Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8   >   >>

[RP]Ordre Equestre dit vente équestre!!

Tyara_joncheray
Des Messires et Dames firent leur apparitions, une de celle-ci l'amuse énormément, sa peur est perceptible et mes petites oreilles entendent quelques mots, cela me fait sourire, je les regardes ces montures, elles sont toutes belles et en rien méchantes ou dangereuses.
Ma menotte glisse dans ma besace et j'en tire les morceaux de pommes, les bras de maman, protecteurs se ferment sur mes épaules, j'aime cette sensation chaleureuse et rassurante.
Je relève mon minois vers elle, nos yeux similaires se rencontrent.


Ils sont très beaux, mère, grands, puissants, de très belles montures, rapides, j'en suis certaine

J'hésite un instant, mon regard se détourne un court instant avant de se poser à nouveau sur les traits tant aimés.

Regardez celui-ci, il est petit pour l'instant, il semble insignifiant mais, c'est une apparence, ce sera un champion quand il sera grand

Ce jeune poulain est à mes yeux le plus beaux de tous, peut - être parce qu'il est petit comme moi.
Une autre arrivée, annoncée, une Altesse Royale, une vrai de vrai, mon cœur bondit, je serre la main de mère et lui chuchote tout bas
.

Mère, une princesse, vous croyez qu'elle vit dans un château ?


La curiosité est un vilain défaut, on ne cesse de me le répéter et pourtant, la retenir alors que paraît cette jolie jeune femme, je baisse les yeux, j'ai parlé trop vite, nous ne sommes pas là pour satisfaire ma curiosité mais, pour acquérir des chevaux.

Pardonnez ma curiosité ... que pensez-vous du jeune poulain, il est magnifique, ne trouvez vous pas ?

Mes iris expressifs sont éloquents, ce jeune poulain est mon coup de cœur.
Anicet
Anicet avait eu vent d'une rumeur.
Une vente de chevaux organisée par un grand ordre.
Il avait installé des écuries dans une taverne abandonnée de Compiègne.

Il fallait donc maintenant qu'il achète au moins un cheval, pour pouvoir le louer ou offrir un cheval frais.

Il avait fait le déplacement sur le dos de sa mule Georgette. Il avait rassemblé ses maigres économies et emprunté un peu.
Il se demandait bien le prix de ces chevaux.
Pourvu qu'il n'ai pas fait le déplacement pour rien.
Shaomye
Lentement, des personnes interessées arrivent, certaines totalement inconnues, d'autres moins. Il semblerait que l'article de l'AAP ait attisé les curiosités ! Dans un coin de sa tete (et elle en a beaucoup!), la Lutine note de remercier le journal, si elle a l'occasion de rencontrer une des plumes.

Tout en écoutant Mathilde, elle reste ouverte aux autres personnes, et répond volontiers aux questions


Lou bonjorn donà !

Une petite pensée pour sa propre mère qui était aussi gouvernante, le mot évoque dans son esprit nombre de souvenirs

Et bien, les roussins seront vendus une bourse de pieces d'argent, les coursiers deux bourses de pieces d'argent, et le palefroi et le destrier une bourse de pieces d'or chacun *

Pour le poulain, il est issu d'un très bon lignage de par ses deux parents, je pense que trois bourses d'argent serait un prix correct, mais comme il n'est encore qu'un poulain, le prix est à négocier


Elle sourit, et répond à Mathilde

Tous les chevaux présents ici, hormis les poulains bien sur, sont au minimum débourrés sous la selle, et pas de problemes de santé récurrents, sinon tu te doutes que je ne les vendrais pas ici. Quant aux poulains, ils sont habitués au licol, à suivre en main, et habitués à etre manipulés.

Le premier, Galerne, est un percheron né en Normandie, il a 6 ans, il vient de finir sa croissance, et il a déjà acquis les bases d'un bon destrier. Par contre il est très joueur, à ne pas mettre entre toutes les mains.


Leger sourire, elle salue de la tête la jeune femme qui demande également des renseignements sur Suroit

Le second, c'est Suroit, il a pas mal de sang de cob irlandais dans les veines, mais il n'a pas pris leur coté calme ! Il a sept ans je crois, je l'ai acheté à un marchand qui reprenait la mer et qui ne voulait pas s'encombrer de chevaux.

