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[RP] Eglise de l'Air de Castres

---fromFR.Dagda.
Et voilà ! La cérémonie touchait à sa fin. Une grande joie pour Dagda, et un grand soulagement aussi car à partir de ce jour, il avait acquis l'expérience du baptême et les prochains il pourrait les aborder sans peur d'oublier une étape. Ce qui aurait pour effet d'invalider le baptême. Et de cela, il ne le voulait pas ; même si le baptême était un jour de joie pour le baptisé, devoir recommencer la cérémonie pour un oubli du prêtre ne serait pas agréable.

Il tourna le dos à l'assemblée pour se mettre face aux baptisées. Il exécuta la dernière étape :


Soyez les bienvenues dans la communauté du Très-Haut.
Je vous remets ce cierge allumé. Il représente votre âme purifiée.
Il tendit un cierge à chacune.


Il fouilla ensuite dans ses poches. Il en sortit les médailles qu'il remit accompagné de ces mots :

Je vous remets cette médaille qui symbolise la parole d’Aristote que désormais vous pourrez porter chaque jour sur vous.
Elle sera le signe que vous appartenez à la grande famille Aristotélicienne. N'oubliez pas qu'à compter de ce jour, si vous agissiez mal, vous peineriez l'ensemble de la communauté Aristotélicienne. Tout comme vous ferez sa joie par vos actions respectant le dogme Aristotélicienne.

Il me reste à vous félicité d'avoir rejoint notre communauté.
Allez en paix, mes filles.


C'était fini. Dagda se sentait fier d'avoir permis à deux ouailles d'agrandir la communauté Aristotélicienne.
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Parti jouer sur un jeu qui est en constante évolution... Terre des Rois
Cocons

Alors que tous trois dégoulinaient toujours du bain qu’ils venaient de prendre, le curé avait remis un cierge et une médaille à chacune des baptisées, ce qui clôtura la cérémonie.

Le curé paraissait satisfait du devoir accompli et sans doute était-il aussi ému que les demoiselles nouvellement baptisées. Constance lui adressa quelques mots afin de le remercier pour ce baptême. Elle n'oublierait jamais ce jour.


Je vous remercie, mon père, pour cette belle cérémonie. Et vous aussi, MissDaisy, j’ai été ravie de partager ce moment unique avec vous.

Puis ne sachant, si elle pouvait se permettre de les convier à boire une ou deux chopes, elle resta quelques instants à les regarder l’un l’autre…

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---fromFR.Dagda.
Non non, c'est vous que vous devez remercier. Vous avez fait le bon choix de demander le baptême.
La cérémonie n'existe pas sans votre demande.


Il réalisa soudain qu'elle était trempée. Il se tourna vers missdaisy pour en faire le constat également. Il leur dit : Vous devriez aller vous changer, vous pourriez prendre froid ainsi.
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Missdaisy
A son tour Missdaisy remercia Dagda pour la cérémonie, la médaille, le cierge. Puis commencant à ressentir le froid, elle se tourna vers Constance


Peut etre pourrions nous nous retrouver dans une taverne afin de cloturer cette cérémonie....enfin aprés avoir revêtu des habits secs ^^
Altayr
Lena entra dans l'église. Elle se mit à la recherche du père Dagda.

Mon père?! Je viens à confesse!
---fromFR.Dagda.
Dagda rêvassait. Il était heureux que les baptêmes s'étaient bien déroulés. Il était heureux et fier. Aussi ne prit-il pas directement attention à la demande qu'une femme venait de lui faire. Son cerveau inconscient avait entendu la demande, mais il lui fallut plusieurs minutes avant de réagir.
Il entendit soudain la requête, réfléchit un instant à chercher un rapport entre les baptêmes et la confession. Puis il réalisa qu'il n'y en avait aucun, qu'il s'agissait de deux choses totalement différentes.

Il se tourna vers la femme, la regarda tout surpris de la voir là.

Oh... Bonjour ma fille... Pardonnez moi, je... méditais. Oui, je méditais ! affirma t-il. Vous désirez vous confesser... bien bien... je vous invite à me suivre au confessionnal. Je vous montre le chemin.
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Parti jouer sur un jeu qui est en constante évolution... Terre des Rois
Altayr
[HRP] Héhé, je suis inscrite, j'attend mes accès ^^ [/HRP]
---fromFR.Dagda.
Dagda qui entendit les cloches de Castelnaudary tinter, se précipita vers l'église de l'Air. Il était l'heure dde célébrer la messe.

