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[RP]Ordre Equestre dit vente équestre!!

Zoyah
Tic, tac, tic, tac, tic, tac....
Quoi ? Comment cela ? C’est l’heure de morguer l’adversaire et le grison restait muet ?!
La jeune femme se tourna vers lui, c’est bien la première fois qu’elle le voyait hésitant ou pensif alors qu’il s’agissait de prouver qu’il était le meilleur..
. « Oh, faites pas la gueule, hein. La blague des jarrets, ça vaut bien toutes celles sur les hippopotames.» ... elle a bien insisté sur le «toutes» et accompagna la phrase d’un léger sourire complice sur sa jolie frimousse. Elle finit par franchir les deux mètres qui la séparait de lui, prit appui sur le bras de l’homme et lui chuchota à l’oreille, au risque de se faire envoyer bouler .. « Iohann, vous avez tout pour vous. Vous êtes un homme d’armes qui menez des armées à la guerre depuis des années, Vous êtes un cavalier expérimenté, vous êtes chevalier, vous joutez régulièrement... avec vous, ce bel animal qui est loin d’être un bibelot, pourra exprimer toutes ses qualités de destrier, de cheval de guerre en somme. Qui plus est, j’ai de belles poulinières à Caussade qu'il pourra saillir lorsqu’il ne sera plus en âge d’être monté. ».. après tout, autant y gagner aussi. Un coup de coude vint clore le murmure.
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Sancte
Si Sancte Iohannes est relativement connu au sein du gotha de quelques sphères de ce monde qui valent le coup d'être approfondies par l'étude (les lettres, l'art des embuscades, la politique, la théologie, la branlette espagnole, etc.) il l'est beaucoup moins pour sa formidable fainéantise et son art consommé de bayer aux corneilles. Le coudoiement de la Novotny lui fait alors l'effet d'une cajolerie un peu trop brusque pour ne pas constituer un début d'alarme, lui intimant d'y aller, comme pour mieux le détromper de l'idée que sa supériorité, pourtant à ses yeux manifeste, allait de soi pour tout le monde.

« Arrêtez avec vos poulinières, ça me fait penser à Jojo dict "Riddikulus" et ses poulaines. »

Il est donc temps pour lui de mettre les pieds dans le plat et laisser éclater le vacarme de ses prises de parole rocailleuses.

« Le destrier est la monture par excellence du Chevalier. Le percheron est une race qui fait à elle seule le caractère remarquable des équins du Domaine Royal. Pour ainsi dire, nulle autre monture ne saurait mieux convenir à un Chevalier de France. Originaire de Normandie, il n'aura pas grande acclimatation à endurer, puisqu'il est voué à répondre aux appels de la Couronne & donc à résider en Île-de-France, aux bords de Seine, plus précisément sous le climat tempéré de la Principauté de Clichy.

Un coup d'oeil à la monture suffit pour voir que sa croissance est terminée et qu'il lui faut désormais un cavalier expérimenté prompt & apte à l'instruire & à tirer le meilleur parti des indéniables capacités que lui ont baillé la nature. Mon tempérament connu pour être audacieux, mais non téméraire, est objectivement on ne peut plus prompt à exploiter la fougue de sa jeunesse au service du Royaume & donc aux côtés des Ordres Royaux pour la défense de la grandeur du Lys.

En somme, me céder Galerne, c'est avoir l'assurance que ce destrier sera utilisé pour ce qu'il est appelé à être, soit un véritable destrier, au champ de bataille comme en tournoi, et non comme un simple palefroi de parade ou une haquenée d'agrément. »

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Maximilien_guise
Elle murmure et, lui, esquisse sourire. Puis, toujours à voix basse, il répond:

Malemort, si je dois « prendre » quelqu'un ici ce jour, ce ne sera personne d'autre que vous.

Et les incisives d'aller se planter dans la lèvre inférieure: à l'évidence, il n'envisage pas, mais promet plutôt. Trop de foin dans les parages! Trop de fougue sous les sabots! Son esprit, déjà, va au galop.

