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[RP] Eglise de l'Air de Castres

Oeildelynx
Peu de monde, mais cela ne le surprit pas outre mesure, les cloches avaient sonné moins longtemps et puis c'étaient les beaux jours, les travaux des champs...Il commença la messe :

Mes frères et mes sœurs, je suis heureux de vous accueillir en ce Dimanche.

Je vous prie de réciter le pardon avec moi,
Je vous invite maintenant à vous confessez devant Dieu. Rappelez-vous ce que Lysyan vous a dit à ce sujet la fois précédente, pensez bien à vos fautes et croyez en lui. Vous lui parlez directement en ce moment, il s'agit du salut de votre âme.


Citation:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Il leur laissa un peu de temps, puis reprit, après ce moment de pénitence.


Mes frères et mes sœurs, récitons ensemble le credo :



Il les entendit le réciter avec lui.

Il reconnu Brigide et Guitail, Il poursuivit ensuite :

Nous allons lire un extrait de la vie de Christos le chapitre 4 intitulé "voyage en Judée, premiers prèches"


Ayant atteint l’âge d’homme, Christos décida de quitter ses parents pour parcourir le monde et aider son prochain. Il partait avec des idées mûres sur les préceptes d’Aristote et le message de Dieu.

Ayant fait ses adieux à ses parents, il s'aventura dans le pays de Judée. Il marcha sur des chemins escarpés, grimpa des montagnes, descendit dans des plaines, traversa des cours d'eau.

Durant ces pérégrinations, il rencontra de nombreuses personnes, souvent vêtues de haillons, qui cherchaient dans l'errance et la méditation un moyen de parvenir à une plus ample vérité. Christos échangea avec nombre de ces gens, s'enrichissant de leurs expériences et de leur humanité.

Mais il vit aussi des farfelus et des extravagants, des fous et des reclus... Bref, nombre de ces vagabonds refusant par misanthropie la société et la vie dans la Cité.

Alors, il essayait d'approcher ces pauvres humains; il leur parlait et leur expliquait la philosophie d'Aristote et les enseignements du Très Haut.

" Aristote, disait-il, nous a appris que l’homme sage doit participer à la vie de la Cité. Vous mes amis, regardez-vous, êtes-vous heureux ? perdus que vous l’êtes au milieu de nulle part ? Mes amis, sachez que l’Homme est par nature fait pour vivre au sein de ses semblables. "

Ayant dit ceci, Christos nuança tout de même ses paroles :

" Mais n’oubliez pas, que chaque homme a aussi une individualité, chaque homme a son propre rapport avec Dieu et avec la nature. Aussi, pour ne pas oublier cela, et pour trouver en soi les ressources nécessaires à la réflexion, il plaît à Dieu que vous puissiez vous retirer de temps en temps, au-delà de la ville, afin de vous retrouver en vous même, dans la prière et le calme, la quiétude et la concentration de votre esprit.

Les retraites sont alors un moyen pour vous de prendre du recul par rapport à la cité, et ce pour mieux la contempler, et mieux l’apprécier. "

Sa force de persuasion était telle que tous ceux qui croisèrent sa route furent convaincus. Et après avoir parlé avec Christos, ils retournaient en Ville en suscitant chez les citadins la surprise et la joie.

En effet, les temps étaient durs, et chacun attendait la venue d’un messie. Or, ces jours-là, beaucoup rentrèrent chez eux en disant :

"Christos, notre sauveur, est arrivé, comme il est dit dans la prophétie d’Aristote. "

Mais Christos ressentait lui-même le besoin de se retirer pour se recueillir. Aussi, il s’isola du monde en pénétrant dans le désert. Sa retraite spirituelle dura quarante jours.


Vous vous demandez le pourquoi de cette prêche sans doute, tout simplement, parce que je pars à Carcassonne demain, pour lire des livres et ceci afin de mieux précher moi-même. Ainsi, vous me trouverez régulièrement au marché, à la bourse d'emploi, à l'église aussi, pour vous exprimer mes idées nouvellement acquises.
J'ai laissé des consignes pour l'office du jeudi et j'espère qu'Aristote sera assez clément pour me permettre d'être de retour Dimanche pour la prochaine messe.



Nous allons maintenant partager le pain et le vin et les cerises ainsi que l'eau de vie que nous devons à Lysyan





Avant de nous quitter, j'ai à vous faire part de quelques nouvelles de Castres.


Bientôt un nouveau mariage, celui de Dame Smartynina et Messire Guitail, ici présent. Ce mariage aura lieu à la cathédralette de Rodez, dans la grande halle, le 11 juillet.

Je vous libère, qu'Aristote soit avec vous.


Les trois vagabonds, toujours là, le rejoignirent à la fin de la messe. Il leur tendit 5 écus à chacun.


