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[RP] Doubles bouchées à la Reyne. Reygalez-vous !

Alvira
Un regard attiré par le mouvement dans la pièce et le bruit léger de pas qui trahissaient la présence de sa fille. La Reyne releva le menton pour sourire à cette dernière. Se levant alors elle la contempla, émue et fière. Par moment elle revoyait Lilye enfant, pleine de bêtise, complètement indisciplinée qui faisait du troc avec ce qu'elle pouvait chiper dans la garde robe maternelle. Qui aurait pu penser que cette chasseuse de hérisson professionnelle, turbulente et insolente deviendrait un jour la jeune femme épanouie et pleine de grâce qu'elle voyait désormais.

Observant l'envolé de jupe, elle vint ponctuer l'exercice par un chaleureux.


Merveilleux, tu es sublime dedans. Tu as tellement... Grandi.

Le bisou vint clôturer leur échange, et elle la serra contre son cœur, elle venait de prendre une claque certaine, et un sentiment de nostalgie lui broya le cœur, détourné rapidement par les annonces et entrées successive des membres de sa famille. Un sourire aux huissiers, les saluant également.

Bienvenue à tous, c'est un plaisir de vous voir, de vous revoir ou simplement de vous rencontrer. Je vous en prie prenez place, les dames de la chambre vous aideront à remiser vos affaires, et nous ne tarderons pas à prendre quelques petits amuses bouches.

Celui qui dans la journée ne se trompe dans aucun lien de la famille remportera une bouteille d'Armagnac et des pains d'épices en forme de belette.


Une lueur espiègle anima ses onyx alors qu'elle venait près des siens les iris se portant sur chacun d'eux comme si ils étaient des trésors perdus qu'elle venait à découvrir dans la cale d'un navire pirate.
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Maylodie
Mayl était arrivée en même temps que la Première dame, Sofja. A vrai dire elle la quittait peu souvent car la demoiselle avait toujours besoin d'apprendre et quoi de mieux qu'avec la Première dame.

L'ébène était présente un peu en retrait par rapport à son mentor. La jeune femme avait prit le temps de saluer chaque personne par une gracieuse révérence . Elle gardait les deux mains jointes sur sa robe, tenue pour laquelle elle avait eu du mal à se décider. Ces yeux d'azur parcouraient la salle quand son regard croisa ceux de Gabriell. Elle lui sourit tendrement et lui murmura un bonjour en toute discrétion. Mayl trouvait amusant de le voir au Louvre alors que ces derniers temps c'était souvent à Clermont qu'ils se retrouvaient.

Il avait l'air pas mal occupé et ne voulait pas le déranger tout de suite.

Son attention fût attirer lorsque la Reyne évoqua les dames de la chambre. Voilà elles allaient entrer en scène.

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Hailey_
Un sourire, le sien sur ses lèvres.
Un battement, son coeur lorsque ses yeux ont croisés les siens.
Le voilà, oui son A.M arrivait, ils furent annoncés ensemble, alors elle glisse son bras sous le sien et avance du même pas.
Ce même pas qu'Hailey continuait à suivre un long et long moment.


    - Mes Salutations à vous mon adoré. Comment vous portez vous?


Juste le temps de se débarrasser de ce qui l'encombre, son long manteau et autres qui servaient à la préserver du froid d'hiver.
Ses lèvres viennent se poser sur sa joue - discrètement-.
Il connaissait surement mieux les lieux qu'elle, alors elle allait le suivre ceci était un fait.


    - Dites moi Astian, vous n'auriez pas oublié de me dire de vive voix que l'invitation était... ici ! Je me serais apprêtée mieux que cela. Je me sens horrible et non présentable. Vous n'avez pas trop honte?


Tirant un peu la tête, une grimace sur son beau minois.
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Octave.
Il avait fait la route, l'invitation avait été lancée il y a quelques temps, et il ne pouvait s'y soustraire, le voudrait-il seulement. Mais même pas. Il a hâte de retrouver les siens. Il était sur de ne pas en connaitre la moitié, et de ne pas reconnaitre l'autre. Il n'y aurait là rien d'étonnant ceci dit, puisque les trois quarts de la famille ne sont pas vraiment de sa famille. Il était l'oncle de la femme du neveu d'Alvira et le fils de Riwenn. Autant dire que le clan ratisse large quand il s'agit de rincer, et faut bien l'avouer, il n'a rien contre.