Mais d'abord, les affaires...

Sans surprise, celle à la cape d'argent et de gueules, réclame les arguments. Et sans surprise toujours, c'est le vieux Iohannes qui, en premier, ouvre le bec, histoire de souffler d'entrée ceux qui n'auraient eu que du vent à poser sur la balance.


Le sang de l'Implacable, donc, parle. Et, tout naturellement, un silence d'involontaire consentement suit l'intervention. Alors, après avoir lâché l'inévitable ricanement que lui inspirait la scène, c'est le fils du cousin qui se lève:


Oui, mais voilà: l'aurore est loin derrière, pour l'astre Clichy. On l'a vu briller comme à sexte, depuis près d'une décennie, et il me semble que none a sonné pour lui. Adonc, puisque les plus glorieuses heures du Resplendissant appartiennent à l'Histoire et que son grâcieux déclin est déjà entamé, m'est avis qu'il serait injuste de n'accorder au noble Galerne que le peu d'exploits qu'il lui reste à accomplir, avant de devoir fatalement tamiser Lumière.

Jeune, fort et vif. Ainsi avez-vous décrit la monture et ainsi devrait donc être le sien cavalier. Voilà pourquoi il doit rentrer avec moi et nul autre ici présent. L'avenir qu'il mérite, l'attend au Mans.


Ça, c'est dit. Et d'une légère inclinaison de tête destinée à Sancte – dont jamais il n'avait vu la tronche de rapace avant ce jourd'hui – il ponctue. Aurait-il dû ajouter un « en plus, j'sais où t'habites et, quand j'suis vexé, j'adore jouer avec des allumettes! », pour tuer en l'esprit de Shaomye tout éventuel doute? Boarf, non. Au pire, si la baraque crame, on prétendra avoir vu voler dragon...
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Sancte
Non mais les âneries contre lesquelles on est confrontés, parfois ... Comme on peut s'y attendre, le Chevalier refuse de voir son nom évoqué par un anonyme dont la prétention n'a d'égale que le dénuement d'exploits. Une attitude qui pour le grison, relèverait presque du blasphème, s'il n'était pas aussi doué pour faire usage du brandon.

« Le vieil Aigle monte toujours plus haut que le poulet qui prétend voler. »

Il est décidément difficile de tuer le vieil homme en nous. Au plus près, de la Novotny, il n'attend que le verdict pour se retirer en son palace et s'offrir en fraîche soirée la dégustation d'une poule au riz, cuite à feu doux. Il n'a jamais trop goûté la compagnie des hobereaux qui se gargarisent de la seule prestance de leur nom quand ils n'ont pas vécu la moindre dragonnade digne de ce nom dans une vie pleine d'oisiveté où le maniement de l'épée se fait davantage en des salles lambrissées que dans la boue des champs de bataille. En prime, il se demande si l'élection du nouveau monarque ne va pas le contraindre à déserter la Compagnie d'Ordonnance de Guyenne. Mais si il se complaît à servir la Couronne, il n'imagine pas le faire sans monture digne de ce nom.

« Quel "drôle" de mec ... » conclut-il en aparté à la jeune femme (i.e. Zoyah) sise à ses côtés.
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Ishtara
Elle aurait pu reconnaitre sa voix parmi tant d'autres. Son suzerain était là, et il se battait pour avoir la dernière monture. Elle avait hésité elle aussi, mais là, il lui était impossible de se lancer dans une lutte Clichy Monceau, ca finirait en torture encore !

Puis dans une taquinerie basse derrière lui.


Monceau voudra un poulain de ce destrier puisque je ne lutte pas avec vous alors qu'il me plaisait aussi. Gagnez le Mon Suzerain.

