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[RP] Sacre de Sa Majesté Lemerco de Montfort-Toxandrie

Lemerco
Et voilà, l'exercice périlleux de la reprise de volée après les goulées commence, alors que le parvis a vu ses marches battues par toute une ribambelle d'invités venus de diverses contrées. On voit Provence, et on lève les mains en guise de salut, tandis que la rousse ambassadrice irrigue les personnes venues de ce sud ensoleillé dans la cathédrale de la capitale de cette Bretagne souvent grise en hiver. Il voit aussi l'Angleterre représentée par l'ambassadeur qu'il a d'ores et déjà croisé. Et comme pour le contingent provençal, ces dignitaires venus d'outre-Manche sont vite alpagués par le chambellan, qui les connait très bien. Il est rejoint rapidement par Elorya et son mari, le fils de Lemerco himself. Son intendante personnelle sera à ses cotés, dans le parterre dédié aux officiers grands-ducaux déjà en place, et c'est bien qu'il ne soit pas seul, dans cette expérience, face à l'église et son cérémonial. Cet instant appartenait à Lemerco, mais qu'était Lemerco sans la Bretagne et ses bretons? Il ne serait qu'un homme dans une patrie différente, avec des idéaux bien différents, et un destin bien différent. C'est la Bretagne qui a fait Lemerco, et pas l'inverse. Aussi cette journée n'était pas vraiment la sienne, mais celle des autres bretons qui continuent contre vents et marées à rendre vivante cette contrée rugueuse, à la faire vibrer malgré la raideur qui ne cesse de gagner du terrain.

Ils sont rejoints par Blaize, qui semble éprouvé autant que tous les autres par le froid d'hiver, et les choses ne s'amélioreront pas une fois à l'intérieur de l'édifice religieux. Les cathédrales comme les églises sont réputées pour leurs courants d'air, et le faible différentiel de température entre l'extérieur et l'intérieur. Aussi, il tend à ce dernier une gourde remplie de lambig frelaté, de la cuvée d'exception en l'honneur de la dernière prise d'Avranche.


Je suis déçu, je ne vois pas de Normands dans le coin.


La phrase était sortie comme cela, à la vue de la gourde, comme des paroles qui dorment dans un coin de son esprit, et qui se réveillent sans crier gare, et prennent la sortie sans prévenir, à la suite d'un stimuli visuel ou auditif. Ne souhaitant pas que les personnes ayant daigné faire le déplacement à Nantes ne se transforment pas en glaçon, Lemerco fit volte face, décidant qu'il était grand temps de descendre la nef et joindre la croisée du transept où l'attendent très certainement les officieux religieux, dont Monseigneur Cathelineau, qui posera une énième couronne sur la tête du Grand-Duc élu.

Allons marrons! Il est temps !


L'ours presque polaire reprend une bonne grosse rasade de lambig dont il suit et apprécie le trajet à travers les divers conduits irriguant le corps humain, magnifique technologie inventée par un esprit génial, conclut par un léger rôt, et faisant signe à ses gardes que le temps était venu de se séparer, il fit demi-tour, et se dirigea vers l'intérieur de l'édifice. Il marqua légèrement un arrêt.

Bah merde, je suis déjà bourré ou quoi. J'ai cru voir des revenants.

Dit-il après avoir aperçu deux silhouettes lui rappelant Chimera et Else.
Fronçant les sourcils et chassant cette idée farfelue de la tête légèrement assomée par une douce euphorie, il reprit la marche de l'empereur, marchant presque comme un pingouin sur la banquise à laquelle s'apparente le parterre de pierre du monument nantais.

Demat Monseigneur.

Demat Mesdames et messeigneurs


Dit-il en s'adressant à l'assemblée presque oecuménique - j'ai bien dit presque - composée des officiants, en tête de file Cathelineau.


Une journée un peu fraiche pour se faire sacrer, n'est-ce pas?