D'autant que ces dernières semaines, il a eu l'occasion de passer pas mal de temps avec Alvira, et sa fille. C'est sans déplaisir aucun qu'il se rend au Louvre pour les voir évoluer au milieu des leurs et sans avoir à faire attention aux susceptibilités de la Garde, des médecins, et de tous les gens qu'ils peuvent croiser sur leur route. Avec les derniers évènements et son départ précipité du cortège en compagnie d'Isaure, il a un peu perdu la notion du temps et surtout, il a complètement oublié de demander la liste des invités.

Pressant dans sa poche la lettre de sa soeur, il espère que Martin aura pensé à prévenir Lou de la fête, il espère qu'il aura pu lui fournir de quoi faire le voyage, il espère qu'elle ne sera pas trop fatiguée pour les rejoindre, ou trop impressionnée, il espère, en quelques mots, qu'elle sera là. Cette pensée lui fait presser sa monture, à tel point que la bête arrive à destination écumante. Et les chausses aussi. Las, il lui faudra de toute façon se changer.

A cet égard, il préfère l'anonymat d'une auberge un peu avant le Louvre, et s'y installe la veille au soir. Il doit de toute façon dormir et récupérer des efforts que réclame la chasse aux fugueurs dans laquelle il s'est lancé.

Au petit matin, il est frais et dispos, chassant pour quelques heures la course à l'Ysilgonde de son esprit. Déterminé, il décide de rejoindre le Louvre à pieds, son cheval a également bien mérité une journée de repos.

Il a bien besoin de cet air frais et de ce temps de répit. L'idée même du banquet était un peu stressante, mais l'idée d'y retrouver celle qu'il a quitté à la sortie de l'enfance, il y a si longtemps, lui serre les tripes et contrairement à ce qu'il aurait pensé, il ne se précipite pas. Et si elle ne reconnaissait pas dans l'homme d'armes qu'il est devenu le garçon facétieux avec lequel elle a grandi ? Si elle ne retrouvait pas sous sa barbe fournie le menton en galoche de son aîné ? Et dans sa voix d'adulte les accents fluets et chantants de l'adolescent qu'il était la dernière fois qu'ils se sont vus ? Perdu dans ses pensées, il ne voit ni n'entend plus personne, tandis qu'il fait les cent pas.

Un peu plus tard, un point rouge se forme à l'horizon d'Octave. Un point rouge dans sa ligne de mire alors qu'il sort enfin des méandres de son appréhension. Un point rouge qui se rapproche dangereusement, à la vitesse de la lumière, et qui manque de le renverser lorsqu'il se précipite dans les bras qu'il a par réflexe ouverts largement. Qui d'autre qu'Elle aurait osé courir vers lui ? Qui d'autre que Lou pour oser lui sauter au cou sans craindre un coup ou pire ? Qui d'autre pour s'approcher de lui à moins d'un mètre ? Octave inspire la distance, sauf pour Elle.


"Vous êtes venue ! Ma soeur, vous êtes venue !"

Il ne pleure pas, mais aucun observateur ne pourrait douter de l'émotion qui lui noue la gorge, ni de l’indicible joie qui déborde de son large sourire. Après l'avoir portée à bout de bras, il la repose et recule un instant pour l'admirer. Elle devra reprendre du poil de la bête, et elle est devenue adulte, mais il reconnait en elle l'enfant dont il a été séparé des années plus tot.

"Nous devrions y aller, sinon nous n'irons pas. J'ai trop de choses à vous demander et à vous conter..."


Il dit vrai... S'ils ne prennent pas le chemin dès maintenant de la salle de réception, Octave finira par offrir à sa soeur un repas dans une bonne auberge du coin histoire de rattraper le temps perdu, et ça n'aura eu aucun intéret de monter jusqu'au Louvre pour ce faire...


"Que diriez-vous ma soeur de profiter de la journée, et de nous retrouver ensuite avant de reprendre la route ?"
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Lou...