Un ordre ? Surement, allez savoir. C'est dans un sourire discret qu'elle resta non loin pour voir qui allait repartir avec Galerne.
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En cours de téléchargement...
Melissandre_malemort
Première étape? S'étrangler à la réponse de Maximilien et devenir rouge cerise en espérant que personne n'ai entendu si inconvenante proposition. La seconde, écouter, s'étouffer à nouveau face à son culot et écarquiller les yeux. La troisième, constater que comme d'habitude Clichy est entouré de jupons et songer qu'elle a bien peu de chance de remporter cette petite joute. Comme sur presque tous les points de sa jeune vie, la Malemort n'a ni pesé ses mots ni alambiqué ses phrases ni même calculer ses actes. Elle a parlé avec la folie de ses presque seize ans, du fond des tripes et exempt des fards qu'on acquière avec les années. Elle n'avait pas jouté avec les mots mais avec toute la fascination que lui procurait le cheval. Bon point? Pas sur.

Mélissandre était certes excellente cavalière et assez fougueuse pour dominer pareille montagne de muscle sans violence, mais elle le vouerait tout de même à une vie plus paisible que celle décrite par Clichy. Avec elle, l'étalon serait voué à cavaler et jouter mais surement pas sur champs de bataille puisque lors des attaques angevines, elle figurait parmi les archers. Qu'est ce qui était le mieux? Aucune idée, ce n'était pas à elle d'en juger.

Son coeur se serra douloureusement, mais elle ne dit rien, préférant loisir profiter de ces dernières minutes pour admirer encore le destrier et espérer à défaut d'autre chose qu'on le traite bien. Ce que Princesse veut, Frayner tente avec tout le culot qui est sien, et cela suffira, peut-être, à lui réchauffer l'âme si la bête devait lui échapper. Elle décoche donc un regard par dessous ses cils à "son" VF et sourit, toutes fossettes dehors, en songeant qu'il était d'une insolente beauté quand, comme là, il se montrait aussi hautain que son aïeul.

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Zoyah
Le dernier trait du grison lui arracha un fin sourire qui se dessina lentement sur ses lèvres. S’il pouvait effectivement avoir un côté vieux prof hiboux moralisateur, en revanche, il n’avait rien de la vielle chouette décatie. L'homme était au contraire plein de ressources en plus d'être d'une intelligence à vous faire sentir plus bête qu'un âne... ou qu'un hippo pour la Novotny. L’imaginer en pépé sénile sur le déclin, c’était bien mal le connaître. En bref, elle était toujours admirative devant son éloquence, mais il fallait avouer qu'elle avait depuis quelques années le compliment difficile, et ainsi, ne lui en faisait que très rarement part.

« Quel "drôle" de mec ...»


« Il est de la famille au Desbaumes, vous pensez ? Le petit côté grandiloquent et hautain, non ? Il vous connaît bien mal en tout cas... »... lui répondit-elle. En matière de conflits de générations, si on sait toujours ce qu’on perd, on ne sait jamais ce qu’on gagne. Tout nouveau, pas toujours tout beau. Visiblement le jeune coq avait bien de l’énergie à revendre mais avait encore tout à prouver, et sa litanie obséquieuse lui sembla absolument grotesque au regard de ses exploits encore inexistants. " j'ai l’impression de voir une limace morguer le lion qu’elle peut rugir plus fort que lui car elle, elle est jeune, et vive, et fougueuse !" Et blonde en plus ! Ah Ah ... ça, ça pose une limace . Cruelle sur le coup la guyennoise. Quant aux illusions, la vicomtesse ne s’en faisait pas beaucoup mais ça, elle se garda bien de le faire savoir au Prince von Frayner. Les dés étaient jetés. Galerne irait à qui le chevalier décidera. Quant aux jeunes coq, l'avenir dira s'il tiendra ses promesses.

