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[RP] Eglise de l'Air de Castres

Penthagruel
Pentha assista à la messe et écouta avec attention les paroles du prêtre.
Quand vint le moment de la confession, il énuméra les diverses fautes qu'il avait comises, selon lui, ces derniers jours, mais il n'était pas bien sur que ce qu'il prenait pour une faute en était une également pour l'église, et inversement.


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Puis, pentha essaya de réciter le crédo en compagnie du pretre.
Il ne le connaissait pas encore bien, "mais ca, ca viendra" ce dit-il...


Citation:
Je crois en dieu, ... puissant,
créateur ... et de la terre,
des enfers et du paradis,
... notre ame a l'heure ... mort.

... aristote, son prophete,
le fils de ... (qui déjà ?),
envoyé pour enseigner la sagesse
... divines de l'univers ...

Je crois aussi en Crystos,
ne de maria et de ...
... monter le chemin du paradis.
...martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le soleil ... istote a la droite du tres haut.

Je crois en l'action divine,
en la sainte église aristotelicienne romaine,
une et ...visible,
en la communion des saints,
...
en la vie eternelle.

amen !

Pfou, ya encore du boulot avant de savoir tout ca sur le bout des doigts !!!

Il écouta attentivement la citation du pretre et eu l'impression, une fois celle-ci terminée, de mieux comprendre le sens du mot "aimer" et de l'important lien entre le mariage et la religion.

Pentha s'étonna ensuite de la présence du pain à la place du saucisson. Ayant vécu uniquement à Castres, il ignorait qu'il s'agissait d'une coutume Castraise.
Bah, pain ou saucisson, c'est plutôt le vin que pentha aurrai voulu partager ! "Il vaut mieux etre pretre, au moins on se tappe le vin de messe" pensa-il.

A la suite des annonces, pentha fit de son mieux pour exprimer dans sa tête de la compassion pour ses deux morts, mais ne les connaisant pas, il eu du mal à avoir une pensée vraiment triste. Pour lui la mort faisait partie de la vie, son éducation par un fataliste lui rendait l'exercice plutôt difficile.

Il se réjouit du mariage annoncé. Il faudrait qu'il passe féliciter les fiancés.
Baron_arwin
Et hop là, peine sortit de la maison qu'il faut absolument aller prier le seigneur tout puissant à l'église. Et peut être rencontrer le curé par la même occasion. Et voila que tout fringuant il s'en alla joyeux à l'église.Il se retourna cependant et remarqua que sa maison ne ressemblait plus vraiment à une maison et qu'elle s'était écroulée en son centre. Oulala commen avait-il pu vivre la dedans sans bien même s'en rendre compte .Il va falloir penser à trouver un nouveau logement pensa-t-il.Bon il reprit la direction de l'église de l'airLorsqu'il entra il se signa et quitta sa toque. S'avanceant silencieusement vers le coeur il appercu le père Oeildelynx occupé avec quelques gens.Il salua cet inconu d'un bref mouvement de tête et s'agenouilla sur un prie dieu. Il récita son credo et ouvrit son livre de prière pour en selectioner une




Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

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Lysyan


Après une très longue communication entre le banc et son fessier, Ly se leva lentement et quitta l'église.
Il aurait amplement le temps de poser ses questions. Mais pour l'heure, n'étant guère d'humeur communicative, le jeune homme rentra "chez lui".

Il avait en tête une idée de logement qui germait lentement, au rythme de l'arrivée du printemps, qui ne pouvait qu'arriver.

Pffff.................
Phoenixianne
La jeune Aristotélicienne vint entre les murs de cette église où elle fut jadis baptisée. Elle entra sans poser aucun bruit et se dirigea de toute droiture en ce lieu de prière. Elle prit dès lors place pour se recueillir, tant de chose avait changé en sa vie. Elle devait le quitter aujourd’hui, il n’était plus le sien et elle n’y trouvait d’ailleurs plus sa place malgré qu’elle étudiait les écris aujourd’hui pour en devenir une diacre assidue. Elle avait imaginer un jour offrir a cette église tout ce qu’elle avait partager depuis son arrivé. Mais il était chose impossible dès à présent. Malgré ce que certain pourrait croire il lui était difficile de quitter ce qui avait été jadis toute sa vie en Castres. Elle savait que se fut dans les heures à venir un non retour. Elle devait vivre aujourd’hui certes pour elle-même mais aussi pour bien d’autre raison qui lui était propres. Elle devait réaliser cette coupure. Avant de perdre tout ce qui lui restait encore d’elle-même. Elle ne pouvait rien oublier et elle ne le cherchait point non plus mais elle était tout de même sereine par ce départ. Il ne définissait point un retour aux bonnes vieilles saveurs des voyages, ses voyages assidues et sans réellement d’arrêt. Il était simple fait d’un renouveau aux grés des vents et des saisons. Elle avait changé et elle fut restée la même tout à la fois depuis le jour où elle parvint en Castres.

