--Marzina
... Ont-ils des chaaaaambreuh?
LUrsidé à nouveau Grand-Duc. La Blonde nen revenait pas. Elle avait beau lire et relire la dépêche quelle avait reçue, elle ny croyait pas. Elle sétait alors tournée vers le seul employé quelle avait sauvé de lincendie de sa maison, et lui avait demandé de la pincer. Bien entendu, elle avait eu mal, sétait plainte quil avait mal dosé sa force, quil lavait fait exprès, que tout le monde la détestait et il avait fini rossé. Comme Finn avait coutume de le dire : on ne contrarie pas une Marzina sous influence hormonale. Elle avait un peu attendu ensuite, pour avoir des nouvelles du sacre. Et rien. Rien ne venait. Bon, elle avait un lourd passif avec le nouveau Grand Duc en question, mais il lui semblait que le dossier avait été clos et quelle le lui avait bien signifié la dernière fois quelle lavait croisé. Un chaste baiser de paix. Le pendant affectueux du baiser vassalique pour Marzina. Alors oui, elle sattendait à un traitement relativement différencié. Mais non, elle navait rien reçu. Elle nétait pas plus étonnée que ça cependant, son entourage nétait de toute façon quune grande source de déception.
Ainsi, après un message en direction du principal intéressé pour se foutre ouvertement de sa tronche face à ce nouveau mandat qui débutait, elle était partie vers la Bretagne pour sinviter aux festivités. Parce que non, Marzina navait jamais vraiment besoin dune invitation pour se rendre quelque part, et en vérité elle préférait même simposer, cétait bien plus amusant. Une missive était partie bien avant elle pour lui réserver une chambre à lauberge de Nantes. Ce nest pas parce quon est sans domicile fixe parce quon a délibérément choisi de mettre le feu à sa maison quon apprécie moins le confort pour autant ! Et comme elle savait le paternel flamand absent en ce moment, il ny avait aucun intérêt à sinviter chez lui. Elle était partie à cheval, et sans trainer cette fois. Il faut dire que pour toute escorte elle avait dû accepter la compagnie salace dun botaniste-confesseur dont lobsession était de « mettre une fessée à la vilaine pécheresse ». Et si elle était loin de sémouvoir habituellement des allusions sexuelles à peine voilées de ces messieurs (et même de ces dames parfois), cet homme-là était tellement lourd quelle envisageait de lachever bien avant la fin du voyage.
Ereintée par la patience quil lui avait fallu pour ne pas finir par lembrocher comme une dinde de Noël, elle se débarrassa sans ménagement de cette escorte à deux écus aux portes même de Nantes (hors de question quen plus il connaisse lemplacement de son auberge, on ne sait jamais où sarrête la ténacité dun tel individu). Finissant le reste du chemin seule, elle sauta à bas de son cheval fauve ventre en avant. Un ventre quelle avait fort rond dailleurs, étant dans le dernier tiers de sa grossesse maudite. Elle entra en poussant un long soupir, trainant derrière elle sa cape quelle tenait en boule dans une main. On avait beau être en plein hiver, la Blonde était en prise avec de grosses bouffées de chaleur qui navaient rien à voir avec sa grossesse.
« Jai une chambre réservée au nom de Montfort-Penthièvre » marmonna-t-elle en espérant quelle ne serait pas trop élevée dans les étages et que laubergiste ne serait pas trop lent, sa patience étant déjà épuisée pour la journée.
« MONTFORT ! Jai ! Chambre 5 !
« Montfort-PENTHIEVRE » quelle rétorqua dun air hautain, cest quelle y tenait à ce nom compliqué.
« Trop long ! Pas assez de place ! » répondit avec indolence laubergiste qui lemmena vers sa chambre.
Une fois la clé tournée dans la serrure elle fit quelques pas dans la chambre en trainant les pieds et commanda de leau chaude pour un bain quelle se savait bien mérité. Si la Blonde savait que son âme était entachée à vie, elle tenait fortement à une hygiène irréprochable de son corps. Ainsi une fois le bain prêt, elle posa son cul nu dans le baquet et se laissa tomber en arrière. LAltesse navait plus rien de la mélusine svelte en ce moment, le ventre et les seins ronds dépassaient de leau et lui donnaient davantage l'apparence d'un animal marin. Une baleine ouais.
Mais bientôt, l'ennui lui fit repenser aux derniers courriers qu'elle venait de recevoir, et à un certain courrier qu'elle avait elle même écrit où elle parlait bain, picole et...recyclage de bouteilles vides. Avec difficulté elle commença donc à tenter de se relever pour sortir de son bain pour aller quérir le précieux sésame menant à l'ivresse.
