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[RP] Sacre de Sa Majesté Lemerco de Montfort-Toxandrie

Melianne
Le coeur battant la chamade Mélianne senti son estomac se serrer en voyant la foule des invités se presser sur les marches de cathédrale.
Elle n'avait jamais, de toute sa vie , assisté à une cérémonie officielle.
Sa robe de velours vert tombait souplement et un grand châle de laine blanchie lui couvrait les épaules. Sous sa coiffe la rousse se sentait seule.
Ayant respiré profondément elle entra au moment où le crédo commençait et se glissa discrètement au fond de l'édifice
Ysaure_
Qu'est ce qu'elle fait la brune pendant ce temps? Elle qui s'était promis de rester sage et tranquille...Loupé!

Elle est seule, seule au milieu des sièges réservés au Duché Guinguamp... Alors, elle girouette (ouais sympas comme verbe!)...
Elle regarde Bary qui scintille dans son armure... Enfin son dos plutôt... Bary est concentré lui... d'ailleurs si il pouvait se retourner... Mais non!
Sa soeur, son beau frère pas loin...
Son cher père... moins couillon qu'elle... il a pris à boire lui!

Elle regarde qui arrive, les toilettes des uns et des autres... Les têtes de ceux qui cherchent une place...

Hooo Izea et Melianne! En voila deux qu'elle connait et qui cherchent des places on dirait...
A défaut de beaux mâles bretons, d'un biceps musclé, et de testostérone, elle avait au moins la possibilité de leur offrir une place dans les tout premiers rangs...

Au larbin de service, elle chuchote quelques mots, désignant de l'index la jeune Salaun de Kerkernv et la rousse Melianne.

Larbin qui s'empressa de remplir sa fonction auprès des deux oiselles...

Voila qui occupe donc deux minutes notre girouette.
Oui beh, on s'occupe comme on peut!.

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Liz52


Arrivée au bras de son blond mari, la jeune femme observait ici et là les présents . C’était un des exercices quasi traditionnel lors de ce genre de manifestation. Ses émeraudes se promenaient ici et là à la recherche des têtes connues ou de surprises inattendues ....
Quand elle croisa les yeux de sa sœur elle sourit car visiblement cette dernière s'adonnait au même jeu.

Que de beau monde ! Même des personnes qui se rappelaient que la Bretagne existait après l'avoir conspué ! Comme quoi tout espoir n’était pas perdu !
Mais la stupéfaction la saisi quand elle croisa une tête rousse ..... Elle devait rêver ou alors elle avait des visions.
Comment cela pouvait il être ? Mentalement elle se rappela les mots couchés sur le parchemin par sa tante .... Si .... c’était bien elle ! Les dates, la période ... cela coïncidait !
Chimera etait de retour en Bretagne !!

Elle pressa la main d'Elorn et lui chuchota à l'oreille en souriant ....


Regarde qui est venu !!!


Elle avait hâte d'aller l'embrasser mais pour l'heure elle devait paraitre à son rang et suivre la cérémonie de Couronnement de Sa Majesté Lemerco.

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Barelius
Il reprend le crédo à voie basse, regardant de temps en temps par dessus son épaule si son épouse est sage.
Apparemment oui, alors il lui adresse un petit sourire, et puis il salue sa belle sœur et son beau frère qui venaient de débarquer.


je crois en Dieu le Très Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
Des Enfers et du Paradis
Juge de notre âme à l'heure de la mort

Et en Aristote, son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
Envoyé por enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés

Je crois aussi en Christos
Né de Maria et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dan sle martyr pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la
Droite du très Haut

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine,
une et indivisible
En la communion des Saints
En la rémission des péchés
En la vie éternelle

Amen

_________________
Marzina.
Le voyage n'avait pas été loin depuis l'Anjou, mais avait paru être une éternité depuis l'auberge où elle avait volé la chambre de Nicolas. La faute à ce ventre plus que proéminent qu'elle devait promener partout, malédiction anglaise dont elle avait hérité et qui la faisait se trainer un peu plus lourdement chaque jour. La délivrance était proche, en avance, mais elle arrivait, la Blonde en était persuadée. Tant pis, l'enfant naitrait sur les routes, ça lui donnerait un bel aperçu de ce que serait sa vie près de la Bretangevine, avalant les kilobinious chaque fois que la mairie et le conseil ducal la laissaient s'échapper. Brûlant. Frappant. Jurant. Réclamant toujours plus d'alcool et de mairies à renverser. Si l'âme était bretonne, le sang qui courrait dans les veines de Marzina était plus que jamais angevin.