    Voilà a peine deux semaines que Louison avait quitté le couvent des carmélites. Entrée à l'enfance, loin des affres du monde exterieur, la rose s'était épanouie à l'abri des regards, pour devenir une jeune femme rayonnante mais très intimidé par le monde qu'elle découvrait. Après quelques jours de voyage, elle avait emménagé chez le Comte de Courserans, son neveu, et troqué ces robes de bure au étoffes grossières contre des tenues plus fines afin de ne pas faire honte à ce dernier. Une de ces robes lui tenait plus a coeur que les autres. Elle était d'un velours rouge, doux et épais. Un messager l'avait apporté il y a quelques jours au château de Saint Giron, accompagné d'un mot...


      « Je m'en veux de ne pas revenir immédiatement vous accueillir...
      J'ai encore des choses à vivre je crois dans ce cortège royal.
      En attendant, il est hors de question que vous preniez froid !
      Prenez soin de vous ma soeur,
      O. »


    Même à distance son frère bien aimé veillait sur elle et leurs retrouvailles étaient prévues dans quelques jours. Le Reyne de France qui, par les méandres des alliances et de la généalogie, était devenue une lointaine cousine, avait décidé de réunir toute sa famille auprès d'elle pour un grand banquet. Scellant par là même la réunion de la troisième génération des Beaupierre. Lou n'aurait su dire clairement si la perspective la plus intimidante était la rencontre avec la Reyne ou les retrouvaille de son frère. La seconde sans doute. Ils n'avaient eu le temps d'échanger que quelques plis jusqu'ici, et l'encre ne pouvait remplacer le sang de l'être cher. À quoi pouvait il ressembler désormais ? Était-il beau ? Grand ? Charmant ? Séducteur ? Balafré ? Musclé ? Chétif ? Charismatique ? Tant de questions si anodines et pourtant vitales auquelles la Beaupierre n'avait pas de réponses... La seul chose qui ne souffrait aucun doute était la tenue qu'elle porterait. Sa robe. Ainsi elle était certaine qu'il la reconnaitrait sans peine. Comme un point de repère pour ce rendez-vous mythique - meetic ? - ou elle allait enfin retrouvé l'être aimé.

    Le trajet jusqu'à Paris fut long, et c'est à l'aube du jour J, que la Loup passa les portes de la ville. Une modeste auberge lui accorda une chambre sous les toits dans un quartier non loin du Louvre. Le corps y trouva le repos tant dis que l'âme angoissait un peu plus à chaque minute. Car à mesure du temps qui passe, la brune réalisait peu à peu qu'en plus de son frère et de la Reyne, c'est toute sa famille qu'elle allait rencontrer. A cette idée le cœur explosait, le ventre se serrait. Puis l'heure arriva ou il fallut se mettre en route...

    Les dédales de l'antre royale lui semblèrent interminables, l'ensemble de la demeure méritait d’être observé avec attention et pourtant... Lou courrait presque. Pressée comme si sa vie en dépendait, jusqu'au moment où, aux détours d'un couloir, le corps fluet de la jeune femme se stoppa net. Il était là. Était-ce bien lui ? Oui..? Oui ! C’était certain ! Faisant fi du lieux, des conventions et de son éducation, la cadette se mit a courir. Les yeux inondés de larmes.


    Evidemment que je suis venue ! Quelle idée !

    Alors que ses pieds retrouvent terre, la cadette détailla son aîné. Qu'il était beau. Qu'il était homme surtout ! Les mains calés sur ses joues, Lou ne pouvait se détacher de lui,
    désancré ses yeux océan de ce visage ou elle lisait encore des bribes de souvenirs d'enfance.


    Vous m'avez tant manqué, je ne vous quittes plus mon frère !
    Mais vous avez raison... Profitons de cette journée.


    La loup entraîna son frère vers l'huissier qui de sa place n'avait du rien manquer de ce sprint final et ses étranges retrouvailles.

    Le bonjour. Vous pouvez annoncer Octave et Louison de Beaupierre s'il vous plait ?

    Elle sourit de nouveau à Octave. Qu'il était beau...


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Valeryane
Toute la famille arriva au Louvre les filles avaient été terrible tous le long du voyage, intenable, impatiente et pleine de question auxquelles Val et son époux n'avaient pu répondre pour certaine. La famille presque au complet se retrouvait devant un huissier royale qui devait les annoncer.