Tant mieux pour le Saint Sépulcre à vrai dire, car ainsi plusieurs nouvelles betes étaient venues peupler les écuries. D'où la présence de plusieurs cobs irlandais dans les écuries... C'est Stephandra qui avait fait découvrir la race à Shaomye, et forcément, quand elle était tombée sur le marchand, ca avait fait tilt !


Il est assez facilement nerveux, ce qui fait qu'il n'est pas vraiment adapté aux joutes ou aux charges, il mettrait en danger son cavalier. Vous avez raison sur son gabarit, il n'est pas très leger, mais extrêmement véloce et endurant, parfait pour les longs voyages. Et c'est un cheval parfait pour la chasse, bizarrement dans ces cas là il n'est absolument plus nerveux mais prêt à tout donner à son cavalier !

Elle s'interrompt, en se disant que sûrement elle s'emballe encore, comme chaque fois qu'elle parle de ses chevaux...
Le vacarme provoqué par l'arrivée de la Princesse et de son compagnon lui permet de reprendre son souffle, avant de finir de répondre à la question de Mathilde


Et le dernier Ardennes, a quatre ans, et je n'ai aucune idée de ses origines ! Tout ce que je sais, c'est qu'il vient des Ardennes... d'où son nom !


Elle rit, consciente que les nom de ses chevaux ne sont pas des plus originaux. Souvent des noms de régions, et encore plus souvent, des noms de fleuves ou rivieres. Quand ce ne sont pas les enfants qui baptisent les chevaux.

A ma connaissance, pas de graves problemes de santé, il m'a fait une petite colique peu apres son arrivée, qui est passée heureusement, mais depuis plus rien. Il a un caractere de guimauve, si tu lui présentes une friandise, tu en feras ce que tu veux !

Le tout dit avec un regard amusé vers la fillette qui a tiré des bouts de pomme de sa besace. Avec un regard complice à la mere, elle chuchotte à l'oreille de l'enfant

Tu sais, si tu veux, nous avons des poneys aussi... et meme des petits chevaux pour les petites filles ! Je te les présenterai plus tard, ou je te les amenerais quand je viendrais au domaine de ta maman, d'accord ?


Pas qu'elle est pas rassurée à l'idée de confier un poulain à une fillette... Enfin si, un peu quand meme. Le coté maman protectrice qui ressort !

Un coup d'oeil à la petite foule qui commence à se faire, puis aux domestiques de la citadelle qui installent tranquillement de quoi se restaurer. La matinée est bien avancée, et il semble peut être mieux de laisser les gens faire tranquillement leur tour et se restaurer si ils veulent. Le premier cheval a être proposé à la vente dans la carriere le sera en tout début d'apres midi.



* oui, la JD n'a aucune idée du prix d'un cheval au MA. Disons que une bourse de pieces d'argent correspond aux revenus d'un gros paysan, que deux correspondent aux revenus d'un notable, et que une bourse d'or est une jolie somme qu'à priori seuls les nobles de haut rang peuvent dépenser pour un cheval.
La somme est totalement rp

_________________
Bosco
Bosco avait été informé de la vente, cela ne pouvait pas mieux arriver vu qu'il rechercher une nouvelle monture avant de reprendre son voyage, voilà la raison qui l'avait poussé à faire le déplacement, ça plus beaucoup de curiosité...
Beaucoup de monde était déjà présent quand il arriva, vu le nombre de domestique, la présence de quelques hommes d'armes il comprit rapidement que de nombreux nobles étaient présents dans l'assemblé, cela lui prit que quelques instants pour en repérer la plus part, question d'habitude se dit-il...
IL fut heureux d'avoir revêtu une tenue neuve spécialement achetée pour l'occasion. Vêtu ainsi, il pouvait passer aisément pour un riche marchand ou un jeune de petite noblesse...

Son attention fut rapidement attirée par un magnifique destrier de robe sombre. Il s'en approcha pour l'admirer de plus près. La bête était superbe, mais justement trop se dit-il... Le destrier avait dut surement déjà attiré l'attention de nombreux acheteurs potentiels et bien qu'il soit en possession d'une bourse bien remplie il aurait très certainement du mal à rivaliser avec certains des nobles riches ici présents...

