je deteste avoir à partir...
Pour le bébé je reviendrais, que tu le rencontres...

Mais de toute façon pourquoi t'en fais toute une histoire, tu vas t'en remettre très vite, je le sais!

Elle se leva, et elle essaya de prendre un ton dur, elle essaya de lui faire mal, pour pouvoir partir, pour elle, pour lui...
Elle se rhabilla et se dirigea vers la salle de massage pour partir.

De toute façon qu'est ce que ça fait! Tu n'auras qu'à trouver quelqu'un pour t'en refaire un, un enfant!
Il suffit de lui faire tes yeux doux et je suis sure que ça passera,
regarde une fille intelligente comme Hamnel a été capable de t'aimer!
Et puis ne fait pas comme si tu voulais me retenir, je sais que tu ne fais ça que pour le bébé, c'est pas comme si on était amis.
Allez de toute façon, dans quelques semaines à peine, je ne serais qu'une histoire de plus originale à raconter à tes conquêtes!
Tu ne seras même pas malheureux alors arrête!

Elle allait partir, lorsqu'elle se retourna encore :
Oh et puis Judas, tu as beau dire que tu seras un bon père, je doutes,
tu ne sais tenir aucune promesse,
tu es égoiste, et j'en passes!
Et ce n'est pas humain de retenir comme ça tes sentiments, ça fait de toi juste... rien...
Ah et quoiqu'en dises ta Grenade, fils de ***, ça ne le fera jamais rire notre enfant!

Alors va! Va t'en! Je te rends ta liberté!
Elle prononça la dernière phrase mêlée d'un rire triste et méchant,
et tournant les talons, elle ferma la porte de la salle de massage derrière elle.

Elle se plaqua alors contre le mur, portant la main à son ventre, d'où les douleurs la tenaillaint depuis que Judas avait parlé, elle avait réussi à ne rien laisser paraitre, mais là elle tomba au sol sous la douleur, luttant contre elle,
elle se recroquevilla et murmura tout doucement à son ventre :
Doucement mon chéri, doucement!
Je sais que c'est une promesse que je t'ai beaucoup faite, papa te l'a faite aussi, mais ça a pas marché, alors je te promets pour la derniere fois que maintenant ça ira mieux.
Tout ira bien mon coeur, tout va bien se passer, calme toi s'il te plait...
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.judas.

Il avait écouté tous ses mots, sans broncher. La porte s'était refermée.
Le regard glaciale que lui lançait Derval lui interdisait d'insister. A quoi bon de toute façon.

Elle avait raison sur toute la ligne et sa colère était juste. Une fois encore, il n'avait pensé qu'à lui, qu'à s'amuser, ignorant totalement la souffrance qu'il pouvait provoquer et cette fois, tout semblait irréversible.

Judas s'appuya contre la porte un instant, comme pour reprendre ses esprits. Il lui semblait ressentir la peine de Latika, et pour une fois dans sa vie, il s'en voulait vraiment.

Soudain lucide et clairevoyant, Judas compris alors qu'il était l'unique source de malheur dans sa vie et que Derval avait raison...Il fallait qu'elle le quitte pour de bon, qu'il ne puisse plus la faire souffrir. Aussi se pencha-t-il contre la porte et lui murmura:

"....Latika...tu as raison...Je ne vaux pas grand chose et je n'en ai pas la prétention...Je ne serais jamais celui que tu attends et je ne crois pas qu'on puisse faire pire père que moi....malgré ça... il prit sa respiration, les mots lui semblaient tous vains et futiles, ...non rien...si tu n'as pas la force de me pardonner, j'espere que tu auras celle de m'oublier."

Puis il s'en fut, non points comme il était venu, mais pour une fois touché, presqu'abattu. Il passa comme une ombre devant derval et quitta les thermes. En ces lieux il avait vécu tellement de chose avec elle, tellement fortes qu'il savait au fond de lui que lui comme elle, aucun ne pourrait oublier.
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Ayez confiance...

