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[RP] CHAP III - 23 février 1466 -Couronnement d'Alvira

Alexandra.darwin
Et la jeune fille de rejoindre son collègue pour lui prêter main forte en cas de besoin. Une équipe soudée en tout temps, Hanael reste en retrait pendant que le second huissier officie. Elle garde tout de même un oeil sur une autre vague d'arrivéss qui n'aura pas au préalable été placée au mariage.

Le dos bien droit, vérifiant une dernière fois sa mise, elle patiente.

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Albin.
Escapade en amoureux en Champagne laissant les enfants loin très loin, en Touraine et plus précisément à Mondoubleau. L'escapade avait pour destination Reims afin d'assister au couronnement de la Vivi où l'Ar Sparfel avait reçu une invitation. Une invitation pour lui mais forcément il y convia son épouse à venir avec lui.

C'était dur de laisser les enfants loin surtout la petite dernière, celle du couple Ar Sparfel Louveterie Acoma, âgée de quelques semaines tout au plus. Malgré la difficulté, il y avait nécessité de parfois s'offrir des moments à deux pour ne pas s'enfermer dans un monde qui ne mènera nul part, à savoir l'ennui.

En ce jour de couronnement, le plus délicat risque d'être la foule si nombreuse par le nombre d'invités, par la noblesse venue de tout le royaume, par les nombreux représentants étrangers et la foule de curieux là aussi somme toute très nombreuse de pouvoir ne serait ce qu'apercevoir leur monarque.
Pour le Albin, c'était différent. Il connaissait Alvira depuis longtemps désormais ayant fait quelques tournois de joutes ensemble, se retrouver dans des festivités puis en Touraine jusqu'à même s'affronter plusieurs fois. Et puis si Alvira est désormais Reyne de France, pour lui ce sera toujours Montrésor.
Des couronnements, l'Ar Sparfel en avait vu et vécu, Vonafred, Eusias, Lanfeust, Angelyque ou encore Keyfeya, autant dire qu'il avait l'habitude et bien souvent peu de surprises si ce n'est le dernier où même plusieurs mois après il avait pu recevoir une lettre lui demandant de témoigner d'un incident. Espérons que cette fois tout ce passe pour le mieux.
D'ailleurs en parlant d'habitude, voila une chose à laquelle il n'avait pas évoquer le sujet, faut dire qu'il sait que son épouse n'est pas adepte des grandes foules. Autant tout de même poser la question.


Catherine, avez vous déjà été à un couronnement? Je n'ai pas souvenir de vous y avoir aperçu même de loin mais c'était une autre époque où l'on ne se connaissait pas encore.

Puis après avoir monter les marches de la cathédrale, avec sa blonde épouse lui tenant le bras comme souvent, le brun, habiller convenablement comme le veux l'expression "sortir les habits du dimanche" même, se présenta aux huissiers afin qu'on puisse les guider jusqu'à l'emplacement qui leur sera désigné.

Le bonjour, Albin d'Ar Sparfel et son épouse Catherine d'Ar Sparfel de la Louveterie d'Acoma, Vicomte et Vicomtesse de Mondoubleau, Baron et Baronne de Forbach et Coussey, Seigneur et Dame de Langeais, Clemery et Frilières

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en refonte
Gabriell
Gabriell sourit à sa collègue qui venait prêter main forte. Un signe discret à son intention.
Il alla saluer Estrella.luna qui était en discussion avec Jenifael et n'avait pas osé les déranger de premier abord.


Bonjour Dame, je suis Gabriell Second Huissier Royal. Puis je vous aider ? Savez vous ou vous serez placée ?

Puis ensuite il se dirigea vers un couple qui arrivait.

[Avec Albin et Catherine d'Ar Sparfel]
Bonjour Messire Albin d'Ar Sparfel, Dame Catherine d'Ar Sparfel de la Louveterie d'Acoma, soyez les bienvenus. Je suis Gabriell Second Huissier Royal, vous serez placé avec les invités de Sa Majesté, juste derrière le Dais Royal. Souhaitez vous que je vous accompagne ?

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Deedee
    La pause était passée trop rapidement. Bien trop rapidement !
    Si bien, qu’à peine le temps de se changer, même pas le temps d’une pause latrine, qu’il était déjà l’heure de repartir, et c’est forcement en retard que la Prime Huissière arriva sur le parvis de la cathédrale où une foule se massait déjà pour reprendre place.