Faites comme d'habitude...

Il se retira dans la sacristie, il avait beaucoup de choses à préparer avant de partir...
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Brigide
Elle récite le pardon et le credo, puis écoute le prêche.

La messe était très tranquille, cela changeait un peu et surtout cela faisait du bien. Quand la messe fut terminée, elle se lève et souhaita bon voyage au Père.


Soyez prudent mon père et revenez nous vite.

Elle lui fait un petit salut et sort de l'église ...
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L'atelier de Bri
Oeildelynx
Alors que le père traversait l'église pour revenir au presbytère Dame Brigide s'avança vers lui...

Soyez prudent mon père et revenez nous vite.

J'essaierai Bri, j'espère être là Dimanche....
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Leyoun


Leyoun était revenu de la caserne où il y avait été faire une revue des troupes...il se rendit devant l'église Castraise et en contempla ses grandes portes...qu'elle magnificence cette ville se dit il...

Il poussa doucement la ptite porte et pénétra dans ce monument.

Il pris un soin particulier à mettre un peu plus en arrière l'épée qu'il portait et pris en son bras gauche le casque à plume qu'il portai tous les jours depuis deux mois.
S'avançant ...il pris place sur un banc et s'agenouilla pour mener recueillement pour les aïeux et plus principalement il fît une prière silencieuse pour son aimée Donà Raphaëlle dite Phoenixianne qui allait le rejoindre très prochainement en cette ville. Il resta très longtemps à prier pour elle.

Puis il ressortit de l'église en faisant le moins de bruit possible mal grès ses éléments en fer qui résonnaient.

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Cerdanne
Il ne pouvait en être autrement…..

Ses pas immanquablement retrouvèrent le chemin de l’église et stoppèrent leur course sur le parvis.
Laissant le temps à la sonneuse de cloches de picorer les dernières cerises qu’elle tenait précieusement dans ses mains comme un écrin.

Elle resta un moment dos à l’église, son regard parcourant la rue et finit par s’asseoir sur les marches.
Gonflant ses joues pour recracher toujours un peu plus loin les noyaux de cerises…….
Le jeu l’amusa un certain temps….
Son esprit vagabond papillonnant de pensées en pensées.

Ses yeux finirent par se poser sur le tas de noyaux qui tel une marque signalait son passage.
Se pourrait-il si elle en enterrait quelques uns qu’un cerisier voit le jour juste devant le parvis…
Se serait rigolo et drôlement pratique pour le partage au printemps…le bon curé aurait plus qu’à lever les bras……

Les cerises englouties, Cerdanne regarda ses mains poisseuses et rougies du jus délicieux et fit une grimace….
Cà collait drôlement !
Les mains tendues, bras ballants elle se demandait bien comment….Le lavoir ??? Trop loin…
Ou trouver de l’eau dans cette rue vide et brulante sous le soleil de ce début d’été.
Tournant sa tête vers l’église, elle se demandait si elle pouvait, si elle pourrait…
Un sourire malicieux vite chassé par une moue d’agacement….

Non mais vraiment……les joues rouges d’avoir pu laisser germer une telle idée se faufiler dans sa cervelle de piaf, elle soupira….

Elle lécha tant bien que mal, plutôt bien tel le chat gourmand qu’elle était ses doigts et ses paumes et soupira. Elle admira le résultat et à demi satisfaite finit par se lever.


Bien !!! Mains humm propres…
Seigneur ! À nous !!!


Elle pénétra par la grande porte dans l’église et regarda le bénitier avec un regard songeur…
Se signera ? Se signera pas ??

Elle inspecta ses mains et se trouva satisfaite de l’examen…
Manquerait plus que l’eau devienne rouge…
Ne pas s’en servir pour se laver et se faire accuser de salir….ce serait un comble.
D’un doigt léger, elle effleura l’eau bénite et se signa rapidement avant d’avancer d’un pas ferme dans l’allée.
La fraicheur faisait du bien après le bain de soleil... Elle se figea devant l’autel et resta un moment rêveuse, sourire léger aux lèvres…
Le visage du curé bavard et son regard bienveillant …Lysyan son rêveur de chat…
Elle regarda vers la petite porte qui menait à la sacristie, retenant les fourmis qui la picotaient….

Plus tard se dit-elle…Plus tard les cloches…

Elle s’assit tranquillement sur une chaise et contempla le soleil qui jouait avec les vitraux.
Heureuse, totalement heureuse et tenant à remercier Aristote d’en être le témoin…

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Leyoun


Leyoun entra dans l'église pour attendre son aimée qui allait surement arriver dans la nuit....il était certains que cette damoiselle viendrais en pleine nuit dès son arrivée remercie Aristote d'avoir fait bon voyage.