Qu'est ce que sa sœur avait prévue pour cette réunion de famille? Elle savait Alvira espiègle et pleine d'imagination, Val craignait le pire des fois, la reine n'ayant pas sa langue dans la poche on pouvait s'attendre à tout et n'importe quoi surtout quand il s'agit de faire la fête les Duranxies ne sont pas en manque d'idée.

Le petit groupe se présenta à l'huissier, Hanael, et les jumelles suivaient sagement l'ainée connaissait les lieux, alors que Val se cantonnait dans son atelier du Louvre, elle avait si peur de se perdre dans ses couloirs et salons à n'en plus finir, heureusement Hanael savait ou aller.




Bonjour, pouvez vous annoncer à sa Majesté l'arrivée Leur Grandeurs Alcide Von Witteslbach et Valeryane Von Witteslbach de la Duranxie et leur petite jumelle, ainsi que Hanael Elisabeth Louise Darwin de Llobregat de la Duranxie.

Pour l'occasion la brune avait mis la fameuse robe qu'elle avait faite à sa soeur lors du sacrement de l'ancienne reine, cette robe rouge que val adorait, sa sœur lui en avait fait cadeau une exclusivité que Val gardera précieusement. Toute les robes que Val faisait et avait dans ses coffres seront l'héritage des filles avec bien entendu autre héritage.

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Alexandra.darwin
    Le premier rassemblement de famille. La jeune fille va enfin connaître toutes les branches de cette grande lignée. C'est qu'elle s'y perd très souvent à savoir qui est qui. Lorsqu'elle découvre une branche, il lui semble qu'une autre fait son apparition. Sans compter la famille de son père dont elle ignorait tout jusqu'à présent. Mais il n'est pas temps de s'étendre sur le sujet.

    Accoutumée à des tenues de jouvenceau, Hanael n'a pas réellement une garde robe qui valorise la femme en devenir qu'elle est. Néanmoins, et après avoir fait le tour de Paris pour une robe présentable, la jeune fille a rejoint sa terre natale pour couvrir les yeux de sa mère de tendres baisers, mais également ceux des jumelles qu'elle ne voit que trop peu à son goût. Mais elle ne peut faire autrement entre ses trois affections professionnelles, dont l'une lui a valu récemment une promotion.

    Conviée à partager le repas de la souveraine, et consciente qu'elle croisera ses collègues, Hanael devance les pas de sa mère, ainsi que de son beau père, les jumelles emboitant ses pas dans une démarche presque aussi rigide que la sienne, sans doute dans le but de se jouer de leur grande soeur. En face de Sa Magnificence et de Sa Grandeur, la jeune Duranxie s'efface pour laisser sa mère prendre la parole. Quelques pas de côté ensuite, elle ajoute à mi-voix pour ses collègues:


    « Bonjour vous deux...Dites, vous avez vu comme elle est belle ma mère? »

    Hanael s'éclaircit soudainement la voix pour attirer l'attention de ses "parents", tout en retirant sa lourde cape ainsi que ses gants.



    « Mère, Votre Grandeur, un instant. Je tiens à vous présenter ceux qui partagent mon quotidien au Louvre.»

    Dans un gracieux mouvement de la main, elle désigne Adeline.

    « Je vous présente Sa Magnificence, Adeline de Courcy, Première Huissière Royale. A ses côtés, Sa Grandeur, Gabriell de Bellecour, Second Huissier. Deux personnes que je tiens en haute estime, et qui me permettent de m'épanouir au sein du Louvre.»

    Les pulpes rosées s'ornent d'un radieux sourire affable alors qu'elle se penche, et avec la soudaine candeur d'une enfant fière de sa mamounette, elle poursuit à mi-voix:

    « Attention, on ne beugle pas hein. Elle a l'oreille délicate.»

    Même pas vrai... Et de sourire avant de se cacher derrière son beau-père, et de souffler en indiquant discrètement Alcide:

    « Sinon il va s'occuper de vous. c'est son trésor ma mère.»

    Hop Illico elle redevient sérieuse et lance un coup d'oeil à ses soeurs.