J'ai une question qui me vient de fait à l'esprit. Avez-vous le droit de boire quelques gorgées du vin de messe pour vous réchauffer?


Qui sait, si la réponse est positive, cela l'incitera-t-il peut-être pour ses vieux jours, à devenir curé, dans une contrée perpétuellement froide comme le Royaume de Suède hinhin.

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Laptitelulu
    Lulu, toute de Lulu et de rousseur vêtue est entrée dans la cathédrale, main emprisonnée dans celle de son promis, prête à assister à son premier sacre. Elle contemple la foule plus qu'elle ne la scrute, s'attarde sur certains visages connus, sourires, tout ça. La foule ça colle le tournis, après deux bons mois à se balader avec le Cerblaize, sa Marreyne et Kate. Une petite pensée pour celle-ci, qui voyageuse devant l'éternel manque à l'appel du sacre. Kate ... prends bien soin de toi, hein. On te veut en forme pour la suite !

    Au matin, elle a ajusté la robe de la petite dragonne, lui a tressé les tifs, presque sans tirer sur les nœuds -juré- et a bourré ses petites godasses non pas de cailloux comme promis à son fi-an-cé mais de bourre de laine pour qu'elle ne se gèle pas les arpions. "Si on te demande, tu diras que c'est des pierres, d'ac ?" C'est que dans la batisse, même si le Très Haut est là pour réchauffer leur cœur à tous, elle sait qu'elles vont cailler sévère, les deux filles, et que se réchauffer aux bras de Wyrn sera impossible pour l'une comme pour l'autre. Parait qu'il faut bien s'y tenir. Mais elle a déjà pensé à tout, la rouquine : c'est la gamine qui lui servira de bouillotte, assise sur ses genoux. Du coup, deux couches de plus ! Une mini houppelande cyan comme belle-maman sa marâtre, un manteau avec une grande capuche et de la fourrure plein dedans pour tenir chaud aux esgourdes. Elle a pas dit, Lulu, mais la fourrure si douce, si blanche, dans laquelle la gosse aime cacher son nez pointu, ben c'est du lapin... ya, celui qui s'est échappé en Normandie au feu de camp, le pauvre, perdu dans cette campagne hostile et pour qui les deux femmes du blond ont beaucoup prié le soir, pour qu'il retrouve une famille sympa. Et ouiiiii ... Lulu, elle aime le lapin en ragoût. Et la gamine avait besoin d'un manteau pour le voyage. Quand l'utile peut servir l'agréable, faut jamais s'en priver.

    Elle lorgne sur son voisin, de bleu oie revêtu, beau comme un camion tout neuf et lui sourit. Et à quoi elle pense, là ? En faisant distraitement tourner autour de son doigt une bague offerte à la faveur de l'altitude brugeoise avec vue sur la mer ? Que la prochaine fois qu'elle ira dans une église avec lui, avec eux même, la gamine est tout le temps dans leurs pattes, ce sera pour l'épouser. Pour une qui voulait pas de mari, pas de gamin, pas de blond, elle choppé le gros lot du mât de Cocagne avec celui-là.

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Dom_courtin
Il ne connaissait presque plus personne depuis qu'il était reclus à Montfort, il ne sortait plus du domaine que pour des affaires urgentes c'était le cas.
Il reconnu Annesolenn et s'approcha d'elle très humblement et surtout
Discrétement.


Je demande votre pardon d'oser vous importuner mais je voudrais savoir à quel endroit doivent se placer les gueux ?

En effet Clodeweck et Verty de Montfort ne devraient pas tarder d'arriver et je devrai les y conduire.


Puis baissant les yeux et se sentant très isolé devant ce parterre de nobles de de têtes couronnées et attendit timidement la réponse.
Elorn
Le couple ducal de blonds arriva en temps et heure pour se placer en fonction de leur rang dans la cathédrale de Nantes.

