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Meiline
Meiline promena Vlady autour du lac, histoire qu'elle se degourdisse les jambes apres s'etre amusée avec les enfants à l'orphelinat..
Le temps etait agreable, le soleil etait au rendez-vous, ce soir elle prenait la route pour Rennes voir à coté s'il y avait du bois car sur felger il se faisait si rare..
Vlady courait se depensait elle alla meme pres de l'eau mais ses oreilles etaient à l'affut du moindre bruit et moindre ombre...
Elle se mit à courir au loin

- Vlady !!!!!!! revient ici tout de suite !!! Punaise ! où vas tu bon sang !

Vlady reniffla et semblait faire les cent pas

Vlady arriva pres d'une personne, impossible à distinguer à ma distance, je couru vers eux...

- Lieutenant ! que faites vous !
Voyant les traits de son visage tirés, elle devait souffrir
- Avez vous besoin d'aide, je vous racompagne au campement ?


- Meiline j'ai la cheville en mauvaise etat je crois as tu quelque chose de miraculeux si non tu ne peux rien faire pour moi...dit elle d'un ton sec

Je sortis de ma besace une vieille chemise d'Oconor et je pris une petite branche de bois
- Je pense avec ca Lieutenant ca devrait maintenir votre cheville en attendant mieux.. et je vous aiderai à vous relever en vous appuyant sur moi...
Meiline dechira la chemise pour faire comme un bandage et à l'aide de la branche une sorte de maintien...
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Chikaka10
Chika s'était assise et cherchait du regard une branche pour l'aider à marcher. Tout à sa recherche, elle vit arriver un animal en courant. La bête se rapprochant, la jeune fille reconnut la louve de Meiline.

Oh ! Vlady ! Comment vas tu ma belle ?

Elle lui caressa la tête. Chika avait un don naturel avec les animaux. Des cris au loin appelant la louve attirèrent son attention.

Meiline arriva près d'elle, la lieutenant sourit soulagée de voir quelqu'un arriver et d'autant plus un soldat de sa compagnie.


Et bien soldat Meiline je suis contente de vous voir par ici.

Chika lui expliqua ce qui lui arrivait un peu sèchement sous la douleur, mais le sourire était toujours sur ses lèvres.

Aussitôt son amie fit une atèle de fortune. Regardant la chemise qu'elle déchirait...


Heu ! j'en connais un qui ne va pas être content de voir dans quel état tu mets ses vêtements...

Sa cheville maintenue, Chika se releva avec l'aide de Meiline et clopin clopant elles prirent le chemin du campement.

Merci Meil ! Sans toi je crois que j'aurais mis le double de temps pour rentrer.

Puis se tournant vers Leny qui barbottait encore.

Allez Leny ! hop ! hop ! en route. Il est grand tems de rentrer...

L'ours sortit de l'eau et courut vers sa maitresse. Au passage il vit la louve, il s'arrêta net et la flaira. La louve fit de même...

Les deux jeunes femmes les regardèrent inquiètes. Pourvu qu'ils ne se battent pas...

Mais les deux animaux se mirent à courir côte à côte comme si ils avaient compris que leurs maitresses respectives étaient amies.

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Meiline
Meiline était rassurée la lieutenant avait l'air de reprendre des couleurs, les animaux avaient l'air de bien s'entendre, et il avait de l'espace pr courir l'un pres de l'autre sans se gêner .

- j'espère qu'on ne marche pas trop vite.. sinon nous pouvons ralentir

La lieutenant hocha la tête semblant dire non dépêchons nous de rentrer au campement

- moi qui s'en va ce soir, toi qui est blessée ! la poisse ! ma foi je suis contente d'etre venue, sinon je crois tu aurais pu dépérir là ! rentrons vite que je te serve du chouchen pour te remettre de tes émotions !

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Maryana
Me voilà revenue à Fougères, mon voyage breton s'achève exactement là où il a commencé. Instinctivement je m'étais dirigée vers le lac, peu encline à rejoindre les tavernes, n'ayant que peu d'envie de recroiser cette mal-aimable tavernière qui avait eu l'outrecuidance de me faire jeter dehors par son portier sous prétexte que je ne prétendais pas me plier aux coutumes locales.

Parcourant les rues jusqu'au lac, j'avais ouie différents bruits et pu constater que la vie était toujours animée, même si cela semblait différent de mon dernier passage.

