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[RP] Forêt de Labrit

--Persona


Une ville étrange... moins vide que Mont de Marsan, et halle pourtant bien plus désertée.
La silhouette ne s'est pas attardée en ville.

Trop de personnes susceptibles de la voir. Et qu'elle ne tient pas forcément à croiser.
Elle a seulement pris quelques minutes pour faire un tour au marché : de la viande, c'est toujours utile. Elle doit se remplumer, s'entraîner, se fortifier, aussi bien physiquement que mentalement.
La jeune fille n'est plus aussi mourante que lorsqu'elle se trouvait dans le Béarn, mais on ne peut pas vraiment dire que ce soit la grande forme. Et la mine n'aide en rien.

Direction la forêt, donc. Du calme, des bestioles à chasser, de quoi boire, que demander de plus ?
Ah oui, lui.. il est déjà parti. Elle le rejoindra plus tard. On ne peut pas dire qu'elle soit une personne pressée de quitter ces terres. Aujourd'hui est vraisemblablement son dernier jour ici.
Alors elle savoure. L'odeur de la mousse, la vue au loin de l'Église un peu noircie par d'anciennes flammes, et surtout, les pins. Tous les bûcherons se précipitent sur les chênes et autres sortes d'arbres dont le bois est recherché.

Pourtant, ce qui est le plus caractéristique des landes, par ici, ce sont les pinèdes, les groupes de conifères ici et là.
Leur odeur qui envahit toute la forêt, la résine qui reste collée sur les doigts, les aiguilles qui jonchent un sol aride... On est loin des forêts touffues des régions plus au Nord, loin d'une dominante verte parmi les notes de couleurs.
Du beige, du brun, du kaki, un peu de vert. Camaïeu de couleurs trahissant une région encline à la sécheresse.
Peut-être pour ça que Labrit a longtemps été la ville la plus pauvre de la région, en laissant de côté la mauvaise gestion.

La jouvencelle relève la tête lorsque les bois se teintent d'une lumière dorée. Le crépuscule... elle va devoir partir.
Le suivre sur la route, lui, tout en restant discrète, qu'ils n'attirent pas l'attention.
Se contenter d'être son ombre, et veiller à ce qu'il n'arrive rien de fâcheux.

Elle se tourne une dernière fois vers l'ouest. Plus de Béarn, plus de Gascogne, plus ce Sud qui l'a vue naître.
Ne plus les voir...

Adieu. Pour de bon, je crois.

Mis en annonce par {M}
Sandrine76
Sandrine avait quitté le campement de ses partenaires mimizannais avant le petit déjeuner... le meilleur moyen pour l'éviter sans doute... et s'était dirigée vers la Mairie pour le prêt d'une hache. Il y en avait de plus en plus, ce qui était bien car on ne les accuserait pas de voler le travail des Labritois. Après avoir remercié le prêteur, elle se dirigea vers la forêt, le fameux outil à la main.

Elle vérifia sa besace... un peu de farine, de l'eau et un fruit, au cas où une petite faim la tenaillerait. Parfait, elle n'avait rien oublié...

La brume matinale recouvrait quelque peu encore la cime des arbres lorsqu'elle pénétré dans la forêt. Des papillons blancs virevoletaient dans tous les sens, annonciateurs d'une belle journée chaude et ensoleillée. Une petite brise vint lui apporter de quoi réveiller son sens olfactif. Elle ferma les yeux et respira l'air à plein poumons. Une odeur de sapin vint lui remettre ne mémoire que son premier voyage à Labrit, il y a quelques mois, en avait été la cause.


Tout en continuant son chemin, elle aperçut par ci par là bûcherons et bûcheronnes déjà au travail. Le bruit des coups de hache résonnait de moins en moins fort au fur et à mesure qu'elle s'enfonçait dans la végétation luxuriante de la ressource de Labrit.

Après avoir regardé autour d'elle, elle aperçut un chêne sur lequel elle jeta son dévolu. La semaine était presque finie, et elle voulait gagner ce concours qu'elle avait lancé à la dérobée envers ses compagnons. Elle s'approcha de l'arbre majestueux, posa sa main contre l'écorce et lui murmura comme s'il pouvait l'entendre... à nous deux mon tout beau!