Latika

[Salle de massage]

Alors que l'enfant se clamait doucement en elle,
elle l'entendit s'appuyer sur la porte,
elle entendit ses paroles,
elle aurait aimé qu'il dise tout ce qu'il avait sur le coeur,
que pour une fois il n'est pas peur d'avoir des sentiments, pas peur d'avoir mal...
elle, elle avait mal... mal de lui faire ça,
mal de devoir partir,
mal de voir à quel point cela s'était mal fini,
mal de l'aimer à sa façon et de savoir que ça ne suffisait pas pour accepter de souffrir...

Elle entendit ses pas s'éloigner, et les larmes coulèrent longtemps sur ses joues,
pendant des heures elle resta là sans bouger jusqu'à ce qu'elle se décide à rentrer.

[Maison]

Quand elle entra, elle découvrit que Derval avait déjà tout empaqueté,
il mettait toutes les affaires dans la charette, qui normalement était rangée derrière la maison,
il avait laissé son sac à elle sur le lit, il la regarda,
et sans un mot elle hocha la tête en signe d'acquiescement,
il prit son sac et le placa dans la charette avec tout le reste de leur bien.

Elle n'en revenait pas de partir,
et si vite...
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Latika

[Maison]

Tout était prêt,
elle ferma la maison à clef, et mit la clef sous le petit pot derrière les fleurs qui bordait le mur.

Elle s'approcha alors des thermes, entra à l'intérieur,
l'air frais la surprit et elle frissonna,
elle alla dans la salle de massage, et ecrivit un mot pour Valou,
où elle lui laissait la charge des thermes, elle savait que celle ci se débrouillerait parfaitement bien.

Elle posa la papier sur la table de l'entrée,
et alors que son coeur se serra, elle ferma la porte des thermes,
peut etre pour la derniere fois,
elle la ferma à clef et alla mettre celle ci avec la clef de sa maison, sous le petit pot, Valou saurait où la trouver.

Avant de reposer le pot sur le clefs, elle les observa un instant,
ces deux clefs représentait sa vie ici, et elle les laissait sous ce petit pot,
elle n'avait plus de larme pour pleurrer,
et pourtant son coeur se sentait rempli de tristesse.

Elle s'approcha de la charette où Derval attachait leurs chevaux,
et elle mit sa longue cape rouge sur ses épaules, et malgré la chaleur encore présente à cette heure du soir,
elle mit la capuche comme pour se cacher le visage, pour ne pas qu'il voit sa peine.

Et c'est ainsi qu'ils partirent, elle lui fit juste signe de s'arrêter chez Fraxie, en même temps que le mot pour Valou, elle en avait fait un pour elle,
et enfin au lac, pour un dernier au revoir à ce village, qui l'avait vu renaitre et qui la voyait partir aujourd'hui...
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Rastaman

Rasta qui avait envi de se détendre un peu alla au termes pour
la premiére fois.

Il entra, ne voyant personne, il insecta donc differents écritaux
et déposa une petite bourse en cuir de 5 écus sur le guichet.

Il se rendit ensuite au vetiaire des homme , où il se déshabilla
et noua sa serviette autour de la taille.

Il prit une seconde porte, se rappelant du plan des lieux
et se retrouva dans la partie mixte.

N'y trouvant personne il se dirigea onc rapidement chez les messieurs
puis alla s'assoir dans la piéce chaude pour transpirer un peu.
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Sadnezz

[vestiaires puis piscine]

Sadnezz entra dans les thermes de Mortagne, son bambin au bras. Ricks lui avait parlé de ce lieu et le découvrir aujourd'hui était une expérience des plus plaisante. L'enfantement fut difficile et long, mettre au monde ses jumeaux avait été une bien rude épreuve pour son corps autrefois parfaitement proportionné. Bien sur, elle sentait qu'elle retrouverait vite sa vigueur d'antan mais en attendant, son dos était endolori, des jambes lourdes, et son esprit des plus fatigué. Une fois quelques ecus déboursés elle entra dans les vestiaires où elle déposa ses affaires, et se dévêtit. Elle s'enveloppa dans une serviette immaculée et détacha ses cheveux. Son fils jouait deja dans une flaque d'eau, cette journée aux terme semblait être une bonne idée pour toute la famille. Elle l'attira à elle et le déshabilla puis lui murmura quelque chose dans le creux de l'oreille. Avec toute la beauté de son innocence et son visage aux délicieuses rondeurs de l'enfance il se laissa faire sans broncher, plutôt pressé d'aller se baigner.