Il patienta en restant sur un banc.

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Phoenixianne
Combien cet au revoir en la belle Capitale de Toulouse fut difficile. Ce petit voyage au saveur militaire ne devait être qu'un simple aller et un doux retour. Pourtant se fut une étrange missive qui avait réclamer cette douce dame en les terres de Castres. Elle n'eut point a relire par deux fois cette encre qui la captivait vivement à chaque fois. Elle refusa même une escorte d'un soldat de Toulouse pour revenir en ce village qu'elle semblait avoir quitter depuis plusieurs semaines pour se retrouver aux cotés de son aimé aimé. Il ne pouvait plus malgré lui reprendre chemin, une fois pieds posés en ces terres adoptives.

Elle chevaucha comme bien des fois il lui arrivait d'accomplir, sans dormir. Elle était si hâtive de le retrouver. Il lui avait manqué, il avait défini en ce quotidien séparé un terrible manque, une présence réclamé.

Les gardes laissa passé la monture et cette longue chevelure de nuit et elle déposa avant même l'éveille du soleil d'été, les pieds sur la terre du village. Mais elle pensa soudain qu'elle ne savait point où pouvait se trouver son cher Capitaine. Il pouvait être en milles endroits à la fois. En passant vers les tavernes, elle ne vit aucune vie qui combattait sommeil et alcool. Elle poursuivit donc son chemin...

Pour connaitre son aimé plus que fort bien, elle savait qu'il n'était point en sa demeure, il avait souvent évité de retourner en ses quartiers personnel où il y régnait froid et silence, il avait toujours tenu son corps au travail même malgré parfois le sommeil. Elle n'alla point vers sa verdine rester sur le domaine de son aimé car elle savait qu'il n'y mettait jamais les pieds sans être en sa propre personne. Elle ne se voyait point non plus se rendre en la caserne car elle ne saurait même point par où commencer ses recherches.

De toutes ses pensées et ses décisions, ses pas l'avaient menés comme mainte fois devant les portes où la foi laissait place a tant de prières et de recueillements. Son regard verdoyant se posa contre ses dernières et un sourire si doux s'afficha sur son visage. Elle porta une main a son cou et enserra par le fait même son propre médaillon Aristotélicien et celui de feu son père. Elle se souvient alors de se moment si pure et inoubliable passé en Toulouse auprès de son doux Leyoun, ils avaient échangés un tel moment unique en se lieu si abandonner de la capitale a discuter par les offrande du Très Haut.

Elle s'approcha des portes et elle passa ses dernières sans commettre un seul bruit. Elle s'avança d'avantage et de si grande surprise elle remarqua dans la pénombre un être qu'elle ne pourrait jamais confondre avec une autre. Son coeur s'enserra, et une chamade douce se fit ressentir. Il était là, elle ne pouvait faire erreur. Elle s'avança d'avantage mais sans faire un seul bruit. Au lieu de s'asseoir a ses cotés, elle prit place juste derrière lui. Elle chuchota alors...


Votre foi vous guide mon aimé?...

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Oeildelynx
En ce dimanche matin, fatigué par son voyage arrivant place Ben elazar, il hésita à se rendre à l'église ou directement au presbytère.
Malgré ses lectures, l'église et ses paroissiens lui avaient manqué.
Un petite vérification avant de donner la messe, ne serait peut-être pas inutile ?

Il entra, vit déjà deux personnes installées. Il traversa la nef et se rendit à la sacristie en les saluant, il vérifia ce qu'il lui manquait pour la messe, et déposa le jambonneau et la bouteille de vin qu'il avait ramenés .
Il était encore un peu tôt, il ressorti et se dirigea vers le presbytère afin de se changer, de se préparer.

Puis il passa à la boulangerie de Thwaite, voir si le commis avait du pain frais. Encombré de la panière de pain, il revint alors à l'église et disposa tout ce qu'il avait devant l'autel.





Lysyan qu'il avait joint par pigeon serait surement là bientôt pour sonner les cloches.
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Lysyan
Ly entrant en courant dans l'église.
Il venait de recevoir le message d'ODL. A croire que le pigeon, rat du ciel volant, volant l'avait exprès, se doutant que le jeune homme ne nourrissait pas un amour débordant pur les siens.


B'jour m'sire curé !!!!! Content de vous voir !!!!

Il posa en vrac, quelques abricots devant le curé, lui adressa un sourire avant de filer au beffroi.
Point de traces de sa jolie sonneuse de cloches. Après une petite grimace, il se mit à sonner.
Les cloches castraises retentir alors.......