C'était pourtant avec une douce mélancolie qu'elle était revenue en Bretagne, comme chaque fois, regrettant cette fois l'absence de son géniteur. Elle était finalement entrée dans la cathédrale, avec cet aplomb qu'on lui avait toujours connu, mais la tenue était autre. Point de couronne reposant sur des boucles qu'elle avait laissé courir sauvagement sur ses épaules. Point de débauche de bijoux si ce n'est cette alliance d'entrelacs celtiques dont elle n'arrivait pas à se séparer, et un discret bijou de même nature suspendu à sa nuque délicate. La robe fait, elle, honneur à son rang, lourd velours bordé de fourrure, tout comme la cape noire doublée d'hermine sur ses épaules dont elle ne s'est jamais séparée. Les pas qu'elle fait dévoilent dans le mouvement des tissus une paire de bottes élimées par le voyage, dont l'une est l'écrin d'une courte dague. Le nez se lève altier, le sourire se tire en coin, tandis que Blonde remonte l'allée discrètement sur le côté pour ne pas gêner la cérémonie, donnant volontiers un bon coup de ventre proéminent pour dégager le passage lorsqu'il est bloqué. Elle remonte encore et encore, pour venir s'installer dans les premiers rangs, repousse une poignée de boucles dorées derrière une épaule, fait courir son regard sur les présents. Une étincelle de nostalgie vient naitre dans ses yeux à la vue de certaines têtes connues, perdues de vue il y a longtemps. Elle n'avait pas tant changé, dans le fond, mais elle se sentait tellement loin de tout ça...

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Annesolenn_wolback
Anne surveillait du coin de l'oeil les portes de la Cathédrale. Quand elle vit L'ambassadeur de France remonter l'allée centrale, elle se leva discrètement et s'avançant vers la Marquise, lui souhaita la bienvenue à voix basse.

Bienvenue en Bretagne, Excellence, j'espère que le voyage jusqu'ici n'a pas été trop éprouvant. Suivez-moi, je vais vous conduire à votre place.

La Française bien installée auprès d'autres dignitaires étrangers, le chambellan regagna sa place et récita le credo avec le reste de l'assistance.

je crois en Dieu le Très Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
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Et en Aristote, son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
Envoyé por enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés

Je crois aussi en Christos
Né de Maria et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dan sle martyr pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la
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Lallie_ap_maelweg
La tête se tourne et les onyx accrochent l'azur Aconitien. Imperceptiblement le corps se tend et le malaise la gagne, c'est une douche froide qui lui coule dans les reins et la glace. Elle aimerait s'en détourner mais Maëlweg ne cille jamais, question de principe. Et, comme s'il avait entendu par un prodige quelconque le contenu de ses prières, c'est lui qui rompt cet échange silencieux, son attention retenue ailleurs.
Elle expire, soulagée mais pas débarrassée de la désagréable sensation qui s'est emparée d'elle. Dans le tumulte de ses préparatifs, elle en avait presque oublié la probabilité de le recroiser ici. Elle suit sa progression du coin de l’œil pour apercevoir où il s'installe et se fait la promesse de ne plus accorder un regard dans sa direction. Nuque raide, les yeux rivés sur l'autel qu'elle voit sans le voir, elle n'entend pas le sermon ni n'entonne le credo.

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Guenole
[Bien entendu, ce n'est pas Guénolé qui est présent, mais bien sa mère. Dôn. Donc.]




La dernière fois que Dana avait foutu ne serait-ce qu'un pied en Bretagne datait déjà de plusieurs mois. Qui avait-elle rencontré ? Grannass se rappelle à ses souvenirs. Abondance, brièvement ? Mais aucune patte velue à l'horizon et bien moins encore, les tresses roussâtres de sa daronne. Qui verrait-elle alors, en ce jour de fête ? De fête... Il lui semblait bien que l'Ours fut déjà nommé par le passé, et bien vite avait abandonné l'idée de rester couronné, siégeant à la tête tout aussi décorée, d'une Bretagne désenchantée.
Oui, Dôn est aigrie lorsque sa terre natale est évoquée. Aigrie et malheureuse. Parce que la manchote a bien peu de souvenirs joyeux pouvant subsister contre ceux bien moins glorieux. Seul le fantôme de Gwilherm parvenait à entretenir la triste flamme que les celtes restants éteignaient doucement à coup de langues viles et haleine fétide. Nostalgie liée à mélancolie ne donnait rien de beau, rien de bien. Et le regard délavé que Dôn portait sur ce monde, n'aidait en rien à améliorer cet état de fait.

