Liam_de_st_didier
Et Liam de voir arriver le dernier de la Haute noblesse et d'attendre qu'il se mette à genou comme tout les autres, vu qu'iul ne devait pas y avoir de différence entre eux.
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[RP] Allégeances - Liam_de_st_didier - Part. 1 : Haute nobl.
Bbred
Et de Bbred qui ne sait pas lire dans les pensées d'attendre avec un sourire paisible en se dendinant légèrement sur ses jambes comme quelqu'un qui a envie de pisser.
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a revoir
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a revoir
Arcadhias
Bin oui. Forcément.
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
- - « Comte de Pézenas, l'usage veut que les nobles fassent acte de déférence en ployant le genou au sol pour prêter serment devant leur suzerain. »
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Arcadhias
Tape du pied. Oui oui. On va arriver au bout de l'allégeance des Comtes.
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- - « Comte de Pézenas ? »
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Bbred
Bbred reste songeur l'espace d'une poignée de secondes avant de s'adresser à Arcadhias.
Il lui épargne un " Qu'est ce que tu me racontes la ?!!" Digne d'un célèbre personnage de sitcom mais son regard lui en dit tout autant.
Il me semble que vous extrapolez.
Au mieux il s'agit d'une nouvelle mode, mais je n'ai nul connaissance d'une telle coutume.
Pourtant je suis rompue à l'exercice.
Je vous suggère si ce phénomène devient récurent et qu'il vous parait nécessaire, de le faire inscrire aux statuts de l'AN.
En attendant su cela ne vous pose guère plus de soucis je préfère rester fidèle à ma réputation d'anticonformiste.
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a revoir
Il lui épargne un " Qu'est ce que tu me racontes la ?!!" Digne d'un célèbre personnage de sitcom mais son regard lui en dit tout autant.
Il me semble que vous extrapolez.
Au mieux il s'agit d'une nouvelle mode, mais je n'ai nul connaissance d'une telle coutume.
Pourtant je suis rompue à l'exercice.
Je vous suggère si ce phénomène devient récurent et qu'il vous parait nécessaire, de le faire inscrire aux statuts de l'AN.
En attendant su cela ne vous pose guère plus de soucis je préfère rester fidèle à ma réputation d'anticonformiste.
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a revoir
Arcadhias
- - « C'est ce qui se fait depuis bien des cérémonies à présent.
Mais à l'instar d'autres coutumes, puisqu'elles ne sont pas inscrites dans le Codex, elles ne sont pas obligatoires. Votre refus ne sera donc pas sanctionné mais marquera une certaine défiance vis à vis du Comte et une volonté de se 'distinguer' des autres représentants de la noblesse qui ont toujours 'joué le jeu'. Mais cela tend davantage à la morale et à votre bonne conscience.
Quant aux statuts de l'Assemblée nobiliaire,
je ne vois pas ce qu'elles viennent faire là dedans, mais passons. »
- - « Votre Grandeur, vous pouvez commencer. »
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Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre très calmement et sans agressivité.
Languedoc, il me semblait que tout les nobles devaient être traiter de la même façon, ils doivent donc se comporter pour les allégeances de la même façon non, ou alors le comportement du Comte de Pézenas sera valable pour les allégeances futures ?
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Languedoc, il me semblait que tout les nobles devaient être traiter de la même façon, ils doivent donc se comporter pour les allégeances de la même façon non, ou alors le comportement du Comte de Pézenas sera valable pour les allégeances futures ?
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Arcadhias
- - « S'agissant des dispositions obligatoires oui. Ce n'est pas le cas du genou au sol qui n'est pas obligatoire, cela ne regarde que sa morale.
Poursuivons. »
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Liam_de_st_didier
Donc comment puis je le traiter comme les autres, s'il ne respecte pas les coutumes du Comté, comme les autres nobles l'ont fait ?
On me dit de traiter les nobles de façon égale et là je ne peux le faire, vu que je n'ai pas à le relever pour l'accolade.
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On me dit de traiter les nobles de façon égale et là je ne peux le faire, vu que je n'ai pas à le relever pour l'accolade.
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Bbred
Bbred toussotte.
Je comprend votre soucis du détails mais j'appel à un peu de souplesse.
Je doute qu'il y ait eut un soucis moral sur les allégeance du temps de Legueux par exemple.
Puis quite à vouloir respecter à la moindre virgule un traitement équitable, pourquoi m'avoir obligé à me lever à l'aube avec un horaire bien plus contraignant qu'un seigneur ou un baron ?
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a revoir
Je comprend votre soucis du détails mais j'appel à un peu de souplesse.
Je doute qu'il y ait eut un soucis moral sur les allégeance du temps de Legueux par exemple.
Puis quite à vouloir respecter à la moindre virgule un traitement équitable, pourquoi m'avoir obligé à me lever à l'aube avec un horaire bien plus contraignant qu'un seigneur ou un baron ?
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a revoir
Arcadhias
- - « L'accolade peut se faire même s'il est déjà debout. Cette partie demeure obligatoire et n'est pas supplétive de volonté. L'égalité de traitement est respectée.
L'organisation nouvelle et les horaires s'expliquent du fait de l'importance du ban, incomparable aux autres provinces.
La 'dérogéance' à l'égalité de traitement, s'il en est une en ce qu'elle consiste à faire venir les nobles à des horaires différents, est donc justifiée par un but légitime et l'atteinte demeure proportionnée au but poursuivi, c'est à dire finir dans les temps pour que la cérémonie ne soit pas de facto invalide.
C'est pourquoi telle pratique a été validée par la Herauderie. Mais rassurez vous, les ordres de passages changeront à chaque allégeance.
Peut-on conclure ?
Les vicomtes attendent justement leur tour depuis un moment, nous sommes en retard. »
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Bbred
J'entends vos arguments et vos contraintes.
Vous comprenez que j'en ai également.
En ce qui me concerne, "Ployer" le genoux est un acte fort qui sous entend qu'il existe une situation saine entre le vassal et le suzzerain.
Qu'aucune animosité, aucune rivalité, aucune rancoeur ou revanche n'ait trouvé sa place dans la relation entre les deux protagonistes sous risques de voir apparaître un jeu malsain de domination ou d'humiliation.
Hors au vue des antécédents qui existent entre sa grandeur et moi même, je ne me sentirais pas à l'aise de procéder ainsi. Sa grandeur à choisit de m'attenter un procès, de critiquer ma gestion, de remettre en cause mes mérites, de prôner la supériorité de son action sur la mienne et de me retirer sa confiance quand à la bonne garde des richesses du Languedoc.
C'est son choix et je ne peux l'obliger à m'estimer, le chemin de la rivalité qu'il semble avoir choisit amène toutefois d'autre options ou une autre vision au clivage politique du Languedoc. Il n'y a toujours du positif dans chaque actions et je n'ai aucun griefs à exprimer en ce moment particuliers parce que ce n'est pas l'endroit tout simplement.
Je gage que ça soit également votre avis.
Ça n'est pas un manque de respect mais une façon saine de pouvoir m'exprimer et prêter allégeance à la couronne du Languedoc et son porteur sans aucune contrainte ni rancoeur.
Les distorsions auront bien loisir à reprendre libre cours des les prochains jours.
Si sa grandeur comprends mon point de vue et mes sentiments je suis pret a commencer.
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a revoir
Vous comprenez que j'en ai également.
En ce qui me concerne, "Ployer" le genoux est un acte fort qui sous entend qu'il existe une situation saine entre le vassal et le suzzerain.
Qu'aucune animosité, aucune rivalité, aucune rancoeur ou revanche n'ait trouvé sa place dans la relation entre les deux protagonistes sous risques de voir apparaître un jeu malsain de domination ou d'humiliation.
Hors au vue des antécédents qui existent entre sa grandeur et moi même, je ne me sentirais pas à l'aise de procéder ainsi. Sa grandeur à choisit de m'attenter un procès, de critiquer ma gestion, de remettre en cause mes mérites, de prôner la supériorité de son action sur la mienne et de me retirer sa confiance quand à la bonne garde des richesses du Languedoc.
C'est son choix et je ne peux l'obliger à m'estimer, le chemin de la rivalité qu'il semble avoir choisit amène toutefois d'autre options ou une autre vision au clivage politique du Languedoc. Il n'y a toujours du positif dans chaque actions et je n'ai aucun griefs à exprimer en ce moment particuliers parce que ce n'est pas l'endroit tout simplement.
Je gage que ça soit également votre avis.
Ça n'est pas un manque de respect mais une façon saine de pouvoir m'exprimer et prêter allégeance à la couronne du Languedoc et son porteur sans aucune contrainte ni rancoeur.
Les distorsions auront bien loisir à reprendre libre cours des les prochains jours.
Si sa grandeur comprends mon point de vue et mes sentiments je suis pret a commencer.
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a revoir
Louis_gauttier
- Béarn n'avait pas trop comprit l'intervention de Languedoc. Ne cherchant pas trop à comprendre pour le moment, il demanda au Régnant Languedocien:
-"Vostre Grandeur, va-t-on avoir une question rituelle ou bien?
Je vous rappelle que vostre devoir, que vous semblez négliger pour la seconde fois, est de recevoir le serment de vos vassaux qu'ils se trouvent genou au sol ou debout. Quoi que vous choisissez décidez vous maintenant."
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Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre sans agressivité.
Messire Bbred que vous me méprisiez, je n'en ai rien à faire, par contre là vous méprisez les languedociesn, qui ont voté pour que la liste que je dirigeais arrive en tête et cela de la part d'un noble de haut rang, n'est pas normale, de plus vous ouvrez une porte en vous permettant de remettre en cause les us et coutumes du Languedoc, que vous dites aimer et là vous ne le montrez absolument pas au contraire et le pire vous êtes le représentant du comté au niveau royal en étant Pair de France, j'avoue que cela me laisse pantois au vu de votre attitude, alors que de part votre rang, vous êtes senser montrer l'exemple.
Languedoc je pense que les prochaines allégeances vont donc pouvoir se faire sans que les nobles soient obligés de mettre genou à terre, vu que cela vient d'être permis, ce qui dans un sens ira plus vite, car pas besoin de se relever.
Sur ce je vais faire plaisir à Béarn et vous poser la question rituelle, pour que nopus puissions passer à la moyenne noblesse, qui vous montrera ce qu'est un véritable noble, je le pense, car eux ne se posent pas ce genre de questions quand ils doivent prêter allégeance et le font en respectant les "régles", si on peut dire qui régissent ces dernières en Languedoc depuis la nuit des temps.
Bbred, voulez vous tout à fait être notre homme ?
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Messire Bbred que vous me méprisiez, je n'en ai rien à faire, par contre là vous méprisez les languedociesn, qui ont voté pour que la liste que je dirigeais arrive en tête et cela de la part d'un noble de haut rang, n'est pas normale, de plus vous ouvrez une porte en vous permettant de remettre en cause les us et coutumes du Languedoc, que vous dites aimer et là vous ne le montrez absolument pas au contraire et le pire vous êtes le représentant du comté au niveau royal en étant Pair de France, j'avoue que cela me laisse pantois au vu de votre attitude, alors que de part votre rang, vous êtes senser montrer l'exemple.
Languedoc je pense que les prochaines allégeances vont donc pouvoir se faire sans que les nobles soient obligés de mettre genou à terre, vu que cela vient d'être permis, ce qui dans un sens ira plus vite, car pas besoin de se relever.
Sur ce je vais faire plaisir à Béarn et vous poser la question rituelle, pour que nopus puissions passer à la moyenne noblesse, qui vous montrera ce qu'est un véritable noble, je le pense, car eux ne se posent pas ce genre de questions quand ils doivent prêter allégeance et le font en respectant les "régles", si on peut dire qui régissent ces dernières en Languedoc depuis la nuit des temps.
Bbred, voulez vous tout à fait être notre homme ?
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Bbred
Bbred écoute avec attention les propos de Liam mais il met quelques secondes supplémentaires à remettre dans l'ordre l'argumentaire complètement décousue de ce dernier.
Une petite voie intérieur lui demande de passer à la suite pour qu'on en finisse.
Les yeux d'Arcadhias en disent tout autant. Ce dernier masque très mal la crispation qui semble se dessiner sur son visage. Il joue sa crédibilité sur ce nouveau système d'allégeance qui se veut révolutionnaire...
Mais oui mais non.
Ce n'est pas qu'il se refuse à faire plaisir à Arcadhias ou à Louis Gauttier mais l'acte d'accusation que sa grandeur Saint Didier lui dresse, ne lui convient guère.
Surtout quand c'est publique.
Pardonnez moi Languedoc mais... j'ai du mal à encaisser l'humiliation.
Je saisie mal le concept d'une tête de liste qui revendique une légitimité sur la façon de penser, et sur le concept même de ce que la noblesse devrait être.Mais également sur l'admiration et le respect que chaque Languedocien devrait lui porter du haut de ses 33%. Il me semblait que le statut de régnant était similaire qu'une liste soit en tête ou non avec 10, 20, 50, 70% ... peu importe.
Je prends sur moi et plaide ma marginalité.
En effet la noblesse languedocienne, avec les nouvelles nominations et destitutions, est passé à plus de 60% a des membres de la mesnie saint Didier et membre alliés de la liste UDL, chiffre encore en progrès.
Je conçoit donc que mon affiliation politique et que mes alliances puissent amener quelques inimitiés et quelques différences interprétations sur nos coutumes. Les salons politiques consistent souvent à débattre de ce genre de concept.
Je ne comprend cependant pas les accusations sur mon mépris de la population languedocienne. Après avoir expliqué que les relations entre sa grandeur et moi Même semblaient confuses, je ne comprend pas que cet argument me soit jeté publiquement au visage. Cette séances est publique et la population qui y est invitée à tout loisir d'écouter et à pouvoir constater la diffamation dont on m'habille en me dressant un portrait défavorable qui inciterait le Languedoc a me mépriser. Je ne suis pas favorable à ce qu'un débat politique ou d'ego y débute car j'y vois la également tout une mecanique électorale. Vous avez vos propres interprétations des us et coutumes qui ne semble pas forcément être en adéquation avec le reste du royaume et ma façon de penser. Vous m'accuser de la travestir voir de la violer.
Vous qualifiez mon comportement comme contraire au bon vivre noblement et me designez comme mauvais exemple pour un genoux non ployé. Plutôt que de m'humilier publiquement il aurait été plus sage de me le dire en privée ou si la faute est trop importante à vos yeux de poser une plainte à l'herauderie. Il me semble que vous savez parfaitement le faire.
Quand à vos derniers propos.
Je suis donc un faux noble.
Ce qui expliquerait donc votre refus de me promettre protection justice et subsistance traduis par l'absence de réponses de votre part lors des dernières allégeances.
Ce qui se renforce par ma mission auprès de la couronne. Après tout, n'avez vous pas justifié la destitution d'Assliva par le fait qu'elle servait la couronne et que l'on ne peut pas courir deux lièvres à la fois ?
Je vois donc que recevoir l'allégeance d'un faux nobles vous contraint et risque de mettre en péril votre sincérité. Vous n'y voyez qu'une finalité à faite plaisir à Bearn.
Je suis donc affecté de vous obliger.
Bearn, Languedoc n'avons pas une difficulté supplémentaire. Quel droit et devoir m'octroie ne statut de faux noble que sa grandeur Liam de saint Didier m'a octroyé ?
Quel est le degré de sincérité et de sécurité m'apporterait l'allégeance que s'apprête à m'offrir sa Grandeur au vue de l'humiliation publique qu'il m'accable ?
A quoi dois je m'attendre?
J'ai également une question qui me travaille déjà depuis ce matin votre Grandeur.
Sachant que les allegeances successives à plusieurs mandats d'un même régnant ne sont pas obligatoires, sachant que vous n'avez pas de prime allégeance à y faire.
Sachant que vous devez être le premier en Languedoc à avoir demander la tenue de 3 allégeances d'affilée... quel est le but de cette derniere cérémonie ?
Je n'y vois que deux explications...
Soit vous tenez absolument à ce qu'un noble vienne vous prêter allégeance dans ce cas là j'ose vous demander qui a vos yeux avait une telle importance.
Ou bien elle a pour but de provoquer une destitution ... Je serais également bien curieux de savoir lesquels.
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a revoir
Une petite voie intérieur lui demande de passer à la suite pour qu'on en finisse.
Les yeux d'Arcadhias en disent tout autant. Ce dernier masque très mal la crispation qui semble se dessiner sur son visage. Il joue sa crédibilité sur ce nouveau système d'allégeance qui se veut révolutionnaire...
Mais oui mais non.
Ce n'est pas qu'il se refuse à faire plaisir à Arcadhias ou à Louis Gauttier mais l'acte d'accusation que sa grandeur Saint Didier lui dresse, ne lui convient guère.
Surtout quand c'est publique.
Pardonnez moi Languedoc mais... j'ai du mal à encaisser l'humiliation.
Je saisie mal le concept d'une tête de liste qui revendique une légitimité sur la façon de penser, et sur le concept même de ce que la noblesse devrait être.Mais également sur l'admiration et le respect que chaque Languedocien devrait lui porter du haut de ses 33%. Il me semblait que le statut de régnant était similaire qu'une liste soit en tête ou non avec 10, 20, 50, 70% ... peu importe.
Je prends sur moi et plaide ma marginalité.
En effet la noblesse languedocienne, avec les nouvelles nominations et destitutions, est passé à plus de 60% a des membres de la mesnie saint Didier et membre alliés de la liste UDL, chiffre encore en progrès.
Je conçoit donc que mon affiliation politique et que mes alliances puissent amener quelques inimitiés et quelques différences interprétations sur nos coutumes. Les salons politiques consistent souvent à débattre de ce genre de concept.
Je ne comprend cependant pas les accusations sur mon mépris de la population languedocienne. Après avoir expliqué que les relations entre sa grandeur et moi Même semblaient confuses, je ne comprend pas que cet argument me soit jeté publiquement au visage. Cette séances est publique et la population qui y est invitée à tout loisir d'écouter et à pouvoir constater la diffamation dont on m'habille en me dressant un portrait défavorable qui inciterait le Languedoc a me mépriser. Je ne suis pas favorable à ce qu'un débat politique ou d'ego y débute car j'y vois la également tout une mecanique électorale. Vous avez vos propres interprétations des us et coutumes qui ne semble pas forcément être en adéquation avec le reste du royaume et ma façon de penser. Vous m'accuser de la travestir voir de la violer.
Vous qualifiez mon comportement comme contraire au bon vivre noblement et me designez comme mauvais exemple pour un genoux non ployé. Plutôt que de m'humilier publiquement il aurait été plus sage de me le dire en privée ou si la faute est trop importante à vos yeux de poser une plainte à l'herauderie. Il me semble que vous savez parfaitement le faire.
Quand à vos derniers propos.
Je suis donc un faux noble.
Ce qui expliquerait donc votre refus de me promettre protection justice et subsistance traduis par l'absence de réponses de votre part lors des dernières allégeances.
Ce qui se renforce par ma mission auprès de la couronne. Après tout, n'avez vous pas justifié la destitution d'Assliva par le fait qu'elle servait la couronne et que l'on ne peut pas courir deux lièvres à la fois ?
Je vois donc que recevoir l'allégeance d'un faux nobles vous contraint et risque de mettre en péril votre sincérité. Vous n'y voyez qu'une finalité à faite plaisir à Bearn.
Je suis donc affecté de vous obliger.
Bearn, Languedoc n'avons pas une difficulté supplémentaire. Quel droit et devoir m'octroie ne statut de faux noble que sa grandeur Liam de saint Didier m'a octroyé ?
Quel est le degré de sincérité et de sécurité m'apporterait l'allégeance que s'apprête à m'offrir sa Grandeur au vue de l'humiliation publique qu'il m'accable ?
A quoi dois je m'attendre?
J'ai également une question qui me travaille déjà depuis ce matin votre Grandeur.
Sachant que les allegeances successives à plusieurs mandats d'un même régnant ne sont pas obligatoires, sachant que vous n'avez pas de prime allégeance à y faire.
Sachant que vous devez être le premier en Languedoc à avoir demander la tenue de 3 allégeances d'affilée... quel est le but de cette derniere cérémonie ?
Je n'y vois que deux explications...
Soit vous tenez absolument à ce qu'un noble vienne vous prêter allégeance dans ce cas là j'ose vous demander qui a vos yeux avait une telle importance.
Ou bien elle a pour but de provoquer une destitution ... Je serais également bien curieux de savoir lesquels.
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a revoir
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Allégeances - Liam_de_st_didier - Part. 1 : Haute nobl.
Louis_gauttier
- Béarn regarda dubitatif le Comte qui se sentait persécuté. Il allait ajouter quelque chose et se ravisa. Le tribunal héraldique allait être saisi et puis tant pis. Il se contenta d'observer l'échange vassalique qui allait se préparer tout en se préparant pour l'acte 3. Oui, l'acte 3. Second dépôt de plainte au TH en perspective?
Est-ce que l'après midi et la soirée allait être aussi mouvementée?
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Cebyss
La Rose prit à son tour la parole d'une voix claire, pour la réponse à la question.
Moi, Cebyss De la Roseraie, comtesse de Saissac, baronne de Saint-Pons-de-Thomières, vous reconnais vous, Liam de Saint Didier comme Comte Légitime du Languedoc.
Je vous promets obsequium, auxilium et consilium pour le temps de votre règne.
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Moi, Cebyss De la Roseraie, comtesse de Saissac, baronne de Saint-Pons-de-Thomières, vous reconnais vous, Liam de Saint Didier comme Comte Légitime du Languedoc.
Je vous promets obsequium, auxilium et consilium pour le temps de votre règne.
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Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre avant d'aller aider Cebyss à se relever pour l'accolade vassalique :
Nous entendons votre serment et l'acceptons.
Nous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc vous promettons à vous, Cebyss de la Roseraie, Comtesse de Saissac, Baronne de Pons de Thomières, protection, justice et subsistance qui est assuré par la conservation de vos terres de Saissac et de Pons de Thomières .
Voici pour vous ce pot d'argile, contenant un mélange de simples, pour vous rappeler combien ces deux choses sont elles aussi importantes pour la grandeur du Languedoc.
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Nous entendons votre serment et l'acceptons.
Nous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc vous promettons à vous, Cebyss de la Roseraie, Comtesse de Saissac, Baronne de Pons de Thomières, protection, justice et subsistance qui est assuré par la conservation de vos terres de Saissac et de Pons de Thomières .
Voici pour vous ce pot d'argile, contenant un mélange de simples, pour vous rappeler combien ces deux choses sont elles aussi importantes pour la grandeur du Languedoc.
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Arcadhias
And the last one ladies and gentlemen, faisant arriver cette première partie à son presque épiloque. L'avantage de séparer les nobles selon leur rang, sera une fois les allégeances terminées de pouvoir constater que les problèmes et retards ne se portent finalement quasiment que pour les nobles de haut rang.
- - « Que s'avance et ploie le genou devant Sa Grandeur, le comte Bbred de Llortz, pour les terres de Pézenas et du Pouget !»
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Cebyss
Ah ! pour sûr qu'elle en connaissait l'importance la Brune ! Ce n'était pas faute d'avoir essayé en vain de lancer des animations et communiquer sur le sujet... bref le lieu n'était pas à la discussion de toutes façons, pas plus qu'ailleurs.
La Rose prit donc le présent du Comte en le remerciant et laissa sa place au "last but not least" de la série, non sans lui filer un coup de coude au passage. "Vengeance : mise en bouche".
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La Rose prit donc le présent du Comte en le remerciant et laissa sa place au "last but not least" de la série, non sans lui filer un coup de coude au passage. "Vengeance : mise en bouche".
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Bbred
Bbred se frotte le bas des côtes sans pouvoir retenir un léger sourire. C'est toujours une habitude ou un honneur de clôturer la cérémonie. Enfin en l'occurrence ça n'était que la première séance.
Devoir arriver à Montpellier si tôt le matin suggèrait déjà une organisation plus conséquente, des frais d'hôtellerie ect... pour l'égalité de traitement entre noble on repassera...
Il retient un baillement causé par un manque de kawa matinal et s'approche donc du trône.
Se tenant droit comme un I les mains derrière dos comme un bon écolier prêt à resituer sa récitation apprise par coeur et avec application.
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a revoir
Devoir arriver à Montpellier si tôt le matin suggèrait déjà une organisation plus conséquente, des frais d'hôtellerie ect... pour l'égalité de traitement entre noble on repassera...
Il retient un baillement causé par un manque de kawa matinal et s'approche donc du trône.
Se tenant droit comme un I les mains derrière dos comme un bon écolier prêt à resituer sa récitation apprise par coeur et avec application.
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a revoir
Malkav
Regarde Béarn et Languedoc un léger agacé à la longue.
Ecoutez, sauf votre respect, je veux bien être mignon, je veux bien y mettre du mien et réparer mes erreurs si vous jugez que s'en est mais au bout d'un moment, ça ressemble fortement à l'acharnement.
Je comprends que vous faites votre travail tout deux et que s'il y a dérogeance vous devez faire en sorte qu'elles soient réparées. Néanmoins, je ne pense pas être le plus dérogeant ici présent, j'ai juste le courage d'exprimer ce que je pense.
Ce serment, je le fais depuis des années à divers comtes, devant divers héraut et jamais rien ne m'a été dit. Pourquoi serait-il aujourd'hui invalide?
De plus, le serment a été validé par vos soins même sauf erreur de ma part avant les péripéties qui ont suivi ou lors des deux dernières allégeances donc je ne vois pas en quoi je devrais tout recommencer.
Je n'ai aucune animosité dans mes propos, je tiens à le signaler, c'est juste que j'aime bien comprendre les choses et qu'elles soient un minimum cohérentes.
D'autres nobles se présentèrent, il ajouta donc.
Je pense que tous ici présents aimeraient enfin avancer.
Le blond était prêt même à renoncer aux excuses que Liam lui devait.
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Ecoutez, sauf votre respect, je veux bien être mignon, je veux bien y mettre du mien et réparer mes erreurs si vous jugez que s'en est mais au bout d'un moment, ça ressemble fortement à l'acharnement.
Je comprends que vous faites votre travail tout deux et que s'il y a dérogeance vous devez faire en sorte qu'elles soient réparées. Néanmoins, je ne pense pas être le plus dérogeant ici présent, j'ai juste le courage d'exprimer ce que je pense.
Ce serment, je le fais depuis des années à divers comtes, devant divers héraut et jamais rien ne m'a été dit. Pourquoi serait-il aujourd'hui invalide?
De plus, le serment a été validé par vos soins même sauf erreur de ma part avant les péripéties qui ont suivi ou lors des deux dernières allégeances donc je ne vois pas en quoi je devrais tout recommencer.
Je n'ai aucune animosité dans mes propos, je tiens à le signaler, c'est juste que j'aime bien comprendre les choses et qu'elles soient un minimum cohérentes.
D'autres nobles se présentèrent, il ajouta donc.
Je pense que tous ici présents aimeraient enfin avancer.
Le blond était prêt même à renoncer aux excuses que Liam lui devait.
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Louis_gauttier
- -"Comme vous voulez vostre grandeur. Pas de reformulation des excuses. Soit, je note vostre refus. Vous avez plus que raison. Cette comédie a plus qu'assez duré."
Il inclina légèrement le buste.
-"Languedoc je vous laisse terminer. Je m'excuse pour le dérangement."
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Arcadhias
- - « Je vous en prie Béarn. »
Pourtant c'est celle qui compte le moins de nobles, et on a déjà du retard sur le planning. Tss. Le Languedoc.
N'ayant pas fait attention à qui avait véritablement passé les portes en premier, ce sera à défaut l'arrivée la plus remarquée qui passera en premier
- - « Que s'avance et ploie le genou devant Sa Grandeur, la comtesse Cebyss de la Roseraie, pour les terres de Saissac et de Pons de Thomières ! »
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Malkav
Le comte ravi que l'acharnement soit enfin terminé termina en disant.
Encore usse t il fallu que vous me demandiez la reformulation pour la refuser. Mais je vois que vous aimer faire des conclusions sur ce qui n'est pas.
Et que vous vous mettiez d'accord avec Languedoc sur le problème si c'était le serment ou l'hommage.
Bref! Si je peux enfin me retirer...
Tout était dit.
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Encore usse t il fallu que vous me demandiez la reformulation pour la refuser. Mais je vois que vous aimer faire des conclusions sur ce qui n'est pas.
Et que vous vous mettiez d'accord avec Languedoc sur le problème si c'était le serment ou l'hommage.
Bref! Si je peux enfin me retirer...
Tout était dit.
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Cebyss
La passe d’armes entre le Comte, Malkav et le Maître d’Armes battait toujours son plein. La brune était, elle, toujours à rager contre le mauvais tour qu’il lui avait joué et à fomenter la sédition contre ce fichu Rouquin… mais ça, ça serait pour plus tard... Quand finalement le calme sembla revenir dans la salle et le Héraut l’appela devant le Comte, alors que Malk s'expliquait avec le Maître d'Armes. La Rose s’avança donc et mit genou à terre dans l’attente de la question rituelle.
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Liam_de_st_didier
Et voilà le tour de Cebyss et Liam de lui poser la question rituelle.
Cebyss, voulez vous tout à fait être notre femme ?
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Cebyss, voulez vous tout à fait être notre femme ?
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Arcadhias
Quelques minutes avant la fermeture des portes, et alors que l'assemblée reste pendue aux lèvres du Comte de Rochefort d'Òc, un bruit sourd se fait entendre à l'entrée de la salle.
La bienséance voudrait que lorsque l'on arrive à ce point en retard l'on ne se fasse pas remarquer, mais comme de toute façon le régnant et l'un de ses vassaux étaient occupés à s'envoyer des fions, les derniers arrivants n'auraient pas pu passer tout de suite.
Bientôt 10h, les gardes auront alors pour consigne de ne plus laisser entrer les représentants de la Haute noblesse qui ne seraient pas rentrés dans la salle avant l'échéance. Une petite coche à côté de leur nom, viendra noter l'arrivée des deux derniers nobles attendus.
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
La bienséance voudrait que lorsque l'on arrive à ce point en retard l'on ne se fasse pas remarquer, mais comme de toute façon le régnant et l'un de ses vassaux étaient occupés à s'envoyer des fions, les derniers arrivants n'auraient pas pu passer tout de suite.
Bientôt 10h, les gardes auront alors pour consigne de ne plus laisser entrer les représentants de la Haute noblesse qui ne seraient pas rentrés dans la salle avant l'échéance. Une petite coche à côté de leur nom, viendra noter l'arrivée des deux derniers nobles attendus.
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Malkav
Le blond n'avait toujours pas compris ce pourquoi il devait s'excuser aussi il dit tout de même à l'attention de Liam.
Votre Grandeur, il paraît que je sois en défaut d'obesquium au delà du fait que je vous ai déjà demandé pardon pour mon erreur d'interprétation. Loin de moi l'idée de vouloir faire dérogeance en quelconque point à mon serment envers la couronne du Languedoc, aussi si c'est le cas, veuillez m'en excuser.
L'excuse était à la fois large et ciblée sur ce que Béarn lui demandait. Ces allégeances auraient vraiment été pleines de rebondissements.
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Votre Grandeur, il paraît que je sois en défaut d'obesquium au delà du fait que je vous ai déjà demandé pardon pour mon erreur d'interprétation. Loin de moi l'idée de vouloir faire dérogeance en quelconque point à mon serment envers la couronne du Languedoc, aussi si c'est le cas, veuillez m'en excuser.
L'excuse était à la fois large et ciblée sur ce que Béarn lui demandait. Ces allégeances auraient vraiment été pleines de rebondissements.
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Louis_gauttier
- Ha encore un problème.
-"Vostre serment envers la couronne du Languedoc?
Un serment vassalique lie une personne à une personne. C'est donc à sa grandeur Liam de St-Didier et non à la couronne que vous prêtez serment.
D'ailleurs ça se ressent particulièrement en Languedoc avec vostre phrase rituel que vous avez instauré et ce à quoi vous avez consentit.
Si vous le voulez et plus précisément, ce n'est point vostre allégeance à la couronne du Languedoc qui est remise en cause mais vostre hommage à sa grandeur Liam de Saint Didier.
Car, comme le dit le codex héraldique l’allégeance des nobles ayant des terres dans la province s’y fait à la Province et l’hommage au Régnant qui est le "Seigneur" de la province. C'est ce qui fait de vous vassal du comte du Languedoc donc de sa Grandeur Liam."
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Malkav
Bien, j'en prends bonne note.
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Arcadhias
Et le Héraut de souffler au Comte de Rochefort d'Òc ; « - je pense qu'il souhaite que vous repreniez le serment »
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Bbred
Il fallait se lever de bon matin... puis se faire imposer un horaire de passage.
Rien que le début commençait par une vaste blague... le piscenois en fit rapidement SA propre analyse. Vindicative et directe comme a ses habitudes intellectuelles cumulées à un manque de patience flagrant.
Si en plus on doit ajouter que Liam semblait vouloir faire tenir une cérémonie à chacune de ses reconductions dans l'espoir peut être d'y voir le rouquin, que Bentich etait encore venu s'esclaffer comme comme à la foire du saucisson, des derogeances, des enduril jouant hypocritement le role de la gentille maman, une petite fille utilisée comme facteur émotionnel du public...
Des enfants du péchés qu'on appelait subtillement enfant de l'amour.
Bref du grand n'importe quoi.
Bienvenu en Languedoc.
Bbred observe derrière la porte ...
Liam faisait peur...du moins l'obsession qu'il avait pour le piscenois prêtait plus que largement à confusion.
Non pas envie...
Cebyss derrière lui non plus.
Ce qui n'empêchait pas le rouquin de lui souffler "un toi d'abord!" Avant de la pousser dans la salle alors que Malkav se demellait avec ses soucis héraldique.
Bbred passe la tête une dernière fois Pour obserser.
Il grimace
Tire la langue à la bâtarde Nourmechat.
Puis se glisse discrètement ... Faut bien y aller ... Mais pas question d'y passer. Il rasa les murs du dos... il avait finit par comprendre que la soirée qu'il avait offerte à Liam au diable rose n'était pas du tout adaptée aux tendances de son actuelle grandeur... il fut prit d'un glaciale froid dans le dos.
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a revoir
Rien que le début commençait par une vaste blague... le piscenois en fit rapidement SA propre analyse. Vindicative et directe comme a ses habitudes intellectuelles cumulées à un manque de patience flagrant.
Si en plus on doit ajouter que Liam semblait vouloir faire tenir une cérémonie à chacune de ses reconductions dans l'espoir peut être d'y voir le rouquin, que Bentich etait encore venu s'esclaffer comme comme à la foire du saucisson, des derogeances, des enduril jouant hypocritement le role de la gentille maman, une petite fille utilisée comme facteur émotionnel du public...
Des enfants du péchés qu'on appelait subtillement enfant de l'amour.
Bref du grand n'importe quoi.
Bienvenu en Languedoc.
Bbred observe derrière la porte ...
Liam faisait peur...du moins l'obsession qu'il avait pour le piscenois prêtait plus que largement à confusion.
Non pas envie...
Cebyss derrière lui non plus.
Ce qui n'empêchait pas le rouquin de lui souffler "un toi d'abord!" Avant de la pousser dans la salle alors que Malkav se demellait avec ses soucis héraldique.
Bbred passe la tête une dernière fois Pour obserser.
Il grimace
Tire la langue à la bâtarde Nourmechat.
Puis se glisse discrètement ... Faut bien y aller ... Mais pas question d'y passer. Il rasa les murs du dos... il avait finit par comprendre que la soirée qu'il avait offerte à Liam au diable rose n'était pas du tout adaptée aux tendances de son actuelle grandeur... il fut prit d'un glaciale froid dans le dos.
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a revoir
Cebyss
La convocation reçue la veille l’avait laissée perplexe. Un sourcil levé, la Rose se demandait quel plaisir pouvait bien en retirer le comte, mais soit, peu lui importait, elle remplirait son devoir. Qui plus est, la cérémonie faisait dans la fantaisie pour le coup… elle devait y être à l’aube ! L’esprit tortueux de la Brune se perdit dans des supputations quant aux intentions du comte, sans doute espérait-il enfin revoir ce rouquin sur lequel il portait une attention cachée… ou… Il est vrai que certains pouvaient le trouver charmant le Rouquin…
Après une nuit courte, c’est à l’aube après une toilette soignée, la chevelure rebelle savamment maîtrisée tentant malgré tout déjà de s’échapper, qu’elle se glissa dans une tenue de cérémonie et des bijoux assortis. Ainsi parée elle prit la direction du château.
En retard ? Evidemment qu’elle l’était !
Pourtant ce ne fut pas vers la salle du plaid que ses pas la menèrent. Elle commença par charger une jeune servante de surveiller l’avancée de la cérémonie. La Rose passa ensuite s’assurer que le bétail soit bien nourri, vérifier les naissances du jour, faire un tour à l’Agora répondre aux demandes des maires, répondre aux courriers, compter les parchemins nécessaires pour la journée de travail au château… la routine.
Lorsque la jeune servante arriva en courant la comtesse ne s’était pas rendu compte que le jour était désormais levé depuis longtemps. Elle lâcha plumes et parchemins et partit à grands pas vers la salle du plaid. La jeune fille trottinant à ses côtés ne cessait de parler pour raconter les évènements du début de matinée. La Rose soupirait à chaque péripétie et ralentissait un peu plus le pas. Elle finit malgré tout par rattraper le Rouquin qui lambinait devant la porte.
Il passerait le premier, ça elle n’en démordrait pas ! Pourtant à peine arrivée, le fourbe la poussa dès l’entrée. La Rose trébucha, manquant s’étaler au beau milieu de l’allée. Elle jeta un regard noir au Rouquin après avoir évité le pire. Reprenant un air serein, malgré son envie de se jeter sur Pézenas, elle salua les personnes présentes et s’avança souriante, vers le héraut pour le saluer et signaler son arrivée.
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Après une nuit courte, c’est à l’aube après une toilette soignée, la chevelure rebelle savamment maîtrisée tentant malgré tout déjà de s’échapper, qu’elle se glissa dans une tenue de cérémonie et des bijoux assortis. Ainsi parée elle prit la direction du château.
En retard ? Evidemment qu’elle l’était !
Pourtant ce ne fut pas vers la salle du plaid que ses pas la menèrent. Elle commença par charger une jeune servante de surveiller l’avancée de la cérémonie. La Rose passa ensuite s’assurer que le bétail soit bien nourri, vérifier les naissances du jour, faire un tour à l’Agora répondre aux demandes des maires, répondre aux courriers, compter les parchemins nécessaires pour la journée de travail au château… la routine.
Lorsque la jeune servante arriva en courant la comtesse ne s’était pas rendu compte que le jour était désormais levé depuis longtemps. Elle lâcha plumes et parchemins et partit à grands pas vers la salle du plaid. La jeune fille trottinant à ses côtés ne cessait de parler pour raconter les évènements du début de matinée. La Rose soupirait à chaque péripétie et ralentissait un peu plus le pas. Elle finit malgré tout par rattraper le Rouquin qui lambinait devant la porte.
Il passerait le premier, ça elle n’en démordrait pas ! Pourtant à peine arrivée, le fourbe la poussa dès l’entrée. La Rose trébucha, manquant s’étaler au beau milieu de l’allée. Elle jeta un regard noir au Rouquin après avoir évité le pire. Reprenant un air serein, malgré son envie de se jeter sur Pézenas, elle salua les personnes présentes et s’avança souriante, vers le héraut pour le saluer et signaler son arrivée.
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Louis_gauttier
- -" Ha toutes mes excuses. Par contre, heum, je suis convaincu qu'un héraut doit être pédagogue et communiquer avec la noblesse pour arriver à un règlement d'un soucis à l'amiable, mais je vous préviens, je m'arrête à trois. Je suis héraut pas négociant en tapisserie."
Il se racla la gorge.
-"Comme dit précédemment le soucis se pose dans le fait que vous êtes en défaut d'obesquium de part les propos irrévérencieux vis à vis vostre suzerain lorsque vous êtes rentré dans cette salle. En tant que noble vous jurez Obsequium, consilium et auxilium. Et même si on tolère des traductions en françoy parce que c'est la langue standard et qu'on a pas d'autre choix de s'y plier, loy divine oblige, l'obsequium demeure ce qu'il est: la fidélité, le respect, l'obéissance et la déférence que vous devez à vostre Suzerain.
C'est avec cette même tolérance qu'on se contente de certain serment vassalique, comme le vostre qui était valide mais peu mieux faire."
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Malkav
Et le blond de répondre. Il n'aimait qu'on interprète ses dires surtout par la menace. Il reprit calmement
Je n'ai pas dit que je ne voulais pas m'excuser. Je cherche juste à comprendre pourquoi. Pour moi j'ai déjà demandé pardon sur ce qui avait à l'être. A moins qu'il y ait autre chose et la je vous demande de m'expliciter ce dont on me reproche encore.
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Je n'ai pas dit que je ne voulais pas m'excuser. Je cherche juste à comprendre pourquoi. Pour moi j'ai déjà demandé pardon sur ce qui avait à l'être. A moins qu'il y ait autre chose et la je vous demande de m'expliciter ce dont on me reproche encore.
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Louis_gauttier
- Simplement:
-"Vous refusez donc de vous excuser ce qui va me forcer à devoir faire un dépôt de plainte au tribunal héraldique?
Je répondrai à vostre question une fois ce point traité. Je ne vais pas m'éparpiller pour éviter que la chose qui m'intéresse ne soit perdue de vue."
Trop fastidieux avec un PNJ.
