Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2   >>

[RP]Elle l'avait presque oublié après tout ce temps...

Prinne
Bon ben ils étaient pas prêt de manger. Manquerai plus qu'on leur serve de la pintade et là ce serai le pompon. La blonde allait se servir quand l'ainé et la cadette commençaient à se crêper le chignon comme deux poissonnières. La blonde se leva et glissa ses doigts dans sa bouche pour laisser échapper un doux sifflement qui fit arriver en courant le chef de la garde qu'elle renvoya d'un geste de la main.

J'ai votre attention? On peux manger? Ou vous allez continuer à vous bouffer le nez?

Elle en a presque envie de soupirer et de lever les yeux au ciel. Elle n'avait pas souvenir de ces querelles familiales et il faut avouer que cela ne lui avait pas manqué.

Bien! Reprenons!

Elle commença par Kerns.

Un d'Ailhaud à des titres. Que tu le veuilles ou pas, il est temps. Le Périgord est une charmante province remplis de Poneys roses. Tu devrais aimer les chasser! Tu auras une seigneurie là-bas un point c'est tout! A ton âge , il est grand temps que tu te prennes en main et que tu fasse ce que tu as à faire.

Nous pouvons procréer c'est certains, nous les pintades, mais seul toi pour le moment peux faire perdurer la lignée de d'Ailhaud. Hors de question que notre nom ne puisse perdurer parce que Môssieur veux continuer à courir la gueuze. Je te demandes pas un mariage d'amour, mais un mariage pour légitimer au moins un de tes mômes. Te connaissant tu dois avoir quelques bâtards qui trainent de gauche et de droite.

Ne nies pas! J'ai vu la fille du vieux Gontran sortir de tes appartements et peu de temps après devenir grosse. J'ai fais ce qu'il fallait pour qu'elle puisse avoir une vie correcte!


Elle prit un morceau de pintade, ben oui c'est ce qu'ils mangeaient et se tourna vers Camille-Agnès.

Quand à toi Camille, tu l'auras aussi ton mariage. Ce n'est pas drôle un mariage arrangé et je sais de quoi je parle. Mais c'est ainsi.

Quand à la grossièreté de Kerns, je ne peux plus rien pour lui! On peux amener un âne à l'abreuvoir on peux pas le forcer à boire!

J'ai pris contacte avec un maître d'arme. J'espère qu'il pourra arriver rapidement pour t'enseigner le tir à l'arc comme promis.

Et pour les vêtements nous irons tous ensemble.


Elle s'interrompt quelques secondes, ce demandant si c'était là un réelle bonne idée de les emmener les 2 dans un atelier. Trop tard de toute façon! Elle poursuivit.

Et il n'est nul question de coquetterie mais de paraitre. Le paraitre et la première choses sur là quelle les nobles vont te juger, avant même que tu n'ouvres la bouche. Si la robe est moche, ce sera compliqué de les impressionner avec ton esprit et ta verve. Leur opinion sera faite! C'est moche mais c'est ainsi.
_________________
Kerns
J'ai votre attention? On peux manger? Ou vous allez continuer à vous bouffer le nez?

Un grognement fit échos à sa soeur pour seule réponse.
Daignant s’asseoir sur sa propre chaise luxuriante, tout du moins c'est l'allure qu'il ce donnait en posant son séant sur la chaise qui n'était pas plus doré qu'une autre.
Il tendit au serviteur sa coupe pour qu'il la remplisse de vint, qu'il ce délecta de boire bien rapidement.


Un d'Ailhaud à des titres. Que tu le veuilles ou pas, il est temps. Le Périgord est une charmante province remplis de Poneys roses. Tu devrais aimer les chasser! Tu auras une seigneurie là-bas un point c'est tout! A ton âge , il est grand temps que tu te prennes en main et que tu fasse ce que tu as à faire.

Certes tu me dois les titres qui me sont du, mais tes poney roses tu peux te les caré où bon te semblera !
Je n'ai guère besoin de toi pour "me prendre en mains" je le fait déjà fort bien.


Il repris une bonne gorgée de vin, ce mettent de côté pour croisé ses jambes et prendre ses aises, laissant sa sœur faire la souveraine et dicter les lignes directives.