Elle noua sa chemise sous sa poitrine, remonta ses braies jusqu'à mi-cuisses et releva ses cheveux à l'aide d'un ruban. Elle recouvra l'intérieur de ses mains avec un peu de farine pour empêcher la hache de glisser lorsque ces dernières seront moites sous l'effort. Il s'agissait de ne blesser personne avec un geste malheureux... manquerait plus que ça !! Qu'elle se blesse elle, passe encore mais pas les autres... Ce n'est plus au voleur qu'on crierait mais à l'assassin!!!

Elle attrapa le manche de sa hache de ses deux mains, se positionna jambes tendues et se mit au travail sans attendre tout en espérant que ses compagnons la trouvent et la rejoignent.
_________________
--Ny.x



Là.
Omnisciente.
Omniprésente.
De la genèse à l’apocalypse elle est et sera.
Elle a vu ce monde naître et elle le verra s’éteindre.
Comme tant d’autres.
Elle a l’éternité devant elle, rien ne l’atteint ni ne la touche vraiment.
Son immatérialité la protège, sa conscience elle s’émoustille pour ses enfants.
Ceux dont elle revendique la légitimité, qu’elle observe de sa hauteur céleste.


Le Capitaine et la rouge sont en attente, en pause, cherchent toujours, se cherchent toujours. Serait-ce la peur qui fait qu’ils n’osent, la crainte d’une nouvelle déception…
Elle attend elle aussi la conclusion de ce rapprochement si ardemment désiré pourtant de chaque côté.
Curieuse de les voir à l’unisson.
Enfin.


Très loin une Rose continue de flétrir à son rythme, elle fane sans même s’en apercevoir.
Dernières palpitations d’un cœur rongé par l’amertume et l’apathie.
Ceux là ont perdu de leur saveur, l’intérêt qu’elle a pu leur porter s’amoindrit.


D’autres cœurs qui battaient de concert suivent désormais leurs routes, séparés mais sans jamais démordre de la tâche qu’ils se sont fixés.
Elle leur offre son voile protecteur, nimbe les environs en masquant l’éclat de la Lune.

Ses enfant continuent d’œuvrer à leur temps dans l’ombre.
Oubli et Destinée se croisent, c’est écrit. Liées à jamais… et pourtant…
Léthé ne saura combien sa Sœur fut proche ce jour là. La Tisseuse étend sa main et s’en va, ombre fidèle d’un autre sur lequel elle veille silencieusement.
Celui là est aussi l’un des siens, qui s’ignore.
Il est à elle, ils le sont tous…


Son esprit concentré sur cette âme qui s’entête, désireuse d’offrir un renouveau, une renaissance aux autres, passage obligatoire par le fleuve rédempteur mais ceux là refusent, pauvres aveugles qu’ils sont, préparant représailles à son encontre.
L’âme pure en sera blessée à coup sûr… mais en sortira plus forte, et eux… salis.

Les scènes se mettent en place, à mesure que le sable s’écoule lentement dans la clepsydre…
Elle attend le dénouement, curieuse, toujours, de voir comment ses enfants vont réagir…
Bientôt la pièce sera donnée.
Kyera
Kyera qui aime beaucoup aller se promener dans tous les forêts des endroits qu'elle visite, décida en se levant ce matin d'aller y faire une petite balade. Elle prit son carnet de voyage qu'elle garde toujours pres d'elle, prit sa plume, son encrier et partis dans les chemins de la forêt. Enfin heureuse d'avoir quitter l'orphelina et d'avoir rencontré l'homme de sa vie elle fut pris d'inspiration en voyant un tronc d'Arbre qui donnais l'impression d'etre un bac tres confortable pour s'y installer et mettre sur papier ses états d'ames dans son carnet de voyage .