Arrivée au lac, j'avisais un chêne, probablement centenaire, au pied duquel j'allais m'installer, laissant les cheveux cascader sur mes épaules, je profitais des rayons que le soleil voulait bien nous dispenser, pensant que la nature était décidément magnifique icelieu. Je me mis à rêvasser.

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Bounia

Bounia qui avait eut une nuit agitait suite a certains messages des plus déplaisant, se réveillât de fort bonne heure. Elle se rendis sur le pas de la porte de l'auberge, en vu de se rendre au lac afin de prendre un bon bol d'air , au pas de cette porte un messager matinal vient l'accosté en lui disant

Dame... dame excusez- moi je cherche une dame Bounia

Bounia blanchit a ses mots car pour elle les message n'était pas des message de bonne augure . Elle lui dit

oui! mon brave je suis celle que vous cherchez.

Il lui remis un message et Bounia lui remis un sou. Puis elle se rendis au lac et s'assit dans l'herbe fraîche, puis elle ouvrit le message tremblante. Elle avait un pressentiment .Bounia le parcourut elle était horrifier, par les propos tenu dans la lettre. Son fils avait totalement perdue l'esprit comment pouvait on en arriver la que c'était il passer pour qu'il en arrive a la haïr ainsi. Elle qui avait toujours pris soin de lui. Elle se dit tous haut

je crois que tu n'as pas assez reçu de fesser ou que tu est tomber sur la tête... une menace de mort contre son père, moi qui ne lui est pas appris la violence.

Elle regardât de nouveau le message pensât au deux amour de sa vie qui dormait Profondément, puis elle se dit

Oh! non, Oh non j'ai assez endurer, je décide de mon chemin et vous ne le détruirait plus.


Bounia pris la parchemin et le déchirât violemment puis le jetât dans le lac. Elle S'adossât a un arbre, et se dit

si il ne réagit pas , je n'aurais pas le choix.

Elle regardât le reflet de la lune caressant l'eau du lac, en ce remémorant les bon moment passer avec son fils, des larmes contenues dégoulinèrent de temps a autre. Les minutes passèrent voir les heures, quand l'eau du lac changeât de couleur, du noir au reflet gris argenté, il devenait rouge au reflets dorée. Bounia se hâtas de rentrer pour ne pas inquiéter, ses deux amour endormie.
Maryana
La journée avait été chargé mais le ménage de printemps était terminé. Il ne m'avait pas assez épuisé cependant pour que je sois capable d'oublier que je me trouvais tout près du lac. La journée avait été un peu grisâtre - ou était ce un effet de la poussière - mais les températures étaient douces, aussi une petite promenade serait sans doute délassante à souhait.

J'avais posé un châle sur mes épaules, j'étais descendue au plus près de l'eau et je marchais en rêvassant tranquillement. D'aucuns m'aurait dit que dans mes rêveries je risquais de tomber, ou qui sait, encore un écureuil, et plouf ! Peu important, je marchais, sans trop réfléchir, essayant de ne pas penser, ou du moins aux choses agréables uniquement.

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Oliveiro
oliveiro marcha le long des rues de fougère pour se promené quand au loin il apperçut un lac. il prit la direction du lac et vit sa splendeur.
oliveiro marcha le long du lac en souhaitant le bonjour aux personnes qu'ils croisaient.
arrivé devant un arbre, oliveiro s'assaya sur l'herbe adossé contre l'arbre et regarda les différents villageois qui s'y trouvé, des enfants joué, par la suite, il ferma les yeux et se perdit dans ses pensées avec un sourir qu'on pouvais lire sur ses lèvres
Meiline
Meiline arriva au lac avec Vlady sa louve, le soleil était eu zénith , le temps était agréable, ce soir elle devait reprendre la route..elle s'adossa à un arbre sorti sa plume l'encre du parchemin et écrit quelques mots... qui prendront forme que dans son esprit...

- Vlady revient ici de suite !!!!!! aux pieds !!
Elle était déjà dans l'eau entrain de se rafraichir
- elle est bonne dit moi ! ,en reposant son parchemin , Meiline se dit que quelques exercices avant de partir lui feraient du bien, la route sera surement longue... elle regarda à droite et gauche il n'y avait pas une âme qui vive à des lieux d'ici, elle enleva son épée, sa cape, ses bas, ses braies, son bustier et chemise, en haillon elle était..

- J'arrive ma belle, Meiline s'approcha du lac, brillant , et beau, elle approche son pied dans l'eau elle était fraiche mais ça ira pour faire quelques brasses et son corps se fera à la température.. un 2eme pieds
- glagla, elle est froide, toi avec ton poil tu ressens rien ou quoi !
Vlady aboya
- j'arrive !!