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Malkav
Merci d'éditer mon pseudo dans votre autre post à ce compte là. 
et sinon désolé par manque de temps d'avoir fait retarder le rp.
et sinon désolé par manque de temps d'avoir fait retarder le rp. S'en était enfin terminé. Liam avait enfin réalisé que le serment avait été dit à l'unisson. A son age, c'était tout de même dommage d'avoir des problèmes d’ouïe. Bref. Et après c'était Malkav qu'on traitait de vieux! Le Languedoc ne tournait vraiment pas rond.
Rochefort d'Oc pas encore satisfait des insultes que Liam se permettait de faire en favorisant une noble en particulier et sa progéniture d'une part puis en ignorant totalement son épouse, était tout de même soulagé que ce soit enfin terminé.
Mais un rebondissement de dernière minute se précipita. Menant l'intrigue au maximum allant même jusqu'à défier les films à suspense les plus croustillants de nos temps, le maréchal demanda au blond de s'excuser. Comment, allait-il réagir? Le suspense serait bientôt rompu car Malkav répondit.
Béarn, avec tout le respect que je vous dois, je ne comprends pas en quoi je devrais m'excuser davantage. J'irai même jusqu'à dire que ce sont des excuses du comte qui seraient de rigueur pour avoir d'une part préféré porter attention et importance à la fille d'une de ses vassales et cette dernière ayant déjà prêté allégeance plutôt qu'à un couple de nobles voulant lui prêter allégeance. Et d'autres part, pour avoir voulu ignorer totalement notre épouse sa vassale suite à son serment.
Il me semble avoir déjà demander le pardon à sa Grandeur pour la terrible méprise que j'ai faite en pensant qu'il avait célébré en cachette ses noces avec Razès. Au delà de cela, merci de me dire en quoi je lui dois des excuses car je ne vois pas?
Interrogatif il demanda.
Pour ma culture personnelle, j'aimerai que vous me précisiez une chose au risque de paraître ignorant. Le serment vassalique peut se faire en françois ou en latin. Alors que le latin peut avoir des significations diverses et spécifiques, j'en conviens, le françois est lui clair. Le serment consiste en : fidélité, aide et aide armée et conseil.
Je ne comprends alors pas comment deux serments recevables peuvent avoir des significations différentes et que l'on peut cacher finalement tout ce que l'on veut derrière des paroles latines. De plus, pour moi, l'obsequium signifie obéissance, fidélité, complaisance, condescendance. déférence.
Et le blond attendit des précisions, il aimait apprendre. Foutu pour foutu avec le cadre réglementaire de cérémonie il en profitait pour apprendre et compléter ses possibles lacunes en matière héraldique.
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Arcadhias
Ah mais nan on avait dit qu'on mettait les courriers de côté en attendant de régler ce soucis ! Vilain Maréchal qui pique au Héraut sa prochaine remarque !
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
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Liam_de_st_didier
Voilà voilà j'ai corrigé, cela avait été fait pour ceux envoyés, car je m'étais rendu compte de mon erreur, juste oublié de le faire sur la copie.
Liam_de_st_didier a écrit:
Citation:
De Nous Liam de St Didier, Comte du Languedoc
A vous, Castelreng du Cougain, Comte de Joucou ,
Par la présente, nous acceptons en retour votre allégeance écrite et vous promettons également Protection, Justice et Subsistance, vous pouvez dés à présent considérer que la pleine jouissance de votre fief de Joucou, vous est assuré durant notre mandat.
Que le trés haut veille sur vous,
Fait à Uzés le 13éme jour du mois de Janvier 1466
Liam de St Didier
A vous, Castelreng du Cougain, Comte de Joucou ,
Par la présente, nous acceptons en retour votre allégeance écrite et vous promettons également Protection, Justice et Subsistance, vous pouvez dés à présent considérer que la pleine jouissance de votre fief de Joucou, vous est assuré durant notre mandat.
Que le trés haut veille sur vous,
Fait à Uzés le 13éme jour du mois de Janvier 1466
Liam de St Didier
Citation:
De Nous Liam de St Didier, Comte du Languedoc
A vous, Andrea de Mortemart Amnell, Comte de Castelpor, Seigneur de Vaillant ,
Par la présente, nous acceptons en retour votre allégeance écrite et vous promettons également Protection, Justice et Subsistance, vous pouvez dés à présent considérer que la pleine jouissance de votre fief de Castelpor , vous est assuré durant notre mandat.
Que le trés haut veille sur vous,
Fait à Uzés le 13éme jour du mois de Janvier 1466
Liam de St Didier
A vous, Andrea de Mortemart Amnell, Comte de Castelpor, Seigneur de Vaillant ,
Par la présente, nous acceptons en retour votre allégeance écrite et vous promettons également Protection, Justice et Subsistance, vous pouvez dés à présent considérer que la pleine jouissance de votre fief de Castelpor , vous est assuré durant notre mandat.
Que le trés haut veille sur vous,
Fait à Uzés le 13éme jour du mois de Janvier 1466
Liam de St Didier
Citation:
De Nous Liam de St Didier, Comte du Languedoc
A vous, Actarius Malzac d'Euphor, Comte du Tournel & Baron de Florac, ,
Par la présente, nous acceptons en retour votre allégeance écrite et vous promettons également Protection, Justice et Subsistance, vous pouvez dés à présent considérer que la pleine jouissance de vos fiefs du Tournel et de Florac, vous est assuré durant notre mandat.
Que le trés haut veille sur vous,
Fait à Uzés le 13éme jour du mois de Janvier 1466
Liam de St Didier
A vous, Actarius Malzac d'Euphor, Comte du Tournel & Baron de Florac, ,
Par la présente, nous acceptons en retour votre allégeance écrite et vous promettons également Protection, Justice et Subsistance, vous pouvez dés à présent considérer que la pleine jouissance de vos fiefs du Tournel et de Florac, vous est assuré durant notre mandat.
Que le trés haut veille sur vous,
Fait à Uzés le 13éme jour du mois de Janvier 1466
Liam de St Didier
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Liam_de_st_didier
Se demande si la cérémonie va continuer ou en rester là pour la Haute noblesse et se dit qu'il serait peut être bien de faire un rappel à ceux qui ne sont pas encore là.
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Arcadhias
Et le Héraut qui jusque là n'aura pas dit grand chose, de relancer
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- - « Comte de Rochefort d'Òc, nous vous attendons. »
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Arcadhias
Visiblement il n'y aurait pas d'excuses. Et puisque le Maréchal s'était lancé là dedans, le Héraut de se tourner vers lui, attendant ses consignes pour la suite
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Louis_gauttier
- Plusieurs choses, parce que Béarn était réveillé du coup... il ne peut s’empêcher de zieuter le courrier de réponse du Comte.
-"Vostre Grandeur Liam veillez m'excusez mais vos courriers doivent être daté du jorn de la cérémonie soit du 13 janvier 1466 pour être valides.
Pourriez-vous donc modifié la date de vos écrits?"
Côté excuse on était plutôt bloqué. Aussi on répète.
-"Vostre Grandeur Malkav, des excuses sont attendues, j'insiste."
Dieu la carotte et le bâton c'était le seul moyen de faire avancer la noblesse au Languedoc? Bah s'ils insistaient....
- HRP: poste édité suite à un petit MP reçu m'informant que j'avais déformé ce pseudo. Malakav devient Malkav. Je suis désolée!
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Liam_de_st_didier
Citation:
De Nous Liam de St Didier, Comte du Languedoc
A vous, Castelreng du Cougain, Comte de Joucou ,
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Fait à Uzés le 7éme jour du mois de Février 1466
Liam de St Didier
A vous, Castelreng du Cougain, Comte de Joucou ,
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Fait à Uzés le 7éme jour du mois de Février 1466
Liam de St Didier
Citation:
De Nous Liam de St Didier, Comte du Languedoc
A vous, Andrea de Mortemart Amnell, Comte de Castelpor, Seigneur de Vaillant ,
Par la présente, nous acceptons en retour votre allégeance écrite et vous promettons également Protection, Justice et Subsistance, vous pouvez dés à présent considérer que la pleine jouissance de votre fief de Castelpor , vous est assuré durant notre mandat.
Que le trés haut veille sur vous,
Fait à Uzés le 7éme jour du mois de Février 1466
Liam de St Didier
A vous, Andrea de Mortemart Amnell, Comte de Castelpor, Seigneur de Vaillant ,
Par la présente, nous acceptons en retour votre allégeance écrite et vous promettons également Protection, Justice et Subsistance, vous pouvez dés à présent considérer que la pleine jouissance de votre fief de Castelpor , vous est assuré durant notre mandat.
Que le trés haut veille sur vous,
Fait à Uzés le 7éme jour du mois de Février 1466
Liam de St Didier
Citation:
De Nous Liam de St Didier, Comte du Languedoc
A vous, Actarius Malzac d'Euphor, Comte du Tournel & Baron de Florac, ,
Par la présente, nous acceptons en retour votre allégeance écrite et vous promettons également Protection, Justice et Subsistance, vous pouvez dés à présent considérer que la pleine jouissance de vos fiefs du Tournel et de Florac, vous est assuré durant notre mandat.
Que le trés haut veille sur vous,
Fait à Uzés le 7éme jour du mois de Février 1466
Liam de St Didier
A vous, Actarius Malzac d'Euphor, Comte du Tournel & Baron de Florac, ,
Par la présente, nous acceptons en retour votre allégeance écrite et vous promettons également Protection, Justice et Subsistance, vous pouvez dés à présent considérer que la pleine jouissance de vos fiefs du Tournel et de Florac, vous est assuré durant notre mandat.
Que le trés haut veille sur vous,
Fait à Uzés le 7éme jour du mois de Février 1466
Liam de St Didier
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Arcadhias
Round 2. Le Héraut de ranger ses lettres un instant et de se remettre à son pupitre, prêt à assister à la nouvelle scène
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Bentich
Sourit aux dénouement, mais se dit que l'acte deux de ce drame Languedocien va être succulent.
Et toujours en discussions avec les gens qui l'entourent
Ha ba on est parti sur une pente glissante là, enfin vu qu'il ne manque que Cebyss et Bbred et qu'on a du temps encore....
Après ça sera aux vicomtes et aux barons, et je gage que ça ira plus vite
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Et toujours en discussions avec les gens qui l'entourent
Ha ba on est parti sur une pente glissante là, enfin vu qu'il ne manque que Cebyss et Bbred et qu'on a du temps encore....
Après ça sera aux vicomtes et aux barons, et je gage que ça ira plus vite
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Louis_gauttier
- Le pire c'est qu'il y aura un acte 3 après : l'excuse du régnant auprès du vassal pour l'avoir envoyé bouler pour gatouiller avec l'enfant de sa grandeur Enduril. C'était sportif les allégeances au Languedoc et la première fois qu'il voyait autant d'infractions en un espace de temps aussi court. Le point positif, grâce à cette cérémonie il venait de trouver une source d'inspiration extraordinaire pour le prochain examen héraldique et sa cérémonie du chaos. Et son petit doigt lui disait qu'il était pas sortit du sable.
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Louis_gauttier
- La situation semblait progresser et le boxon se calmer. Bon fallait pas se mentir Béarn ne pouvait pas deviner certaines attentes si elles n'étaient pas formulées. Mais, avec de la bonne volonté on peut arriver à bout de tout.
-"Très bien vostre Gandeur."
Il se tourna donc vers le Comte Rochefort d’Oc et donc sorti l'explication.
-"Vostre Grandeur Malakav, pour rappel, l'Obsequium est un terme latin qui englobe diverses notions en francoys. C'est à la fois la fidélité, le respect, l'obéissance et la déférence que vous devez à vostre Suzerain. De part l'obsequium, vous vous engagez à ne jamais lui nuire, que ce soit par les mots ou les actes. Vous devez être pour lui un soutien.
Hélas, de part vos propos, vous avez tendance à aller l'encontre de tout ceci et de vous parjurez par rapport à la promesse que vous venez de réitérer.
Aussi des excuses envers sa Grandeur sont attendues."
Nouveau drama en perspective?
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Liam_de_st_didier
Et de répondre à Béarn toujours aussi calmement :
Désolé je n'avais pas compris comment vous désiriez que je reformule mon serment, j'avais compris autre chose.
Et oui je pensais que même sans vouloir porter plainte, car cela n'en vaut pas la peine, vous lui demanderiez de s'excuser.
Puis de répondre à Languedoc :
Oui nous pouvons poursuivre et je prends bone note de ce que vous venez d'annoncer popur le Comte de Pézenas et la Comtesse de Saissac.
Je vais en profiter pour répondre aux allégeances épistolaires.
Et de prendre sa plume pour rédiger les courriers.
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Désolé je n'avais pas compris comment vous désiriez que je reformule mon serment, j'avais compris autre chose.
Et oui je pensais que même sans vouloir porter plainte, car cela n'en vaut pas la peine, vous lui demanderiez de s'excuser.
Puis de répondre à Languedoc :
Oui nous pouvons poursuivre et je prends bone note de ce que vous venez d'annoncer popur le Comte de Pézenas et la Comtesse de Saissac.
Je vais en profiter pour répondre aux allégeances épistolaires.
Et de prendre sa plume pour rédiger les courriers.
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Louis_gauttier
- Simplement.
-"C'est ece que je demandais par "reformuler vostre serment".
Pour le cas concernant l'insulte, j'ai prit note de l'incident comme vous l'avez demandez. Mais vous avez également déclaré ne pas porter plainte pour ce potentiel parjure. A moins, que c'était vostre façon de nous demander de manière implicite, de demander à sa Grandeur Malkav de s'excuser pour ses dérapages de langues?
Je ne fonctionne pas à l'implicite, en fait.
Vous avez peut être changé d'avis entre temps?"
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Arcadhias
Le Héraut de toussoter
- « Bien, si nous pouvons poursuivre..
Votre Grandeur, les nobles présents et hors retraite sont tous passés, manquent pour l'instant la Comte de Pézenas et la Comtesse de Saissac, mais ils ont jusqu'à 10h pour se présenter à vous*
Je vous propose en attendant, de prendre connaissance des allégeances épistolaires de votre haut ban et d'y répondre. »
- « Bien, si nous pouvons poursuivre..
Votre Grandeur, les nobles présents et hors retraite sont tous passés, manquent pour l'instant la Comte de Pézenas et la Comtesse de Saissac, mais ils ont jusqu'à 10h pour se présenter à vous*
Je vous propose en attendant, de prendre connaissance des allégeances épistolaires de votre haut ban et d'y répondre. »
* Dans les deux cas ; soit arrivée avant le 13 février inclus dans la salle, soit envoi de l'allégeance épistolaire le 13 février au plus tard
Citation:
De Moi, Actarius Malzac d'Euphor, Comte du Tournel & Baron de Florac,
A Vous, Liam de Saint Didier, Comte du Languedoc,
Salutations !
Hélas, je ne suis pas en mesure de rejoindre Montpellier pour vous faire allégeance en personne. C'est donc par voie épistolaire que je vous renouvelle mon serment pour les fiefs du Tournel & de Florac, et vous promets, à vous, Liam de Saint Didier, légitime Comte du Languedoc, conseil, aide, service armé & fidélité. Mes meilleurs voeux de réussite et de prospérité vous accompagnent vous et vos conseillers en cette nouvelle année.
Que le Très-Haut veille sur vous !
Parce que les écrits, pareils au Phénix, ne meurent pas,
Je signe et appose mon scel en ce 13 janvier 1466.
Citation:
De Andrea de Mortemart Amnell, Comte de Castelpor, Seigneur de Vaillant
A Liam de Saint Didier, Comte du Languedoc
De Andrea de Mortemart Amnell, Comte de Castelpor, Seigneur de Vaillant
A Liam de Saint Didier, Comte du Languedoc
Citation:
Salutations,
Retenus fort éloigné du Languedoc, nous ne pouvons ce jourd'hui être présent en personne pour les allégeances, se faisant prenons la plume pour faire notre devoir.
Mais avant cela, voici quelques lignes tirées de L’âne d’or d’Apulée.
Nous espérons que ces quelques lignes vous auront été agréables, et que vous aurez été touché par la beauté de ce premier livre.
Ainsi !
Par la présente, nous vous reconnaissons, Vous, Liam de Saint Didier, Comte du Languedoc par la grâce des urnes et la reconnaissance de Sa Majesté la Reyne de France, Alvira de la Duranxie, vous promettons obsequium, auxilium et consilium pour la durée de votre mandat.
Que le Très Haut vous garde.
Le treize janvier mil quatre cent soixante six à Vendôme,
Andrea de Mortemart Amnell
Salutations,
Retenus fort éloigné du Languedoc, nous ne pouvons ce jourd'hui être présent en personne pour les allégeances, se faisant prenons la plume pour faire notre devoir.
Mais avant cela, voici quelques lignes tirées de L’âne d’or d’Apulée.
Citation:
L. APULEII,
MADAURENSIS PLATONICI,
METAMORPHOSEOS :
SIVE
LUSUS ASINI.
LIBER PRIMUS.
Et ego tibi sermone isto Milesio varias fabulas conseram, auresque tuas benivolas, lepido susurro permulceam ; modò si papyrum Ægyptiam argutia Nilotici calami inscriptam, non spreveris inspicere ; et figuras fortunasque hominum in alias imagines conversas, et in se rursùm mutuo nexu refectas ; ut mireris, exordior. Quis ille, paucis.
Hymetos Attica, et Isthmos Ephyrea, et Tenedos Spartiaca, glebæ felices æternum libris felicioribus conditæ, mea vetus prosapia est. Ibi linguam Attidem primis pueritiæ stipendiis merui : mox in urbe Latia advena, studiorum Quiritium indigenum sermonem, ærumnabili labore, nullo magistro præeunte aggressus excolui. Et ecce præfamur veniam, si quid exotici atque forensis sermonis rudis locutor offendero. Jam hæc equidem ipsa vocis immutatio, desultoriæ scientiæ stilo quem accessimus, respondet, fabulam græcam incipimus, Lector, intende, lætaberis.
Thessaliam (nam et illic originis maternæ nostræ fundamenta à Plutarcho illo inclito, ac mox Sexto philosopho, nepote ejus prodita, gloriam nobis faciunt) eam Thessaliam ex negotio petebam. Post ardua montium et lubrica vallium, et roscida cespitum et glebosa camporum emensa ; equo indigena peralbo vehens, jam eo quoque admodùm fesso, ut ipse etiam fatigationem sedentariam incessus vegetatione discuterem, in pedes desilio, equi sudorem fronte curiosè exfrico, aures remulceo, frenos detraho, in gradum lenem sensim proveho, quoad lassitudinis incommodum alvi solitum ac naturale præsidium eliquaret. Ac dùm is jentaculum ambulatorium, prataque præteriens ore in latus detorto pronus affectat, duobus comitibus, qui forte paululùm processerant, tertium me facio. Et, dùm ausculto quid sermonis agitaretur, alter exerto cachinno, parce, inquit, in verba ista hæc tàm absurda, tàmque immania mentiendo. Isto accepto, sititor alioqui novitatis, immò vero, inquam, impertite sermone non quidem curiosum, sed qui velim scire vel cuncta, vel certe plurima : simul jugi, quod insurgimus, asperitudinem fabularum lepida jucunditas levigabit.
At ille qui cœperat, næ, inquit, istud mendacium tàm verum est, quàm si quis velit dicere, magico susurramine amnes agiles reverti, mare pigrum colligari, ventos inanimes expirare, solem inhiberi, lunam despumari, stellas evelli, diem tolli, noctem teneri. Tunc ego in verba fidentior, heus tu, inquam, qui sermonem jeceras priorem, ne pigeat te, vel tædeat reliqua pertexere. Et ad alium : Tu verò crassis auribus, et obstinato corde respuis quæ forsitàn verè perhibeantur. Minùs herculè calles pravissimis opinionibus ea putari mendacia, quæ vel auditu nova, vel visu rudia, vel certè supra captum cogitationis ardua videantur : quæ si paulò accuratiùs exploraris, non modo compertu evidentia, verum etiam factu facilia senties. Ego denique vespera, dùm polentæ caseatæ offulam modico grandiorem in convivas æmulus contruncare gestio, mollitie cibi glutinosi faucibus inhærente, et ima gula spiritum detinente, minimò minus interii. Et tamen Athenis proximè et ante Pœcilen (porticum) isto gemino obtutu circulatorem aspexi equestrem spatham præacutam mucrone infesto devorasse : ac mox eundem, invitamento exiguæ stipis, venatoriam lanceam, quâ parte minatur exitium, in ima viscera condidisse. Et ecce ponè lanceæ ferrum, quà bacillum inversi teli ad occipitium per inguen subit, puer in mollitiem decorus insurgit : inque flexibus tortuosis enervem et exossem saltationem explicat, cum omnium qui aderamus admiratione. Diceres Dei medici baculo, quod ramulis semiamputatis nodosum gerit, serpentem generosum lubricis amplexibus inhærere. Sed iam cedo, tu sodes, qui occæperas, fabulam remetire. Ego tibi solus hîc pro isto credam, et quod ingressui primum fuerit stabulum, prandio participabo. Hæc tibi merces posita est.
At ille : istud quidem quod polliceris, æqui bonique facio ; verum quòd inchoaveram, porrò exordiar. Sed tibi prius solem istum dejerabo videntem Deum, me vera comperta memorare ; nec vos ulterius dubitabitis, si Thessalim proximam civitatem perveneritis, quòd ibidem passim per ora populi sermo jactetur, quæ palàm gesta sunt. Sed ut prius noritis qui sim, et cujatis, et quo quæstu teneam, audite. Æginensis quidem sum Ætneo melle, vel caseo, et hujuscemodi cauponarum mercibus, per Thessaliam, Ætoliam, Bœotiam ultrò citrò discurrens. Comperto itaque, Hypatæ, quæ civitas cunctæ Thessaliæ antepollet, esse caseum recentem, et sciti saporis, admodùm commodo pretio distrahi, festinus adcucurri id omne præstinaturus. Sed, ut fieri assolet, sinistro pede profectum me spes compendii frustrata est. Omne enim pridiè Lupus, negociator magnarius, coëmerat. Ergò, igitur inefficaci celeritate fatigatus, commodum vespera oriente ad balneas processeram.
Ecce Socratem contubernalem meum conspicio ; humi sedebat, scissili palliastro semiamictus, pænè alius, lutore ad miseram maciem deformatus : qualia solent fortunæ decermina stipes in triviis erogare. Hunc talem, quamquam necessarium et summè agnitum, tamen dubia mente propius accessi. Hem, inquam, mi Socrates, quid istud ? quæ facies ? quod flagitium ? At verò domi tuæ jam defletus et conclamatus es. Liberis tuis tutores juridici provincialis decreto dati ; uxor persolutis officiis feralibus, luctu et mærore diutino deformatâ, diffletis pænè ad extremam captivitatem oculis suis, domus infortunium novarum nuptiarum gaudiis à suis sibi parentibus hilarare compellitur. At tu hîc larvale simulacrum cum summo dedecore nostro viseris.
Aristomene, inquit, næ tu fortunarum lubricas ambages, et instabiles incursiones, et reciprocas vicissitudines ignoras ! Et cum dicto sutili centunculo faciem suam, jamdudùm punicantem præ pudore, obtexit ; ità ut ab umbilico pubetenus cetera corporis renudaret. Nec denique perpessus ego tàm miserum ærumnæ spectaculum, injecta manu ut adsurgat enitor. At ille, ut erat capite velato, sine, sine, inquit, fruatur diutius tropæo fortuna, quod fixit ipsa. Effeci sequeretur ; et simul unam è duabus laciniis meis exuo, eumque propere, vestio dicam, an contego ? et illico lavacro trado ; quòd unctui, quòd tersui opus ipse præministro : sordium enormem eluviem operosè effrico : probè curatum ad hospitium, lassus ipse, fatigatum ægerrimè sustinens perduco : lectulo refoveo, cibo satio, poculo mitigo, fabulis permulceo.
Jam ad lubentia proclivis est sermonis et joci, et scitum est cavillum : jam dicacitas tinnula ; cùm ille imò de pectore cruciabilem suspiritum ducens ; dextra sæviente frontem replaudens, me miserum ! infit : qui, dùm voluptatem gladiatorii spectaculi satis famigerabilis consector, in has ærumnas incidi. Nàm ut scis optimè, secundùm quæstum Macedoniam profectus, dùm mense decimo ibidem attentus nummatior revortor ; modicò prius quàm Larissam accederem, per transitum spectaculum obiturus, in quâdam aviâ et lacunosâ convalli à vastissimis latronibus obsessus, atque omnibus privatus tandem evado : et, ut pote ultimè affectus, ad quamdam cauponam Meroën anum, sed admodum scitulam, devorto ; eique causas et peregrinationis diuturnæ, et domuitionis anxiæ, et spoliationis diurnæ aperio ; et dùm miser refero quæ memini, illa me satis quam humanè tractare adorta, cœnæ gratæ atque gratuitæ, ac mox urigine percita, cubili suo applicat. Et statim miser, ut cum illa acquievi, ab unico congressu annosam ac pestilentem contraho ; et ipsas etiam lacinias, quas boni latrones contegendo mihi concesserant, in eam contuli : operulas etiam, quas adhuc vegetus sagariam faciens merebam : quòd me ad istam faciem, quam paulò antè vidisti, bona uxor et mala fortuna perduxit.
Pol quidem tu dignus, inquam, es extrema sustinere, si quid est tamen novissimo extremius, qui voluptatem veneream, et scortum scorteum lari et liberis prætulisti. At ille digitum à pollice proximum ori suo admovens ; et in stuporem attonitus, tace, tace, inquit ; et circumspiciens tutamenta sermonis : parce, inquit, in feminam divinam, ne quam tibi lingua intemperante noxam contrahas. Ain tandem ? inquam : potens illa et regina caupona quid mulieris est ? Saga, inquit, et divina, potens cœlum deponere, terram suspendere, fontes durare, montes diluere, manes sublimare, Deos infimare, sidera exstinguere, Tartarum ipsum illuminare. Oro te, inquam, aulæum tragicum dimoveto, et siparium scenicum complicato : et cedo verbis communibus.
Vis, inquit, unum vel alterum, immò plurima ejus audire facta ? nam, ut se ament efflictim non modò incolæ, verùm etiam Indi vel Æthiopes utrique, vel ipsi Antichthones, folia sunt artis, et nugæ meræ. Sed, quòd in conspectu plurium perpetravit, audi.
Amatorem suum, quòd vi aliam temerasset, unico verbo mutavit in feram castorem : quòd ea bestia captivitatis metuens, se ab insequentibus præcisione genitalium liberat ; ut illi quoque simile, quòd Venerem habuit aliam, proveniret. Cauponem quoque vicinum, atque ob id æmulum, deformavit in ranam, et nunc senex ille dolium innatans vini sui adventores pristinos in fece submissus officiosis ronchis raucus appellat. Alium de foro quidem, quòd adversus eam locutus esset, in arietem deformavit, et nunc aries ille causas agit. Eadem amatoris sui uxorem, quòd in eam dicaculè probrum dixerat, in sarcinam prægnationis obsepto utero, et repigrato fœtu, perpetua prægnatione damnavit. Et ut cuncti numerant, octo annorum onere misella illa, velut elephantum paritura, distenditur.
Quæ quum subinde ac multi nocerentur, publicitus indignatio percrebuit, statutum est ut in eam die altera severissimè saxorum jaculationibus vindicaretur ; quod consilium virtutibus cantionum antevortit. Et, ut illa Medea, unius dieculæ à Creonte impetratis induciis, totam domum, filiamque cum ipso sene flammis coronalibus deusserat : sic hæc devotionibus sepulcralibus in scrobem procuratis, ut mihi temulenta narravit proximè, cunctos in suis sibi domibus tanta cantionum violentia clausit ; ut toto biduo non claustra perfringi, non fores evelli, non denique parietes ipsi quiverint perforari : quoad mutua hortatione consonè clamitarent, quàm sanctissimè dejerantes, sese neque ei manus admolituros ; et, si qui aliud cogitarint, salutare laturos subsidium. Sic illa propitiata totam civitatem absolvit. At verò cœtus illius auctorem nocte intempesta, cum totâ domo (id est, parietibus et ipso solo), et omni fundamento, ut erat clausa, ad centesimum lapidem, in aliam civitatem, summo vertice montis exasperati sitam, et ob id ab aquis sterilem, transtulit. Et quoniam densa inhabitantium ædificia locum novo hospiti non dabant, ante portam projecta domo discessit.
Mira, inquam, nec minùs sæva, mi Socrates, memoras. Denique mihi quoque non parvam incussisti sollicitudinem, immò verò formidinem, injecto non scrupulo, sed lancea, ne quo numinis ministerio similiter usa, sermones istos nostros anus illa cognoscat. Itaque maturius quieti nos reponamus, et somno levata lassitudine noctis, anteluciò aufugiamus istinc quàm pote longissimè. Hæc adhuc me suadente, insolita vinolentia ac diurna fatigatione pertentatus bonus Socrates, sopitus jam stertebat altiùs. Ego verò adducta fore pessulisque firmatis, grabatulo etiam pone cardines supposito, et probè aggesto, super eum me recipio. Ac primùm præ metu aliquantisper vigilo, dein circà tertiam fermè vigiliam paululùm conniveo.
Commodum quieveram ; et repentè impulsu majore, quàm ut latrones crederes, januæ reserantur, immò verò fractis et evulsis funditùs cardinibus prosternuntur. Grabatulus alioqui breviculus, et uno pede mutilus ac putris, impetus tanti violentia prosternitur : me quoque evolutum et excussum humi recidens in inversum cooperit ac tegit. Tunc ego sensi naturaliter quosdam affectus in contrarium provenire. Nam ut lacrimæ sæpiculè de gaudio prodeunt, ità et in illo nimio pavore risum nequivi continere, de Aristomene testudo factus.
Ac dùm in infimum dejectus, obliquo aspectu quid rei sit grabatuli solertia munitus opperior : video mulieres duas altioris ætatis. Lucernam lucidam gerebat una, spongiam et nudum gladium altera. Hoc habitu Socratem bene quietum circumstetere. Infit illa cum gladio : hic est, soror Panthia, carus Endymion : hic catamitus meus, qui diebus ac noctibus ætatulam meam illusit. Hic est qui meis amoribus insuperhabitis, non solum me diffamat probris, verùm etiam fugam instruit. At ego scilicet Ulyssei astu deserta, vice Calypsonis æternam solitudinem flebo.
Et porrecta dextera, meque Panthiæ suæ demonstrato, at hic, inquit, bonus consiliator Aristomenes, qui fugæ hujus auctor fuit, et nunc morti proximus, jam humi prostratus grabatulo succubans jacet, et hæc omnia conspicit, impunè se relaturum meas contumelias putat. Faxo eum serò, immò statim, immò verò jam nunc, ut et præcedentis dicacitatis, et instantis curiositatis pœniteat.
Hæc ego ut accepi, sudore frigido miser perfluo, tremore viscera quatior ; ut grabatulus etiam succussus et inquietus super dorsum meum palpitando saltaret. At bona Panthia, quin igitur, inquit, soror hunc primum bacchatim discerpimus, vel membris ejus distinatis, virilia desecamus ? Ad hæc Meroe, sic enim reapse nomen ejus, tunc fabulis Socratis convenire sentiebam : Immò, ait, supersit hic saltem, qui miselli hujus corpus parva contumulet humo. Et capite Socratis in alterum dimoto latus, per jugulum sinistrum capulotenus gladium totum ei demergit, et sanguinis eruptionem vasculo admoto excipit diligenter, ut nulla stilla compareret usquam. Hæc ego meis oculis aspexi.
Nam etiam, ne quid demutaret credo à victimæ religione, immissa dextra per vulnus illud ad viscera penitus, cor miseri contubernalis mei Meroe bona scrutata protulit : cum ille impetu teli præsecata gula, vocem, immò stridorem incertum per vulnus effunderet, et spiritum rebulliret.
Quòd vulnus, quâ maximè patebat, spongia offulciens Panthia : Heus tu, inquit, spongia, cave in mari nata, per fluvium transeas. His editis, ab imò remoto grabatulo, varicus super faciem meam residentes vesicam exonerant, quoad me urinæ spurcissimæ madore perluerent.
Commodùm limen evaserant, et fores ad pristinum statum (integræ) resurgent : cardines ad foramina resident, postes ad repagula redeunt, ad claustra pessuli recurrunt. At ego, ut eram etiamnum humi projectus, inanimis, nudus, et frigidus, et lotio perlitus, quasi recens utero matris editus, immò verò semimortuus, verùm etiam ipse mihi supervivens et postumus, vel certè destinatæ jam cruci candidatus : Quid, inquam, de me fiet, ubi iste jugulatus manè paruerit ? Cui videbor verisimilia dicere, proferens vera ? Proclamares saltem suppetiatum, si resistere vir tantus mulieri nequibas. Sub oculis tuis homo jugulatur, et siles ? Cur autem te simile latrocinium non peremit ? Cur sæva crudelitas, vel propter indicium sceleris, arbitro pepercit ? Ergò, quoniam evasisti mortem, nunc illò redi.
Hæc identidem mecum replicabam : et nox ibat in diem. Optimum itaque factum visum est anteluculò furtim evadere, et viam, licet trepido vestigio, capessere. Sumo sarcinulam meam, et subdita clave pessulos reduco. At illæ probæ et fideles januæ, quæ sua sponte deseratæ nocte fuerant, vix tandem et ægerrimè tunc clavis suæ crebra immissione patefiunt. Et, heus tu, ubi es ? inquam, valvas stabuli absolve : anteluciò volo ire. Janitor ponè stabuli ostium humi cubitans, et jam nunc semisomnus, quid tu, inquit, ignoras latronibus infestari vias, qui hoc noctis iter incipis ? Hem, et si tu, alicujus facinoris tibi conscius scilicet, mori cupis, nos cucurbitæ caput, non habemus, ut pro te moriamur. Non longè, inquam, lux abest, et præterea, quid viatori de summa pauperie latrones auferre possunt ? An ignoras inepte, nudum nec à decem palæstritis despoliari posse ? Ad hæc ille marcidus et semisopitus, in alterum latus evolutus : Undè autem, inquit, scio, an convennone illo tuo, cum quo serò deverteras, jugulato, fugæ mandes præsidium ? Illud horæ memini me, terra dehiscente, ima Tartara, inque his canem Cerberum prorsus esurientem mei prospexisse. Ac recordabar profectò, bonam Meroen non misericordia jugulo meo pepercisse, sed sævitia cruci me reservasse.
In cubiculum itaque reversus, de genere tumultuario mortis mecum deliberabam. Sed cùm nullum alium telum mortiferum fortuna, quàm solum mihi grabatulum subministraret : Jam jam grabatule, inquam, animo meo carissime, qui mecum tot ærumnas exanclasti, conscius et arbiter quæ nocte gesta sunt, quem solum in meo reatu testem innocentiæ citare possum : tu mihi ad inferos festinanti subministra telum salutare. Et cum dicto restim, qua erat intextus, aggredior expedire : ac tigillo quod fenestræ subditum altrinsecus prominebat injecta atque obducta parte funiculi, et altera firmiter in nodum coacta : ascenso grabatulo, ad exitium sublimatus, immisso capite laqueum induo. Sed dum pede altero fulcimentum, quo sustinebar, repello, ut ponderis deductu restis ad ingluviem adstricta spiritus officia discluderet, repentè putris alioquin et vetus funis dirumpitur. Atque ego de alto decidens, Socratem, (nam juxtà me jacebat,) superruo, cumque eo in terram devolvor.
Et ecce in ipso momento janitor introrumpit, exsertè clamitans : Ubi es tu qui altâ nocte immodicè festinabas, et nunc stertis involutus ? Ad hæc, nescio an casu nostro, an illius absono clamore experrectus Socrates, exurgit prior : et, næ, inquit, meritò stabularios hos omnes hospites detestantur. Nam iste curiosus dum importunè irrumpit, credo studio rapiendi aliquid, clamore vasto, marcidum alioquin me altissimo somno excussit. Emergo lætus atque alacer, insperato gaudio perfusus : et, ecce (inquam,) janitor fidelissime, comes et pater meus, et frater meus quem, nocte ebrius occisum à me calumniabaris. Et cum dicto Socratem deosculabar amplexus. At ille, olore alioqui spurcissimi humoris perfusus quo me Lamiæ illæ infecerant, vehementer aspernatur. Apage te, inquit, fœtorem extremæ latrinæ, et causas cœpit hujus oloris comiter inquirere. At ego miser, adficto ex tempore absurdo joco, in alium sermonem intentionem ejus denuò derivo : et, injecta dextra, Quin imus, inquam, et itineris matutini gratiam carpimus ? Sumo sarcinulam : et pretio mansionis stabulario persoluto, capessimus viam.
Aliquantum processeramus, et jam jubaris exortu cuncta collustrantur, et ego curiosè sedulò arbitrabar jugulum comitis, quâ parte gladium delapsum videram, et mecum : Vesane, aio, quin poculis et vino sepultus extrema somniasti. Ecce Socrates integer, sanus, incolumis, ubi vulnus ? spongia ubi ? postremo cicatrix tàm alta, tàm recens ? Et ad illum, næ meritò, inquam, medici fidi cibo et crapula distentos scæva et gravia somniare autumant. Mihi denique, quòd poculis vespera minùs temperavi, nox acerba diras et truces imagines obtulit ; ut adhuc me credam cruore humano aspersum, atque impiatum.
Ad hæc ille subridens, at tu, inquit, non sanguine sed lotio perfusus es, verumtamen et ipse per somnium jugulari visus sum mihi. Nam et jugulum istum dolui, et cor ipsum mihi avelli putavi : et nunc etiam spiritu deficior, et genua quatior, et gradu titubo, et aliquid cibatus refovendo spiritu desidero. En, inquit, paratum tibi (adest) jentaculum. Et cum dicto manticam meam humero exuo ; caseum cum pane properè ei porrigo : et juxtà platanum istam resideamus ; aio. Quo facto, et ipse aliquid indidem sumo. Eumque avidè esitantem aspiciens aliquanto intentiore acie, atque pallore buxeo deficientem video. Sic denique eum vitalis color turbaverat, ut mihi præ metu nocturnas etiam furias illas imaginanti, frustulum panis, quod primum sumpseram, quamvis admodùm modicum, mediis faucibus inhæreret, ac neque deorsum demeare, neque sursum remeare posset. Nam et crebritas ipsa commeantium metum mihi cumulabat. Quis enim de duobus comitum alterum sine alterius noxa peremptum crederet ? Verùm ille, ut satis detruncaverat cibum, sitire impatienter cœperat. Nam et optimi casei bonam partem avidè devoraverat, et haud ità longè radices platani lenis fluvius in speciem placidæ paludis ignavus ibat, argento vel vitro æmulus in colorem. En, inquam, explere latice fontis lacteo. Adsurgit : et opertus palliolo in pleniorem ripæ marginem, complicitus in genua appronat se, avidus adfectans poculum.
Nec dum satis extremis labiis summum aquæ rorem attigerat, et jugulo ejus vulnus dehiscit in profundum patorem : et illa spongia repentè de eo devolvitur, eamque parvus admodùm comitatur cruor. Denique corpus exanimatum in flumen penè cernuat, nisi altero ego ejus pede retento, vix et ægrè ad ripam superiorem attraxi ; ubi defletum pro tempore comitem misellum arenosa humo in amnis vicinia sempiterna contexi. Ipse trepidus, et eximiè metuens mihi, per diversas et avias solitudines aufugi : et quasi conscius mihi cædis humanæ, relicta patria et lare, ultroneum exilium amplexus, nunc Ætoliam, novo contracto matrimonio, colo. Hæc Aristomenes.
At ille comes ejus, qui statim initio obstinatâ incredulitate sermonem ejus respuebat ; nihil, inquit, hac fabula fabulosius, nihil isto mendacio absurdius. Et ad me conversus, tu autem, inquit, vir, ut habitus et habitudo demonstrant, ornatus, accedis huic fabulæ ? Ego verò, inquam, nihil impossibile arbitror : sed utcunque fata decreverunt, ità cuncta mortalibus provenire. Nam et mihi, et tibi, et cunctis hominibus multa usu venire mira, et pænè infecta, quæ tamen ignaro relata fidem perdant. Sed ego huic et credo hercules, et gratas gratias memini, quod lepidæ fabulæ festivitate nos avocavit ; asperam denique ac prolixam viam sine labore et tædio evasi. Quo beneficio etiam illum vectorem meum credo lætari, sine fatigatione sui me usque ad istam civitatis portam, non dorso illius, sed meis auribus pervecto.
Is finis nobis et sermonis et itineris communis fuit. Nam comites utrique ad villulas proximas lævorsum abiere. Ego verò quod primùm ingressu stabulum conspicatus sum, accessi, et de quâdam anu cauponâ illico percontor : Estne, inquam, Hypata hæc civitas ? annuit. Nostine Milonem quendam è primoribus ? arrisit. Et verè, inquit, istic primus perhibetur Milo, qui extrà urbem totam, et pomerium colit. Remoto, inquam, joco, parens optima, dic oro, cujatis sit, et quibus diversetur ædibus. Videsne, inquit, extremas fenestras, quæ foris urbem prospiciunt, et altrinsecus fores proximum respicientes angiportum ? inibi iste Milo diversatur, ampliter nummatus, et longè opulentus : verùm extremæ avaritiæ, et sordis infimæ, infamis homo ; fœnus denique copiosum sub arrabone auri et argenti crebiter exercens ; exiguo lare inclusus, et erugini semper intentus ; cum uxore etiam calamitatis suæ comite habitat. Neque præter unicam pascit ancillulam, et habitu mendico semper incedit.