Nous pouvons procréer c'est certains, nous les pintades, mais seul toi pour le moment peux faire perdurer la lignée de d'Ailhaud. Hors de question que notre nom ne puisse perdurer parce que Môssieur veux continuer à courir la gueuze. Je te demandes pas un mariage d'amour, mais un mariage pour légitimer au moins un de tes mômes. Te connaissant tu dois avoir quelques bâtards qui traînent de gauche et de droite.

Pestant pour la même occasion sur le serviteur de ce vin qui n'était guère fabuleux, mais en même temps pour tout ce que déblatérait sa sœur sur l'héritage; les titres et les successions de noms.
Le pauvre serviteur ne savait plus vraiment comment ce comporter face à cette homme rustre mais qui était aussi son maître.


Je me marierais le jour de ma mort et si cette pintade, qui aura décidé de me passer la bague au doigt sur mon lit de mort porte ma graine alors la succession sera faite et je n'aurais pas à voir ma fortune ce faire dilapidé de mon vivant !


Ce faisant resservir un nouveau vin.


J'ai encore bien le temps de profité de toutes ces beautés sans grand intérêt !

Ne nies pas! J'ai vu la fille du vieux Gontran sortir de tes appartements et peu de temps après devenir grosse. J'ai fais ce qu'il fallait pour qu'elle puisse avoir une vie correcte!

Un sourire s'afficha en repensant à cette sotte qu'il avait réussir à mettre dans son lit pour une simple histoire de vengeance contre le palefrenier.

Si le palefrenier n'avait pas osé dire que j'étais un homme de basse naissance parce que je n'avais pas hérité des titres familiaux, je ne me serait pas départit pour aller culbuté sa dulcinée, à mon grand bonheur et pour son grand malheur, il devra éduquer l'un de mes bâtards sans rechigné à la tâche !


Il pris, de sa fourchette, un morceau de cette fameuse pintade dont il croqua à pleine dents dedans, savourant ce plat, avec un sourire satisfait.
Il n'avait aucune chance qu'il soit marié de son plein gré et d'autant plus que sa santé était loin d'être défaillante !
Il avait encore de beaux jours devant lui pour profité pleinement de sa vie et d'acquérir nombre de titre qui le rendra glorieux dans toutes l'Histoire.

Il ne répliqua pas sur la dernière remarque, qui ce voulait piquante, de sa sœur.
Il en avait entendu bien d'autres que celle ci.


J'ai pris contacte avec un maître d'arme. J'espère qu'il pourra arriver rapidement pour t'enseigner le tir à l'arc comme promis.


Que veux tu lui trouver bon mari si elle ce retrouve couverte de bleu ? Et quel intérêt pour son futur conjoins que d'avoir un cruche qui tire à l'arc ?
On ne lui demandera qu'a être gentille et conciliante à le recevoir dans son lit !
Il ne sert à rien d'avoir une maîtrise d'arme pour cela.


Il dévora un second morceau de pintade goulûment.
_________________


Bibliothèque
Camille.agnes
Han ! Elle était bien, elle était contente de quitter le joug de Radegonde, et elle commençait tout juste à s'habituer à cette soeur si haute en couleurs, le verbe haut et le juron facile... Mais qui lui offrait la liberté ! Et voilà que son frère, non seulement recrachait les même sempiternelles règles de bienséances que Radegonde, avec ses "gentille et conciliante à le recevoir ..." mais il n'avait pas la moindre once de bienséance en plus !!

Elle était morte, et elle était sur l'enfer lunaire, voilà. Elle ne voyait pas d'autre explication.

Elle plissa les yeux à son frère et jeta un regard un peu affolé à sa soeur, se servit proprement d'un bout de pintade, et renonça à lui répondre. Prinne avait dit qu'ils ne devaient pas se disputer. Si elle se défendait, son aînée aller trouver le moyen de lui reprocher sa réponse, à n'en pas douter. Le cul entre deux chaises. Chouette. Eh bien, elle ferait donc comme s'il n'avait pas parlé.


Merci Prinne, je serais ravie d'apprendre le tir à l'arc avec le maître d'armes.

Une bouchée, on mastique. La bouche fermée. On se raccroche à l'éducation qu'on a reçue.

Quant aux toilettes, vous avez raison. Je vous fais confiance pour me donner des conseils, parce que la tante... Disons que ce n’était pas son fort. Irons-nous aux joutes qui se préparent, ma soeur ?