Il décida de se promener entre les paddock, s'arrêtant de temps à autres pour observer tel ou tel animal, questionnant les employés...
Le palefroi était magnifique mais surement très convoité lui aussi... un coursier...hum...oui pourquoi pas?... Mais s'est en se dirigeant vers les roussins que son attention vu à nouveau attiré par un roussin à la couleur sombre. Il s'approcha du paddock, à coté un panneau affichait "Adour", l'animal paraissait en superbe santé, rien d'étonnant quand on connaissait la provenance en même temps. Bosco décida de rester un moment afin d'observer plus attentivement l'animal.
Millie.
Que de monde, toujours plus de monde, la concurrence serait rude lors de la vente. Mais soit, c'est bien normal dans une situation telle que celle ci. Et malgre la foule, le palefroi semblait calme. J'etais déjà relativement pres de lui. Je l'avais bien observé et comparé aux autres. Celui ci était d'une carrure plus légère, plus fine, il était evident que nous nous correspondrions.
J'avais tendu l'oreille lors de l'annonce des tarifs. Pour l'acheter, il me faudrait donc débourser un sac de pieces d'or. Fort bien.. j'etais rassurée car j'avais apporté suffisamment d'argent, et cette fois c'etait sur, je ne pourrais repartir qu'avec un seul de ces superbes montures.
Mais j'en savais encore trop peu sur lui. Aussi profitais je du moment ou l'organisatrice terminait de donner les explications de certains des chevaux pour lui en demander sur Midouze. Il me fallait en savoir plus sur lui avant de tenter de l'acheter tout à l'heure.


Bonjour, excusez moi de vous interrompre.
certainement inconnue pour l'ensemble, je décidais de me présenter brièvement.
Je suis Millie d'Hauterroche, Baronne de Nogent, j'arrive de Champagne.
Pourriez vous egalement nous en donner quelques mots sur celui ci s'il vous plait ?

dis je en désignant le Palefroi.
_________________
Zoyah
La vicomtesse se fendit d’un sourire amical à l’attention de la personne qui venait leur présenter les animaux. Elle l’écouta avec attention en hochant doucement la tête. Ainsi donc, le coursier était doté d’un tempérament peu commun en dépit de son côté « gros pépère ». Zoé sentit qu’on la tirait légèrement sur la manche et tourna son minois vers son valet muet.
- « Que veux-tu? »... Les sourcils noirs se froncèrent légèrement et elle arracha sa manche de soie rouge à la patte du valet. Elle s’était drapée d’une cotte de soie sanguine fort simple recouverte d’une cape de velours brun-rouge foncé dont le seul calcul était de rejeter le pan droit sur l'épaule,‭ ‬ce simple détail lui donnant toute sa grâce. L’homme muet pointa du menton en direction d’un cheval. Le regard slave de la vicomtesse obliqua dans la direction indiquée. Un beau cheval à la robe rare se trouvait là, éclipsé par les montures plus imposantes. Un sourire conquis orna sa ravissante bouche, dévoilant une rangée de solides dents blanches parfaitement alignées mais un peu en avant. D’un geste de la dextre, elle fit signe à ses valets d’écurie restés en retrait d’aller jeter un œil à la bête. Elle-même s’en approcha et posa une main douce sur le chanfrein qu’elle caressa lentement.. « Tu m’as l’air bien gentil.».. chuchota-t-elle. Elle revint vers le chevalier, attendit que Shaomye réponde aux dernières questions ... «Pardonnez-moi Chevalier, que pouvez-vous me dire sur Jewel ? Quel âge-t-il ? Son tempérament ? Ses parents ? Je pense souhaiter l’acquérir mais j'aimerai en savoir un peu plus. Pouvons-nous le voir évoluer ?»
_________________
Shaomye
Shaomye salue d'un sourire et d'un hochement de tete la Baronne. La Champagne, ce n'est pas la porte à coté de la Guyenne où se trouve la Citadelle du Rey, la brune est à la fois étonnée et contente que la renommée de l'Ordre du Saint Sépulcre aille aussi loin. Elle suit la direction indiquée

Lou bonjorn ! Soyez la bienvenue !

