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[RP] CHAP III - 23 février 1466 -Couronnement d'Alvira

Sloan
La jeune femme avait accompagné le comte de Toulouse au couronnement de la reyne. ils avaient rejoint le cortège devant la cathédrale puis que son comte y avait été convié en tant que Vassale de sa majesté et qu'ils n'étaient guère en avance .

C'est donc au bras de son blond dans une somptueuse robe nuancé de bleu lys et de blanc crème ainsi qu'un peu de orange dorée que la vicomtesse fit son apparition.


Voilà nous y sommes !
Ne me lâchez pas, j'ai peur.
Savez vous que c'est une première moi pour ce genre de sortie.

Vous me faites faire n'importe quoi mon ange


Un sourire illumina le visage de Sloan alors que sa main glissée dans celle de Gannicus pour la serrer. Le blond lui rendit son sourire et lui murmura.

Eh bien pour ma part c’est la première fois que je viens en tant qu’invité.
La dernière fois j’étais là en tant qu’huissier.

Gannicus suivit sa douce d’un pas lent et tranquille. Il n’était pas particulièrement pressé. Il faut dire que ce genre de cérémonie l’ennuyait profondément.

Mais c’était l’occasion de rencontrer du monde, de déguster de délicieuses choses, de faire des activités qu’on a pas l’habitude de faire et surtout de voir sa belle arborer une magnifique nouvelle tenue.

Le couple entra dans la salle du couronnement et s’avança à l’intérieur de cette dernière admira les décorations et les vitraux de la cathédrale.
Il salua poliment d’un signe de tête Gabriell, Miss Automate et Miss Calva n’osant aller les voir par crainte de les déranger pendant leurs offices sachant à quel point ce dernier était compliqué.

Il se tourna un instant vers sa Vicomtesse et murmura.


Vous êtes ravissante mon ange. La plus belle de toute.

Le blond vint légèrement effleurer son cou avec ses lèvres. Ce qui fit frissonner la vénitienne, qui se mordit légèrement la lèvre à l'effleurement.

Alors qu’en dites-vous Vicomtesse.
Allons-nous dans le carré de la noblesse ou dans celui des Grand Feudataire ?

J'aurais une préférence pour le carré de la noblesse, car il sera surement plus remplir et je pourrais me sentir caché, mais comme vous le souhaitez mon ange, je ne fais que vous accompagner.


Puis plus bas au creux de son oreille pour que seul lui entendes, en se dirigeant inconsciemment vers la noblesse un peu plus accroché au bras de son comte. Vous êtes un incorrigible. Vous me faites fondre.



[[hrp : ecrit à 4 mains avec Jd gannicus]]
[[ edit pour la cohérence et la compréhension]]

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Catonlecenseur
La route n'avait pas été trop longue depuis la Lorraine, les terroirs étant pratiquement voisins. Les cahots n'avaient pas trop entamés la bonne humeur du brun, lui qui avait l'habitude de se déplacer à pied, dans ses caligulae usagées habituellement, résidu d'une jeunesse sur les chemins avec les frères mineurs franciscains. Le chemin vers la Champagne était agréable, malgré la mauvaise saison et les gelées matinales fort dérangeantes.

Heureusement, ils étaient arrivés la veille, et étaient descendus dans l’hôtel particulier d'une amie, l'ancienne régnante de Champagne, son homologue chambellan Hersent Ar Sparfel. Elle s'était démenée pour leur trouver une petite place, au milieu des invités royaux qu'elle accueillait déjà. Caton se promit de lui faire parvenir rapidement un cadeau pour se dédommager de ce chamboulement.

Mais il est vrai que Reims était chamboulée ce jour. Un sacre, un de plus, mais un sacre quand même. et en cela, Reims chavirait de bonheur. Le peuple, en liesse, bloquait les accès au parvis de la cathédrale. Aussi, à une ruelle de là, dans une venelle déjà pleine de carrosses de tous genres et de toutes tailles, mirent ils pied à terre, le brun aidant sa cavalière du jour à descendre de leur moyen de transport.
Dans les deux carrosses qui complétaient la marche suivait les membres de la délégation impériale que la Chancellerie Impériale et la Maison de l'Empereur avait mis à sa disposition. Les derniers mètres se firent lors dans le charivari le plus total, bien que le service d'ordre veilla, que ce soit la prévôté de l'Hostel de Ville, la garde épiscopale ou la prévôté de la Maison Royale.