Il s'installa derrière le lutrin, il ouvrit le livre à La vita d'Aristote. Il feuilleta les pages au hasard pour trouver quel passage il lirait pour sa seconde messe. Après avoir longuement hésité, il choisit le dernier de ces chapitres pour son sermon.
Il alla faire s'envoler les pigeons de l'église pour appeler les paroissiens qui trainaient encore autour des tavernes.




Bienvenue à tous chers amis.
Aujourd'hui, nous allons parler d'Aristote, prophète fondateur de notre religion et à qui est dédié le nom de notre dogme.
Je vais vous en lire une partie.

Citation:
Aristote cheminait en Attique alors qu'il avait rendu visite à un lointain parent vivant à Thèbes. Il était seul, ayant laissé la responsabilité de son école à ses meilleurs élèves. Mais à une bifurcation, il se trompa de chemin et au lieu de redescendre vers la plaine et la ville, il s'engagea dans les collines. Au bout de deux heures de marches, il se rendit compte de son erreur et avisa une habitation isolée. Il décida d'y aller demander conseil sur la route à suivre.

Au fur et à mesure qu'il s'approchait, il se rendit compte que ce qui de loin passait pour une maison n'était une mauvaise cabane adossée aux rochers, masquant grossièrement l'entrée d'une grotte.

Il frappa à la porte et héla, on vint lui ouvrir. L'homme, âgé, était à peine vêtu, et seulement de haillons. Il était maigre et hirsute.

Aristote : "Bonjour, vieil homme. Je me suis perdu et cherche le chemin de Mégare."

Ermite : "C'est si tu y vas, que tu seras perdu."

Aristote : "Je n'ai point souvenir que la ville ou les routes alentours soient à ce point peuplées de brigands."

Ermite : "Qui donc te parle de brigands. Elles sont peuplées d'humains. C'est déjà bien assez dangereux. "

Aristote comprit alors qu'il avait affaire à un ermite.

Aristote : "Dis-moi, es-tu heureux ?"

Ermite : "Si je suis heureux ? Et comment ! J'ai tout ce qu'il me faut : l'eau de la rivière, des oliviers, un petit jardin. Et comme je ne suis pas maladroit de mes mains, je fabrique ce dont j'ai besoin. Je n'ai besoin de rien, ni de personne. Je suis parfaitement heureux."

Aristote : "Un homme ne peut pas se contenter d'une telle vie. Ou alors il n'est pas pleinement humain."

Ermite : "Balivernes ! Je suis le meilleur des hommes."

Aristote : "Comment le saurais-tu, toi qui ne connais pas les autres ? Être un humain, c'est vivre selon la vertu. Et la vertu est une pratique qu'on ne peut exprimer qu'avec les autres. Tu vis bien certes, mais tu ne pratiques aucune vertu puisqu'il n'y a personne avec qui tu puisses la pratiquer. Tu vis comme un ours, indépendant. Mais a-t-on vu un ours faire preuve de vertu ? Tu n'es pas un homme heureux puisque tu n'es même pas un humain. Un humain a des amis, où sont les tiens ?"

Ermite : "Mes amis sont la nature, mes oliviers, mes légumes."

Aristote : "Une véritable amitié se fait entre égaux. Tu es donc l'égal d'un olivier : planté et immobile. Tu survis en marge de la Cité au lieu d'y participer comme le fait tout véritable humain. Je vais donc te laisser prendre racine, adieu !"

Et Aristote reprit sa route, descendant vers Mégare.

Dans ce texte que nous venons d'entendre, nous découvrons un des aspects important de la religion : la sociabilité. Par extension, cela nous ramène à la vertu qu'est l'amitié. Dieu nous a créé sur la terre afin que nous vivions en harmonie, et non reclus sur nous-même, il a fait de nous des créatures sociales, et ce, parce qu'il ne souhaitait pas nous voir vivre comme ermite, mais plutôt dans des cités. Cette importance se traduit aussi lors de la messe. Certaines personnes préfèrent prier seules chez elles, hors, même si cela est fort louable car partant d'une bonne intention, cela reste cependant peu conforme à la volonté divine.
Cependant, le fait de vivre en société ne doit pas nous empêcher de temps en temps de nous isoler, comme Christos l'a fait, bref, partir en retraite spirituel (pensez par contre à vos animaux avant de faire ça).

Après avoir finit son sermon, il suivit des fidèles, il entonna le fameux Credo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN



Puis, il distribua le pain et le vin, symbole du partage.


Amen.

Il ne restait qu'à remercier les fidèles qui avaient assisté à la messe.

Je vous souhaite un excellent repos dominicale.
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Carmeli
Carmeli assise dans l'église écouta le sermon du père .Dagda., a la fin de celui-ci elle récita le crédo.

Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN
---fromFR.Dagda.
altayr a écrit:
[HRP] Héhé, je suis inscrite, j'attend mes accès ^^ [/HRP]

Accès donné.
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Parti jouer sur un jeu qui est en constante évolution... Terre des Rois
Myrtillia
Myrtillia qui avait assisté a la messe dominicale pris quelque temps de solititude apres la fin de l'office pour se recueillir.

C'est en ce lieu qu'elle laissait couler es larmes, caché de tous. Priant pour l'ame de sa fille et les etres trop tot disparu, francois, meroot, Ramsay, Yudanavel et les autres...

Apres avoir glisser quelques ecus dans un tronc, elle alluma un cierge pour l'ame des defunts.

Dans un long et profond soupir elle s'en retourna a ses activités.

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---fromFR.Dagda.
Dagda vit plusieurs paroissiens donner à la quête. C'était nécessaire pour assurer les prochains services. Le pain et le vin n'était, hélas, pas gratuits.
La rectrice, elle, avait glissé deux boutons usagés dans l'urne. Dagda ouvrit de grands yeux de stupéfaction.
Il pensa, il venait d'apercevoir son regard chagriné, qu'elle avait la tête ailleurs. Ce qui pouvait expliquer son geste.

Il s'en retourna vers le presbytère.

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---fromFRpenthagruel
Pentha assistait à sa première messe depuison arrivée en ville.
Et quelle ne fut pas sa sa surprise a la lecture du père dagda.
Un message qui le touchait sans doute davantage que tous les paroissiens présents. Il avait connu la vie d'hermite, et se discours lui parlait réèlement, puisque c'était précisément le choix qu'il avait fait en venant en ville, en abandonnant la vie solitaire que lui avait imposé son oncle.

Cette religion n'était, après tout, peut etre pas si inutile que ca ...

Il se promis de s'informer davantage sur aristote et le crédo.

Pour l'heure, il déposa dans l'urne quelques écus et s'en retourna vers la foret, après avoir salué dagda.
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Et une pinte pour Pentha !!!
Lhessa
Quelques heures de sommeil à peine lui avait valu une bonne migraine. Voilà deux jours que son esprit la torturait sans qu'elle ne puisse y faire quoique ce soit, si ce n'est tenter au mieux d'évacuer les tensions accumulées. Elle était dans cette ville inconnue, ses amis n'étaient pas là...vers qui se tourner si ce n'est vers Aristote?! La perspective d'aller se recueillir, prier, semblait être plus que nécessaire.

Le coeur lourd, elle se dirigea vers l'Eglise, fuyant le regard des passants, ne prêtant à rien d'autres qu'à ses pas sur les pavés.

Elle se retrouva enfin devant la porte, et regarda d'un oeil distrait le tympan sculpté au dessus de l'entrée. Ses pas la menèrent alors à l'intérieur, où un doux réconfort vint l'accueillir. Le silence qui y régnait était de toute autre nature que celui qui la tenaillait. Elle parcourut quelques mètres pour trouver place, et s'assit enfin, les mains jointes devant elle, la tête inclinée vers l'avant.

Elle demanda soutien et assistance au Très Haut..qu'Il guide son coeur, qu'Il la délivre de cette torture morale dans laquelle elle s'était fourrée toute seule. Les mots défilaient dans sa tête, elle murmurait tout bas sa prière afin que Lui seul puisse l'entendre. Tout n'avait pas de cohérence apparente, mais elle était persuadée qu'Il comprendrait, les mots ne servant que d'échappatoire à sa propre détresse.
Elle resta ainsi à prier de longues, longues minutes...pour enfin relever la tête, emplie d'une nouvelle détermination.
Il lui avait insufflé la force nécessaire pour se préparer au pire, pour se détacher...ça ne serait sans doute pas facile, mais de toute façon, ses efforts, ses espoirs étaient vains, il ne lui restait plus qu'à se résigner.

Elle soupira tout de même en considérant que ce qui l'attendait serait une épreuve de plus à surmonter...Mais à quoi bon se laisser abattre..ça ne changera rien sinon à mettre sa propre santé en jeu. Elle alluma un cierge et regarda la cire fondre pendant quelques minutes, noyant ses yeux dans cette flamme qui représentait à la fois l'espoir et la résignation. Secouant la tête pour se sortir de ses pensées, elle reprit le chemin de la sortit..
Sabou93
sabou profita qu il n'y avait personne pour effectuer sa premiere journee de penitence .

se faisant discrete elle nettoya le pavé et la voliere, passa meme un coup sur les bancs

une fois fini elle alla prier puis sorti discretement
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