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[RP] Ouvert - Les Bains Publics

Vivia
[Dans le baquet de Tire Laine]

Soupire d'aise. Là, immergée dans l'eau, les marques masquées par l'opacité de l'eau trouble, elle inspire doucement, s'apaise. Aux mots du Barbu, elle esquisse un sourire amusé. Légère pause alors que la servante vient apporter un plateau comportant du vin, des fruits et quelques sels de bains. L'hygiène était importante pour la Sicilienne et pour cause, c'était bien la seule raison pour laquelle ces bains étaient publics et à la portée des Miraculés. Loin de l'idée selon laquelle l'eau pénétrait les pores, asphyxiait le corps et l'esprit, l'eau restait le seul moyen d'offrir au corps, l'occasion d'être nettoyée de la crasse environnante, celle des Miracles.

D'un geste, la main s'extirpe de l'eau, s'empare de la bouteille de carmin et des deux verres qu'elle remplit à moitié. Elle en tend au mâle et se contente de boire quelques gorgées du sien avant d’apposer de sa main libre, un peu de sel sur sa jambe qu'elle tend hors de l'eau pour la frotter de sel.

Je suis la propriétaire des bains et du bar à Opium. Et sinon, je suis la fille du Barbier Fou. J'ai repris son cabinet et j'aide au mieux les Miraculés..D'où le surnom de Mère des Rats qui est très..proche de la vérité..En dehors de ça et une fois les effets sur le dos, je ne suis qu'une blonde commune, sans cicatrices, sans vécu et même sans maux si j'arrive à taire les quelques voix qui résonne entre mes tempes...Charmant non ?

La description est concise. Le Barbier Fou n'était autre que ce fêlé qui s'était amusé à dépecer, à exercer quelques expériences sur d'anciens patients résidant hors de ces murs et qui laissait les corps joncher les pavés de la capitale. Loin de s'être fait prendre, seule son épouse avait été exécuté en place public. Quant à elle, gamine, elle n'eut pas d'autre choix que de survrire, jusqu'à ce qu'elle décide de retrouver le Cabinet et d'y pratiquer la médecine..Ho, la Prévôté n'aura pas mis longtemps pour lui mettre la dessus, la cloîtrer des mois durant, la torturer des mois durant pour obtenir des informations sur son père...Mais qu'en savait-elle, elle l'a toujours craint, toujours hait..Et depuis sa couche jusqu'à son ventre, il avait tout fait pour pourrir sa vie et arracher le peu de naïveté dont elle était dotée. Les Miraculés connaissent cette histoire, ce conte sordide..Qui loin de n'être empli de vils passages inventés, était aussi vrai que les troubles dont elle était dotée.

Désirez-vous que je m'occupe de votre barbe et de votre tignasse ? Après tout, je suis sûre que cela serait plus..flatteur.. Taquine, garce dirait certain, la Bicolore s'enfile quelques gorgées avant de reposer le carmin et de frotter l'autre jambe, qu'elle tend sa pudeur pour en avouer le galbe et le teint hâlé.

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Tire_laine
    Avec Vivia dans le Baquet


Le verre est saisit, une gorgée est but, le liquide carmin apprécié, les yeux toujours portés sur la présence féminine à ces côtés. Une jambe s’étend près de lui, son regard se détourne vers celle-ci, parcourt son galbe, son sourire traduit qu’il apprécie le spectacle. La blonde reprend la parole, se présente, c’est donc la propriétaire de l’établissement. Fille du Barbier Fou. Le regard de Tire laine quitte la jambe pour se planter de nouveau dans ces yeux. Le Barbier Fou, voilà un nom qu’il reconnaît, un nom de son époque. Il ignore ce qu’est devenu le barbier, lui-même ayant disparu des horizons avant la fin de son règne, en revanche sa curiosité est d’avantage titillé.

Sa bouche s’ouvre pour poser les questions qui lui brûlent à présent les lèvres mais la mère des rats n’a pas fini, elle se propose de s’occuper de sa barbe et ces cheveux. Par réflexe une de ces mains parcours celles-ci, elles ont en effet bien besoin d’un rafraichissement, mais laissera-t-il la fille du Barbier Fou approcher une lame aussi près de son cou ? Cela serait-il vraiment prudent ?
Un sourire en coin se dessine sur ces lèvres, la méfiance se mêle à l’intimité du moment, donnant à la proposition une dimension bien plus cocasse.
Tire laine hoche la tête doucement, et parle enfin.


- Je laisse ma tignasse et ma barbe entre vos mains experte, tant qu’il m’en reste assez pour ne pas ressembler à un puceau imberbe.

Il se redresse légèrement, ne cache nullement l’intérêt qu’il lui porte. Elle lui a dit qui elle était, mais ne lui a pas donné son nom. Tire Laine sait que pour obtenir un nom, il faut souvent en donner un.