Sa longue chevelure de vagues noirs cacha un long moment son visage de nature doux et posée. Elle priait pour différent fait. Elle voulu offrir un moment a qui il se devait l’aveu de ses erreurs, elle savaient en avoir commis comme tout être humain en cette terre. Elle recherchait le pardon et a se pardonné comme elle avait su offensé maladroitement par sa présence en ce village. Ses pensées furent aussi dirigées vers des gens bien précis pour qui elle priait et demandant que le Très Haut veille sur ceux qu’elle a su protéger adéquatement et qu’elle quitte de corps mais jamais de pensées. Elle ne connaissait en rien le futur et elle n’était pas très poussée à son envie de le savoir, mais comme bien des gens elle aimait rêver et elle gardait encore en mémoire ce qui était encré en ses désirs et qu’elle souhaitait un jour réaliser.

Plusieurs heures s’étaient écoulés depuis qu’elle été entré en cette église importante en sa vie. Elle fit ainsi une toute dernière prière et se sentie apaisé. Elle avait une toute dernière chose à accomplir avant de prendre les chemins et pour regarder le village de Castres une toute dernière fois. Elle s’approcha d’un cierge. Elle apporta sa main droite a sa main gauche. Elle retira délicatement l’alliance qu’elle portait toujours en son doigts elle tournait la page, elle avait jadis souhaité la garder mais elle avait besoins de laisser ce qui avait commencer en Castres, en Castres. Elle déposa son alliance de fiançaille devant ce cierge pour qu’il n’oublie pas tout l’amour qu’il fut promis avec sincérité d’une part et d’autre même si aujourd’hui leurs chemins étaient toutes autres. Elle déposa aussi un morceau de parchemin où était dessiné une étoile, elle lui redonnait entière liberté difficilement mais il devait en être ainsi. Elle leurs souhaitait un bonheur infini et être heureux auprès d’une autre dame si tel était une chose possible, et se fut un vœu sincère.

Elle eu une toute dernière pensée pour son filleul a qui elle continuerait de prendre soins même au loin de son quotidien.

Elle tourna légèrement les talons et avança de nouveau vers la porte de l’église, un félin y attendait au dehors. Elle sortie alors sur le palier et regardait le village en son sommeil. Elle caressa son acolyte à quatre pattes et remonta sur sa longue chevelure son pardessus de voyage. Une monture tenait fermement une Verdine près a vraiment quitté le village. C’était un non retour et elle ne se retourna même point en route vers sa propre vie.

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Stephg63
Stephg63 se rendit à l'Église, comme lui avait suggère Messire le curé. Mais elle avait l'impression que la messe n'avait pas encore commencé. Elle s'installa dans un coin et attendie.
Carmeli
Carmeli arriva assez tôt à l'Église , elle y entra se signa ...fit don de 5 écus en achetant un cierge. Elle le prit l'alluma et commença à prier qu'Aristote veille sur toute les personnes qu'elle aimait , y comprit son parrain si déçu de son choix d'époux. Toute à ses prières , Carmeli attendait le début de la messe .
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[
Laurre
Ce matin là, Laurre n'avait aucune envie de voir du monde "Y a des jours comme ça" se dit-elle, mais il fallait se faire violence c'était dimanche, et qui dit dimanche dit messe, qui dit messe dit voir du monde. Les deux serviteurs de la vicomtesse avaient tout fait pour que Laurre n'est rien à dire, pas même un ordre, rien. Ils allaient au devant de ses désirs sans même parler.
Elle les remerçia d'un signe de la tête et d'un sourire sans joie.

Les cloches de l'Eglise appelaient les fidèles, d'un pas lent elle se rendit donc à l'édifice religieux, du quel elle gravit les marches, puis y pénétra en se signant fixant la croix aristotélicienne, elle salua légèrement les présents et prit place sur les banc de la noblesse.