Ad hæc ego risu subjicio : benignè, inquam, et prospicuè Demeas meus in me consuluit, qui peregrinantem tali viro conciliavit, in cujus hospitio nec fumi, nec nidoris nebulam vererer. Et cum dicto modicò secus progressus, ostium accedo, et januam firmiter oppessulatam pulsare vocaliter incipio. Tandem adolescentula quædam procedens, heus tu, inquit, qui tàm fortiter fores verberasti, sub quâ specie mutuari cupis ? An tu solus ignoras, præter aurum argentumque nullum nos pignus admittere ? Meliora, inquam, ominare : et potius responde, an intra ædes herum tuum offendam ? Planè, inquit, sed quæ causa quæstionis hujus ? Litteras ei à Corinthio Demea scriptas ad eum reddo. Dùm annuntio, inquit, hæc, ibidem me operitor. Et cum dicto rursum foribus oppessulatis, se intrò capessit. Modicò deinde regressa, patefactis foribus, rogat te, inquit. Intuli me, eumque accubantem exiguo admodùm grabatulo, et commodum cænare incipientem invenio. Assidebat pedes uxor, et mensa vacua posita, cujus monstratu. En, inquit, hospitium. Benè, ego : et illico ei litteras Demeæ trado. Quibus properiter lectis, amo, inquit, meum Demeam, qui mihi tantùm conciliavit hospitem. Et cum dicto jubet uxorem decedere, utque in ejus locum assideam jubet ; meque etiam nunc verecundia contantem arrepta lacinia detrahens, adside, inquit, istic : nam præ metu latronum nulla sessibula, ac ne sufficientem supellectilem parare nobis licet. Feci.
Et sic : Ego te, inquit, etiam de ista corporis speciosâ habitudine, de que hâc virginali prorsus verecundiâ, generosâ stirpe proditum, et rectè conjicerem, sed et meus Demeas eadem litteris pronuntiat. Ergò brevitatem gurgustioli nostri ne spernas peto. Erit tibi adjacens et ecce illud cubiculum, honestum receptaculum ; fac libenter deversêris in nostro ; et tibi specimen gloriosum arrogaris, si contentus lare parvulo, Thesæi illius cognominis patris tui virtutes æmulaveris, qui non est aspernatus Hecales anus hospitium tenuè. Et vocata ancillula : Fotis, inquit, sarcinulas hospitis susceptas cum fide conde in illud cubiculum : ac simul è promptuario oleum unctui, lintea tersui, et cætera huc eidem usui profer ocyter : et hospitem meum produc ad proximas balneas : satis arduo itinere atque prolixo fatigatus est.
His ego auditis, mores atque parsimoniam ratiocinans Milonis, volensque me artius ei conciliare : Nihil, inquam, rerum istarum, quæ itineris ubique nos comitantur, indigemus, sed et balneas facilè percontabimur. Planè quod est mihi summè præcipuum equo, qui me strenuè pervexit, fœnum atque ordeum, acceptis istis nummulis, tu Fotis emito.
His actis et rebus meis in illo cubiculo conditis, pergens ipse ad balneas, ut prius aliquid nobis cibatui prospicerem, forum cupedinis peto ; inque eo piscatum opiparem expositum video. Et percontato pretio, quòd centum nummis indicaret aspernatus, viginti denariis præstinavi. Inde me commodùm egredientem continuatur Pytheas, condiscipulus apud Athenas Atticas meus ; qui me post aliquam multum temporis amanter agnitum invadit, amplexusque ac comiter deosculatus : Mi Luci, ait, sat pol diù est quòd intervisimus te. At hercules exinde cùm à magistro digressi sumus. Quæ autem tibi causa peregrinationis hujus ? Crastino die scies, inquam. Sed quid istud ? voti gaudeo, nam et lixas, et virgas, et habitum prorsus magistratui congruentem in te video. Annonam curamus, ait, et ædilem gerimus ; et, si quid obsonare cupis, utique commodabimus. Abnuebam, quippè qui jam cœnæ affatim piscatus prospexeramus.
Sed enim Pytheas, visa sportula, succussisque in aspectum planiorem piscibus, at has quisquilias quanti parasti ? Vix, inquam, piscatori extorsimus accipere viginti denarios. Quo audito, statim arreptâ dextrâ postliminiò me in forum cupedinis reducens : Et à quo, inquit, istorum nugamenta hæc comparasti ? Demonstro seniculum in angulo sedentem, quem confestim pro ædilitatis imperio voce asperrima increpans, inquit. Tàm jam nec amicis quidem nostris ! vel omninò ullis hospitibus parcitis, qui tàm magnis pretiis pisces frivolos indicatis, et florem Thessaliæ regionis ad instar solitudinis et scopuli, edulium caritate deducitis ? Sed non impunè, jam enim faxo scias, quemadmodum sub nostro magisterio mali debeant coerceri. Et profusa in medium sportula, jubet officialem suum insuper pisces inscendere, ac pedibus suis totos obterere. Quâ contentus morum severitudine, meus Pytheas, ac mihi ut abirem suadens : Sufficit mihi, ô Luci, inquit, seniculi tanta hæc contumelia. His actis, consternatus ac prorsus obstupidus, ad balneas me refero, prudentis condiscipuli valido consilio et nummis simul privatus et cœna ; lautusque ad hospitium Milonis, ac dehinc cubiculum, me reporto.
Et ecce Fotis ancilla, rogat te, inquit, hospes. At ego jam indè Milonis abstinentiæ cognitor, excusavi comiter : quòd viæ vexationem non cibo sed somno censerem diluendam. Isto accepto pergit ipse, et injecta dextra, clementer me trahere adoritur. Ac dum contor, dum modestè renitor, non prius, inquit, discedam quàm me sequaris. Et dictum jurejurando secutus, jam obstinationi suæ me ingratis obedientem perducit ad illum suum grabatulum ; et residenti, quàm salve agit, inquit, Demeas noster ? quid uxor ? quid liberi ? quid vernaculi ? narro singula. Percontatur accuratius causas etiam peregrinationis meæ : quas ubi probè protuli, jam et de patriâ nostrâ, et ejus primoribus, ac denique de ipso præside scrupulosissimè explorans : ubi me post itineris tàm sævi vexationem, sentit fabularum quoque serie fatigatum, in verba media somnolentum desinere, ac nequidquam defectum jam incerta verborum salebra balbutire, tandem patitur cubitum concedere. Evasi aliquando rancidi senis loquax et famelicum convivium, somno, non cibo gravatus : cænatus solis fabulis, et in cubiculum reversus, exoptatæ me quieti reddidi.
MADAURENSIS PLATONICI,
METAMORPHOSEOS :
SIVE
LUSUS ASINI.
LIBER PRIMUS.
Et ego tibi sermone isto Milesio varias fabulas conseram, auresque tuas benivolas, lepido susurro permulceam ; modò si papyrum Ægyptiam argutia Nilotici calami inscriptam, non spreveris inspicere ; et figuras fortunasque hominum in alias imagines conversas, et in se rursùm mutuo nexu refectas ; ut mireris, exordior. Quis ille, paucis.
Hymetos Attica, et Isthmos Ephyrea, et Tenedos Spartiaca, glebæ felices æternum libris felicioribus conditæ, mea vetus prosapia est. Ibi linguam Attidem primis pueritiæ stipendiis merui : mox in urbe Latia advena, studiorum Quiritium indigenum sermonem, ærumnabili labore, nullo magistro præeunte aggressus excolui. Et ecce præfamur veniam, si quid exotici atque forensis sermonis rudis locutor offendero. Jam hæc equidem ipsa vocis immutatio, desultoriæ scientiæ stilo quem accessimus, respondet, fabulam græcam incipimus, Lector, intende, lætaberis.
Thessaliam (nam et illic originis maternæ nostræ fundamenta à Plutarcho illo inclito, ac mox Sexto philosopho, nepote ejus prodita, gloriam nobis faciunt) eam Thessaliam ex negotio petebam. Post ardua montium et lubrica vallium, et roscida cespitum et glebosa camporum emensa ; equo indigena peralbo vehens, jam eo quoque admodùm fesso, ut ipse etiam fatigationem sedentariam incessus vegetatione discuterem, in pedes desilio, equi sudorem fronte curiosè exfrico, aures remulceo, frenos detraho, in gradum lenem sensim proveho, quoad lassitudinis incommodum alvi solitum ac naturale præsidium eliquaret. Ac dùm is jentaculum ambulatorium, prataque præteriens ore in latus detorto pronus affectat, duobus comitibus, qui forte paululùm processerant, tertium me facio. Et, dùm ausculto quid sermonis agitaretur, alter exerto cachinno, parce, inquit, in verba ista hæc tàm absurda, tàmque immania mentiendo. Isto accepto, sititor alioqui novitatis, immò vero, inquam, impertite sermone non quidem curiosum, sed qui velim scire vel cuncta, vel certe plurima : simul jugi, quod insurgimus, asperitudinem fabularum lepida jucunditas levigabit.
At ille qui cœperat, næ, inquit, istud mendacium tàm verum est, quàm si quis velit dicere, magico susurramine amnes agiles reverti, mare pigrum colligari, ventos inanimes expirare, solem inhiberi, lunam despumari, stellas evelli, diem tolli, noctem teneri. Tunc ego in verba fidentior, heus tu, inquam, qui sermonem jeceras priorem, ne pigeat te, vel tædeat reliqua pertexere. Et ad alium : Tu verò crassis auribus, et obstinato corde respuis quæ forsitàn verè perhibeantur. Minùs herculè calles pravissimis opinionibus ea putari mendacia, quæ vel auditu nova, vel visu rudia, vel certè supra captum cogitationis ardua videantur : quæ si paulò accuratiùs exploraris, non modo compertu evidentia, verum etiam factu facilia senties. Ego denique vespera, dùm polentæ caseatæ offulam modico grandiorem in convivas æmulus contruncare gestio, mollitie cibi glutinosi faucibus inhærente, et ima gula spiritum detinente, minimò minus interii. Et tamen Athenis proximè et ante Pœcilen (porticum) isto gemino obtutu circulatorem aspexi equestrem spatham præacutam mucrone infesto devorasse : ac mox eundem, invitamento exiguæ stipis, venatoriam lanceam, quâ parte minatur exitium, in ima viscera condidisse. Et ecce ponè lanceæ ferrum, quà bacillum inversi teli ad occipitium per inguen subit, puer in mollitiem decorus insurgit : inque flexibus tortuosis enervem et exossem saltationem explicat, cum omnium qui aderamus admiratione. Diceres Dei medici baculo, quod ramulis semiamputatis nodosum gerit, serpentem generosum lubricis amplexibus inhærere. Sed iam cedo, tu sodes, qui occæperas, fabulam remetire. Ego tibi solus hîc pro isto credam, et quod ingressui primum fuerit stabulum, prandio participabo. Hæc tibi merces posita est.
At ille : istud quidem quod polliceris, æqui bonique facio ; verum quòd inchoaveram, porrò exordiar. Sed tibi prius solem istum dejerabo videntem Deum, me vera comperta memorare ; nec vos ulterius dubitabitis, si Thessalim proximam civitatem perveneritis, quòd ibidem passim per ora populi sermo jactetur, quæ palàm gesta sunt. Sed ut prius noritis qui sim, et cujatis, et quo quæstu teneam, audite. Æginensis quidem sum Ætneo melle, vel caseo, et hujuscemodi cauponarum mercibus, per Thessaliam, Ætoliam, Bœotiam ultrò citrò discurrens. Comperto itaque, Hypatæ, quæ civitas cunctæ Thessaliæ antepollet, esse caseum recentem, et sciti saporis, admodùm commodo pretio distrahi, festinus adcucurri id omne præstinaturus. Sed, ut fieri assolet, sinistro pede profectum me spes compendii frustrata est. Omne enim pridiè Lupus, negociator magnarius, coëmerat. Ergò, igitur inefficaci celeritate fatigatus, commodum vespera oriente ad balneas processeram.
Ecce Socratem contubernalem meum conspicio ; humi sedebat, scissili palliastro semiamictus, pænè alius, lutore ad miseram maciem deformatus : qualia solent fortunæ decermina stipes in triviis erogare. Hunc talem, quamquam necessarium et summè agnitum, tamen dubia mente propius accessi. Hem, inquam, mi Socrates, quid istud ? quæ facies ? quod flagitium ? At verò domi tuæ jam defletus et conclamatus es. Liberis tuis tutores juridici provincialis decreto dati ; uxor persolutis officiis feralibus, luctu et mærore diutino deformatâ, diffletis pænè ad extremam captivitatem oculis suis, domus infortunium novarum nuptiarum gaudiis à suis sibi parentibus hilarare compellitur. At tu hîc larvale simulacrum cum summo dedecore nostro viseris.
Aristomene, inquit, næ tu fortunarum lubricas ambages, et instabiles incursiones, et reciprocas vicissitudines ignoras ! Et cum dicto sutili centunculo faciem suam, jamdudùm punicantem præ pudore, obtexit ; ità ut ab umbilico pubetenus cetera corporis renudaret. Nec denique perpessus ego tàm miserum ærumnæ spectaculum, injecta manu ut adsurgat enitor. At ille, ut erat capite velato, sine, sine, inquit, fruatur diutius tropæo fortuna, quod fixit ipsa. Effeci sequeretur ; et simul unam è duabus laciniis meis exuo, eumque propere, vestio dicam, an contego ? et illico lavacro trado ; quòd unctui, quòd tersui opus ipse præministro : sordium enormem eluviem operosè effrico : probè curatum ad hospitium, lassus ipse, fatigatum ægerrimè sustinens perduco : lectulo refoveo, cibo satio, poculo mitigo, fabulis permulceo.
Jam ad lubentia proclivis est sermonis et joci, et scitum est cavillum : jam dicacitas tinnula ; cùm ille imò de pectore cruciabilem suspiritum ducens ; dextra sæviente frontem replaudens, me miserum ! infit : qui, dùm voluptatem gladiatorii spectaculi satis famigerabilis consector, in has ærumnas incidi. Nàm ut scis optimè, secundùm quæstum Macedoniam profectus, dùm mense decimo ibidem attentus nummatior revortor ; modicò prius quàm Larissam accederem, per transitum spectaculum obiturus, in quâdam aviâ et lacunosâ convalli à vastissimis latronibus obsessus, atque omnibus privatus tandem evado : et, ut pote ultimè affectus, ad quamdam cauponam Meroën anum, sed admodum scitulam, devorto ; eique causas et peregrinationis diuturnæ, et domuitionis anxiæ, et spoliationis diurnæ aperio ; et dùm miser refero quæ memini, illa me satis quam humanè tractare adorta, cœnæ gratæ atque gratuitæ, ac mox urigine percita, cubili suo applicat. Et statim miser, ut cum illa acquievi, ab unico congressu annosam ac pestilentem contraho ; et ipsas etiam lacinias, quas boni latrones contegendo mihi concesserant, in eam contuli : operulas etiam, quas adhuc vegetus sagariam faciens merebam : quòd me ad istam faciem, quam paulò antè vidisti, bona uxor et mala fortuna perduxit.
Pol quidem tu dignus, inquam, es extrema sustinere, si quid est tamen novissimo extremius, qui voluptatem veneream, et scortum scorteum lari et liberis prætulisti. At ille digitum à pollice proximum ori suo admovens ; et in stuporem attonitus, tace, tace, inquit ; et circumspiciens tutamenta sermonis : parce, inquit, in feminam divinam, ne quam tibi lingua intemperante noxam contrahas. Ain tandem ? inquam : potens illa et regina caupona quid mulieris est ? Saga, inquit, et divina, potens cœlum deponere, terram suspendere, fontes durare, montes diluere, manes sublimare, Deos infimare, sidera exstinguere, Tartarum ipsum illuminare. Oro te, inquam, aulæum tragicum dimoveto, et siparium scenicum complicato : et cedo verbis communibus.
Vis, inquit, unum vel alterum, immò plurima ejus audire facta ? nam, ut se ament efflictim non modò incolæ, verùm etiam Indi vel Æthiopes utrique, vel ipsi Antichthones, folia sunt artis, et nugæ meræ. Sed, quòd in conspectu plurium perpetravit, audi.
Amatorem suum, quòd vi aliam temerasset, unico verbo mutavit in feram castorem : quòd ea bestia captivitatis metuens, se ab insequentibus præcisione genitalium liberat ; ut illi quoque simile, quòd Venerem habuit aliam, proveniret. Cauponem quoque vicinum, atque ob id æmulum, deformavit in ranam, et nunc senex ille dolium innatans vini sui adventores pristinos in fece submissus officiosis ronchis raucus appellat. Alium de foro quidem, quòd adversus eam locutus esset, in arietem deformavit, et nunc aries ille causas agit. Eadem amatoris sui uxorem, quòd in eam dicaculè probrum dixerat, in sarcinam prægnationis obsepto utero, et repigrato fœtu, perpetua prægnatione damnavit. Et ut cuncti numerant, octo annorum onere misella illa, velut elephantum paritura, distenditur.
Quæ quum subinde ac multi nocerentur, publicitus indignatio percrebuit, statutum est ut in eam die altera severissimè saxorum jaculationibus vindicaretur ; quod consilium virtutibus cantionum antevortit. Et, ut illa Medea, unius dieculæ à Creonte impetratis induciis, totam domum, filiamque cum ipso sene flammis coronalibus deusserat : sic hæc devotionibus sepulcralibus in scrobem procuratis, ut mihi temulenta narravit proximè, cunctos in suis sibi domibus tanta cantionum violentia clausit ; ut toto biduo non claustra perfringi, non fores evelli, non denique parietes ipsi quiverint perforari : quoad mutua hortatione consonè clamitarent, quàm sanctissimè dejerantes, sese neque ei manus admolituros ; et, si qui aliud cogitarint, salutare laturos subsidium. Sic illa propitiata totam civitatem absolvit. At verò cœtus illius auctorem nocte intempesta, cum totâ domo (id est, parietibus et ipso solo), et omni fundamento, ut erat clausa, ad centesimum lapidem, in aliam civitatem, summo vertice montis exasperati sitam, et ob id ab aquis sterilem, transtulit. Et quoniam densa inhabitantium ædificia locum novo hospiti non dabant, ante portam projecta domo discessit.
Mira, inquam, nec minùs sæva, mi Socrates, memoras. Denique mihi quoque non parvam incussisti sollicitudinem, immò verò formidinem, injecto non scrupulo, sed lancea, ne quo numinis ministerio similiter usa, sermones istos nostros anus illa cognoscat. Itaque maturius quieti nos reponamus, et somno levata lassitudine noctis, anteluciò aufugiamus istinc quàm pote longissimè. Hæc adhuc me suadente, insolita vinolentia ac diurna fatigatione pertentatus bonus Socrates, sopitus jam stertebat altiùs. Ego verò adducta fore pessulisque firmatis, grabatulo etiam pone cardines supposito, et probè aggesto, super eum me recipio. Ac primùm præ metu aliquantisper vigilo, dein circà tertiam fermè vigiliam paululùm conniveo.
Commodum quieveram ; et repentè impulsu majore, quàm ut latrones crederes, januæ reserantur, immò verò fractis et evulsis funditùs cardinibus prosternuntur. Grabatulus alioqui breviculus, et uno pede mutilus ac putris, impetus tanti violentia prosternitur : me quoque evolutum et excussum humi recidens in inversum cooperit ac tegit. Tunc ego sensi naturaliter quosdam affectus in contrarium provenire. Nam ut lacrimæ sæpiculè de gaudio prodeunt, ità et in illo nimio pavore risum nequivi continere, de Aristomene testudo factus.
Ac dùm in infimum dejectus, obliquo aspectu quid rei sit grabatuli solertia munitus opperior : video mulieres duas altioris ætatis. Lucernam lucidam gerebat una, spongiam et nudum gladium altera. Hoc habitu Socratem bene quietum circumstetere. Infit illa cum gladio : hic est, soror Panthia, carus Endymion : hic catamitus meus, qui diebus ac noctibus ætatulam meam illusit. Hic est qui meis amoribus insuperhabitis, non solum me diffamat probris, verùm etiam fugam instruit. At ego scilicet Ulyssei astu deserta, vice Calypsonis æternam solitudinem flebo.
Et porrecta dextera, meque Panthiæ suæ demonstrato, at hic, inquit, bonus consiliator Aristomenes, qui fugæ hujus auctor fuit, et nunc morti proximus, jam humi prostratus grabatulo succubans jacet, et hæc omnia conspicit, impunè se relaturum meas contumelias putat. Faxo eum serò, immò statim, immò verò jam nunc, ut et præcedentis dicacitatis, et instantis curiositatis pœniteat.
Hæc ego ut accepi, sudore frigido miser perfluo, tremore viscera quatior ; ut grabatulus etiam succussus et inquietus super dorsum meum palpitando saltaret. At bona Panthia, quin igitur, inquit, soror hunc primum bacchatim discerpimus, vel membris ejus distinatis, virilia desecamus ? Ad hæc Meroe, sic enim reapse nomen ejus, tunc fabulis Socratis convenire sentiebam : Immò, ait, supersit hic saltem, qui miselli hujus corpus parva contumulet humo. Et capite Socratis in alterum dimoto latus, per jugulum sinistrum capulotenus gladium totum ei demergit, et sanguinis eruptionem vasculo admoto excipit diligenter, ut nulla stilla compareret usquam. Hæc ego meis oculis aspexi.
Nam etiam, ne quid demutaret credo à victimæ religione, immissa dextra per vulnus illud ad viscera penitus, cor miseri contubernalis mei Meroe bona scrutata protulit : cum ille impetu teli præsecata gula, vocem, immò stridorem incertum per vulnus effunderet, et spiritum rebulliret.
Quòd vulnus, quâ maximè patebat, spongia offulciens Panthia : Heus tu, inquit, spongia, cave in mari nata, per fluvium transeas. His editis, ab imò remoto grabatulo, varicus super faciem meam residentes vesicam exonerant, quoad me urinæ spurcissimæ madore perluerent.
Commodùm limen evaserant, et fores ad pristinum statum (integræ) resurgent : cardines ad foramina resident, postes ad repagula redeunt, ad claustra pessuli recurrunt. At ego, ut eram etiamnum humi projectus, inanimis, nudus, et frigidus, et lotio perlitus, quasi recens utero matris editus, immò verò semimortuus, verùm etiam ipse mihi supervivens et postumus, vel certè destinatæ jam cruci candidatus : Quid, inquam, de me fiet, ubi iste jugulatus manè paruerit ? Cui videbor verisimilia dicere, proferens vera ? Proclamares saltem suppetiatum, si resistere vir tantus mulieri nequibas. Sub oculis tuis homo jugulatur, et siles ? Cur autem te simile latrocinium non peremit ? Cur sæva crudelitas, vel propter indicium sceleris, arbitro pepercit ? Ergò, quoniam evasisti mortem, nunc illò redi.
Hæc identidem mecum replicabam : et nox ibat in diem. Optimum itaque factum visum est anteluculò furtim evadere, et viam, licet trepido vestigio, capessere. Sumo sarcinulam meam, et subdita clave pessulos reduco. At illæ probæ et fideles januæ, quæ sua sponte deseratæ nocte fuerant, vix tandem et ægerrimè tunc clavis suæ crebra immissione patefiunt. Et, heus tu, ubi es ? inquam, valvas stabuli absolve : anteluciò volo ire. Janitor ponè stabuli ostium humi cubitans, et jam nunc semisomnus, quid tu, inquit, ignoras latronibus infestari vias, qui hoc noctis iter incipis ? Hem, et si tu, alicujus facinoris tibi conscius scilicet, mori cupis, nos cucurbitæ caput, non habemus, ut pro te moriamur. Non longè, inquam, lux abest, et præterea, quid viatori de summa pauperie latrones auferre possunt ? An ignoras inepte, nudum nec à decem palæstritis despoliari posse ? Ad hæc ille marcidus et semisopitus, in alterum latus evolutus : Undè autem, inquit, scio, an convennone illo tuo, cum quo serò deverteras, jugulato, fugæ mandes præsidium ? Illud horæ memini me, terra dehiscente, ima Tartara, inque his canem Cerberum prorsus esurientem mei prospexisse. Ac recordabar profectò, bonam Meroen non misericordia jugulo meo pepercisse, sed sævitia cruci me reservasse.
In cubiculum itaque reversus, de genere tumultuario mortis mecum deliberabam. Sed cùm nullum alium telum mortiferum fortuna, quàm solum mihi grabatulum subministraret : Jam jam grabatule, inquam, animo meo carissime, qui mecum tot ærumnas exanclasti, conscius et arbiter quæ nocte gesta sunt, quem solum in meo reatu testem innocentiæ citare possum : tu mihi ad inferos festinanti subministra telum salutare. Et cum dicto restim, qua erat intextus, aggredior expedire : ac tigillo quod fenestræ subditum altrinsecus prominebat injecta atque obducta parte funiculi, et altera firmiter in nodum coacta : ascenso grabatulo, ad exitium sublimatus, immisso capite laqueum induo. Sed dum pede altero fulcimentum, quo sustinebar, repello, ut ponderis deductu restis ad ingluviem adstricta spiritus officia discluderet, repentè putris alioquin et vetus funis dirumpitur. Atque ego de alto decidens, Socratem, (nam juxtà me jacebat,) superruo, cumque eo in terram devolvor.
Et ecce in ipso momento janitor introrumpit, exsertè clamitans : Ubi es tu qui altâ nocte immodicè festinabas, et nunc stertis involutus ? Ad hæc, nescio an casu nostro, an illius absono clamore experrectus Socrates, exurgit prior : et, næ, inquit, meritò stabularios hos omnes hospites detestantur. Nam iste curiosus dum importunè irrumpit, credo studio rapiendi aliquid, clamore vasto, marcidum alioquin me altissimo somno excussit. Emergo lætus atque alacer, insperato gaudio perfusus : et, ecce (inquam,) janitor fidelissime, comes et pater meus, et frater meus quem, nocte ebrius occisum à me calumniabaris. Et cum dicto Socratem deosculabar amplexus. At ille, olore alioqui spurcissimi humoris perfusus quo me Lamiæ illæ infecerant, vehementer aspernatur. Apage te, inquit, fœtorem extremæ latrinæ, et causas cœpit hujus oloris comiter inquirere. At ego miser, adficto ex tempore absurdo joco, in alium sermonem intentionem ejus denuò derivo : et, injecta dextra, Quin imus, inquam, et itineris matutini gratiam carpimus ? Sumo sarcinulam : et pretio mansionis stabulario persoluto, capessimus viam.
Aliquantum processeramus, et jam jubaris exortu cuncta collustrantur, et ego curiosè sedulò arbitrabar jugulum comitis, quâ parte gladium delapsum videram, et mecum : Vesane, aio, quin poculis et vino sepultus extrema somniasti. Ecce Socrates integer, sanus, incolumis, ubi vulnus ? spongia ubi ? postremo cicatrix tàm alta, tàm recens ? Et ad illum, næ meritò, inquam, medici fidi cibo et crapula distentos scæva et gravia somniare autumant. Mihi denique, quòd poculis vespera minùs temperavi, nox acerba diras et truces imagines obtulit ; ut adhuc me credam cruore humano aspersum, atque impiatum.
Ad hæc ille subridens, at tu, inquit, non sanguine sed lotio perfusus es, verumtamen et ipse per somnium jugulari visus sum mihi. Nam et jugulum istum dolui, et cor ipsum mihi avelli putavi : et nunc etiam spiritu deficior, et genua quatior, et gradu titubo, et aliquid cibatus refovendo spiritu desidero. En, inquit, paratum tibi (adest) jentaculum. Et cum dicto manticam meam humero exuo ; caseum cum pane properè ei porrigo : et juxtà platanum istam resideamus ; aio. Quo facto, et ipse aliquid indidem sumo. Eumque avidè esitantem aspiciens aliquanto intentiore acie, atque pallore buxeo deficientem video. Sic denique eum vitalis color turbaverat, ut mihi præ metu nocturnas etiam furias illas imaginanti, frustulum panis, quod primum sumpseram, quamvis admodùm modicum, mediis faucibus inhæreret, ac neque deorsum demeare, neque sursum remeare posset. Nam et crebritas ipsa commeantium metum mihi cumulabat. Quis enim de duobus comitum alterum sine alterius noxa peremptum crederet ? Verùm ille, ut satis detruncaverat cibum, sitire impatienter cœperat. Nam et optimi casei bonam partem avidè devoraverat, et haud ità longè radices platani lenis fluvius in speciem placidæ paludis ignavus ibat, argento vel vitro æmulus in colorem. En, inquam, explere latice fontis lacteo. Adsurgit : et opertus palliolo in pleniorem ripæ marginem, complicitus in genua appronat se, avidus adfectans poculum.
Nec dum satis extremis labiis summum aquæ rorem attigerat, et jugulo ejus vulnus dehiscit in profundum patorem : et illa spongia repentè de eo devolvitur, eamque parvus admodùm comitatur cruor. Denique corpus exanimatum in flumen penè cernuat, nisi altero ego ejus pede retento, vix et ægrè ad ripam superiorem attraxi ; ubi defletum pro tempore comitem misellum arenosa humo in amnis vicinia sempiterna contexi. Ipse trepidus, et eximiè metuens mihi, per diversas et avias solitudines aufugi : et quasi conscius mihi cædis humanæ, relicta patria et lare, ultroneum exilium amplexus, nunc Ætoliam, novo contracto matrimonio, colo. Hæc Aristomenes.
At ille comes ejus, qui statim initio obstinatâ incredulitate sermonem ejus respuebat ; nihil, inquit, hac fabula fabulosius, nihil isto mendacio absurdius. Et ad me conversus, tu autem, inquit, vir, ut habitus et habitudo demonstrant, ornatus, accedis huic fabulæ ? Ego verò, inquam, nihil impossibile arbitror : sed utcunque fata decreverunt, ità cuncta mortalibus provenire. Nam et mihi, et tibi, et cunctis hominibus multa usu venire mira, et pænè infecta, quæ tamen ignaro relata fidem perdant. Sed ego huic et credo hercules, et gratas gratias memini, quod lepidæ fabulæ festivitate nos avocavit ; asperam denique ac prolixam viam sine labore et tædio evasi. Quo beneficio etiam illum vectorem meum credo lætari, sine fatigatione sui me usque ad istam civitatis portam, non dorso illius, sed meis auribus pervecto.
Is finis nobis et sermonis et itineris communis fuit. Nam comites utrique ad villulas proximas lævorsum abiere. Ego verò quod primùm ingressu stabulum conspicatus sum, accessi, et de quâdam anu cauponâ illico percontor : Estne, inquam, Hypata hæc civitas ? annuit. Nostine Milonem quendam è primoribus ? arrisit. Et verè, inquit, istic primus perhibetur Milo, qui extrà urbem totam, et pomerium colit. Remoto, inquam, joco, parens optima, dic oro, cujatis sit, et quibus diversetur ædibus. Videsne, inquit, extremas fenestras, quæ foris urbem prospiciunt, et altrinsecus fores proximum respicientes angiportum ? inibi iste Milo diversatur, ampliter nummatus, et longè opulentus : verùm extremæ avaritiæ, et sordis infimæ, infamis homo ; fœnus denique copiosum sub arrabone auri et argenti crebiter exercens ; exiguo lare inclusus, et erugini semper intentus ; cum uxore etiam calamitatis suæ comite habitat. Neque præter unicam pascit ancillulam, et habitu mendico semper incedit.
Ad hæc ego risu subjicio : benignè, inquam, et prospicuè Demeas meus in me consuluit, qui peregrinantem tali viro conciliavit, in cujus hospitio nec fumi, nec nidoris nebulam vererer. Et cum dicto modicò secus progressus, ostium accedo, et januam firmiter oppessulatam pulsare vocaliter incipio. Tandem adolescentula quædam procedens, heus tu, inquit, qui tàm fortiter fores verberasti, sub quâ specie mutuari cupis ? An tu solus ignoras, præter aurum argentumque nullum nos pignus admittere ? Meliora, inquam, ominare : et potius responde, an intra ædes herum tuum offendam ? Planè, inquit, sed quæ causa quæstionis hujus ? Litteras ei à Corinthio Demea scriptas ad eum reddo. Dùm annuntio, inquit, hæc, ibidem me operitor. Et cum dicto rursum foribus oppessulatis, se intrò capessit. Modicò deinde regressa, patefactis foribus, rogat te, inquit. Intuli me, eumque accubantem exiguo admodùm grabatulo, et commodum cænare incipientem invenio. Assidebat pedes uxor, et mensa vacua posita, cujus monstratu. En, inquit, hospitium. Benè, ego : et illico ei litteras Demeæ trado. Quibus properiter lectis, amo, inquit, meum Demeam, qui mihi tantùm conciliavit hospitem. Et cum dicto jubet uxorem decedere, utque in ejus locum assideam jubet ; meque etiam nunc verecundia contantem arrepta lacinia detrahens, adside, inquit, istic : nam præ metu latronum nulla sessibula, ac ne sufficientem supellectilem parare nobis licet. Feci.
Et sic : Ego te, inquit, etiam de ista corporis speciosâ habitudine, de que hâc virginali prorsus verecundiâ, generosâ stirpe proditum, et rectè conjicerem, sed et meus Demeas eadem litteris pronuntiat. Ergò brevitatem gurgustioli nostri ne spernas peto. Erit tibi adjacens et ecce illud cubiculum, honestum receptaculum ; fac libenter deversêris in nostro ; et tibi specimen gloriosum arrogaris, si contentus lare parvulo, Thesæi illius cognominis patris tui virtutes æmulaveris, qui non est aspernatus Hecales anus hospitium tenuè. Et vocata ancillula : Fotis, inquit, sarcinulas hospitis susceptas cum fide conde in illud cubiculum : ac simul è promptuario oleum unctui, lintea tersui, et cætera huc eidem usui profer ocyter : et hospitem meum produc ad proximas balneas : satis arduo itinere atque prolixo fatigatus est.
His ego auditis, mores atque parsimoniam ratiocinans Milonis, volensque me artius ei conciliare : Nihil, inquam, rerum istarum, quæ itineris ubique nos comitantur, indigemus, sed et balneas facilè percontabimur. Planè quod est mihi summè præcipuum equo, qui me strenuè pervexit, fœnum atque ordeum, acceptis istis nummulis, tu Fotis emito.
His actis et rebus meis in illo cubiculo conditis, pergens ipse ad balneas, ut prius aliquid nobis cibatui prospicerem, forum cupedinis peto ; inque eo piscatum opiparem expositum video. Et percontato pretio, quòd centum nummis indicaret aspernatus, viginti denariis præstinavi. Inde me commodùm egredientem continuatur Pytheas, condiscipulus apud Athenas Atticas meus ; qui me post aliquam multum temporis amanter agnitum invadit, amplexusque ac comiter deosculatus : Mi Luci, ait, sat pol diù est quòd intervisimus te. At hercules exinde cùm à magistro digressi sumus. Quæ autem tibi causa peregrinationis hujus ? Crastino die scies, inquam. Sed quid istud ? voti gaudeo, nam et lixas, et virgas, et habitum prorsus magistratui congruentem in te video. Annonam curamus, ait, et ædilem gerimus ; et, si quid obsonare cupis, utique commodabimus. Abnuebam, quippè qui jam cœnæ affatim piscatus prospexeramus.
Sed enim Pytheas, visa sportula, succussisque in aspectum planiorem piscibus, at has quisquilias quanti parasti ? Vix, inquam, piscatori extorsimus accipere viginti denarios. Quo audito, statim arreptâ dextrâ postliminiò me in forum cupedinis reducens : Et à quo, inquit, istorum nugamenta hæc comparasti ? Demonstro seniculum in angulo sedentem, quem confestim pro ædilitatis imperio voce asperrima increpans, inquit. Tàm jam nec amicis quidem nostris ! vel omninò ullis hospitibus parcitis, qui tàm magnis pretiis pisces frivolos indicatis, et florem Thessaliæ regionis ad instar solitudinis et scopuli, edulium caritate deducitis ? Sed non impunè, jam enim faxo scias, quemadmodum sub nostro magisterio mali debeant coerceri. Et profusa in medium sportula, jubet officialem suum insuper pisces inscendere, ac pedibus suis totos obterere. Quâ contentus morum severitudine, meus Pytheas, ac mihi ut abirem suadens : Sufficit mihi, ô Luci, inquit, seniculi tanta hæc contumelia. His actis, consternatus ac prorsus obstupidus, ad balneas me refero, prudentis condiscipuli valido consilio et nummis simul privatus et cœna ; lautusque ad hospitium Milonis, ac dehinc cubiculum, me reporto.
Et ecce Fotis ancilla, rogat te, inquit, hospes. At ego jam indè Milonis abstinentiæ cognitor, excusavi comiter : quòd viæ vexationem non cibo sed somno censerem diluendam. Isto accepto pergit ipse, et injecta dextra, clementer me trahere adoritur. Ac dum contor, dum modestè renitor, non prius, inquit, discedam quàm me sequaris. Et dictum jurejurando secutus, jam obstinationi suæ me ingratis obedientem perducit ad illum suum grabatulum ; et residenti, quàm salve agit, inquit, Demeas noster ? quid uxor ? quid liberi ? quid vernaculi ? narro singula. Percontatur accuratius causas etiam peregrinationis meæ : quas ubi probè protuli, jam et de patriâ nostrâ, et ejus primoribus, ac denique de ipso præside scrupulosissimè explorans : ubi me post itineris tàm sævi vexationem, sentit fabularum quoque serie fatigatum, in verba media somnolentum desinere, ac nequidquam defectum jam incerta verborum salebra balbutire, tandem patitur cubitum concedere. Evasi aliquando rancidi senis loquax et famelicum convivium, somno, non cibo gravatus : cænatus solis fabulis, et in cubiculum reversus, exoptatæ me quieti reddidi.
Nous espérons que ces quelques lignes vous auront été agréables, et que vous aurez été touché par la beauté de ce premier livre.
Ainsi !
Par la présente, nous vous reconnaissons, Vous, Liam de Saint Didier, Comte du Languedoc par la grâce des urnes et la reconnaissance de Sa Majesté la Reyne de France, Alvira de la Duranxie, vous promettons obsequium, auxilium et consilium pour la durée de votre mandat.
Que le Très Haut vous garde.
Le treize janvier mil quatre cent soixante six à Vendôme,
Andrea de Mortemart Amnell
Citation:
De Castelreng du Cougain Date d'envoi Le 16 Janvier 1466 à 19h22
Objet Re: Allégeance Expire le 04 Février 2018 De Nous, Castelreng du Cougain, Comte de Joucou, Vicomte de Lugny en Arconce, Baron d'Azay le Rideau, Seigneur de Cordes, Salives,Marseillan et la ferrière-Larçon
A Vous,Arcadhias de Vaudalm, dict "Languedoc", Héraut d'Armes royal.
Etant dans l'impossibilité de nous rendre en Languedoc pour faire allégeances, car nous sommes en passe de devenir à nouveau Duc de Touraine, veuillez trouver celles-ci joint à ce courrier.
Vous souhaitant bonne réception et également une belle et bonne année 1466
Bien cordialement,
S G Castelreng du Cougain.
De Nous, Castelreng du Cougain, Comte de Joucou
A Vous, Liam de St Didier, Comte de Languedoc,
Salutations et Paix
Nous trouvons à l'heure actuelle au Conseil Ducal de Touraine où nous résidons, il nous sera donc impossible d'être présent afin de faire, de vive voix, allégeances. Aussi prenons nous la plume pour faire notre devoir.
Par la présente, nous vous reconnaissons, Vous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc par la grâce des urnes et la reconnaissance Royale.
Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide et service armé (auxilium) et conseil (consilium), le temps que durera votre mandat.
Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Très Haut.
Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir,
Nous Comte de Joucou , datons, paraphons et scellons ce courrier.
Ce 13 de Janvier 1466 à Tours
Objet Re: Allégeance Expire le 04 Février 2018 De Nous, Castelreng du Cougain, Comte de Joucou, Vicomte de Lugny en Arconce, Baron d'Azay le Rideau, Seigneur de Cordes, Salives,Marseillan et la ferrière-Larçon
A Vous,Arcadhias de Vaudalm, dict "Languedoc", Héraut d'Armes royal.
Etant dans l'impossibilité de nous rendre en Languedoc pour faire allégeances, car nous sommes en passe de devenir à nouveau Duc de Touraine, veuillez trouver celles-ci joint à ce courrier.
Vous souhaitant bonne réception et également une belle et bonne année 1466
Bien cordialement,
S G Castelreng du Cougain.
De Nous, Castelreng du Cougain, Comte de Joucou
A Vous, Liam de St Didier, Comte de Languedoc,
Salutations et Paix
Nous trouvons à l'heure actuelle au Conseil Ducal de Touraine où nous résidons, il nous sera donc impossible d'être présent afin de faire, de vive voix, allégeances. Aussi prenons nous la plume pour faire notre devoir.
Par la présente, nous vous reconnaissons, Vous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc par la grâce des urnes et la reconnaissance Royale.
Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide et service armé (auxilium) et conseil (consilium), le temps que durera votre mandat.
Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Très Haut.
Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir,
Nous Comte de Joucou , datons, paraphons et scellons ce courrier.
Ce 13 de Janvier 1466 à Tours
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Louis_gauttier
- Béarn écouta le comte du Languedoc avant de répondre:
-"Vostre grandeur, vos exigences en terme de serment m'importe peu, tout comme vostre opinion à mon égard. Je ne serai pas intervenu si je n'avais point constaté une irrégularité.
Le serment que vous avez reçu est valide, point. Soit vous reformulez le votre pour inclure sa grandeur Meval dans vostre serment, comme je vous l'ai demandé deux fois déjà. Soit vous persistez et à la fin de la cérémonie je dépose une plainte au tribunal héraldique pour manquement à vos devoirs de suzerain."
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Liam_de_st_didier
Mais si vous l'aviez dit plus tôt que je devais juste rajouter le nom de Dona Meval, tout aurait été bien plus simple.
Par contre pourquoi n'avez vous rien dit au Comte de Rochefort qui m'a insulté à son arrivée et insulté en même temps une autre noble ?
