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[RP] Eglise de l'Air de Castres

Brigide
Elle arrive enfin à l'église. Maï était en état de panique totale et il avait fallu prendre les choses en main. Maintenant que tout était rentré dans l'ordre, elle vient s'installer au côté de Ryan qui était témoin lui aussi et voir un peu les autres invités.



Elle s'avança et salua les personnes qu'elle connaissait déjà et attendit que la mariée arrive.
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L'atelier de Bri
Jalna83




Toujour curieuse Jalna observait l''entrée esperant etre dans les premieres à apercevoir la mariée, elle salue donc Natal d'un grand sourire .

Sur un banc un peu plus loin , à coté d'un geant,Jalna reconnut Esteline lui sourit ,puis prit la main de son Mardokin pour l'entrainer silencieusement à sa suite sur le banc de son amie.

Il fallait des occasions semblable, des fêtes magnifiques, pour revoir les personnes qu'on apprecie; sans plus de façons Jalna embrassa Estel en riant.
Ethanyel


La volée de cloches avait sortie Ethan de sa léthargie.
Bon dieu ! Le mariage de Zeide et de Maï pensa t il.
Il fit une rapide toilette, enfila rapidement une tenue propre et se rendit rapidement à l’église afin d assister à cet heureux événement.
A la bourre comme d’habitude il entra discrètement dans ce lieux sacré se signa et se chercha une place.
L’église était déjà bondée et les places chères, Ethan reconnu quelques connaissance ainsi que d autres têtes totalement inconnues. Les femmes s’étaient parées de leurs plus belles tenues et rivalisaient de beauté.

Il trouva enfin un place au fond prés d’un pilier et s’asseya.

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Carmeli
Carmeli arriva a l'Église dans sa belle robe faite des moins soigneuses de Lily, elle se signa avant d'aller rejoindre les autres demoiselles d'honneur .


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Valou07
Valou n'était pas peu fière d'être demoiselle d'honneur de Maï.
Elle avait un peu peur de se prendre les pieds dans sa robe, mais elle essaierait de faire face ce soir.
En attendant que le mariage commence, elle alla bisouiller Théo et s'installa près de lui.
L'église était grande mais encore peu remplie. Elle pouvait donc surveiller qui rentrait et il n'était pas encore là.

Smartynina
L'avait eu du mal a se dépatouiller d'un étrange messire aux bottes pourries...coriace le bougre. M'enfin une fois jeté dehors, elle avait fermé boutique et avait filé chez elle. Làlà qu'elle agitation dans la ville, déjà beaucoup de monde se pressait devant l'église...valà l'était en retard !! Ronchonnement..accélération de l'allure.

Rohh mais c'est pas vrai, elle avait même pas eu le temps de réfléchir à sa tenue...et Guitail qui n'était pas là...ronchonne de plus belle...allez, allez un peu d'imagination.
Ouvrant une vieille malle qu'elle n'osait même plus regarder, elle y retira tout doucement une longue robe verte. Elle caressa du bout des doigts les lanières qui couraient entre la poitrine. Les longues manches lui rappelaient une gravure de fantôme qu'elle avait vu en parcourant les étalages d'une bibliothèque. Fantôme...oui le fantôme de sa mère hantait cette robe.

Son frère n'était pas là...il ne pourrait pas lui en vouloir..et puis qu'elle plus bel hommage pour leur mère.

Une fois revêtue, elle déposa une coiffe sur ses cheveux.

Poussant la porte de l'église...arf oui ya du monde, elle s'installa dans le fond, comme à son habitude, saluant les personnes présentes.

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Galaingh
Galaingh arriva à l'église qui était déjà pleine, ça tombait bien car lui aussi.

Il chercha à apercevoir sa marraine la mariée, ou le promis de celle-ci mais en vain.

Il aperçut au loin sa chère amie mais se dit que pour se frayer un passage dans une telle cohue il faudrait jouer des coudes et peut-etre meme des poings et que décidément cela ne se fait pas un jour comme aujourd'hui.