Oh, Midouze ! C'est une superbe jument, elle est toute jeune encore, elle va sur ses 5 ans. Très curieuse, et elle apprend très vite aussi. Après c'est une jeune jument, elle a son petit caractère, comme toutes les jeunes damiselàs !


Avec un sourire amusé, elle répond volontiers à la question de la jeune femme


Jewel... il a 6 ans, je l'ai acheté tout poulain à un tavernier dont la jument avait été saillie par hasard par l'étalon d'un voyageur de passage. De ce que j'en ai appris, le père est un étalon portugais, la mère une petite jument landaise d'un gabarit leger. Jewel est très confortable à la monte, et il a un pied très sur. C'est un cheval bien dans sa tete, le genre qui ne s'effarouche de pas grand chose.


Bon c'est aussi le cas d'un certain nombre de chevaux du Sépulcre, habitués dès que possible à faire face à toutes les circonstances. La politique de la brune étant qu'un cheval désensibilisé en douceur sera plus agréable et moins dangereux qu'un cheval qu'on contraint par la force à passer les choses effrayantes.

Pour le voir évoluer, il n'y a pas de soucis, mais il faudra patienter un peu, si vous voulez bien. Chaque cheval sera présenté aux trois allures dans la carriere au moment de la vente.
_________________
Arrya
[Guère loin, un marché parallèle pour les clients un peu moins regardants]

Pffu.

D'une moue dédaigneuse, Machine referma sa petite bourse de cuir bouilli et la fourra rageusement dans sa besace. Elle n'avait pas le quart de quoi s'acheter le plus miteux des bourrins de corbillard de toute l'exposition.

Le pire restant que pour l'occasion, les tenanciers des bistrots alentour semblaient avoir férocement augmenté le prix des boissons.


Après un refus aussi courtois qu'elle le pût, elle s'éloigna de l'escroc, enfin, du palefrenier pour monter sur un marchepied libre et scruter la foule. Pour y parvenir, elle devait fermer l’œil droit, car sa pupille constamment dilatée rendait sa vision floue. De son œil gauche, son œil d'archère, bleu comme l'azur, elle distingua sa cible dans la foule et sourit en coin en le voyant parader fier comme un paon.

Pousse toi de là, la ribaude!


Un violent coup dans les côtes et elle se retrouva sur le sol, esquivant un crottin in extremis. Elle se releva rapidement et confronta le palefrenier qui l'avait poussée sans ménagement du marchepied pour faire monter un autre client. En relevant son capuchon sur la tête, elle foudroya du regard l'homme au ventre proéminent qui la toisait en ricanant, toutes gencives dehors. Il faisait au bas mot deux fois la taille et trois fois le poids de la jeune femme à la capuche d'ours. Frustrée, celle-ci dût se résoudre à tourner les talons, et s'éloigna rapidement en grognant, sous le rire gras du palefrenier victorieux.

A cause de lui, elle avait perdu de vue celui qui avait réussi à la convaincre de se radiner ici. Elle partit à sa recherche, mais avant de quitter la place, elle sortit d'une poche de sa cape une petite fronde et ramassa quelque chose sur le sol. Elle fit volte face rapidement, ferma l’œil droit. D'un coup de poignet agile, la ficelle souple de la fronde se détendit. et Machine n'avait plus qu'à admirer le morceau de crottin s'écraser joyeusement sur la tête du palefrenier. Elle fila vite, fendant la foule hétéroclite, à la recherche de son ami ou d'une bière à se faire offrir.
.mathilde.
Elle aurait bien fait sa sadique en prenant à Soldaar une monture joueuse et ingérable mais, il aurait eu plus vite fait d'être dégoûté du cheval que d'y apprendre quoi que se soit. Et puis, pour les enfants, apprendre avec un cheval calme était plus rassurant pour la mère qu'elle était. En revanche, une colique et aucune idée des origines, cela faisait beaucoup. Mais, elle le trouvait splendide. Et puis... c'était, avec le destrier, un coup de coeur. Et quand le coeur de Mathilde parle, il n'y a rien à faire, c'est sans appel.

Et d'écouter sagement les paroles de sa princesse. Puis de sourire jusqu'aux oreilles quand la petite lui montre le poulain. Comment n'avait elle pas deviné que sa fille, choisirait celui-ci ? Toujours dans son dos, elle embrassa sa princesse sur le haut du crâne.