Y aurait il deux poids deux mesures ?
Et de répondre, impassible, avant l'accolade vassalique, n'en pense pas moins de l'attitude des trois personnes.
Nous entendons votre serment et l'acceptons.
Nous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc vous promettons à vous, Malkav et Meval de Vampérià, Comte de Rochefort d'Oc, Comte de Laudun et Baron de Bagnols , protection, justice et subsistance qui est assuré par la conservation de vos terres de Rochefort d'Oc, Laudun et Bagnols.
Voici pour vous ce pot d'argile, contenant un mélange de simples, pour vous rappeler combien ces deux choses sont elles aussi importantes pour la grandeur du Languedoc.
Puis de regagner tranquillement son siége avant les suivants qui ne se pressent pas au portillon.
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Par contre pourquoi n'avez vous rien dit au Comte de Rochefort qui m'a insulté à son arrivée et insulté en même temps une autre noble ?
Y aurait il deux poids deux mesures ?
Et de répondre, impassible, avant l'accolade vassalique, n'en pense pas moins de l'attitude des trois personnes.
Nous entendons votre serment et l'acceptons.
Nous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc vous promettons à vous, Malkav et Meval de Vampérià, Comte de Rochefort d'Oc, Comte de Laudun et Baron de Bagnols , protection, justice et subsistance qui est assuré par la conservation de vos terres de Rochefort d'Oc, Laudun et Bagnols.
Voici pour vous ce pot d'argile, contenant un mélange de simples, pour vous rappeler combien ces deux choses sont elles aussi importantes pour la grandeur du Languedoc.
Puis de regagner tranquillement son siége avant les suivants qui ne se pressent pas au portillon.
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Liam_de_st_didier
Je n'ai pas refusé l'allégeance de la Comtesse Meval, dont le fief est celui de Laudun car j'ai dit ceci et comme cela est valable pour l'ensemble du couple et je me susi adressé à la personne qui m'avait parlé :
De plus vous n'avez pas répondu à mes questions, avez vous entendu personnelement le serment de Dona Meval et pourquoi ma parole vaut elle moins que la sienne ?
Je vous trouve Béarn complétement partial, ce qui n'est pas le rôle d'un héraut, surtout sans preuve du serment soit disant fait par Dona Meval, qui je le répéte et serrais prêt à le jurer sur le livre des vertus, n'a pas ouvert la bouche, donc n'a pas pu parler.
J'ai même cru quand Messire Mlakav a prononcé son serment qu'il se prenait pour deux personnes et j'avais préfére ne pas relever, car cela reléverait du sans nom.
Et vu le nombre de nobles présents pour la suite, nous avons tout le temps pour régler cette histoire.
Que Dona Meval prête serment directement de façon a être bien entendu par tout le monde et je l'accepterai comme il se doit, bien que ayant accepter déjà pour tout les fiefs !!!.
De plus vous n'avez pas répondu à mes questions, avez vous entendu personnelement le serment de Dona Meval et pourquoi ma parole vaut elle moins que la sienne ?
Je vous trouve Béarn complétement partial, ce qui n'est pas le rôle d'un héraut, surtout sans preuve du serment soit disant fait par Dona Meval, qui je le répéte et serrais prêt à le jurer sur le livre des vertus, n'a pas ouvert la bouche, donc n'a pas pu parler.
J'ai même cru quand Messire Mlakav a prononcé son serment qu'il se prenait pour deux personnes et j'avais préfére ne pas relever, car cela reléverait du sans nom.
Et vu le nombre de nobles présents pour la suite, nous avons tout le temps pour régler cette histoire.
Que Dona Meval prête serment directement de façon a être bien entendu par tout le monde et je l'accepterai comme il se doit, bien que ayant accepter déjà pour tout les fiefs !!!.
Liam_de_st_didier a écrit:
Et de répondre, impassible, avant d'aller aider Mlakav à se relever pour l'accolade vassalique, vu qu'il parlait pour deux, du style femme tais toi, laisse l'homme faire :
Nous entendons votre serment et l'acceptons.
Nous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc vous promettons à vous, Malkav de Vampérià, Comte de Rochefort d'Oc, Comte de Laudun et Baron de Bagnols , protection, justice et subsistance qui est assuré par la conservation de vos terres de Rochefort d'Oc, Laudun et Bagnols.
Voici pour vous ce pot d'argile, contenant un mélange de simples, pour vous rappeler combien ces deux choses sont elles aussi importantes pour la grandeur du Languedoc.
Nous entendons votre serment et l'acceptons.
Nous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc vous promettons à vous, Malkav de Vampérià, Comte de Rochefort d'Oc, Comte de Laudun et Baron de Bagnols , protection, justice et subsistance qui est assuré par la conservation de vos terres de Rochefort d'Oc, Laudun et Bagnols.
Voici pour vous ce pot d'argile, contenant un mélange de simples, pour vous rappeler combien ces deux choses sont elles aussi importantes pour la grandeur du Languedoc.
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Louis_gauttier
- Conclusion.
-"Très bien je prends note de vostre refus de serment."
Une inclinaison de buste et le maréchal d'arme laissa la place pour la suite de la cérémonie.
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Arcadhias
En attendant le Héraut de tapoter des doigts sur le pupitre, voyant les minutes s'écouler rapidement alors qu'il s'agissait seulement de la seconde allégeance du jour
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre toujours très calmement.
J'ai répondu à l'allégence de Messire Mlakav pour tout les fiefs donc je ne vois pas où je l'ai refusé, pour ceux de Dona Meval et je persiste à dire qu'elle n'a pas ouvert la bouche, donc elle n'a pas pu parler et que me trouvant face à elle j'étais le mieux placer pour le voir et de plus j'ai une excellente vue et ouïe, de plus quand les gens s'adressent à moi, j'ai pour habitude de les regarder.
Donc si vous mettez ma parole en doute alors que vous non plus ne l'avez pas entendu, surtout que là comme par hasard elle daigne parler et Messire Mlakav n'a pas une voix asses forte pour la couvrir, complétement.
Je ne vois pas pourquoi ma parole vaudrait moins que celle de Dona Meval.
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J'ai répondu à l'allégence de Messire Mlakav pour tout les fiefs donc je ne vois pas où je l'ai refusé, pour ceux de Dona Meval et je persiste à dire qu'elle n'a pas ouvert la bouche, donc elle n'a pas pu parler et que me trouvant face à elle j'étais le mieux placer pour le voir et de plus j'ai une excellente vue et ouïe, de plus quand les gens s'adressent à moi, j'ai pour habitude de les regarder.
Donc si vous mettez ma parole en doute alors que vous non plus ne l'avez pas entendu, surtout que là comme par hasard elle daigne parler et Messire Mlakav n'a pas une voix asses forte pour la couvrir, complétement.
Je ne vois pas pourquoi ma parole vaudrait moins que celle de Dona Meval.
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Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre.
Je ne risquais pas d'entendre sa voie, vu qu'elle n'a même pas ouvert la bouche, seul Messire Malkav l'a fait et étant face à eux j'étais bien placé pour le voir, surtout qu'au conseil, quand elle parle nous l'entendons très bien et donc je la connais bien sa voie, car elle est très reconnaissable.
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Je ne risquais pas d'entendre sa voie, vu qu'elle n'a même pas ouvert la bouche, seul Messire Malkav l'a fait et étant face à eux j'étais bien placé pour le voir, surtout qu'au conseil, quand elle parle nous l'entendons très bien et donc je la connais bien sa voie, car elle est très reconnaissable.
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Malkav
Rochefort d'Oc se tut et soupira... ça valait mieux. C'était de toute façon devenu son passe temps favori ses derniers temps.
On lui dirait surement lorsque la situation se débloquera enfin... En attendant les autres nobles attendaient, il ne se rendait pas compte si la salle se remplissait ou non d'ailleurs.
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On lui dirait surement lorsque la situation se débloquera enfin... En attendant les autres nobles attendaient, il ne se rendait pas compte si la salle se remplissait ou non d'ailleurs.
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Meval
Et la blonde ne peut rester indifférente devant les soupirs de son blond.
Elle s'adresse alors à Bearn.
Je confirme que j'ai bien dit le serment d'allégeance, à l'unisson avec mon époux. Mais, comme bien souvent, il a du prendre le dessus, il parait que sa voix porte plus que la mienne.
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Sénéchaussée> L'élection du Conseil> Folie Languedocienne (FL)
Elle s'adresse alors à Bearn.
Je confirme que j'ai bien dit le serment d'allégeance, à l'unisson avec mon époux. Mais, comme bien souvent, il a du prendre le dessus, il parait que sa voix porte plus que la mienne.
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Sénéchaussée> L'élection du Conseil> Folie Languedocienne (FL)
Louis_gauttier
- Béarn hocha la tête aux mots qui confirmaient l'infraction qu'il avait spotted du comte du Languedoc. Par contre, il n'était point le héraut le plus patient de l'hérauderie. Il n'avait pas l'intention d'y passer des heures. Composant avec la mauvaise foi du régnant languedocien, qui mentait au nez à la barbe de tous, il déclara:
-"Vostre grandeur, la qualité d’acoustique du conselhador de vostre coumtat ne me concerne en rien.
Ce qui me concerne se trouve ici, en salle du trône, pendant la présente cérémonie d'allégeance.
Je constate que vous n'avez pas daigner répondre à un serment formulé à l'unisson par un couple de deux nobles qui sont tous les deux vos vassaux.
Si les serments à l'unisson sont une première au Languedoc, ils se pratiquent et sont valides.
Je n'ai point l'intention de rester des heures sur ce problème. Soit vous reformulez vostre serment pour apporter une réponse à vostre autre vassale ou soit vous campez sur vos position et vous n'apportez point de réponse.
Si vous refusez, je considère que vous faites donc un refus de serment, non justifié. Que par la même occasion vous ne traitez point de manière équitable vos vassaux."
Inutile de négocier, de tergiverser et autres pendant des heures.
conselhador = salle de conseil
Coumtat= comté
Coumtat= comté
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Bentich
Ha il avait bien fait de venir très tôt le Baronciraptor, il en avait pour son argent, si on accepte l'expression
Et toujours vers son filleul et d'autres déjà présent
Le plus marrant dans l'histoire c'est que l'allégeance est acceptée pour les terres de Rochefort d'Oc, de Bagnols et Laudun. Ce qui correspond aux terres cumulées de Malkav et de Meval, donc je ne vois pas vraiment le soucis, a moins évidement qu'on découvre encore un sous sous sous article ecrit si petit que même ceux qui l'ont écrit ne savent plu le lire.
Tout est possible en fait en ce beau pays qui est le mien, oui bon pas vraiment un pays, mais puisque le monde tourne à l'envers, soyons fou
Enfin, vu que de toute façon y a plus de Haute Noblesse présente dans la salle, très troublant ça en fait, certain veulent surement encore jouer avec le règlement, pour changer, mais pas sur que cette fois ça fonctionne
Il avait parlé sans élevé la voix, mais qu'on l'ai entendu ou non jusque devant le trône ça ne lui faisait ni chaud ni froid
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Et toujours vers son filleul et d'autres déjà présent
Le plus marrant dans l'histoire c'est que l'allégeance est acceptée pour les terres de Rochefort d'Oc, de Bagnols et Laudun. Ce qui correspond aux terres cumulées de Malkav et de Meval, donc je ne vois pas vraiment le soucis, a moins évidement qu'on découvre encore un sous sous sous article ecrit si petit que même ceux qui l'ont écrit ne savent plu le lire.
Tout est possible en fait en ce beau pays qui est le mien, oui bon pas vraiment un pays, mais puisque le monde tourne à l'envers, soyons fou
Enfin, vu que de toute façon y a plus de Haute Noblesse présente dans la salle, très troublant ça en fait, certain veulent surement encore jouer avec le règlement, pour changer, mais pas sur que cette fois ça fonctionne
Il avait parlé sans élevé la voix, mais qu'on l'ai entendu ou non jusque devant le trône ça ne lui faisait ni chaud ni froid
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Louis_gauttier
- -"Je ferai l'effort d'être plus compréhensible la prochaine fois. Je m'adressais à vous, à vostre épousée et Régnant du Languedoc. Je vous remercè pour vostre réponse vostre grandeur."
Il se tourna vers le Comte du Languedoc et lui demanda.
-"Vostre grandeur, dois-je comprendre que vous refusez le serment de la Coumtesse de Laudun mais que vous acceptez celui du Coumte de de Rochefort d'Oc et Baron de Bagnols?
Pour quelle(s) raison(s)?"
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Liam_de_st_didier
Et Liam de Répondre très calmement.
Désolé Béarn, mais la Comtesse de Laudun, n'a pas prononcé une seule parole, donc oui j'ai accepté le serment fait pour deux par le Comte de Rochefort, donc je ne vois pas où se trouve le probléme.
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Désolé Béarn, mais la Comtesse de Laudun, n'a pas prononcé une seule parole, donc oui j'ai accepté le serment fait pour deux par le Comte de Rochefort, donc je ne vois pas où se trouve le probléme.
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Louis_gauttier
- La réponse du comte du Languedoc laissa quelques peut perplexe le maréchal d'arme.
-Je vois, si je comprends bien, le fait que ce serment était à l’unisson ne vous aurait pas permis d'entendre la voix de vostre vassale, la coumtesse de Laudun. Ce qui serait donc la raison pour laquelle vous avez répondu à un de vos vassaux sur deux?"
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Malkav
Et le comte répondit surprit par les propos de Béarn.
Navré, mais je suis en pleine forme et de bonne humeur aussi je n'ai à faire subir à personne ma mauvaise humeur. J'ai bien dormi, merci de vous en soucier. En revanche, vu votre ton, un peu de repos ne vous ferai pas de mal. Malheureusement pour vous, la journée risque d'être encore longue. Si vous avez besoin d'un remontant n'hésitez pas à le dire, le Languedoc fut un comté accueillant...
Navré donc également si votre question n'était pas ciblée et que je n'avais pas compris à qui vous vous adressiez.
Maintenant que c'est plus clair je vais vous répondre. Il suffit de demander clairement... Sauf erreur de ma part nous avons récité pour notre part notre serment à l'unisson. A part si mes oreilles font défauts.
Il regarde sa blonde d'un ton interrogateur, il était certain d'avoir entendu sa douce voix même si la voix grave du Vampérià avait pu masquer le tout.
Après je reste surpris que le comte fasse le choix d'ignorer mon épouse.
Et le blond resta interrogateur. Il ne comprenait rien à ce qu'il se passait tant tout cela était incroyable.
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Navré, mais je suis en pleine forme et de bonne humeur aussi je n'ai à faire subir à personne ma mauvaise humeur. J'ai bien dormi, merci de vous en soucier. En revanche, vu votre ton, un peu de repos ne vous ferai pas de mal. Malheureusement pour vous, la journée risque d'être encore longue. Si vous avez besoin d'un remontant n'hésitez pas à le dire, le Languedoc fut un comté accueillant...
Navré donc également si votre question n'était pas ciblée et que je n'avais pas compris à qui vous vous adressiez.
Maintenant que c'est plus clair je vais vous répondre. Il suffit de demander clairement... Sauf erreur de ma part nous avons récité pour notre part notre serment à l'unisson. A part si mes oreilles font défauts.
Il regarde sa blonde d'un ton interrogateur, il était certain d'avoir entendu sa douce voix même si la voix grave du Vampérià avait pu masquer le tout.
Après je reste surpris que le comte fasse le choix d'ignorer mon épouse.
Et le blond resta interrogateur. Il ne comprenait rien à ce qu'il se passait tant tout cela était incroyable.
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Louis_gauttier
- -"Dites je suis pas obligé de subir vostre mauvaise humeur. La seule chose que je vous demande c'est de ne pas partir. Prenez la pose qu'il vous sied, peu m'importe tant que ça demeure descend.
J'aimerai une réponse à la question posée.
Y-t-il eut oui ou non deux serments côtés des vassaux?
Ma question est trop compliquée peut-être? "
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Arcadhias
Décidément, nouvel incident, et ce n'était là que les seconds nobles à passer. Prions que pour que la suite se déroule sans accroc.
Le Héraut allait intervenir, mais le Maréchal aura été plus rapide ! Priorité au grade, le Héraut d'en profiter de se faire une petite pause -déjà, oui-, en s'appuyant sur son pupitre, croisant les doigts en regardant la scène, le genre dont il était finalement habitué avec le temps, donc pas surpris
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Le Héraut allait intervenir, mais le Maréchal aura été plus rapide ! Priorité au grade, le Héraut d'en profiter de se faire une petite pause -déjà, oui-, en s'appuyant sur son pupitre, croisant les doigts en regardant la scène, le genre dont il était finalement habitué avec le temps, donc pas surpris
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Ahenor
Une cérémonie de plus une cérémonie de moins... En tant que quoi était-elle présente ce jour là, elle ne le savait plus tellement mais elle était là...
Observant depuis quelques temps les échanges, elle resta interdite. Ce qu'elle avait semblé entendre ne paraissait pas réel. Elle regarda son fianchérault d'un air interrogateur, mais son devoir de réserve, comme son caractère lui commandant de ne rien dire, l'obligeaient à se taire. Ce qu'elle fit donc, non moins choquée par ce mépris que par un autre. Elle se tut.
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Observant depuis quelques temps les échanges, elle resta interdite. Ce qu'elle avait semblé entendre ne paraissait pas réel. Elle regarda son fianchérault d'un air interrogateur, mais son devoir de réserve, comme son caractère lui commandant de ne rien dire, l'obligeaient à se taire. Ce qu'elle fit donc, non moins choquée par ce mépris que par un autre. Elle se tut.
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Malkav
Debout, à genoux, debout, à genoux... le prenait-on pour un chien? Le Vampérià commençait sérieusement à perdre patience. Il fallait dire que de base, cela ne faisait pas parti de ses qualités mais là on le mettait rudement à l'épreuve.
Sauf votre respect, serait-il possible une bonne fois pour toute d'avancer? Nous sommes à la deuxième allégeance sur toute la noblesse du comtat qui est fructueuse. La journée s'annonce très longue pour tous malgré le plaisir d'être ici présent. C'est quand même votre 3ième règne Votre Grandeur vous deviez être au fait des règles héraldiques.
Exaspéré... c'était le mot. Certes comme à son habitude Malkav avait été franc et peut-être un peu trop direct mais était ce une raison pour arriver à cette mascarade?
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Sauf votre respect, serait-il possible une bonne fois pour toute d'avancer? Nous sommes à la deuxième allégeance sur toute la noblesse du comtat qui est fructueuse. La journée s'annonce très longue pour tous malgré le plaisir d'être ici présent. C'est quand même votre 3ième règne Votre Grandeur vous deviez être au fait des règles héraldiques.
Exaspéré... c'était le mot. Certes comme à son habitude Malkav avait été franc et peut-être un peu trop direct mais était ce une raison pour arriver à cette mascarade?
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Bentich
Ha ba ce n’était pas fini, mais bon la le Baronciraptor ne comprenait plus rien
Il se tourna vers Gandalf
J'ai raté un truc ou quoi ??? L’échange vassalique à eut lieu et il y a eut la distribution du cadeau.
Il était perdu là le Désidérien
Et ça change quoi d'aller plus vite, y a plus de Haute Noblesse dans la salle, bel exemple pour tout le monde ça
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Il se tourna vers Gandalf
J'ai raté un truc ou quoi ??? L’échange vassalique à eut lieu et il y a eut la distribution du cadeau.
Il était perdu là le Désidérien
Et ça change quoi d'aller plus vite, y a plus de Haute Noblesse dans la salle, bel exemple pour tout le monde ça
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Louis_gauttier
- Ha ben vala bébé était obligé d'intervenir.
-"Excusez moi...
Je n'ai pas bien comprit ce qui vient de se dérouler.
J'aurai besoin de précision. Vos grandeur Malkav et Meval gardez encore la pause quelques instant.
Il s'avança."
-"corrigez moi si je me trompe, mais sa Grandeur Liam vient de recevoir le serment de sa Grandeur Malkav possédant en propre le comté de Rochefort d'Oc et la baronnie de Bagnols.
Ainsi que le serment de sa Grandeur Meval de par le Comté de Laudun?"
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Malkav
L'échange fut assuré avec une blonde complètement évincée. Mais pourquoi? A quoi bon le jeune comte jouait-il encore? C'était la confusion complète dans le cerveau de Malkav. Il ne comprenait simplement pas comment un comte pouvait se permettre d'ignorer une vassale surtout lorsqu'il avait précédemment accordé autant d'importance à l'enfant d'une vassale. Il semblait à ce moment dans la tête du Vampérià, plus opportun, que Liam garde des enfants plutôt que de tenter de gérer un comtat comme le Languedoc.
Nouvel impair commis lorsque Liam aida Malkav à se relever. Comme s'il en avait besoin? N'avait-il pas prouver qu'il savait encore manier l'épée et donc qu'il avait encore une certaine forme?
Le blond aida à relever son épouse, par galanterie, en lui adressant juste un regard voulant dire : on aura tout vu!
Votre Grandeur, je suis plus âgé de jours en jours mais je puis encore me relever tout seul. Mercé tout de même pour votre présent. J'espère que de nombreux cueilleurs et mineurs pourront participer à la grandeur du Languedoc via pourquoi pas des animations sur le sujet!
Pardonnez moi d'ajouter que je ne comprends pas votre réaction envers mon épouse qui frôle l'irrespect. D'autant plus, avec ce qui s'est précédemment passé. Mon conseil que vous doit irait à vous dire de bien respecter votre promesse de justice et de protection envers tous vos vassaux.
Ceci étant dit, Malkav trouvant que cette allégeance avait duré anormalement une éternité, tendit son bras à son épouse pour qu'ils reprennent place dans l'audience.
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Nouvel impair commis lorsque Liam aida Malkav à se relever. Comme s'il en avait besoin? N'avait-il pas prouver qu'il savait encore manier l'épée et donc qu'il avait encore une certaine forme?
Le blond aida à relever son épouse, par galanterie, en lui adressant juste un regard voulant dire : on aura tout vu!
Votre Grandeur, je suis plus âgé de jours en jours mais je puis encore me relever tout seul. Mercé tout de même pour votre présent. J'espère que de nombreux cueilleurs et mineurs pourront participer à la grandeur du Languedoc via pourquoi pas des animations sur le sujet!
Pardonnez moi d'ajouter que je ne comprends pas votre réaction envers mon épouse qui frôle l'irrespect. D'autant plus, avec ce qui s'est précédemment passé. Mon conseil que vous doit irait à vous dire de bien respecter votre promesse de justice et de protection envers tous vos vassaux.
Ceci étant dit, Malkav trouvant que cette allégeance avait duré anormalement une éternité, tendit son bras à son épouse pour qu'ils reprennent place dans l'audience.
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Liam_de_st_didier
Et de répondre, impassible, avant d'aller aider Mlakav à se relever pour l'accolade vassalique, vu qu'il parlait pour deux, du style femme tais toi, laisse l'homme faire :
Nous entendons votre serment et l'acceptons.
Nous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc vous promettons à vous, Malkav de Vampérià, Comte de Rochefort d'Oc, Comte de Laudun et Baron de Bagnols , protection, justice et subsistance qui est assuré par la conservation de vos terres de Rochefort d'Oc, Laudun et Bagnols.
Voici pour vous ce pot d'argile, contenant un mélange de simples, pour vous rappeler combien ces deux choses sont elles aussi importantes pour la grandeur du Languedoc.
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Nous entendons votre serment et l'acceptons.
Nous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc vous promettons à vous, Malkav de Vampérià, Comte de Rochefort d'Oc, Comte de Laudun et Baron de Bagnols , protection, justice et subsistance qui est assuré par la conservation de vos terres de Rochefort d'Oc, Laudun et Bagnols.
Voici pour vous ce pot d'argile, contenant un mélange de simples, pour vous rappeler combien ces deux choses sont elles aussi importantes pour la grandeur du Languedoc.
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Malkav
Le blond répondit simplement à Meval.
Il fait parti de la bonne jeunesse qui reprendra le flambeau!
Depuis un moment déjà Malkav était conscient que sa propre page était tournée. Malgré ce qu'il avait pu mettre en place pour le comté et qui était toujours utilisé actuellement, il voyait bien qu'il n'était plus le bienvenue pour apporter sa pierre à l'édifice. Maintenant c'était au tour de la jeunesse de faire ses preuves, de tout chambouler pour arriver à quelque chose d'encore meilleur.
Sa femmes à ses côtés, le Vampérià était plus fort face au comte qui, mal conseillé, ferait tout pour les piétiner. Pour dire vrai, c'était comme si le plafond de la salle du plaid aurait pu s'effondrer et que le couple en serait ressorti indemne. Liam posa la question fatidique et en coeur, les blonds répondirent.
Òc, lo vòli.
L'heure était maintenant de prêter serment, ce à quoi le Vampérià s’exécuta à l'unisson.
Nous, Malkav et Meval de Vampérià, pour l'ensemble des fiefs qui nous sont confiés le comté de Rochefort d'Oc, le comté de Laudun et la baronnie de Bagnols, nous vous reconnaissons vous Liam de St Didier, comte légitime du Languedoc par la volonté du peuple Languedocien, de celles de vos conseillers et de Sa Gracieuse Majesté Reyne de France. Nous vous promettons pour l’entièreté de votre règne Obsequium, Auxilium et CONSILIUM.
Malkav insista tout particulièrement sur le conseil. Jusqu'à présent très peu de ce qu'il avait amené avait été écouté. Au conseil, ses idées, avaient plus tendance à être balayées même avant qu'il ait terminé sa phrase. De toute sa carrière politique, il n'avait surement jamais vu un comte aussi immature et aussi incompétent dans la prise de décision et la gestion de ses conseillers. Mais il fallait faire avec... Heureusement Bentich était là pour le surveiller et le cadrer un peu... Le serment que le Vampérià prodiguait ce jour était envers la couronne du Languedoc, et elle seule, il ne fallait pas se leurrer. Il ajouta.
Puisse le Très-Haut protéger et faire fructifier le Languedoc et plus particulièrement les terres qui nous sont jusqu'à présent confiées. Qu'il puisse également faire entendre nos conseils comme tout autre Languedocien.
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Il fait parti de la bonne jeunesse qui reprendra le flambeau!
Depuis un moment déjà Malkav était conscient que sa propre page était tournée. Malgré ce qu'il avait pu mettre en place pour le comté et qui était toujours utilisé actuellement, il voyait bien qu'il n'était plus le bienvenue pour apporter sa pierre à l'édifice. Maintenant c'était au tour de la jeunesse de faire ses preuves, de tout chambouler pour arriver à quelque chose d'encore meilleur.
Sa femmes à ses côtés, le Vampérià était plus fort face au comte qui, mal conseillé, ferait tout pour les piétiner. Pour dire vrai, c'était comme si le plafond de la salle du plaid aurait pu s'effondrer et que le couple en serait ressorti indemne. Liam posa la question fatidique et en coeur, les blonds répondirent.
Òc, lo vòli.
L'heure était maintenant de prêter serment, ce à quoi le Vampérià s’exécuta à l'unisson.
Nous, Malkav et Meval de Vampérià, pour l'ensemble des fiefs qui nous sont confiés le comté de Rochefort d'Oc, le comté de Laudun et la baronnie de Bagnols, nous vous reconnaissons vous Liam de St Didier, comte légitime du Languedoc par la volonté du peuple Languedocien, de celles de vos conseillers et de Sa Gracieuse Majesté Reyne de France. Nous vous promettons pour l’entièreté de votre règne Obsequium, Auxilium et CONSILIUM.
Malkav insista tout particulièrement sur le conseil. Jusqu'à présent très peu de ce qu'il avait amené avait été écouté. Au conseil, ses idées, avaient plus tendance à être balayées même avant qu'il ait terminé sa phrase. De toute sa carrière politique, il n'avait surement jamais vu un comte aussi immature et aussi incompétent dans la prise de décision et la gestion de ses conseillers. Mais il fallait faire avec... Heureusement Bentich était là pour le surveiller et le cadrer un peu... Le serment que le Vampérià prodiguait ce jour était envers la couronne du Languedoc, et elle seule, il ne fallait pas se leurrer. Il ajouta.
Puisse le Très-Haut protéger et faire fructifier le Languedoc et plus particulièrement les terres qui nous sont jusqu'à présent confiées. Qu'il puisse également faire entendre nos conseils comme tout autre Languedocien.
Edit :
Message à destination du joueur de Malkay :
Merci d'éditer votre message et plus précisément l'avant dernier paragraphe (la partie narrative) pour entrer dans les clous des nouvelles règles. Je vous rappelle que :
C'est clair. Votre message entre complètement dans le cadre de ce qu'on ne veut plus voir et incite à ce jeu malsain de ping-pong par le biais de pensées assassines entre les personnages.
A vous d'éditer votre message et de faire le nécessaire sans quoi je le basculerai vers la poubelle samedi prochain.
Pour davantage de lisibilité et permettre aux autres joueurs d’enchaîner dès maintenant, j'ai réduit en taille 0 le passage qui pose problème. Vous le verrez en éditant.
Bon jeu.
{Rango}
Message à destination du joueur de Malkay :
Merci d'éditer votre message et plus précisément l'avant dernier paragraphe (la partie narrative) pour entrer dans les clous des nouvelles règles. Je vous rappelle que :
Citation:
Les posts usant de pensées qui influent suffisamment et négativement sur le jeu d'autrui et qui nuisent ainsi aux interactions souhaitées entre joueurs et à l'ambiance seront systématiquement divisés.
Cette manière d'appréhender le jeu nuit à la bonne ambiance et ne sera plus tolérée. Tout joueur ne respectant pas cette règle essentielle sera susceptible de recevoir un avertissement.
Cette manière d'appréhender le jeu nuit à la bonne ambiance et ne sera plus tolérée. Tout joueur ne respectant pas cette règle essentielle sera susceptible de recevoir un avertissement.
C'est clair. Votre message entre complètement dans le cadre de ce qu'on ne veut plus voir et incite à ce jeu malsain de ping-pong par le biais de pensées assassines entre les personnages.
A vous d'éditer votre message et de faire le nécessaire sans quoi je le basculerai vers la poubelle samedi prochain.
Pour davantage de lisibilité et permettre aux autres joueurs d’enchaîner dès maintenant, j'ai réduit en taille 0 le passage qui pose problème. Vous le verrez en éditant.
Bon jeu.
{Rango}
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Hispahan
Hispahan n'avait rien pu faire lorsqu'Orion s'était levé pour aller vers le trône. De sa place elle avait vu ce qui se passait, Malkav obligé de se relever pour laisser le comte s'adresser à la fille de la Comtesse, et Orion qui, le voyant relégué au second plan, profitait de cet instant pour aller le saluer et lui parler. Son fils qui ne se serait jamais permis d'interrompre la cérémonie regagna sa place dès que le comte autorisa le Héraut à rappeler Malkav et Meval. La Biterroise écouta ce qu'Orion disait à Ondine et faillit éclater de rire. Ah les enfants... Puis elle observa le comte, il avait toujours cette expression impassible qui ne trompait personne, cet air imperturbable qui ne laissait rien paraître de la tempête qui devait se déchaîner dans sa tête et que tout le monde devinait. Elle n'aurait pas aimé voir son vrai visage lorsqu'il tombait le masque dès qu'il n'était plus en public.
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Liam_de_st_didier
Et voilà que c'est un couple, qui de plus adore le Comte, ce dernier le sait bien, car qui aime bien chatie bien, comme le dit son père, qui vient se mettre à genou devant lui et Liam donc de poser la question rituelle en double, sans tenir compte de la nouvelle interventiuon incongrue de Malkav et sans rien laisser paraitre.
Il pense aussi que la différence d'éducation des enfants est bien visible en voyant un gamin se permettre d'intervenir dans une discussion entre adultes et en plus au milieu d'une cérémonie, alors qu'il n'a même pas salué, les personnes présentes.
Meval de Vampérià, voulez vous tout à fait être notre femme, Malkav de Vampérià voulez vous tout à fait être notre homme ?
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Il pense aussi que la différence d'éducation des enfants est bien visible en voyant un gamin se permettre d'intervenir dans une discussion entre adultes et en plus au milieu d'une cérémonie, alors qu'il n'a même pas salué, les personnes présentes.
Meval de Vampérià, voulez vous tout à fait être notre femme, Malkav de Vampérià voulez vous tout à fait être notre homme ?
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--Orion...
Orion fit un grand sourire au capitaine pour le remercier de ses réponses et aussi à son épouse, mais il n'eut pas le temps de poser d'autres questions ni de dire que quand il serait grand lui aussi serait capitaine, le héraut appelait de nouveau le couple. Orion n'avait pas tout compris mais il alla vite dire à Ondine qu'elle avait raison pour les fantômes. Il espérait que sa maman ne serait jamais transformée en fantôme mais ne savait pas ce qu'il fallait faire pour que ça n'arrive pas...
Meval
La blonde, devant le regard de son époux, n'avait pu lui refuser de l'accompagner aux allégeances.
Ce regard qu'elle savait, depuis des années, interpréter sans qu'un mot n'ait besoin d'être prononcé. En cet instant, il lui disait, avec simplicité et sincérité "Viens, j'ai besoin de toi autant que tu as besoin de moi. Un blond, une blonde, une union qui traversera toutes les tempêtes, qui rendra le couple Vampérià de plus en plus fort, se nourrissant, pour grandir, des attaques plus absurdes les unes que les autres. viens..."
Elle n'avait donc pas résisté, et glissé sa main dans la sienne pour l'accompagner.
Cette cérémonie pouvait ressembler à une mascarade, tant ce qu'il s'y passait sortait de l'ordinaire.
Depuis quand un comte offrait il des friandises à un enfant de noble, sans en offrir aux autres enfants présents ? Que signifiait donc de devoir traiter les nobles de la même façon dans ce comté ? N'était ce pas une faute que de ne pas "récompenser" les autres enfants présents ?
Toutes ces questions traversaient l'esprit de la blonde, qui, bien ce que l'on voulait faire croire, en avait un, et encore bien en activité ! Un autre enfant, que Mev reconnu, s'adressa à Malk. ses paroles firent sourire Mev, tellement elles étaient emplies de vérité, malgré l'insouciance de l'enfant.
Elle s'adresse alors à son époux.
Ce petit ira loin, il est la sagesse personnifiée.
Puis d'un sourire tendre, elle pose une bise sur la joue de l'enfant, dans un élan de spontanéité.
Son blond lui tend alors la main, et l'emmène au devant du régnant. A l'unisson, à l'image du couple, ils posent tous deux genoux à terre et attendent la suite.
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Sénéchaussée> L'élection du Conseil> Folie Languedocienne (FL)
Ce regard qu'elle savait, depuis des années, interpréter sans qu'un mot n'ait besoin d'être prononcé. En cet instant, il lui disait, avec simplicité et sincérité "Viens, j'ai besoin de toi autant que tu as besoin de moi. Un blond, une blonde, une union qui traversera toutes les tempêtes, qui rendra le couple Vampérià de plus en plus fort, se nourrissant, pour grandir, des attaques plus absurdes les unes que les autres. viens..."
Elle n'avait donc pas résisté, et glissé sa main dans la sienne pour l'accompagner.
Cette cérémonie pouvait ressembler à une mascarade, tant ce qu'il s'y passait sortait de l'ordinaire.
Depuis quand un comte offrait il des friandises à un enfant de noble, sans en offrir aux autres enfants présents ? Que signifiait donc de devoir traiter les nobles de la même façon dans ce comté ? N'était ce pas une faute que de ne pas "récompenser" les autres enfants présents ?
Toutes ces questions traversaient l'esprit de la blonde, qui, bien ce que l'on voulait faire croire, en avait un, et encore bien en activité ! Un autre enfant, que Mev reconnu, s'adressa à Malk. ses paroles firent sourire Mev, tellement elles étaient emplies de vérité, malgré l'insouciance de l'enfant.
Elle s'adresse alors à son époux.
Ce petit ira loin, il est la sagesse personnifiée.
Puis d'un sourire tendre, elle pose une bise sur la joue de l'enfant, dans un élan de spontanéité.
Son blond lui tend alors la main, et l'emmène au devant du régnant. A l'unisson, à l'image du couple, ils posent tous deux genoux à terre et attendent la suite.
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Sénéchaussée> L'élection du Conseil> Folie Languedocienne (FL)
Malkav
Qu'il était vraiment vilain ce Malkav. A en croire que le Languedoc n'avait pas fait pire ordure!
Honnêtement faire pleurer une enfant simplement pour lui avoir dit ce qu'elle était : une bâtarde. Il n'y avait aucune insulte là dedans, c'était un constat comme aurait bien pu le dire son géniteur Debba d'ailleurs. Pourtant le blond aurait pu retenir le prénom de la petite c'était étrangement exactement le même que la dernière caraque comtale mise à flot. C'était fou ces coïncidences!
C'est vrai qu'il n'était pas très fin d'avoir dit la vérité au sujet de sa propre mère devant une enfant. Il s'en voulait un peu pour être honnête, pris dans le feu de l'action il n'y avait même pas pensé d'ailleurs... Pauvre enfant, beaucoup trop jeune pour se rendre compte de ces choses. Des gens beaucoup plus âgés ne s'en était pas encore rendu compte... Mais.... c'est dire que le blond avait du mal à garder son sang froid lorsqu'il voyait Razès, encore plus lorsqu'il l'entendait parler. Il était arrivé à un point où la coupe était beaucoup trop pleine et là où d'ordinaire il avait peu de retenu vis à vis de la franchise, il fallait le dire, là il n'avait carrément plus aucun filtre.
Bref, il écouta la petite chouiner et Liam bien sur approuver. De toute façon tout ce qui était contre les Vampérià était bon à prendre même sous peine d'utiliser une enfant de 4 ans qui par son langage et surement ses pensées paraissait bien éclairée.
Tout cela passait au dessus de Rochefort d'Oc, depuis des années d'ailleurs maintenant. Heureusement qu'il n'y portait pas autant d'importance que cela dans le fond malgré ce dégoût qui grandissait d'années en années. Toutefois il sourit lorsque qu'un autre petit trouva finalement que la méchanceté ne venait pas de Malkav. Comme quoi, suivant la famille dans laquelle on arrive, les points de vue sont déjà partagés.
Bonjour petit, tu sais, je ne sais quoi te répondre. Les histoires d'adulte sont bien complexes, il faut faire avec qu'on soit enfant ou adulte d'ailleurs. Un jour tu grandiras et tu te feras toi aussi ta propre opinion de tout cela.
Le Vampérià était plein de bienveillance. Cela ne collait pas vraiment avec le rôle de méchant et jaloux qu'on voulait lui faire jouer. Il faudrait revoir tout cela!
Il rit presque à la dernière question du petit.
Je pense que ta soeur n'est pas loin de la vérité. Les gens bien finissent de part l'ambiance générale par se décourager et finalement devenir des fantômes en quelque sorte. Mais crois moi, il y aura toujours une lueur d'espoir et des irréductibles qui se battront tels nos vaillants soldats jusqu'à la fin.
C'est à moment que Malkav et Meval furent rappeler par Languedoc. Le blond espérait que le dicton du jamais deux sans trois n'était pas aussi vrai que cela. Il dit simplement.
C'est bon cette fois-ci? Ou c'est peut-être l'heure d'un remontant maintenant? Je ne voudrais pas perturber d'avantage cette humble cérémonie, ni vous froisser votre Grandeur.
Il aurait pu dire mascarade, mais après tout il fallait avancer. Avant de s'avancer une seconde fois devant le comte, Malkav adressa un petit clin d’œil à son épouse. Déjà peu à l'aise étant donné toutes les absurdités que l'on racontait à son sujet, le fait d'avoir un époux aussi rentre dedans ne devait surement pas arranger les choses. Plein d'amour pour sa blonde et de compassion, il lui tendit la main pour l'aider à se relever. Allant la tête haute vers le comte, il montra également ainsi que le couple Vampérià était plus uni que jamais et que le serpent n'aurait pas gain de cause.
Une fois devant le comte, Malkav reprit ses habitudes, un genou à terre épée contre le sol, il attendit que se premier se décide à prendre son rôle au sérieux.
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Honnêtement faire pleurer une enfant simplement pour lui avoir dit ce qu'elle était : une bâtarde. Il n'y avait aucune insulte là dedans, c'était un constat comme aurait bien pu le dire son géniteur Debba d'ailleurs. Pourtant le blond aurait pu retenir le prénom de la petite c'était étrangement exactement le même que la dernière caraque comtale mise à flot. C'était fou ces coïncidences!
C'est vrai qu'il n'était pas très fin d'avoir dit la vérité au sujet de sa propre mère devant une enfant. Il s'en voulait un peu pour être honnête, pris dans le feu de l'action il n'y avait même pas pensé d'ailleurs... Pauvre enfant, beaucoup trop jeune pour se rendre compte de ces choses. Des gens beaucoup plus âgés ne s'en était pas encore rendu compte... Mais.... c'est dire que le blond avait du mal à garder son sang froid lorsqu'il voyait Razès, encore plus lorsqu'il l'entendait parler. Il était arrivé à un point où la coupe était beaucoup trop pleine et là où d'ordinaire il avait peu de retenu vis à vis de la franchise, il fallait le dire, là il n'avait carrément plus aucun filtre.
Bref, il écouta la petite chouiner et Liam bien sur approuver. De toute façon tout ce qui était contre les Vampérià était bon à prendre même sous peine d'utiliser une enfant de 4 ans qui par son langage et surement ses pensées paraissait bien éclairée.
Tout cela passait au dessus de Rochefort d'Oc, depuis des années d'ailleurs maintenant. Heureusement qu'il n'y portait pas autant d'importance que cela dans le fond malgré ce dégoût qui grandissait d'années en années. Toutefois il sourit lorsque qu'un autre petit trouva finalement que la méchanceté ne venait pas de Malkav. Comme quoi, suivant la famille dans laquelle on arrive, les points de vue sont déjà partagés.