J'espère que ton père nous rejoindra avec Emy, un petit bain en famille fera du bien a tout le monde.

Elle prit sa petite main dans la sienne et ils partirent explorer les thermes. Ils y avait differentes salles, parfois occupées. Mais ce qui attirait bien plus le petit garçon était la grande piscine centrale, qui avait l'air d'accueillir une eau tiède et douce. Sad se laissa tirer jusqu'au bord de l'eau.
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Emelyne

[Entrée]

Ricks (son papa) entra dans les thermes de Mortagne avec Emy sur les bras, pour rejoindre Sadnezz (sa maman) et Anto (son frére jumeau).

Le lieu lui paraisait immense. De ses petits yeux, l'endroit lui semblait magique et merveilleux.
Ricks laissa quelques pièces à l'entrée dans une boite.

"Elles vont où toutes ces pièces après ?"

[Vestiaire]

Ricks l'emmena dans les vestiaires, où après s'être déshabillés, il suspendit nos affaires à un crochet. Il prit un grand drap ainsi qu'une serviette et fit de même pour moi. Ayant la serviette autour d'elle, Emy s'apprêtait à suivre son papa, main dans la main. Emy était heureuse de savoir qu'elle allait retrouver son frérot et sa maman.

[Piscine Centrale]

Ricks prit la petite mimine d'Emelyne dans la sienne pour explorer les thermes. Après avoir traversée l'Entrée, fesant de grands sourires aux gens qui s'y trouvaient, Emy suivit son papa dans la grande Salle centrale. Il y avait beaucoup de salles ici...

Le regard d'Emelyne fut attirée par la grande piscine centrale. Toutes ces colonnes qui s'élevaient vers le ciel l'impressionnaient au plus haut point. La clartée des lumières qui se réflétait sur les eaux, ainsi que sur le sol et les murs, donnait la sensation d'être entrée dans un palais de conte de fées.
Intriguée et très curieuse, Emy tira sur la main de son papa pour l'attirer près du grand bassin d'eau tiède aux petits carreaux bleus.

"Vient papa !!! "

Sadnezz, sa maman, était déjà dans l'eau avec Anto. Emy était contente de retrouver enfin son frérot adoré et sa maman chérie....

Ricks posa les serviettes sur le bord et prit Emy dans ses bras. Il rentra dans l'eau et il se posa sur la marche du fond, seules ses épaules et sa tête dépassèrent de l'eau.
A la vue de Sadnezz et Anto, Ricks alla vers eux, en faisant nager la petite Emy.

"Regarde Emy là-bas, il y a Maman et Anto !!!"

Sadnezz embrassa vite Emy et Ricks.... Et Emy fait un poutou à son frérot...

La petite famille réunit pour partager ce moment magique.... Quel bonheur !!!!
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Anto97438

Anto aperçu au loin ca sœurette chérie et son papa d'amour , alors il leva les mains et les agita dans tout les sens ( de gauche a droite , en rond en zig zag , de toutes les façons possibles ) !

" Emy !!!!!!!! Papaaaaaa !!!! On est lààààààà !!! youhouuuuu ! A droite ! Non a gauche !!!!! Ici !! youhouuuu ! "

Un fois Ricks (papa) et émy ( ma jumelle) arrivé prés d'anto , tout le monde s'embrassa et se câlina tout en souriant de se voir tout les 4 au milieux de cette immense bassin bleu a patauger et ou tant de gens réunit trouvent leur bonheur et un peu de fraicheur , de rire et de joie a s'éclabousser les un et les autres !

Alors que Sad ( ma maman) parler avec Ricks(papa) , les yeux d'anto se fixèrent sur cette immense colonne qui se dressait là , en bout de piscine , avec en son sommet une petite planche s'avançant dans le grand vide !