DINGGGGGGGGGGGGG DONNNNNNNNNNNNNG
l'curé est de retour !!!!!!!
DIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINGGGGGGGGGGGGGG DOOOOOOOOOOOOOOONGGGGGGGGGGGGGG
L'sonneur aussi !!!!!!!!
DIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIGGGGGGGGGGGGGGG DOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONGGGGGGGGGGG
VENEEEEEEEEEEEEEZZZZZZZZZZZZ
DIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINGGGGGGGGGGGGG DDDDDDDDOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNGGGGGGGGG c'est l'heure de la messe !!!!!!
DIIIIIIIIIIIIIIIIIINGGGGGGGGGGGGGGGGGGG DOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNGGGGGGGGGGGGGGG
.............................
DIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNGGGGGGGGGGGG DOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNGGGGGGGGggg


La danse infernale des cloches repris de belle, tandis que Ly songeait à Cerdanne.....le quatre mains dominical lui manquait.
Les cloches se turent enfin, et il rejoint le curé.
Comme toujours, il s'assit juste sous les yeux de ce dernier.

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Phoenixianne
Le soleil était devenue un si beau présent en ce ciel magnifique d'une belle et nouvelle journée. Ils étaient tous les deux toujours de présence en l'église. Malgré leur présence pourtant évidant, en tout respect de ce lieu, elle vit deux âmes qu'elle reconnaissait, entrer sans leur porter attention. Les cloches retentit et elle comprit qu'une messe déjà aurait lieu. Elle se leva alors et prit place aux cotés de son aimé. Elle décrocha de son cou ses deux médaillons Aristotélicien et elle les tenait fermement. Elle refit un geste qu'elle avait déjà défini en les terres de la capitale de Toulouse et glissa sa main contre celle de son aimé tenant toujours les médaillons. C'était a sa façon son invitation a lui demander si il souhaitait assister a cette messe de Castres?......Elle resta a ses cotés en silence en laissant se perdre le son des cloches qui doucement revenait au silence....
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Cerdanne

Tôt dans la matinée, elle avait décidée de partir à la cueillette des fruits qui abondaient vers le cimetière.
Elle voulait faire honneur au partage de la messe de ce dimanche et se réjouissait déjà de les croquer avec Lysyan.

Cerdanne entendit les cloches alors qu’elle vadrouillait dans le village, cueillette terminée, besace pleine de mures bien juteuses et se figea sur place.

Courant à perdre haleine, maudissant le ciel bleu le soleil et tout ce qui voletait ce jour là et lui avait fait perdre notion du temps et heure de la messe….


Lysyan...Lysyan…

Elle égrena un chapelet de juron tandis qu’elle bousculait allègrement les passants tranquilles…

En retard ! Je suis en retard !!...

Bousculade, grimace d’excuses, cheveux au vent, elle remontait les rues de Castres comme une flèche.
Ses yeux couleurs de ciel prenaient une vague teinte orageuse au fur et à mesure que sa course folle la rapprochait du son impérieux des cloches.
A bout de souffle, elle stoppa pile devant la grande entrée et leva les yeux vers le clocher qui faisait entendre ses dernières notes…

Essayant de calmer les battements désordonnés de son petit cœur malheureux, elle recula sur le parvis et d’un pas trainant toute la misère du monde, elle contourna l’édifice et rejoint la sacristie.

L’église était silencieuse, le curé bavard n’avait pas encore commencé…
Tout doucement, elle passa son minois par l’entrebâillement de la porte et vit son sonneur de cloches sagement installé tout à côté du prêtre.

Son cœur se serra de le voir si proche et de ne pouvoir…de ne pas oser le rejoindre...
Elle soupira et les bras ballants, baissa la tête vaincue par avance…


Tant pis, ma fille !
Bien fait oui !!!


Grommelant, pestant après sa tête de linotte, elle passa les quelques minutes qui suivirent à se faire une morale du diable.
Se laissant glisser contre le mur, elle resta accroupit sur le sol, besace ouverte devant elle et machinalement commença à picorer un bout de sa récolte.

Première mure avalée et regard adoucie par la douceur du fruit, deuxième mure qui resta là posée contre sa bouche, tandis que le sourire revenait sur ses lèvres rougies.
Cerdanne, tête à demi enfouie dans son sac finit par trouver les mures qui lui fallait..pas trop molles, assez grosses pour tenir la distance..

Poignée de munitions dans la main, elle reprit son poste d’observation à la porte de la sacristie et visage concentré, un œil fermé, visa consciencieusement son rêveur et le bombarda de fruits délicieux…

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Oeildelynx
Au premier rang, Dame Raphaël et le capitaine Leyoun qu'il voyait rarement, main dans la main, des fois il se posait des questions sur l'intérêt que les gens portait en ce lieu, mais ce geste le fit sourire, en dehors des mariages et même pendant ceux-ci, il y'avait eu des précédents, Carmeli et Thwaite, le rituel du baiser du mariage spinoziste entre Shlomo et Saraunath, sans parler des chèvre, perroquet, rat et bain forcé...