Les couronnements , il n'en était pas fan. En général ça trainait en longueur et ils se ressemblaient tous. Cela faisait quelques GD maintenant qu'il y était présent et il regrettait le temps où des Clodeweck ou Kurios officiait. Mais le temps est ainsi fait que les choses changent.

Et cette fois, il y était présent avec la plus belle des belles. Son épouse à son bras, la cérémonie ne pouvait qu'être différente. Et avec un Gd comme la Bretagne s'en était dotée , il était possible que le temps semble passer moins lentement que parfois.

Liz et Elorn prirent donc place et attendirent le début des hostilités.

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Bannière en cours
Lu.
La marquise de Nemours ne s’était pas faite accompagner. Voyager en cette saison était une gageure et, de toute façon, personne n’avait jamais envie de venir se paumer en Bretagne, exception faite de quelques illuminés persuadés qu’on pouvait trouver des fées et des licornes au coeur de Brocéliande. Cela avait rendu le voyage apaisant. Arrivée la veille du sacre, elle avait pris logement dans une des auberges les plus confortables de la capitale et, d’humeur à tout sauf à faire du tourisme, avait perdu son temps entre bain parfumé aux huiles essentielles, bouquin feuilleté au coin du feu et contemplation des gouttes de pluie s’écrasant sur les carreaux des fenêtres.

Après une longue nuit de repos, la Josselinière se laissa apprêter, refusa de boire le demi-litre de lait ribot qu’on tenta de la convaincre d’ingurgiter et, suivie de deux portes-étendards, arriva sur le parvis noir de monde de la cathédrale de Nantes.

Frissonnant sous sa cotte d’or, lissant d’une main fraîche la soie fleurie de sa robe à pièche, l’ambassadrice s’assura de ce que le fin cerclet qui ornait ses boucles laissées libres était bien droit avant de s’avancer jusqu’à l’entrée où l’un de ses valets la présenta au premier huissier trouvé afin qu’elle soit placée.


- Sa Magnificence, Lucie de Josselinière, Marquise de Nemours, Duchesse de Corbigny, Vicomtesse de Barbazan-Debat, Dame d’Artiguelouve et de Decize, Ambassadrice de France auprès du Grand-Duché de Bretagne.



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Al_fonce
Dom_courtin a écrit:
Il ne connaissait presque plus personne depuis qu'il était reclus à Montfort, il ne sortait plus du domaine que pour des affaires urgentes c'était le cas.
Il reconnu Annesolenn et s'approcha d'elle très humblement et surtout
Discrétement.


Je demande votre pardon d'oser vous importuner mais je voudrais savoir à quel endroit doivent se placer les gueux ?

En effet Clodeweck et Verty de Montfort ne devraient pas tarder d'arriver et je devrai les y conduire.


Puis baissant les yeux et se sentant très isolé devant ce parterre de nobles de de têtes couronnées et attendit timidement la réponse.


Le valet muzillaquoi quoi , non loin de là reconnu l'homme qui a vu l'homme et qui a vu le Clodeweck surtout. Il s'approcha et avant même que la duchesse ne réponde il prit la parole.

Faites leur savoir que mon maitre, Elorn Coatmeur de Guérande est dans son banc. Je suis persuadé qu'il les accueillera avec grande joie!

Il n'allait tout de même pas laissé les Monseigneurs prendre place parmi les gueux même si certains étaient fort respectueux et lavés pour l'évênement.
La_catin_lino
Je veux voir
Caton.
Demat Votre Excellence , Vostre Grâce .

Je vous souhaite la bienvenue en terres bretonnes . J'espère que vous allez bien , que le voyage ne vous a pas semblé trop long et qu'il fut agréable ?


Je vous remercie, Excellence. Le voyage fut égal à lui même, traverser Francie d'Est en Ouest, assez éprouvant, mais nous sommes heureux d'etre là.


Si vous le permettez je vais vous accompagner à vos places , vous êtes placés non loin de notre Chambellan , son Excellence Anne Solenn Wolback .

