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[RP] Ça bouillonne en Gascogne

Axelle
L'Anjou en hiver, c'était une plaie. La Gascogne, pas franchement mieux. La manouche avait entendu parler de ce coin-là, sans pourtant jamais y avoir mis les pieds. On lui avait parlé d'un océan toujours en colère léchant des plages sans fin, que l'on entendait gronder de loin. Mais le regard paumé vers l'ouest, de grondements, la Casas n'entendait que les ordres fusant de toutes parts et les coups de maillets s'affairant à planter le camp. Et dans cette brume opaque et froide, rien n'était plus rassurant tant ici, les fièvres étaient reines, hantant les marais comme des âmes affamées.

Malgré leur désolation, il y avait dans ces landes un petit quelque chose de fantasmagorique que la manouche aimait, propice aux contes et aux légendes les plus mystérieuses qui titillait furieusement son imagination.

Elle serait bien restée là, enroulée dans sa cape battant mollement ses mollets à renifler l'odeur ferreuse s'élevant de ces terres humides, quand elle sursauta devant une réalité qui n'avait rien de propice à l'évasion.


Casas ! Bouge-toi le fion !

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Ishtara
Arrivée discrète ou pas, la bande de bouillonnant était sur place.

La Gascogne, terre de naissance de la Blanche, peut être croiserait-elle au détour d'une ruelle son ainé mais elle en doutait fortement. La reconnaitrait-il ? Oh certainement tellement ils se ressemblaient. Elle avait gardé au fond d'elle même ce pincement au cœur qu'elle avait depuis qu'elle avait dit "oui j'en suis", préférant se réfugier dans des batailles de boules de neige des qu'ils le pouvaient, dans des jeux de dés toujours aux enjeux fous qui la faisaient encore sourire.

Même si elle affichait un sourire, il s'était malheureusement perdu un soir. Et quand on lui demandait qu'est ce qui n'allait pas, elle répondait simplement "Ça me passera, avec le temps, comme tout."

Sortie de ses pensées par un
"Casas ! Bouge-toi le fion !" elle éclata de rire. Axelle devait se planquer ? Oh et c'est surement pas elle qui irait la balancer au cas ou on lui demanderait car elle même avait déjà fait un tour de la ville tant qu'ils leur étaient possible.

Emplettes faites, elle était assez contente d'elle, elle irait prévenir le Colosse plus tard.

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En cours de téléchargement...
Siegfried_fechter
Les campements de siège… « Gott und himmel... », se disait le poméranien, qu’il détestait ça. Mais ce fut néanmoins avec une discipline quasi légionnaire qu’il s’était attelé à la construction des fortifications dès les dernières heures de la nuit jusqu’aux premières heures du jour. Pour être plus libre dans ses mouvements mais garder un minimum de protection, il avait abandonné sa demi-armure et son imposante flamberge pour une cotte de maille, une pansière et un lourd maillet de bois qu’il abattais depuis des heures sur les piques qui entouraient leurs positions. Au moins, il ne manquerait pas de quoi se défendre si les défenseurs se risquaient a une sortie.

Mais rien ne vint, une fois le campement établi, il se retira pour passer le reste de sa demi-armure et de se parer de ses armes avant de prendre son tour de garde. Il était reposé sur la garde de sa grande-épée quand un cri strident l’alertait, pendant une fraction, le poméranien cru a une attaque et c’est dans un mouvement répété des milliers de fois qu’il empoignait sa grande épée avant de se détendre, son esprit engourdi par la fatigue donnant un sens aux élucubrations qu’il avait entendues ;
« Casas, bouges-toi le fion ! »

Le visage du poméranien se fendit d’un vague sourire auquel sa gorge répondit d’un léger rire. Fausse alerte, qu’il était tendu et pourtant, ce n’était pas son premier siège, ni sa première bataille pourtant, Siegfried s’étonnait de voir ses mains trembler sur la garde de son épée. Quelque chose le chipotait et ce n’étais certainement pas l’idée de se prendre un coup d’épée en travers de la gueule, ça c’est les risques du métier, non, autre chose le travaillait au corps…

Siegfried soupirait, toujours a son poste de garde en attendant que le reste du campement soit fortifié, ensuite seulement se permettrais-il une pause et, si Dieu le veut, d’une bonne rassade de calva, whisky ou n’importe quel alcool fort sur laquelle il refermerait sa poigne.