    Apercevant ses collègues, Adeline soupira de soulagement, heureuse de pouvoir compter sur eux en toute circonstances.
    Les joues légèrement rougies par son empressement, la Normande adressa un sourire reconnaissant à Gabriell et passant près de lui, elle lui chuchota un « merci » avant de rejoindre Hanaël qui patientait.


    -Vous n’avez rien vu. Il ne s’est rien passé. Chuchota-t-elle à l’encontre de sa collègue avec large sourire.

    A qui le tour à présent ?


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Morain
Bonjour, messire Morain, Dame Isabelle de Valbois, vous serez placé avec les invités de Sa Majesté juste derrière le Dais Royal. Avez vous besoin que je vous guide ?

Morain tenant la main de son épouse sourit à l'huissier .

Je vous remercie infiniment , mais je crois que c'est dans l'allée centrale aux premiers rags .

D'un pas lent , il se dirigea vers leur places réservées .
Il verrait sans doute , avec une peu de chance , des têtes connues .[/quote]
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Gezekell
Hellmutt, ancien apprenti devenu homme marié et père de famille, était une perle bien trop rare. Et Gezekell ne regrettait nullement ce jour où il l’avait aperçu, tentant de gagner sa croûte aussi dignement que possible en proposant mille et un petit services à des badauds qui n’avaient cure de ce jeune garçon qui parlait, à leurs oreilles, un bien étrange idiome. Un de ses plus proches amis, si ce n’est le plus proche, le brocardait, de temps en temps, gentiment en faisant remarquer qu’il était peut-être un peu trop gentil. Gezekell le savait pertinemment et quand bien même il tentait de l’être à meilleur escient, il était ce qu’il était. Et en cette fin de matinée froide, il y a de cela des années maintenant, son attention fut attirée par un accent qui lui était familier. S’approchant à pas prudents dans la neige qui recouvrait les plaques de verglas jonchant les ruelles, il fut touché par ce petit bonhomme. Dix ans, onze peut-être, maigre comme un clou, grand, blond, les cheveux bien trop long et misérablement vêtu par des habits qui n’étaient pas vraiment à sa taille. Prétextant un pli urgent à porter, il entama une courte discussion, d’abord en français, puis dans leur langue commune. Le sourire qui apparut sur le visage de l’enfant était tellement grand, sincère, qu’on lui aurait donné Déos sans confession. Lui tendant une pièce, il lui remit sa liste de courses à apporter à un marchand quelconque, et rendez-vous était pris pour se retrouver en taverne un peu plus tard. Au moins, le jeune coursier aurait un repas conséquent et chaud dans le bedon aujourd’hui. Et avant même de rendre compte de l’exécution de sa mission de la plus haute importance, celui qui lui apprit qu’il s’appelait Hellmutt lui tendit fièrement trois petites pièces de bronze, prétextant que la pièce donnée un peu plus tôt valait bien plus que le prix de la course. N’était-ce pas là le signe d’une grande honnêteté ? Il n’en fallut pas plus à Gezekell pour que l’idée qui lui germait en tête depuis leur rencontre ne prenne un peu plus de consistance. Au cours du repas, il apprit que, finalement, leur histoire à l’un et l’autre étaient assez proches et surtout qu’Hellmutt venait d’un village voisin de sa ville natale. A la fin du repas, ils avaient conclu un marché. Gezekell prenait le petit orphelin sous son aile et puisqu’il acceptait de devenir son apprenti, lui fournirait subsistance et couvert, et l’initierait à cette difficile langue qu’était le français. Depuis les saisons avaient succédé aux saisons, Hellmutt avait grandi, mûri, maîtrisait mieux les expressions idiomatiques que son maître, mais surtout était devenu son ami et l’intendant de sa petite seigneurie. C’est à ce titre qu’il avait organisé de main de maître les étapes dans les relais-poste et les changements de chevaux tout au long de la route qui les amenait, ce jourd’hui, dans la belle ville de Reims et plus précisément sur le parvis de la cathédrale.

La voiture aux couleurs de Challon était assez modeste, mais confortable, et Gezekell s’était proposé d’en faire profiter la petite troupe qui s’apprêtait maintenant à en descendre. Puisque, du fait de sa charge royale, il se devait d’assister au couronnement de la reine, il avait proposé à ses compagnons de voyage de faire la route avec lui. Et il en était ravi ; la route, longue et difficile à cause des intempéries et plus particulièrement de la neige qui tombait en quantité cet hiver, avait été agréable et les rires cédaient de temps en temps la place aux chants – tous les répertoires avaient été revisités – les soirées dans les relais-poste avaient été animées et souvent dansantes.