Oui je n'en doute pas. Mais tu sais, un petit comme lui, il faut s'en occuper. Bien plus qu'un grand. Et surtout, on ne peut au final, pas le monter. Et puis c'est délicat, j'aurais peur qu'il ne trouve pas sa place au milieux des montures de la maison. Mais, il est très beau en effet.

Ou comment avoir le coeur brisé de ne pas pouvoir décemment acheter le choix de sa fille, mais de devoir être raisonnable. Un cheval dont on ne peut rien faire, pour l'heure, n'était pas dans ses projets.
Puis son Altesse Melissandre de Malemort arriva, au bras d'un homme. Elle ne connaissait rien de la vie privée de sa suzeraine, et c'était très bien ainsi. La voir donc en compagnie d'un homme, embarrassas Mathilde. Elle ne voyait en elle que la régnante exceptionnelle qu'elle avait pu être du haut de son jeune âge, et, mélanger la vie privé à ça n'était pas dans les habitudes de la brune. D'ailleurs elle avait toujours eu une sainte horreur de mélanger son intimité avec la politique. Elle du prendre sur elle. Non, c'était certain, elle n'aimait pas qu'on la voit en présence de ses enfants. Pas qu'elle n'en sois pas fière, tout du contraire, mais, c'était son monde à elle, mode chasse gardée. Vous l'aurez compris, Mathilde était ultra protectrice, avec sa descendance. Et ce n'était en rien de la princesse, qu'elle se méfiait, mais de tout le monde autour.

Mais face à l'excitation palpable de Tyara, qui subitement avait trouvé un intérêt bien plus captivant que la vente, Mathilde céda. Oui, si elle trouvait déraisonnable de prendre un poulain, il lui semblait dans ses cordes, de faire quelque chose, qu'elle regretterait surement tout sa vie. Présenter sa fille. Mais pour l'heure, elle n'avait pas fini, alors, elle garda son idée en tête pour plus tard. Elle se contenta de répondre d'une voix douce et instructive à sa fille.


Oui ma chérie, elle vit dans un château. Lui dit elle avec un sourire.
Puis ajouta à voix basse : Tout comme toi !
Et de la chatouiller très légèrement en l'embrassant dans le cou. Complice. Sous entendu, qu'elle aussi, à l'étoffe d'une princesse. Dans le coeur de sa mère, au moins.

Et ne voilà pas sa fille qui s'excuse de sa curiosité. Alors, Mathilde s'excusa du regard auprès de Shaomye, se replaça devant sa fille, glissa son index sous son menton pour lui remonter le visage face à celui de sa mère, entre quatre yeux.

Ma fille. Ne t'excuse jamais d'être curieuse d'une chose que tu souhaites apprendre. Pas envers moi. Ni envers aucun de tes professeurs, ou de nos proches. C'est ainsi, que l'on apprend. En s'intéressant aux choses. Il n'y a que la curiosité en s'adressant à des gens que l'on ne connaît pas, ou peu, qui est déplacée. Tu m'entends ?

Et de ne pas lâcher la petite du regard avant que celle ci ne lui confirme avoir bien saisit. Et elle ajoute.

Ici tu ne brises aucune discussion et aucune cérémonie. Tu es libre de parler. Tant que cela est dans le respect et la politesse, tu en as parfaitement le droit.


Puis de sourire à sa fille avec l'envie de l'embrasser à nouveau sur le front. Mais, regarde autour d'elle comme ci cela allait provoquer une menace, ou qu'on pouvait l'apercevoir, et donc, voir à quel point sa fille lui était cher. Alors, méfiante, bien qu'aucune alerte ne sembla être environnante, elle resta sur son simple sourire, le regard rempli d'amour.

Puis vers Shaomye.

Si je comprends bien, cela va durer un certain temps, c'est bien cela ?

Et de regarder sa fille. Passer la journée à regarder des chevaux faire trois pas... elle allait s'ennuyer. La duchesse ne voulait pas lui infliger ça. Et puis, elle n'aurait pas mangé en plus. Non, ce n'était dans ce contexte, pas un endroit pour les enfants. Seulement, Tyara était là, et, elle n'allait pas changer cela.

