Loyse.
[Tente bouillonnante de la Cetzes-Bussac]
Ses pieds touchaient terre mais elle non. Elle avait fait la maligne, mais elle n'en menait pas large en cet instant. Non pas que cela lui déplaisait, bien au contraire elle était aux anges, mais son coeur tambourinait dans sa poitrine au point qu'elle se demandait si Julien ne pouvait pas l'entendre.
Alors qu'il passait derrière elle, elle se rendit compte que le tissu glissait sur ses épaules ne laissant apparaître alors que la bande qui enserrait sa poitrine lors des combats.
Oh non elle n'avait pas froid, bien au contraire, et le frisson qui parcourait son corps était bien plus dû à la douceur de ses mains sur sa peau et la caresse de son souffle dans son cou.
Elle inspirait profondément, immobile, l'espace de quelques secondes oubliant que sa pudeur ne tenait qu'à un simple morceau de tissu. Elle se retourna vers lui et plongea ses émeraudes dans les yeux de l'écuyer.
Non que l'atmosphère me semble froide, bien au contraire, mais je dirais qu'il est bien plus raisonnable que je mette une chemise.
Elle fit un sourire en coin, et dans ses yeux brillait une lueur d'envie mêlée avec une certaine malice.
Ses mains glissent alors dans son dos et elle vient se serrer contre lui, l'embrassant avec passion.
"Non Cetzes, ne te laisses pas aller, pas maintenant ..." Voilà ce qui revenait en boucle dans la tête de Loÿse.
Elle se recule doucement, attrapant une chemise propre et relevant ses cheveux en un chignon lâche. Elle mordillait sa lippe en souriant et le regardant, torturée ...
Ca bouillonne en Gascogne !
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Ses pieds touchaient terre mais elle non. Elle avait fait la maligne, mais elle n'en menait pas large en cet instant. Non pas que cela lui déplaisait, bien au contraire elle était aux anges, mais son coeur tambourinait dans sa poitrine au point qu'elle se demandait si Julien ne pouvait pas l'entendre.
Alors qu'il passait derrière elle, elle se rendit compte que le tissu glissait sur ses épaules ne laissant apparaître alors que la bande qui enserrait sa poitrine lors des combats.
Oh non elle n'avait pas froid, bien au contraire, et le frisson qui parcourait son corps était bien plus dû à la douceur de ses mains sur sa peau et la caresse de son souffle dans son cou.
Elle inspirait profondément, immobile, l'espace de quelques secondes oubliant que sa pudeur ne tenait qu'à un simple morceau de tissu. Elle se retourna vers lui et plongea ses émeraudes dans les yeux de l'écuyer.
Non que l'atmosphère me semble froide, bien au contraire, mais je dirais qu'il est bien plus raisonnable que je mette une chemise.
Elle fit un sourire en coin, et dans ses yeux brillait une lueur d'envie mêlée avec une certaine malice.
Ses mains glissent alors dans son dos et elle vient se serrer contre lui, l'embrassant avec passion.
"Non Cetzes, ne te laisses pas aller, pas maintenant ..." Voilà ce qui revenait en boucle dans la tête de Loÿse.
Elle se recule doucement, attrapant une chemise propre et relevant ses cheveux en un chignon lâche. Elle mordillait sa lippe en souriant et le regardant, torturée ...
Ca bouillonne en Gascogne !
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