La voiture parvint à trouver un petit espace lui permettant de décharger ses passagers. Gezekell descendit le premier, puis ce fut au tour du Seigneur de l’Anneau d’Or. A eux deux, ils aidèrent les dames à descendre de façon sécurisée sur le trottoir quelque peu glissant qui longeait la cathédrale.

Prinne, puis Ceriera et sa fille Fathia – qui avait voyagé sur ses genoux du coup- et enfin Orphée, posèrent pied à terre et réajustaient, dans un brouhaha qui n’avait rien à envier à une volière, leur tenue. Gezekell les confia à son ami, le temps d’aller prendre dans ses bagages sa robe des cérémonies publiques et des audiences solennelles – celle qu’il ne portait pas bien souvent : robe rouge à grandes manches, simarre de soie noire, épitoge bordée d’hermine, ceinture de soie noire avec franges, cravate de soie blanche plissée et toque de velours noir ornée d’un galon doré - et de l’enfiler par-dessus ses habits.

Gentes Dames, Gent Poul… seigneur, nous voilà arrivés à destination. Et je vois que ça se presse sur le parvis. Je vous propose de nous diriger vers les huissiers.

Parcourant les quelques mètres qui les séparaient des marches du parvis, il les regarda tous.

Nous nous sommes tous mis sur notre trente-et-un. Vous êtes magnifiques, tous, même toi Fathia, cette tenue te va à ravir.

Attendant leur tour aux portes de la cathédrale, Gezekell jeta un œil sur le plan de la cathédrale et fit une mine quelque peu déconfite.

Je crains que nous soyons séparés durant la cérémonie de couronnement. Mais il y a peut-être possibilité que les invités et les nobles soient dans le même secteur. D’après le plan, c’est jouable.

Quant à Prinne et moi, je vois que les officiers royaux sont placés entre la sacristie et le maître-autel.

A peine le temps de finir sa phrase qu’ils étaient arrivés devant l’huissier en charge. Avec un sourire, il présenta le petit groupe.

Le bonjour. Gezekell de Ferney, et Sa Grâce Prinne d’Ailhaud, officiers royaux près le Parlement de Paris, accompagnés par Monseigneur Thorsen-Vidal, Archevêque de Toulouse, et Messire Amstrad du Sans-Nom, Seigneur de l’Anneau d’Or et Dame Orphezya, Dame de Sainte-Croix.

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Monderak


Gabriell a écrit:




[Avec Monderak]
Bonjour messire Monderak de Albarrasín, je suis Gabriell, second Huissier royal, soyez le bienvenu. Les ambassadeurs etrangers seront placés à gauche derrière le Dais Royal. Est ce que je vous accompagne ?





Merci.


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http://ordensanbernardo.esforos.com/





Maurrane28
Maurrane avait fait le voyage depuis la Guyenne pour venir au couronnement. La jeune femme n'avait encore jamais assisté à un couronnement, ce serait le premier. Lorsqu'elle avait vu l'invitation en Grande Chambre du Parlement de Paris, elle avait noté la date et prit ses dispositions pour se rendre au Couronnement.

Arrivée, elle se présenta à l'un des huissiers.


Bonjour,
Je suis Maurrane Hebourg, Dame de Meauzac et Procureur près le Tribunal du Palais.

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Walan
Walan n'avait pas en tête tous les détails de la cérémonie et de leur enchaînement, mais il avait retenu qu'il y aurait un moment de flottement entre les noces et le couronnement, et cela lui convenait d'autant mieux suite à la séparation imprévue d'avec son épouse. Il en profita ainsi, dès qu'il le put, pour s'éclipser du carré des pairs- la Prairie (©Ingeburge)- et retourner dans la nef pour rejoindre Marie Alice.

D'un regard rapide, il chercha à s'assurer que tout allait bien pour elle, qu'elle avait supporté la première cérémonie dans la foule, et était prête pour la seconde.

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(temporaire)
Ceriera
Si Cerièra avait reçu l’invitation avec grand plaisir, ça n’avait pas été sans un léger vent de panique qui avait soufflé sur son crâne : à qui confierait-elle les petites ? Qu’allait-elle porter ? Elle apprit avec un certain soulagement que son ami, venu lui rendre visite, prévoyait également de s’y rendre. Voilà qui lui avait permis de se reposer sur lui pour une bonne partie de la gestion. La “control-freak” qu’elle est d’ordinaire, par souci que tout se passe au mieux, avait lâché du lest et s’était contentée de se laisser mener, de suivre le vent, pour une fois. C’est bien parce que c’était lui, et c’était implicitement une preuve de confiance de sa part.