Que Prinne se dépatouille de cet énergumène, après tout. Ni chef de famille, ni homme.. que pouvait-elle faire, elle à part espérer que le nom D'ailhaud meurt plutot que d'etre porté par la descendance de... ça ?
_________________
Prinne
La blonde les écoutait et manqua de s'étouffer avec un morceau de Pintade. Surement un abat. Regardant Kerns elle sourit en coin.

Je ne te dois rien de plus que ce que tu as actuellement. Aucun testament ne te confie la moindre terre. Père et Mère savaient que tu ne saurait pas les faire fructifier. Soit reconnaissant que je veuille bien t'anoblir.

Contrairement à toi, je pense à la famille avant tout. Toi tu ne voix que ton nombril et ton égo, fort démesuré en l'occurrence. Et je te rappel qu'a 30 ans tu est à la moitié de ta vie. Aucune jeune noble digne de ce nom voudra d'un vieux agonisant pour mari.


Elle soupira avant de reprendre.

Le tir à l'arc est une bonne discipline pour le maintient du corps et la concentration. Comment croix tu que j'ai la taille aussi fine après une grossesse?

Son regard glissa sur sa cadette .

Camille si tu voix ton époux courir en zig zag dans le jardin, il faut respirer et te concentrer pour viser juste avec ton arc.

Voila à quoi servait le tir à l'arc. Se débarrasser des nuisibles tout en prétextant un accident de chasse. Kerns devait avoir compris la subtilité de ces propos.

Nous irons demain chez la couturière.
_________________
Orphezya
Et ben ! Si Gez sentait cette odeur de pintade grillée, son sang n’en ferait qu'un demi tour !
Puis, doucement mais surement, délicatement relevé sur la pointe des pieds, s'avançant pour tenter d'écouter curieusement "les retrouvailles familiales" elle manqua elle même de s'étouffer avec sa propre salive.

C'était chouette les retrouvailles familiales quand même ! Que de grossièretés ! Heureusement qu'ils ne sont pas ennemis et qu'ils s’aiment !

Sissi, Orphée pensait ça et tout en même temps, y avait aucun tri à faire, elle attendait juste qu'un morceau de pintade vienne lui voler devant le nez pour être définitivement d'accord avec le faite qu'ils étaient tout à fait de la même lignée d'Ailhaud.

Aussi certaine qu'Orphée était rousse, jamais elle ne passera dans le jardin quand la sœur s'entrainera au tir à l'arc, des fois qu'elle l'a prendrait pour une brebis..
Toujours aux aguets, elle s'empêchait vraiment de rire quand elle compris parfaitement que Prinne s'adressait à son frère, puis laissa échapper un gloussement.


Han ! trente ans ! Mais c'est un vieux bouc !

Le dos collé au mur, cachée par un pan de mur, elle s'interrogeait. Comment pénétrer dans cette pièce sans se prendre une pomme de terre à la tête ?
Puis un de ses gens s'approchait. Elle l'envoya d'un geste de la main chercher une bouteille de vin à la cave, rapidement il s'exécuta et la lui rapporta, elle le remerciait d'un signe de la tête.

D'un pas certain, pieds bien accrochés au sol, tête haute et le dos bien droit, elle entra finalement en s'annonçant.


Paraît-il que la famille s'est agrandie ? Alors trinquons ! Qu'en dites vous ?

Un œil par ci, un œil par là, en quête d'une chaise qu'un de ses petits gens viendrait lui tirer, elle leur souriait, interrompant quelques secondes "les Superbes retrouvailles familiales folklores"
_________________
Kerns
Il dégustait sa pintade avec régale, il fallait dire qu'en cuisine ils étaient sacrément doué pour satisfaire ses papilles gustatives.
Laissant sa sœur déblatérer nombre de choses qui ne le satisfaisait guère mais dont il n'en avait plus rien à faire.

Je ne te dois rien de plus que ce que tu as actuellement. Aucun testament ne te confie la moindre terre. Père et Mère savaient que tu ne saurait pas les faire fructifier. Soit reconnaissant que je veuille bien t'anoblir.


Ne te gène donc pas, je ne rechignerais pas pour des titres pardis !

Il s'engloutit une nouveau morceau de pintade accompagné de légumes savoureux.
Puis sa sœur lui dit quelque chose qui le fit sourire.