LUrsidé à nouveau Grand-Duc. La Blonde nen revenait pas. Elle avait beau lire et relire la dépêche quelle avait reçue, elle ny croyait pas. Elle sétait alors tournée vers le seul employé quelle avait sauvé de lincendie de sa maison, et lui avait demandé de la pincer. Bien entendu, elle avait eu mal, sétait plainte quil avait mal dosé sa force, quil lavait fait exprès, que tout le monde la détestait et il avait fini rossé. Comme Finn avait coutume de le dire : on ne contrarie pas une Marzina sous influence hormonale. Elle avait un peu attendu ensuite, pour avoir des nouvelles du sacre. Et rien. Rien ne venait. Bon, elle avait un lourd passif avec le nouveau Grand Duc en question, mais il lui semblait que le dossier avait été clos et quelle le lui avait bien signifié la dernière fois quelle lavait croisé. Un chaste baiser de paix. Le pendant affectueux du baiser vassalique pour Marzina. Alors oui, elle sattendait à un traitement relativement différencié. Mais non, elle navait rien reçu. Elle nétait pas plus étonnée que ça cependant, son entourage nétait de toute façon quune grande source de déception.
Ainsi, après un message en direction du principal intéressé pour se foutre ouvertement de sa tronche face à ce nouveau mandat qui débutait, elle était partie vers la Bretagne pour sinviter aux festivités. Parce que non, Marzina navait jamais vraiment besoin dune invitation pour se rendre quelque part, et en vérité elle préférait même simposer, cétait bien plus amusant. Une missive était partie bien avant elle pour lui réserver une chambre à lauberge de Nantes. Ce nest pas parce quon est sans domicile fixe parce quon a délibérément choisi de mettre le feu à sa maison quon apprécie moins le confort pour autant ! Et comme elle savait le paternel flamand absent en ce moment, il ny avait aucun intérêt à sinviter chez lui. Elle était partie à cheval, et sans trainer cette fois. Il faut dire que pour toute escorte elle avait dû accepter la compagnie salace dun botaniste-confesseur dont lobsession était de « mettre une fessée à la vilaine pécheresse ». Et si elle était loin de sémouvoir habituellement des allusions sexuelles à peine voilées de ces messieurs (et même de ces dames parfois), cet homme-là était tellement lourd quelle envisageait de lachever bien avant la fin du voyage.
Ereintée par la patience quil lui avait fallu pour ne pas finir par lembrocher comme une dinde de Noël, elle se débarrassa sans ménagement de cette escorte à deux écus aux portes même de Nantes (hors de question quen plus il connaisse lemplacement de son auberge, on ne sait jamais où sarrête la ténacité dun tel individu). Finissant le reste du chemin seule, elle sauta à bas de son cheval fauve ventre en avant. Un ventre quelle avait fort rond dailleurs, étant dans le dernier tiers de sa grossesse maudite. Elle entra en poussant un long soupir, trainant derrière elle sa cape quelle tenait en boule dans une main. On avait beau être en plein hiver, la Blonde était en prise avec de grosses bouffées de chaleur qui navaient rien à voir avec sa grossesse.
« Jai une chambre réservée au nom de Montfort-Penthièvre » marmonna-t-elle en espérant quelle ne serait pas trop élevée dans les étages et que laubergiste ne serait pas trop lent, sa patience étant déjà épuisée pour la journée.
« MONTFORT ! Jai ! Chambre 5 !
« Montfort-PENTHIEVRE » quelle rétorqua dun air hautain, cest quelle y tenait à ce nom compliqué.
« Trop long ! Pas assez de place ! » répondit avec indolence laubergiste qui lemmena vers sa chambre.
Une fois la clé tournée dans la serrure elle fit quelques pas dans la chambre en trainant les pieds et commanda de leau chaude pour un bain quelle se savait bien mérité. Si la Blonde savait que son âme était entachée à vie, elle tenait fortement à une hygiène irréprochable de son corps. Ainsi une fois le bain prêt, elle posa son cul nu dans le baquet et se laissa tomber en arrière. LAltesse navait plus rien de la mélusine svelte en ce moment, le ventre et les seins ronds dépassaient de leau et lui donnaient davantage l'apparence d'un animal marin. Une baleine ouais.
Mais bientôt, l'ennui lui fit repenser aux derniers courriers qu'elle venait de recevoir, et à un certain courrier qu'elle avait elle même écrit où elle parlait bain, picole et...recyclage de bouteilles vides. Avec difficulté elle commença donc à tenter de se relever pour sortir de son bain pour aller quérir le précieux sésame menant à l'ivresse.