Fathia avait eu le libre choix de l’accompagner ou pas, jugée assez grande de décider, en partie, de ce qu’elle voulait faire de ses journées. Elle aurait tout aussi bien pu passer ses journées à Bordeaux sous la bonne garde de l’amie qui les y hébergeait, mais elle avait décidée de venir, curieuse dans doute après ses cours de Maintien d’assister à un couronnement – ça n’est pas tous les jours !
Solveig, qui poussait et avait de moins en moins besoin de la présence constante de sa mère, avait été confiée aux bons soins maternels de leur hôtesse pour le temps de l’aller-retour. Chose certaine, Cerièra ne trainerait pas trop.

Cette fin d’hiver était encore rude, et la brune avait opté pour un beau velours d’un violet éclatant qui lui plait tant, bordé d’une fourrure. Déjà, parce qu’elle serait tenue au chaud tout au long de la journée, mais aussi parce que c’était sans doute la tenue la plus raffinée qu’elle possédait, peu coutumière des événements de cette ampleur.




Elle aurait pu venir avec la tenue de sa charge, mais sa mitre et sa crosse étaient restées en tolosan, et bien qu’archevêque de son état, comme le disait son ami en les présentant tous un par un, elle n’était pas l’officiante du jour et préférait donc rester discrète, en civil, comme n’importe quel invité.

Postée derrière Gezekell et Ams, son bras entourait les épaules de sa fille ainée, était-ce pour la rassurer ou pour elle-même, Cerièra, se donner du courage ? Ou encore pour dire «Elle est avec moi, ça n’est pas négociale, keuwaaaaa ? Mais j’ai une invitation de la Reyyyyne !» au cas où on lui poserait problème ?
Toujours était-il qu’ici encore, elle s’en remettait à l’homme-piaf pour les présenter à l’huissier, ce qui était un enjeu de moins qui circulait dans sa tête.

Son regard parcourant les alentours, elle vit Maurrane arriver parmi les «attendants» et la salua d’un sourire et d’une bise.


Maurrane, comment vas-tu ?
Si j'avais su que tu venais, nos convois auraient pu se suivre !


Lorsqu’on les aurait dirigés et qu’ils pénètreraient dans la cathédrale, la brune chercherait Kro du regard, s’attendant à l’apercevoir étant donné qu’il aurait logiquement été au mariage de sa sœur ! Elle ne le verrait pas, pensant qu’il devait être en pause-pipi, mais apercevrait Manga, qu’elle irait peut-être saluer, ou rejoindre ? Tout dépendrait d’où se placerait qui.
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Fathia_
Le voyage n'avait pas été des plus confortables, mais il avait eu le mérite de se faire relativement au chaud, et Fathia avait manifesté l'impatience enfantine qui était parfois encore la sienne, posant beaucoup trop de questions à sa mère et Gezekell sur "qui est la reine" / "est-ce que reims y jolie ?", "ci quoi un couronnement ?" et elle avait bien du finir par se taire quand les adultes n'avaient plus eu de réponses à offrir, et elle avait été distraite par les chants à tue-tête.

Fathia avait mis sa plus jolie toilette, même si elle n'était absolument pas équipée pour les mondanités. Elle rougit un peu au compliment de Gezekell, ne sachant pas vraiment pourquoi cela lui arrivait, d'ailleurs.


Merci. Ti es très beau aussi.

Elle s'accrocha au bras de Ceriera tandis qu'elle admirait les environs, avec des "oh", des "ah", des "oummiiiiiiiiiiiii rigarde là-bas !" tout en essayant de ne pas trop pointer du doigt les gens, même si l'envie était forte. Bien entendu, elle ne lâcha pas sa mère, il y avait beaucoup trop de monde pour qu'elle soit pleinement rassurée. Mais par chance, il y avait des personnes connues.

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Louise.beaupierre
Apres le mariage etait venu le temps de couronnement. Pour Louise c'etait une première. elle était heureuse de cette journée.

Chacun des personnalités invitée etaient vêtu de leur plus beaux atouts. c'etait une parade de parure , de belles robes, et de beau costume.

Dans sa robe rouge confectionné par sa cousine,valériane. elle monta doucement les escaliers du parvis, pour retrouver sa cousine et s'installer en attendant la cérémonie.


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Gabriell
Gabriell vit arriver Adeline, il sourit quand elle lui chuchota un "merci", auquel il répondit un "de rien Votre Magnificience", un clin d'oeil et il reprit du service.