La Comtesse Ishtara venait d’apparaître, touchant quelques mots à son suzerain et la Valençay qui n’avait pas encore remarquée sa présence à la vente avant, la salua d’une courte inclinaison du chef.
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Sancte
« J'ai l’impression de voir une limace morguer le lion qu’elle peut rugir plus fort que lui car elle, elle est jeune, et vive, et fougueuse ! »

« Il est vrai que je ne crois guère au critère d'égalité entre les espèces animales. Et je vous avoue avoir du mal à me représenter ce à quoi peut bien ressembler une limace fougueuse, mais je consens d'autant mieux à attribuer à cet animal emblématique toutes les qualités du monde que l'on ne sait toujours pas à quoi il sert. Un peu comme notre ami ici présent, en somme. »

Vu la vacuité du personnage, on est certainement pas près d'en tirer un morceau de gruyère. Il va alors à la rencontre de sa vassale passée jusque là inaperçue, avant d'avoir à disparaître de ces lieux une fois la bougie éteinte. Il constate qu'elle a visiblement, elle aussi, déboursé en son absence dans l'achat de la copie grandeur nature du cheval de Barbie Princesse au travers de Suroît. Le rêve d'enfant d'un certain nombre de femmes, on l'imagine. Mais trêve de mots d'esprits, autrement on ne l'arrêtera jamais. Discrètement, il s'incline pour la saluer avec rectitude en cet instant diffus, avec la déférence que l'on accorde à ses proches collaborateurs.
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Shaomye
Laissant les débats se faire et se calmer, la Lutine se fait Silence, pour écouter les divers arguments.
Tout le monde ne s'étant pas encore exprimé, elle décide d'attendre une minute pour trancher


dernier délai demain soir, le résultat de la vente sera annoncé samedi matin

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Ishtara
Ma Blanche Comtesse sourit en retour à la Vicomtesse de Caussade pour la saluer également avant d’être rejoint de son suzerain avec qui elle échangea encore quelques mots à cause de sa moquerie sur Suroit. Pendant qu’il la charriait, elle regardait la bougie qui se consumait lentement. Il ne restait plus beaucoup de temps avant de savoir si Clichy avait gagné le destrier.

Les émeraudes de la Comtesse étaient posées sur Galerne, sur la monture que Clichy risquait de ne pas gagner et de sa voix la plus basse elle s’autorisa à lui dire.


Je vous garderais un poulain de Suroit. Un joli poulain comme le Prince Ken pourrait avoir. Blanc… à la magnifique crinière pour devenir un Prince Charmant.

Et là, il fallait rester de marbre, surtout contrôler le rictus pour qu’il ne s’affiche pas, continuer de regarder la bougie, Galerne et les personnes présentes pour cette vente de chevaux. Mais ce qui était sûr, elle resterait jusqu’à la fin de la vente pour savoir si elle devait trouver rapidement une jument à Suroit.

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En cours de téléchargement...
Sancte
Tiens, qui donc est à la bourre ? Il lui est sorti de la tête que la concurrence luttant les uns contre les autres pour l'achat de Galerne est plus élargie que le fruste microcosme qui se regarde présentement avec des regards suspects. Reste que la Duchesse Mathilde semble s'être doucement absentée des enjeux depuis un bon moment déjà. Il se demande non pas si elle va prendre la parole, mais surtout sur quels critères va s'appuyer la décision du Saint-Sépulcre, tant il lui semble impensable que l'on livre un destrier sur l'autel du simple divertissement comme une vulgaire pouliche. À vrai dire, sa crainte est de devoir chercher une autre monture si son offre était refusée. Lorsque sa vassale s'avise de lui murmurer à l'oreille, le Prince remonte alors son tapebord pour l'écouter, et ainsi lui répondre.