Meiline entra entièrement dans l'eau, mise sa tête sous l'eau et remonta en secouant la tête,
- froide de chez froide !
Elle décida de nager de plus en plus loin, accompagné de sa louve qui elle ne voulait pas aller bien loin...

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Meiline
Apres quelques brasses et des exercices physique sur le sol, elle avait enchainé des tactiques de combat avec son épée, le ciel commençait à s'assombrir et il indiquait déjà le début de soirée, il était temps de rentrer

- Vlady aux pieds !! , meiline le siffla

- Ma belle on doit préparer notre valise nous partons tu sais bien !!


Vlady et elle rentrèrent...le voyage allait être long...

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Roxannemontfortlaval


Après être passée en taverne préparer mes pigeons et notamment celui à ma tante, je me promenais dans les rues de Fougères en quête d'une auberge pour pouvoir dormir cette nuit.
Nulle trace d'auberge!!! Je savais bien que j'aurai pu aller me présenter chez la meilleure amie de mon défunt père mais elle n'était autre que Precio, la femme du capitaine de l'Ost de Retz, et je ne voulais pas déranger, d'autant plus que je la savais sur les chemins du retour et donc absente de leur demeure. Il eut été inconcevant d'aller y frapper.

Le printemps était arrivé et il ne faisait pas tellement froid, je pourrais dormir à la belle étoile cette nuit. Avisant une clairière un peu à l'écart du lac, je m'y arrêtais et attachais mon destrier au premier arbre venu et fouillais les sacoches afin d'en extirper une couverture sur laquelle je m'assis. Les yeux perdus au loin, je réfléchissais. Ma tante Mimilia allait m'en vouloir certes, mais je n'étais pas faite pour vivre une vie monotone comme celle de ma mère. Oui on m'avait inculqué les bonnes manières; oui je connaissais sur le bout des doigts comment devait se comporter une femme dans son foyer ; mais , à 23 printemps bientôt, j'estimais pouvoir moi-même décider de ma vie, n'en déplaise à certains membres de ma famille.
Si mon père était toujours de ce monde, il m'aurait encouragée lui. J'avais hérité de sa pugnacité, de son sens de l'honneur, de sa fougue et de son amour pour la Breizh. Devenir une simple femme au foyer,dévouée à son époux et rester entre quatre murs très peu pour moi.
J'avais besoin d'espace et de liberté, de passion. Et je voulais être utile à ma terre bretonne.Voila pourquoi j'avais choisi l'Ost de Retz. Des hommes et des femmes de volonté et de caractère. J'étais trop impulsive pour être diplomate et trop franche pour être dans la politique ...Mon père avait su doser tout ça avec l'expérience....Moi je voulais défendre ma Breizh...

Les étoiles brillaient haut dans le ciel et je me couchais, déposant ma dague non loin de moi. Je me lovais dans la couverture, et repensait à cette entrevue avec le maréchal . Je revoyais les yeux bleu acier posés sur moi. Je me secouais de ma torpeur. J'allais vouer ma vie à la Breizh, à l'Ost de Retz et je voulais apprendre et encore apprendre et mettre en pratique mes connaissances.
Demain matin à la première heure m'avait-il dit. Je fermais les yeux un sourire aux lèvres.....J'y serais....

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Meiline
Le temps était radieux sur l'herbe la rosée du matin disparaissait faisant place à de la verdure douce et agréable à toucher.

Meiline et Vlady arrivèrent à leur endroit préféré prés du gros chêne au bord du lac un endroit assez calme et retiré de la foule, de là adossé contre l'arbre on pouvait apercevoir le gros cloché de l'église St Supplice
Vlady couru de long en large poussa des cris de joie ça faisait un bon moment elles ne s'étaient pas promenées ici.
Meiline posa le panier pique-nique qu'elle avait confectionné elle avait envie d'un peu d'évasion de fraicheur..

Une jolie nappe, des verres on ne savait jamais, un litre de chouchen, de la viande, du pain, quelques fruits . et plein d'autres choses, elle aurait pu nourrir ainsi toute sa famille, elle en avait bien trop préparer..



- Vlady ! Vlady vient ici ma belle, ne t'éloigne pas trop.

