Tobias_maxence.
Tout commença lorsquune Comtesse demanda à un Chancelier, si celui-ci pensait quelle pourrait sinstaller au Palais. Habituellement, lhomme naurait guère donné son avis, préférant de loin répondre un vague, mais efficace : Je lignore laissant ainsi les couronnés, couronnés entre eux et prendre les décisions parfaitement ordonné. Sauf que, cette fois-ci Tobias y découvrit un alibi parfait, une alliée de taille, un soutien de poids, une cachette merveilleuse, une porte de secours tombé à point nommé.
Alors, il eu laudace de répondre quelque chose du genre : Je ne suis pas Chancelier pour rien, je vous ferais préparer un appartement et si cela déplaît à Son Altesse, nous verrons.
Il verra en vérité, il était bien le seul à voir, quoi que Jenifael également risque de voir, cétait sot comme idée, une autre parmi le lot déjà bien nombreuses. Mais Maxence en était là, dun chaton apeuré et bien sage, il était devenu le matou qui sort les griffes et provoque à tout va, trop, bien trop. Dans le fond il savait, mais cétait incontrôlable, il avait ce besoin déraisonnable de prendre en main sa vie, faire preuve daudace, de culot et si cela lui coûtait la vie, en soit il serait délivré.
Devant le Palais, droit et fier, il observa larriver de Jenifael, et soudainement prit conscience des risques. Pour elle, guère pour lui, lui il songeait savoir faire, lui il imaginait pouvoir affronter la colère, cétait faux, mais il nen avait pas conscience, pas totalement. Ouvrant la porte du carrosse, laidant à sortir, Tobias prit sa main dans la sienne et se comporta en parfait Valet. Désormais, cest ce quil était le Maître Valet du Palais, Chancelier cétait un joli nom pour attirer les envieux, un joli nom qui mentait et dont il acceptait la forme. La vérité était quil fut nommé Valet et que le rang nétait pas si mal, pourquoi sen plaindre.
Comtesse vous êtes la bienvenu.
Comtesse, oui, Comtesse, parfaitement. Il avait été clair, si Jenifael pouvait être utilisé loin des esgourdes du Prince, ici, hors de questions, elle sera Comtesse et voilà tout.
Dois-je faire porter des affaires ?
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Alors, il eu laudace de répondre quelque chose du genre : Je ne suis pas Chancelier pour rien, je vous ferais préparer un appartement et si cela déplaît à Son Altesse, nous verrons.
Il verra en vérité, il était bien le seul à voir, quoi que Jenifael également risque de voir, cétait sot comme idée, une autre parmi le lot déjà bien nombreuses. Mais Maxence en était là, dun chaton apeuré et bien sage, il était devenu le matou qui sort les griffes et provoque à tout va, trop, bien trop. Dans le fond il savait, mais cétait incontrôlable, il avait ce besoin déraisonnable de prendre en main sa vie, faire preuve daudace, de culot et si cela lui coûtait la vie, en soit il serait délivré.
Devant le Palais, droit et fier, il observa larriver de Jenifael, et soudainement prit conscience des risques. Pour elle, guère pour lui, lui il songeait savoir faire, lui il imaginait pouvoir affronter la colère, cétait faux, mais il nen avait pas conscience, pas totalement. Ouvrant la porte du carrosse, laidant à sortir, Tobias prit sa main dans la sienne et se comporta en parfait Valet. Désormais, cest ce quil était le Maître Valet du Palais, Chancelier cétait un joli nom pour attirer les envieux, un joli nom qui mentait et dont il acceptait la forme. La vérité était quil fut nommé Valet et que le rang nétait pas si mal, pourquoi sen plaindre.
Comtesse vous êtes la bienvenu.
Comtesse, oui, Comtesse, parfaitement. Il avait été clair, si Jenifael pouvait être utilisé loin des esgourdes du Prince, ici, hors de questions, elle sera Comtesse et voilà tout.
Dois-je faire porter des affaires ?
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