Et je te rappel qu'a 30 ans tu est à la moitié de ta vie. Aucune jeune noble digne de ce nom voudra d'un vieux agonisant pour mari.

Ah, il avait déjà passé une moitié de vie fabuleuse, pleine de découvertes diverse et variée.
Il lui restait encore une bonne et belle moitié à vivre avec autant de plaisir à la carte !
Que répondre d'avantage à cela ? Rien, tout était dis et rien ne le contrariait réellement.


Camille si tu voix ton époux courir en zig zag dans le jardin, il faut respirer et te concentrer pour viser juste avec ton arc.

Groumphf ! Quel imbécile voudrait d'autant plus avoir une tel pintade à ses côtés ?!

De nouveau son air grognon resurgie, lorsqu'une voie de crécelle la fit sursauté de tout son long, une autre pintade ?!
Qu'est ce que le Très-Haut avait donc contre lui en ce jour atroce ?!
Il ce retourna et injuria la nouvelle arrivée.


Fichtre ! Chiabrena ! Foimenteor, Corne de Bouc ! Qu'est ce qu'une gueuse vient foutrachier ici ?!


Dans son sursaut il avait renverser les verres et les pichets qui ce trouvait à proximité, anéantissant la moitié des plats présent sur la table.
_________________


Bibliothèque
Camille.agnes
Camille si tu voix ton époux courir en zig zag dans le jardin, il faut respirer et te concentrer pour viser juste avec ton arc

Et Camille de pouffer dans sa pintade. Bonne idée, du moins si on changeait la cible.. Parce que l'idée d'être veuve avant même d'avoir trouvé un promis ne l'enchantait guère. Elle se serait bien tue, mais son frère brava l'ordre de Prinne en la traitant une fois de plus de pintade, et la jeune fille de répondre calmement.

Si Kerns a pondu un héritier, je peux pour lui aussi ?

La porte s'ouvre... Une jeune fille rousse et jolie montre son petit minois. Camille lève la tête, ravie non seulement de rencontrer du monde, mais surtout de la diversion.

Paraît-il que la famille s'est agrandie ? Alors trinquons ! Qu'en dites vous ?

Hey, je ne suis pas un nourrisson, songe Camille, légèrement irritée. Et ne te présente pas surtout, mamzelle... Il faut excuser Camille-Agnès, elle sort d'une maisonnée ou le protocole est roi, ou personne ne débarque sans se faire annoncer, et ou la familiarité bon enfant n'existe pas. Elle aurait presqu'envie de manquer elle-même à l'étiquette histoire de montrer à la rousse ce que ça fait quand ça vous arrive à vous, et de lancer à Prinne un sonnant "C'qui, elle ?" Mais bien évidemment, son frère la coiffe au poteau.

Au moins, songe-t-elle en inclinant la tête poliment à la jeune femme, Kerns traite toutes les femmes de la même manière, à les traiter de gueuse au premier regard.... Il ne réserve pas ce traitement qu'à ses soeurs ! Un soupir résigné, les boeufs resteront des boeufs... elle se lève, sourit d'un air d'excuse
.

Ignorez le bouffeur de pintade, il n'est pas dangereux.... Non, la famille ne s'agrandit pas... Pas depuis Grégoire à ma connaissance. Je suis Camille-Agnès, la sœur cadette. Et qui suis-je ravie de rencontrer ?
_________________
Orphezya
Plus de pintade décente à avaler, et bien soit, tant mieux. De toute façon, elle venait boire un verre, le diner avait déjà été servi un peu plus tôt ce jour et Gez la truciderait de la voir manger un morceau de pintade.
Pour débuter, elle dévisagea le frère, silencieusement, l'observant de tout son long, où ma foi, ce qu'elle arrivait à en voir dans sa position d'assise.


Déjà, commençons par le traditionnel bonjour.
Vous devez être l’odieux frère Kerns, le frère de ma chère et tendre suzeraine ici présente.

Puis un sourire vers Prinne et sa sœur.

Je me présente à vous convenablement, je suis Orphezya Divin, Dame de campagne sainte-Croix et vassal de votre chère et tendre sœur.

Puis elle fit sauter le bouchon de la bouteille de vin, en versa dans chaque godets en faisant déborder maladroitement celui du frère, puis se servit en dernière.
Les yeux rivés sur le repas flottant de Kerns, s'excusa.