Alors il s'appuya sagement contre un pilier, déposa son pigeon sur le bord du bénitier proche afin qu'il se désaltère et attendit que la situation se décante et que les mariés daignent faire leur apparition.
Trolkabu
Le bras galamment offert à Damenic, la toute jeune Alix sur le dos confortable, dominant le monde de son regard empli de curiosité, Trol s'avançait jusqu'à la porte de l'édifice. Une partie de l'accoutrement laissée à l'auberge, pas très seyant pour l'occasion, Dame fera meilleur effet. Le chapeau tenu d'une main sur la poitrine, par respect, malgré le fort Soleil presque estival. L'église sera souveraine contre ses rayons, mais c'est un mal pour un mal. Lui qui n'aime déjà pas faufiler sa stature entre les gens, mais entrer dans une église est un évènement assez rare pour deviner que ce n'est que contraint par le plaisir d'une autre personne que lui.

Dame arracha un regard sombre et surtout quelques paroles à son laconique compagnon. Il la laissa un moment se replier sur elle-même, puis lui adressa un rire léger, discret, suivi d'un regard et d'un sourire aussi complice que taquin. Tout en jetant un regard à l'homme désigné, il lui répondit.


C'est bien notre fugace tribun. Mais je ne suis pas sûr qu'il se souvienne de nous comme nous de lui.

Son regard assez haut placé balaya la salle de pierre et de chair. Beaucoup de têtes reconnues, moins de connues, moins encore d'amicales. Nombre de belles dames, nombre de beaux sires. Sans quitter la salle s'emplissant de chaleur corporel, il s'adressa à nouveau à sa compagne.

J'ai tout de même l'impression d'être bien pauvrement vêtu. Je fais pâle figure à côté de ces gens. Heureusement que vous êtes là pour réhausser la tenue de notre couple.

Ces derniers mots prononcés, les yeux et un doux sourire à nouveau posés sur elle, il déposa un doux baiser sur son front avant de l'entraîner plus loin dans la demeure.
Lysyan
Las de se terrer dans son coin, il sortit par la petite porte, oubliée, de la sacristie.
Il avait besoin d'une bonne bouffée d'air. Le fruit avait été englouti. Comme d'habitude ! Dehors, il faisait beau, et il ferma les yeux.
Jour de joie, de fête aujourd'hui, sauf....


J'ai oublié, faut que j'y aille vite. Danseur, tu bouges pas de là !

Rat d'opérette posé à même le sol, Ly prit s'apprêtait à prendre ses jambes à son cou, quand, Danseur se manifesta avec sa grâce inimitable, deux entre chats en l'absence d'un gros matou, un bon de gazelle, et frétillement des moustaches, il indiqua à son hurluberlu de maître qu'il n'avait rien oublié. Il l'avait juste posé discrètement, anticipant, comme souvent pour certaines choses.
Soulagé, Ly reprit le rat en le remercia et rentra dans la sacristie, laissant la porte entre ouverte.
Il prit le cadeau qu'il avait prévu pour Maï, espérant qu'elle l'apprécierait. Ce n'était pas grand chose, mais il tenait à le lui offrir.

Il y avait du monde. Après une brève hésitation, se glissa aussi discrètement que possible, tâche difficile à accomplir vu le nombre de personnes présentes et déposa son cadeau devant l'autel.




Puis, tout aussi discrètement que possible, sous les yeux de amis des époux, sans oser regarder le curé, Ly retourna rejoindre ses précieuses cloches. C'est qu'il fallait à nouveau les faire sonner......
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Maïryan
Elle était sortit de chez elle suivie de Bri qui avait filé devant pour rejoindre sa place près de l'autel... La voilà donc à avancer seule dans la rue menant au parvis de l'église... lentement... surement. Les chaussures qu'elle avait dut enfiler étaient bien hautes et le moindre impair lui vaudrait surement une jambe cassée qui n'était pas la bienvenue. La robe dans laquelle elle s'était glissée avait dut avoir quelques retouches au dernier moment et après avoir pesté pendant que son amie rajustait le tissus, elle s'approchait une main sur le ventre... le portant presque.