*comme il fait beau, et les abres son gigantesque ici !!! sur cette souche d'arbre, je serai tres confortable pour faire un petit arret histoire de prendre un peu de temps au calm pour moi! *

seul le clicotis des oiseau et le bruit des feuilles dasn les arbres emporta Kyera dasn le plus profond de ses pensées...

Elle laissa aller sa plume au gré du vent qui la berce :

Long voyage de ma vie...

Mon chemin devant moi se trace,
Devant moi tout est vide,
Je me mène à une nouvelle vie,
Un changement qui me ravie…

J'ai tant vécu déjà,
J'en suis fatiguée.
J'ai tant vécu déjà,
Je veux m'envoler.

J'ai peur, mais je ne sais que survivre,
Le plus beau est devant moi,
Mon espace était trop réduit pour vivre,
Mon cœur est en émoi…

J'ai tant vécu déjà,
J'ai eu ma dose.
J'ai tant vécu déjà,
J'en fais une overdose.

Mon cœur n'en peux plus de vouloir aimer,
En si peu d'années, tant de choses.
Maintenant je peux m'en aller,
Maintenant je le souhaite, le propose et je me suis en aller…

J'ai tant vécu déjà,
Je suis prête pour le long voyage.
J'ai tant vécu déjà,
Laissez-moi tourner ma page…
Laisser moi vivre enfin ma vie...

*Terminé ! *

Elle rengea ses choses dans son sac, et ferma les yeux un petit moment histoire de savourer encore quelques minutes le bon moment qu'elle vit quand elle se fit réviellé d'un coup par les pilasse d'une petite bestiole étrange qui lui grimpait dessus. Elle ouvrit les yeux et vit un écureil sur sa cuisse qui la regardais trenquilement et curieusement. Sans bouger elle sortit une cacahouette de sa poche comme si c'était ce qu'il attendait, l'écureil la prit doucement et s'éloigna. Sur ce, Kyera se leva et reparti sur son chemin pour rejoindre son amoureux qui l'attendais pour quitter Labrit direction Mont-de-Marsan...
Cymoril
Une fin de journée comme toutes les autres…

Elle avait senti une certaine lassitude la gagner. Evidemment, Labrit l’usait, même le fait d’entrer dans une taverne et d’en faire fuir un vieux bouc l’avait amusée en début de journée, cela ne suffisait guère à occuper son esprit toute une journée.

Heureusement lui restait les études. Mais même ça commençait à devenir lassant, surtout que la brunette arrivait sur la fin et se demandait déjà ce qu’elle allait bien pouvoir faire par la suite. L’étude de la médecine l’avait toujours tentée, et elle avait en avait déjà acquis de sérieuses bases, toujours utiles sur un champ de bataille. Dommage que les cours soient d’un ennui et d’une platitude telle que les étudiants avaient tendance à s’endormir.

C’est en pensant à tout cela et bien d’autres choses encore qu’elle mena son étalon à travers les sentiers, plongeant au cœur sombre de cette forêt dont elle connaissait chaque sente, chaque rocher… Arrivée devant l’endroit où elle avait enterré ce frère la Fourmi mit pied à terre. Rien n’avait changé.

La jeune labritoise effleura la roche du bout des doigts, un sourire nostalgique aux lèvres. Les lettres de sang avaient été effacées depuis longtemps par la pluie, mais peu lui importait, elle savait ce qu’elle avait écrit et qui dormait là, et c’est tout ce qui lui importait. Le reste était inscrit dans sa chair.

Tirant Bagual par sa longe, elle continua de cheminer, se réappropriant lentement son domaine. Les odeurs, les bruits…Tout lui avait manqué. Et tout lui manquerait certainement bientôt lorsqu’elle aurait définitivement quitté la Gascogne. Certes elle trouverait bien d’autres forêts sur son chemin, et nul doute que là où elle se rendait elle aurait tout loisir de se retrouver un coin aussi reculé que sa clairière, mais elle avait tant de souvenirs en ces lieux que c’est un peu d’elle-même qu’elle abandonnerait en quittant Labrit.