C'est seule que la comtesse déchue pénètre et possède immédiatement les lieux. Si à l'époque discrétion aurait été privilégiée, aujourd'hui peu importait à la jeune femme de passer inaperçue ou non. Elle arrive en plein crédo ? Et bien c'est que le timing n'était pas le bon, et puis, c'est qu'elle est Guyennoise désormais il en faut du chemin à faire à vitesse grand V, pour espérer arriver à temps.

Aigrie, en retard, et la mine peu avenante, elle est pourtant présente.
Enveloppée de fripes coûteuses et aux teintes chaudes, l'ancienne Kerdraon est là et son regard n'accroche qu'une seule et unique personne, celle pour qui elle a fait le déplacement du fin fond de la France, jusqu'ici : Lemerco.




.anastriana
Ana est vêtue de sa saie de cérémonie. Son bâton de druide résonne en canon avec le son de ses pas sur les pavés de la Cathédrale. Nantes, ville aimée, ville honnie. Six mois passés ici mais rien ne lui donnerait envie, pour rien au monde d'y séjourner de nouveau. Elle n'a jamais recherché le pouvoir, encore moins à le garder, quoi qu'en pensent les quelques langues de vipère qui jalonnent les terres sacrées de Breizh, encore moins maintenant qu'elle vieillit, et que ses priorités vont doucement mais surement vers sa famille, ses amis.

Lemerco fait partie de ces amis justement qui comptent pour elle. Ils en ont vécu des choses ensemble, à une époque où ils furent peut-être plus proches qu'aujourd'hui. Elle se souvient des temps heureux quand l'ours avait pour femme Azilliz, elle se souvient du décès de cette dernière qui terrassa l'animal et lui fendit le coeur, elle se souvient de cette nuit pluvieuse où il arriva au château de Rohan, plus saoul qu'un pilier de comptoir, elle lui offrit le gite et une oreille attentive. Il en profita pour voler une de ses culottes en fouillant dans ses affaires! Ha! Ours maudit, ours pourtant tant aimé. Ours avec qui elle entretint mystérieusement un échange épistolaire au sens caché, qu'il finit par déchiffrer. Mais cela arriva bien des années plus tard, et peut-être que depuis lors, quelque chose s'est brisé entre ces deux là. Pourtant, leurs aventures communes, comme celle qu'ils vécurent en Normandie lors du siège de Rouen, reste gravés en sa mémoire et la font parfois sourire quand elle y repense.

Lem est un chef naturel, il s'entoure, il attire, même lorsqu'il est détesté les gens gardent une petite pointe de sympathie pour ce personnage haut en couleurs, qui aime parfois bousculer les personnes les plus policées pour les faire sortir de leur zone de confort. Il a ce petit quelque chose en plus que d'autres n'ont pas, une personnalité hors du commun, qui rayonne autour de lui telle une aura, illuminant les coeurs même les plus sombres. Lem, sous ses dehors parfois vulgaires, son immoralité, son ton irrévérencieux, sa passion pour la bouteille et les femmes - bien qu'il soit désormais bien plus calme de ce côté là depuis Poucelina - possède en lui une part plus mystérieuse que peu de gens connaissent. Il a la générosité ancrée au corps, et l'envie de toujours aider les autres, quels qu'ils soient.

Un homme tel que lui comme souverain de la Bretagne ne peut apporter que du bon. Car la Bretagne et lui se ressemblent. Ce sont des êtres à part, aux contours sauvages, mais au coeur bon et généreux. Ils ont beaucoup à offrir, et beaucoup essaient d'en profiter. Ana espère qu'il saura être ferme, ne pas céder aux caprices du destin et des emmerdeurs, saura reconnaitre ses amis de ses ennemis - ce qu'Ana n'a pas toujours su faire durant son règne - et sera véritablement l'allégorie d'un pays qui doit rester ce qu'il est : une terre sauvage mais juste, un havre de paix pour quiconque souhaite y établir sa demeure ou rester quelques temps se reposer, un lieu avec ses règles propres, un sens du partage et de l'entraide à nul autre pareil, et suffisamment solide pour ne pas se faire marcher sur les pieds par ceux qui ne le respectent pas réellement. Etre souverain de la Bretagne, est une épreuve, surtout en ces temps où le respect n'existe plus, et si un jour, l'Ours a besoin de frapper à la porte de Rohan pour se reposer, comme il le fit bien des années auparavant, Ana sera là. Son oreille restera toujours attentive pour lui, et ses culottes seront planquées!