Han ! Qu'elle maladresse ! J'espère que vous aimez la soupe ?

De pintade et de petits légumes souhaitait-elle ajouter mais s'était tût. Il n'avait là, que ce qu'il méritait, la gueuse, comme il le disait si bien, avait encore quelques cordes à son arc.
Et enfin, la chaise tant attendue fît son apparition. Remerciant le petit gens bien élevé, lui. Prit place à la tablée.


Très cher messire et charmant Kerns, je ne saurais que trop vous conseiller de manger quelques carottes en plus, il semblerait que ça rende aimable, et j'ajouterais *en souriant, amusée* que vous en auriez bien besoin pour éviter quelques vilains désagréments, tel... Qu'un embrochement.. Où encore... Un vilain croche pied... Si vous vous amusiez davantage à me rabaisser au rang de gueuse et à juger sans même savoir de quoi vous parlez.

Elle levait son verre à sa déclaration, souriante comme jamais à la tablée, puis se tourna vers la douce et belle femme qu'était la sœur.
Plaquant deux bises sur chaque joues, elle lui sourit et lui ajoute.


Ravie de vous rencontrer Camille-Agnès, votre sœur m'a prévenu que vous alliez venir en sa demeure.
Comme dit, je me nomme Orphezya patati patata et toussa, mais appelez moi Orphée, cela sera bien suffisant.
Je vous invite aussi à partager une matinée avec moi pour une séance de tir à l'arc en pleine forêt, vous verrez, c'est bien plus amusant que de cibles sans vie. Si vous le souhaitez, nous organiserons cela.


Puis elle tinta son godet à celui de Camille, leva son verre vers Prinne et le frère un peu trop éloignés pour le tinter dans le leur et rétorqua à sa suzeraine.

Je te recommande en tout amitié, de donner à ton odieux frère, l'adresse d'un bon éducateur, qui lui apprendra à parler aux femmes avec respect.

Un éclat de rire venant du cœur fendit le visage de la rousse Orphée qui perdait peu à peu de sa salive à force de parler.
Avant d'entamer son vin, entama le dossier "Questions de mardes"


Alors donc, D'où venez-vous tout les deux ?

Et hop, une longue gorgée de vin se laissant savourer par ses papilles et sa gorge tout en écoutant, regardant quand même tout le repas gâché.
_________________
Prinne
Au bord de l'explosion, voila ou elle en était a cet instant quand une tornade rousse entra.

Foutre dieu c'est pas un moulin ici!

Elle lança un regard noir au garde qui n'avait pas annoncé Orphé. Il reparti en sachant pertinemment que le courroux de la blonde allait lui retomber sur le coin du museau. Reprenant dans l'ordre, elle répond.

Kerns ne croit pas que cela me plaise de t'abandonner des terres que tu laisseras pourrir par fainéantise.

Elle n'arriverai jamais à rien avec lui de toute façon et à cette minutes elle avait juste envie de le prendre par la barbe et de lui plonger la tête dans son assiette. Mais cela l'aurait rabaissée au niveau de Kerns. Enfer et damnation, que c'est chiant le savoir vivre!

Regardant Camille un sourcil arquer.


Plait-il? On en tue pas les héritier! Seulement les géniteurs.

Dans une autre culture ont aurait appeler cela des Amazones, celles qui possédaient le pouvoir et dont les hommes n'étaient là que pour les servir comme larbins. Le pieds!

Et enfin à la rousse qui n'allait pas réchapper à sa mauvaise humeur.

Bonjour Orphée. C'est fort aimable pour la bouteille qui sort de ma cave j'en suis certaine. Cette bouteille m'a été offerte par le duc de Champagne.

De plus je te serai reconnaissante de te faire annoncer, c'est pas la foire du village ici.


Elle lui ferai un cours sur le vivre noblement ultérieurement. Pour l'heure l'arrivée de la rousse n'avait pas rien changé à l'ambiance festive ou pas du moment. Elle fit signe pour qu'on lui amène un siège supplémentaire.

Puisse que tu est là prend place. Je laisse Camille te donner réponse pour le tir à l'arc.

Sur ses paroles, les assiettes furent enlevée et le dessert servit. Un Chirseye fut servi, elle adorait cela.
_________________
Camille.agnes
Vous devez être l’odieux frère Kerns, le frère de ma chère et tendre suzeraine ici présente...