Bonjour petit, tu sais, je ne sais quoi te répondre. Les histoires d'adulte sont bien complexes, il faut faire avec qu'on soit enfant ou adulte d'ailleurs. Un jour tu grandiras et tu te feras toi aussi ta propre opinion de tout cela.
Le Vampérià était plein de bienveillance. Cela ne collait pas vraiment avec le rôle de méchant et jaloux qu'on voulait lui faire jouer. Il faudrait revoir tout cela!
Il rit presque à la dernière question du petit.
Je pense que ta soeur n'est pas loin de la vérité. Les gens bien finissent de part l'ambiance générale par se décourager et finalement devenir des fantômes en quelque sorte. Mais crois moi, il y aura toujours une lueur d'espoir et des irréductibles qui se battront tels nos vaillants soldats jusqu'à la fin.
C'est à moment que Malkav et Meval furent rappeler par Languedoc. Le blond espérait que le dicton du jamais deux sans trois n'était pas aussi vrai que cela. Il dit simplement.
C'est bon cette fois-ci? Ou c'est peut-être l'heure d'un remontant maintenant? Je ne voudrais pas perturber d'avantage cette humble cérémonie, ni vous froisser votre Grandeur.
Il aurait pu dire mascarade, mais après tout il fallait avancer. Avant de s'avancer une seconde fois devant le comte, Malkav adressa un petit clin d’œil à son épouse. Déjà peu à l'aise étant donné toutes les absurdités que l'on racontait à son sujet, le fait d'avoir un époux aussi rentre dedans ne devait surement pas arranger les choses. Plein d'amour pour sa blonde et de compassion, il lui tendit la main pour l'aider à se relever. Allant la tête haute vers le comte, il montra également ainsi que le couple Vampérià était plus uni que jamais et que le serpent n'aurait pas gain de cause.
Une fois devant le comte, Malkav reprit ses habitudes, un genou à terre épée contre le sol, il attendit que se premier se décide à prendre son rôle au sérieux.
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--Orion...
Comme tous les petits garçons de son âge, Orion aimait jouer à la guerre avec les autres enfants du village, mais depuis que le Comte de Béziers lui avait offert un équipement complet pour qu'il puisse protéger sa famille, il montait souvent sur les remparts pour s'entraîner au maniement de l'épée avec de vrais gardes. De là, il voyait souvent passer les armées du comté et rêvait de sillonner le pays avec elles. Un jour sa maman l'avait accompagné jusqu'au campement où les soldats prenaient un repos bien mérité, et lui avait montré de loin le capitaine, un ami de son papa, et voilà que ce capitaine était dans la salle ! Mais il se passait des choses bizarres... rien à voir avec les histoires de fantômes d'Ondine, mais des choses bizarres quand même. Il alla saluer le capitaine.
Bonjour, je suis Orion. Pourquoi il est méchant avec toi le comte ? Il t'aime pas ? Pourquoi il a pas voulu ton allégeance ? Je viens toujours avec ma maman et mes soeurs et j'ai jamais vu un comte faire ça !
Puis il repensa à ce qu'avait dit Ondine.
C'est vrai qu'il a le pouvoir de transformer les gens en fantômes ?
Arcadhias
"Nous pouvons continuer qu'il lui dit". Mouais. Donc, le Héraut d'appeler pour la seconde fois les nobles suivants.
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
- - « Que s'avancent et ploient le genou devant Sa Grandeur, leur Grandeurs Malkav et Meval de Vamperià , pour les terres de Rochefort d'Òc, de Laudun et de Bagnols ! »
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Bentich
Ha ba vla que le gamin va faire craquer tout le monde
Puis d'une voix douce et murmurante en regardant le ciel, enfin le plafond vu qu'on est dans une salle , Tu vois Jamelia, ton gamin ne t'as pas oublié
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Puis d'une voix douce et murmurante en regardant le ciel, enfin le plafond vu qu'on est dans une salle , Tu vois Jamelia, ton gamin ne t'as pas oublié
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Louis_gauttier
- Bébé pouvait pas saquer les enfants. Ils sont bruyant, ça se salit et ça salit les tenues des parents. Et quand vous avez un projet, une sortie de prévue ça trouve toujours le moyen de tomber malade.
Dieu soit loué d'avoir créer la nourrice! Cette femme magique qui évite de devoir se farcir les désagrément de la progéniture. Sauf au Languedoc où on arrive à devoir en plus, se les farcir dans des cérémonies officielles pour adulte.
Le maréchal prit donc note que le Comte du Languedoc préfère gatouiller avec la marmaille en cérémonie officielle plutôt que de recevoir le serment d'un de ses vassaux. Il ne restait plus qu'à espérer que ceci n'était pas un effet de mode et que les lardons n'allaient pas pulluler.
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Esperenca
Il est gentil le Coms. Il est beau et lui aussi il est comme moi. J'ai plus envie de pleurer. Je m'essuie les yeux avec mes mains et je renifle, puis je lui fait un beau sourire. Il me donne un panier avec tout plein de douceurs dedans. Je le prend et je fais attention à ne pas les faire tomber, mais Mamà m'a dit qu'on fait des révérences aussi quand on part. C'est pas facile !
Grandmercé, Senher Coms.
Je me retourne et je donne ma main libre à Mamà. J'espère qu'elle est fière de moi. Je vois un des Messer au fond de la salle qui regarde le plafond, alors je regarde aussi. C'est joli les décors peints sur le plafond. Mamà me tire avec elle vers le Messer. Je lui dit tout doucement.
Mamà, je pourrai donner des douceurs à mes frères et à Allexandre ?
Liam_de_st_didier
Et Liam de serrer les poings très fort, dans son dos en voyant la petite pleurer suite à l'intervention de Malkav, mais toujours sans rien montrer.
Et de répondre toujours très calmement et sans agressivité à Malkav :
Messire Malkav, il me parait logique de terminer ce que j'ai commencé comme ma conversation avec la Comtessa, avant d'entamer autre chose et ceci comprend le cadeau à l'enfant que vous venez de faire pleurer.
Que vous en vouliez à sa mère est une chose, mais la petite ne vous a rien fait.
Puis s'adressant à l'enfant :
Ne pleure pas Esperença, tu as un très joli prénom, tu sais il vaut mieux avoir des parents qui s'aiment et qui t'aiment, même s'ils ne sont pas mariés, que des parents qui le sont et ne s'occupent pas de toi ou se disputent tout le temps.
Et moi aussi je suis un bâtard ou si tu préféres un "enfant de l'amour", car mon père n'a pas eu le temps d'épouser ma maman, qui a disparu, et regarde je suis quand même Comte actuel du Languedoc, donc tu vois cela n'empêche pas de réaliser ce que tu veux.
Tiens voilà un petit panier de douceurs, pour te récompenser de ta sagesse pendant que ta maman faisait son allégeance, j'espère que cela te consolera en partie.
Comtessa, vous pouvez être fière de cette enfant, prenez en grand soin, je vous laisse vaquer à vos occupations.
Puis se tournant vers le héraut.
Nous pouvons continuer, merci.
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Et de répondre toujours très calmement et sans agressivité à Malkav :
Messire Malkav, il me parait logique de terminer ce que j'ai commencé comme ma conversation avec la Comtessa, avant d'entamer autre chose et ceci comprend le cadeau à l'enfant que vous venez de faire pleurer.
Que vous en vouliez à sa mère est une chose, mais la petite ne vous a rien fait.
Puis s'adressant à l'enfant :
Ne pleure pas Esperença, tu as un très joli prénom, tu sais il vaut mieux avoir des parents qui s'aiment et qui t'aiment, même s'ils ne sont pas mariés, que des parents qui le sont et ne s'occupent pas de toi ou se disputent tout le temps.
Et moi aussi je suis un bâtard ou si tu préféres un "enfant de l'amour", car mon père n'a pas eu le temps d'épouser ma maman, qui a disparu, et regarde je suis quand même Comte actuel du Languedoc, donc tu vois cela n'empêche pas de réaliser ce que tu veux.
Tiens voilà un petit panier de douceurs, pour te récompenser de ta sagesse pendant que ta maman faisait son allégeance, j'espère que cela te consolera en partie.
Comtessa, vous pouvez être fière de cette enfant, prenez en grand soin, je vous laisse vaquer à vos occupations.
Puis se tournant vers le héraut.
Nous pouvons continuer, merci.
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Malkav
[Montpellier, campement militaire, veille des allégeances]
Soldats, je suis fier de vous!
C'est ainsi que le blond avait entamé son discours envers ses soldats suite à une manœuvre militaire rondement menée. Les soldats avaient tirés la langue pendant plusieurs jours mais enfin ils revenaient victorieux à Montpellier. Cette traque n'avait pas été évidente, elle avait demandé astuce, discrétion et bien sur le moment venu dextérité et bravoure. Comme quoi, il ne fallait pas sous estimer les brigands. Ils regorgeaient d'astuces et d'intelligence pour échapper aux fines lames de l'Ost.
Les choses s'étaient tout de même bien goupillées. Alors qu'il ne l'aurait pas cru, le capitaine pourrait assister à la cérémonie d'allégeances. En recevant, l'habituelle convocation, il s'était dit qu'il la manquerait surement. La défense des languedociens et son envie d'être sur le front auprès de ses soldats primaient finalement à sa présence aux allégeances. Mais finalement tout se terminerait bien, il aurait l'honneur de se présenter en personne.
Demain soldats vous le savez, le comte m'attend pour renouveler mon allégeance au comté. Le lieutenant Did sera de la même façon réquisitionné. Certains d'entre vous, serez présents pour assurer la défense comtale. Les autres je vous demande d'être vigilants en journée. Dans tous les cas, vos lieutenants assureront l'intérim par délégation de pouvoir.
Les ordres étaient comme toujours simples et clairs. Il n'y avait pas besoin d'aller plus loin. En famille, les choses étaient tellement plus simples pour se faire comprendre.
L'heure est venue pour moi de rejoindre ma chère épouse après ses longues nuits sur les routes à vos côtés.
Les éclats de rire se firent sentir dans l'assistance et Malkav ne put s’empêcher lui aussi de sourire. Chacun savait commun les retrouvailles avec la comtesse allaient se terminer... Les époux allaient sans doute conspirer tous les deux pour se pointer à la dernière minute aux allégeances du lendemain juste pour éviter d'avoir à faire à la Noùmerchat. Ah non, vous ne pensiez pas à cela?
[Montpellier, hôtel particulier des Vampérià, veille au soir des allégeances]
Les retrouvailles du couple comtale auraient longuement pu être détaillées mais inutile de faire un dessin : CENSURE.
[Montpellier, Castèl de Montpellier, jour des allégeances]
Ma blonde, veux tu bien te dépêcher un peu?
L'heure filait et à ce rythme comme à chaque fois, ils allaient se retrouver en retard. Il ne fallait tout de même pas qu'on utilise le fait qu'ils étaient très pris et dépensaient une énergie folle à faire comprendre au comte des choses basiques en tant que conseillers pour trouver encore matière à les incriminer.
Si tu traînes pour ne pas voir qui tu sais, ne t'en fais pas elle arrive toujours à la dernière minute rendant le proverbe "le meilleur pour la fin" ainsi obsolète.
Un petit rire complice s'en suivi. Malkav à ce moment était loin de s'imaginer qu'Enduril était déjà présente et qui plus est avait déjà prêté allégeance. mais les blonds allaient vite s'en rendre compte car ils arrivaient enfin à la cérémonie.
Les grandes portes de la salle du plaid s'ouvrirent laissant apparaître à l'assistance le couple Vampérià. Malkav pour l'occasion et comme à son habitude avait revêtit ses plus beaux tissus de gueule et d'or aux couleurs de Rochefort d'Oc et de Bagnols. Il veillait à présent à y apporter un peu d'azur, pour montrer également sa fierté envers le peuple de Laudun. Cela faisait longtemps, pour dire vrai, qu'il ne s'était pas senti aussi propre.
La tête haute, et ce malgré tous les mensonges, les plus risibles les uns que les autres qu'on pouvait dire à leur sujet, les Vampérià traversèrent la salle jusqu'à arriver quasiment devant Liam, et... Enduril? Mais que diable faisait-elle auprès du comte? Liam était déjà entrain de murmurer quelque chose aux héraults. De toute évidence, elle lui avait encore mis une absurdité en tête.
Sans y prêter vraiment attention, il dit aux maigres présents, accompagné d'un léger coup de tête de salut.
Bonjorn.
Puis il ajouta sur le ton de l'humour.
Votre Grandeur, comment avez vous pu nous cacher cela? Ou alors, suis-je un peu confus et nous nous sommes bêtement trompé de cérémonie!
Votre union avec Razès! Quelle bonne nouvelle! Je suis heureux que vous ayez enfin trouver cette solution pour récupérer votre cerveau.
Après tout, c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure confiote parait-il. Tous mes voeux!
Le blond, fou qu'il était, et malgré le caractère solennel de la cérémonie, n'avait pu s’empêcher de faire cette remarque en voyant Razès là, aux côté de Liam comme aurait pu l'être l'épouse d'un comte en exercice. Il poursuivit sur le même ton ironique et dérisoire.
Ohhhhh! Milles excuses, j'ai du mal interpréter la situation. Que suis-je bête parfois! Je suis si confus... si, si je vous assure!
Il reprit son sérieux, car l'humour avait sans doute ses limites.
Razès, ne me dit pas que tu étais encore entrain de polluer l'esprit de Liam? 4 mois n'ont pas suffit? Ou alors est-ce un moyen d'apprendre les bonnes pratiques des Noùmerchat à ta bâtarde?
Liam, doit-on vous laisser tout deux terminer et attendre la convocation au tribunal ou pouvons nous aller prendre place en salle et attendre notre humble tour?
Certains parleraient de folie ou de stupidité d'autres de courage et de franchise.... Ces deux dernières notions que certains osaient prôner alors qu'ils n'en étaient pas dignes. Mais une chose était sure, quoi qu'il arrive, il ne regretterait pas. Il attendit donc patiemment la suite de la cérémonie. Ils n'étaient finalement pas si en retard que cela vu qu'il n'y avait personne.
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Soldats, je suis fier de vous!
C'est ainsi que le blond avait entamé son discours envers ses soldats suite à une manœuvre militaire rondement menée. Les soldats avaient tirés la langue pendant plusieurs jours mais enfin ils revenaient victorieux à Montpellier. Cette traque n'avait pas été évidente, elle avait demandé astuce, discrétion et bien sur le moment venu dextérité et bravoure. Comme quoi, il ne fallait pas sous estimer les brigands. Ils regorgeaient d'astuces et d'intelligence pour échapper aux fines lames de l'Ost.
Les choses s'étaient tout de même bien goupillées. Alors qu'il ne l'aurait pas cru, le capitaine pourrait assister à la cérémonie d'allégeances. En recevant, l'habituelle convocation, il s'était dit qu'il la manquerait surement. La défense des languedociens et son envie d'être sur le front auprès de ses soldats primaient finalement à sa présence aux allégeances. Mais finalement tout se terminerait bien, il aurait l'honneur de se présenter en personne.
Demain soldats vous le savez, le comte m'attend pour renouveler mon allégeance au comté. Le lieutenant Did sera de la même façon réquisitionné. Certains d'entre vous, serez présents pour assurer la défense comtale. Les autres je vous demande d'être vigilants en journée. Dans tous les cas, vos lieutenants assureront l'intérim par délégation de pouvoir.
Les ordres étaient comme toujours simples et clairs. Il n'y avait pas besoin d'aller plus loin. En famille, les choses étaient tellement plus simples pour se faire comprendre.
L'heure est venue pour moi de rejoindre ma chère épouse après ses longues nuits sur les routes à vos côtés.
Les éclats de rire se firent sentir dans l'assistance et Malkav ne put s’empêcher lui aussi de sourire. Chacun savait commun les retrouvailles avec la comtesse allaient se terminer... Les époux allaient sans doute conspirer tous les deux pour se pointer à la dernière minute aux allégeances du lendemain juste pour éviter d'avoir à faire à la Noùmerchat. Ah non, vous ne pensiez pas à cela?
[Montpellier, hôtel particulier des Vampérià, veille au soir des allégeances]
Les retrouvailles du couple comtale auraient longuement pu être détaillées mais inutile de faire un dessin : CENSURE.
[Montpellier, Castèl de Montpellier, jour des allégeances]
Ma blonde, veux tu bien te dépêcher un peu?
L'heure filait et à ce rythme comme à chaque fois, ils allaient se retrouver en retard. Il ne fallait tout de même pas qu'on utilise le fait qu'ils étaient très pris et dépensaient une énergie folle à faire comprendre au comte des choses basiques en tant que conseillers pour trouver encore matière à les incriminer.
Si tu traînes pour ne pas voir qui tu sais, ne t'en fais pas elle arrive toujours à la dernière minute rendant le proverbe "le meilleur pour la fin" ainsi obsolète.
Un petit rire complice s'en suivi. Malkav à ce moment était loin de s'imaginer qu'Enduril était déjà présente et qui plus est avait déjà prêté allégeance. mais les blonds allaient vite s'en rendre compte car ils arrivaient enfin à la cérémonie.
Les grandes portes de la salle du plaid s'ouvrirent laissant apparaître à l'assistance le couple Vampérià. Malkav pour l'occasion et comme à son habitude avait revêtit ses plus beaux tissus de gueule et d'or aux couleurs de Rochefort d'Oc et de Bagnols. Il veillait à présent à y apporter un peu d'azur, pour montrer également sa fierté envers le peuple de Laudun. Cela faisait longtemps, pour dire vrai, qu'il ne s'était pas senti aussi propre.
La tête haute, et ce malgré tous les mensonges, les plus risibles les uns que les autres qu'on pouvait dire à leur sujet, les Vampérià traversèrent la salle jusqu'à arriver quasiment devant Liam, et... Enduril? Mais que diable faisait-elle auprès du comte? Liam était déjà entrain de murmurer quelque chose aux héraults. De toute évidence, elle lui avait encore mis une absurdité en tête.
Sans y prêter vraiment attention, il dit aux maigres présents, accompagné d'un léger coup de tête de salut.
Bonjorn.
Puis il ajouta sur le ton de l'humour.
Votre Grandeur, comment avez vous pu nous cacher cela? Ou alors, suis-je un peu confus et nous nous sommes bêtement trompé de cérémonie!
Votre union avec Razès! Quelle bonne nouvelle! Je suis heureux que vous ayez enfin trouver cette solution pour récupérer votre cerveau.
Après tout, c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure confiote parait-il. Tous mes voeux!
Le blond, fou qu'il était, et malgré le caractère solennel de la cérémonie, n'avait pu s’empêcher de faire cette remarque en voyant Razès là, aux côté de Liam comme aurait pu l'être l'épouse d'un comte en exercice. Il poursuivit sur le même ton ironique et dérisoire.
Ohhhhh! Milles excuses, j'ai du mal interpréter la situation. Que suis-je bête parfois! Je suis si confus... si, si je vous assure!
Il reprit son sérieux, car l'humour avait sans doute ses limites.
Razès, ne me dit pas que tu étais encore entrain de polluer l'esprit de Liam? 4 mois n'ont pas suffit? Ou alors est-ce un moyen d'apprendre les bonnes pratiques des Noùmerchat à ta bâtarde?
Liam, doit-on vous laisser tout deux terminer et attendre la convocation au tribunal ou pouvons nous aller prendre place en salle et attendre notre humble tour?
Certains parleraient de folie ou de stupidité d'autres de courage et de franchise.... Ces deux dernières notions que certains osaient prôner alors qu'ils n'en étaient pas dignes. Mais une chose était sure, quoi qu'il arrive, il ne regretterait pas. Il attendit donc patiemment la suite de la cérémonie. Ils n'étaient finalement pas si en retard que cela vu qu'il n'y avait personne.
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Bentich
Une invitation à rejoindre la Comtesse et Liam, il n'avait pas grand chose à faire et tout en avançant il répondit à la comtesse
Moi vous savez je viens toujours très tôt, et n('ayant pas vraiment de chose ultra urgente à faire, vu que je m'organise toujours très bien, je viens passer ma journée pour rencontrer les gens, et discuter, dans le respect d ela cérémonie
Mais ........... Ba oui couper court à la conversation qu'il avait fait le Malkav
Retint un fou rire en l’écoutant et ajouta simplement
Tout compte fait, je vais rester en arrière et vous laisser entre amis de longue date, je ne voudrait pas vous priver de retrouvailles aussi fraternelles
Revint à sa place pour admirer le spectacle et se fit apporter un récipient de maïs qui fait pop, car ça allait être épique on pouvait en être sur
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Moi vous savez je viens toujours très tôt, et n('ayant pas vraiment de chose ultra urgente à faire, vu que je m'organise toujours très bien, je viens passer ma journée pour rencontrer les gens, et discuter, dans le respect d ela cérémonie
Mais ........... Ba oui couper court à la conversation qu'il avait fait le Malkav
Retint un fou rire en l’écoutant et ajouta simplement
Tout compte fait, je vais rester en arrière et vous laisser entre amis de longue date, je ne voudrait pas vous priver de retrouvailles aussi fraternelles
Revint à sa place pour admirer le spectacle et se fit apporter un récipient de maïs qui fait pop, car ça allait être épique on pouvait en être sur
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Enduril
Enduril, toute préoccupée par sa fille se retourne en entendant la voix de Malkav. Elle commence à lever un sourcil à son discours puis adresse un léger sourire au couple avant de lui répondre.
Dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe, surtout avec de jeunes carottes.
Salutations à vous deux, mais je me dois de rectifier. Déjà, une épouse ne se tiendrait point devant son époux, mais à ses côtés. Ensuite, oui, j'enseigne à ma fille, mais que voulez-vous, je suis ce genre de mère qui adore avoir ses enfants à ses côtés et n'a aucune honte de les montrer en public. Pourquoi en aurais-je d'ailleurs, ils sont beaux, intelligents, aucune tare à dissimuler, non ? Et puis oui, je m'attelle à lui apprendre à ne pas faire passer son orgueil avant le bien du Languedoc, à tenir ses promesses et à être droite, sans jamais mentir. Au moins je peux lui servir d'exemple.
Sa Grandeur vient de proposer de remettre un présent d'ailleurs à mon enfant, nous vous cèderont la place dès que ce sera fait pour vous permettre de faire votre allégeance à l'homme que vous venez d'insulter.
Elle se tourne vers Liam.
Votre Grandeur, si vous avez besoin d'un témoin pour confirmer que le Comte de Rochefort d'Oc vient publiquement de dire que vous n'avez pas de cerveau en sus des hérauts ici présent, je vous assure que je ferai mon devoir. Peut être que Messer votre père ou votre parrain en feront tout autant ?
Elle sourit encore plus largement, se remémorant Sun Tzu : " Si quelqu'un t'a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de l'eau, et bientôt tu verras passer son cadavre dans la rivière. "
Il semblerait qu'elle risquait de voir bientôt un cadavre passer ou pas, l'avenir le dirait.
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Dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe, surtout avec de jeunes carottes.
Salutations à vous deux, mais je me dois de rectifier. Déjà, une épouse ne se tiendrait point devant son époux, mais à ses côtés. Ensuite, oui, j'enseigne à ma fille, mais que voulez-vous, je suis ce genre de mère qui adore avoir ses enfants à ses côtés et n'a aucune honte de les montrer en public. Pourquoi en aurais-je d'ailleurs, ils sont beaux, intelligents, aucune tare à dissimuler, non ? Et puis oui, je m'attelle à lui apprendre à ne pas faire passer son orgueil avant le bien du Languedoc, à tenir ses promesses et à être droite, sans jamais mentir. Au moins je peux lui servir d'exemple.
Sa Grandeur vient de proposer de remettre un présent d'ailleurs à mon enfant, nous vous cèderont la place dès que ce sera fait pour vous permettre de faire votre allégeance à l'homme que vous venez d'insulter.
Elle se tourne vers Liam.
Votre Grandeur, si vous avez besoin d'un témoin pour confirmer que le Comte de Rochefort d'Oc vient publiquement de dire que vous n'avez pas de cerveau en sus des hérauts ici présent, je vous assure que je ferai mon devoir. Peut être que Messer votre père ou votre parrain en feront tout autant ?
Elle sourit encore plus largement, se remémorant Sun Tzu : " Si quelqu'un t'a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de l'eau, et bientôt tu verras passer son cadavre dans la rivière. "
Il semblerait qu'elle risquait de voir bientôt un cadavre passer ou pas, l'avenir le dirait.
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Gandalf93
Gand s'avance pour saluer la comtesse et son filleul
Et bien pas foule dis donc
Puis Malkav arriva,
Capitaine dis il et le salua.. il regarda son parrain qui recula et prit un pot de maïs, il fit de meme et écouta, après tout fallait bien prendre conseil sur les grands
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Et bien pas foule dis donc
Puis Malkav arriva,
Capitaine dis il et le salua.. il regarda son parrain qui recula et prit un pot de maïs, il fit de meme et écouta, après tout fallait bien prendre conseil sur les grands
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Arcadhias
Soupire de la part du Héraut face à des propos aux saveurs conspirationnistes.
Ah ! Un nouveau couple de la haute noblesse d'arriver ! Bon, malheureusement le calme et la désertion d'une partie de la noblesse semble propice à l'envoie de fions. Dommage.
La Comtesse du Razès a pris place aux côtés du Comte du Languedoc. Ma foi, c'est le Comte qui décide donc si c'est ce qu'il souhaite.. advienne que pourra.
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
- - « Rassurez vous votre Grandeur, le nouvel arrangement de la cérémonie est tel qu'il ne devrait pas y avoir de dépassement de délai. Sitôt passé 18h, nous fermerons les portes et les nobles présents devraient alors être tous passés. Quant aux absents, ma foi sans motif valable ou allégeance épistolaire, ils seront dérogeants. Mais nous verrons cela le cas échéant, gageons que tout se déroule bien.»
Ah ! Un nouveau couple de la haute noblesse d'arriver ! Bon, malheureusement le calme et la désertion d'une partie de la noblesse semble propice à l'envoie de fions. Dommage.
La Comtesse du Razès a pris place aux côtés du Comte du Languedoc. Ma foi, c'est le Comte qui décide donc si c'est ce qu'il souhaite.. advienne que pourra.
- - « Que s'avancent et ploient le genou devant Sa Grandeur, leur Grandeurs Malkav et Meval de Vamperià , pour les terres de Rochefort d'Òc, de Laudun et de Bagnols ! »
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Malkav
Rochefort d'Oc se mit à rire à son tour!
Razès voyons! Quand arrêterez vous de prendre vos désirs pour des réalités? La question est ouverte bien que je connaisse malheureusement la réponse. Mais soyez témoin, je vous en prie, je vous en prie. Mentir est devenue une règle d'or chez vous je continue à le comprendre.
Où avez vous vu que j'ai dit que le comte n'avait pas de cerveau? Il me semble avoir dit qu'il avait trouvé un moyen de le récupérer. Et l'image du cerveau était plutôt flatteuse pour vous, tellement flatteuse que vous n'en avez même pas fait le rapprochement. Vous êtes bien trop terre à terre! Ce n'était pas une insulte, un simple constat comme aurait pu le dire votre amant. Un constat montrant qu'il était sans doute ravi de retrouver vos mauvais conseils. Si j'avais voulu insulter Liam en personne et non la couronne Languedocienne en qui j'ai trop de respect je m'y serai pris bien autrement.
A ce moment Malkav se demanda pourquoi il s'évertuait à expliquer des choses à une personne qui de toute façon ne l'écouterait pas. La procédure était surement déjà en cours, les choses allaient vite, très vite. Il changea de conversation.
Il faudrait d'ailleurs songer à se marier, il n'est pas digne de la haute noblesse d'être aussi libertine.
Quant à votre enfant, oui soyez en fière, c'est surement la seule bonne chose que vous ayez faite de votre vie. Pour son éducation, je n'ai qu'à dire pauvres enfants. Seul le Très Haut décide quel foyer va accueillir quel enfant. Les pauvres n'ont donc pas choisi de vous avoir comme mère et d'apprendre sans doute à la perfection les lois du mensonge et de la manipulation.
Il était en forme le Malkav, mais le mettre dans la même salle avec la personne qui la dégoûtait le plus avait son effet. Surtout lorsqu'il n'y avait pas de discussion concrète. En se retournant suite aux dires d'Enduril il s'aperçut qu'il y avait finalement plus de monde dans la salle. Surement arrivés entre temps. Il salua donc Gandalf et Bentich. En entendant l'histoire du cadeau il dit à l'attention du comte.
Votre Grandeur, votre générosité vous perdra! Faire des présents à tous les descendants des membres de la noblesse c'est bien trop! Oui nous traitant tous à égalité je doute que vous ayez prévu de favoriser la petite Noùmerchat.
Languedoc intervint alors pour signifier qu'il était l'heure de prêter allégeance à la couronne Languedocienne. Le blond accompagna alors sa blonde juste devant le comte faisant abstraction totale d'Enduril. Comme à son habitude, le comte sorti son épée, la planta au sol, et mit un genou à terre. Comme lors des précédentes allégeances, il n'avait qu'une chose en tête : "Penses à la couronne, pas celui qui la porte, penses à la couronne". Il était néanmoins ravi que son épouse ait enfin pu laisser un peu son coeur de côté et ses bonnes actions pour pouvoir l'accompagner. Il lui jeta un œil en guise de réconfort, il s'avait que ce n'était pas simple pour elle.
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Razès voyons! Quand arrêterez vous de prendre vos désirs pour des réalités? La question est ouverte bien que je connaisse malheureusement la réponse. Mais soyez témoin, je vous en prie, je vous en prie. Mentir est devenue une règle d'or chez vous je continue à le comprendre.
Où avez vous vu que j'ai dit que le comte n'avait pas de cerveau? Il me semble avoir dit qu'il avait trouvé un moyen de le récupérer. Et l'image du cerveau était plutôt flatteuse pour vous, tellement flatteuse que vous n'en avez même pas fait le rapprochement. Vous êtes bien trop terre à terre! Ce n'était pas une insulte, un simple constat comme aurait pu le dire votre amant. Un constat montrant qu'il était sans doute ravi de retrouver vos mauvais conseils. Si j'avais voulu insulter Liam en personne et non la couronne Languedocienne en qui j'ai trop de respect je m'y serai pris bien autrement.
A ce moment Malkav se demanda pourquoi il s'évertuait à expliquer des choses à une personne qui de toute façon ne l'écouterait pas. La procédure était surement déjà en cours, les choses allaient vite, très vite. Il changea de conversation.
Il faudrait d'ailleurs songer à se marier, il n'est pas digne de la haute noblesse d'être aussi libertine.
Quant à votre enfant, oui soyez en fière, c'est surement la seule bonne chose que vous ayez faite de votre vie. Pour son éducation, je n'ai qu'à dire pauvres enfants. Seul le Très Haut décide quel foyer va accueillir quel enfant. Les pauvres n'ont donc pas choisi de vous avoir comme mère et d'apprendre sans doute à la perfection les lois du mensonge et de la manipulation.
Il était en forme le Malkav, mais le mettre dans la même salle avec la personne qui la dégoûtait le plus avait son effet. Surtout lorsqu'il n'y avait pas de discussion concrète. En se retournant suite aux dires d'Enduril il s'aperçut qu'il y avait finalement plus de monde dans la salle. Surement arrivés entre temps. Il salua donc Gandalf et Bentich. En entendant l'histoire du cadeau il dit à l'attention du comte.
Votre Grandeur, votre générosité vous perdra! Faire des présents à tous les descendants des membres de la noblesse c'est bien trop! Oui nous traitant tous à égalité je doute que vous ayez prévu de favoriser la petite Noùmerchat.
Languedoc intervint alors pour signifier qu'il était l'heure de prêter allégeance à la couronne Languedocienne. Le blond accompagna alors sa blonde juste devant le comte faisant abstraction totale d'Enduril. Comme à son habitude, le comte sorti son épée, la planta au sol, et mit un genou à terre. Comme lors des précédentes allégeances, il n'avait qu'une chose en tête : "Penses à la couronne, pas celui qui la porte, penses à la couronne". Il était néanmoins ravi que son épouse ait enfin pu laisser un peu son coeur de côté et ses bonnes actions pour pouvoir l'accompagner. Il lui jeta un œil en guise de réconfort, il s'avait que ce n'était pas simple pour elle.
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Louis_gauttier
- Pas mieux que Languedoc pour le coup. Au vu des dispositions prises, il était peu probablement d'arriver à du hors délais.
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Liam_de_st_didier
Et Liam d'écouter la réponse du héraut, puis de saluer son parrain et son père qui venaient d'arriver, avant de remettre le petit présent à la fillette.
Merci de votre réponse Languedoc.
Bonjour parrain et père.
Au moment où il s'apprête à le faire, arrive le Capitaine, qui semble remonter comme une pendule et qui doit avoir abusé d'une boisson, qui doit mettre dans un drôle d'état vu les énormités qu'il sort.
Préférant ne pas relever, il répond déjà à la Comtessa, tout en se retenant de ne pas éclater de rire, après ce qu'il venait d'entendre, mais sans rien laisser paraitre, comme à son habitude.
Je vous remercie Comtessa, mais je crois que vu l'état de Messire Malkav, je ne vais rien faire, car j'ai l'impression que c'est ce qu'il recherche, déjà que des bruits ont couru comme quoi je me renseignais pour le mettre en procès, pour quelle raison je réfléchis encore, car je ne vois pas du tout.
Et comme disait une personne fort sage, bien faire et laisser dire.
Puis se tournant vers Languedoc et Béarn :
Je vous remercierai de prendre note quand même de cet incident, s'il vous plait, même si je ne compte pas porter plainte.
Puis il répond très calmement et sans agressivité, à Malkav.
Messire Malkav, il me semble que j'ai encore le droit de discuter avec un ou une vassale, sans que vous trouviez à redire et cela est quand même plus pratique quand on se trouve face à face et pas trop loin, pour ne pas avoir à crier ou parler fort.
Pour les cadeaux aux enfants s'ils viennent me présenter leurs hommages, comme cette fillette et se tiennent sages, ils auront bien entendu un petit présent, mais pour le moment, je n'en vois point d'autres dans la salle.
Maintenant puis je continuer, ce que j'avais commencé, ou dois-je attendre votre permission ?
Puis d'enchainer, d'une voix douce et toujours très calme :
Viens petite, quel est ton nom ?
Et d'attendre que l'enfant réponde, tout en faisant signe à un valet d'apporter un petit panier de friandises.
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Merci de votre réponse Languedoc.
Bonjour parrain et père.
Au moment où il s'apprête à le faire, arrive le Capitaine, qui semble remonter comme une pendule et qui doit avoir abusé d'une boisson, qui doit mettre dans un drôle d'état vu les énormités qu'il sort.
Préférant ne pas relever, il répond déjà à la Comtessa, tout en se retenant de ne pas éclater de rire, après ce qu'il venait d'entendre, mais sans rien laisser paraitre, comme à son habitude.
Je vous remercie Comtessa, mais je crois que vu l'état de Messire Malkav, je ne vais rien faire, car j'ai l'impression que c'est ce qu'il recherche, déjà que des bruits ont couru comme quoi je me renseignais pour le mettre en procès, pour quelle raison je réfléchis encore, car je ne vois pas du tout.
Et comme disait une personne fort sage, bien faire et laisser dire.
Puis se tournant vers Languedoc et Béarn :
Je vous remercierai de prendre note quand même de cet incident, s'il vous plait, même si je ne compte pas porter plainte.
Puis il répond très calmement et sans agressivité, à Malkav.
Messire Malkav, il me semble que j'ai encore le droit de discuter avec un ou une vassale, sans que vous trouviez à redire et cela est quand même plus pratique quand on se trouve face à face et pas trop loin, pour ne pas avoir à crier ou parler fort.
Pour les cadeaux aux enfants s'ils viennent me présenter leurs hommages, comme cette fillette et se tiennent sages, ils auront bien entendu un petit présent, mais pour le moment, je n'en vois point d'autres dans la salle.
Maintenant puis je continuer, ce que j'avais commencé, ou dois-je attendre votre permission ?
Puis d'enchainer, d'une voix douce et toujours très calme :
Viens petite, quel est ton nom ?
Et d'attendre que l'enfant réponde, tout en faisant signe à un valet d'apporter un petit panier de friandises.
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Malkav
Bien sur, la grande Enduril ne méritait aucune répression et il ne fallait surtout pas, mais surtout pas dire quoi que ce soit à son encontre. Le capitaine commençait à le comprendre appartenant au conseil comtal. Tout ce qu'il amenait n'aboutissait jamais car Liam niait tout en bloc. Et malheureusement ce n'était pas le seul conseiller brimé. Mais bon c'était ainsi.
Le blond se releva puisqu'il était à genoux... et répondit au comte avec un sourire. Au moins, on ne dirait pas que c'est lui qui a fait retarder la cérémonie puisque la bâtarde Noùmerchat était plus importante.
Votre Grandeur, pardonnez moi si en arrivant je n'ai pas saisi le contexte. La situation portait à confusion. Vous êtes libre de faire ce que bon vous semble, je ne fais que mon devoir encore une fois, de vous conseiller et ainsi de vous rappeler que tout vassal est censé être traité de façon égale.
Après faites ce que vous en voulez, et comprenez comme toujours ce que vous avez envie d'en comprendre.
Il poursuivit toujours sans agressivité. Pourquoi le serait-il?
De la même manière, faites noter cet "incident", si c'est votre souhait je vous en prie. Puisque Razès a signifié que s'en était un et que sa parole est d'or... allons-y. Je retiens leçon que la métaphore est un concept françois pas compris par tous d'une part. Et j'essaye de retenir même s'il m'est difficile de l'acquérir et j'espère que vous m'en pardonnerez que quand Razès dit, la messe est dite.
A l'attention de sa blonde il ajouta.
Ma tendre épouse, je pense que le comte à mieux à faire que recevoir notre allégeance pour l'heure. Allons prendre place et attendons que le hérault puisse faire son travail une seconde fois en nous rappelant. A priori, il n'a que cela à faire.
Fais moi penser, la prochaine fois, de plus rentrer avec autant d’engouement et de précipitation.
Et le blond alla s'asseoir bien gentiment, il ne servait plus à rien de lutter lorsqu'en face de soi on ne voulait pas ouvrir les yeux...
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Le blond se releva puisqu'il était à genoux... et répondit au comte avec un sourire. Au moins, on ne dirait pas que c'est lui qui a fait retarder la cérémonie puisque la bâtarde Noùmerchat était plus importante.
Votre Grandeur, pardonnez moi si en arrivant je n'ai pas saisi le contexte. La situation portait à confusion. Vous êtes libre de faire ce que bon vous semble, je ne fais que mon devoir encore une fois, de vous conseiller et ainsi de vous rappeler que tout vassal est censé être traité de façon égale.
Après faites ce que vous en voulez, et comprenez comme toujours ce que vous avez envie d'en comprendre.
Il poursuivit toujours sans agressivité. Pourquoi le serait-il?
De la même manière, faites noter cet "incident", si c'est votre souhait je vous en prie. Puisque Razès a signifié que s'en était un et que sa parole est d'or... allons-y. Je retiens leçon que la métaphore est un concept françois pas compris par tous d'une part. Et j'essaye de retenir même s'il m'est difficile de l'acquérir et j'espère que vous m'en pardonnerez que quand Razès dit, la messe est dite.
A l'attention de sa blonde il ajouta.
Ma tendre épouse, je pense que le comte à mieux à faire que recevoir notre allégeance pour l'heure. Allons prendre place et attendons que le hérault puisse faire son travail une seconde fois en nous rappelant. A priori, il n'a que cela à faire.
Fais moi penser, la prochaine fois, de plus rentrer avec autant d’engouement et de précipitation.
Et le blond alla s'asseoir bien gentiment, il ne servait plus à rien de lutter lorsqu'en face de soi on ne voulait pas ouvrir les yeux...
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Esperenca
Je suis grande ! Je vais avoir 4 ans ! Je suis plus grande que Miguaël et que le petit Bennasset, mais j’ai pas les cheveux rouges comme lui. Falveta aussi a les cheveux rouges. Et Enguerrand, et Gaudefroy, et Jameson et tout plein d’autres gens. Non, les miens sont marron, presque noir. Ma maman dit qu’ils sont de la couleur des châtaignes. Les châtaignes, c’est bon, mais pas mes cheveux ! L’autre jour, j’en ai eu un dans ma bouche. Et bah il n’avait pas de goût, mais j’ai failli vomir. J’aime pas vomir.
Aujourd’hui, Mamà m’a emmené à une sortie entre filles, c’est comme ça qu’elle dit. Elle dit aussi que je dois en profiter pour apprendre plein de choses, pour apprendre comment les nobles se comportent pendant les cérémonies. Elle m’a appris à faire la révérence. C’était dur ! J’ai pas arrêté de tomber ! Mais maintenant, j’arrive à le faire. Mamà m’a dit que c’était toujours comme ça, qu’il fallait travailler beaucoup pour bien faire quelque chose qu’on pense facile. Et si on ne travaille pas assez, on tombe. J’aime pas tomber.
J’ai mis mes beaux habits et on est allées au château. J’ai vu le Coms ! Il était avec deux autres hommes. J’en ai vu un avec un gros bâton ! C’est peut-être pour donner la correction aux enfants pas sages ! Alors, je me suis faite toute petite pour pas qu’il me voit et je suis restée bien sage, à côté de Mamà.
Je m’ennuie. C’est long. Il y a personne. Il n’y a pas d’enfants pour jouer….