Précédé d'un héraut portant le gonfalon impérial, et d'un laquais distribuant les largesses du jour aux manants, des thalers provenant des coffres propres de l'Antique, et des estevenants, monnaies de billon frappées dans les ateliers de l’archevêque de Besançon, ils fendirent la foule. L'image fit sourire le brun, imaginant la tete du Cardinal-Archevêque si il savait que son ami faisait largesse au peuple rémois sur son dos, en distribuant l'argent de l'archidiocèse.
Le restant de l'escorte suivit jusqu'au parvis, laissant l'impérial et son accompagnante montés les marches, et rejoignant le laquais et le gonfalonier à main droite.

L'ascension se fit doucement, le lorrain prenant le temps d'observer la scène et voir si il reconnaissait des visages. Se retournant vers sa compagne, il lui sourit, heureux d'etre là avec elle, et surtout en admiration devant sa si belle toilette. On aurait dit une Muse descendue du ciel pour égayer la journée.


Prete pour le grand saut, très chère, pas trop d'angoisses?

Lui même n'en menait pas large. Il se prit à s'observer une dernière fois, voir si son aspect était correct. Un pourpoint en brocart fin, un riche mantel noir à liseré vert bouteille, chausses et braies correctes de couleurs pourpres. Une main passée rapidement sur sa poitrine pour voir la quincaillerie, les différents colliers au cou, tout est là, alors on y va!

Offrant son bras à la blonde, il se dirigea vers les huissiers royaux, et préparant un petit carton d'invitation reçu, le brun déclara

Bonjour! Belle journée n'est ce pas?

Son Auguste Excellence Monseigneur Caton d'Acoma, Ambassadeur Impérial auprès du Royaume de France et Sous Secrétaire Pontifical d'Aachen, et Sa Grace Elenna Von Stavanger, Duchesse Régnante de Lorraine, mon accompagnatrice.

Léger mordillement de lèvre, la présentation d'Elenna allait elle lui plaire, ou la sérénade allait débuté une fois à l'intérieur, pour une cohorte de jérémiades?
En attendant, il adressa son plus beau sourire aux huissiers.
Mariealice
Assister au mariage avait été plus que compliqué pour la brune mais elle avait tenu bon. Le couronnement risquait d'être pire encore, la foule attendue étant plus grosse encore. Pâle, essayant tant bien que mal de se calmer et de repérer son époux, Marie se demandait comment elle allait supporter cette nouvelle cérémonie loin de lui et de sa présence rassurante.

Enfin trouvé, elle vint se blottir contre lui, se moquant éperdument du fait que son attitude pourrait paraître déplacée en un tel lieu. Tout ce qu'elle voyait c'était qu'elle avait besoin d'être rassurée à cet instant. Un murmure à l'oreille pour lui seul.


Tu es obligé de retourner près des Pairs?

Pour une fois, elle regrettait le fait de ne plus en être un. C'est dire si elle ne se sentait pas au mieux.
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Retour d'une longue retraite, blason pas à jour etc.... Ca va viendre.
Orphezya
des relais-poste, c'était bien ça, des lieux-dit, des hôtels, où chaque soirs nous poussions la chansonnette, chaque soir était un jour de plus vers le couronnement de la Reine. Le chemin prenait de l'ampleur et le paysage souvent couvert d'une belle poudreuse blanche nous éblouissait les yeux à travers les vitres de notre voiture qui nous amenait indéniablement vers Reims.
Très peu habituée à ce genres d'évènements, la jeune femme n'aurait jamais cru y assister un jour si on le lui avait dit "Hey ! Tu assisteras au couronnement de la Reine !" Et pourtant..
Pourtant oui, présentable et vêtue de sa plus belle robe blanche, recouverte d'une cape de couleur beige englobant son chignon bien fait, elle posa enfin les pieds sur le trottoir qui longeait cette incroyable cathédrale à l'architecture fine et raffinée, lieu saint des grand évènements mondains.
Tout à côté d'eux, pressant le pas de Gezekell qui nous présenterais, Orphezya inclinait le visage vers chaque visage qui se tournait vers elle, comment pouvait elle saluer autrement qu'ainsi des gens si grands dans cette société ?
Quand les présentations fut acquises, et ayant poliment salué l'huissier royal, elle prononça entre deux arrivées d'invitées.


Ravie de vous rencontrer Messire Gabriell.