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Riwenn


Cela faisait déjà deux règnes que Riri possédait Embardée. Si d'aucun ignorait ce dont il s'agissait, les plus connoisseurs savaient avec certitude qu'il estait question du baudet royal que le Pair avait reçu de la part de feue Sa Majesté de Bussac. Et l'asne de Lafa faisait l'affaire, broutant les mauvaises herbes des cultivations de certains de ses domaines. Sakura avait eu raison en lui remettant à l'époque : Embardée estait une charmeuse née ! S'il avait esté un étalon, à l'instar d'un mulet, il aurait sans doute succombé à ce travail de séduction dont elle aimait se parer de temps à autre.

Malheureusement, il n'avait pas pu le mener avec lui jusqu'au Louvre, d'une part le voyage avait esté assez long et la vitesse n'estait pas du tout le fort du bourricot, d'autre part faire toute cette route pour rester à l'extérieur aurait sans nul doute blesser le petit cœur fragile de l'animal.

Au final, Riwenn serait seul à respondre à l'invitation qu'il avait reçu pour assister au repas de famille qu'Alvira avait mis en place. Il ne doutait pas cependant que bien d'autres membres et la teste alouette ! seraient présents à l'événement et sauraient donc effacer le sentiment de solitude qui aurait pu s'ancrer dans l'esprit du patriarche, mesme s'il n'y avait aucune chance, seule avec sa majestueuse sòr, qu'il contracte un sentiment d'ennui ou d'abandon.

Au jorn et au lieu prévu, le Gascon franchit les portes du lieu souverain de France, qu'il connoissait quelque peu, surtout pour y fréquenter les locaux de la Pairie et de la Hérauderie, et finit par se présenter, dans une tenue légèrement colorée bien qu'un peu sombre, là où deux huissiers l'attendaient, dont l'un estait sa collègue héraldique qui gérait la marche normande. Non loin d'eux se présentait une majeure partie de la famille de Valeryane et Alcide, qu'il salua d'un sourire, comme iceux inconnus qui se tenaient également là, ce avant de se tourner vers les deux "annonciateurs".




Adishatz, nous nous voyons bien aise d'estre accueilli avec grasce et vigueur chacun des adjectifs pouvait s'accorder avec chacun des deux sous-officiers royaux, comme des autres présents d'ailleurs Veuillez annoncer l'arrivée de Sa Seigneurie Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie, Pair de France, Duc de Tartas, Coms de Pardiac & de Gaure, Baron de l'Isla & de Montespan, Senhor de Cazarilh, Héraut d'Armes Royal, Officier de la Croix gasconne et Croix d'or de l'ordre du mérite d'Armanhac e Comenge, Consòl d'Aush, mercé. ET non, il ne s'agissait pas du blague. Un peu d'exercice ne pouvait pas faire de mal, n'estait-il pas ?

Sous peu, le chef des La Duranxie verrait qui du reste de la famille serait parmi les invités.

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Héraldique européenne
Gabriell
Toujours à son poste au coté du Premier Huissier, Gabriell surveillait les allées et venues, un couple arriva, il les salua d'une inclinaison de de la tête, respectueux.

Bonjour, bien entendu je vais vous annoncer, veuillez me suivre je vous prie.

Il entra dans la salle puis annonça les personnes suivantes.

Messire Octave et Dame Louison de Beaupierre.

Ses azurs croisèrent ceux de Maylodie, il lui rendit son bonjour accompagné d'un sourire. il retourna le pas léger devant la porte et attendit les suivants.
Il n'eut pas très longtemps à attendre que l'une des meilleures couturières du royaume se présenta avec sa famille. Sans doute que la dernière tenue qu'elle avait du lui faire fut sa tenue de marié. Il découvrit par la même occasion que Hanael, sa collègue Huissière, était la fille de Valeyriane. Les présentations faites par Hanael, Gabriell s'inclina respectueusement. Tout bas il répondit à la jeune fille.


Très belle oui.

Puis il reprit plus haut pour la Comtesse et sa famille.

Enchanté de faire votre connaissance, Votre Grandeur, c'est un plaisir de vous revoir en dehors de votre magnifique atelier.
Si vous voulez bien me suivre, je vais vous annoncer à Sa Majesté.