Avec grand plaisir...nous vous suivons!


Menant une duchesse blonde, le brun suivit la rousse - quel mélange! - dans la remontée de la nef de la cathédrale. Enfin ils furent rendus auprès de la duchesse d'Hennebont, et le lorrain exécuta un gracieux salut devant Vivianne, assorti d'un baise main

Votre Grace, je vous remercie pour votre accueil. C'est toujours un plaisir pour moi que de venir à votre rencontre

Et, inclinant le chef, il ajouta, mezzo voce

Moi, de meme, je suis heureux de vous revoir Viviane, et d'assister à ce couronnement à vos cotés, chère Excellence.
.cathelineau.
Un regard à droite, un regard à gauche. Voila que l'on parle de Clodeweck, il regarde en direction de l'Ordre Teutonique, l'Hochmeister est à ses cotés, nul doute qu'il sera près à intervenir au cas ou. Discrètement, il glisse quelques mots à l'oreille d'un servant d'autel qui va dans la sacristie envoyer une missive à un confrère "pourpré".

Puis l'Ours fait son entrée, c'est son moment, son sacre après tout. Fidèle à lui même, pour ce moment d'histoire il remonte la cathédrale pour venir devant l'Autel. Le Primat se lève et lui répond cordialement.


Demat Votre Majesté, soyez le bienvenue en cette belle cathédrale de Nantes. Pour le vin de messe, comme pour le reste, vous dissimulez ce que vous voulez sous votre aube.

De sourire, avant de désigner le fauteuil destiné au Grand Duc.

Je vous invite à prendre place Majesté, nous allons pouvoir commencer.

Puis s'adressant à la foule, il dit.

Demat à tous ! Je vous souhaite la bienvenue dans la cathédrale de Nantes pour le sacre de Sa Majesté Lemerco de Montfort-Toxandrie, quatorzième Grand Duc de Bretagne.

Beaucoup le savent, si c'est un moment unique dans la vie d'une nation, celui que nous allons vivre est sans doute sans précédent puisque que nous allons sacrer un ex Grand Duc.


Retournant s’asseoir sur le trône épiscopale, il fit un signe à Lanaelle.
Dom_courtin
l'Ex sacristain et secrétaire sourit au jeune homme qui lui avait répondu, et lui répondit à voix basse afin de ne pas troubler la cérémonie.

Merci mon fils, que le Duc soit remercié pour son invitation je la transmettrai à leurs éminences.

Cependant il m'étonnerait fort qu'elles veuillent se placer ailleurs qu'à la place qui leur à été signifiée par Patate le bien nommé.

Nous aurons donc l'aïeule et le grand oncle de notre Grand Duc comme "gueux de luxe", si je peux me permettre.

De plus ils n'ont guère l'intention de troubler la cérémonie. Ce sont des gens droits et honnêtes il en reste encore en ce bas monde.
Guyhom.
Le Duc de Brocéliande était présent à Nantes, sans passer à Montaigue. Et il était sobre. Et sa barbe taillée. Et bien habillé. Sans sentir le vin. Tout ça pour le sacre de son Souverain.

Il ne savait comment il avait pu se libérer avec toutes les choses qu'il avait en cours, mais bon, il était normal pour lui de remplir son devoir.

Il entra dans l'église, alla s'assoir seul, sa femme restant alitée vu son état, pas la peine qu'elle ponde dans la nef, ça fait mauvais genre et c'est salissant. Il salua les amis et les connaissances et attendit sans impatience le début de la cérémonie. Pour tenir, il avait de quoi se réchauffer. Du bon chouchenn fait maison.
Maewenn
Encore un sacre. Tout était question de cycle semblait il. Alors la brune était la, comme toujours. Le temps s'était quelque peu réchauffé et le manteau épais en poils d'ours avait pu être abandonné au profit d'une simple capeline. Seules quelques boucles rebelles s'en échappaient encore. Le pas vif, la duchesse pénétra dans l'édifice pour rejoindre sa place. Saluts à droite, à gauche, et même au milieu. C'est le genre d'évènement mondain ou il faut faire bonne figure. Pourtant, elle regarde les gens sans vraiment les voir. La Brune n'aime guère le monde. Trop de monde, tue le monde !