Atteignant enfin la clairière, elle mène le camarguais jusqu’à l’eau pour qu’il s’abreuve avant de le débarrasser de ses sacoches et de la hache accrochée à la selle. Qu’il vaque tranquillement, il n’allait jamais bien loin de toute façon, et lui signalerait la présence de quiconque approcherait.

Gagnant d’un pas léger la souche d’où repartent quelques branches, elle y dépose ses sacoches, conservant un instant la hache en main. Souvenir précieux de la Châtaigne, relique de la prise de Bazas, dont elles s’étaient servies au bord du lac de Genève pour éloigner les importuns reluqueurs de donzelles en pleine activité baignade. Finalement elle prend le parti de la laisser à portée de main au cas où. Les temps sont troublés en ce moment en Gascogne, et il vaut mieux rester alerte.
D’ailleurs, le vol majestueux du rapace planant dans le ciel la réconforte. Deux guetteurs valent mieux qu’un.

Bien mérité cet instant de calme, de repos. Elle délaisse l’armure, le bouclier et l’épée, puis se déshabille. Nue, mais il fait encore si chaud. Peu à peu son esprit s’apaise. Elle s’étend sur le sol moussu de la rive. Les fenêtres de ses sens s’entrouvrent peu à peu pour laisser entrer les ondes bienfaisantes. Orteils en éventail, elle respire calmement. Repos, bien-être… Un regard sur le petit lac formé à cet endroit, y cherchant quelques poissons facétieux qui l’inviteraient à venir se baigner…

La Fourmi se lève et plonge, savourant immédiatement la fraîcheur bienfaisante de l’eau. Quelques brasses l’éloignent un peu plus de la rive, elle laisse les vaguelettes caresser sa peau avant de s’enfoncer entièrement dans les profondeurs vertes. Là, la brunette s’amuse à tenter de débusquer ces petites choses à écailles brillantes, tendant la main pour les effleurer et les voir filer à toute vitesse.
Elle joue. Retournant à l’air libre d’un mouvement souple, elle reprend son souffle. Sourire aux lèvres. Bon sang ce que ça lui avait manqué. Il ne manquerait qu’un bucheron berrichon et ce serait presque parfait. Tiens, revoilà qu’elle pensait à lui… ca faisait longtemps, ou pas, il ne quittait jamais véritablement ses pensées, même si elle tentait de ne pas se laisser submerger par le manque provoqué par son absence. Positive attitude en attendant son retour et le déménagement.
Elle replonge et reprend ses jeux aquatiques, provoquant éclaboussures et bruits bouleversant la quiétude habituelle des lieux. Elle sait pertinemment ce que penserait le quidam passant par là. Qu’une foldingote a pris ses quartiers d’été en ces lieux.
Ce ne serait pas loin de la vérité ceci dit, ou très éloignée… Tout est toujours une question de point de vue de toute façon.
Elle est libre, se contrebalance de ce qu’on peut dire dans son dos et entend bien continuer d’être ainsi qu’elle a toujours été, n’en déplaise à certains. Ainsi continue-t-elle son manège un long moment, jusqu’à sentir le jour décliner sérieusement.

Alors elle sort de l’eau et attrape sa cape, dans laquelle elle se blottit le temps de sécher. Sa longue chevelure brune dégouline, hirsute, et elle ronchonne toute seule rien qu’à l’idée de devoir démêler tout ça, tordant ses cheveux pour les essorer au mieux avant de se lever et fouiller dans ses sacoches pour en extraire chemise et braies. Ras l’bol des fanfreluches pour faire demoiselle bien sage ou conseillère ducale bien éduquée. L’habit ne change rien à ce qu’elle est.
La Fourmi… ni plus ni moins.

Elle se glisse dans ses vêtements propres puis s’installe en tailleur sur la souche, hache maintenant appuyée contre le bois, puis entreprend l’exercice douloureux du débroussaillage de tignasse à l’aide de son peigne en ivoire et à grands renforts de "Aïe, ouille" et autres grommellements de rigueur.
Une fois la pénible tâche accomplie et ses cheveux emprisonnés dans une tresse serrée, elle extrait quelques fruits de ses affaires et entreprend de les croquer tout en laissant le crépuscule tomber lentement dans la clairière.