Pour anto c'était evident !!!!

" Je veux gravir cette colonne !!!!!"

Alors anto se tourna vers sa soeur chérie et lui chuchota a l'oreille :

"Regarde émy tu vois cette colonne qui nous fait face ! Je vais la gravir pour toi ma sœurette ! Comme un grand chevalier !!!"

Anto s'élança a travers la piscine !

Premier périple , nager encore et encore pour atteindre l'autre rive en évitant d'être submerger par tout ces gens qui se déambule autour de lui!

Ouff !!! Anto vient d'éviter d'être écrasé par un énorme garçon aux cheveux roux !

il se retourne vers sa sœur et leva les main pour montrer que tout allé bien !

Le voila au pied de l'immense tourelle blanche !!!

" Oulalalala !! Aristote aide moi hein , maman m'a dit que tu es gentil et que tu aide les bons alors donne moi un petit coup de pouce !! "

Anto s'aventura dans l'escalier en colimaçon en jettant des regard a sa famille chérie , il grimpa , grimpa et grimpa encore !!!

Arrivé au sommet !!!!!

" Ouawwwwwww !! Je suis le ROI DU MONDE !!!!!!!!! Oula c'est haut ....!"

Rassemblant tout son courage , regardant toute sa famille qui le regarder en bas alors qu'il se trouver au sommet de la colonne ....ANTO SAUTA !!!!

" OUAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHH !!!! MAMAANNNNNN PAAAAPAAAA EMMYYYYYYYYYY !!!!!!!!!!!! YEAAAAAAHHHHHHH !!!"

PLOUFFFFFFFFFFFFF PLOUFFFFFFFFFFFFFFFFF

Anto ressortit de l'eau en vaillant petit garçon !!!!! Tout fier de son petit exploit , il venait de vaincre la grande colonne blanche qui avait oser faire peur a sa sœurette chérie ....

Arrivé au prés de sa sœur il la câlina et dit en souriant :

" Tu vois émy , je serai toujours là pour te défendre même contre les plus grands .... "
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Médecin-Chirurgien du Dispensaire des Thermes d'Angers .
Porte Parole Municipal d'Angers.

Ricks

Ricks était finalement arrivé aux thermes avec sa petite Emy pour y retrouver sa compagne et son fils. Après avoir donné es quelques écus qu'il convenait pour y entrer, il répondit à sa fille qui lui demandait où allaient les pièces :

"Eh bien, vois-tu l'argent sert à payer ceux qui s'occupent de faire que les thermes soient propres et en bon état. Les employés se partagent le pactole."

Lui souriant, ils firent un rapide passage au vestiaire puis ne tardèrent pas à retrouver le reste de la famille dans la grande piscine centrale.

Il vint jusqu'à Sadnezz et le fiston en faisant nager Emy, la tenant par les aisselles. Il déposa un tendre baiser sur les lèvres de son namour avant de lui murmurer à l'oreille :

"Tu n'as pas peur d'amener les enfants ici ? Je ne parle pas des possibilités multiples de noyades, glissades et autres mais tu ne sais pas ce qui est arrivé ici ?" Il ajouta encore plus bas, afin que les enfants n'entendent pas : "Des démons ont débarqué, il y a même eu deux morts"

Continuant un peu plus haut, un sourire au coin des lèvres : "Bon je te l'accorde, rien de très folichon ... surtout quand on connait Laéti"

C'était la première fois qu'il venait ici aussi. Les thermes avaient ouvert pendant son premier voyage en Anjou et lorsqu'il était passé en coup de vent à Mortagne la dernière fois, il n'avait même pas eu le temps d'y passer.
Les colonnades d'albâtre et les dalles de marbre rendait l'endroit étincelant de blancheur. On se serait cru au paradis si un petit démon prénommé Anto ne s'amusait pas à semer le trouble et à perturber la quiétude de l'endroit voué à la relaxation.