Alors, je regarde le Coms. Il est beau ! Il est tout blond ! On dirait que ses cheveux, c’est de l’or ! Et puis, il est pas vieux comme les autres ! Non, il a l’âge de mes grands frères ! Quand je serai grande, je veux un mari comme ça. Un beau, avec des cheveux en or, et pas un vieux !
Ah, ça y est ! C’est à Mamà !
Je m’avance avec elle et je fais ma révérence, sans tomber !
Mamà et le Coms parle. Il lui donne un cadeau et il dit que je suis très sage ! J’ai chaud à la figure ! J’aimerai bien pouvoir me cacher et qu’on arrête de me regarder. Et il veut m’offrir un cadeau !
Mamà me pousse doucement vers lui et parle en même temps à des messieurs qui viennent d’entrer.
Et puis, c’est un Messer qui entre avec une dame qu’on dirait qu’elle se cache derrière lui. Il parle fort ! Il parle au Coms et il parle à Mamà et il parle… de moi ?
J’ouvre grand les yeux ! Il dit que je suis la bâtarde de Mamà ! Pourtant, lui, c’est un grand ! C’est pas un autre enfant qui me dit ça pour me faire mal ! Pour me faire sentir comme de la crotte de chien ! J’ai les yeux et le nez qui me piquent et deux grosses larmes coulent sur mes joues.
Mamà m’a dit que mes frères et moi, on est les enfants de l’amour. Et je sais que Mamà, elle a ses yeux tout brillant quand elle parle de Papà, quand Papà est là. Elle regarde comme ça que Papà, ma sœur, mes frères et moi. Pas comme Maïthée qui fait plein de bisous à plein d’hommes en cachette, ou comme Jameson qui a plein de fiancées. Juste que Papà et Mamà, ils sont pas mariés. Mais moi, je connais plein de gens qui sont mariés juste un petit peu. Qui font des bisous avec la langue dans la bouche à d’autres que leur mari ou leur femme. Beurk, c’est dégueu ! Des gens qui vont se marier, puis qui disent qu’ils n’aiment plus leur mari ou leur femme, qui demandent au curé pour plus être mariés et qui recommencent encore et encore.
Le Messer, il dit que ma Mamà devrait se marier, qu’elle est libertine, que c’est pas bien pour un membre de la haute noblesse ! Il veut que ma maman aille avec plein d’hommes en cachette ? Qu’elle vire Papà pour avoir d’autres messers à la maison ? Que j’ai plein d’autres demi-frères et demi-sœurs ? Là, j’en ai, mais leur Papà est mort ! C’est ç’est ça être une dame de la haute noblesse ? Berk, je sais pas si j’ai envie d’en être une un jour, mais ça me fait pleurer que le Messer dise ça.
Et puis il dit que ma Mamà m’apprend à mentir ! Elle qui nous laverait la bouche au savon si on s’avisait de faire ça ! J’ai jamais vu ma Mamà mentir. Et puis les gens qui mentent, c’est pas bien. Ça se voit toujours. Et si on dit que quelqu’un est un menteur, il suffit de le prouver pour qu’il soit puni, non ? Et je crois pas que Mamà ait été punie un jour. Mamà, elle sait toujours ce qu’elle dit et elle a toujours la preuve de ce qu’elle dit. Et puis mentir, c’est péché. Pas autant que de manger plein de gâteaux, mais c’est péché, c’est le curé qui le dit.
Pourquoi le Messer il est méchant comme ça ? Et il demande de drôles de choses ! Il demande que le Coms il donne des cadeaux à tous les descendants de la noblesse. Descendant, je sais ce que c’est. Mamà nous fait apprendre notre arbre ganalogique. Et les descendants, il y en a des vieux, des jeunes, des proches, des lointains. Là, je suis toute seule ici comme descendante. Il est peut être jaloux ? Le curé, il dit que les personnes qui sont méchants avec les enfants et les font pleurer, qui disent de vilaines choses pour blesser les gens, c’est parce qu’ils sont souvent malheureux, ou jaloux, et qu’ils utilisent les armes des faibles en visant d’abord les faibles.
Et le voilà qu'il manque de me bousculer pour prendre ma place devant le Coms. Il ne se rend même pas compte que je suis presque tombée…
Mes larmes redoublent et je me raccroche à la main de Mamà. Je la tire pour aller rejoindre les deux autres nobles qui sont rentrés et ne disent rien. Mais avant de m’éloigner, tente de ravaler mes larmes, même si mes joues sont mouillées et que d’autres brillent encore dans mes yeux et en essayant d’être comme on m’a appris, pleine de dignité, je dis au Messer.
Vous devez être très malheureux pour être aussi méchant. Moi, je vous pardonne. J’espère que le Très Haut vous pardonnera aussi. Et je m’appelle pas Noùmerchat, mais de Esperença de Noùmerchat-Blauzac. Mon Papà à moi, il est aussi merveilleux que ma Mamà et je suis contente d’avoir leurs noms à tous les deux.
Je m'apprête à m'éloigner lorsque le coms prend la parole. Je l'écoute. Il semble gentil, lui. Il me demande d'approcher et de lui dire mon nom. Je lui adresse un sourire, mais mes lèvres tremblent encore. Je regarde le Messer qui parle fort avec crainte. Il ne va pas me frapper avec sa grande épée ?
Je regarde l'épée, elle est grande, très grande et très pointue. J'espère qu'elle ne va pas faire un trou dans le bois du plancher, sinon, il risque de se faire crier à son tour.
Je regarde le Coms et je lui dis.
Je m'appelle Esperença de Noùmerchat-Blauzac, Votre Grandeur !
Je lui souris.
Hispahan
C'est alors que la tribu biterroise fit une entrée fracassante. La jambe emprisonnée dans ce machin en bois qu'Olivia lui avait présenté comme une atèle, Hispahan se déplaçait lourdement et surtout bruyamment. Pfiouuuu c'est que ça pesait un âne mort une atèle, la blessée se demandait si ce n'était pas une ruse de sa médicastre particulière. Elle soupçonnait même Olivia d'avoir commandé une atèle plus lourde que la moyenne pour obliger son amie à limiter ses déplacements. mais c'était mal connaitre la Biterroise... Et une nouvelle cérémonie d'allégeance ayant été annoncée, elle était bien obligée de s'y rendre, sous peine de voir les sbires du comte débarquer à Béziers pour vérifier si sa blessure était réelle ou si c'était du pipeau.
Un regard dans la salle, il y avait déjà du monde mais pas autant qu'elle l'avait imaginé. Un groupe se tenait près du trône, trop nombreux pour qu'elle se fraie un chemin pour saluer le comte et le Héraut. Elle se contenta de lever un bras et agiter sa canne pour signaler sa présence, manquant au passage d'assommer Arthur qui semblait chercher quelque chose.
Coucou Arthur, tu as perdu ta boîte à malice ?
Puis elle alla s'asseoir avec ses enfants, saluant au passage les nobles déjà présents.
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Un regard dans la salle, il y avait déjà du monde mais pas autant qu'elle l'avait imaginé. Un groupe se tenait près du trône, trop nombreux pour qu'elle se fraie un chemin pour saluer le comte et le Héraut. Elle se contenta de lever un bras et agiter sa canne pour signaler sa présence, manquant au passage d'assommer Arthur qui semblait chercher quelque chose.
Coucou Arthur, tu as perdu ta boîte à malice ?
Puis elle alla s'asseoir avec ses enfants, saluant au passage les nobles déjà présents.
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Arcadhias
Le héraut de se racler la gorge, tapant du pied en ayant les bras croisés.
Le comte et la comtesse suivants avaient été appelés, le Héraut d'attendre un peu que l'échange de fions soit conclu et que l'intermède avec l'enfant Blauzac ne se termine avant de rappeler au Comte ses devoirs.
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Le comte et la comtesse suivants avaient été appelés, le Héraut d'attendre un peu que l'échange de fions soit conclu et que l'intermède avec l'enfant Blauzac ne se termine avant de rappeler au Comte ses devoirs.
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Gandalf93
Gand était arriver de bonne heure, les portes s'ouvrit et Gand rentra avec tout le monde.
C'était important pour lui d'être présent durant toute la cérémonie
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C'était important pour lui d'être présent durant toute la cérémonie
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Enduril
Elle se tourne vers sa fille alors que le Coms parle aux héraut et tend la main vers elle.
Viens, ma princesse, approche, Sa Grandeur veut t'offrir un présent.
Et avisant le Baron de Saint-Didier et Gandalf qui viennent d'arriver, elle reporte un instant son attention sur eux.
Senher Bar ! Senher Gandalf ! Adissiatz ! Cossi van ?*
Comme d'habitude, vous voilà arrivé tôt, mais cette fois, vous avez eu un peu plus de temps pour vaquer à vos occupations avant de venir. Cette nouvelle organisation est bien pratique, je trouve. Ca permet de ne pas avoir à être coincé ici toute la journée si on a autre chose à faire. Surtout pour nous qui passons au matin, ça laisse l'après midi pour d'autres occupation. Enfin nous, je ne parle pas pour moi puisque j'attends Domenc qui doit passer beaucoup plus tard. Lui et moi n'avons pas la même notion de l'aube.
Mais venez, profitez que la haute noblesse n'est pas encore là pour tenir compagnie avec nous à notre régnant, qu'il ne se sente pas abandonné. Il vient de proposer d'offrir un présent à ma benjamine, c'est vraiment prévenant de sa part, vous ne trouvez pas ?
Elle l'invite d'un sourire à les rejoindre et pousse en avant vers le Coms une gamine rougissante de timidité. Même si parfois, elle se comporte comme une grande, il ne faut pas oublier qu'elle ne va avoir ses 4 ans que dans quelques jours.
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Viens, ma princesse, approche, Sa Grandeur veut t'offrir un présent.
Et avisant le Baron de Saint-Didier et Gandalf qui viennent d'arriver, elle reporte un instant son attention sur eux.
Senher Bar ! Senher Gandalf ! Adissiatz ! Cossi van ?*
Comme d'habitude, vous voilà arrivé tôt, mais cette fois, vous avez eu un peu plus de temps pour vaquer à vos occupations avant de venir. Cette nouvelle organisation est bien pratique, je trouve. Ca permet de ne pas avoir à être coincé ici toute la journée si on a autre chose à faire. Surtout pour nous qui passons au matin, ça laisse l'après midi pour d'autres occupation. Enfin nous, je ne parle pas pour moi puisque j'attends Domenc qui doit passer beaucoup plus tard. Lui et moi n'avons pas la même notion de l'aube.
Mais venez, profitez que la haute noblesse n'est pas encore là pour tenir compagnie avec nous à notre régnant, qu'il ne se sente pas abandonné. Il vient de proposer d'offrir un présent à ma benjamine, c'est vraiment prévenant de sa part, vous ne trouvez pas ?
Elle l'invite d'un sourire à les rejoindre et pousse en avant vers le Coms une gamine rougissante de timidité. Même si parfois, elle se comporte comme une grande, il ne faut pas oublier qu'elle ne va avoir ses 4 ans que dans quelques jours.
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Bentich
Il aimait bien être la pour regarder la cérémonie, et il était arrivé assez tôt, et resterait surement après aussi
La haute noblesse avait entame le bal, enfin à part Enduril on ne pouvait pas dire qu'il y avait foule
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La haute noblesse avait entame le bal, enfin à part Enduril on ne pouvait pas dire qu'il y avait foule
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Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre au héraut qui avait parlé en premier :
Faites donc Languedoc, cela me permettra d'y répondre tranquillement.
Puis à La Comtessa :
Vous savez je ne suis pas dans la tête des gens, mais en effet les deux sont une possibilité.
Mais restez en attendant cela fera paraître la salle un peu moins vide et de plus je ne vois pas en quoi vous dérangez, les gens qui ne veulent pas vous parler peuvent venir et vous ignorer.
Et vous savez chacun est libre d'imaginer ce qu'il veut au vu de la situation
dans laquelle nous nous trouvons.
Et je vous félicite pour la tenue de votre fille, qui semble très sage.
Puis je lui faire à elle aussi un présent ?
Puis se tournant vers Languedoc et Béarn, il dit, de façons à ceux que eux seuls et la Comtessa entendent :
Languedoc et Béarn, que pensez vous de ce que vient d'émettre comme hypothése la Comtessa et que puis je faire face à cette situation, si cela s'avérait réel ?
Je ne vais quand même pas obliger une noble Languedocienne à quitter cette piéce pour que les autres viennent et s'ils font exprés de retarder volontairement la cérémoniue, pouyr qu'elle se termine hors délais, que pourrai je faire, s'il vous plait ?
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Faites donc Languedoc, cela me permettra d'y répondre tranquillement.
Puis à La Comtessa :
Vous savez je ne suis pas dans la tête des gens, mais en effet les deux sont une possibilité.
Mais restez en attendant cela fera paraître la salle un peu moins vide et de plus je ne vois pas en quoi vous dérangez, les gens qui ne veulent pas vous parler peuvent venir et vous ignorer.
Et vous savez chacun est libre d'imaginer ce qu'il veut au vu de la situation
dans laquelle nous nous trouvons.
Et je vous félicite pour la tenue de votre fille, qui semble très sage.
Puis je lui faire à elle aussi un présent ?
Puis se tournant vers Languedoc et Béarn, il dit, de façons à ceux que eux seuls et la Comtessa entendent :
Languedoc et Béarn, que pensez vous de ce que vient d'émettre comme hypothése la Comtessa et que puis je faire face à cette situation, si cela s'avérait réel ?
Je ne vais quand même pas obliger une noble Languedocienne à quitter cette piéce pour que les autres viennent et s'ils font exprés de retarder volontairement la cérémoniue, pouyr qu'elle se termine hors délais, que pourrai je faire, s'il vous plait ?
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Arcadhias
Depuis le temps qu'il suivait les allégeances, c'est la première fois qu'il voyait cela. Il fallait attendre que les nobles arrivent pour poursuivre la cérémonie. Incroyable. Alors qu'ils se plaignent que les allégeances finissent trop tard. Le Languedoc quoi.
- - « Votre Grandeur, pardonnez moi mais il n'y a pour l'instant pas d'autre représentant de la Haute noblesse pour présenter ses hommages. Si l'attente persiste, je vais vous présenter les quelques courriers reçus de certains excusés. »
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Enduril
Elle prend le pot et sourit. Mais chose promise, chose due et ce n'est pas l'intervention du héraut qui va y changer quoi que ce soit.
Grand mercè, Votre Grandeur. Mais permettez que je vous tienne un peu compagnie ? D'autant que j'ai mon esprit qui a un peu vagabondé et que je me pose des questions.
Voyez-vous, habituellement, les gens se pressent ici pour être les premiers et passer rapidement. Or, il faudrait être aveugle pour ne pas voir que pour l'instant, je suis la seule à m'être présentée. Pensez-vous que c'est parce que je suis la première ici et que je serve d'excuse pour ne pas venir, afin de ne pas me croiser, ce qui poserait problème en cas de convocation d'une AN, puisque j'y suis toujours présente et que fatalement tous m'y côtoieront ?
Parce qu'une autre possibilité serait peut être de jouer la montre, de venir le plus tard possible pour faire trainer la cérémonie et la faire durer jusqu'à la rendre invalide pour cause de délai dépassé.
Elle secoue la tête.
J'avoue que ce genre de comportement me semblerait limite, mais c'est sans doute mon imagination débordante qui est à l'oeuvre.
Elle sourit.
En tout cas, il est hors de question que je vous laisse seul à attendre ! Je vais rester et vous tenir compagnie jusqu'à l'arrivée du reste de mes pairs. Un peu de compagnie féminine ne sera pas de trop, même pendant vos travaux d'écriture pour répondre aux missives, comme le suggère Languedoc. Et puis, ça permettra à ma fille de voir comment un Coms se comporte et quels sont ses devoirs pendant une allégeance. Il n'est jamais trop tôt pour apprendre.
Et voilà, elle avait déballé tout ce qu'elle avait en tête, la meilleure façon de confirmer ou d'infirmer ce qui n'est peut être que le jeu de son imagination. Et toujours personne d'arrivé...
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Grand mercè, Votre Grandeur. Mais permettez que je vous tienne un peu compagnie ? D'autant que j'ai mon esprit qui a un peu vagabondé et que je me pose des questions.
Voyez-vous, habituellement, les gens se pressent ici pour être les premiers et passer rapidement. Or, il faudrait être aveugle pour ne pas voir que pour l'instant, je suis la seule à m'être présentée. Pensez-vous que c'est parce que je suis la première ici et que je serve d'excuse pour ne pas venir, afin de ne pas me croiser, ce qui poserait problème en cas de convocation d'une AN, puisque j'y suis toujours présente et que fatalement tous m'y côtoieront ?
Parce qu'une autre possibilité serait peut être de jouer la montre, de venir le plus tard possible pour faire trainer la cérémonie et la faire durer jusqu'à la rendre invalide pour cause de délai dépassé.
Elle secoue la tête.
J'avoue que ce genre de comportement me semblerait limite, mais c'est sans doute mon imagination débordante qui est à l'oeuvre.
Elle sourit.
En tout cas, il est hors de question que je vous laisse seul à attendre ! Je vais rester et vous tenir compagnie jusqu'à l'arrivée du reste de mes pairs. Un peu de compagnie féminine ne sera pas de trop, même pendant vos travaux d'écriture pour répondre aux missives, comme le suggère Languedoc. Et puis, ça permettra à ma fille de voir comment un Coms se comporte et quels sont ses devoirs pendant une allégeance. Il n'est jamais trop tôt pour apprendre.
Et voilà, elle avait déballé tout ce qu'elle avait en tête, la meilleure façon de confirmer ou d'infirmer ce qui n'est peut être que le jeu de son imagination. Et toujours personne d'arrivé...
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Liam_de_st_didier
Liam trouve la salle bien vide, il se demande ce qui fait que les nobles de haut rang ne soient pas encore présents en dehors de la Comtessa et de répondre avant d'aller aider Enduril à se relever pour l'accolade vassalique :
Nous entendons votre serment et l'acceptons.
Nous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc vous promettons à vous, Enduril de Noùmerchat, Comtesse du Razès en Limouxin et Baronne de Ganges , protection, justice et subsistance qui est assuré par la conservation de vos terres du Razès en Limouxin et de Ganges.
Voici pour vous ce pot d'argile, contenant un mélange de simples, pour vous rappeler combien ces deux choses sont elles aussi importantes pour la grandeur du Languedoc.
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Nous entendons votre serment et l'acceptons.
Nous, Liam de St Didier, Comte du Languedoc vous promettons à vous, Enduril de Noùmerchat, Comtesse du Razès en Limouxin et Baronne de Ganges , protection, justice et subsistance qui est assuré par la conservation de vos terres du Razès en Limouxin et de Ganges.
Voici pour vous ce pot d'argile, contenant un mélange de simples, pour vous rappeler combien ces deux choses sont elles aussi importantes pour la grandeur du Languedoc.
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Enduril
Le silence est tel dans la salle presque vide qu'on entend le bruit de respiration du peu de personnes présentes.
La moindre arrivée dans la salle y tonnerait tel un coup de canon et la personne ne pourrait passer inapperçue.
Et c'est là qu'une idée lui traverse l'esprit. Et si, par le plus grand des hasards, les personnes convoquées à la même heure qu'elle, l'ayant vu arriver, avait décidé d'attendre son départ pour être certains de ne pas avoir à la saluer ? C'était une supposition plus agréable que celle qui consisterait à se présenter tard pour faire trainer la cérémonie et la rendre invalide, ou même que sa présence serve d'excuse pour justement faire trainer la dite cérémonie.
Elle retient une grimace à ces idées stupides qui viennent lui traverser l'esprit. Personne ne pourrait être assez tordu en dehors d'elle pour l'avoir pensé, non ? Mais bon, grande langue comme elle a la réputation de l'être, mais surtout pour à la fois satisfaire une curiosité et prendre la température des lieux, si personne n'arrive, elle profitera que le régnant n'a rien d'autre à faire qu'à attendre pour lui parler de tout ça, les yeux dans les yeux. Après tout, tant qu'il n'y avait personne, elle pourrait rester jusqu'à l'heure de passage des Vicomtes si elle en avait envie.
La voix du coms résonne, paraissant de fait plus forte qu'à l'ordinaire.
Une profonde inspiration et à nouveau le serment de son engagement envers le Languedoc va être prononcé. Elle retient un sourire à l'évocation d'une conversation qu'elle avait tenu il y a peu sur les présents symbolisant le fief, moyen de subsistance et le fait que le régnant, parfois, offrait un anneau, voire même un gant ce qui était bien plus personnel. Le rire était venu à imaginer un régnant "offrant" à chaque vassal une pièce de son habillement comme gage et à combien de vassaux il pourrait faire une telle offrande avant de se retrouver nu comme au premier instant de sa vie.
Non, ne pas penser à ça ! Si elle s'imagine Liam dans le plus simple appareil, c'en est fichu du serment, elle ne pourra pas parler sans rire avant au moins une paire d'heure. Alors elle prend sur elle, mais ne peut empêcher ses yeux de pétiller de malice en prononçant.
Moi, Enduril de Noùmerchat, vous reconnais vous, Liam de Saint-Didier, comme légitime Coms de Lengadòc. A ce titre, je renouvelle devant vous ce jour le serment qui me lie envers le Languedoc et vous promet pour la durée de votre règne, Obsequium, Auxilium et Consilium.
Voilà, on dit jamais deux sans trois, elle l'a fait !
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La moindre arrivée dans la salle y tonnerait tel un coup de canon et la personne ne pourrait passer inapperçue.
Et c'est là qu'une idée lui traverse l'esprit. Et si, par le plus grand des hasards, les personnes convoquées à la même heure qu'elle, l'ayant vu arriver, avait décidé d'attendre son départ pour être certains de ne pas avoir à la saluer ? C'était une supposition plus agréable que celle qui consisterait à se présenter tard pour faire trainer la cérémonie et la rendre invalide, ou même que sa présence serve d'excuse pour justement faire trainer la dite cérémonie.
Elle retient une grimace à ces idées stupides qui viennent lui traverser l'esprit. Personne ne pourrait être assez tordu en dehors d'elle pour l'avoir pensé, non ? Mais bon, grande langue comme elle a la réputation de l'être, mais surtout pour à la fois satisfaire une curiosité et prendre la température des lieux, si personne n'arrive, elle profitera que le régnant n'a rien d'autre à faire qu'à attendre pour lui parler de tout ça, les yeux dans les yeux. Après tout, tant qu'il n'y avait personne, elle pourrait rester jusqu'à l'heure de passage des Vicomtes si elle en avait envie.
La voix du coms résonne, paraissant de fait plus forte qu'à l'ordinaire.
Une profonde inspiration et à nouveau le serment de son engagement envers le Languedoc va être prononcé. Elle retient un sourire à l'évocation d'une conversation qu'elle avait tenu il y a peu sur les présents symbolisant le fief, moyen de subsistance et le fait que le régnant, parfois, offrait un anneau, voire même un gant ce qui était bien plus personnel. Le rire était venu à imaginer un régnant "offrant" à chaque vassal une pièce de son habillement comme gage et à combien de vassaux il pourrait faire une telle offrande avant de se retrouver nu comme au premier instant de sa vie.
Non, ne pas penser à ça ! Si elle s'imagine Liam dans le plus simple appareil, c'en est fichu du serment, elle ne pourra pas parler sans rire avant au moins une paire d'heure. Alors elle prend sur elle, mais ne peut empêcher ses yeux de pétiller de malice en prononçant.
Moi, Enduril de Noùmerchat, vous reconnais vous, Liam de Saint-Didier, comme légitime Coms de Lengadòc. A ce titre, je renouvelle devant vous ce jour le serment qui me lie envers le Languedoc et vous promet pour la durée de votre règne, Obsequium, Auxilium et Consilium.
Voilà, on dit jamais deux sans trois, elle l'a fait !
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Enduril
Elle avait vu le Coms entrer dans la salle et se diriger aussitôt vers le héraut et l'entretenir. Regard autour d'elle pour vérifier, des fois qu'un pilier ait poussé, pile devant elle, la dissimulant. Ah non, rien. Son regard fait le tour de la salle pour jauger la foule qui s'y presse. En dehors des deux hommes, il n'y a que sa fille et elle. Elle fait le compte sur ses doigts de qui n'est plus en Languedoc, qui doit encore et toujours être en retraite. Ah bah il en reste qui doivent être bien présents. Et quoi de mieux que de venir de bonne heure, avant de commencer la journée de travail ? Elle hausse les épaules et salue en retour le maréchal d'armes qui vient d'arriver.
L'attente se poursuit et la fillette de son côté a vite fait le tour des travaux d'embellissements de la pièce. Une bonne chose, à défaut du prestige, au moins la salle de plaid était bichonnée et le Languedoc le valait bien.
Une bonne chose, elle peut faire les cent pas pour se dégourdir les jambes sans se heurter à qui que ce soit.
Enfin, sans doute las d'attendre encore, la voilà appelée. Elle hausse un sourcil devant la formulation. Et oui, voilà que maintenant, il semblait que soit devenu obligatoire le fait de ployer le genou. Et puis quoi encore ? D'abord ça, c'est si elle veut, naméo ! Les précédents sont là rendant caduque cette formulation. Coutume, quand tu nous tiens...
Elle s'avance, la petite main d'Esperança serrée dans la sienne jusqu'à arriver devant le régnant où elle l'a lâche tandis que mère et fille plongent ensemble dans une révérence des plus protocolaires et des plus synchronisées, preuve d'un entrainement à deux qui a porté ses fruits.
Elles se redressent et l'enfant reste à sa place, tel qu'on lui a enseigné, pendant que sa mère avance d'un pas et ploie le genou, joignant ses mains devant elle. Les papotages éventuels, ça sera pour après. Elle est curieuse quant à ces décorations...
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L'attente se poursuit et la fillette de son côté a vite fait le tour des travaux d'embellissements de la pièce. Une bonne chose, à défaut du prestige, au moins la salle de plaid était bichonnée et le Languedoc le valait bien.
Une bonne chose, elle peut faire les cent pas pour se dégourdir les jambes sans se heurter à qui que ce soit.
Enfin, sans doute las d'attendre encore, la voilà appelée. Elle hausse un sourcil devant la formulation. Et oui, voilà que maintenant, il semblait que soit devenu obligatoire le fait de ployer le genou. Et puis quoi encore ? D'abord ça, c'est si elle veut, naméo ! Les précédents sont là rendant caduque cette formulation. Coutume, quand tu nous tiens...
Elle s'avance, la petite main d'Esperança serrée dans la sienne jusqu'à arriver devant le régnant où elle l'a lâche tandis que mère et fille plongent ensemble dans une révérence des plus protocolaires et des plus synchronisées, preuve d'un entrainement à deux qui a porté ses fruits.
Elles se redressent et l'enfant reste à sa place, tel qu'on lui a enseigné, pendant que sa mère avance d'un pas et ploie le genou, joignant ses mains devant elle. Les papotages éventuels, ça sera pour après. Elle est curieuse quant à ces décorations...
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Liam_de_st_didier
Et voilà le tour de la Comtessa et Liam de lui poser la question rituelle et de faire un sourire à l'enfant.
Enduril, voulez vous tout à fait être notre femme ?
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Enduril, voulez vous tout à fait être notre femme ?
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Louis_gauttier
- Béarn secoue la tête amusé.
-"Allons ne soyez pas défaitiste Languedoc. Il n'y a point de raison que ça ne fonctionne pas."
Une tape dans le dos plus tard et Béarn se retrouvait un peu plus loin pour laisser un peu d'air à Languedoc. Il s'arma d'une plume et d'un vélin pour rédiger les minutes de la cérémonie.
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Arcadhias
Un seul membre de la Haute noblesse venait d'arriver. Et bien, ça commençait mal.
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Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
- - « Votre Grandeur, si vous êtes prêt, nous pouvons commencer en faisant passer la Comtesse du Razès en Limouxin qui vient d'arriver.
Les autres suivront. Je l'espère. »
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Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre.
Je suis prêt.
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Je suis prêt.
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Arcadhias
- - « Membres de la haute noblesse du Languedoc, vous êtes aujourd'hui réunis afin de prêter serment devant Sa Grandeur Liam de Saint Didier, élu par les urnes et nommé cinquante-sixième Comte du Languedoc par Sa très aristotélicienne Majesté la Reyne. »
- - « Que s'avance et ploie le genou devant Sa Grandeur, Sa Grandeur Isabeau Anne de Noùmerchat, pour les terres du Razès en Limouxin et de Ganges ! »
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Louis_gauttier
- Une nouvelle cérémonie en Languedoc. Béarn se présenta en salle du trône pour venir rejoindre Languedoc. Il salua le Régnant et la Comtesse qui était présente.
-"Adisiatz."
Avant de souffler à voix basse à Languedoc:
-"Une bouteille de patxaran et un ballotin de foi gras qu'elle se finira dans les délais. "
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Arcadhias
13 janvier 1466 - 08h00
Fatalement, dès lors que des tranches horaires sont prévues pour que le ban ne se déplace pas en même temps, la salle du trône se retrouve exceptionnellement vide pour un jour de cérémonie après l'ouverture des portes !
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Fatalement, dès lors que des tranches horaires sont prévues pour que le ban ne se déplace pas en même temps, la salle du trône se retrouve exceptionnellement vide pour un jour de cérémonie après l'ouverture des portes !
- - « Adieussiatz vostre Grandeur. Nous allons bien mercè et vous même ?
Compte tenu des difficultés rencontrées la dernière fois, nous avons mis un place un nouveau système de passage. Si celui-ci ne vous permet plus, je le conviens, de choisir véritablement l'ordre de passage des nobles selon leur rang, il vous est toujours possible de les appeler soit par ordre d'arrivée, soit par ordre alphabétique.
Néanmoins compte tenu des arrivées parfois aléatoires, je recommande toujours le premier.
Bonjorn Béarn ! J'espère bien que nous finirons à temps !
Honnêtement, si ce n'est pas le cas, je suis à court d'idées.. »
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Liam_de_st_didier
Et Liam qui c'était levé, avant que l'aube ne blanchisse la campagne, arriva dans la salle des allégeances.
Il salua le héraut et vérifia que tout soit en place, comme il avait été demandé.
Bonjour Languedoc, comment allez vous ?
Puis il attendit les nobles, du Comté.
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Il salua le héraut et vérifia que tout soit en place, comme il avait été demandé.
Bonjour Languedoc, comment allez vous ?
Puis il attendit les nobles, du Comté.
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Enduril
[La veille, Hôtel particulier des Noùmerchats]
Hé bhé ! Ca va être coton ça encore !
C'est la première pensée qui lui vient à la lecture de la convocation pour la cérémonie d'allégeances. Et bien sûr il fallait qu'elle soit appelée à l'aube, la seconde aube, la première est au levé du soleil, la seconde est entre Prime et Tierce, à ne pas confondre avec l'aube du "Disciplus Simplex" qui elle se situe en général entre Sexte et Vigiles.
Et en général, à cette heure, elle est occupée à sa pause boisson chaude, confortablement installée auprès du feu de la bibliothèque, se donnant le courage d'affronter sa journée de labeur.
Au lieu de ça, elle va devoir se lever plus tôt afin de revêtir les lourds vêtements de cérémonie qu'elle se doit de porter pour l'occasion.
[Toujours au même endroit, jour de la cérémonie, vers 6h00]
L'occasion en effet de sortir les velours, les soies et les brocards, mais aussi d'ouvrir le coffre à bijoux, celui bien dissimulé dans le mur de sa chambre, sous les yeux éblouis d'Esperança qui se débrouillait toujours pour être présente et tenter de plonger ses menottes dans le coffre de bois de rose et tenter de sortir de leurs bourses de satin les joyaux précieux de sa mère.
Elle aussi avait commencé à assimiler l'apprentissage maternel. Les riches étoffes et les ornements de vêtements sont un investissement, d'ailleurs, sa mère lui avait déjà expliqué que toutes ces tenues étaient un investissement dont elle et ses frères hériteraient un jour. De même une femme avisée se devait de savoir investir son capital dans quelque chose de facilement transportable et monnayable, et surtout de valeur, c'est à dire en pierres précieuses. Et un bijou avec une pierre de belle facture devait passer avant un quelconque colifichet, joli, certes, mais de valeur bien moindre.
Le petit visage auréolé de boucles brunes s'épanouit et un rire perlé tombe des lèvres carmine de l'enfant tandis qu'elle frappe dans ses mains en voyant apparaitre une parure d'émeraudes de belles tailles.
Enduril lève le collier et laisse la lumière qui tombe de la fenêtre jouer sur les éclats des pierres qui brillent de mille feux, puis, pour le plus grand plaisir de l'enfant, le lui pose sur la tête comme pour la ceindre d'une couronne, puis s'incline devant elle.
Je m'incline devant vous, Votre Altesse Esperança, Princesse de mon coeur.
Et un nouvel éclat de rire sort de la bouche de l'enfant tandis que sa mère plonge dans une révérence profonde et fait mine de tomber.
Elle prend alors l'enfant dans ses bras, la serre contre son coeur, rattrape le collier alors qu'il glisse de sa tête et le repose dans le coffret, puis elle la porte à bout de bras avant de tourbillonner dans un envol de robes et de jupons.
Légèrement étourdie, elle pose la petite sur la table où sont disposés ses objets de toilettes. Elle prend place sur un carreau de tapisserie et laisse sa tête aux mains experte d'une domestique qui brosse longuement sa chevelure brune, parsemée d'un peu plus de fils d'argents encore éparses. Ses cheveux sont tressés, tordus, piqués d'épingles et ornés d'émeraudes qui scintillent et mettent en valeur la coiffe délicate qui est posée crânement sur sa tête.
Vient ensuite le cérémonial des jupons posés au sol qu'elle enjambe et sont remontés le long de son corps et resserrés à la taille par des cordons. Les jambes sont gainées de soie au lieu de la laine habituelle et les rubans brodés de ses jarretières les fixent juste sous le genou pour ne pas la gêner et éviter de trop la serrer pour qu'ils ne puissent glisser.
Enfin, la lourde robe de brocard d'un vert olive, rebrodée de fils d'or et de délicates fleurs de violette aux pétales d'améthystes.
Un manteau de cour donc la traine se déroule sur le sol, un voile de poudre et un soupçon de parfum, la voilà prête sous le regard ébloui de la petite.
Avec un sourire, sa mère lui applique une touche de parfum derrière les oreilles.
Voilà, ma chérie, toi aussi tu sens bon ! Et regarde !
Elle emmène l'enfant près d'un coffre de cèdre qu'elle ouvre, prend un paquet emballé dans de l'étoffe, en écarte les plis qui laissent apparaitre une robe de fillette, du bleu azur conforme à son sexe, mais d'un velours de ce bleu que l'on appelle royal, et ornée de dentelles blanches et or.
Tiens, ma chérie, à toi de te faire belle, tu viens avec moi.
Et c'est avec des cris de ravissements que la petite se laisse dévêtir, puis revêtir de ses nouveaux atours. Ses cheveux sont dissimulés sous un béguin de dentelle blanche et une chaude cape en fourrure vient l'envelopper à l'instar de celle qui est posée au même moment sur les épaules maternelle.
Direction la voiture familiale, la belle, celle ornée de boiseries d'ébènes. Elle regarde avec des yeux rond un détail qu'elle n'avait encore jamais vu sur sa mère.
A un baudrier rebrodé d'un entrelacs de bogues de châtaigne est suspendue une épée dont la garde est finement ouvragée d'une guirlande végétale et le pommeau d'une tête de dragon à la bouche ouverte comme se refermant sur une perle de diamant de la taille d'une belle noisette et dont les yeux d'émeraude semblent jeter des éclairs de défit au monde. Quitte à suivre les recommandations, autant les avoir suivi aussi au pied de la lettre.
Et c'est sous l'escorte menée par un Capitaine de la garde qui ne semble pas en mener large sur sa selle.
Le trajet est vivement mené, le marchepied déployé et des mains tendues pour les aider à descendre. Et c'est toujours entourée qu'elle pénètre dans la salle tout juste ouverte, un de ses laquais allant annoncer son arrivée.
Un regard alentour et une petite moue. Elle aurait dû passer comme d'habitude acheter un cornet d'oublies, car pour l'instant, rien à se mettre sous la dent et sous celle de l'enfant qu'il va falloir trouver à occuper, à moins de passer rapidement. Et déjà, commencer par se pencher vers la petite et...
Tiens-toi bien, ma chérie et n'oublie pas qui nous sommes, qui tu es. Un jour, toi aussi tu seras à cette place, à prêter allégeance pour les titres que tu auras gagné à la sueur de ton front, pas comme tant d'autres. Et tu fera la fierté de ta race du sang riche qui coule dans tes veines.
Les concepts de l'honneur, du sang, de la race, elle les entend encore et encore depuis sa naissance et elle en est abreuvée et nourrie. Même si elle ne comprend pas tout, elle sait que c'est important, qu'elle n'est pas comme les enfants des métayers ou des artisans de la ville. Non, elle est issue d'une caste, même si parfois elle a entendu certain la qualifier de bâtarde, ce qui faisait en général naître des éclairs dans les yeux de sa mère. Heureusement, son frère Gabrièl lui avait montré ce que c'était. Une jolie épée. Et ceux qui voudraient un jour s'en prendre à sa famille, ça serait à elle de faire l'épée et de tous les tuer.
La guerre est aussi dans son sang, elle sait qu'elle est née pour ça, pour diriger et pour se battre, mais aussi pour les jolis vêtements, les bijoux, les belles cérémonie et qu'elle doit apprendre et faire ce qu'on lui demande. Elle aura le temps de redevenir une fillette en rentrant, quand elle se gausserait de son frère pour avoir accompagné seule sa mère.
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Hé bhé ! Ca va être coton ça encore !
C'est la première pensée qui lui vient à la lecture de la convocation pour la cérémonie d'allégeances. Et bien sûr il fallait qu'elle soit appelée à l'aube, la seconde aube, la première est au levé du soleil, la seconde est entre Prime et Tierce, à ne pas confondre avec l'aube du "Disciplus Simplex" qui elle se situe en général entre Sexte et Vigiles.
Et en général, à cette heure, elle est occupée à sa pause boisson chaude, confortablement installée auprès du feu de la bibliothèque, se donnant le courage d'affronter sa journée de labeur.
Au lieu de ça, elle va devoir se lever plus tôt afin de revêtir les lourds vêtements de cérémonie qu'elle se doit de porter pour l'occasion.
[Toujours au même endroit, jour de la cérémonie, vers 6h00]
L'occasion en effet de sortir les velours, les soies et les brocards, mais aussi d'ouvrir le coffre à bijoux, celui bien dissimulé dans le mur de sa chambre, sous les yeux éblouis d'Esperança qui se débrouillait toujours pour être présente et tenter de plonger ses menottes dans le coffre de bois de rose et tenter de sortir de leurs bourses de satin les joyaux précieux de sa mère.
Elle aussi avait commencé à assimiler l'apprentissage maternel. Les riches étoffes et les ornements de vêtements sont un investissement, d'ailleurs, sa mère lui avait déjà expliqué que toutes ces tenues étaient un investissement dont elle et ses frères hériteraient un jour. De même une femme avisée se devait de savoir investir son capital dans quelque chose de facilement transportable et monnayable, et surtout de valeur, c'est à dire en pierres précieuses. Et un bijou avec une pierre de belle facture devait passer avant un quelconque colifichet, joli, certes, mais de valeur bien moindre.
Le petit visage auréolé de boucles brunes s'épanouit et un rire perlé tombe des lèvres carmine de l'enfant tandis qu'elle frappe dans ses mains en voyant apparaitre une parure d'émeraudes de belles tailles.
Enduril lève le collier et laisse la lumière qui tombe de la fenêtre jouer sur les éclats des pierres qui brillent de mille feux, puis, pour le plus grand plaisir de l'enfant, le lui pose sur la tête comme pour la ceindre d'une couronne, puis s'incline devant elle.
Je m'incline devant vous, Votre Altesse Esperança, Princesse de mon coeur.
Et un nouvel éclat de rire sort de la bouche de l'enfant tandis que sa mère plonge dans une révérence profonde et fait mine de tomber.
Elle prend alors l'enfant dans ses bras, la serre contre son coeur, rattrape le collier alors qu'il glisse de sa tête et le repose dans le coffret, puis elle la porte à bout de bras avant de tourbillonner dans un envol de robes et de jupons.
Légèrement étourdie, elle pose la petite sur la table où sont disposés ses objets de toilettes. Elle prend place sur un carreau de tapisserie et laisse sa tête aux mains experte d'une domestique qui brosse longuement sa chevelure brune, parsemée d'un peu plus de fils d'argents encore éparses. Ses cheveux sont tressés, tordus, piqués d'épingles et ornés d'émeraudes qui scintillent et mettent en valeur la coiffe délicate qui est posée crânement sur sa tête.
Vient ensuite le cérémonial des jupons posés au sol qu'elle enjambe et sont remontés le long de son corps et resserrés à la taille par des cordons. Les jambes sont gainées de soie au lieu de la laine habituelle et les rubans brodés de ses jarretières les fixent juste sous le genou pour ne pas la gêner et éviter de trop la serrer pour qu'ils ne puissent glisser.
Enfin, la lourde robe de brocard d'un vert olive, rebrodée de fils d'or et de délicates fleurs de violette aux pétales d'améthystes.
Un manteau de cour donc la traine se déroule sur le sol, un voile de poudre et un soupçon de parfum, la voilà prête sous le regard ébloui de la petite.
Avec un sourire, sa mère lui applique une touche de parfum derrière les oreilles.
Voilà, ma chérie, toi aussi tu sens bon ! Et regarde !
Elle emmène l'enfant près d'un coffre de cèdre qu'elle ouvre, prend un paquet emballé dans de l'étoffe, en écarte les plis qui laissent apparaitre une robe de fillette, du bleu azur conforme à son sexe, mais d'un velours de ce bleu que l'on appelle royal, et ornée de dentelles blanches et or.