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Loyse.
Sur la plage abandonnée ... Coquillages et crusta ... Quel bordel !
L'hiver, le vent et même pas un petit tour à Mimizan, oui, c'était bien le bordel et le campement se mettait en place.

La tente de logistique était plantée et la Cetzes rangeait les rations et autres petits achats faits par les uns et les autres récemment.
Le temps était sacrément pourri et la jeune femme esquissait un léger rictus aux coins des lèvres : ironie du sort pour la batarde qui avait vu le jour dans une tente de ravitaillement au Berry.
Elle soupirait de voir la tente presque au bord de l'éclatement ne sachant plus où elle mettrait tout ce souk.

Ca s'agitait dehors et elle avait écouté une voix s'élever pour secouer la Casas. Amusée, la brunette sortit de la tente afin de recenser les soldats et préparer les rations.
Elle marchait à travers le campement et aimait l'effervescence qu'elle ressentait dans les rangs.

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Lenu
Pendant que le campement s'affairait, Lénù elle, dormait. De ce sommeil du juste, le nez chatouillé par la fourrure dans lequel il était enfoui. Non pas qu'elle soit tire au flanc, mais après avoir aidé à monter le camps, préparé quelques décoctions et onguents puis soigné sa blessure, elle avait besoin de repos. Puis elle était inquiète, Siméon n'ayant pas répondu à sa dernière missive alors qu'elle avait ressenti le besoin de lire ses conseils qui effaçaient le doute quand elle se posait trop de questions. Perdue dans un rêve bien étrange rythmé au son des maillets frappant les piquets, la voici qui sursaute au son d'une voix tonitruante qui lance un « Casas, bouges-toi le fion ! » et se redresse précipitamment. Ce qui lui arrache une grimace et amène instinctivement la main à venir se poser sur les côtes bleuies.

Fichtre, si on la surprend en train de roupiller, elle gage qu'elle ne fera pas de vieux os sous la rage du Capitaine. Rapidement elle applique un onguent sur l’œdème et entoure ses côtes d'une bande de linge avant de se vêtir. Un coup d'eau fraîche sur son visage afin d'effacer les derniers stigmates du sommeil, elle s'arme de sa besace et file d'un pas décidé dans l'effervescence du campement.

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Kheldar
Le colosse avait passé la majeure partie de la matinée à retaper une grange abandonnée dans les faubourgs, d'ailleurs c'était le nom qu'il avait donné à la bâtisse qui accueillerait les soiffards, ou plutôt les assoiffés de Bouillon. L'idée du nom venait du Capitaine qui ne s'était visiblement pas foulé, mais bon, il avait une armée à diriger tout de même.
Tara avait reçu l'honneur suprême de servir les gars au comptoir.
Le colosse y avait mit du cœur à l'ouvrage, et à la fin de la matinée, s'il n'avait pu combler les nombreux trous pratiqués dans la toiture, il avait fait en sorte que la grange ressemble d'avantage à une taverne qu'à une grange. Ce n'était certes pas une taverne de seconde ou même de troisième zone, mais c'était couvert, quelques tables et chaises étaient disposées, un comptoir de fortune avait été installé, et surtout un fût de bière avait été mit en perce. Bref, ça faisait vaguement taverne quand même.

S'il était aussi zélé c'était pour deux raisons. Cela permettrait aux Bouillons et à leurs alliés de pouvoir se détendre entre deux assauts, et c'était aussi idéal pour fêter un événement particulier. A savoir la naissance de sa fille Aure.