Le turbulent garnement s'était fichu en tête de grimper en haut d'un petite tourelle, bien grande pour son âge. Et au final il sauta de celle-ci dans un grand cri. Son arrivée en une grosse bombe dans l'eau éclaboussa tous les gens alentours. Ne voulant pas trop se mouiller c'est le cas de le dire, il laisser la mère le morigéner à sa manière.
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Sadnezz

" Emy !!!!!!!! Papaaaaaa !!!! On est lààààààà !!! youhouuuuu ! A droite ! Non a gauche !!!!! Ici !! youhouuuu ! "

Sadnezz vit avec plaisir Ricks les rejoindre, Emy avec lui. Serrée contre son papa, La petite Brune ouvrait de grand yeux dont on ne savais pas s'il s'agissait de peur ou d'émerveillement. Rien à voir avec Anto qui lui, faisait des galipettes en tout genre, éclaboussant partout sans se soucier du reste. Ricks déposa un baiser sur ses lèvres et mettant Emy à l'eau. Sad s'assit sur le rebord de la piscine et posa sa tête contre l'épaule de son homme, observant les enfants chahuter, dans la joyeuse cacophonie de l'instant. Massant une de ses chevilles, elle ne remarqua pas qu'Anto s'était éloigné du bord. Ricks lui murmura:

"Tu n'as pas peur d'amener les enfants ici ? Je ne parle pas des possibilités multiples de noyades, glissades et autres mais tu ne sais pas ce qui est arrivé ici ? Des démons ont débarqué, il y a même eu deux morts. Bon je te l'accorde, rien de très folichon ... surtout quand on connait Laéti"

Sad se redressa et fit des yeux ronds à son félin amour. Des démons? des morts? Elle qui pensait passer une journée des plus apaisante icelieu. Quand aux noyades et autres glissades impromptues, on pouvait dire que Ricks avait le chic pour rassurer. Sad machinalement posa son regard sur les petits.... enfin LA petite. Elle se redressa à demi recherchant l'intrépide blondinet qui n'était plus dans son champs de vision.

- Ricks....

Pas le temps de finir sa phrase, un lointain et résonnant
" OUAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHH !!!! MAMAANNNNNN PAAAAPAAAA EMMYYYYYYYYYY !!!!!!!!!!!! YEAAAAAAHHHHHHH !!!"
se fit entendre, suivit d'un grand PLOUFFFFFFFFFFFFF

Sad eut à peine le temps de voir la petite frimousse blonde s'immerger. Elle bondit, jurant en italien, et vociférant des "porco dio!" à qui voulait bien les ouïre. Ce petit était d'un téméraire... Un de ces jours il se ferait mal, tres mal même! En attendant c'est sa mère qui avait envie de lui faire mal, une fessée n'a jamais tué personne... Non une fessée décidément, elle ne pourrait pas. Prenant son air le plus grave elle le prit par le bras, l'enlevant ainsi à sa soeur et le ramena au bord. Là, elle l'assit à coté de son père et se mettant à sa hauteur le pointant d'un doigt pseudo menaçant ....

- Non mais ça va pas la tête?! refait ça une fois et tu vas voir tes fesses! ton père te donnera la féssée de ta vie! reste un peu là pour te calmer va.

Satisfaite de son semblant d'autorité, se retournant , elle lança à Emy:

- Ne t'avise pas de refaire les bêtises de ton frère!
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Ricks

Sadnezz vociférait dans la grande piscine en italien, faisant à peine moins de bruit que leur fils. Puis elle se mit à le menacer de .... mettre son père à contribution pour qu'il lui apprenne la discipline. Ayant déjà du mal à garder son sérieux en voyant Sad prendre un air menaçant surjoué, il se contenta de dire un peu sèchement à Anto :

"Tu aimes les colonnes ? Et bien tu vas m'en faire une, tu restes où tu es, dos à la piscine et sur un seul pied, jusqu'à ce que l'on juge opportun de te laisser à nouveau bouger. Et pas un bruit"

Notre tigre avait du mal à lever la main sur son enfant, mais il savait se montrer assez inventif en ce qui concerne les punitions.