Avec Morain.


C'est tout à fait ça, l'allée centrale et les premiers rangs.

Il le laissa donc aller rejoindre sa place.

Avec Gezekell
Gabriell sourit au petit groupe qui suivi et les salua respectueusement.


Bonjour Gezekell de Ferney, Votre Grâce Prinne d’Ailhaud, Monseigneur Thorsen-Vidal, Messire Amstrad du Sans-Nom, et Dame Orphezya, soyez les bienvenus.
Je suis Gabriell, Second Huissier Royal. Les officiers royaux sont placés à la droite du Dais Royal, quand à la Noblesse, ils sont placés juste derrière les invités de Sa Majesté dans l'allée centrale. Souhaitez vous que je vous montre vos places ? ou cela ira ?


Gabriell en profita pour accompagné Monderak à sa place parmis les Ambassadeurs étrangers.

Puis il retourna à sa place pour s'occuper de Mauranne et Ceriera et sa fille, toujours un sourire bienveillant. Il regarda les invitations puis les accueillit.


Bonjour Dame Maurrane Hebourg, soyez la bienvenue. Je suis Gabriell, Second Huissier Royal. Les officiers royaux sont placés à la droite du Dais Royal. Dame Ceriera et votre fille, étant invitées par Sa Majesté, vous serez placé dans l'allée centrale, juste derrière le Dais Royal. Avez vous besoin que je vous accompagne à votre place ?

Le jeune homme attendit patiemment la suite de l'arrivée des personnes qui devaient assisté au couronnement de la Reyne.
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Catherine.louveterie
La fraîcheur de la saison. Inutile de dire à quel point Catherine n'appréciait pas forcément que ce couronnement soit fait en début d'année. Sauf que voilà, personne ne lui demandait son avis et la vie elle-même ne lui demandait pas son avis. Alvira avait été élue. La nouvellement épouse Ar Sparfel avait fait une petite campagne pour elle. Incitant à voter pour sa candidate favorite. Même si elle doutait avoir vraiment pu avoir une aussi grande influence sur le déroulement de la campagne. Catherine n'en était pas moins fière de voir que ses maigres efforts avaient été récompensés. A présent, seul le Très haut savait et l'avenir dirait si c'était la bonne chose. Le choix de sa tenue fut rapide. Elle opta pour sa grosse robe bleue. Celle dont le tissu était suffisamment épais pour la protéger de la morsure du froid. Le tout avec une longue cape sur les épaules, les cheveux attachés en chignon à l'arrière de son crâne avec un léger voile sur le dessus. Le bleu pour faire ressortir la couleur blond de ses cheveux, un rappel de ses propres yeux bleus et parce que le bleu, était le signe de la Noblesse. Peut-être devrait-elle profiter de sa présence en Champagne pour faire un détour plus tard à Paris afin d'effectuer quelques achats. Songeant même à aller rendre visite à l'atelier de ses cousins qui avaient un talent fou à ce qu'on lui disait.
Sa main dans le creux de l'avant-bras du Vicomte, la Vicomtesse consort gardait le silence. Ses pensées étaient par delà les frontières de la Champagne. En Touraine. Où demeurait ses deux petites filles. Une décision importante lui trottait depuis un moment dans sa tête. Fallait-il oui ou non demander une rencontre avec le Chef von Frayner au sujet d'Anne-Lyse. Cela commençait à perturber ses nuits. Ainsi, ce fut la voix d'Albin qui la sortie de sa rêvasserie.


Oui. J'ai été à celui de l'Impératrice Jade en Empire.

Évocation de la mère de Maximilien son premier amour. Sujet délicat. Son cousin, père de sa bâtarde. Une douleur au coeur fut ravivée dans sa poitrine. Cependant, il lui suffisait de poser à nouveau les yeux sur l'Ar Sparfel pour que cette douleur s'apaise. Son coeur se réchauffait à nouveau en voyant certes pas un premier amour mais, un amour quand même.
Enfin, devait-elle lâcher la bombe ? Au fait, je ne vous ai pas dis... mais le père d'Anne-Lyse se trouve être un cousin proche qui est accessoirement le fils ainé de l'Impératrice Jade et que ce dernier siège également à la chambre des Nobles de Lorraine où je le croise parfois. Même s'il était vrai que cela faisait longtemps que Catherine n'avait pas vue Maximilien. Ses lettres restaient sans réponse. L'intendant de Vittel l'informant un jour que le Duc faisait une retraite spirituelle. Bref.