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Oeildelynx
Oeildelynx arriva en l'église ce matin, un peu plus tard que d'accoutumé. Il savait parfaitement pourquoi d'ailleurs, la partie de bras de fer...
Il y avait déjà du monde. Il fut content.
Il regarda autour de lui. Tout était propre, les deux vagabonds qu'il avait engagé à la fin de la messe précédente avait tout nettoyé.
Il allait récupérer les éléments nécessaires à la messe, lorsqu'il remarqua en passant auprès des cierges, une alliance posé à coté de l'un deux.
Il regarda autour de lui et ne vit personne qui aurait pu la déposer.
Il la prit, la mit sans sa bourse, et décida de s'en occuper plus tard.
L'aide précieuse de son diacre lui manquait.


Il installa tout les éléments devant lui, le calice, le pain, le livre des vertus non ouvert



puis s'en retourna sonner les cloches.

Lorsqu'il revint d'autres fidèles étaient arrivés. Il se dit qu'il allait attendre un peu que les cloches ramènent du monde et attendit patiemment, regardant l'église se remplir. Il était heureux.
Stephg63
Stephg63 entendis les cloches et vis le père Oeildelynx entrer et s'installer. Elle se tenait prête à écouté la messe d'aujourd'hui. Se fut pour elle la premier messe qu'elle écouta. Tout ça lui était si inconnue.
Oeildelynx
Oeildelynx regarda autour de lui, Dame Stéphanie qui souhaitait être baptisée et recherchait un parrain, ainsi que la fidèle Dame Carméli, cela ne le surprit guère venant d'elle. Elle était assidue à l'église. Point de Messire Thwaite, ce qui ne l'étonna point non plus, vu les évènements de la partie de bras de fer, il l'excusait bien volontiers aujourd'hui. La vicomtesse Laurre était venu, le deuil qui la frappait la rendait fragile et vulnérable.

Il commença la messe

Mes frères et mes sœurs, je suis heureux de vous accueillir en ce Dimanche.

Cette fois-ci, c'était réel, il était heureux de toute cette assemblée, bien plus que les fois précédentes, les choses à Castres semblaient redevenir à la normale, et ce malgré l'influence des spinozistes.

Je vous prie de réciter le pardon avec moi


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.



Il leva les yeux sur l'assemblée.


Je vous invite maintenant à vous confessez devant Dieu.

Il les regarda, cette fois-ci, ils s'y attendaient, il les laissa un instant à leur confession.

Puis, il reprit :


Mes frères et mes sœurs, récitons ensemble le credo :
Laurre
Laurre en contemplation devant la croix, serra ses mains sur son rosaire et récita le pardon.
- Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
- Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Puis le Prêtre appela à la confession.
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________
Carmeli
Carmeli écouta la messe du curé . Elle récita le pardon en même temps que tout le monde .

Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Suivant la messe avec joie , elle récita le credo fermant les yeux .

Citation:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________
[
Stephg63
Stephg63 pris son courage à deux bras mé repris avec le curé:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Même sipour elle, cela fesait longtemps qu'elle navé pas péché, cela sans doute depuis le dépard de Dragan en retraite.

JE crois en Dieu, le trés-haut tout puissant, créateur du ciel et de la terre, des enfers et du paradis, juge de notre ame à l'heure de la mort.
Et en aristote, son prophéte, le Fils de Nicomaque et de phaetis, envoyé pour enseigner la sagesse et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos, né de Maria et de Giosep. Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du paradis. C'est aussi qu'aprés avoir souffert sous ponce, il est mort dans le Martyre pour nous sauver. Il a rejoint le soleil ou lattendait Aristote à la droite du trés-haut.
JE crois en l'action Divine, en la sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, une et indivisible, en la communion des saints, en la remission des pêchés en la vie éternelle.

AMEN



Elle écouta le suite de la messe.
Guitail
Guitail entendit la cloche annonçant le début de la messe. Il se rendit donc à l'église et alla s'assoir dans les bancs se trouvant dans le milieu de l'église. Il écouta le prêtre, et le moment venu, il récita son credo après la prière du pardon.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Guitail
Cultivateur heureux à Castres
Etudiant dans la voie de l'état
Charpentier à ses heures perdues
Epoux comblé de Smartynina.
Oeildelynx
Il regarda autour de lui avant de poursuivre, tous avaient récité le credo, il vit Messire Guitail, présent lui aussi. Dame Smartynina devrait elle aussi venir de temps en temps.

Aujourd’hui, nous allons lire ensemble des extraits de la 3ème partie du premier livre des vertus. Celle qui traite de ce qu’il y a après.