Y a t il un endroit où pouvoir se restaurer ? Boire également. De l'eau.


Oui car elle qui pensait faire l'allé retour, c'était raté.

Sinon dis moi, tu ne m'a pas dis la provenance du destrier.
En tout cas merci de ces informations.


Pour la vente, ça se passe comment ? le premier arrivé ? le premier qui lèvera la main ? le plus offrant ?

Histoire de savoir si cette joyeuse après midi allait virer au pugilat ou pas. Et de ne pas avoir envie d'exposer ça à sa fille. Mathilde était intraitable en affaire, mais c'est une facette de sa personnalité qu'elle ne souhaitait pas vraiment montrer à ses enfants. Même si, ils devraient bien finir par apprendre, mais bon. Plus longtemps elle les préservera, mieux ce sera, selon elle. Et comme elle savait ce raisonnement erroné, elle fini par laisser filtrer une légère moue. Il se passerait ce qu'il se passera. Mais ce n'était pas de gaieté de joie.

La vicomtesse Zoyah venue demander renseignements auprès de la vicomtesse Shaomye, Mathilde en profita pour la saluer très poliment. Tout comme elle répondit au signe de tête de la comtesse du Maine, avec un bienveillant sourire également. Elle aimait bien cette enfant, allez savoir pourquoi. Elles, qui ne se connaissaient pas.
Puis de se faire alors la réflexion qu'elle avait tutoyer son amie Shao depuis tout à l'heure. Et d'en être confuse.


Pardonnez moi, j'ai oublié le protocole. Avec tout ce monde c'est bien imprudent
- et devant sa fille n'en parlons pas - . Mes excuses. Chevalier ou Vicomtesse par ici ?
_________________
Blason en réfection - EN DEUIL ROYAL
Anicet
La foule grossissait, grossissait.
Venu de Compiègne, Anicet se sentait mal à l'aise. Il n'avait plus l'habitude de voir autant de monde d'un coup.

Le pire à craindre maintenant pour Anicet n'était plus le prix de ces beaux chevaux. Mais la concurrence.

C'était une belle vente certes, mais tout le monde ne trouverait pas son bonheur. Beaucoup allaient repartir comme ils étaient venu.

Anicet: lui le gueux, le palefrenier, l'écuyer à la rigueur allait-il pouvoir rivaliser avec toutes ces belles personnes. Bien mises et l'air altier?

Si les mules et les chevaux lui avaient appris une seul chose; c'est que souvent on tombe de haut on se fait bien mal. Mais on remonte toujours en selle.
Zoyah
La vicomtesse écouta la réponse qui lui était faite et en sembla plus que satisfaite. Le cheval landais, c’était un petit cheval solide avec une belle allure qu’on trouvait en Gascogne et en Guyenne, elle le connaissait bien. Le cheval Lusitanien était très semblable au genet d’Espagne. Voici, des origines prometteuses.
« Je vous remercie pour vos réponses Chevalier, je vais donc attendre pour le voir se déplacer.». La vicomtesse capta le salut de la duchesse Mathilde et lui rendit d'une sobre inclinaison du chef. Puis elle se recula afin de laisser à d’autres la possibilité de poser des questions et pendant ce temps-là, elle détaillait la monture qui lui plaisait. Ses valets étaient déjà venu lui faire part de leurs observations.
_________________
Millie.
Midouze etait donc une jeune jument. Voila qui eu pour effet de me ravir encore plus, d'autant que la petite description qui suivit me plut plus encore.
Il me la fallait ! Il me la fallait vraiment !

Aussi je souris à l'organisatrice


Merci à vous

et la laissais répondre aux autres interressés.
de mon coté, je trépignais. Il me tardais vraiment d'être à ce debut d'apres midi. que la vente débute.
Aussi, restais je là un moment, à contenter les superbes montures.
Il n'y avait pas à dire, l'on pouvait facilement voir qu'ils avaient été vraiment bien entretenus ici.

_________________
Eben_et_altan
La dernière fois que Maman nous a laissé une journée pour une affaire aux écuries, on a quelque peu détruit la cuisine de la Citadelle... Bon pas exprès hein, on voulait juste faire un gateau, et personne nous a dit comment fallait faire...