Un sourire de mise dans ce brouhaha de paroles et de rires, tout et même ça, semblait mondain. Quelques regards discrets et curieux autour d'elle, sait on jamais qu'Orphezya puisse croiser un proche qu'elle connaissait. Son parrain, aurait pu être l'idéal pour qu'elle se sente rassurer parmi tout ces bons gens.
Quand l'huissier royale expliqua la place des uns et des autres, la jeune femme n'avait pas manqué de situer l'allée centrale, derrières les invités de sa Majesté, cherchant ça et là encore quelques places assises.
A présent, elle pénétra dans l'enceinte de la cathédrale et s'approcha des invités de la Reine, là où bientôt, elle prendra place.

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Hersende
Après la visite de la Reine en Provence, Hersende comptait lui rendre la politesse en assistant à son couronnement. Les chevaux n'avaient pas été ménagés pour arriver à temps. C'est que les routes étaient peu praticables en cette saison : boueuses ou glacées, elle présentaient des ornières qui étaient autant de pièges pour les roues des carrosses.

Heureusement le mariage de la souveraine avait duré un peu, ce qui fait que la Marquise de Provence avait pu se reposer un peu des fatigues du voyages dans une auberge de la ville et revêtir des atours appropriés au faste de la cérémonie.

Elle se présenta à l'entrée de la cathédrale et se présenta à un des huissiers :


Hersende de Brotel, Marquise de Provence. Pourriez-vous m'indiquer les bancs des souverains étrangers?

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Mangarofw
Gabriell a écrit:
[Avec Mangarofw]

Bonjour Dame Mangarofw, ravie de vous ravoir en dehors du Louvre. Vous êtes donc parmis les invités de sa Majesté. Vous serez placé juste derrière le Dais Royal. Souhaitez vous que je vous montre le chemin ?


Bonjour Messire, ravie de vous revoir aussi... Si un plan est à notre disposition, je vais me débrouiller pour ne pas vous importuner de trop, alors que vous avez surement plein plein de monde à recevoir...

Et de sourire au Seigneur Gabriell.
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Xalta
On ne change ni de Lieu ni de jour, on passe du mariage au sacre mais on change de place

La cérémonie du mariage terminée, chacun put choisir ce qu'il souhaitait faire: sortir ou demeurer dans la cathédrale et pour sa part, celle qui fut un des deux témoins choisit de rester au chaud , au sein du saint édifice, on lui apporta son manteau de Pair qu'elle accueillit avec un sourire puis elle rejoignit son Egal qui avait été l'homme conduisant la reine à l'autel. Elle l'avait trouvé sexy en tout, ses pensées plus d'une fois lors de ce mariage s’étaient envolées vers lui, et des pensées loin d'être sages.

Elle glisse sa main dans la grande pogne et dépose un chaste baiser au coin des lèvres alors qu'elle rêve d'un baiser bien plus sauvage. Il dégage un parfum qui l'enivre , elle lève ses yeux couleur noisette pas mûre vers lui, ils brillent d'un éclat qu'il reconnaîtra sans mal. Celui d'un désir qui l’étreint et qui lui fait resserrer insensiblement les cuisses, un long soupir soulève sa poitrine mise en valeur par son décolleté. Cet homme est un aphrodisiaque sur longues jambes musclées. Elle est envoûtée, elle le sait et elle ne fait et ne fera jamais rien pour rompre l'enchantement. Le bonheur est devenue sa drogue.

Elle sait par la reine elle-même qu'ils pourront assister au sacre l'un à côté de l'autre : dans le carré dans la famille , lui et elle qui aurait du rejoindre celui des Pairs mais demeurera à ses côtés. Les invités au couronnement affluent guidés par les huissiers. Elle profite de cet instant de mise en place pour se plaquer contre le large buste pour bénéficier de son aura, de sa mâle assurance. C'est un nouveau couronnement mais le premier qu'ils pourront vraiment partager ensemble.
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Gabriell
Avec Catherine Louveterie

L'huissier, sourit aimablement au couple et les laissa s'installer dans la cathédrale.


Merci Dame, effectivement, il y a énormément de monde.
Je vous souhaite également une bonne journée.


Avec Valeria et Gildas

Un autre couple se présenta, il consulta les invitations et le laissa passer afin qu'ils s'installent.

Bonjour, soyez les bienvenus, je suis Gabriell, Second Huissier Royal. Si vous avez besoin de renseignements je suis là. Je vous laisse donc vous installer. Bonne journée.

Avec Sloan et Gannicus

Ho bonjour Gannicus, bonjour Dame Sloan.
Je ravis de vous revoir. Vous devez connaitre, je vous laisse prendre place. Bonne journée à vous deux.


Le blondinet fit un clin à son collègue, les laissant entrer dans la Cathédrale de Reims.