Elle pensait pouvoir arriver comme une fleur et sourire devant ce jour si merveilleux qu'elle attendait depuis de longs mois. Zeide et elle avaient bien cru que jamais ça n'arriverait...Ils avaient dut affronter l'église... L'hérauderie...les manigances d'une femme qui aurait bien voulu cet instant être un échec...Mais avant tout ça et la raison de cette attente si longue... c'était l'absence...

Se retrouver là... seule devant les marches... le brouhaha qui s'élevait à l'intérieur de l'église...la pression... elle ne put s'empêcher de remonter sa main et de prendre entre ses doigts le médaillon qu'elle ne quittait plus depuis des mois...Une grimace et elle le serra fort ... L'absence lourde de Ben depuis des mois venait de lui retomber en pleine figure et à cet instant même... il lui manquait ... encore plus...

Elle sentit sa gorge se nouer...c'était vraiment pas le moment de défaillir hein...mais elle ne pouvait pas ne pas évoquer son ami en ce jour...elle aurait tant souhaiter sa présence... son bras pour l'accompagner jusqu'à son futur époux... son sourire pour la soutenir...Elle inspira profondément en remettant la médaille de Ben dans son décolleté et prit les pans de sa robe à deux mains pour enfin monter les marches qui la séparait de l'entrée...

Immanquablement la musique lui revient en tête quand elle vit son homme au fond de l'allée ... ça ne pouvait être que celle là... Elle avait peur que ses jambes ne la porte pas jusque là bas et elle reprit ses esprits en se disant que si elle tombait, elle aurait l'air fine de rouler jusqu'à l'autel... L'idée la fit finalement sourire...sourire à tout ce monde qui était là pour eux... tout ces amis plus précieux les uns que les autres... Son œil s'embua et sa vision se troubla un instant conquise par l'émotion... Pas pleurer...pas pleurer...pas pleurer...

Son regard se porta sur Raphaël qui l'attendait tout près de l'entrée... Comme un symbole de ce qui les unissait tout les deux, il avait accepté de lui offrir son bras jusqu'à l'autel... avec ce regard paternel qu'il savait si bien poser sur ceux qu'il aimait... ce regard rassurant... cette présence charismatique. Elle le gratifia d'un sourire reconnaissant en passant son bras sous le sien...le serra un instant comme pour le remercier de ce présent...et avança près de lui longeant les bancs amplis de personnes chères...

Elle sourit du mieux qu'elle pu à ses amis, marchant lentement pour se souvenir de chacun des visages qui se tournaient vers eux... C'était pas beaucoup très facile hein de ne pas être émue et de garder contenance...

Puis son regard croisa le sien...Il l'avait vu entrer... Il la regardait... là... comme s'il l'attendait depuis toujours, les yeux remplis de ce je ne sais quoi qui rendrait la plus détestable des femmes désirable... Cette émotion sur le visage qu'il ne savait pas dissimuler ... elle ne put le décrocher et jusqu'à lui elle ne le lâcha plus...Puis Raphaël s'arrêta et tendit son bras vers celui de Zeide... Sans y réfléchir elle se mit sur la pointe des pieds et donna une bise tendre sur la joue du chancelier puis s'approcha de celui qui allait devenir d'un moment à l'autre son époux...

Regards tendres...mains qui se retrouvent enfin pour se nouer... elle se permet un baiser malgré la présence du curé qui les regarde et de l'assemblée qui doit mourir de faim... Ils échangent l'instant d'une seconde cette complicité si coutumière puis se tournent enfin vers celui qui allait les unir...


--Fratrie_jenkins


Des mois qu’ils avaient disparu ces deux là, s’étant complètement fait oublier des forces du maintien de l’ordre, la plupart ayant d’ailleurs passé l’arme à gauche, et pourtant eux, fidèles à eux même, restaient là depuis tout ce temps, tapis dans l’ombre, prêt à tout pour se remplir les poches de la plus mauvaise des façons…

Ce jour là, c’est une raison bien particulière qui les fit sortir de leur trou à rat, surtout pour se diriger vers une église… Bien qu’ils eussent déjà fréquenté celle-ci.
Mais alors qu’ils s’avançaient vers le perron, la plupart des convives étaient déjà entré…


[Froll] Allez ! Allez ! Allez ! On va tout louper à force…

[Rogue] Hélà doucement le frangin, comprends toujours pas ce qui t’prend avec ce foutu mariage… Y a quoi là bas, à part des emmerdes ?...