Se tournant vers Emy, il vint jouer avec elle en faisant gicler un peu d'eau avec ses deux mains dans un mouvement rappelant celui du cœur. S'émerveillant de cet instant si doux passé en famille, il continua à s'amuser avec sa fille longuement sous le regard amusé de Sadouce. Parfois il s'amusait à la soulever et à la plonger entièrement. Il tentait aussi de lui apprendre à nager. Il s'amusait à traverser le grand bassin sur le dos alors qu'elle s'agrippait à ses pieds.

Après un long moment d'amusement il revient s'asseoir sur les marches de la piscine, à côté de Sadnezz. Il vint alors lui glisser à l'oreille : "Tu sais qu'il y a un salon de massage ici, si cela te dit"
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Sadnezz

La journée s'écoulait doucement, Sadnezz se décida enfin a se baigner vraiment, se délasser dans les eaux enchanteresses des lieux. Voila ce qu'il manquait à Angers, avec un petit peu moins de rigidité en prime. Il n'en fallait pas beaucoup aux étrangers pour apprécier une ville inconnue... Pour la brune, cette ville avait donc deux atouts majeurs: les thermes et son marché. Haaan son marché.... Il la laissait songeuse...

Elle se laissa glisser dans la tièdeur de l'eau, et fit quelques brassées, Pour finalement s'immobiliser en planche. Détente garantie. Au loin elle sourit de voir son fils dans une drôle de position. Son père avait-il un don pour inventer des positions? Sad pouffa silencieusement à l'idée. L'autorité et elle... ça faisait trois. Son enfance propre ne fut presque pas moulée dans l'autorité, dure pour la "petite ortie" qui avait grandit dans les bêtises de ses grands cousins de comprendre le sens des corrections en tout genre. Elle croyait au pouvoir de la culpabilisation, du silence.

Elle passa ses mains sur son visage et ramena sa brune chevelure en arrière. Que cette journée était douce... Apres quelques dernières brassées, elle retrouva sa place sur le bord. Ricks la rejoint, et lui murmura:

"Tu sais qu'il y a un salon de massage ici, si cela te dit"

L'idée avait de quoi séduire, surtout si les mains masseuses etaient les siennes... Elle sourit en regardant l'autre bout des thermes.

- J'ai cru voir ça oui... Si tu te fais masseur je veux bien me laisser tenter...

Elle regarda ses douces prunelles félines et s'approchant imperceptiblement vint déposer ses lèvres sur son épaule sans le lâcher du regard.

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Emelyne

[Piscine]

Emelyne était dans les bras de son papa qui lui apprenait à nager... Quel plaisir de sentir que l'on pouvait se mouvoir dans l'eau.
Papa nageait vite sur le dos et le suivre accrochée à ses pieds l'amusait énormément. Emy se sentait comme une siréne.....

Emy faisait très attention à ne pas faire de bêtises.... Elle regardait Anto de temps à autre et son coeur se serrait de le voir puni ainsi. N'y tenant plus, Emy attrapa son papa par le cou au moment où maman venait aussi lui faire un calin. Avec son regard le plus implorant, Emy leur glissa à l'oreille :

"Papa et Maman chéris........ Anto n'a pas été assez puni là ?
Vous voulez bien qu'il vienne jouer avec moi ?
On sera saaaaaaaaaaaaggggggggggggeeeeeeeeeeeeeeeeeee ...... promisssssssss....... Et puis comme ça,....... vous pourrez être tous les deux ............en amoureux..... "

Papa et Maman nous prirent par la main chacun pour se diriger vers la grande Salle de Massages. Emy était contente d'avoir libérée son frérot adoré entrain de faire le pilier....

[Salle de Massage]

Toute la petite famille traversa la Salle Centrale aux mille colonnes et nous rentrions dans la Salle aux grands rideaux rouges.
Emy était encore émerveillée à l'idée de découvrir un autre palais féérique.
Arrivant dans cette grande Salle de Massages, Emy se sentait comme une princesse dans son palais..... (Maman l'appellait déjà sa petite princesse.) Emy aimait déjà beaucoup cet endroit et regardait tout autour d'elle. Et elle vit tout plein de tapis jonchant le sol, des pots d'huile essentielle ainsi que des bougies partout..... Les Thermes étaient magique pour elle...