« En matière de monture, vous vous douteriez bien avec un peu de jugeotte que la magnificence de la crinière m'importe peu. La couleur elle-même est assez superficielle, sans l'être tout à fait. Un cheval blanc convient ainsi très bien à l'hiver. Le petit Prince Ken, c'est ainsi que vous nommez votre fils ? Je ne me souviens plus. Vous feriez bien de lui conserver le poulain de votre Suroît, à lui ou à l'auteur du vol mystère du terrible MH370 ; pour ma part, je passe mon tour. »
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Zoyah
« Le roman de Renart ou les fables de Fauvel auraient pu consacrer un texte sur la victoire du gastéropode sur le félin. Quoiqu’il en soit, elles ont le mérite d’obliger le jardinier à se transformer en stratège afin de préserver ses laitues....»... un fin sourire s’accrocha à sa lippe satinée avant de tourner ses mirettes vers la bougie. Le prince s'éloigna pour papoter avec sa vassale, elle resta appuyée à sa balustre, attendant la sentence. L’engouement pour le destrier ne la surprenait pas, après tout, ces derniers étaient des montures de grande valeur, mais en ce qui la concernait, elle préférait largement les chevaux plus légers comme les coursiers. D’ailleurs, elle venait d’un acheter un qu’elle avait hâte d’enfourcher.
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Sancte
Pour un peu, les limaces du périmètre sentiraient planer sur elles l'oeil de Moscou. D'autre part, ce court intermède de sociabilité, si rares chez le Prince, ne le fait pas regretter d'être allé voir les Chevaliers du Saint-Sépulcre qui pour une raison ou pour une autre, avaient décidé de se séparer d'une dizaine de leurs bêtes. Pour la première fois, il ressent la lenteur de la bougie du Saint-Sépulcre, à s'éteindre, comme si, par attachement inavouable, elle désirait retarder le moment où les chevaux se feront monter par leurs nouveaux propriétaires.

« En somme, les limaces sont aux laitues du jardinier ce qu'Axelle est pour vos poules. Si ce n'est qu'il est nettement plus difficile de faire atteindre un état de démence à une salade. Je vous avoue cependant, dans ma coupable ignorance, n'avoir jamais lu ni le roman de Renart, ni celui de Fauvel. Je n'ai pas eu une jeunesse très studieuse, comme vous savez. »
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Shaomye
(imaginez un récit en mode commentateur sportif)


Le beau Galerne a décidément déchaîné les passions... reprenons ! Melissandre en prem's, Aimeryc et Mathilde à la suite, Sancte en out sider, Frayner en renfort.
La Princesse se chamaille avec le Normand, et donne ses arguments dans la foulée, dont le fameux «  Ce cheval est un astre, et il ne peut espérer mieux qu'une lunaire maîtresse. » qui a surement bien fait marrer la Lutine.
Puis au tour de Sancte. Des bons arguments le bougre. Le Blond enchaîne, ce qui provoque un nouvel échange générationnel.
Manque encore le Normand et Mathilde. Rien ? Auraient ils été mis k.o par les arguments de leurs rivaux ?
Eeeeeeet c'est terminééé !

Et la brune d’être face à un sacré dilemme, entre deux des acheteurs, écartant le troisième parce qu'il a déjà eu ses poulains et que bon déjà-trancher-entre-deux-merci-alors-trois !!
Les arguments se valent dans son esprit, mais elle ne peut décemment pas couper l'étalon en deux ! Elle se sermonne intérieurement de cesser de tergiverser et prend sa décision.


Galerne est vendu à Melissandre pour une bourse d'or !

Ça y est c'est fait les 10 bêtes proposées ce jour sont vendues.... Vrai que la Lutine a un pincement au cœur de les voir partir, alors qu'elle a passé parfois des années à leur coté. Mais les écuries du Sépulcre se sont bien développées ces dernières années, et vendre quelques chevaux est une bonne occasion de faire parler de l'Ordre, et de faire entrer du sang neuf dans la cavalerie
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Zoyah
- « Et bien, il semblerait que votre démonstration n’ait pas fait mouche...» ... dit la vicomtesse d’un ton passablement déçu, au von Frayner tout en épaules. Un sourire en coin marqua tout de même sa bouche charnue, l’air de dire « c’est pas grave, vous en trouverez bien un autre». Elle n’avait pas entendu la tirade de Melissandre et en conclut qu’elle avait dû déployer des trésors d’arguments et regrettait de ne pas savoir lesquels. Cela pourrait être utile au cas où il y aurait une autre vente. Iohannes devait probablement être mécontent car c’était bien la première fois qu’elle le voyait s’adonner à la rhétorique pour remporter le droit d’acheter un animal. Elle tourna son minois afin de voir ses gens tenant Jewel et sa robe si particulière, par la bride, prêts à rentrer à Caussade.
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