Tiens, Camille sent qu'elle va l'aimer celle-ci. Les grands esprits se rencontrent... Mais, mais qu'est-ce qu'elle lui fait ? Des bisous ? Mais... décidément elle la prend vraiment pour une nouveau né ma parole? Fort heureusement pour tout le monde, la jeune brune est si estomaquée par l'assaut d'affection de la rouquine qu'elle reste plantée là sans broncher.

Ouf, une crise évitée. Déjà ça. Mais on est pas sortis de l'auberge, c'moi qui vous l'dis.

Comme dit, je me nomme Orphezya patati patata et toussa, mais appelez moi Orphée, cela sera bien suffisant.
Je vous invite aussi à partager une matinée avec moi pour une séance de tir à l'arc en pleine forêt, vous verrez, c'est bien plus amusant que de cibles sans vie. Si vous le souhaitez, nous organiserons cela.


Camille-Agnès plisse très légèrement les yeux... Comment cette jolie rousse connaît-elle ses souhaits de tirer à l'arc ? Elle n'a pas quitté sa soeur d'une semelle depuis qu'elles en ont parlé... Bon, elle refuse de croire à tout ce qu'on dit sur les rousses, comme quoi elles seraient toutes un peu sorcières, mais faut bien avouer que là... Meuh nan, Camille... La solution logique existe, et tu es très logique... Réfléchis donc un peu !

Elle.. elle ... écoute aux portes !!! Rhô la vilaine ! Bon c'est mieux que sorcière et de loin, mais la jeune brune se dit qu'il vaut mieux être l'amie que l'ennemie de cette femme là.
Alors qu'elle s'apprête à répondre à la question d'Orphée, sa soeur lui fait une remarque qui horrifie Camille, et elle stoppe tout, mastiquaille, gestes, attention, réponse, bref tout, pour lui répondre d'urgence.


M'enfin ! Ma chère soeur comment pourrais-je une seule seconde parler de tuer un enfançon.... Je parlais justement de tuer le géniteur une fois qu'il aurait assuré la survie de notre nom ! Une plaisanterie dont vous apprécierez l'humour, puisque vous venez de songer à la même......

Secouant la tête parce que ce n'est jamais facile d'expliquer une blague après coup, surtout quand votre soeur vous la pique sans même s'en rendre compte, elle se tourna à nouveau vers la rouquine, qui se faisait vertement assaisonner elle aussi. Kerns décidément devait être dompté : il mettait Prinne d'une humeur de chien !

C'est gentil de me proposer du tir à l'arc, mais permettez que je prenne une première leçon d'abord. En effet, à part mon frère, je ne souhaite nullement tuer quelqu'un par manque de maîtrise d'une telle arme.

D'ou je viens..? De chez la grand-tante Radegonde, paix à son âme. J'avoue être heureuse de retrouver ma famille et de respirer un peu... Et vous, ma chère ? Racontez-moi un peu comment vous connaissez Prinne.

_________________
Kerns
il détailla la femme à la chevelure de feu, ce prétendant assez importante pour entrer dans la maison familiale sans même ce faire annoncé, volant dans les caves pour prétendre d'autant plus apporter de quoi nous hydrater convenablement.
Il ce leva épousseta sa tenu après avoir malencontreusement renverser les plats lors de son arrivée.
Il grognait dans sa barbe, insultant tout ce qu'il pouvait, mais on en entendait que les grognements sourd.


Déjà, commençons par le traditionnel bonjour.
Vous devez être l’odieux frère Kerns, le frère de ma chère et tendre suzeraine ici présente.


Il ce positionna face à cette pintade, du haut de son mètre quatre vingt cinq, surpassant largement la femme.


Allons donc, accueillir une dinde qui s'octroie les droits d'entrée dans une demeure de nobles sans même ce présenter où même ce faire annoncer ?!
La Malotrue ici lieu, n'est que vous !
Avant de ne parler de choses que vous ne connaissez pas, gardez donc vos paroles mal placé pour d'autres avant que je ne vous fasse arrêter et pendre en place public !



De croiser les bras sur son torse.

Et votre, je vous cite, chère et tendre suzeraine, éduque bien mal ses vassales ! Je crains pour sa futur progéniture !