Emy montrant du doigt un tapis, demanda :

"Maman...... On peut s'asseoir là avec Anto......"

Emy et Anto regardaient avec plaisir les petites bougies pendant que leurs parents se faisaient masser l'un à côté de l'autre....
Emy se trouvait bien, ici sur son tapis, tout en regardant ces petites lumières scintillantes et sentant ces différents parfums qui lui éveillaient ses sens....
Emelyne se sentait calme et apaisée....
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Anto97438

[ Piscine ]

"RRRRoooohhh les punitions ! Je ne savais pas que faire le héros avait ....cette inconvénient de devoir rester là ...debout devant un mur ..blanc ...a compter le nombre de petits trous qui le tapissait ....26....36......42.....58..."

Anto entendit sa sœurette essayer de le libérer de sa sentence auprés des parents !

( CROISEMENT DE DOIGT )

"Ouuuuuuuuffff libéré !!!!!"

Anto courut vers sa sœurette et lui fit un énorme calinou de remerciement parce que debout a compter ces satané trous devenait plus que fatigant !!

C'est alors que la petite famille après quelques péripéties désavantageuses pour le petit anto se dirigea vers le salon de massage !

[ Salon de massage]

Alors que les parents se délecter de massages plus qu'agréable émy et moi étions absorber par le décors de cette endroit , les flammes des bougies semblaient danser au son de la mélodie qui nous titiller les oreilles , l'atmosphère était vraiment reposé et calme sans bruit vagabond ou autre élément perturbateur ...

"Et bien ma sœurette , on est pas bien ici !!!!! "
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Médecin-Chirurgien du Dispensaire des Thermes d'Angers .
Porte Parole Municipal d'Angers.

Ricks

À sa question, Sad répondit :

"J'ai cru voir ça oui... Si tu te fais masseur je veux bien me laisser tenter..."

Après avoir délivré Anto de sa punition, autant par sa volonté de partir que les supplications de la petite Emy, notre petite famille s'en alla vers le salon de massage. Un peu plus exigu que la grande salle, bien que généreux tout de même, il était pavé d'un sol carrelé un peu chauffé, ce qui rendait l'endroit des plus agréables. Sitôt arrivés, la petite Emy demanda :

"Maman...... On peut s'asseoir là avec Anto......"

Après que Sadnezz lui ai adressé un hochement de la tête en signe d'acquiescement, elle s'allongea sur une table à massage. La laissant un peu s'installer, Ricks revint vers les enfants qui n'avait pas d'activité à faire ici et leur tendit de petits berlingos de parfum en disant :

"Vous pouvez jouer aux osselets avec, mais on met pas dans la bouche ? Compris ?"

Ricks revint vers la table, grimpa sur cette dernière, enjamba le corps de son aimée et prit un flacon d'huile de noisette dont il couvrit ses mains.
Puis il se mit à lui masser le dos consciensieusement. Sa peau douce sous ses doigts se laissait pétrir à merveille alors qu'il décrivait tout d'abord du bout de ses doigts des petits cercles concentriques sur ses omoplates. Plaçant ensuite ses mains entièrement ouvertes de part et d'autre de sa colonne vertébrale, il accompagna sa respiration en utilisant une partie de son poids pour l'aider à expirer. Il se remit ensuite à délier ses muscles sans jamais déconcentrer, partant du haut de son envers vers ses hanches, qu'il prenait plaisir à caresser.
Agrémentant la séance de quelques lascifs baisers sur la nuque de sa charmante patiente, il descendit ensuite de la table pour se mettre à tapoter ses muscles intercostaux avec le tranchant de ses mains.

"Si je te fais mal tu me le dis, hein ..."