« Casas, bouges-toi le fion ! »

Le colosse ajoutait la touche finale, à savoir les couleurs de Bouillons et le panneau interdisant l'entrée à ceux qui n'étaient pas des leurs sous peine de mort violente et sale, lorsqu'il se retourna, marmonnant dans sa barbe

-Qu'est ce qu'elle a encore foutu...

Puis il vit Tara qui revenait surement de sa séance de shopping.

-Tara! admire un peu notre commerce!
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Sloan
La vénitienne avait fait comme tout le monde elle avait passé un bonne partie de la nuit et jusqu'à tard dans la matinée à s'affairait à la construction du campement et du reste, elle faisait du moins ce qui pouvait être à sa porter.

Quand un hurlement la fit sursauter, et lâcher ce qu'elle avait dans les mains, la petite aile poussa un fort grognement quand la tasse de tisane bouillante s’éclatât sur son pied.

'Tain !

Sloan ramassa sa tasse et fila changer de bas et de bottes en ronchonnant, en maudissant Axelle, à chaque fois il fallait qu'elle la fasse sursauter. Si ce n'était pas elle qui hurlait, c'est après elle qu'on hurlait c'était terrible, pensa la jeune femme.

Une fois changé elle retourna se servir une tisane avant de continuer à préparer le campement, la journée serait encore longue. Elle espérait qu'elle pourrait trouver le temps de se reposer un peu.

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Ishtara
Un jour suivant.

Tôt le matin, Siegfried l'avait rejoint sous sa tente, l'air joyeux comme souvent avec elle, lui apportant un petit présent, un magnifique foulard rouge avec une fibule représentant un lion héraldique. Cadeau qui lui avait plus, réellement, car il avait nombreuses significations pour eux deux. Ils avaient passé un peu de temps ensemble à discuter de tout et de rien comme souvent, non sans oublier la petite heure habituelle qu'elle lui imposait chaque jour pour sa formation.

Plus tard dans la matinée elle avait reçu un pigeon qu'elle avait hésité à tuer pour le repas du soir mais si elle l'avait fait la réponse n'aurait pas pu partir.

Citation:
Ma chère et tendre marraine,

Il semble que cela soit ta journée aujourd'hui.
Je t'envoie toute mon affection, amour et tout et tout
Et surtout plein de bisous

Tendrement

Lilly


En retour elle fit partir.

Citation:
Ma douce filleule,

Je te remercie pour cette pensée que tu as eu pour ta vieille marraine.
Je t'envoie toutes mes pensées, mon affection.

Prends soin de toi, surtout !

Affectueusement.

Tara

PS : je ne suis pas loin de toi.


Une fois la missive partie, elle resta un moment pensive, sur son lit de fortune, en tailleur, ses pensées perdues jusqu'à entendre une nouvelle voix l'appeler.

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En cours de téléchargement...
Sancte
Un pli envoyé. Puis un geste de la main.

« Rassemblement. Tambours. »

Et la sentinelle : « RASSEMBLEMENT ! TAMBOUUUUURRRRSSS ! »


Alors c'est tout le campement qui s'éveille et résonne de percussions sonnant comme un imminent appel à la bravoure.

Bobobobobobôm bobobobobobôm. Bobobobobôm. Bobobobobôm



Et le Capitaine, monté à cheval, de passer devant les rangs. Casqué et arborant son armure de vieille corneille mercenaire, d'inspecter les troupes mises à sa charge en passant devant eux à cheval et de faire monter dans les airs, l'hymne prononcé par ceux qui ont fait serment.

« Notre épée sera féroce, notre cœur sera loyal,
Notre destrier puissant aura le sabot brutal,
Car nous savons qu'il plait à Dieu que nous soyons,
À la vie, à la mort, chevaliers de Bouillon ! »


Bobobobôm bobobobobobôm. Bobobobobôm. Bobobobobôm. Bobobôbombom.
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Tyranertus
A Labrit sur les remparts


Il était posté sur les remparts de Labrit regardant les gens d’en face s’afféré quand il entendit leurs tambours raisonner d’un rythme entrainant. Il commence à se dandiner sur les murailles puis se tourne se mettant bien visible dos au camp ennemis et il baise ses braises leur montrant son cul le dandinant au rythme du Bobobobobobôm d’en face. Le Cul Nu il était et c’est le Cul Nu qu’il leur montre son déhancher d’un coup les fesses à gauche et après à droite et des petits moulins avec ces bras et on recommence dans l’ambiance et dans la cadence.