Lysyan était arrivé en courant et s'était précipité pour sonner les cloches. Rien d'anormal en somme.




Mes frères et mes sœurs, je suis heureux de vous accueillir en ce Dimanche.

Je vous prie de réciter le pardon avec moi,
Je vous invite maintenant à vous confessez devant Dieu.


Citation:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Il leur laissa un peu de temps, puis reprit, après ce moment de pénitence, en ce qui le concernait cette semaine d'études et de voyage ne lui avait pas vraiment permis de pécher, même en pensée ou bien si la tristesse qu'il avait ressenti devant les églises désertés, peut-être oui....


Mes frères et mes sœurs, récitons ensemble le credo :



Il les entendit le réciter avec lui.
Il entendit du bruit aussi par l'arrière de la sacristie, cela lui fit hausser les sourcils. Des surprises en perspectives ? petite moue puis il reprit l'observation de l'assemblée.

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Lysyan
Il se retenait de se retourner, afin de voir si enfin sa sonneuse de cloches, arrivait. Machinalement, il passa sa main sur la place à côté de lui. Mais où donc était elle passée ?
Il réprima de justesse un soupir lorsque la messe commença.


Je vous prie de réciter le pardon avec moi,
Je vous invite maintenant à vous confessez devant Dieu.


Il haussa le sourcil. Puis, après une brève hésitation, il récita le pardon, mais pas le credo. Levant la main pour attirer l'attention du curé, il sentit un objet minuscule entrer en collision avec sa joue. Esquissant une moue, il se passa la main quelques secondes plus tôt levées, et se frotta la joue. Un second projectile suivit le premier. D'autres suivirent.....
Pour le coup, il se redressa et chercha du regard la provenance de ces..............mûres !!!!


Des mûres ?! Cerdanne !!!!!!
Oups !!!


Un petit sourire d'excuse fut adressé au curé et au reste de l'assemblée.
Une idée peu aristotélicienne germa dans sa cervelle de piaf, et avec un air on ne peut plus sérieux, et le regard pétillant de malice, il s'adressa au curé, main levée.


M'sire curé, Aristote fait pleuvoir des mûres dans l'église !!!!!

Il ramassa les preuves, et les posa devant le curé. Profitant du fait qu'il s'était levé, il lança une première question.

Hem, hem, hèèèèm......M'sire curé, le pardon.....ça ne devrait pas être celui que l'on adresse à ceux qui nous ont offensé ?
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Phoenixianne
Dame Raphaëlle avait fait longue route pour retrouver Castres, jamais elle ne laissait la foi la quitter quelque soit l'endroit où elle se trouvait, mais sa vie avait longuement été fait de simple mais long voyage. Elle avait toujours refusé qu'on définisse sa foi par le nombre de fois où elle se présentait en ce lieu de prière, car tous les endroits où elle était passé, avait défini un temps considérable pour venir se recueillir. Il y avait mainte église et cela ne l'avait jamais empêcher de prier et d'assister aux messes quelque soit l'endroit où elle se trouvait de par ses voyages. Aujourd'hui, elle ne quittait point le Comté de Toulouse, Leyoun et elle, avait passé par obligations militaire quelques jours en la Capitale, plutôt vide de vie. Même l'église était aussi peu de vie. Pourtant cela n'avait en rien empêcher une fervante Aristotélicienne et un homme qui commençait a s'ouvrir a cette foi si peu connue en son quotidien de militaire de rester et de revenir en ce lieu de foi en Toulouse.

Elle enserra d'avantage la main qu'elle avait enserré, se geste avait pour définition de guider certes son aimé mais un frère a en devenir en cette foi Aristotélicienne. Ils tenaient par amour certes mais aussi par foi qu'il avait tout les deux, ces médaillons Aristotéliciens ceux que Raphaëlle ne pouvait se départagés et qui définissait tant en sa vie.

Elle voyait de par son regard un homme qui voulait a son tour connaitre certes ce qui définissait tant en la vie de sa compagne mais ce que cette foi pouvait aussi lui apporter. L'apprentissage de l'inconnue était une chose que respectait tant la jeune femme et que rien de l'inconnue ne pouvait être si terrible.

Elle resta de toute présence et en tout respect du lieu où elle se trouvait. Elle récita le pardon comme des paroles qui provenait de son coeur entier...


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Puis après un léger temps elle récita comme d'autre présent en ce lieu le crédo qu'elle connaissait mieux que tout autre chose.....