Apparement elle ne semblait pas souffrir le martyr, il passa à la suite. Soit les massages des ses bras, qu'il parcourut en une longue et un peu vigoureuse caresse. Puis il s'attarda sur chacun de ses membres, bras, avant-bras puis main et en délia les muscles tour à tour. Puis il se tira sur le bout de ses doigts un à un, les faisant parfois craquer. Il passa ensuite à ses jambes. Celles-ci devaient encore être endolories par le poids des deux bébés qu'elle avait porté dans son ventre. Il se délecta d'ailleurs de palper son fessier en dessous de la serviette en s'appliquant à faire des gestes les remontant. Après cela, il appliqua aux cuisses, mollets et petons de Sad le même programme qu'à ses membres supérieurs.

Enfin, il revint sur elle et passa à nouveau en de douces caresses ses mains sur son dos. Puis il lui massa les cervicales en un doigté horizontal, l'entendant soupirer. Pas peu content de lui faire du bien, Ricks pénétra la chevelure de Sadnezz avec ses doigts afin de lui apaiser le crâne. Terminant par un suave baiser dans son cou, il descendit et lui fit une petite tape sur l'arrière train.

"C'est fini."
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Sadnezz

Ricks parcouru son corps de ses mains divines, lui assénant une multitude de petit gestes précis et réparateurs. Chacun de ses mouvement laissait une délicieuse sensation sur la peau de la brune, picotements innatendus, frissons à fleur de peau. Les enfants jouaient paisiblement "enfin" dans leur coin et le calme etait revenu. Palpant ici, Massant là, Ricks savait y faire, et Sadnezz fut plus détendue que jamais. Lorsqu'il massa ses pieds elle ne pu retenir un râle de bien -être. Déliant ses moindres muscles avec douceur il réussit même à la faire somnoler. Le tigre s'enquit de savoir si il faisait mal... seigneur non! Le massage commençait à devenir caresses, et Sadnezz ne cachait plus ses soupirs révélateurs de son état de relaxation tres tres avançé... Les yeux fermés elle se perdit dans des pensées inédites dont elle seule avait le secret. Ce moment d'extase prit fin en un claquement sec sur sa croupe qui lui fit immédiatement ouvrir les yeux

"C'est fini."

Sad grogna puis se relevant elle s'étira longuement. Une impression étrange la prit; celle d'être dans un nouveau corps, tout neuf. Elle s'approcha de Ricks

Merci mon amour... toujours aussi doué.

Déposant un baiser sur ses lèvres elle avait une petite envie de passer à une pièce plus chaude. y avait-il cela dans les murs des thermes?
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Leeana

Leeana arriva devant les thermes.

C'etait la première fois qu'elle venait aux thermes et ne sachant pas comment ça se passe, elle se sentait un peu nerveuse.
Après une profonde inspiration , elle poussa la porte.....

[entrée]

Elle se retrouva dans une magnifique pièce. Le sol était en mosaique et tout était d'une propreté incroyable. Elle apperçu une boite qui indiquait 2 ecus.
Elle fouilla dans sa besace et en sortit deux ecus de sa bourse.
Puis de dirigea vers le vestiaire

[vestiaire ]

Leeana se dévêtit et accrocha ses vêtements sur les crochets en fer.
elle s'enroula dans une serviette puis se dirigea vers la piscine

[piscine ]

Elle posa sa serviette dans un coin et descendit les marches de la piscine d'un pas hésitant.
Humm l'eau est tiède ça me change du lavoir ! se dit elle
Elle continua de descendre jusqu'à ce que l'eau la recouvre jusqu'au cou
Elle fut envahie par une sensation de bien être peu habituelle.
Leeana fit quelques brasses

c'est vraiment un endroit merveilleux ! puis elle rit en elle même qu'elle sotte je suis de m'être inquiétée il n'y a rien de mieux que cet endroit.

Elle nagea encore un peu et sorti de l'eau. Elle attrapa la serviette qu'elle avait jeté un peu plus tôt et s'enroula dedans avant de se diriger vers la salle de massage.....

[salle de massage]

bonjour, je voudrais savoir combien coûte le massage et comment ça se passe ?

Leeana attendit que quelqu'un veuille bien lui répondre.

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[RP] Les bains, thermes et massages de Mortagne