Nouvelle entrée dans la salle, il annonça de sa voix claire.

Leur Grandeurs Alcide Von Witteslbach et Valeryane Von Witteslbach de la Duranxie accompagnés de leurs petites jumelles et Dame Hanael Elisabeth Louise Darwin de Llobregat de la Duranxie.

Et retour devant la porte pour accueillir, cette fois un Pair de France. C'est que ça se bousculait au portillon. Un large sourire à l'homme en face de lui surtout qu'il parlait occitan, une inclinaison de buste.

Adissiatz votre Seigneurie, c'est un plaisir de vous accueillir icelieux. Si vous voulez vous donner la peine ....

Il le précéda dans la grande salle, s'écartant pour le laisser passer.

Sa Seigneurie Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie, Pair de France, Duc de Tartas, Comte de Pardiac & de Gaure, Baron de l'Isla & de Montespan, Seigneur de Cazarilh, Héraut d'Armes Royal, Officier de la Croix gasconne et Croix d'or de l'ordre du mérite d'Armanhac e Comenge, Consòl d'Aush.

Il espérait ne pas en avoir oublié en route, un regard vers l’intéressé, non il avait tout retenu, il n'a pas une si mauvaise mémoire que ça le blond. Il retourna donc à son poste, près d'Adeline.
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Kronembourg
[ La veille ]

- Je ne veux plus jamais vous revoir !

- Moi non plus !
- Ah merde ... La bouffe chez ma soeur demain.
- ...

Long moment de flottement.


- ... Vous venez avec moi ?
- Oui !

Et voilà comment un couple en pleine rupture pointe sa trogne au Louvre pour la fiesta familiale prévue de longue date. L'un et l'autre étant plus ou moins familier avec les lieux, même si les appartements royaux n'avaient pas encore été visités.
Pour une fois, il s'était abstenu de lancer une blague vaseuse sur la robe de la pair qu'il trouvait somptueuse, le ventre du Duc était noué et pas seulement par la faim.
C'est ainsi qu'ils se présentèrent à l'entrée, tirant chacun une tronche de six pieds de long, les jambes encombrées par la présence exaltée d'un gamin de six ans qui, lui, découvrait tout avec émerveillement. Le Duc tâcha de présenter un visage avenant ( ou du moins pas trop rebutant ) à la personne auprès de qui il devait les annoncer.


Salutations. Veuillez annoncer sa Seigneurie Exaltation Lablanche d'Abancourt, Pair de France, Duchesse de Chateauneuf sur Loire, Vicomtesse de Montcuq, Baronne de Bury et Dame de Rochecorail.
Ainsi que David Stanislas Kronembourg de la Duranxie, Duc de Bénauges, Duc d'Ornon, Baron de Fumel, Seigneur de Castemoront sur Lot.
Et enfin Hugues Rondot de la Duranxie.
Venus ensemble.
Mais séparément !


Mais pourquoi est-ce qu'il se sentait obligé de dire ça .. N'importe quoi.
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Xalta
Je vous maudis !
Moi aussi !

Les mots avaient volé. Pourquoi se disputaient-ils ? Cela n'avait guère d'importance. Ils se boudaient, l'un et l'autre se murant dans un silence qui ne leur ressemblait guère. Elle avait vêtu pour l'occasion une robe dans laquelle elle avait défilé récemment et qui lui appartenait désormais . Une belle robe d'Elisel toute en simplicité mais fluide et chatoyante. Ils avaient fait la route tous les trois ensemble. Mégarde était bien trop petite pour être des leurs même si elle était une Duranxie pour moitié. Ses autres frères, enfin ses fils, veilleraient sur elle. L'excitation d'Hugues faisait plaisir à voir et cela comblait le silence qui régnait entre les deux adultes. Malgré tout elle ne pouvait totalement s'empêcher de glisser des regards vers lui et de le trouver diablement sexy.
Sur place, il les annonça. Un sourcil qui se lève de surprise durant une seconde. Il venait de préciser qu'ils étaient séparés ! Alors elle lui marmonne tout bas , audible seulement de lui

J'entends que monsieur a des envies de séduire .

Et l'estomac et la gorge de se nouer de concert.
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