Il repartit prendre une autre chaise pour s'y installer, mais ...

Han ! Qu'elle maladresse ! J'espère que vous aimez la soupe ?

Elle venait de saloper définitivement sa tenue d'UNE tâche de vin rouge sur son haut de couleur Bordeaux, il lâcha les chiens.

Divin Défaut oui !
Vous êtes une vraie tare dans ce monde !
Saloper une tel tenu ! Vous n'auriez même pas assez d'une vie entière pour récupérer cette catastrophe ! Nigaude !


Dans un grognement il aboya des ordres à un valet pour qu'il court lui chercher une nouvelle tenu.
Il ôta son mantel tâcher de vin et le jeta sur un fauteuil.
Une dame de service s'empressa de le prendre pour aller l'emmener au lavoir.
Il revint s'installer sur une chaise, bien éloigné de la nigaude gauche, habiller dans une chemise soyeuse et de son pantalon pourpre, chausser de ces bottes de cuire.


Très cher messire et charmant Kerns, je ne saurais que trop vous conseiller de manger quelques carottes en plus, il semblerait que ça rende aimable, et j'ajouterais, que vous en auriez bien besoin pour éviter quelques vilains désagréments, tel... Qu'un embrochement.. Où encore... Un vilain croche pied... Si vous vous amusiez davantage à me rabaisser au rang de gueuse et à juger sans même savoir de quoi vous parlez.

Gardez donc vos paroles mal avisé avant qu'il ne vous arrive malheur.

Voyant qu'elle s'en prenait maintenant à sa cadette, il reteint un rire amer.
Elle devenait de plus en plus familière !
Sa sœur Prinne devait porté une honte affreuse d'avoir à son service une vassale aussi devergoigneuse.


Je te recommande en tout amitié, de donner à ton odieux frère, l'adresse d'un bon éducateur, qui lui apprendra à parler aux femmes avec respect.

Il regarda sa sœur, la fameuse aimable suzeraine.

C'est une muselière et une laisse qu'il te faudrait pour celle là.

Il porta à ses lèvres ce nouveau verre de vin qu'un serviteur pris consciencieusement le temps de le servir sans en mettre une goutte à côté, la fureur de cet homme était déjà bien trop grande pour la mi journée.

Alors donc, D'où venez-vous tout les deux ?

De mieux en mieux, elle osait ce prétendre assez de haut rang pour parler ainsi à la famille de sa fameuse suzeraine.
Décidément, Prinne aimait le bas peuple pour donner des titres à tord et à travers !


Aucunement de votre bas ventre dans tous les cas !


Les mauvaises blagues de Camille lui devinrent indifférent, cette maraude lui prenait bien trop l'esprit et la tête.
_________________


Bibliothèque
Prinne
Elle avait un peu, mais un tout petit peu perdu pieds. Plus du tout habituée a avoir autant de gens chez elle et encore moins la fratrie. Elle venait de se servir du dessert et le dégustait quand il lui vint une lubie subite.

Vu que tout le monde se foutait passablement des convenances et y allait de sa connaissance des noms d'oiseaux, elle approcha le plat d'elle et prit une grosse cuillère. Elle la planta dedans et la sans un mot mais avec un sourire satisfait sur les lèvres commença a faire voler les projectiles.

La première salve fut pour Kerns, suivit d'une seconde en direction d' Orphée et enfin Camille fut la dernière.

Elle savait qu'elle risquait des représailles, mais vu l'ambiance, rien ne pourrait être pire.

Les petits gens comprirent de suite la situation et ne demandèrent pas leur reste pour quitter la pièce.

Au mieux il y'aurait bataille de nourriture, ce qui est mal quand on pense à tous les pauvres , au pire quelques égos froissés et une paix sans prix si ils quittaient tous les lieux pour aller bouder chacun dans leur coin respectif.

mais ce qui est sur c'est qu'a l'instant la blonde laissa échapper un grand rire en voyant leurs têtes.




_________________
Camille.agnes
Mais... m'enfin..... Oh non ! Il n'a pas osé !

Est ce qu'on pouvait entendre Camille-Agnès soupirer à propos des dires de son frère à la charmante rouquine, en tendant bien l'oreille par dessus les grognements de ce dernier. Surtout quand il osa parler du bas-ventre de cette dernière ! La pucelle blêmit, rougit, passa par toutes les couleurs humainement possibles, tant la honte d'appartenir à la même famille que lui la submergeait, lui donnant même la nausée.