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Oeildelynx
Regard courroucé sur Lysyan bien qu'au fond de lui, il avait envie de sourire.
Ne voilà t-il pas que s'abattait sur ce dernier une pluie de mures.

Pas besoin de se retourner, le bruit qu'il avait entendu derrière lui, c'était Cerdanne.

Un peu plus tôt que de coutume Ly arriva avec ses questions en pleine messe !!!


Hem, hem, hèèèèm......M'sire curé, le pardon.....ça ne devrait pas être celui que l'on adresse à ceux qui nous ont offensé ?


Celui là Lysyan aussi, mais pensez aussi à vous faire pardonner vous même car si vous n'êtes pas vous même en règle comment pardonner aux autres ?

Puis il se retourna et parla plus fort...

Dame Cerdanne, si vous pouviez venir ramasser les mures qui tombent semble-t-il du dôme, et vous assoir devant moi, à coté de Lysyan qui aurait besoin de prendre un bon bain après,

malicieux, il dit alors,

peut-être dans le baptistère ?

Bon maintenant, nous allons poursuivre avec le prêche...Comme certains d'entre vous le savent peut-être, je reviens de voyage, je suis passé par Castelnaudary, leur église est dédié à Saint Michel, je vais donc vous lire son hagiagraphie qui apparient au livre premier du livre des vertus.




Citation:
Naissance de Michel

Michel était né dans la ville d’Oanylone, il était le cinquième de dix enfants de Diane et Robin, un couple de chasseur vivant comme beaucoup à cette période pour servir un plus riche qu’eux.
Leur maître, car il fallait bien le nommer ainsi, n’avait pas d’autre but que d’acquérir plus de richesses et de terres qu’il ne pouvait en utiliser.

Cette homme, était connu sous le nom de Maître Satan Sybarite, il avait proclamé posséder les terres jusqu'à deux kilomètres autour de la ville, et tout ceux qui y chassaient ou qui cultivaient la terre devaient lui en reverser la moitié.
On disait de lui qu’il ne s’endormait pas si la journée ne lui avait pas rapportée de quoi remplir deux de ses coffres, l’un de maïs , et l’autre de viande.
Il envoyait ses suppôts collecter toujours plus chez les infortunés qui vivaient sur la bordure de la cité.

La vie de Michel

Michel grandit donc parmi les pauvres d’Oanylone en apprenant par son père l’art de la chasse et du maniement de la lance. De sa mère il apprit à suivre les indices laissés par les animaux qu’il chassait. Il appris également à lire les étoiles pour trouver sa route. Vivre avec ses neufs frères et sœurs lui inculqua le partage et l’amour des autres.

A l’âge de treize ans Michel avait déjà la carrure et la force d’un adulte, aîné des garçons de la famille, c’était souvent lui qui défendait ses frères et soeurs en s’interposant face à ceux qui leurs voulaient des misères. Et bien qu’il n’ait jamais blessé personne, il était craint et respecté par ceux des faubourgs. Très vite on lui demandât d’arbitrer les conflits car on disait de lui qu’il pouvait lire dans le cœur des gens.

Quand il n’y avait pas de preuve pour départager deux personnes, il déposait sa lance sur la tête d’un des deux, et, si la lance restait en équilibre, c’est que la personne disait la vérité, dans le cas contraire il mentait. Mais très vite, il ne devait même plus utiliser sa lance.
Le seul fait d’annoncer qu’on le ferait venir, le coupable renonçait, et les choses se réglaient d’elle même. Certains disaient qu’il avait un pouvoir surnaturel, mais les plus sages savaient de quoi il en retournait.
Pourtant malgré sa grande sagesse et sa dextérité à la lance, il ne pouvait rien contre les suppôts de Maître Satan Sybarite qui devenaient de plus en plus gourmand.

Son père mourut le jour de ses 20 ans, faisant de lui le patriarche car il était l’aîné des garçons. C’est à cette période qu’il reçut la visite de son ami Timothé qui venait lui demander la permission d’épouser Emmelia, sa sœur cadette.
à oanylone, les prêtres avaient abandonné le peuple pour ne s'occuper qu'exclusivement des notables et des plus riches en leurs apportant les faveurs du Très-haut"
Michel se chargea donc d’organiser les fiançailles, et tout le monde fut bien venu.

Ce jour là Simplicius, un des lieutenants du maître Sybarite, était présent et tombât sous le charme de la sœur de Michel. Il revint le lendemain avec ses gardes et exigea qu’Emmelia les suivent pour entrer au service de Satan, mais Michel s’interposa et mit à mal la garde et finalement Simplicius fut à sa merci…
Mais au lieu de le tuer, il prit sa dague et la lui lança en disant : "Si ton œil droit t’attire vers ce qui ne t’es pas destiné, arrache le et brûle le, car mieux vaut qu’une partie de toi périsse, plutôt que d’attirer vers toi la colère de Dieu."
Le lieutenant ne demanda pas son reste et retourna vers son maître. Mais il revint le lendemain avec une plus grande troupe, il arrêta Michel et Timothé qui furent conduit et enfermés dans la prison d’Oanylone.