[Froll] ‘Te l’ai dit déjà Rogue, c’est Maï qui se marie, peut pas la laisser faire, cé trop pas juste… C’est moi qu’elle aime d’abord…

[Rogue]Arrêtes tes conneries, ça t’a pas suffit de finir une première fois au gnouf? T’as envie de rebouffer leur tambouille ? Tu t’rappelle pas les capots d’la dernière fois ?

[Froll]Oué ! Si ! Mais j’fais quoi moi maintenant? Je l’aime moi…

[Rogue]Tu l’as vu qu’une fois, pis elle a qu’un œil t’en faut peu à toi… ‘fin bon… Si y a qu’ça pour te faire plaisir… Allez entre…

Ils s’exécutèrent, entrant le plus discrètement qu’ils purent… autant dire bruyamment… puis s’assirent au fond pour scruter les convives tant nombreux…

Galaingh
Galaingh émergea d'un demi sommeil, se frotta les yeux et se rendit compte que les mariés étaient bien là, se demandant comment il avait bien pu ne pas les remarquer, bon c'est vrai, ils étaient si loin.

Ca m'apprendra à être toujours à la bourre, se dit-il.

Enfin bon, les mariés sont bien beaux c'est déjà ça et puis de là ou je suis j'aperçois parfois une robe qui fait comme un rayon de soleil, c'est donc plutôt une belle journée même si, comme d'habitude, je suis tout seul comme un gland avec mon pigeon...

Quelle drôle d'idée idée j'ai eue de l'amener ce bestiau qui fait concurrence aux roucoulades des deux toutereaux, mais il a bien mérité d'être de la fête puisqu'il m'a permis, même au fond des plus obscures retraites, de recevoir de bien agréables messages.

Bon alors, elle commence cette messe, qu'on puisse enfin faire la fête ?
*mylene*




*Mylène* arriva enfin à l'église rougissant de ne pas être dans les premières et rejoins Valou pour se placer à côté d'elle. En passant elle salua Trol ,Ly et les autres déjà présents.
Un sourire et un signe vers les mariés radieux et elle s'installa .

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*Mylène* du Bois des Coqueberts
Spartan134
Spartan quitta aujourd'hui la caserne un peu peu plus tôt pour quitter ses vêtements militaires pour enfiler quelque chose de plus convenable.
Il se rendit vers l'église de Castres, ça allait être une première pour lui car il n'y avait pas encore mis les pieds depuis qu'il avait emménagé dans cette ville. Il fut des plus surpris en voyant que le bâtiment était déjà plein à craquer, bon d'accord il était pas vraiment en avance mais autant de monde ...

Il se trouva une petite place dans un des bancs du fond, il n'allait pas avoir une bonne vue de la cérémonie mais ça lui suffisait.

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Raphael83


Le Chancelier avait vu arriver son ami Maï , et avec un large sourir il s'avenca aussitôt pour lui offrir son bras, pour l'accompagner jusqu'au maître autel ou les attendait le prêtre et le futur époux.
Maï le lui avait demandé il y a plusieurs semaines...Et bien évidement il avait répondu tout de suite "présent".
Trop de choses les rapprochaient...l'amitié...la fidèlité...l'honneur...la justice...et Ben, cet ami qui représentait toutes ces valeurs...parti trop tôt vers un autre univers.

Il devait parcourir, de la porte de l'eglise à l'autel, une trentaine de mètres.
Il y avait foule....Tous les regards étaient tournées sur la mariée qui était splendide et rayonante de bonheur.

D'un pas régulier et solennel, il accompagna donc son amie en prenant soin qu'elle ne trébuche point sur un quelconque obstacle...
Il ne faudrait pas qu'elle nous fasse son petit dans l'église, pensait'il interieurement...

Arrivé devant le prêtre, Raphael s'inclina devant l'officiant, se tourna vers le futur époux pour lui dire:


Votre Excellence, maintenant, je vous la confie....

Le Chancelier , fit deux pas en arrière, et se dirigea vers les autres invités , laissant les futurs époux seuls devant le prêtre
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