--Ferrand_le_forgeron
la route avec le Roy des Thunes, ce colosse impressionnant ne fut pas des plus reposantes. Les deux comparses, l'ancien bagnard et le jeune apprenti forgeron à califourchon sur leurs mules, avaient quitté la Lorraine pour rallier le camps des brigands en vue de délivrer la duchesse. Les deux comparses s'étaient connus quelques heures plus tôt quand Ferrant, renvoyé à ses affaires par les gardes lorrains cherchait affolé le moyen de prévenir le castel de l'endroit où était retenue la duchesse.
Il avait en effet réussi à suivre la virée sanglante des Rats jusqu'à Troyes, il fut témoin des atrocités infligées aux villageois et fermiers rencontrés sur leur passage. C'est donc choqué qu'il s'était présenté au castel lorrain, mais sa triste mine inspirait plutôt la méfiance que l'écoute.
La rencontre fort propice du Le roy des thunes le réconforta et une fois les armes dérobées chez son patron le forgeron, les ânes récupérés chez une matrone qu'il détestait, ils étaient partis tous deux. Arcs, flèches, fléau, épées et bâtons, ils étaient prêts à en découdre s'il le fallait.
Il leur fallu pas moins de deux jours pour arriver non loin du campement. Non loin de celui-ci Ferrant fit signe à son compagnon mettant un doigt sur la bouche, de faire silence.
Ils planquèrent les ânes dans le bois voisin et se mirent à ramper en direction du camp. Ils y observèrent les gardes, les tentes, et virent la duchesse baillonnée qui tentait de crier. Elle ne semblait pas leur rendre la vie facile.
Au signal de tête convenu entre eux deux, ils s'en retournèrent en arrière aussi discrètement qu'ils s'étaient approchés. Il leur fallait se planquer et réfléchir au moyen d'agir.
Il avait en effet réussi à suivre la virée sanglante des Rats jusqu'à Troyes, il fut témoin des atrocités infligées aux villageois et fermiers rencontrés sur leur passage. C'est donc choqué qu'il s'était présenté au castel lorrain, mais sa triste mine inspirait plutôt la méfiance que l'écoute.
La rencontre fort propice du Le roy des thunes le réconforta et une fois les armes dérobées chez son patron le forgeron, les ânes récupérés chez une matrone qu'il détestait, ils étaient partis tous deux. Arcs, flèches, fléau, épées et bâtons, ils étaient prêts à en découdre s'il le fallait.
Il leur fallu pas moins de deux jours pour arriver non loin du campement. Non loin de celui-ci Ferrant fit signe à son compagnon mettant un doigt sur la bouche, de faire silence.
Ils planquèrent les ânes dans le bois voisin et se mirent à ramper en direction du camp. Ils y observèrent les gardes, les tentes, et virent la duchesse baillonnée qui tentait de crier. Elle ne semblait pas leur rendre la vie facile.
Au signal de tête convenu entre eux deux, ils s'en retournèrent en arrière aussi discrètement qu'ils s'étaient approchés. Il leur fallait se planquer et réfléchir au moyen d'agir.