Tiens, ma chérie, à toi de te faire belle, tu viens avec moi.
Et c'est avec des cris de ravissements que la petite se laisse dévêtir, puis revêtir de ses nouveaux atours. Ses cheveux sont dissimulés sous un béguin de dentelle blanche et une chaude cape en fourrure vient l'envelopper à l'instar de celle qui est posée au même moment sur les épaules maternelle.
Direction la voiture familiale, la belle, celle ornée de boiseries d'ébènes. Elle regarde avec des yeux rond un détail qu'elle n'avait encore jamais vu sur sa mère.
A un baudrier rebrodé d'un entrelacs de bogues de châtaigne est suspendue une épée dont la garde est finement ouvragée d'une guirlande végétale et le pommeau d'une tête de dragon à la bouche ouverte comme se refermant sur une perle de diamant de la taille d'une belle noisette et dont les yeux d'émeraude semblent jeter des éclairs de défit au monde. Quitte à suivre les recommandations, autant les avoir suivi aussi au pied de la lettre.
Et c'est sous l'escorte menée par un Capitaine de la garde qui ne semble pas en mener large sur sa selle.
Le trajet est vivement mené, le marchepied déployé et des mains tendues pour les aider à descendre. Et c'est toujours entourée qu'elle pénètre dans la salle tout juste ouverte, un de ses laquais allant annoncer son arrivée.
Un regard alentour et une petite moue. Elle aurait dû passer comme d'habitude acheter un cornet d'oublies, car pour l'instant, rien à se mettre sous la dent et sous celle de l'enfant qu'il va falloir trouver à occuper, à moins de passer rapidement. Et déjà, commencer par se pencher vers la petite et...
Tiens-toi bien, ma chérie et n'oublie pas qui nous sommes, qui tu es. Un jour, toi aussi tu seras à cette place, à prêter allégeance pour les titres que tu auras gagné à la sueur de ton front, pas comme tant d'autres. Et tu fera la fierté de ta race du sang riche qui coule dans tes veines.
Les concepts de l'honneur, du sang, de la race, elle les entend encore et encore depuis sa naissance et elle en est abreuvée et nourrie. Même si elle ne comprend pas tout, elle sait que c'est important, qu'elle n'est pas comme les enfants des métayers ou des artisans de la ville. Non, elle est issue d'une caste, même si parfois elle a entendu certain la qualifier de bâtarde, ce qui faisait en général naître des éclairs dans les yeux de sa mère. Heureusement, son frère Gabrièl lui avait montré ce que c'était. Une jolie épée. Et ceux qui voudraient un jour s'en prendre à sa famille, ça serait à elle de faire l'épée et de tous les tuer.
La guerre est aussi dans son sang, elle sait qu'elle est née pour ça, pour diriger et pour se battre, mais aussi pour les jolis vêtements, les bijoux, les belles cérémonie et qu'elle doit apprendre et faire ce qu'on lui demande. Elle aura le temps de redevenir une fillette en rentrant, quand elle se gausserait de son frère pour avoir accompagné seule sa mère.
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Arcadhias
13 janvier 1466 - 7h30
Les préparatifs se terminent avant le début de la cérémonie, et il nouvelle technique d'approche sera employée pour celle-ci ; plus efficace, plus rapide.
Wait and see.
La salle du trône venait d'être richement décorée et enluminée pour l'occasion, les portes pouvaient alors s'ouvrir et laisser entrer les premiers arrivants.
Cérémonie divisée en plusieurs parties donc, la première consacrée à la Haute noblesse ainsi qu'aux éventuelles primes allégeances -aucune pour cette fois- et la journée irait en dégressif.
Si tout se passe bien, tous les comtes seront passés avant 10 heures, et une petite pause pourra être faite, profitable à chacun, avant de reprendre à son issue, pour la moyenne noblesse, à savoir les vicomtes et barons.
_________________
Exams > Cours > Travail > Vie privée > Détente > RRs. /!\ À la bourre, je sais, je rattrape ASAP
En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Les préparatifs se terminent avant le début de la cérémonie, et il nouvelle technique d'approche sera employée pour celle-ci ; plus efficace, plus rapide.
Wait and see.
La salle du trône venait d'être richement décorée et enluminée pour l'occasion, les portes pouvaient alors s'ouvrir et laisser entrer les premiers arrivants.
Cérémonie divisée en plusieurs parties donc, la première consacrée à la Haute noblesse ainsi qu'aux éventuelles primes allégeances -aucune pour cette fois- et la journée irait en dégressif.
Si tout se passe bien, tous les comtes seront passés avant 10 heures, et une petite pause pourra être faite, profitable à chacun, avant de reprendre à son issue, pour la moyenne noblesse, à savoir les vicomtes et barons.
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Arcadhias
CÉRÉMONIE DU 13 JANVIER 1466 - LANGUEDOC
Citation:
Légende :
- Noir : Noble actif
- Brun : Retraite spirituelle
- Or : Disparition
- Gris : Mort ou introuvable
- ▲ : Noble présent
- ► : Noble ayant envoyé une allégeance épistolaire
- ✓ : Allégeance acceptée
- x : Noble ayant reçu un rappel (le 30.01)
- x : Noble dérogeant / allégeance refusée
- Magenta : Régnant(e) & son époux(se)
- Noir : Noble actif
- Brun : Retraite spirituelle
- Or : Disparition
- Gris : Mort ou introuvable
- ▲ : Noble présent
- ► : Noble ayant envoyé une allégeance épistolaire
- ✓ : Allégeance acceptée
- x : Noble ayant reçu un rappel (le 30.01)
- x : Noble dérogeant / allégeance refusée
- Magenta : Régnant(e) & son époux(se)
Citation:
Comtes & Comtesses :
- ✓ ► Actarius Malzac d'Euphor & Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg
[Actarius (14.01) & Ingeburge (14.01)]
Comtes du Tournel et Barons de Florac - ✓ ► Andrea de Mortemart Amnell
[Andrea. (14.01)]
Comte de Castelpor - x ▲ Bbred de Lortz
[Bbred (30.01)]
Comte de Pézenas, Baron du Pouget - ✓ ► Castelreng du Cougain
[Castelreng (14.01)]
Comtes de Joucou - x ✓ ▲ Cebyss de la Roseraie
[Cebyss (30.01)]
Comtesse de Saissac, Baronne de Pons de Thomières - x Enric Artús Tomas Cano d'Alveirny
[Enric (12.11.65)]
Comte de Corbières - ✓ ▲ Isabeau-Anne de Noùmerchat
[Enduril (14.01)]
Comtesse du Razès en Limouxin, Baronne de Ganges - x Klanacier
[Klanacier (04.08.65)]
Comte de Minerve - x Magalona Eufrasia d'Alanha
[Magalona_Eufrasia (23.12.65)]
Comtesse du Gévaudan, Baronne d'Alaigne, Dame de Cazels - ✓ ▲ Malkav & Meval de Vamperià
[Malkav (14.01) & Meval (14.01)]
Comtes de Rochefort d’Oc et de Laudun, Barons de Bagnols - x Nepher Sonozoa
[Nepher (17.11.65)]
Comte de Melgueil
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Arcadhias
Cérémonie d'allégeances - 3ème mandat de Liam de Saint Didier, LVIème Comte du Languedoc.
Journée du samedi 13 janvier 1466 - 8h - Passage de de la Haute noblesse
Journée du samedi 13 janvier 1466 - 8h - Passage de de la Haute noblesse
ANNEXE HRP
ATTENTION : NOUVELLES RÈGLES MISES EN PLACE
La cérémonie se déroule sur une journée RP, celle du 13 janvier, du matin (8 heures) jusqu'au soir (18 heures).
Pour permettre une cérémonie plus rapide, 4 sujets seront ouverts.
1 sur la 1ère partie de la cérémonie à destination des primes allégeances et de la Haute noblesse (Comtes) aux heures RP : 8h - 10h
1 sur la 2nde partie de la cérémonie à destination de la Moyenne noblesse (Vicomte/Baron) aux heures RP : 10h - 12h (Vicomtes) et 14h - 16h pour les (Barons)
1 sur la 3ème partie de la cérémonie à destination de la Basse noblesse (seigneurs) aux heures RP : 16h - 18h.
1 sur les allégeances épistolaires, aux heures RP déterminée après la dernière allégeance.
À noter que la présence du personnage noble ne sera attendue que sur la partie le concernant selon son rang, néanmoins il lui est parfaitement loisible de poster sur les autres sujets ouverts pour la cérémonie ; les joueurs étant notamment invités à rendre la cérémonie vivante.
Si la cérémonie ne se termine pas avant les prochaines élections comtales, la 3ème partie sera supposée s'être terminée après minuit -même si le retard porte uniquement sur la 1ère ou la 2ème partie ; et conformément aux règles HRP aucune sanction pour dérogeance ne pourra être prononcée par le Comte, ceci afin d'éviter d'éventuels abus.
Cette journée RP correspondra à une période HRP s'étalant du 13 janvier au 13 février inclus, jusqu'à minuit. À partir de cette date HRP, les portes de la salle seront fermées et votre personnage, ou son allégeance épistolaires, s'ils ne sont pas arrivés à cette date, ne pourront pas y pénétrer. Il sera alors plus de 18 heures en temps RP, et les nobles qui n'ont pas encore prêté allégeance et présent dans la salle pourront néanmoins toujours le faire.
S'agissant des allégeances épistolaires :
Les lettres doivent être datées du jour de l'allégeance, soit le 13 janvier 1466.
Pour éviter toute tricherie ou contestation ou usurpation, l'utilisation de personnages secondaires (PS) est conditionnée à la confirmation du joueur du personnage joué (PJ) concerné qu'il est bien au courant de l'intervention du PS ; la confirmation sera adressée au joueur du héraut par message privé.
ATTENTION : NOUVELLES RÈGLES MISES EN PLACE
La cérémonie se déroule sur une journée RP, celle du 13 janvier, du matin (8 heures) jusqu'au soir (18 heures).
Pour permettre une cérémonie plus rapide, 4 sujets seront ouverts.
1 sur la 1ère partie de la cérémonie à destination des primes allégeances et de la Haute noblesse (Comtes) aux heures RP : 8h - 10h
1 sur la 2nde partie de la cérémonie à destination de la Moyenne noblesse (Vicomte/Baron) aux heures RP : 10h - 12h (Vicomtes) et 14h - 16h pour les (Barons)
1 sur la 3ème partie de la cérémonie à destination de la Basse noblesse (seigneurs) aux heures RP : 16h - 18h.
1 sur les allégeances épistolaires, aux heures RP déterminée après la dernière allégeance.
À noter que la présence du personnage noble ne sera attendue que sur la partie le concernant selon son rang, néanmoins il lui est parfaitement loisible de poster sur les autres sujets ouverts pour la cérémonie ; les joueurs étant notamment invités à rendre la cérémonie vivante.
Si la cérémonie ne se termine pas avant les prochaines élections comtales, la 3ème partie sera supposée s'être terminée après minuit -même si le retard porte uniquement sur la 1ère ou la 2ème partie ; et conformément aux règles HRP aucune sanction pour dérogeance ne pourra être prononcée par le Comte, ceci afin d'éviter d'éventuels abus.
Cette journée RP correspondra à une période HRP s'étalant du 13 janvier au 13 février inclus, jusqu'à minuit. À partir de cette date HRP, les portes de la salle seront fermées et votre personnage, ou son allégeance épistolaires, s'ils ne sont pas arrivés à cette date, ne pourront pas y pénétrer. Il sera alors plus de 18 heures en temps RP, et les nobles qui n'ont pas encore prêté allégeance et présent dans la salle pourront néanmoins toujours le faire.
S'agissant des allégeances épistolaires :
Les lettres doivent être datées du jour de l'allégeance, soit le 13 janvier 1466.
Pour éviter toute tricherie ou contestation ou usurpation, l'utilisation de personnages secondaires (PS) est conditionnée à la confirmation du joueur du personnage joué (PJ) concerné qu'il est bien au courant de l'intervention du PS ; la confirmation sera adressée au joueur du héraut par message privé.
convocation a écrit:
- À Vous, membres du ban languedocien
De Nous, Arcadhias de Vaudalm, dict "Languedoc", Héraut d'Armes royal.
Adieussiatz !
Par la présente, annonçons que, le samedi 13 janvier 1466, auront lieu les allégeances envers Sa Grandeur Liam de Saint Didier au Castèl Comtal de Montpelhièr, suite à sa reconnaissance par le nouveau conseil comtal languedocien et à son allégeance acceptée envers Sa Majestée Alvira de la Duranxie, Reyne de France, faisant de lui le LVIème Comte du Languedoc.
Qu'il soit conséquemment su :
- Que les membres du ban de Languedoc sont invités à renouveler en personne leur propre serment ;
Que la cérémonie d'allégeance aura lieu en date et lieu indiquée précédemment ;
Que l'allégeance est obligatoire ;
Qu'en cas d'incapacité réelle de vous rendre à la cérémonie, vous pouvez formuler vostre allégeance par missive ;
Pour rappel :
- Votre allégeance doit expressément reconnaître le Comte Liam de Saint Didier comme étant votre Suzerain et lui promettre fidélité, aide et service armée ainsi que conseil (Obsequium, Auxilium, Consilium) ;
Le serment épistolaire devra être daté, signé et éventuellement scellé du jour de la cérémonie, soit le 13 janvier 1466 ;
Tout noble ne remplissant pas son devoir dans les temps sera signalé au Comte qui pourra demander la destitution du ou des dérogeants ;
Le port des armes est obligatoire ;
Qu'Aristote veille sur Vous,
Salutations sincères.
Rédigé et scellé le douzième jour du mois de janvier mil-quatre-cent soixante-six à Montpellier,
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Liam_de_st_didier
Et Liam de voir arriver le dernier de la Haute noblesse et d'attendre qu'il se mette à genou comme tout les autres, vu qu'iul ne devait pas y avoir de différence entre eux.
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Bbred
Et de Bbred qui ne sait pas lire dans les pensées d'attendre avec un sourire paisible en se dendinant légèrement sur ses jambes comme quelqu'un qui a envie de pisser.
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a revoir
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a revoir
Arcadhias
Bin oui. Forcément.
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
- - « Comte de Pézenas, l'usage veut que les nobles fassent acte de déférence en ployant le genou au sol pour prêter serment devant leur suzerain. »
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Arcadhias
Tape du pied. Oui oui. On va arriver au bout de l'allégeance des Comtes.
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- - « Comte de Pézenas ? »
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Bbred
Bbred reste songeur l'espace d'une poignée de secondes avant de s'adresser à Arcadhias.
Il lui épargne un " Qu'est ce que tu me racontes la ?!!" Digne d'un célèbre personnage de sitcom mais son regard lui en dit tout autant.
Il me semble que vous extrapolez.
Au mieux il s'agit d'une nouvelle mode, mais je n'ai nul connaissance d'une telle coutume.
Pourtant je suis rompue à l'exercice.
Je vous suggère si ce phénomène devient récurent et qu'il vous parait nécessaire, de le faire inscrire aux statuts de l'AN.
En attendant su cela ne vous pose guère plus de soucis je préfère rester fidèle à ma réputation d'anticonformiste.
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a revoir
Il lui épargne un " Qu'est ce que tu me racontes la ?!!" Digne d'un célèbre personnage de sitcom mais son regard lui en dit tout autant.
Il me semble que vous extrapolez.
Au mieux il s'agit d'une nouvelle mode, mais je n'ai nul connaissance d'une telle coutume.
Pourtant je suis rompue à l'exercice.
Je vous suggère si ce phénomène devient récurent et qu'il vous parait nécessaire, de le faire inscrire aux statuts de l'AN.
En attendant su cela ne vous pose guère plus de soucis je préfère rester fidèle à ma réputation d'anticonformiste.
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a revoir
Arcadhias
- - « C'est ce qui se fait depuis bien des cérémonies à présent.
Mais à l'instar d'autres coutumes, puisqu'elles ne sont pas inscrites dans le Codex, elles ne sont pas obligatoires. Votre refus ne sera donc pas sanctionné mais marquera une certaine défiance vis à vis du Comte et une volonté de se 'distinguer' des autres représentants de la noblesse qui ont toujours 'joué le jeu'. Mais cela tend davantage à la morale et à votre bonne conscience.
Quant aux statuts de l'Assemblée nobiliaire,
je ne vois pas ce qu'elles viennent faire là dedans, mais passons. »
- - « Votre Grandeur, vous pouvez commencer. »
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Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre très calmement et sans agressivité.
Languedoc, il me semblait que tout les nobles devaient être traiter de la même façon, ils doivent donc se comporter pour les allégeances de la même façon non, ou alors le comportement du Comte de Pézenas sera valable pour les allégeances futures ?
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Languedoc, il me semblait que tout les nobles devaient être traiter de la même façon, ils doivent donc se comporter pour les allégeances de la même façon non, ou alors le comportement du Comte de Pézenas sera valable pour les allégeances futures ?
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Arcadhias
- - « S'agissant des dispositions obligatoires oui. Ce n'est pas le cas du genou au sol qui n'est pas obligatoire, cela ne regarde que sa morale.
Poursuivons. »
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Liam_de_st_didier
Donc comment puis je le traiter comme les autres, s'il ne respecte pas les coutumes du Comté, comme les autres nobles l'ont fait ?
On me dit de traiter les nobles de façon égale et là je ne peux le faire, vu que je n'ai pas à le relever pour l'accolade.
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On me dit de traiter les nobles de façon égale et là je ne peux le faire, vu que je n'ai pas à le relever pour l'accolade.
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Bbred
Bbred toussotte.
Je comprend votre soucis du détails mais j'appel à un peu de souplesse.
Je doute qu'il y ait eut un soucis moral sur les allégeance du temps de Legueux par exemple.
Puis quite à vouloir respecter à la moindre virgule un traitement équitable, pourquoi m'avoir obligé à me lever à l'aube avec un horaire bien plus contraignant qu'un seigneur ou un baron ?
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a revoir
Je comprend votre soucis du détails mais j'appel à un peu de souplesse.
Je doute qu'il y ait eut un soucis moral sur les allégeance du temps de Legueux par exemple.
Puis quite à vouloir respecter à la moindre virgule un traitement équitable, pourquoi m'avoir obligé à me lever à l'aube avec un horaire bien plus contraignant qu'un seigneur ou un baron ?
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a revoir
Arcadhias
- - « L'accolade peut se faire même s'il est déjà debout. Cette partie demeure obligatoire et n'est pas supplétive de volonté. L'égalité de traitement est respectée.
L'organisation nouvelle et les horaires s'expliquent du fait de l'importance du ban, incomparable aux autres provinces.
La 'dérogéance' à l'égalité de traitement, s'il en est une en ce qu'elle consiste à faire venir les nobles à des horaires différents, est donc justifiée par un but légitime et l'atteinte demeure proportionnée au but poursuivi, c'est à dire finir dans les temps pour que la cérémonie ne soit pas de facto invalide.
C'est pourquoi telle pratique a été validée par la Herauderie. Mais rassurez vous, les ordres de passages changeront à chaque allégeance.
Peut-on conclure ?
Les vicomtes attendent justement leur tour depuis un moment, nous sommes en retard. »
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En grève du HRP. Si vous avez une demande concernant la Hérauderie, c'est en RP, sinon ce ne sera pas répondu.
Bbred
J'entends vos arguments et vos contraintes.
Vous comprenez que j'en ai également.
En ce qui me concerne, "Ployer" le genoux est un acte fort qui sous entend qu'il existe une situation saine entre le vassal et le suzzerain.
Qu'aucune animosité, aucune rivalité, aucune rancoeur ou revanche n'ait trouvé sa place dans la relation entre les deux protagonistes sous risques de voir apparaître un jeu malsain de domination ou d'humiliation.
Hors au vue des antécédents qui existent entre sa grandeur et moi même, je ne me sentirais pas à l'aise de procéder ainsi. Sa grandeur à choisit de m'attenter un procès, de critiquer ma gestion, de remettre en cause mes mérites, de prôner la supériorité de son action sur la mienne et de me retirer sa confiance quand à la bonne garde des richesses du Languedoc.
C'est son choix et je ne peux l'obliger à m'estimer, le chemin de la rivalité qu'il semble avoir choisit amène toutefois d'autre options ou une autre vision au clivage politique du Languedoc. Il n'y a toujours du positif dans chaque actions et je n'ai aucun griefs à exprimer en ce moment particuliers parce que ce n'est pas l'endroit tout simplement.
Je gage que ça soit également votre avis.
Ça n'est pas un manque de respect mais une façon saine de pouvoir m'exprimer et prêter allégeance à la couronne du Languedoc et son porteur sans aucune contrainte ni rancoeur.
Les distorsions auront bien loisir à reprendre libre cours des les prochains jours.
Si sa grandeur comprends mon point de vue et mes sentiments je suis pret a commencer.
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a revoir
Vous comprenez que j'en ai également.
En ce qui me concerne, "Ployer" le genoux est un acte fort qui sous entend qu'il existe une situation saine entre le vassal et le suzzerain.
Qu'aucune animosité, aucune rivalité, aucune rancoeur ou revanche n'ait trouvé sa place dans la relation entre les deux protagonistes sous risques de voir apparaître un jeu malsain de domination ou d'humiliation.
Hors au vue des antécédents qui existent entre sa grandeur et moi même, je ne me sentirais pas à l'aise de procéder ainsi. Sa grandeur à choisit de m'attenter un procès, de critiquer ma gestion, de remettre en cause mes mérites, de prôner la supériorité de son action sur la mienne et de me retirer sa confiance quand à la bonne garde des richesses du Languedoc.
C'est son choix et je ne peux l'obliger à m'estimer, le chemin de la rivalité qu'il semble avoir choisit amène toutefois d'autre options ou une autre vision au clivage politique du Languedoc. Il n'y a toujours du positif dans chaque actions et je n'ai aucun griefs à exprimer en ce moment particuliers parce que ce n'est pas l'endroit tout simplement.
Je gage que ça soit également votre avis.
Ça n'est pas un manque de respect mais une façon saine de pouvoir m'exprimer et prêter allégeance à la couronne du Languedoc et son porteur sans aucune contrainte ni rancoeur.
Les distorsions auront bien loisir à reprendre libre cours des les prochains jours.
Si sa grandeur comprends mon point de vue et mes sentiments je suis pret a commencer.
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a revoir
Louis_gauttier
- Béarn n'avait pas trop comprit l'intervention de Languedoc. Ne cherchant pas trop à comprendre pour le moment, il demanda au Régnant Languedocien:
-"Vostre Grandeur, va-t-on avoir une question rituelle ou bien?
Je vous rappelle que vostre devoir, que vous semblez négliger pour la seconde fois, est de recevoir le serment de vos vassaux qu'ils se trouvent genou au sol ou debout. Quoi que vous choisissez décidez vous maintenant."
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Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre sans agressivité.
Messire Bbred que vous me méprisiez, je n'en ai rien à faire, par contre là vous méprisez les languedociesn, qui ont voté pour que la liste que je dirigeais arrive en tête et cela de la part d'un noble de haut rang, n'est pas normale, de plus vous ouvrez une porte en vous permettant de remettre en cause les us et coutumes du Languedoc, que vous dites aimer et là vous ne le montrez absolument pas au contraire et le pire vous êtes le représentant du comté au niveau royal en étant Pair de France, j'avoue que cela me laisse pantois au vu de votre attitude, alors que de part votre rang, vous êtes senser montrer l'exemple.
Languedoc je pense que les prochaines allégeances vont donc pouvoir se faire sans que les nobles soient obligés de mettre genou à terre, vu que cela vient d'être permis, ce qui dans un sens ira plus vite, car pas besoin de se relever.
Sur ce je vais faire plaisir à Béarn et vous poser la question rituelle, pour que nopus puissions passer à la moyenne noblesse, qui vous montrera ce qu'est un véritable noble, je le pense, car eux ne se posent pas ce genre de questions quand ils doivent prêter allégeance et le font en respectant les "régles", si on peut dire qui régissent ces dernières en Languedoc depuis la nuit des temps.
Bbred, voulez vous tout à fait être notre homme ?
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Messire Bbred que vous me méprisiez, je n'en ai rien à faire, par contre là vous méprisez les languedociesn, qui ont voté pour que la liste que je dirigeais arrive en tête et cela de la part d'un noble de haut rang, n'est pas normale, de plus vous ouvrez une porte en vous permettant de remettre en cause les us et coutumes du Languedoc, que vous dites aimer et là vous ne le montrez absolument pas au contraire et le pire vous êtes le représentant du comté au niveau royal en étant Pair de France, j'avoue que cela me laisse pantois au vu de votre attitude, alors que de part votre rang, vous êtes senser montrer l'exemple.
Languedoc je pense que les prochaines allégeances vont donc pouvoir se faire sans que les nobles soient obligés de mettre genou à terre, vu que cela vient d'être permis, ce qui dans un sens ira plus vite, car pas besoin de se relever.
Sur ce je vais faire plaisir à Béarn et vous poser la question rituelle, pour que nopus puissions passer à la moyenne noblesse, qui vous montrera ce qu'est un véritable noble, je le pense, car eux ne se posent pas ce genre de questions quand ils doivent prêter allégeance et le font en respectant les "régles", si on peut dire qui régissent ces dernières en Languedoc depuis la nuit des temps.
Bbred, voulez vous tout à fait être notre homme ?
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Bbred
Bbred écoute avec attention les propos de Liam mais il met quelques secondes supplémentaires à remettre dans l'ordre l'argumentaire complètement décousue de ce dernier.
Une petite voie intérieur lui demande de passer à la suite pour qu'on en finisse.
Les yeux d'Arcadhias en disent tout autant. Ce dernier masque très mal la crispation qui semble se dessiner sur son visage. Il joue sa crédibilité sur ce nouveau système d'allégeance qui se veut révolutionnaire...
Mais oui mais non.
Ce n'est pas qu'il se refuse à faire plaisir à Arcadhias ou à Louis Gauttier mais l'acte d'accusation que sa grandeur Saint Didier lui dresse, ne lui convient guère.
Surtout quand c'est publique.
Pardonnez moi Languedoc mais... j'ai du mal à encaisser l'humiliation.
Je saisie mal le concept d'une tête de liste qui revendique une légitimité sur la façon de penser, et sur le concept même de ce que la noblesse devrait être.Mais également sur l'admiration et le respect que chaque Languedocien devrait lui porter du haut de ses 33%. Il me semblait que le statut de régnant était similaire qu'une liste soit en tête ou non avec 10, 20, 50, 70% ... peu importe.
Je prends sur moi et plaide ma marginalité.
En effet la noblesse languedocienne, avec les nouvelles nominations et destitutions, est passé à plus de 60% a des membres de la mesnie saint Didier et membre alliés de la liste UDL, chiffre encore en progrès.
Je conçoit donc que mon affiliation politique et que mes alliances puissent amener quelques inimitiés et quelques différences interprétations sur nos coutumes. Les salons politiques consistent souvent à débattre de ce genre de concept.
Je ne comprend cependant pas les accusations sur mon mépris de la population languedocienne. Après avoir expliqué que les relations entre sa grandeur et moi Même semblaient confuses, je ne comprend pas que cet argument me soit jeté publiquement au visage. Cette séances est publique et la population qui y est invitée à tout loisir d'écouter et à pouvoir constater la diffamation dont on m'habille en me dressant un portrait défavorable qui inciterait le Languedoc a me mépriser. Je ne suis pas favorable à ce qu'un débat politique ou d'ego y débute car j'y vois la également tout une mecanique électorale. Vous avez vos propres interprétations des us et coutumes qui ne semble pas forcément être en adéquation avec le reste du royaume et ma façon de penser. Vous m'accuser de la travestir voir de la violer.
Vous qualifiez mon comportement comme contraire au bon vivre noblement et me designez comme mauvais exemple pour un genoux non ployé. Plutôt que de m'humilier publiquement il aurait été plus sage de me le dire en privée ou si la faute est trop importante à vos yeux de poser une plainte à l'herauderie. Il me semble que vous savez parfaitement le faire.
Quand à vos derniers propos.
Je suis donc un faux noble.
Ce qui expliquerait donc votre refus de me promettre protection justice et subsistance traduis par l'absence de réponses de votre part lors des dernières allégeances.
Ce qui se renforce par ma mission auprès de la couronne. Après tout, n'avez vous pas justifié la destitution d'Assliva par le fait qu'elle servait la couronne et que l'on ne peut pas courir deux lièvres à la fois ?
Je vois donc que recevoir l'allégeance d'un faux nobles vous contraint et risque de mettre en péril votre sincérité. Vous n'y voyez qu'une finalité à faite plaisir à Bearn.
Je suis donc affecté de vous obliger.
Bearn, Languedoc n'avons pas une difficulté supplémentaire. Quel droit et devoir m'octroie ne statut de faux noble que sa grandeur Liam de saint Didier m'a octroyé ?
Quel est le degré de sincérité et de sécurité m'apporterait l'allégeance que s'apprête à m'offrir sa Grandeur au vue de l'humiliation publique qu'il m'accable ?
A quoi dois je m'attendre?
J'ai également une question qui me travaille déjà depuis ce matin votre Grandeur.
Sachant que les allegeances successives à plusieurs mandats d'un même régnant ne sont pas obligatoires, sachant que vous n'avez pas de prime allégeance à y faire.
Sachant que vous devez être le premier en Languedoc à avoir demander la tenue de 3 allégeances d'affilée... quel est le but de cette derniere cérémonie ?
Je n'y vois que deux explications...
Soit vous tenez absolument à ce qu'un noble vienne vous prêter allégeance dans ce cas là j'ose vous demander qui a vos yeux avait une telle importance.
Ou bien elle a pour but de provoquer une destitution ... Je serais également bien curieux de savoir lesquels.
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a revoir
Une petite voie intérieur lui demande de passer à la suite pour qu'on en finisse.
Les yeux d'Arcadhias en disent tout autant. Ce dernier masque très mal la crispation qui semble se dessiner sur son visage. Il joue sa crédibilité sur ce nouveau système d'allégeance qui se veut révolutionnaire...
Mais oui mais non.
Ce n'est pas qu'il se refuse à faire plaisir à Arcadhias ou à Louis Gauttier mais l'acte d'accusation que sa grandeur Saint Didier lui dresse, ne lui convient guère.
Surtout quand c'est publique.
Pardonnez moi Languedoc mais... j'ai du mal à encaisser l'humiliation.
Je saisie mal le concept d'une tête de liste qui revendique une légitimité sur la façon de penser, et sur le concept même de ce que la noblesse devrait être.Mais également sur l'admiration et le respect que chaque Languedocien devrait lui porter du haut de ses 33%. Il me semblait que le statut de régnant était similaire qu'une liste soit en tête ou non avec 10, 20, 50, 70% ... peu importe.
Je prends sur moi et plaide ma marginalité.
En effet la noblesse languedocienne, avec les nouvelles nominations et destitutions, est passé à plus de 60% a des membres de la mesnie saint Didier et membre alliés de la liste UDL, chiffre encore en progrès.
Je conçoit donc que mon affiliation politique et que mes alliances puissent amener quelques inimitiés et quelques différences interprétations sur nos coutumes. Les salons politiques consistent souvent à débattre de ce genre de concept.
Je ne comprend cependant pas les accusations sur mon mépris de la population languedocienne. Après avoir expliqué que les relations entre sa grandeur et moi Même semblaient confuses, je ne comprend pas que cet argument me soit jeté publiquement au visage. Cette séances est publique et la population qui y est invitée à tout loisir d'écouter et à pouvoir constater la diffamation dont on m'habille en me dressant un portrait défavorable qui inciterait le Languedoc a me mépriser. Je ne suis pas favorable à ce qu'un débat politique ou d'ego y débute car j'y vois la également tout une mecanique électorale. Vous avez vos propres interprétations des us et coutumes qui ne semble pas forcément être en adéquation avec le reste du royaume et ma façon de penser. Vous m'accuser de la travestir voir de la violer.
Vous qualifiez mon comportement comme contraire au bon vivre noblement et me designez comme mauvais exemple pour un genoux non ployé. Plutôt que de m'humilier publiquement il aurait été plus sage de me le dire en privée ou si la faute est trop importante à vos yeux de poser une plainte à l'herauderie. Il me semble que vous savez parfaitement le faire.
Quand à vos derniers propos.
Je suis donc un faux noble.
Ce qui expliquerait donc votre refus de me promettre protection justice et subsistance traduis par l'absence de réponses de votre part lors des dernières allégeances.
Ce qui se renforce par ma mission auprès de la couronne. Après tout, n'avez vous pas justifié la destitution d'Assliva par le fait qu'elle servait la couronne et que l'on ne peut pas courir deux lièvres à la fois ?
Je vois donc que recevoir l'allégeance d'un faux nobles vous contraint et risque de mettre en péril votre sincérité. Vous n'y voyez qu'une finalité à faite plaisir à Bearn.
Je suis donc affecté de vous obliger.
Bearn, Languedoc n'avons pas une difficulté supplémentaire. Quel droit et devoir m'octroie ne statut de faux noble que sa grandeur Liam de saint Didier m'a octroyé ?
Quel est le degré de sincérité et de sécurité m'apporterait l'allégeance que s'apprête à m'offrir sa Grandeur au vue de l'humiliation publique qu'il m'accable ?
A quoi dois je m'attendre?
J'ai également une question qui me travaille déjà depuis ce matin votre Grandeur.
Sachant que les allegeances successives à plusieurs mandats d'un même régnant ne sont pas obligatoires, sachant que vous n'avez pas de prime allégeance à y faire.
Sachant que vous devez être le premier en Languedoc à avoir demander la tenue de 3 allégeances d'affilée... quel est le but de cette derniere cérémonie ?
Je n'y vois que deux explications...
Soit vous tenez absolument à ce qu'un noble vienne vous prêter allégeance dans ce cas là j'ose vous demander qui a vos yeux avait une telle importance.
Ou bien elle a pour but de provoquer une destitution ... Je serais également bien curieux de savoir lesquels.
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a revoir
Bentich
Il est toujours là le vieux briscard depuis le début de la cérémonie et la première moitié de la matinée est largement dépassée, pour quatre personnes de la haute Noblesses, ça fait plus de trente minute par allégeances, woaw qui dit mieux
Bearn, Languedoc, j'aimerais quand même qu'on essaye un peu d'oublier la Mesnie Saint Didier, parce que ça commence doucement à me courir sur le haricot, cette jalousie permanente et maladive qui fait qu'on essaye par tous les moyens de mettre la baronnie dans toutes les affaires.
Il y a une différence entre la Baronnie et Comte en exercice, il en fait partie oui, au titre de fils, mais pas pour ça qu'il dirige la Baronnie.
Et pas de ma faute si des nobles apprécint ma compagnie ainsi que celle des membres de la Baronnie
Merci d'avance et j’espère pour vous que le reste de la cérémonie prendra moins de temps par noble sinon à la nouvelle année on y sera encore
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Bearn, Languedoc, j'aimerais quand même qu'on essaye un peu d'oublier la Mesnie Saint Didier, parce que ça commence doucement à me courir sur le haricot, cette jalousie permanente et maladive qui fait qu'on essaye par tous les moyens de mettre la baronnie dans toutes les affaires.
Il y a une différence entre la Baronnie et Comte en exercice, il en fait partie oui, au titre de fils, mais pas pour ça qu'il dirige la Baronnie.
Et pas de ma faute si des nobles apprécint ma compagnie ainsi que celle des membres de la Baronnie
Merci d'avance et j’espère pour vous que le reste de la cérémonie prendra moins de temps par noble sinon à la nouvelle année on y sera encore
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Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre toujours aussi calmement et sans agressivité.
Alors Merssire Bbred pour votre courrier des allégeances précédantes, Languedoc vous a demandé de le refaire, car pas conforme, donc je n'avais pas à y répondre avant d'avoir le nouveau courrier, que vous n'avez pas daigné faire.
Le but de ces allégeances ci était de tester une nouvelle façon de procéder pour être certains de terminer dans les temps au vu du BAN languedocien et la cérémonie précédante ayant été invalidée pour dépassement du temps impartie, il fallait bien y remédier.
Pour ce qui est de la diffamation votre courrier auquel je n'ai pas répondu ne l'était il pas ?
Et je ne vous traite pas de faux noble, mais de noble ne faisant pas honneur à son rang.
Quand je parle de véritables nobles, c'est dans le sens que eux ne font pas de manières pour prêter allégeances, comme vous le faites.
Et pour ce qui est de l'élection n'est pas le pourcentage de population, mais le fait que notre liste était arrivée en tête, avec majorité d'un élu de plus que vous.
Pour ce qui est des membres de la Baronnie de St Didier, dites moi quels nobles en font parties, s'il vous plait, vu que je n'ai nommé que Messire Gandalf, en Seigneur de mérite, tous les autres ont été nommés bien avant et par d'autres que moi ?
Et pour ce qui est des destitutions bizarrement depuis quelles ont eu lieu nous voyons de nouveau ces personnes en place publique, soit en montant une liste, soit en donnant d'un coups des PEI ou des cours ou en se faisant élire maire d'une ville, pourquoi ne l'ont il pas fait avant ?
Et quand je dis pour faire plaisir à Béarn, c'est pour ne plus perdre de temps et continuer avec le reste de la noblesse qui attend, arrêtez de tout interpréter, à votre sauce.
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Alors Merssire Bbred pour votre courrier des allégeances précédantes, Languedoc vous a demandé de le refaire, car pas conforme, donc je n'avais pas à y répondre avant d'avoir le nouveau courrier, que vous n'avez pas daigné faire.
Le but de ces allégeances ci était de tester une nouvelle façon de procéder pour être certains de terminer dans les temps au vu du BAN languedocien et la cérémonie précédante ayant été invalidée pour dépassement du temps impartie, il fallait bien y remédier.
Pour ce qui est de la diffamation votre courrier auquel je n'ai pas répondu ne l'était il pas ?
Et je ne vous traite pas de faux noble, mais de noble ne faisant pas honneur à son rang.
Quand je parle de véritables nobles, c'est dans le sens que eux ne font pas de manières pour prêter allégeances, comme vous le faites.
Et pour ce qui est de l'élection n'est pas le pourcentage de population, mais le fait que notre liste était arrivée en tête, avec majorité d'un élu de plus que vous.
Pour ce qui est des membres de la Baronnie de St Didier, dites moi quels nobles en font parties, s'il vous plait, vu que je n'ai nommé que Messire Gandalf, en Seigneur de mérite, tous les autres ont été nommés bien avant et par d'autres que moi ?
Et pour ce qui est des destitutions bizarrement depuis quelles ont eu lieu nous voyons de nouveau ces personnes en place publique, soit en montant une liste, soit en donnant d'un coups des PEI ou des cours ou en se faisant élire maire d'une ville, pourquoi ne l'ont il pas fait avant ?
Et quand je dis pour faire plaisir à Béarn, c'est pour ne plus perdre de temps et continuer avec le reste de la noblesse qui attend, arrêtez de tout interpréter, à votre sauce.
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Enduril
Oh, elle était toujours là, bien présente et à occuper une fillette en répondant aux nombreuses questions parfois sans queues ni têtes que l'on pouvait poser à son âge. Mais là, c'est plus fort qu'elle. Déjà qu'elle avait été pratiquement virée de devant le coms alors que personne n'était arrivé, que le maréchal d'armes semblait tellement tendu qu'il allait jusque faire passer un affront pour la noblesse la remise d'un petit sac de sucrerie qui n'avait pris en tout et pour tout que cinq minutes, qu'il faisait un rappel au régnant alors que jusqu'à présent, ce dernier répondait régulièrement, ce qui de ce qui se disait n'avait pas été le cas pour le noble appelé à prêter allégeances ce jour. Des rumeurs qui courraient, lui n'avait fait qu'une cérémonie mais qui avait parue si longue, qu'on aurait pu croire qu'elle durait deux mandats.
Et là, alors qu'il y avait des heures de passage assez confortables, Meval qui s'amuse à jouer les Meval en préférant garder le silence, Cebyss et Bbred qui arrivent à la dernière seconde, sans en avoir rien à secouer si du coup ils vont déborder du temps imparti à la haute noblesse et retarder le reste du ban, voilà maintenant que Bbred fait feu de tout bois pour retarder encore les choses et bien sûr, Bentich qui saute sur l'occasion.
Elle se mord la langue, soupire, puis...
Vous commencez à nous cassez les gonades avec vos conneries. J'en ai ras le voile de vos conneries à tous concernant les Saint-Didier. A croire qu'il n'y a qu'eux en Languedoc et qu'on est soit pro, soit contre.
Réveillez-vous, il y a le Languedoc et c'est lui qui doit passer en priorité.
Quant à vous, Pézenas, faites donc votre devoir, vous aurez le temps de polémiquer ensuite. Vous pourrez même nous la jouer encore une fois politique, même quand la politique n'a rien à voir et qu'on sort tout juste des élections. Et pour votre remarque concernant un manque de réponse à votre missive d'allégeances lors du dernier mandat, je vous rappellerais que de mon côté je n'ai jamais reçu de réponse à celle que je vous avais envoyé avant de me retirer dans un couvent lorsque vous fûtes coms, dernièrement. Sans doute un oubli de votre part comme de celle de tant d'autres oubliant que si le héraut vérifie les missives pour les valider, il revient au régnant d'en envoyer lui-même le pli et d'en garder la preuve en cas de contestation.
C'est avec ce genre d'attitude qu'on en arrive à ne plus rien laisser passer et à regretter d'avoir été trop souple lorsque par le passé nous avons pu nous trouver dans pareille situation.
Donc si maintenant vous acceptez de vous comporter en adulte quelques minutes pour faire avancer les choses, vous pourrez attendre ensuite la fin de la cérémonie pour régler vos comptes.
Et elle s'adresse plus particulièrement à Liam.