Avec Caton d'Acoma et Elenna Von Stavanger

Un autre couple fit son apparition, Gabriell s'inclina respectueusement quand ils se présentèrent.

Bonjour Votre Excellence Monseigneur Caton d'Acoma et Votre Grace Elenna Von Stavanger, soyez les bienvenus, je suis Gabriell, Second Huissier Royal, magnifique journée en effet.
Vous serez placés avec les ambassadeurs et souverains étrangers à gauche derrière le Dais Royal. Est ce que vous souhaitez que je vous accompagne ?


Avec Orphezya

Une des jeunes femmes qui était arrivée avec tout un groupe lui sourit, il lui rendit donc son sourire, en effet cela fait toujours plaisir, ça fait parti des plaisirs de son poste.


Ravi également Dame Orphezya. Je vous souhaite une bonne journée.

Puis il la regarda entrer dans la Cathédrale et se retourna pour s'occuper des personnes suivantes.

Avec Hersende de Brotel

Le jeune Huissier s'inclina devant la Marquise, puis en lui montrant discretement la zone réservée au Souverains étrangers


Bonjour Votre Maginficience Hersende de Brotel.
Les Souverains étrangers sont placés à gauche derrière le Dais Royal. Peut être préférez vous que je vous guide ?


Avec Mangarofw

Gabriell indiqua le plan de la Cathédrale avec les places réservées, souriant à Mangarofw.


Très bien merci, je vous laisse donc consulter le plan, si jamais vous avez besoin n'hésitez pas à venir nous voir, moi ou un autre huissier.
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Portalis
Le chancelier de Provence avait fait la route seul. Dur chemin depuis les terres du Sud. Il aurait pu prendre un carrosse marquisal, mais n'en avait cure. Le coche d'eau avait remonté le Rhône puis, dans la cité archiépiscopale, il avait pris un attelage pontifical. La Marquise ne lui avait pas proposé son carrosse, c'était donc mieux ainsi.

Pied à terre, chemin fut fini, jusqu'au parvis, ou le préfet romain se présenta aux huissiers de faction


Le bonjourn. Portalis de Vandimion, Chancelier-Eveque de Provence et représentant auprès du Royaume de France.

Il profita d'un entre-deux pour épousseter sa soutane noire
Estrella.luna


Une ombre légère qui se glisse non loin du prélat, un sourire amusé à se dire que le monde est en fait minuscule et une jeune infante de s'amuser à apparaitre comme un diable sortant de sa boite au coté du chancelier de Provence avant de glisser à son tour le nom à l'huissier.

- Buenas dias. Son altesse royale Estrella Luna de Lancaster y Valyria, infante et vice chancelier de Castille, duchesse impériale de Westphalie et également représentante auprès du Royaume de France, bien que pas de Provence mais de Castille y Léon.

Puis, de finalement se tourner vers son homologue provençal, le regard pétillant d'une certaine malice.

- Ravie de vous revoir icelieu, Monseigneur. Décidément, nous ne cessons de nous rencontrer. Avez vous fait le voyage seul? Ce fut mon cas, de mon coté. Enfin, si l'on oublie la garde castillane et l'armée de chaperons et de maures que mes frères m'ont attitré à chacun de mes déplacements...

Et de jeter un léger regard goguenard à une vieille douairière ibérique qui se rongeait le frein en cet instant de ne pas pouvoir réprimander la jeune princesse de sa trop évidente bonne humeur.

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Effelissianor
En une journée, elle aurait été à un mariage et à un couronnement, chose inhabituelle.
Ils étaient ressortis un moment après le mariage et devaient donc rerentrer.

Toujours accompagnée de SAR Guy de la Mirandole, son fiancé, la jeune femme commençait à fatiguer légèrement.
Cette fois, elle les ferait annoncer pour éviter de se faire remarquer


Petit sourire radieux, puis ils s'avancèrent devant les huissiers

Bonjour, voici son Altesse Royale Guy de la Mirandole et je suis sa fiancée Effélissianor de Vosne-Romanée, Duchesse de Saffres .....



( Rp en accord avec Jd Guy)
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Hersent
[Après l'entrée de la Reyne en Reims et la pause épousailles royales]

Les H&H avaient eu quartier libre après l'entrée triomphale de la Reyne à Reims. Hersent était fatiguée et vit avec joie l'opportunité de rentrer en son Hôtel de Vignory prendre quelque repos avant la cérémonie du Couronnement.