Beaucoup de têtes connues dans l'assemblée, qu'elle salue d'un sourire. Tout se met en place, pour la première partie aristotélicienne du sacre. Elle a vécu tant de couronnements, tous d'ailleurs, qu'il lui en faudrait peu pour plonger dans des souvenirs que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaitre. Chaque grand duc aura marqué d'une façon ou d'une autre le pays. Le premier règne de Lem aura été si court qu'il n'a pas laissé d'empreinte. Ana est persuadée en son for intérieur que cette fois, il restera, et sera un souverain qui marquera l'histoire du pays.

Elle récite le credo en breton, souriant vers Lanaelle, heureuse de voir cette dernière présente pour ce genre d'évènement. Comme souvent lors du sacre, d'importantes délégations étrangères se sont déplacées. Elle cherche du regard Anne-Solenn et Lallie, les trois D, Duchesses et Druides, officieront bientôt à leur tour.

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Hoel1
C'est à l'heure, mais la sienne qu'arriva le corbeau de Plumieux, quitte a laisser quelques plumes.
Il prit place, là ou il se devait, mi figue-mi raisin.Du coup, restait plus qu'a... Prier pour que cela ne dure pas des heures. C'est que cela coûte d'être une chandelle.



Lanaelle...
Une fois que l'assemblée eut récité le crédo, elle alla chercher le Saint Radis et en remontant l'allée centrale,
revint vers l'autel. la Sainte relique était posée sur un beau velour rouge
dans un reliquaire en verre le tout entouré de garniture en or.
Ma Doué (mon Dieu), mais c'est lourd ce truc, il est fait en quoi ce radis ???...






Les personnes non bretonnes devaient trouver bizarre qu'on soit si
respectueux pour un légume, un radis , et oui, c'est ça la Bretagne,
rien ne se fait comme ailleurs et c'est ce qui fait son charme....

Elle montra le Saint Radis à toute l'assemblée avant de le déposer sur
une table,puis en regardant le Grand Duc, récita l'oraison.



Ô présent précieux, Ô précieux Radis qui fut envoyée du ciel pour l’onction des princes de Bretagne, par le ministère angélique son Saint Jus.
Prions. Dieu tout puissant et éternel, qui par votre singulière bonté avez ordonné, que la lignée des Grands Ducs de Bretagne serait ointe et sacrée : nous vous prions,
que votre serviteur notre Grand Duc Lemerco de Montfort-Toxandrie oint de cette sacrée onction envoyée divinement à ce bon Cardinal Angus de Ploermel, soit
toujours dressé et conduit en votre service et par votre Sainte Miséricorde délivré de toute infirmité. Par Notre Seigneur.


Elle salua le Grand Duc de Bretagne et Monseigneur Cathelineau d'un signe de tête
puis alla reprendre sa place dans un coin derrière l'autel pour suivre le reste de la
cérémonie.
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Wulfaeen
Ca y est. Ca commençait. Nouveau frémissement léger, presque en accompagnement de celui qui parcourt la foule à l'entrée de celui qu'elle suppose être le Grand Duc breton. La jeune louve sent un mot lui traversé l'esprit comme une brise. Un mot évoquant un urside, une bête noble et fière .... Histoire de changer de d'habitude, elle reprit encore une fois le fil de ses pensées. Son instinct s'était accru de manière accélérée depuis les événements de ces derniers mois. L'adolescente noble récita alors d'une voix claire et posée la première oraison du sacre.

je crois en Dieu le Très Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
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Et en Aristote, son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
Envoyé por enseigner la sagesse
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Je crois aussi en Christos
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Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce
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Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la
Droite du très Haut

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine,
une et indivisible
En la communion des Saints
En la rémission des péchés
En la vie éternelle

Amen


Chose faîte, elle se concentra sur la suite. Mentalement, elle gravait les instants dans son esprit, elle apprenait pour elle même.