Ce genre d'évènement est bénéfique, cela permet à des connaissances de se revoir, de fêter l'ascension au trône d'un nouveau monarque. Cela permet à une grande majorité de la population de festoyer et de rêver le temps d'une journée.

Albin se chargea de les annoncer. Heureusement que Catherine ne collectionnait pas les couronnes. Si elle avait du accepter les trois autres qu'elle avait refusée ou renoncée. Un sourire en coin, oui. Vicomtesse de Moudoubleau parce qu'elle était maintenant l'épouse d'Albin, de l'Ar Sparfel. L'Abeille et la Louve. Le Chat et le Loup. D'un signe de tête, elle salua le Second Huissier Royal. Cette même fonction qui avait attiré son regard à l'époque où elle cherchait sa voix en France. Avant de finalement se tourner vers la hérauderie.

Messire Gabriell. Je pense que nous pourrons trouver notre chemin sans avoir besoin de vous accaparez, vous devez avoir fort à faire. Je vous remercie néanmoins et je vous souhaite une excellente journée Second Huissier Royal.


Puis bon, Albin n'était pas à son premier couronnement en France. Catherine savait que son époux la mènerait à bonne destination. Ses yeux bleus pourraient ainsi partir à la recherche de visage familier. Sa marraine et son parrain consort peut-être ? Qui pouvait savoir.
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Blason en refonte.
Valeria053
Val et Gildas avait suivi l’arrivée de la reine dans les rues de Reims l’un contre l’autre pour braver le froid glacial de cette fin février, le froid était cela dit une excellente excuse pour le jeune couple qui savourait leurs premiers jours à deux.
A la fin de la journée ils gagnèrent les appartements réservés aux grands officiers, pour une nuit de repos demain c’était l’avènement de leur bien aimée reine et pour clore le tout elle convolerait en juste noce, un grand jour les attendait.
Un dîner en tête à tête et c’est l’un contre l’autre en tout bien tout honneur qu’ils s’endormirent, savourant juste l’instant présent.

Au réveil, elle déposa une tendre bises sur la joue de son aimé, le laissa se reposer et comme toute femme qui se respecte la duduche fut en effervescence, elle retourna malle et valise pour trouver la tenue adéquate, après avoir tout retourné, elle sortit une robe verte, un bain et elle passa sa tenue, puis se fit une tresse.



Un fois prête elle retourna dans la chambre pour réveiller son Bourguignon, qu’elle savait ronchon le matin.
C’est avec délicatesse, qu’elle le réveilla, une main le gratouillant légèrement


Mon tendre duc, c’est l’heure, faut se lever

elle eut pour réponse un grognement ducal

grrrrrrouuncchhhh, hummmmmm

un sourire sur les lèvres de Val mais pas un œil qui s’ouvre sur son Gildas, téméraire, elle posa ses lèvres sur les siennes, et lui chuchota

Allez je t’en ferai un autre si tu te lèves et il y a de quoi manger

Son brun ouvrit un œil et un regard noir la dévisagea

J’en veux un autre mais surtout tu ne parles plus tant que je n’ai pas dévoré mon petit déjeuner

Val lui donna son deuxième et sans un mot sourire aux lèvres elle alla à table déguster son repas, l’attendant,
Il arriva tel un ours qui sort de sa tanière et se restaura, le regard devint plus réveillé et un sourire arriva enfin


Je suis prête je t’attends tranquillement

oui oui t’inquiète je suis un homme je mettrai moins de temps que toi pour me préparer

il lui lança un regard taquin et un sourire et fila se préparer



une caresse à Zeus et val admira son tendre duc, et à la voix ferme de son maître Zeus alla se coucher sur le tapis bien sagement

Zeus à ta place

Puis val donna les ordres pour que l’on prépare le carrosse, et c’est bien installé l’un contre l’autre qu’il partirent pour le lieu du couronnement. Une fois arrivée, il descendit et l’aida à descendre, main dans la main ils gagnèrent la cathédrale de Reims, un tendre regard échangé juste avant de rentrer,
Les grands officiers n’étant pas sur la même rangée que les feudataires, Val gagna le dernier rang réserver à sa fonction et Gildas prit place sur le rang de derrière réservé aux feudataires tout près d’elle, elle laissa sa main dans son dos pour ne pas lâcher la sienne.
La cérémonie allait commencer, et Val devrait remettre le premier écu à l’effigie d’Alvira


(RP écrit à 4 mains avec JD Gildas)
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