Meiline dénoua sa cape, enleva la dague et prit son épée en main

- Quelques exercices ne me feraient pas de mal

Elle se mise en position avec l'épée entre ses deux mains et brassa de l'air imaginant un adversaire devant elle, avec cette technique ma portée est plus longue et ma puissance à la tranche bien supérieure à l'épée simple !

le fait que j'avais les 2 mains sur l'épée me permettait d'apporter outre la puissance des coups mais aussi beaucoup de subtilité dans mon utilisation face a un adversaire..

Meiline était gauchère mais elle essaya une garde pour un droitier, on ne sait jamais si un jour d'aventure elle se blessa..

Elle mit son pied droit devant dirigé vers un adversaire invisible son pied gauche presque perpendiculaire a son pied droit , bras fléchit main droit presque au niveau de la ceinture et la gauche en pronation soit au dessous, et commença un combat dans le vent avec la point de l'arme légèrement en dedans et non d'avoir le défaut d'avoir le pointe de l'arme en dehors.. cette garde appelé la couronne voir principalement la garde affrontée était la moins fatigante et généralement la plus naturelle..

Elle enchaina d'autres techniques, le défoulement était nécessaire avant de se restaurer...
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Darklumi
une voix grave sortie des bois ,et ayant observer un petit moment les passes du soldat , dark s avanca et sourir

je n aimerai pas etre la personne qui se retrouvera face a toi , ta dexterité a l epée s ameloire de jour en jour

l homme etant lui aussi pas tres loin pour son propre entrainement , le plat de son epée sur son epaule il s aprocha de la jeune femme avec une certaine mefiance , cela pour esquiver une eventuelle attaque de meiline .

mais allons que dis tu .....; ha mais .....; ah !!!!


il tomba a la renverse , quand valdy lui sauta dessus

oui , le chien , t es un bon chien chien ha ...... non

dark se releva et caressa valdy et tenta de repriendre sa phrase quand il appercu le panier de provisions

humm tu attends du monde , ou bien c est un petit repas de fin d entrainement ? il y a plein de bonne choses dans ce panier dis moi
oui mais revenons a ta posture de garde veux tu que je t aide? se battre de la droite pour une gauchere n est pas simple , et l inverse de tel

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Meiline
Meiline etait en sueur et entendit sa louve et une voix grave

- Ah dark ! demat ! meiline le bisouille, ce pique nique est un au cas ou je croiserai des amis !
comme tu peux le voir je m'entraine comme toujours, je suis gauchère ! et j'essaye un peu la droite.
tu veux m'aider? mais tu sais je manie de mieux en mieux , c'est mon activité principale !
veux tu manger un peu avec moi?


Vlady était dans les jambes de dark , recherchant des caresses et jouer avec lui

- Vlady ma belle laisse le tu vas le faire fuir ! Dark je te présente Vlady ma louve et non mon chien !

Meiline souria et deballa le pique nique
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Darklumi
dark regarda mieux la tete du chien , et le caressa une nouvelle fois , pris un morceau de bois au sol , l agita devant la bete puis le lanca le plus loin possible ; valdy ne bouga point .

tu as bien raison c est un loup

et il rit

sinon c est avec grand plaisir que je partagerai ce bon panier avec toi

le soldat planta sont epée au sol pres de la nape et s installa sur celle ci de tout son long

alors que me proposes tu de bon

il observa meiline faire et la voie sous un autre role que celui de soldat puis lui sourit
meil sortie du panier de quoi nourire plusieurs personne , mais a l aspect delicieux ( un litre de chouchen, de la viande, du pain, quelques fruits . et plein d'autres choses,)
le dizainier attendit l autorisation de meiline avant de planter sa dague dan le morceaux de viande .
il le porta a la bouche et degusta

hummm tu a raison , cela fait du bien apres un entrainement de manger un petit bout .
aurais tu quelque chose a boire avec tous cela ?


dark tendit le verre qu il avait devant lui
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Meiline
Meiline etait femme et soldat, plus soldat que femme, souria

- Alors j'ai du chouchen, de l'eau de fraise, et de l'hydromel tu te demande c'est bien quoi hein !! c'est une boisson fraiche à base de miel, ca se boit froid ou chaud., souria et se prépara un morceau de pain avec de la viande en attendant que Dark choisisses sa boisson

- moi j'aime beaucoup l'eau de fraise , elle s'en versa, c'est à base de fraise, de menthe de miel et de l'eau

Bu son verre par petite gorgée et mangea en silence, se disant qu'elle etait bien là.
Vlady arriva vers eux, elle avait faim également

- Vlady tu as senti la bonne odeur ma belle, meiline la caressa lui coupa un morceau de viande et lui donna
- Bonne fille va

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