D’un clin d’œil à ses comparses il leur dit.



Ils nous mettent de la musique… Allez les gens soyons fou dansons dans l’ambiance et dans le rythme.
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Axelle
[Camp de Bouillon, la veille au soir]

Fallait-il que les indépendantistes ou autres gus du même acabit soient tous du même genre ? À montrer leur cul ? Sans doute, oui. Et si la manouche se sentait déjà dépitée d'avoir à faire à la même ritournelle puérile qu'en Anjou, elle s'était simplement résignée à détourner le regard. Après tout, un cul ennemi n'était intéressant à regarder qu'une lance plantée bien profond dedans.

La soirée avait été sage et concentrée, à tel point qu'elle en avait réveillé des inquiétudes qui l'avait laissée stupéfaite. Pourtant, il n'y avait là rien de plus normal. À l'heure fatidique, au son des tambours lui mettant le feu aux tripes, elle avait machinalement embrassé la tourmaline accroché à son cou avant de s'engouffrer dans la féroce mêlée.


[A l'aube]


Le cou reçu avait été mauvais. Assez pour l'étourdir et lui faire regagner le camp en grimaçant à chacun de ses pas. Il avait été mauvais, oui, mais pas autant que celui qu'elle avait asséné juste avant d'être fauchée. Alors sa jambe douloureuse finalement n'avait pas la moindre importance et, entre deux ronchonnements, le visage sale barré de la virgule blanche de son sourire, elle n'avait qu'une hâte. Y retourner.


Citation:
14/12/1465 04:09 : Ceronnie vous a porté un coup d'épée. Vous avez été sérieusement blessé.
14/12/1465 04:09 : Vous avez frappé Amanieu. Vous l'avez sérieusement blessé.
14/12/1465 04:09 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "*Memento Mori*" dirigée par Namaycush et les défenseurs de Labrit.

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Elwin_von_frayner
Marcher au pas ? Elle n'a jamais su faire et la promiscuité l'étouffe, fut-ce celles de ses frères et sœurs d'armes. Pourtant à l'aube c'est peut-être à l'un d'eux qu'elle devra la vie, ou, allez savoir, cet autre elle sauvera du trépas au péril de la sienne.
Ce soir, elle balaie du regard tous ces visages se demandant qui, demain, manquera à l'appel. Le camp a été monté à la hâte et quelques feux l'éclairent. Des odeurs de soupe se mêlent à celle plus âcre du mauvais bois que l'on brûle. Les plus jeunes cherchent la réassurance auprès des plus aguerris qui affutent tranquillement leurs armes en racontant leurs faits d'armes. Machinalement, sa dextre se porte sur le pommeau de sa lame et un sourire amusé éclaire son visage lorsqu'elle la sent battre son flanc. Cette fois elle ne commettra pas la même erreur qui valut à Carmin un coup de pelle en février 62 en lieu et place d'un coup d'épée qui aurait pu l'envoyer ad patres. Jamais elle n'oubliera cette étourderie d'autant que son père la lui rappelle avant chaque mission.

Son père.... Comme à l'ordinaire, c'est lui qui mènera la charge. Alors, étrangement, elle ne ressent pas la peur. Elle lui fait suffisamment confiance pour savoir que ce qui arrivera ne pouvait être évité.
Frileusement enroulée dans sa cape, l'odeur de l'onguent camphré qu'elle a passé sur ses muscles taquine ses narines. Elle n'en déteste pas l'odeur âcre. Et malgré le froid et l'excitation du combat à venir, elle s'est endormie quelques heures à l'abri d'une toile jusqu'à la rumeur qui enfle : 'c'est l'heure !'...
Les battements de son cœur tapent jusque dans sa gorge quand un étau enserre sa poitrine, pourtant, elle n'a pas peur. Seuls le désespoir et l'impuissance réveillent la peur. Lame au clair, elle rejoint sa lance sous la bannière de Bouillon. Déjà les piquiers sont à l'oeuvre, alors, elle se lance dans la bataille. Bientôt la terre s'abreuvera de sang.