L’air est doux et les racines du vieux chêne lui semblent toujours aussi accueillantes. La brunette s’y installe, quelques feuillets pour compagnie en ce début de soirée, le sommeil pourra venir plus tard, elle n’en a cure, elle est bien là où elle est, sereine, et son canasson qui s’est rapproché et dont elle a pris soin d’attacher la longe à une branche basse tout près est là, tout comme Hawk qui après avoir attrapé un dernier poisson imprudent s’est posé sur la souche pour le dévorer. Tranquille et certaine de le rester.

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Hadelize
Ils étaient arrivés ce matin tout heureux de ne s‘être pas perdus. Ils se tenaient la main pas encore habitués ni l’un ni l’autre, à ce sentiment de bien être qu’ils ressentaient quand ils étaient ensemble.

Ils se regardèrent, eurent un sourire complice et Crackity avança dans le village comme s’il le connaissait. Ils arrivèrent près d’une échoppe de boulanger où ils achetèrent quelques petits pains qui sortaient du four.

L’odeur les mit en appétit et ils cherchèrent un coin tranquille pour se reposer un peu et manger.

Dany aperçut les grands arbres et ils prirent le chemin de la forêt, c’était son domaine, son refuge la forêt depuis toujours.
Il faisait encore frais, les rayons du soleil ne passaient pas encore dans l’épaisseur des branches. Ils marchèrent un moment en devisant et elle s’arrêta soudainement, le regardant en souriant

Regardes, ici sous ce grand pin on sera bien et puis j’ai faim !

Elle sortit de sa besace le petit carré de tissu qui ne la quittait pas, le disposant sur la mousse encore humide et s’assit en poussant un grand

ouf ! ho ça fait du bien de s’asseoir.
Elle se laissa aller à la renverse, s’allongeant de tout son long en éclatant de rire.
Elle était heureuse de vivre, heureuse de ces jours passés à ses cotés.

Le soleil devenait plus chaud




Elle regardait le ciel à travers les feuilles, le visage radieux. Elle se sentait vraiment bien depuis quelques jours, elle ne voulait pas penser au lendemain, pas encore.
Profiter de sa présence jusqu’à la dernière minute et passer une journée près de lui, c’était tout ce qu’elle voulait.

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Crakity
Dany avait déniché LE coin tranquille de Labrit. Le soleil encore chaud de la fin de l'été était agréable, Crakity enleva ses bottes et se mit torse nu puis s'installa sur la couverture.

Dis, si on allait boire une petite mousse après ce petit repas?
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Hadelize
Dany mangeait le pain en regardant Crak s’installer. Il était musclé le messire. Elle se rappelait de son postérieur qu’il lui avait exposé et…….. les pectoraux étaient bien développés aussi.
Il s’installa auprès d’elle


Dis, si on allait boire une petite mousse après ce petit repas?

Elle lui ré&pondit en finissant d’avaler la dernière bouchée

Déjà ! on se repose encore un peu enfin si tu peux tenir encore un petit moment sans bière
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Crakity
Crakity sourit en regardant Dany.

Toi tu veux hein massage?

Il éclata de rire et s'approcha de Dany, s'asseyant dans son dos. Il dénuda ses épaules et la massa délicatement en l'embrassant dans le cou.

Oui, je peux me passer de bière...Surtout si je m'occupe de toi...
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Hadelize
Il s’installa derrière elle et commença à passer ses mains qu’il savait rendre douce dans son dos. Elle ferma les yeux profitant de cet instants où il s’occupait d’elle.

Elle aimait ses massages qu’il savait rendre efficace et sensuel en même temps.

Il l’embrassa dans le cou et elle frissonna.

Elle tourna la tête pour le regarder et elle lui sourit


Que j’aime tes massages ! et quand tu veux on va boire cette bonne mousse !
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Pattricia
Arrivés à l'aube, il avait suffi de s'enfoncer un peu dans la forêt pour arriver dans une clairière bordée par un ruisseau. Décidément Truffe a le don de nous trouver les bons coins Mari. Descendant de cheval, j'attire ma monture vers l'eau chantante et la laisse se désaltérer.