Et Votre Grandeur, si je peux me permetttre en tant que la plus ancienne noble du Languedoc à y prêter serment, ployer le genou n'a jamais été une obligation en Languedoc. Il m'est arrivé de ne pas le ployer alors que j'étais grosse et prête à donner la vie, mais cela a été officialisé par le passé lors d'un règne de Sa Grandeur Malkav où le héraut officiant, Donà Ingeburge, lui avait expliqué que ce n'était pas obligatoire lorsque le Comte Actarius Malzac d'Euphor avait refusé de ployer le genou devant lui. Donc pas de tradition sur ce point depuis des années, juste le bon vouloir des vassaux de ployer le genou ou pas.
C'est fou ce qu'elle commence à avoir envie de pipi...
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Et là, alors qu'il y avait des heures de passage assez confortables, Meval qui s'amuse à jouer les Meval en préférant garder le silence, Cebyss et Bbred qui arrivent à la dernière seconde, sans en avoir rien à secouer si du coup ils vont déborder du temps imparti à la haute noblesse et retarder le reste du ban, voilà maintenant que Bbred fait feu de tout bois pour retarder encore les choses et bien sûr, Bentich qui saute sur l'occasion.
Elle se mord la langue, soupire, puis...
Vous commencez à nous cassez les gonades avec vos conneries. J'en ai ras le voile de vos conneries à tous concernant les Saint-Didier. A croire qu'il n'y a qu'eux en Languedoc et qu'on est soit pro, soit contre.
Réveillez-vous, il y a le Languedoc et c'est lui qui doit passer en priorité.
Quant à vous, Pézenas, faites donc votre devoir, vous aurez le temps de polémiquer ensuite. Vous pourrez même nous la jouer encore une fois politique, même quand la politique n'a rien à voir et qu'on sort tout juste des élections. Et pour votre remarque concernant un manque de réponse à votre missive d'allégeances lors du dernier mandat, je vous rappellerais que de mon côté je n'ai jamais reçu de réponse à celle que je vous avais envoyé avant de me retirer dans un couvent lorsque vous fûtes coms, dernièrement. Sans doute un oubli de votre part comme de celle de tant d'autres oubliant que si le héraut vérifie les missives pour les valider, il revient au régnant d'en envoyer lui-même le pli et d'en garder la preuve en cas de contestation.
C'est avec ce genre d'attitude qu'on en arrive à ne plus rien laisser passer et à regretter d'avoir été trop souple lorsque par le passé nous avons pu nous trouver dans pareille situation.
Donc si maintenant vous acceptez de vous comporter en adulte quelques minutes pour faire avancer les choses, vous pourrez attendre ensuite la fin de la cérémonie pour régler vos comptes.
Et elle s'adresse plus particulièrement à Liam.
Et Votre Grandeur, si je peux me permetttre en tant que la plus ancienne noble du Languedoc à y prêter serment, ployer le genou n'a jamais été une obligation en Languedoc. Il m'est arrivé de ne pas le ployer alors que j'étais grosse et prête à donner la vie, mais cela a été officialisé par le passé lors d'un règne de Sa Grandeur Malkav où le héraut officiant, Donà Ingeburge, lui avait expliqué que ce n'était pas obligatoire lorsque le Comte Actarius Malzac d'Euphor avait refusé de ployer le genou devant lui. Donc pas de tradition sur ce point depuis des années, juste le bon vouloir des vassaux de ployer le genou ou pas.
C'est fou ce qu'elle commence à avoir envie de pipi...
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Bbred
Je remercie également l'impolitesse d'un baron qui vient s'initier dans une conversation à quatre ou il n'a pas été invité.
Languedoc et Bearn me voilà encore qualifié de "jaloux" et "malade".
Quand est ce qu'il est prévu que les insultes cessent ? Quand on estimera que le préjudice publique qu'on m'infflige est suffisant et qu'on estimera que la population est suffisament convaincu?
Je n'ai fait que souligner un fait sans aucun jugement de valeur.
Il y a une majorité de noble membre du clan saint Didier et/ou membre du groupe politique UDL. C'est à dire 13 ou 14 si ma mémoire est bonne contre 8 actifs en face. Le reste étant des nobles résidant hors Languedoc.
Et sur les seigneuries c'est 7 sur 14 bientôt 13 a la vue des écris de sa grandeur.
Donc j'en déduis que je suis devenu marginal sur ma façon de voir les allegeances vu qu'un groupe de pensée est devenu clairement majoritaire a l'assemblée nobliaire.
Je ne demandais qu'a sa grandeur de respecter l'avis de la minorité, pas qu'un baron vienne rajouter de nouvelles insultes.
Liam puis Enduril...
La liste des participants s'allongent.
Razes en plus dans la conversation.
Finalement le seul honneur que vous me faites c'est de Vous mettre a trois contre moi.
Razes vous avez eut votre courrier de réponses aux allégeances donc si vous pouviez aller vous faire voir ailleurs, vu que vous avez fait votre allegeances, ça serait fort aimable.
Il ne me semble pas avoir emit le moindre doute sur une fuite au monastère de votre part pour ne pas prêter allégeance. Pourtant moi j'y ai droit régulièrement quand je vais aider militairement d'autre Province par sa Grandeur...
Je n'ai plus besoin de vos leçons de morales.
Je les trouve perverses et manipulatrices.
Voyez y la un gage de mon émancipation de Vous et une preuve de maturité contredisant vos propos discriminatoires sur mon âge mental supposé.
Je sais que je vous ai plus que trop déçu en me refusant à abbatre vos adversaires mais je gage que vous pourrez fonder de nouveaux espoirs en Liam et Oliwia qui ont beaucoup plus d'estime pour vous qu'il m'en reste à votre égard.
Donc merci et aurevoir.
Bon retour chez vous et ne passez pas par les routes piscenoises. Je suis en train de les faire refaire. Un carrosse tombe vite dans un fossé après avoir roulé sur un nid de poule.
Pour vous répondre votre Grandeur.
J'ai fait contrôler mon courrier, par un autre heraut qui n'y a vu aucune diffamation.
De plus la diffamation est publique au contraire de mon courrier qui est privée.
Je n'ai reçu qu'une réponse de Languedoc, une quarantaine de jours plus tard.
Un 31 décembre. Votre mandat finit ou presque. Est ce une plaisanterie ou un ultime affront?
Votre explication sur les allegeances peine à me convaincre vu que les premières n'ont pas été invalidé. Seulement la seconde.
Je vous accorde cependant le bénéfice du doute car vous n'avez aucune justification a me devoir et qu'il est fort aimable de votre part de m'avoir confié que cette cérémonie été à l'initiative d'Arcadhias pour tester sa nouvelle formule.
Pour le reste vous pouvez tourner vos précédents propos dans tour les sens, ils restent insultants et diffamatoires car publiques.
Vous m'octroyez un manque d'honneur maintenant pour un genou ??
Faux noble et noble sans honneur ?
S'il y a de vrai nobles comme vous le dite c'est que ceux qui n'en sont pas sont des faux.
Il n'y a pas de mi vrai mi faux noble.
Vous faites la distinction parmis vos vassaux et je ne suis pas dans la catégorie des vrais nobles.
Assumez voyons.
Je n'ai pas fait de manière je me suis tenu devant vous avec respect sans aucun commentaire. On ne peut pas faire moins manièré. Encore un qualificatif que vous m'attribuez bien trop facilement.
Je ne pense pas que les allegeances languedocienne fassent plaisir plus que ça a Bearn...
Ils peuvent se ramener à 12 UDL que Bbred n'y verait aucune différence...
_________________
a revoir
Languedoc et Bearn me voilà encore qualifié de "jaloux" et "malade".
Quand est ce qu'il est prévu que les insultes cessent ? Quand on estimera que le préjudice publique qu'on m'infflige est suffisant et qu'on estimera que la population est suffisament convaincu?
Je n'ai fait que souligner un fait sans aucun jugement de valeur.
Il y a une majorité de noble membre du clan saint Didier et/ou membre du groupe politique UDL. C'est à dire 13 ou 14 si ma mémoire est bonne contre 8 actifs en face. Le reste étant des nobles résidant hors Languedoc.
Et sur les seigneuries c'est 7 sur 14 bientôt 13 a la vue des écris de sa grandeur.
Donc j'en déduis que je suis devenu marginal sur ma façon de voir les allegeances vu qu'un groupe de pensée est devenu clairement majoritaire a l'assemblée nobliaire.
Je ne demandais qu'a sa grandeur de respecter l'avis de la minorité, pas qu'un baron vienne rajouter de nouvelles insultes.
Liam puis Enduril...
La liste des participants s'allongent.
Razes en plus dans la conversation.
Finalement le seul honneur que vous me faites c'est de Vous mettre a trois contre moi.
Razes vous avez eut votre courrier de réponses aux allégeances donc si vous pouviez aller vous faire voir ailleurs, vu que vous avez fait votre allegeances, ça serait fort aimable.
Il ne me semble pas avoir emit le moindre doute sur une fuite au monastère de votre part pour ne pas prêter allégeance. Pourtant moi j'y ai droit régulièrement quand je vais aider militairement d'autre Province par sa Grandeur...
Je n'ai plus besoin de vos leçons de morales.
Je les trouve perverses et manipulatrices.
Voyez y la un gage de mon émancipation de Vous et une preuve de maturité contredisant vos propos discriminatoires sur mon âge mental supposé.
Je sais que je vous ai plus que trop déçu en me refusant à abbatre vos adversaires mais je gage que vous pourrez fonder de nouveaux espoirs en Liam et Oliwia qui ont beaucoup plus d'estime pour vous qu'il m'en reste à votre égard.
Donc merci et aurevoir.
Bon retour chez vous et ne passez pas par les routes piscenoises. Je suis en train de les faire refaire. Un carrosse tombe vite dans un fossé après avoir roulé sur un nid de poule.
Pour vous répondre votre Grandeur.
J'ai fait contrôler mon courrier, par un autre heraut qui n'y a vu aucune diffamation.
De plus la diffamation est publique au contraire de mon courrier qui est privée.
Je n'ai reçu qu'une réponse de Languedoc, une quarantaine de jours plus tard.
Un 31 décembre. Votre mandat finit ou presque. Est ce une plaisanterie ou un ultime affront?
Votre explication sur les allegeances peine à me convaincre vu que les premières n'ont pas été invalidé. Seulement la seconde.
Je vous accorde cependant le bénéfice du doute car vous n'avez aucune justification a me devoir et qu'il est fort aimable de votre part de m'avoir confié que cette cérémonie été à l'initiative d'Arcadhias pour tester sa nouvelle formule.
Pour le reste vous pouvez tourner vos précédents propos dans tour les sens, ils restent insultants et diffamatoires car publiques.
Vous m'octroyez un manque d'honneur maintenant pour un genou ??
Faux noble et noble sans honneur ?
S'il y a de vrai nobles comme vous le dite c'est que ceux qui n'en sont pas sont des faux.
Il n'y a pas de mi vrai mi faux noble.
Vous faites la distinction parmis vos vassaux et je ne suis pas dans la catégorie des vrais nobles.
Assumez voyons.
Je n'ai pas fait de manière je me suis tenu devant vous avec respect sans aucun commentaire. On ne peut pas faire moins manièré. Encore un qualificatif que vous m'attribuez bien trop facilement.
Je ne pense pas que les allegeances languedocienne fassent plaisir plus que ça a Bearn...
Ils peuvent se ramener à 12 UDL que Bbred n'y verait aucune différence...
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a revoir
Enduril
Et réponse qui tombe à plat.
Non, Pézenas, je n'ai point reçu de réponse de votre part, même mon pigeonnier est resté désespérément vide. Je n'avais d'ailleurs lors de mon retour reçu qu'un commentaire privé, lorsque vous êtes venus une fois de plus me trouver, surtout pas publiquement pour qu'on ne puisse rien vous dire, et que vous m'avez présenté un coffret renfermant deux sculptures de micro pénis réalisées en bois dont j'ai pu croire un instant que vous aviez servi de modèle, en me disant que c'était le cadeau d'allégeances que vous m'aviez réservé si je n'avais pas été en retraite lors de la cérémonie. Mais de réponse à mon courrier, je n'en ai point reçu.
Encore une de vos affabulations habituelle, je présume, du genre de celles qui vous font vous attaquer surtout par derrière aux personnes que vous jugez contre vous, lorsque vous vous rendez compte que vos techniques du diviser pour mieux régner finissent par se retourner contre vous et que vous n'avez plus la moindre emprise.
Elle secoue la tête avec une moue ironique.
Vous emmerdez sans cesse tout le monde, poussant les uns et les autres à monter des listes avec toujours ces même objectifs, faire obstacle à Saint Didier, quand ce n'est pas Camelle, ou autre. A faire croire aux uns que vous êtes contre eux en gerbant sur les autres, puis en allant voir les autres pour gerber sur les premiers, attisant les inimitiés des uns contre les autres pour avoir votre petit semblant de pouvoir.
Votre technique, c'est que si on n'est pas pour vous, on est contre vous. Pas de gris, que du blanc et du noir. Si certains continuent à se laisser aveugler, et même en sont arrivés à se servir de vous quand vous pensez vous servir d'eux, grand bien leur fasse à tous. Mais vous savez quoi ? Pour beaucoup, il y a des alliances de circonstances non pas pour Saint Didier, mais pour le Languedoc et quoi que vous puissiez dire, hurler haut et fort, rien d'autre.
Il n'y a que vous et votre fixette sur les Saint-Didier, votre volonté de croire que le Languedoc est au creux de votre main, quand ce Languedoc, vous n'en aviez rien à foutre quand votre but avoué était de vous faire remarquer par le travail des autres pour décrocher une principauté royale. Mais allez donc nier publiquement ce que vous avez avancé tant et tant de fois en privé, ça en devient drôle.
Mais chez vous, les vérités que l'on vous ressort deviennent vite des insultes, hélas. Tout comme vous en êtes tellement dans vos théories du complot, à vouloir tout démontrer, tout démonter, que vous finissez finalement à force d'emmerder les gens à les pousser à faire ce que vous balancez sans arrêt qu'ils vont faire. Pas parce qu'ils en ont la volonté initiale, mais parce que vous êtes tellement gonflant qu'on finit par le faire, rien que pour vous emmerder, rien que pour vous donner raison ou vous contrarier. Même s'il existe encore certaines limites que nous, nous n'avons pas l'indécence de franchir.
Mais je vous en prie, il me semble que le Coms vient de vous poser une question, n'allez donc pas le faire attendre pour me répondre, ça ne sert à rien, je sais maintenant ce que vous valez et j'avoue que ça ne m'intéresse pas de débattre avec vous, surtout avec des arguments à la con de manoeuvres électorales alors que les élections viennent de se terminer, ou encore d'écrit dont vous auriez connaissance venant de Sa Grandeur Liam de Saint Didier sur des demandes de destitutions de seigneuries qui n'existent que dans vos rêves, à moins que ce ne soit une façon détournée de l'engager à faire un peu plus de ménage au sein des seigneurs de mérite un peu plus tard dans son mandat ? Bref, je m'en cogne, la seule chose à laquelle je veux bien vous répondre, c'est pour vous rappeler ce que là, on attend de votre part, dans les prochaines secondes.
A moins que vous ne saisissiez encore une perche pour tergiverser et perdre encore du temps...
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Non, Pézenas, je n'ai point reçu de réponse de votre part, même mon pigeonnier est resté désespérément vide. Je n'avais d'ailleurs lors de mon retour reçu qu'un commentaire privé, lorsque vous êtes venus une fois de plus me trouver, surtout pas publiquement pour qu'on ne puisse rien vous dire, et que vous m'avez présenté un coffret renfermant deux sculptures de micro pénis réalisées en bois dont j'ai pu croire un instant que vous aviez servi de modèle, en me disant que c'était le cadeau d'allégeances que vous m'aviez réservé si je n'avais pas été en retraite lors de la cérémonie. Mais de réponse à mon courrier, je n'en ai point reçu.
Encore une de vos affabulations habituelle, je présume, du genre de celles qui vous font vous attaquer surtout par derrière aux personnes que vous jugez contre vous, lorsque vous vous rendez compte que vos techniques du diviser pour mieux régner finissent par se retourner contre vous et que vous n'avez plus la moindre emprise.
Elle secoue la tête avec une moue ironique.
Vous emmerdez sans cesse tout le monde, poussant les uns et les autres à monter des listes avec toujours ces même objectifs, faire obstacle à Saint Didier, quand ce n'est pas Camelle, ou autre. A faire croire aux uns que vous êtes contre eux en gerbant sur les autres, puis en allant voir les autres pour gerber sur les premiers, attisant les inimitiés des uns contre les autres pour avoir votre petit semblant de pouvoir.
Votre technique, c'est que si on n'est pas pour vous, on est contre vous. Pas de gris, que du blanc et du noir. Si certains continuent à se laisser aveugler, et même en sont arrivés à se servir de vous quand vous pensez vous servir d'eux, grand bien leur fasse à tous. Mais vous savez quoi ? Pour beaucoup, il y a des alliances de circonstances non pas pour Saint Didier, mais pour le Languedoc et quoi que vous puissiez dire, hurler haut et fort, rien d'autre.
Il n'y a que vous et votre fixette sur les Saint-Didier, votre volonté de croire que le Languedoc est au creux de votre main, quand ce Languedoc, vous n'en aviez rien à foutre quand votre but avoué était de vous faire remarquer par le travail des autres pour décrocher une principauté royale. Mais allez donc nier publiquement ce que vous avez avancé tant et tant de fois en privé, ça en devient drôle.
Mais chez vous, les vérités que l'on vous ressort deviennent vite des insultes, hélas. Tout comme vous en êtes tellement dans vos théories du complot, à vouloir tout démontrer, tout démonter, que vous finissez finalement à force d'emmerder les gens à les pousser à faire ce que vous balancez sans arrêt qu'ils vont faire. Pas parce qu'ils en ont la volonté initiale, mais parce que vous êtes tellement gonflant qu'on finit par le faire, rien que pour vous emmerder, rien que pour vous donner raison ou vous contrarier. Même s'il existe encore certaines limites que nous, nous n'avons pas l'indécence de franchir.
Mais je vous en prie, il me semble que le Coms vient de vous poser une question, n'allez donc pas le faire attendre pour me répondre, ça ne sert à rien, je sais maintenant ce que vous valez et j'avoue que ça ne m'intéresse pas de débattre avec vous, surtout avec des arguments à la con de manoeuvres électorales alors que les élections viennent de se terminer, ou encore d'écrit dont vous auriez connaissance venant de Sa Grandeur Liam de Saint Didier sur des demandes de destitutions de seigneuries qui n'existent que dans vos rêves, à moins que ce ne soit une façon détournée de l'engager à faire un peu plus de ménage au sein des seigneurs de mérite un peu plus tard dans son mandat ? Bref, je m'en cogne, la seule chose à laquelle je veux bien vous répondre, c'est pour vous rappeler ce que là, on attend de votre part, dans les prochaines secondes.
A moins que vous ne saisissiez encore une perche pour tergiverser et perdre encore du temps...
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Bbred
On rajoute affabulateur a la liste ... voir même menteur.
Je suis vraiment gâté.
Mais je persiste.
Je vous ai écrit et signé une missive de retour d'allégeance.
Je confirme, re confirme et re re confirme autant de fois que vous remettrez ma parole en doute.
Portez l'affaire au tribunal héraldique et je confirmerais à nouveau cela.
Je n'en demordrais pas, vous me collez une faute que je n'ai pas commise.
Je regrette de ne pas vous avoir remit le cadeau avec car vous me semblez étrangement porté sur la chose.
Le reste ne concerne que l'expression de vos propres fantasmes qui encore une fois sont exprimés publiquement à but diffamatoire.
N'oubliez pas que vous m'avez tout appris.
A casser du saint Didier comme a écarter les opposants... Je ne suis que le résultats de votre propre oeuvre. Je ne suis que l'enfant que vous avez éduqué et instruit à vos méthodes les plus immorales.
En me jugeant moi vous vous jugez vous même.
Vous avez à votre actifs bien plus de personnes écoeurées que je n'en n'aurais jamais.
Vous pourrez m'insulter tant qu'il vous plaira.
Vous egosilez publiquement pour faire entendre à qui de droit que je suis le méchant de l'histoire.
Comme vous l'avez fait jadis avec Legueux puis Djahen et tant d'autre.
Vous pouvez tenter de tuer ce que vous avez créé et qui vous gêne aujourd'hui.
Vous oubliez une chose ...
Je sais qui vous êtes ...
Je sais ce que vous faites et avez fait.
Je connais tout de Vous et vos méthodes.
J'ai été votre bras vengeur dans votre quêtes de domination avant de m'en affranchir pendant des années.
Alors vous pouvez attaquer autant bon vous semble maintenant que vous avez pu profité d'un petit regain de popularité auprès de quelques nouveaux installés.
Votre naturelle à tout vouloir contrôler et vos ambitions reprendrons le dessus.
Je vous retourne l'ensemble de vos insultes et dénigrement dans un jolie petit packet.
Sauf que c'est plus Bentich sur qui vous fixette comme jadis mais sur Meval que vous rêvez d'éliminer. Bentich c'est l'alliance de circonstance comme vous le dites si bien pour atteindre votte but.
Pour le Languedoc oui oui...
Mais le Languedoc sans Meval la geneuse et sous influence d'Enduril.
Votre Languedoc...
Vous ne tromperez bientôt plus que vous.
Aussi bien que vos alliés que vous trahirez que vos marionnettes dont vous perdrez influence.
Réatribuer moi le rôle de Djahen vous m'en voyez honoré, mais cessez de me prêter des intentions imaginaires. Votre son pour exagérer mes sois disant ambitions n'est pas crédible car bien trop exagéré.
Décidemment
Vous êtes tout aussi détestable que le dit l'herauderie du Louvres...
Mais avec l'âge vous manquez de mordant... vos attaques ont perdu beaucoup en intensité et imagination. Votre pauvre argumentaire se résume à m'accuser d'utiliser le " diviser pour mieux régner" alors que la moitié du Languedoc peut témoigner que vous en êtes l'une des principales adeptes. C'est risible en plus d'être pitoyables.
Trois personnes ça ne semble pas assez.
Faites venir encore du monde pour venir m'insulter un peu plus. Doublez vos effectifs,
Faites venir Debba et Camelle.
A moins que vous vouliez que je fasse votre appologie comme vous venez de le faire pour moi ?
Pour info le " T'es contre nous, tu vas voir" ça vient de tes copains de Mende... t'es gentille merci...
Le "nous" utilisé concerne qui ?
Debba et toi ?
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a revoir
Je suis vraiment gâté.
Mais je persiste.
Je vous ai écrit et signé une missive de retour d'allégeance.
Je confirme, re confirme et re re confirme autant de fois que vous remettrez ma parole en doute.
Portez l'affaire au tribunal héraldique et je confirmerais à nouveau cela.
Je n'en demordrais pas, vous me collez une faute que je n'ai pas commise.
Je regrette de ne pas vous avoir remit le cadeau avec car vous me semblez étrangement porté sur la chose.
Le reste ne concerne que l'expression de vos propres fantasmes qui encore une fois sont exprimés publiquement à but diffamatoire.
N'oubliez pas que vous m'avez tout appris.
A casser du saint Didier comme a écarter les opposants... Je ne suis que le résultats de votre propre oeuvre. Je ne suis que l'enfant que vous avez éduqué et instruit à vos méthodes les plus immorales.
En me jugeant moi vous vous jugez vous même.
Vous avez à votre actifs bien plus de personnes écoeurées que je n'en n'aurais jamais.
Vous pourrez m'insulter tant qu'il vous plaira.
Vous egosilez publiquement pour faire entendre à qui de droit que je suis le méchant de l'histoire.
Comme vous l'avez fait jadis avec Legueux puis Djahen et tant d'autre.
Vous pouvez tenter de tuer ce que vous avez créé et qui vous gêne aujourd'hui.
Vous oubliez une chose ...
Je sais qui vous êtes ...
Je sais ce que vous faites et avez fait.
Je connais tout de Vous et vos méthodes.
J'ai été votre bras vengeur dans votre quêtes de domination avant de m'en affranchir pendant des années.
Alors vous pouvez attaquer autant bon vous semble maintenant que vous avez pu profité d'un petit regain de popularité auprès de quelques nouveaux installés.
Votre naturelle à tout vouloir contrôler et vos ambitions reprendrons le dessus.
Je vous retourne l'ensemble de vos insultes et dénigrement dans un jolie petit packet.
Sauf que c'est plus Bentich sur qui vous fixette comme jadis mais sur Meval que vous rêvez d'éliminer. Bentich c'est l'alliance de circonstance comme vous le dites si bien pour atteindre votte but.
Pour le Languedoc oui oui...
Mais le Languedoc sans Meval la geneuse et sous influence d'Enduril.
Votre Languedoc...
Vous ne tromperez bientôt plus que vous.
Aussi bien que vos alliés que vous trahirez que vos marionnettes dont vous perdrez influence.
Réatribuer moi le rôle de Djahen vous m'en voyez honoré, mais cessez de me prêter des intentions imaginaires. Votre son pour exagérer mes sois disant ambitions n'est pas crédible car bien trop exagéré.
Décidemment
Vous êtes tout aussi détestable que le dit l'herauderie du Louvres...
Mais avec l'âge vous manquez de mordant... vos attaques ont perdu beaucoup en intensité et imagination. Votre pauvre argumentaire se résume à m'accuser d'utiliser le " diviser pour mieux régner" alors que la moitié du Languedoc peut témoigner que vous en êtes l'une des principales adeptes. C'est risible en plus d'être pitoyables.
Trois personnes ça ne semble pas assez.
Faites venir encore du monde pour venir m'insulter un peu plus. Doublez vos effectifs,
Faites venir Debba et Camelle.
A moins que vous vouliez que je fasse votre appologie comme vous venez de le faire pour moi ?
Pour info le " T'es contre nous, tu vas voir" ça vient de tes copains de Mende... t'es gentille merci...
Le "nous" utilisé concerne qui ?
Debba et toi ?
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a revoir
Bentich
Heu même si je vous parais impoli, ba tant pis, mais j'aimerais savoir qui à Mende a dit cela et quand et à qui ? J'ai du rater un passage d'un document important
Je parle du " T'es contre nous tu vas voir"
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Je parle du " T'es contre nous tu vas voir"
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Liam_de_st_didier
Et Liam de répondre de la même manière que depuis le début, c'est à dire sans agressivité, après avoir écouté sans rien laisser paraitre, les interventions des uns et des autres.
Merci Comtessa, pour votre précision sur le fait de mettre genou à terre, mais il aurait été bien que cela soit dit à chaque allégeances passées.
Messire Bbred ce que je vois surtout c'est que vous cherchez à gagner du temps, pour que ces allégeances soient encore une fois déclarées nulles, car vous saviez très bien que les propos que vous avez tenus allaient amener une réponse, qui ne vous plairait pas et que vous en profiteriez pour créer une polémique.
Pour ce qui est des destitutions, ce qui ne vous plait pas c'est que j'ai fait moi directement, sans paser par un intermédiaire que l'on utiliserait, ce que vous vouliez que Messire Rackam fasse pour vous, mais pas pour les mêmes personnes.
Sinon allez vous ou pas répondre à ma question, question que je ne poserai pas si je ne voulez pas de votre allégeance, allégeance qui comporte des devoirs et des droits des deux côtés et que je compte respecter pour ma part, que nous puissions continuer, ou aller vous encore chercher à gagner du temps ?
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Merci Comtessa, pour votre précision sur le fait de mettre genou à terre, mais il aurait été bien que cela soit dit à chaque allégeances passées.
Messire Bbred ce que je vois surtout c'est que vous cherchez à gagner du temps, pour que ces allégeances soient encore une fois déclarées nulles, car vous saviez très bien que les propos que vous avez tenus allaient amener une réponse, qui ne vous plairait pas et que vous en profiteriez pour créer une polémique.
Pour ce qui est des destitutions, ce qui ne vous plait pas c'est que j'ai fait moi directement, sans paser par un intermédiaire que l'on utiliserait, ce que vous vouliez que Messire Rackam fasse pour vous, mais pas pour les mêmes personnes.
Sinon allez vous ou pas répondre à ma question, question que je ne poserai pas si je ne voulez pas de votre allégeance, allégeance qui comporte des devoirs et des droits des deux côtés et que je compte respecter pour ma part, que nous puissions continuer, ou aller vous encore chercher à gagner du temps ?
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Hispahan
Hispahan ne regrettait pas d'être arrivée de bon matin, le spectacle continuait et valait le déplacement. Voilà que le comte semblait refuser l'allégeance de Bbred qui ne souhaitait pas mettre genou à terre. Ce n'était pourtant pas la première fois que cela arrivait, elle avait déjà vu une vicomtesse tout à fait valide et pas du tout gênée par une future maternité se contenter d'une révérence et rester debout pour prêter serment, sans que cela semble déranger le régnant du moment ni le Héraut. Eh ben cela promettait pour la suite, elle regarda ses béquilles et son atèle et se demanda comment s'agenouiller avec tout ce bazar... Bah elle verrait bien le moment venu ! Soudain elle sursauta et se tourna vers ses enfants...
Vite, pincez-moi, je suis en plein cauchemar, là !
Sitôt dit sitôt fait...
Aïeuuuuh
Ben quoi, c'est toi qui as demandé
Oui mais j'ai pas dit de pincer aussi fort
Et pourquoi tu veux qu'on te pince d'abord ?
Et pourquoi tu as fait un cauchemar ? Tu dors même pas !!!
Elle écouta les questions de ses enfants et se frotta la tête, un peu perdue...
Euh... vous croyez que je me suis aussi cogné la tête quand je suis tombée ? Le comte vient de dire que les personnes qu'il a destituées au tout début de son mandat, juste avant de nous convoquer pour la troisième fois, ces personnes-là étaient sur une liste comtale. Or les élections viennent de se terminer non ? Et c'est beaucoup trop tôt pour les prochaines... Vous croyez que le comte s'est aussi cogné la tête avant de venir ??? Ou alors....
Ses enfants la dévisageaient, l'air inquiet, elle leur fit un sourire qui se voulait rassurant.
Non, il doit y avoir une autre explication... mais je n'en vois qu'une et elle ne me plait pas, le comte sait lire l'avenir et ça ce n'est pas bien du tout ! C'est vrai quoi, il aurait pu et même dû me faire savoir que je ne devais sous aucun prétexte aller au port le jour où je me suis cassé la jambe en tombant !
Les échanges se poursuivaient du côté du trône et elle observa le visage de marbre du comte. Cette manie qu'il avait de ne jamais laisser transparaître ses sentiments lui donnaient un côté inhumain qu'elle n'appréciait pas du tout.
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Vite, pincez-moi, je suis en plein cauchemar, là !
Sitôt dit sitôt fait...
Aïeuuuuh
Ben quoi, c'est toi qui as demandé
Oui mais j'ai pas dit de pincer aussi fort
Et pourquoi tu veux qu'on te pince d'abord ?
Et pourquoi tu as fait un cauchemar ? Tu dors même pas !!!
Elle écouta les questions de ses enfants et se frotta la tête, un peu perdue...
Euh... vous croyez que je me suis aussi cogné la tête quand je suis tombée ? Le comte vient de dire que les personnes qu'il a destituées au tout début de son mandat, juste avant de nous convoquer pour la troisième fois, ces personnes-là étaient sur une liste comtale. Or les élections viennent de se terminer non ? Et c'est beaucoup trop tôt pour les prochaines... Vous croyez que le comte s'est aussi cogné la tête avant de venir ??? Ou alors....
Ses enfants la dévisageaient, l'air inquiet, elle leur fit un sourire qui se voulait rassurant.
Non, il doit y avoir une autre explication... mais je n'en vois qu'une et elle ne me plait pas, le comte sait lire l'avenir et ça ce n'est pas bien du tout ! C'est vrai quoi, il aurait pu et même dû me faire savoir que je ne devais sous aucun prétexte aller au port le jour où je me suis cassé la jambe en tombant !
Les échanges se poursuivaient du côté du trône et elle observa le visage de marbre du comte. Cette manie qu'il avait de ne jamais laisser transparaître ses sentiments lui donnaient un côté inhumain qu'elle n'appréciait pas du tout.
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Enduril
Elle éclate de rire à entendre les conneries au mètre débitées par Bbred. Soit il a très mauvaise mémoire, soit encore une fois, le mal qui le prend depuis un certain temps de tordre les faits à sa manière a encore frappé. Et la voilà maintenant taxée d'une maternité, même politique, que jamais elle n'aurait oser avancer. Disparus pour le rouquin l'héritage Cristòlien dont il se vantait tant, disparus ses velléités d'avoir tout tenté pour avoir la tête des LeGueux, Djahen pour lui en refiler à elle seule la gloire. Trop drôle, tellement drôle que là, il fallait vraiment qu'elle sorte se vider la vessie pour éviter tout incident. Répondre ? Pour quoi faire ? Ceux qui étaient présent à l'époque et ne cherchaient pas à lui coller ces conneries sur les épaules à défaut de trouver des vérités le savaient.
Quant à Bentich, elle avait il y a quelques mois dans un courrier public mis les points sur les i et les barres sur les t de ce qu'elle pensait de lui. Et à l'époque, rien de méchant, juste le partage qu'il n'avait peut être pas apprécié, des bourdes dont il était sans cesse un maître imaginatif et s'ingéniait à régaler le Languedoc. La peau de Bentich ? C'était depuis des années le dada du piscenois, son obsession, pas celle de la cévenole. D'ailleurs, le fameux courrier en question devait se trouver encore quelque part, sans doute en salle de doléances, pour qui voudrait le trouver et aurait le courage de le lire sans s'endormir.
Bref rien, du vide en face d'arguments, comme d'habitude. Aller pisser un bon coup la soulagerait et détournerait sans doute le rouquin de ses conneries, lui laissant largement le temps de faire son allégeance avant son retour. Elle se penche vers sa fille et murmure.
Tu viens mon amour ? Mamà a besoin d'aller faire pipi et ça ne te fera pas de mal à toi aussi.
Et passant devant Hispahan dont elle entend la dernière remarque, elle lance au passage.
Ah, vous aussi vous vous êtes apperçu que beaucoup dans notre noblesse, en sus de notre régnant, semblent avoir des dons de clairvoyance ? Il faudait peut être en informer l'inquisition, pour vérifier s'il s'agit de cas de possession ou de gros coup de bol.
Et sans en attendre plus, elle se précipite hors de la salle, les yeux pétillants de malice, pour aller se soulager.
Une fois la chose faite pour elle et l'enfant, elle ressort des latrines et se fait interroger par son Capitaine dans la coursive que la petite troupe occupe à elle toute seule.
Excuses-moi, Donà, mais pourquoi n'avoir pas répondu au Senher de Pézenas au sujet de toutes ces histoires pour lui clouer le bec ?
Elle lui sourit en retour.
Parce que c'est inutile, voyons ! Regardez la dernière fois qu'il a été coms, il devait mener une enquête sur cette histoire de pierres et de fer et faire la lumière. Au final, qu'est-ce qu'il a fait ? Il a trié les faits, les a tordus pour dédouaner ses copines et couler Camelle dont il voulait la peau. La vérité, il s'est torché avec et a arrangé quelques faits à sa façon, comme il le fait toujours. Je sais, il est nul, il le sait pourtant que je garde les preuves de tout sur tout, les malheureuses histoires du passé aussi.
Il oublie que si je n'avais pas été là pour lui sauver les gonades face à feu Legueux et son épouse, en apportant les preuves nécessaires d'une allégeance qu'on lui reprochait de ne pas avoir faite, il aurait perdu Pézenas.
Il oublie que Djahen m'en a voulu de ne pas l'avoir suivit pour lui permettre de se faire du fric sur le dos du comté, alors que j'étais Comtessa et une de ses amies. Il pensait que l'amitié me ferait l'avantager, ça n'a pas été le cas. Pas plus qu'il ne m'a pardonné qu'après avoir magouillé en faisant monter plusieurs listes par ses enfants pour avoir le maximum de postes de conseillers élus pour devenir Coms, que les conseillers élus choisissent plutôt, sans que je ne demande rien, de me porter sur le trône.
C'était un couple de mes amis dont il voulait la peau et mystérieusement retrouvés morts au matin d'une réunion avec la Comtessa de l'époque, qui devait apporter les preuves qu'ils avaient tenté d'escroquer au Languedoc des sommes qui ne leurs étaient pas dûs et qu'ils n'avaient pas remplis leurs engagements contractuels envers le Languedoc, ce qui aurait pu leur faire perdre leurs titres, s'ils n'étaient pas mort fort opportunément pour que leur fille en hérite. Fille que Bbred avait voulu épouser, ce qui n'avait pas plus au père.
Il le sait très bien, mais c'est tellement simple de sortir des conneries et détourner les faits, comme il en a malheureusement l'habitude. Je ne vais pas perdre mon temps à en débattre avec lui, c'est inutile. Et surtout, ça intéresse qui des trois clampins qui sont déjà en salle de plaid ? Si un jour l'histoire ressort, les documents existent toujours, et si quelqu'un un jour a la curiosité de savoir ce qui s'est passé, il pourra toujours me le demander, ou demander à Bbred & Co s'il cherche autre chose que la vérité.
Allons, assez perdu de temps avec lui, allons donc voir s'il a enfin terminé et envoyez donc quelqu'un vérifier que Domenc s'est enfin réveillé.
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Quant à Bentich, elle avait il y a quelques mois dans un courrier public mis les points sur les i et les barres sur les t de ce qu'elle pensait de lui. Et à l'époque, rien de méchant, juste le partage qu'il n'avait peut être pas apprécié, des bourdes dont il était sans cesse un maître imaginatif et s'ingéniait à régaler le Languedoc. La peau de Bentich ? C'était depuis des années le dada du piscenois, son obsession, pas celle de la cévenole. D'ailleurs, le fameux courrier en question devait se trouver encore quelque part, sans doute en salle de doléances, pour qui voudrait le trouver et aurait le courage de le lire sans s'endormir.
Bref rien, du vide en face d'arguments, comme d'habitude. Aller pisser un bon coup la soulagerait et détournerait sans doute le rouquin de ses conneries, lui laissant largement le temps de faire son allégeance avant son retour. Elle se penche vers sa fille et murmure.
Tu viens mon amour ? Mamà a besoin d'aller faire pipi et ça ne te fera pas de mal à toi aussi.
Et passant devant Hispahan dont elle entend la dernière remarque, elle lance au passage.
Ah, vous aussi vous vous êtes apperçu que beaucoup dans notre noblesse, en sus de notre régnant, semblent avoir des dons de clairvoyance ? Il faudait peut être en informer l'inquisition, pour vérifier s'il s'agit de cas de possession ou de gros coup de bol.
Et sans en attendre plus, elle se précipite hors de la salle, les yeux pétillants de malice, pour aller se soulager.
Une fois la chose faite pour elle et l'enfant, elle ressort des latrines et se fait interroger par son Capitaine dans la coursive que la petite troupe occupe à elle toute seule.
Excuses-moi, Donà, mais pourquoi n'avoir pas répondu au Senher de Pézenas au sujet de toutes ces histoires pour lui clouer le bec ?
Elle lui sourit en retour.
Parce que c'est inutile, voyons ! Regardez la dernière fois qu'il a été coms, il devait mener une enquête sur cette histoire de pierres et de fer et faire la lumière. Au final, qu'est-ce qu'il a fait ? Il a trié les faits, les a tordus pour dédouaner ses copines et couler Camelle dont il voulait la peau. La vérité, il s'est torché avec et a arrangé quelques faits à sa façon, comme il le fait toujours. Je sais, il est nul, il le sait pourtant que je garde les preuves de tout sur tout, les malheureuses histoires du passé aussi.
Il oublie que si je n'avais pas été là pour lui sauver les gonades face à feu Legueux et son épouse, en apportant les preuves nécessaires d'une allégeance qu'on lui reprochait de ne pas avoir faite, il aurait perdu Pézenas.
Il oublie que Djahen m'en a voulu de ne pas l'avoir suivit pour lui permettre de se faire du fric sur le dos du comté, alors que j'étais Comtessa et une de ses amies. Il pensait que l'amitié me ferait l'avantager, ça n'a pas été le cas. Pas plus qu'il ne m'a pardonné qu'après avoir magouillé en faisant monter plusieurs listes par ses enfants pour avoir le maximum de postes de conseillers élus pour devenir Coms, que les conseillers élus choisissent plutôt, sans que je ne demande rien, de me porter sur le trône.
C'était un couple de mes amis dont il voulait la peau et mystérieusement retrouvés morts au matin d'une réunion avec la Comtessa de l'époque, qui devait apporter les preuves qu'ils avaient tenté d'escroquer au Languedoc des sommes qui ne leurs étaient pas dûs et qu'ils n'avaient pas remplis leurs engagements contractuels envers le Languedoc, ce qui aurait pu leur faire perdre leurs titres, s'ils n'étaient pas mort fort opportunément pour que leur fille en hérite. Fille que Bbred avait voulu épouser, ce qui n'avait pas plus au père.
Il le sait très bien, mais c'est tellement simple de sortir des conneries et détourner les faits, comme il en a malheureusement l'habitude. Je ne vais pas perdre mon temps à en débattre avec lui, c'est inutile. Et surtout, ça intéresse qui des trois clampins qui sont déjà en salle de plaid ? Si un jour l'histoire ressort, les documents existent toujours, et si quelqu'un un jour a la curiosité de savoir ce qui s'est passé, il pourra toujours me le demander, ou demander à Bbred & Co s'il cherche autre chose que la vérité.
Allons, assez perdu de temps avec lui, allons donc voir s'il a enfin terminé et envoyez donc quelqu'un vérifier que Domenc s'est enfin réveillé.
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