Ô présent précieux, Ô précieux Radis qui fut envoyée du ciel pour l’onction des princes de Bretagne, par le ministère angélique son Saint Jus.
Prions. Dieu tout puissant et éternel, qui par votre singulière bonté avez ordonné, que la lignée des Grands Ducs de Bretagne serait ointe et sacrée : nous vous prions,
que votre serviteur notre Grand Duc Lemerco de Montfort-Toxandrie oint de cette sacrée onction envoyée divinement à ce bon Cardinal Angus de Ploermel, soit
toujours dressé et conduit en votre service et par votre Sainte Miséricorde délivré de toute infirmité. Par Notre Seigneur.

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In Defens / La Mort plutôt que la Souillure

Wulfaeen Orion de Wolback
Louve Chasseresse
Gwizio
Toujours en fond de rangé, l'énergumène guettait les gens passer. Tous s'étaient vêtu de leur plus beau atouts, comme si le Très haut jugerait leurs âmes à leur façon de ce vêtir. Lui, habillé comme à son habitude, non pas tel un pouilleux, celui-ci est issue de bonne famille et en à garder des traces, du moins dans son habillement.

Voilà le temps du credo, enfin quelque chose d'utile dans la maison du Très Haut. Récitant celui-ci, avec l'assemblé.


- je crois en Dieu le Très Haut tout puissant
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Droite du très Haut

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En la rémission des péchés
En la vie éternelle

Amen


Puis arrivât le Saint Radis, ce qui mit une idée en tête à notre énergumène. "Pourquoi pas rajouter un peu de radis dans mon cidre ? Si c'est mauvais je le revendrais aux normands ou aux françoys, ils ne savent pas ce qui est bon ceux là..."
Gwizio ne récita pas cette fois, non pas qu'il refusait le nouveau Grand-duc, juste qu'il n'était pas sur que la suite il devait la réciter. Ce devait-être juste les paroles du sacrement.

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Pilla.de.lioncourt
Récita le credo avec le reste de l'assistance..

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Amen

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« Les idéaux sont Pacifiques, l'histoire est Violente. »
Tamella
C'est avec force délégation que Tam' avait fait la route depuis la Bourgogne.
le Sacre de Lemerco Grand Duc... pour rien au monde elle n'aurait raté ça. Aussi, dument munie de son carton d'invitation elle avait contacté son Altesse la Princesse Poucelyna pour lui demander si elle pouvait faire la route à ses côtés. Cette dernière, déjà sur le départ avait accepté que la Bourgui-Bretonne accompagnée de son compagnon se joignent à elle, pour l'escorte. Leurs Eminences de Montfort Clodeweck et Verty étaient également de l'expédition et ce fut un réel plaisir de passer tout ce temps à leurs côtés. Sigismond, son épouse Naelhy et messire Lestan, le Prince Guillaume de la Mirandole étaient également de l’escorte.
Quelques malles de plus dans les charrettes et le départ était donné. Le trajet fut épique.
Tout d'abord deux membres du groupe s'étaient égarés en pleine nuit, il avait fallut aller à leur recherche et dévier le convoi. Puis, une histoire de couronne et de troc avait encore une fois retardé les voyageurs. Les affaires faites, le convoi reprenait sa route. La Princesse avait hâte d'arriver et de retrouver son fiancé, quand à Tam' et Icebear. ils avaient également des amis à retrouver sur Brest.
Entre nuits en auberges et nuits auprès de feux de camps, chacun y était allé de ses histoires drôles, de ses anecdotes... Au final le voyage s'était avéré fort enrichissant et agréable pour tous.
Arrivés quelque peu fatigués à Nantes, ils avaient déposés leurs bagages en hôtels particuliers où des chambres avaient été préparées à leurs intentions. Les chevaux abandonnés aux écuyers avec nombre recommandations. Tam’ avait beaucoup de mal à voir son étalon manipulé par d’autres personnes.
Elle se reposa donc quelques heures et s’apprêta à rejoindre la cérémonie en l’honneur de Lemerco.
Restait à trouver LA robe digne de la cérémonie….
Il ne lui fallut que peu de temps pour la choisir, parmi les quelques autres amenées en prévisions des festivités à venir.
La Princesse avertie que tout le monde était prêt, proposa que nous rejoignons tous la salle du sacre. Foule y était bien évidemment… Tamella reconnu moult personnalités et connaissances, en salua quelques uns d’une discret signe de tête ou de main avant de prendre place où leurs sièges étaient réservés.
Déjà Lemerco prenait la parole et silence s’était fait pour l’entendre…



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