Alors cette fois ci, elle a été très claire : si on fait la moindre bêtise ,moi,Altan ou
Alrik, elle vend nos trois poneys, Chapi, Chapo et Crapule !
Autant dire qu'on s'est tenu à carreau toute la matinée. Mais boudiou qu'est ce que c'est long... On a joué un moment au chat, puis à la balle, puis aux Chevaliers... Mais le cœur n'y est pas, et puis on voudrait bien voir aussi la vente.
Alors sous prétexte d'aller rendre visite aux poneys, on prend la direction des écuries. Mais arrivés sur place, on apercoit de loin la foule et on entend encore plus le bruit, et forcément mon jumeau Altan fait la grimace, lui qui déteste les bains de foule.
Apres discussion, je le laisse avec Alrik aux écuries avec les poneys, et je cours jusqu'à l'ameutement et jusqu'à Maman. Mais bon elle est en train de présenter un des chevaux, alors je me contente de me glisser à coté d'elle, petit homme de huit printemps aussi noir de cheveux qu'elle, et d'attendre sagement. Avec un coucou de la main à la Princesse quand meme, of course ! Depuis l'épisode du marché, je l'ai vu de temps en temps,et elle offre des brioches meme !

Je regarde tous les gens et mon regard noisette tombe sur une jeune fille pas beaucoup plu vieille que moi, qui se tient bien droite et qui semble jouer à faire comme les grandes personnes. Moi je la regarde avec curiosité, surtout quand Maman me prend tendrement par l'épaule et en ébouriffant ma tignasse me glisse quelques mots à l'oreille.

Avec un grand sourire (un peu) édenté, fier de ma mission, je m'approche de la jeune fille


Bonjorn ! Tu t'appelles Tyara, c'est ca ? Moi c'est Eben ! Ou Ben ! Dis tu veux venir voir mon poney et les autres poneys ? Le mien il s’appelle Chapi, et c'est le plus courageux de la terre du monde !
Aimeryc.
La simple idée de se voir séparer de sa fille pour quelques jours était une véritable torture pour le normand qui venait à peine de retrouver sa petite fille chérie. - Elle aussi bien entendue était attristée par le fait de quitter son paternel. Elle aimait tant être près de lui, se sentant bien plus en confiance. - Mais pourtant il semblait que le destin en décidait autrement encore une fois autrement car cette dernière, sa fille, lui annonça un bon soir alors qu’ils étaient en taverne qu’elle s’était trouvée un boulot, ce qu’il lui avait totalement interdit quelques semaines auparavant. - Non pas un boulot mais la chance de sa vie, l’opportunité rêvé. Ce n’était pas un travail d’être près de Neyco, mais un plaisir.- Aussitôt les questions fusèrent alors la colère paternelle grondait. – Elle lui avait pourtant demandé de promettre de ne pas s’énerver, mais il râle toujours façon… - Il était furieux mais il ne voulait pas engueuler sa fille sans savoir ce qui l’avait poussée à lui désobéir et en comprenant les raisons, qu’il avait dû obtenir à force de question et de chantage, il sut qu’il avait fait le bon choix. – Après du chantage poussé oui ! Il l’avait obligé à se livrer à lui, avouer ses plus grandes hontes à son père. Cruel le Normand ! - Faisant taire sa colère, il se mit à demander pour qui elle travaillerait, ce qu’elle ferait et ce genre de question et c’est quand elle lui parla de Paris qu’il comprit qu’il allait devoir passer à la caisse. – Hiiiiiiiiiiiiiii Paris, le Louvres ! Allonge la Monnaie papa, je veux la vie de princesse ! - Non que cela le dérangeait, au contraire, mais ça allait être compliqué de trouver une monture parfaite pour sa fille qui n’avait jamais monté à cheval auparavant. – Bah en même temps si tu veux te faire pardonner ton chantage mon coco, tu as plutôt intérêt à trouver THE monture idéale !