Citation:
Tout d’abord, je vous remémore, ce qu’il s’est passé avant .
Un homme marchait avec son chien, se produit alors une éclipse qui le conduit à marcher sur un arc en ciel. Il rencontrera lors de son périple, les 7 princes, et aussi les 7 archanges leur opposé.

Dans l’extrait suivant, l’homme vient juste de rencontrer les princes, il est devant une porte en métal.




J’entendis alors un petit bruit de clochette et la porte s’ouvrit, les deux moitiés de la porte coulissant sur les côtés. Surpris, je regardai à l’intérieur et y vis un miroir magnifique, qui reflétait comme aucun autre mon image.

J’entrai dans le petit espace dans lequel il se trouvait, mes yeux n’arrivant pas à s’en détacher. J’entendis alors une voix calme me dire: “Vous montez?”. Je me retournai, abasourdi par une question si étrange et vis une personne souriante attendant une réponse. Nous nous trouvions ensemble dans une pièce minuscule où seule une demi-douzaine de personnes tout au plus aurait pu y tenir debout. Elle était assez bien éclairée, bien que la lumière blanche, qui descendait du plafond, me semblât un peu terne. Ne sachant que dire, je répondis “Oui.”. Alors, la personne posa son doigt sur un carré où était écrit le mot “Dernier étage”. La porte se referma, ses deux moitiés se joignant à nouveau, et je sentis la pièce monter.

Alors que la petite pièce où je me trouvais avec cette étrange inconnu montait, j’avais la sensation désagréable d’être plus lourd qu’à mon habitude. Mais, lorsque elle s’arrêta, je me sentis un instant extrêmement léger. Je n’avais pourtant ni grossi ni maigri pendant ce court laps de temps. La porte s’ouvrit en deux, comme je l’avais vu plus bas. L’inconnu se retourna alors vers moi et me dit: “Vous êtes arrivé.”. Il arborait un sourire plein de gentillesse et de douceur. Cela me redonna un peu d’entrain et j’osai enfin lui demander: “Mais qui êtes-vous donc ?”.

Il me répondit: “Je suis le passeur, le seul ange à rester pour l’éternité en dehors du Paradis. Mon rôle est d’accompagner jusqu’ici ceux qui n’ont pas encore fait le choix.”. “Quel choix?”, m’écriais-je, interloqué.


Il rencontre alors les 7 archanges.



J’avais en face de moi les sept humains les plus importants de l’histoire, exception faite d’Aristote et de Christos. Devant un tel privilège, je ne pus que me prosterner à leurs pieds, face contre terre. Mais Georges me dit: “Ne te prosterne pas devant nous : nous ne sommes en définitive que des humains. Seul Dieu mérite cela. Nous sommes Ses humbles serviteurs, accomplissant Sa divine volonté. Mais viens avec nous, car l’heure est bientôt venue de faire le choix. Nous sommes là pour te mener au soleil.”

Il chevaucha l’un des archanges, et tous ensemble ils se dirigèrent vers le soleil.



Nous nous approchâmes si près de l’astre divin que des flammes de plusieurs lieues de long nous frôlèrent. Je me demandai si je n’allais pas partager avec les sept Archanges une bien funeste fin. Mais Michel, sur lequel j’étais toujours juché, me dit: “N’aie crainte et regarde.”. Je vis alors les flammes qui couvraient le soleil s’ouvrir, pour laisser place à un magnifique spectacle. Sous cette couche brûlante se trouvait ce dont j’avais entendu parler depuis ma plus tendre enfance, sans jamais savoir ce en quoi cela consistait : le Paradis!

Nous atterrîmes dans un lieu magique. Tout était baigné d’une douce lumière. Où que je regardais, je ne trouvais pas la moindre obscurité. A perte de vue, il n’y avait ni habitation, ni la moindre construction. Ceux qui avaient faim se servaient sur les arbres fruitiers. Ceux qui appréciaient les plaisirs de la détente s’allongeaient dans l’herbe. Des enfants jouaient innocemment, riant et courant à travers les hautes herbes. Les sept Archanges me prévinrent qu’ils devaient me laisser, leur mission étant terminée. Je les remerciai grandement et leur dis au revoir.

Je décidai de visiter ces lieux enchanteurs. Tous ceux que je rencontrais me souhaitèrent la bienvenue en me souriant. Je leur rendais leur sourire et les remerciais. Tout respirait le bonheur, la bonté et la joie.