La destruction d’Oanylone

Le premier jour de captivité fut aussi le premier des sept jours qui entraîneront la destruction de la première cité des hommes.
La foudre s’abattit sur le mur de la prison permettant à Michel et son ami de fuir le chaos, et de rejoindre les leurs.
Michel regroupa autant de monde qu’il put, en leur disant que la punition du Créateur allait être terrible, mais que les justes pourraient vivre une nouvelle vie loin de la cité maudite.
Comme Timothé était pêcheur, il proposa de rejoindre le port pour fuir par le lac. Michel aida ceux qui méritaient de par leurs foi en dieu d’embarquer sur l’esquif. Comme il restait des places, il demanda à son ami de laisser monter des enfants qui s’étaient réfugiés près d’eux.
Des pleutres voulant fuir la ville, plus par peur que pour suivre la volonté de Dieu, tentèrent de prendre l’esquif d’assaut, mais Michel s’interposant, permit à son clan et aux enfants de quitter la ville sans encombres.
Une fois ses Amis en sûreté il resta seul, et six jours durant, il sauva ceux qui pouvaient l’être.
Le septième jour, il restait des gens à sauver mais plus la moindre barque. Comme par miracle deux autres esquifs apparurent, il invita donc ceux qui avaient le cœur pur à monter sur ces navires. Il semblait capable de lire dans les yeux des gens si leur foi était réelle, et il envoyait ceux qu’il jugeait digne sur la première barque et ceux qui fuyaient par peur ou pour sauver leurs richesses sur la seconde. Voyant les 2 navires remplis, il refusa de monter, disant que Dieu avait une mission pour lui et qu’il sentait qu’il devait rester pour sauver d’autres amis.
Arrivé à la sortie de la ville le premier navire se dirigea sans encombre vers le large, alors que le deuxième plus lourd à cause de l’or emporté fut bloqué par les hauts-fonds. Il disparu avec la ville lorsque les grands vents destructeurs vinrent du centre de la Terre, fissurant la terre en de nombreux abysses.

Certains survivant, loin de la ville, racontèrent qu’à ce moment là, alors que la pluie tombait malgré un ciel sans nuage, un arc en ciel venant directement du soleil tomba sur la ville , Michel choisi par Dieu fut ainsi emporté par une nuée céleste, et devint l’un des sept archanges.

première apparition

La première apparition de l’archange est d’ailleurs celle qui fit de lui un ange guerrier alors qu’il n’a jamais fait coulé le sang.

Quelques générations après le jour du jugement et la mort de Michel, deux clans descendant directe de ceux qu’il avait protégés se disputaient car une partie avait construit un temple à Michel, et l’avait même renommé le considérant comme l’égal de dieu car il avait su les sauver. Les autres considéraient le sacrifice de Michel comme un exemple et non comme l’acte qui fait d’un humain un dieu.

Inspiré par l'ombre celui qui s’était déclaré Grand Prêtre d’Anubis vit son pouvoir grandir.(nom qu’il donnèrent à Michel on ne sait trop la raison, il se pourrait que ça soit le nom de son clan mais aucune trace de ce fait n’a été retrouvée en ce jour)Disant recevoir ses informations de son dieu lui-même, le Préla nomma un nouveau-né souverain du peuple car fils d’Anubis et en son nom il gouverna plusieurs année et fit raser le temple dédié à Dieu et déclara que puisque ce dieu n’avait pas su protéger ses fidèles, ceux ci deviendraient ses esclaves. Pour solidifier son pouvoir et faire oublier le vrai Dieu, il repris le nom des archanges pour en faire des dieux à leur tour.

Le patriarche des fidèles implorait dieu chaque jour et malgré ses souffrances le remerciait de ce qu’ils avaient.
Le Seigneur pris pitié et envoya l’archange en personne.
Saint Michel apparu en armure avec une longue lance et un large bouclier et se fit reconnaître de tous, en apparaissant au sommet du temple qui lui était destiné.

Le Grand prêtre l’interpella et lui dit : « Anubis, te voilà enfin es-tu venu remercier tes fidèles et nous récompensé d’avoir tant construit pour toi ? »
Michel de répondre, «non, je suis venu apporter la parole d’espoir de Dieu envers ceux qui ne se sont pas détourné de lui car nombreuses sont les communautés de fidèles qui parcourent le monde en attendant l’arrivée des prophètes qui les réuniront dans l’amour et l’amitié »
Le Grand Prêtre ne le reconnu point et donna l’ordre à ses gardes de prouver l’imposture en massacrant les fidèles du dieu unique. Michel s’interposa et 2 jours durant repoussa les assaillants sans en tuer aucun tout en permettant aux fidèles de fuir vers d’autres terres.