Je propose un partage des tâches, je m'occupe des chevaux et des mules, Mari et Mélie du camp et toi Lec du bois. Notre installation sera plus rapide et je pourrai partir chasser notre déjeuner de ce midi plus vite. Posant mon arc en appui contre un arbre, je libère les montures de leurs harnachements et autres paniers.
Mes petits anges dorment encore et Mélie pose délicatement leurs paniers au sol. Le loup se précipite, reniflant délicatement ses protégés et vérifiant que tout va bien. Tu pourrais nous faire confiance pour prendre soin de mes enfants Truffe, tu es responsable de leur sécurité d'accord, mais jusqu'à preuve du contraire la mère c'est moi et la nounou c'est Mélie !
L'air un peu guindé, il s'éloigne pour renifler les alentours et nous partons d'un bon rire matinal. Souriant encore des mimiques de mon compagnon de toujours, je me mets à bouchonner les bêtes...

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Tamara_melodie
Mélo et Leny marchaient serrés l'un contre l'autre en plein coeur de la forêt, Elle frissonait l'air était frais et humide .
De temps en temps ils s'échangeaint des baisers passionnés et se murmuraient des mots d'amour.

" je t'aime mon coeur, tu es mon grand amour être avec toi est un enchantement" lui murmura-t-elle à l'oreille

Il la laissa passer un peu devant et lui tapota les fesses, Mélo d'abord surprise puis rieuse :

"ohhhhh Leny ! Mon coeur tu es une canaille mon coeur ^^"Lui dit-elle en se tournant
Elle revint se serrer contre lui et profita de lui pincer les fesses doucement.
Lenyka15
Leny adorait les taquineries de sa Mélo d'amour, il ne vit pas une souche , dans sa chute emporta Tam avec lui.......

Ils tombèrent dans la mousse accueillant et douce, se regardèrent, d'un sourire complice ensemble se dire....

"c'est un signe du destin", ils rirent de bon coeur, puis se regardèrenr serieusement....

Oui c'est un signe du destin Aristote veut que nous fassions descendence....

Leurs lèvres se touchèrent, leurs mains en firent tout autant........

Avec la lune pour témoin, leurs corps entrèrent en communion pour créer l'enfant roi qui couronnera leur amour.......

Aux bruits étranges de la nuits, des gemissements se mélaient.........

Au petit matin, ils reprirent la route pour le village tout proche.......


Leny
Tamara_melodie
Mélo se sentit entrainée dans la chute et se serra contre Leny :

"HHHHHHHHAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaa"S'écria-t-elle en riant

Ils roulèrent l'un contre l'autre.

"c'est un signe du destin", ils rirent de bon coeur, puis se regardèrenr serieusement....

Mélo Frémit en sentant les mains de Leny la carresser, ces carresses lui procuraient de long frissons de désir.....

Avec la lune pour témoin, leurs corps entrèrent en communion pour créer l'enfant roi qui couronnera leur amour.......

La beauté du lieu enchanteur eurent tôt fait de les emporter dans un monde de plaisir, ils s'unirent avec une grande complicité et ne firent plus qu'un.

Dans la nuit résona un duo de voix faisant acte d'un plaisir accomplit....

Il restèrent serrés l'un contre l'autre profitant d'être si proche et flottant dans un bonheur immense.....

A la lueur de l'aurore, ils réajustèrent leur vêtements, Leny décrocha de la mousse sur les cheveux blonds de Mélo et remit en place quelques mêches rebelles qui témoignaient de leur ébats....

ils marchèrent jusqu'à la ville en ne cessant de se caliner et témoigner leur fort amour qui les unissait à jamais, heureux d'avoir peut-être conçu
la vie......
Tailore


Elle pénétra dans la foret avec sa fille, jade


dans cet espace magique la mère et la fille jouaient ensemble

"Maman, je suis contente que tu sois revenu"

Tailore pleurait de joie, elle lui fit un bisou, et elles partient se promené
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