En compagnie d’Aristote et de Christos, il entendit une voix calme et pénétrante. Aristote et Christos lui expliquèrent que c’était Dieu, lui-même qui allait lui poser la question.



J’allai enfin savoir laquelle était-ce. La voix divine me dit: “Toi, l’humain que les tiens nomment Sypous, tu es venu à Moi, découvrant tout ce qu’un humain pourra connaître après sa mort. Tu as visité chacun des sept Enfers, où tu as rencontré chacun des Princes-démons, qui se sont présentés à toi, conformément à Ma volonté. Qu’as-tu retenu de tes périples ?”

Je répondis: “J’ai compris le sens du Salut. Lorsqu’un humain a vécu dans la vertu, s’étant ainsi conformé à Ta divine parole, transmise par le prophète Aristote et par Christos, le messie, Tu lui accordes le droit d’accéder en ces lieux, au Paradis, au sein du soleil. S'il se détourne de la vertu, refusant d’écouter Ta divine parole, qu’il s’abandonne aux plaisirs terrestres, à l’égoïsme, à la tentation, à de fausses divinités, Ton infinie sagesse t’amène à l’envoyer en Enfer, dans la lune, pour y être puni pour l’éternité. Tu nous aimes, mais c’est également à nous de T’aimer.”

Dieu me dit: “Maintenant, le temps est venu pour toi de faire ton choix. Tu peux décider d’accepter la mort. Dans ce cas, je jugerai toute ta vie, les moments où tu as su œuvrer pour la vertu et ceux où tu t’es détourné d’elle. Si, alors, Je juge que tu le mérites, tu rejoindras les élus pour une éternité de joie et de bonheur. Mais si Je juge alors que ta vie n’a pas été assez vertueuse, tu connaîtras une éternité de tourments en Enfer. Mais, si tu penses que ton temps n’a pas encore été accompli, que tu n’as pas encore fait tes preuves devant Moi, tu peux décider de revenir à la vie.”

Je ne savais que répondre. Avais-je mérité de rejoindre le Paradis ou finirais-je en Enfer? Alors, j’entendis des voix. C’était celles de mes amis, qui priaient pour le Salut de mon âme. Bien qu’ils se trouvassent sur terre, je les entendais distinctement. Cela me faisait chaud au cœur de voir qu’ils se souciaient tant de ce qui allait m’arriver. Il me fallait leur montrer que leurs prières n’étaient pas vaines. Je décidai d’accepter la résurrection, afin de pouvoir vivre dans la vertu et de mériter le Paradis. Je leur devais bien ça, au moins autant que je me le devais à moi-même.

Dieu me dit alors: “Depuis que J’ai décidé de changer l’esprit des humains en âme, afin qu’elle soit jugée à leur mort, chacun d’eux parcourt le chemin qui t’a conduit à Moi, et Je pose la même question à chacun d’eux. Certains ont la même prudence que toi, d’autres accèdent au Paradis, et d’autres surestiment la qualité de leur vécu et sont envoyés en Enfer.”


Il releva les yeux du livre, triste, chercha Laurre des yeux. N’aperçut point Dame Maïryan, mais il était de tout cœur avec elle.

Certains d’entre vous savent, le pourquoi de cette prêche. Je me joins à eux dans ces durs moment d’adversité qu’ils traversent.

Nous allons maintenant partager le pain et le vin.



Avant de nous quitter, j'ai à vous faire part de quelques nouvelles castraises.

D'une part le décès de messire Ben-elazar de la famille Kamps, Vicomte de Lautrèc

Compte tenu de la réalité de ce décès, c’est le seul hommage qui serait fait en cette église, à moins que les proches en décident autrement.
Prions pour lui.


Requiescat in Pace Requiescat in Pace


Le carnet d’hommage se trouve ici

Enfin notre église va voir en ses murs plusieurs baptêmes dans les semaines qui vont suivre. J’invite tous les parrains et marraines potentiels à se faire connaître.
Dame Stéphanie, ici-même, recherche un parrain ou une marraine.



Je vous libère, qu'Aristote soit avec vous.


Il aperçu les deux vagabonds de la semaine passée dans l’Assemblée, ceux-la même qui lui avait si bien rangé son église, après leur avoir fait signe de s'approcher, il leur dit.

Tenez, vous aurez 5 écus chacun, comme la semaine dernière, pour m'aidez à ranger après la messe.


Puis il se mit en arrière, sans partir et les observa les uns et les autres.
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