Rester en retrait lui convient finalement mieux. Un léger sourire se dessine sur son visage. Profiter de l'instant. Revoir des amis. Après probablement. Ici, ce n'est pas le lieu. Se signer, prendre place, non loin du Duc de Broc pour le ravitaillement, sait on jamais ! Et attendre le sacre d'un Ours.

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Dom_courtin
Le secrétaire remonta la contre allée, frayant ainsi un passage à leurs éminences et les mena jusqu'au banc du couple ducal.

Puis à voix basse et avec déférence il l'adressa au Duc.


Messires Duc, je ne vous présente pas leurs éminence de Montforzh qui ont accepté votre invitation en regard de leur parenté avec le Grand Duc.

Puis il s'effaça laissant les cardinaux et le couple ducal entre eux.
Izea
Le Sacre du Grand-Duc, un évènement incontournable réunissant à la fois Haute Noblesse et Bas Peuple pour une même raison : la grandeur de la Bretagne.

L’héritière des Salaun de Kerkrenv, Izéa de son prénom, ne pouvait bien entendu pas manquer l’évènement, d’autant plus, qu’avant d’être Grand-Duc, Lemerco de Montfort-Toxandrie était un ami et un homme pour qui elle éprouvait le plus grand respect. Elle lui avait promis d’être et de rester l’un de ses plus fidèles soutiens. Il aurait donc été bien malvenu de manquer la cérémonie du Sacre.

Parée de ses plus beaux atours pour l’occasion, la Blonde arriva aux abords de la Cathédrale de Nantes. Il y avait foule. Evidemment. Elle se fraya un chemin tant bien que mal pour gagner l’intérieur du lieu Saint.

Ayant perdu son titre de noblesse suite à sa très longue absence de Bretagne, la Sulfureuse n’aurait pas l’autorisation de rejoindre les meilleurs rangs. Elle devrait se contenter de suivre la cérémonie de loin. Vous imaginerez bien que cela la chiffonnait au plus haut point. Regard à droite, regard à gauche. A quel bras pourrait-elle se greffer pour avoir l’honneur de rejoindre les meilleurs rangs de la Cathédrale ?

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Lanaelle...
en attendant le début de la cérémonie, elle jeta un regard sur les invités qui entraient
au fur et à mesure. Elle en reconnut plusieurs. Elle sourit discrètement se rappelant
ses prises de tête avec un tel ou un tel, et ses fou rire avec d'autres. Mais, malgré le
passé,  même s'ils ne se parlaient plus, même s'ils ne l'appréciaient pas,
ça n'avait pas grande importance, elle était contente de les voir parce que
ces personnes  faisaient vivre et revivre la Bretagne et
malgré son départ, la Bretagne occupait toujours une place
importante dans son coeur.

Elle suivait la cérémonie attentivement, en tant que Gross Hospittler de l'Ordre
Teutonique c'était un honneur de participer à ce sacre, en tant que Bretonne,
c'était une fierté.

Lorsque Monseigneur Cathelineau lui fit signe, elle s'approcha de l'autel et
s'adressa à  l'assemblée.





Mes frères, mes soeurs, réaffirmons notre Foy au Très Haut et reprenons en
choeur le crédo.








je crois en Dieu le Très Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
Des Enfers et du Paradis
Juge de notre âme à l'heure de la mort

Et en Aristote, son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
Envoyé por enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés


Je crois aussi en Christos
Né de Maria et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dan sle martyr pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la
Droite du très Haut

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine,
une et indivisible
En la communion des Saints
En la rémission des péchés
En la vie éternelle

Amen

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