Elle regardait donc, bouche- bée, son frère se comporter comme le plus dégoûtant des roturiers quand soudain elle vit un projectile ... moitié liquide moitié solide, voler en direction du visage de son frère. Tournant la tête pour comprendre d'où venait l'attaque, elle ne vit pas si l'objet volant non identifié avait atteint sa cible.


Pr..Prinne ?

Prinne ! Mais..Qu'arrivait-il à sa soeur ? Les insanités de Kerns avaient-elles fini par lui faire sauter la cervelle ? Mon dieu... mais elle était tombée chez les fous !!! Plongeant illico sous la table, sans attendre de voir qui serait la prochaine victime, Camille resta assise calmement, les genoux entourés de ses bras. L'oeil du cyclone, ça s'appelle. Et ses pensées de revenir à Tante Radegonde, à son enfance avec ses parents, à tout...

Comment en était-elle arrivée là ? Était-ce pour la protéger de cette folie que la Tante Radegonde l'avait gardée si longtemps ? Bien sûr, sa sœur avait l'air de s'amuser la haut, et elle avait presque-presque envie de remonter démonter son frère à coup de dinde..... Mais cela eut été un jeu. Un autre jour, à propos d'autre chose, elle se serait certainement jointe à eux en riant comme une enfant.

Mais elle n'avait pas envie de jouer, ni de rire. Ce qu'il avait dit, à cette dame noble...Cette femme qui n'etait pas de sa famille ? Ca lui avait soulevé le coeur. S'il ne restait pas chez son frère une once de l'éducation qu'il avait reçue.... Si... son sang ne faisait aucune différence avec un pourceau.... Etait-ce à dire alors, que... Que l'education faisait tout ? Que le sang, seul, ne valait.. RIEN ? Que la supériorité de la noblesse n'était... qu'invention ?

La tête lui tournait. Non, de telles pensées étaient trop folles.... Non il devait y avoir une autre explication ! Kerns était peut-être adopté ? Un enfant des bas-fonds posé devant la porte de ses parents alors qu'ils n'avaient pas encore d'enfançon ?

Elle ne voyait pas d'autre explication. Et alors qu'au dessus d'elle, la bataille faisait rage... La jeune donzelle se mit littéralement à rêver au prince charmant. Cet homme dont elle ne connaissait pas le visage, qui viendrait la sauver de ce monde de brute ou le nom d'Ailhaud ne représentait plus la distinction et la droiture... mais une grossièreté sans nom.

_________________
Kerns
Non pas qu'il était attaché à sa tenu, il y tenait plus que tout autres choses !
Que celle ci soit tâcher par du vin fu un scandale inimaginable, mais lorsqu'il reçu une bouillit ignoble sur sa chemise soyeuse, ce fut la goutte de trop, la fureur éclata totalement.
Regardant un instant le coulis descendre doucement sur son habit il releva la tête et observa sa soeur Prinne avec son aire malin.

Sans vergogne il pris une poignée dans un plat et ce dirigea sur Prinne pour lui entartiner la face de cette épaisse puré à la couleur douteuse.
Ni une ni deux, il ne ce gênait plus aucunement sur le reste de convenance qu'il lui restait encore.
Tout aliment lui passant sous la main, il s'empressait de le bombarder sur sa seule sœur visible, ne ce doutant pas que la seconde avait fuis le combat comme une lâche.

_________________


Bibliothèque
Prinne
Et la réaction Kernesque ne se fit pas attendre. La blonde ne pouvait plus s'arrêter de rire. Quand il commença à la bombarder de nourriture, elle ne put que riposter avec force. La Pauvre Camille avait fuit sous la table, se demandant quelle folie pouvait bien frapper ses ainés.

La blonde répondrait plus tard à ses questionnement, mais pour l'heure c'était la guerre!

Nous jetterons un voile de pudeur sur le reste ce la scène. Cher lecteur, tu n'a pas point besoin de savoir comment une blonde a fini la tête la première dans un plat remplit de Chirseye. Nous laisserons ton esprit vagabonder sur l'état de folie mentale de cette famille et nous te retrouverons pour de prochaines aventures.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)