Citation:
14/12/1465 04:09 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "*Memento Mori*" dirigée par Namaycush et les défenseurs de Labrit.
14/12/1465 04:09 : Vous avez frappé Tagertha. Ce coup l'a probablement tué.


Et c'est la mêlée , les hurlements, les hennissements des chevaux, la fureur et le choc des épées, les cris et les premiers gémissements des blessés.
L'aube révélera la rudesse des combats quand, épuisée, écarlate du sang ennemi, elle prendra enfin quelque repos.
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Milly.
Tsttt......Non Mais !

J'étais frustrée, oui oui, frustrée !
Comme d'hab , ils le font exprès.
Non mais , donnez moi une tite chance, sont si peu !

Même pas que je vous dit.
Les vieux se sont tous lancés en avant vers estatruc et les bouillons là.
Même pas une mini place pour moi pour lever mon épée.
Non mais J'vous jure !
Alors j'avais deux options.

1..Je faisais contre mauvaise fortune bon coeur et devrais tenter de négocier qu'ils tapent un peu d'abord mais qu'ils me laissent utiliser ma lame pour abréger les souffrances de nos attaquants

ou ben don

2...Je me mettais en quête d'une recette pour m'occuper a autre chose d'utile.

J'optais pour la seconde après avoir eu fin de non recevoir de mes ¨protecteurs assignés et volontaires ¨ .
Contradictoire ? Heu non pas du tout, c'était comme çà.

Je me penchais du haut des remparts, mains en porte voix et lançais un appel a ceux en bas là.



DITES.....LES BOUILLONS !
VOUS AVEZ UNE BONNE RECETTE POUR UN BOUILLON DE DINDON ?
Non mais parce que ca m'intéresse fortement moaaa.


Par souci de cohérence, j'ai mis ici aussi.
Amael
Du haut des remparts de Labrit les binious et les tambours de guerre répondaient à ceux des assiégeants, la bataille serait féroce.

https://www.youtube.com/watch?v=YTmQDWg62dg
Charly
Derrière les murs, Aie! de Labrit. Au chaud donc.

Charly, entouré de bambins de la pire espèce aux oreilles d'âne bien tombantes ainsi que les portait le fils de Gepetto autrefois, racontait ses combats.

Alors les z'enfants, j'en ai pris un, je lui fit Tchic !

Il mima le geste que font nos amis les bouchers dans les abattoirs surveillés par les amis des bêtes.

J'en pris z'un autre, je lui fis Tchac !

J'en pris vingt-mille, j'en pris cent mille, je les z'occis !

D'un coup de galinette cendrée mawashisée par le champion que je suis et que, d'ailleurs, je prétends être. Laissez-moi ma modestie, les gars !


Charly avisa un petit qui, nez coulant, reniflant, tenait Doudou derrière son dos.

Toi, là ! Machin truc bidule en emporte le vent !

Plus tard, peut-être, tu seras comme moi !

Rapide comme le vent !

Un chêne millénaire, porte de tous les Druides !

Une montagne forte ! Une montagne belle...euh...pourtaaaant que la moooooontaaaagne est beeeelleuuuuuuu !

Que c'est beauuuuu la viiiiie...

Chantez, vous dis-je ! Chantez !

Les chansons donnent du courage aux autres, pas z'à moi, bien entendu, puisque je suis moi-même l'expression toute innée du courage tout inné.


Et, bientôt, quelques chants s'en allèrent par dessus le manteau (X) des murailles.

(X) Jeu de mots, pour ceusse qui ont pas fait attention.
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