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[RP OUVERT] Un soir en taverne...

Kerns
—Vous avez tout à fait raison, Sire, bien que les lieux n’aient pas l’air très luxurieux, vous serez surprit de découvrir les merveilles que prépare Robert.

Lorsqu'il la vit prendre le chemin en direction de l'endroit qu'il indiquait, de voir ce petit bout de femme reprendre la danse qu'il débutait, il ne peu réprimer un sourire impressionné, mais il ce ressaisie rapidement, il n'était pas là pour mettre cette demoiselle dans sa couche, loin de là, il était là pour lui faire du charme et mettre un pied de nez à sa sœur, lui faire croire qu'il épouserait cette naine envers et contre tout et qu'il la montrerait à la famille entière pour coller à cette famille une piteuse réputation et en mettre un cou à Prinne, elle l'avait bien cherché !

C'est en toute élégance qu'elle suivit la petite femme, et tant qu'a faire du charme, il mettrait le paquet !
En la suivant il la laissa devant lui, ne prenant pas les devant pour la mettre mal à l'aise ou pour faire son dominant, il la laisse faire, comprenant qu'elle avait l'aire de bien connaitre les lieux, mais arriver à la table, il lui emboîtât la pas et lui tira une chaise afin qu'elle y pose son séant.
Quitte à être élégant et gentleman !
Puis il pris place à son tour sur une chaise au près d'elle, appelant le Tavernier à leur table.


Ce lieu vous parait peut être point luxurieux, mais il recèle de vrai trésors...

Il laissa en suspens la fin de sa phrase, installer un peu plus le trouble qu'il, il pense, avoir installé.
Même si au finale, des trésors il n'y en avait pas vraiment dans cette taverne, entre deux hommes qui étaient prêt à ce bagarrer pour une donzelle disparu, sa sœur qui c'était mêler à eux et dont il ne voulait aucunement avoir à faire, car elle saurait capoté tout son plan, et d'autres individus tous aussi étrange les uns que les autres.


Allons donc, vous connaissez donc ce que recel le tavernier dans ces caves ?
Que nous proposeriez vous à boire ?


Le Tavernier arrivant justement à leur table, prêt à prendre commande.
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Bibliothèque
Archibald_ravier
Suicidaire, non point, mais fol, oui, probablement un peu. Fou d'angoisse, quoi. A l'idée que sa belle soit blessée quelque part loin sans lui.
Alors se faire remonter les bretelles par une donzelle qui se prenait pour un général, ça l'agaçait un peu, et la menace du frangin ben... il s'en cognait. Se faire cogner l'aurait peut être soulagé, mais baste. La donzelle fuit, le muet l'abandonne à sa lecture.

Il déchiffre, donc. Lentement. Il prend son temps.
Une fois le message déchiffré, il le relit. Deux ou trois fois. Le temps de l'apprendre par cœur. Le temps d'avoir le cœur en mieeeeeeeettes.
L'Archiniais froisse le message au fond de sa poche, et tourne les talons. Avisant le muet, il lui tapote l'épaule un peu trop sèchement.


Donc on part pour Nîmes dès qu't'as fini, joli cœur, hein. J'vais m'occuper d'mes ch'vaux.

Et le voilà sorti.
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Image d'origine
Owenra
    Et sans cesser les allées et venues de l'aiguille dans le foyer, elle patiente. Longtemps. Elle finit par observer l'homme resté coi face à la demande de la Malicieuse. Elle ricane alors, satisfaite de son effet. Dextre invite le bec à se coincer entre les lippes charnues. Elle inspire une première bouffée d'opium en fermant les yeux. L'effet est presque immédiat. Elle se détend au fond de sa chaise. Les traits du visage se décrispe quand elle recrache la fumée par les narines. Alors plus rien ne compte. Le troubadour est évincé de l'esprit au profit de la came envoûtante. Senestre caresse lascivement le verre de la bouteille d'amarante alors qu'un mouvement attire ses pupilles. Le Barbu à l'air pas tant inconnu rejoint sa table et s'invite, comme le ménestrel plus tôt. Il mime quelque chose que Renarde ne met pas longtemps à comprendre. Babines s'effilent en coin lorsqu'elle lui adresse un sourire moqueur.


Un gentilhomme aurait offert un verre en échange. Mais soit, je sais être conciliante et parfois accueillante.

    Fine patte droite s'étire, présentant la futaille entre les doigts délicats vers son nouveau voisin. Sans que Senestre ne daigne cesser ses mouvements sur le verre. Pupilles, elles fixent l'homme amateur d'opiacé. Tête bascule sur une épaule en une mimique éternellement familiale quand voix lasse se fait entendre :


Toi... Je te connais. D'où viens-tu ?

    Bouteille est saisie pour que le goulot puisse s'amener contre les lèvres et que l'alcool puisse glisser dans la cavité puis mordre de sa brûlure, la gorge abîmée.

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(Possibilité pour les perso's de plus de 30 ans de reconnaître l'Owen' au moyen de son BG de catin, ne pas hésiter à MP si l'envie vous guette)
Pierre...
Le temps que la renarde moribonde fasse mine de remarquer la présence du muet au milieu des volutes d'opium, le godelureau énamouré vint lui taper sur l'épaule. Pierre se dégagea d'un mouvement presque aussi sec que la tape elle-même, peu enclin à subir encore l'humeur et les inquiétudes du gaillard. Il avait bien assez à faire de ce côté-là, lui aussi, merci bien. Joli cœur, joli cœur. C'était l'hôpital qui se fout de la charité.

Suivant du regard Archibald qui s'en allait bouder, le taiseux fut presque surpris de la voix enrouée qui s'éleva des vapeurs de pavot.


Un gentilhomme aurait offert un verre en échange. Mais soit, je sais être conciliante et parfois accueillante.

Sous la barbe drue, les lèvres fines s'ourlèrent d'un sourire narquois. Un sourcil se hausse, l’œil pétille, alors qu'une grande paluche se tend vers la pipe.
«
 Franchement, j'ai une gueule de gentilhomme ? », semble dire toute l'allure.

Toi... Je te connais. D'où viens-tu ?

Pierre tira à lui une chaise et y laissa tomber toute la tension de la journée, avant de prendre à son tour une grande bouffée de bonheur opiacé. Il resta un instant immobile, laissant en suspend la question de la rousse avec la fumée, paupières mi-closes sur ses joues creuses, le pouce et l'index pincés sur l'arête du nez.

Finalement, le barbu se tourna à nouveau vers son interlocutrice. Il ne savait mimer Paris, et encore moins la Cour (à moins peut-être de désigner de la merde coincée entre les lattes du plancher), aussi se contenta-t-il d'apposer l'index sur sa bouche, puis de le faire glisser sur sa gorge.
Restait à voir si la femme devinait qu'il était muet et venait d'un coupe-gorge, ou si elle prendrait son geste pour un «
ta gueule ou j'te bute ».
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Avatar : AaronGriffinArt
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