Ayant promis à cette dernière de lui acheter une monture, il fit préparer quelques provisions pour un voyage de quelques jours pour prendre la direction d’une vente équestre faite par le fameux ordre royal du Saint Sépulcre. – Encore un voyage ! Il n’en avait pas marre de la trimballer d’un coin à l’autre du Royaume ? Mince c’est vrai cette fois c’était pour elle, impossible de râler - Comme il ne comptait pas faire ce voyage seul, il fit atteler une charrette puisque sa fille ne savait pas encore et prenant la route. Il lui fallut quelques jours pour se rendre au lieu de la vente et c’est arrivé qu’il remarque qu’il semblait y avoir une foule plutôt importante, attirée assurément par l’article qui avait paru dans le journal. – Tu as vraiment intérêt à allonger la monnaie, hors de question de repartir bredouille. Une promesse c’est une promesse ! - Attendant son tour, il finit par se présenter auprès de la personne qu’il croyait être la vendeuse.


    « - Bonjour ! Aimeryc de Courcy, Vicomte de Bernstein. Je viens pour acheter une monture pour ma fille ici présente. »


    « Bonjour Dame, je suis Geneviève de Courcy. J’ai grande hâte de découvrir les montures que vous proposez. »


Bah oui, quand il lui offre une monture elle veut bien lui faire plaisir et se présenter en tant que Geneviève. Observant de loin les chevaux, elle en montra rapidement un (le troisième) à son père.

    « Regardez celui-ci Père ! Il est magnifique n’est-ce pas ! »


Comment ne pas dire : Je le veux !

RP à 4 mains avec JD Mary
Shaomye
Et la brune d'observer le comportement de Mathilde avec sa fille. A croire que la petite craint quelque chose au milieu de tous ces gens.. Enfin il n'y a pas de mere qui ne soit protectrice, chacune à sa manière, et Shaomye le comprend parfaitement.

Tout dépendra, mais en effet ca risque de prendre l'après midi

Elle suit le regard de Mathilde, comme si elle lisait ses pensées, elle songe aussi que cela risque d'être long pour l'enfant.. bien pour cela qu'elle a laissé les garçons à la maison... avait laissé, en fait.
Parce que son ainé de 8 ans se glisse à coté d'elle, comme si de rien n'était. Amusée plus que fâchée, elle fait donc les présentations


Mathilde, je te présente mon premier garçon, Eben. Pour manger, tout est prévu, les domestiques ont tout installé juste là

D'un geste, elle désigne les tables puis se penche vers son fils et lui murmure quelques mots

Si tu permets, ta minote peut aller voir les poneys avec Ben, ils ne seront pas loin, et il y a toujours quelqu'un aux écuries pour garder un œil sur eux.

Pour la vente, hors de question d'un pugilat... la brune a réfléchi un moment à la question, et elle a reçu le soutien de ses Frères et Sœurs qui ont apporté leurs idées

Pour la vente, chaque cheval sera présenté rapidement, puis les personnes intéressées devront se signaler. Si une seule personne est intéressée, elle emporte la vente. Si plusieurs personnes sont intéressées, elles auront une minute chacune pour argumenter sur pourquoi elles sont les mieux placées pour obtenir ce cheval en particulier.

Drole de façon de faire, certes, mais la Lutine est une drôle de personne... Et c'est sa façon à elle de ne pas privilégier une bourse bien remplie face à d'autres moins garnies.

Un sourire à Zoyah et Millie, et un haussement de sourcil à Mathilde


Shaomye, c'est très bien. Mais si tu tiens au protocole... Ici je suis Maréchale, ou Chevalier, au choix.

Deux autres personnes arrivent, et la brune de se dire qu'elle devrait compter le nombre de vicomtes et vicomtesses ici présents !
Amusée par sa plaisanterie intérieure, elle les salue poliment


Bonjorn ! Soyez les bienvenus ! Vous êtes au bon endroit alors !

Elle suit le geste de la main de la jeune fille


Il s'appelle Suroit, il a du sang de cob irlandais, mais il n'a pas pris leur coté calme ! Il est assez facilement nerveux, mais si vous aimez la chasse ou les longues courses à cheval, il est idéal, prêt à tout donner au cavalier qui saura le canaliser ! 

Son instinct lui dit que la jeune fille n'y connaît pas grand chose, alors autant signaler rapidement le coté ardent du cheval qui lui plaît. Ils feront ce qu'ils veulent bien sur, mais en mère protectrice, la Lutine préfère prévenir que guérir...
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)