Après les 2 jours de combats les fidèles du grand prêtre étaient soit trop fatigué, soit trop blessé pour poursuivre qui que ce soit et ont vit des ailes pousser dans le dos de l’archange lui permettant de rejoindre les cieux. Le prélat fit exécuter tous les gardes par ses prêtres et dit que ce n’était pas Anubis qui était venu mais un dieu vengeur pour les punir d’avoir laissé en vie les serviteurs du faux dieu unique.

Il y a des variante sur cette légende prétendant que l'Archange était à la tête d'une armée d'ange, d'autre qu'il aurait armé le bras des plus fort des fidèles, et d'autre même qu'il n'a fait qu'inspirer le plus vaillant des serviteurs de Dieu pour mener la révolte et guider son clan à travers le désert. Tous cela n'a que peu d'importances le principal est que c'est l'intervention de Michel et la volonté de Dieu qui permis à ses enfants de fuir vers des terres plus clémente.


La légende du mont saint Michel

La deuxième apparition de l’archange que j’ai trouvé se situe à l'époque où certains Barbares vénèrent des Dieux alcooliques ayant pour seul temple des tavernes et pour seul liturgie la beuverie. A cette époque il existait une communauté de fidèles pourchassée par un barbare du nom de Saathan qui vénérait un Dieu alcoolique exigeant le sacrifice des enfants.

La communauté fuyant vers le Nord se trouva bloquée dans une forêt en bordure de l’océan.
Le patriarche de la communauté demanda à tous les siens de se préparer à se sacrifier dans l’océan pour ne pas tomber aux mains des barbares. Ils se sont alors dirigé vers le point le plus haut de la côte et se sont mis à prier le Seigneur pour qu’il demande à saint Michel de préparer leur venue.

Dieu ne pouvant tolérer de ses enfants mettent fin à leur vie fit savoir au patriarche par l’intermédiaire d’un messager céleste que ce n’était pas à l’enfant de choisir le jour où il rejoindrait son créateur. Il ordonna donc que s’ils l’aiment et avaient foi en lui ils abattraient de grands arbres et feraient une palissade autour du rocher. Une fois fait, ils ferraient un grand festin et allumeraient un feu au sommet du rocher pour que Saathan connaissent leur position.

Ainsi fut fait et sept jours plus tard la palissade finie, le feu fut allumé. Au matin ils virent les troupes de Saathant entourer le rocher et commencer à s’attaquer à la fragile protection du rocher. A l’aide de pierre et de lances, les fidèles se préparaient à se battre puisque tel était la volonté de Dieu. Alors que, à l'endroit même où le feu avait été allumé, un ange vêtu d’une armure et portant une lance et un bouclier apparu… Il ne dit pas un mot mais tous les fidèles surent qui il était.

L’archange Michel lança son arme vers l’horizon qui sembla se lever vers les cieux et avancer vers le rocher comme un mur de chevaux au galop, ce mur emporta tout sur son passage mais ne détruisit par la faible palissade. Les troupes de Saathan furent englouties et quand la mer se retira, elle avait fait du rocher une île entourée de sable mouvant où finissait de s'enfoncer l’armée vaincue par la foi des fidèles.




Nous allons maintenant partager le pain et le vin et les abricots que nous devons à Lysyan, je suppose que Dame Cerdanne doit encore posséder quelques mures ? J'ai ramené de mon voyage du vin et du jambonneau. A votre bon cœur... profitez en.






Il regarda l'autel et sa débauche de nourriture, décidément, les messes depuis sa première messe avait bien évolué. Cela lui plaisait...


Avant de nous quitter, j'ai à vous faire part de quelques nouvelles de Castres.


Bientôt un nouveau mariage, celui de Dame Smartynina et Messire Guitail, ici présent. Ce mariage aura lieu à la cathédralette de Rodez, dans la grande halle, le 11 juillet . Je vous invite à vous rendre dans notre cathédralette par ailleurs. Ce lieu dédié à ceux de Castres et Albi pourra accueillir, ceux de fois, toulouse et castelnaudary qui sont sans curé, mais nous n'y pourrons y officier de cérémonies les concernant.

mariage du 3 au 7 juillet


Je vous libère, qu'Aristote soit avec vous.



Les trois vagabonds, toujours là, le rejoignirent à la fin de la messe. Il leur tendit 5 écus à chacun.


Faites comme d'habitude...

Il se recula vers la sacristie, et attendit.
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