Quand le couple se présenta aux gardes et huissiers veillant au bon ordonnancement des choses, il y avait une telle foule qu'elle ne put qu'apercevoir SE Caton d'Acoma, elle aurait l'occasion, plus tard, de deviser en sa compagnie. Puis elle chercha du regard ses fils et son frère.
Après une attente qui lui parut être une éternité, elle put se présenter à l'huissier, Messire Gabriell en personne.


Le bonjour Messire Gabriell, ravie de vous revoir. J'ai reçu une invitation de la part du Grand Maistre des Cérémonies. Je suis accompagnée de mon fiancé, Messire Hoel de Trajan Lablanche d'Abancourt.

Elle présenta son carton à Messire Gabriell puis attendit le "Sésame, ouvre-toi".
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Aaron_de_colmarker
Le jeune PEF après en avoir terminé de son travail avec les chevaux qui avaient été sélectionnés pour le couronnement, se rendit à la cathédrale de Reims accompagné de sa jeune épouse maréchale de France de l'intendance. Ils en profitèrent pour saluer les CA qui étaient de garde et les remercier de leur travail.

Kahhlan était fermement accroché à son bras car foule il y avait. Ils s'annonçèrent et rejoignir le coin des officiers. Il n'avait pas encore vu arriver son géant de père, et vu la foule il avait du mal a reconnaître des amis.
Ils saluèrent quand même Hersent qui était rentré juste avant eux accompagné d'un homme qu'ils ne connaissaient pas et qu'elle leur présenterait peut être un jour.

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Portalis
Le brun était perdu dans ses songes, à dépoussiérer sa soutane noire, trop grande pour son corps amaigri, quand soudain, une ombre froufrouteuse apparut dans son dos. Le blafard eut un mouvement de recul, apeuré, quand soudain, surgissant de nulle part, surgit un petit corbeau noirrrrrr*

Reprenant son souffle, le provençal esquisse néanmoins un sourire


Vous m'avez fait peur, Altesse! Voulez vous donc me tuer de suite, sur ce parvis! Voyez l'image que cela donnerait : le couple Provence-Castille provoque un incident diplomatique sur les marches de la cathédrale de Reims au sacre de la Reyne de Francie
!

Son sourire s'agrandit, un petit rire s'échappa de lui - chose rare en ce moment - tout en détaillant Estrella, et en l'écoutant se présenter à l'huissier. La petite pique sur la représentante, "bien que pas de Provence mais de Castille y Léon" vit son sourire s'agrandir. Une fois qu'elle eut finie, l’évêque lui déclara

Vous etes splendide Altesse! Vous faites même un peu plus vieille que votre age, la vingtaine quasiment! C'est un plaisir à observer!


Le sourire se fit taquin, ironique même, sachant que la brunette allait piquer un fard dans la foulée.


Ravi de vous revoir icelieu, aussi, Altesse. En effet, nous ne cessons de nous rencontrer. Coincidence? destin? Comment dit on déjà, dans votre région natale?
En effet, j'ai fais le voyage seul, abandonné à ce meme destin. Les brigands n'ont pas voulu de moi, pourtant ils auraient eu de quoi faire en demandant rançon!


Un nouvel éclat de rire léger, interrompu par une toux soudaine, heureusement sans marque, mais par prévention, le mouchoir aux armes castillanes fut préparé.


Souhaiteriez vous me tenir compagnie pour la cérémonie?


Et de lui proposer son bras, le couple ainsi former se mettant aux ordres de l'huissier. Couple, vous avez dit couple?


*Modifié et empreinte à la chanson "l'Aigle Noir" de Barbara".
Gonorrhoeae
Après un long voyage à dos d'âne, le blondinet de quinze ans, couvert de sa capuche et de sa cape arrivait dans le ville de Reims. Les doigts gelés, la gorge sèche et le nez encombré, il sauta de son fidèle mini-destrier pour arriver lourdement sur le pavé. Finalement, il semblait qu'il était toujours dans les temps, malgré son sens de l'orientation plus que défaillant. Ce fut ce handicap qui le fit demander son chemin à une bonne demie douzaine de bons péquenauds du coin.

Dis moi toi l'autochtone, loin de moi l'idée de te déranger dans tes activités de pégu, j'ai seulement une question. Sais tu où je pourrais trouver la cathédrale ?

Naturellement, c'était si gentiment demandé qu'il avait fini par trouver, le bougre. Ainsi, devant cette grande battisse, le jeune homme s'adressa à haute et intelligible voix à un garde, mêlant le geste de présentation à la parole.

Bien le bonjour. Je suis Gono ! Savez-vous si on accepte les gueux dans votre petite sauterie ?

L'aventure pouvait enfin commencer.
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