- Je me nomme Jean, mais en ce lieu l’on m’appelait plus souvent Tire Laine. Vous m’avez dit qui vous êtes, mais j’ignore en revanche toujours votre nom...

Elle mène la danse, mène la conversation, Jean en a conscience, mais cela n’est pas pour lui déplaire, il se demande ce qu’elle veut, et ou leur discussion va les mener. Etrangement cela l’amuse même. Il n’a que rarement croisé des femmes de sa trempe. Lui qui avait plutôt l’habitude de manipuler ces dames, leur faire croire mont et merveille pour les attirer dans son lit et repartir avec leur bourse et leur bijoux.
Une autre gorgée est avalée, plus longue celle-là, puis le verre reposé. Ses yeux sont toujours posés sur elle, l’amusement se lit dans son regard.
Lui taillera-t-elle vraiment la barbe ? Longue de dix années sans avoir croisé une lame ou un peigne, ou le bain se teintera-il de son sang ?

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Vivia
A parler d'elle de le sorte, la Bicolore eut l'impression de se vanter, chose qui n'en reste pas moins désagréable à ses yeux. Les monologues, les remarques pédantes ou usantes, ce n'était pas son fort. Peut être assagissait-elle, quoiqu'il en soit, elle fut soulagée de ne plus entendre sa voix. Mieux, elle préférait entendre celle du Blond/Brun.

Sourire s'étire d'ailleurs lorsqu'il l'autorise à tailler sa barbe et sa chevelure pour lui redonner une apparence convenable. D'un claquement de doigt, elle invite la servante à revenir, passe quelques consignes et l'invite à revenir avec un réceptacle, ciseau et rasoir. Pour une fois, le Barbier Chirurgien allait réellement tailler une barbe.

Enchanté, Jean...Je préfère Jean à Tire Laine..cela fait un peu mouton..A la remarque, un sourire taquin est adressé alors qu'elle soutient le regard et s'en amuse. Si d'autres craignaient sa folie, son sadisme et sa connassitude assumée, Jean lui semble être intéressée par tout autre chose.

Vivia. La réplique est abandonnée presque cinglante. Lâcher son prénom est rare et plus le temps passait, plus les rumeurs la rattrapait en tant que Mère des Rats et plus, la Bicolore préférait s'isoler et se faire oublier. La peur des géôle est là, toujours présente, oppressante. Elle a passé 8 mois à en chier, à encaisser les coups, les viols, les humiliations diverses et les petites morts. Ivre d'un avenir meilleur, candide à ses heures, Vivia aspire à autre chose.

Mais..Rare sont ceux qui m’appellent ainsi. Petite pause, les traits s'adoucissent alors que la servante revient avec le nécessaire. Lentement, le corps se rapproche de celui du Mouton et c'est un avec un sourire en tout point sadique qu'elle s'empare de son matériel. Le récipient est posé sur l'eau et elle le dirige sous la barbe mâle. Proche, elle l'est alors qu'elle s'agenouille près de lui et qu'elle est contrainte de redresser le buste pour entamer son travail. Les monts sont donc avoués, fermes et ronds et malgré ce manque cruel de pudeur, ses iris noirs se fixent sur la joue mâle. Une main se pose sur l'arête de la mâchoire adverse tandis que la lame vient à se poser contre son derme.

Légère pause. Sourire amusé. Pervers. Le louper, l'abîmer ? Elle en était capable. Se baigner dans une marre de sang ? Tout autant. Pourtant, il n'avait pas l'air d'un noble, moins encore d'un gueux. Miraculés ou autre énergumène du genre ? Peut être.

Vous savez que personne de mon entourage, me laisserai faire ce que je vous m'autorisez...C'est.. Le visage se déporte, se rapproche de l'oreille mâle et c'est un venin qu'elle abandonne. Inconscient..Imprudent..

Puis, sous la menace qui plane, un clin d'oeil est avoué alors qu'elle commence à raser la barbe..Elle ne souhaite pas le rendre imberbe, puceau. Non. Elle souhaite tailler ce qui mérite de l'être, arranger ce qui peut encore l'être.

Que pouvez-vous me dire sur vous, Jean?

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Tire_laine
    Toujours dans le Baquet - La lame de Vivia bien trop prés de sa gorge.


L’ancien voleur n’allait pas se plaindre de se faire tailler quelque chose, même si cela ne restait qu’une barbe. La remarque sur le mouton le fit sourire, si tout les Tires laines des miracles tondaient des moutons, la cours ne craindrait plus les hivers austères. Habile de ces mains, Jean était un voleur hors paire, et si il prenait soin à dépouiller ces victimes avec tact et délicatesse, il n’avait rien de ces compagnons qui tuer pour s’amuser. Jean respecter les vies, tels qu’elle soit, et si il lui était arrivé d’en prendre, c’était seulement par nécessité, ou par vengeance. Chanteur, acteur, charmeur, illusionniste, resquilleur, il savait gagner sa vie de bien des façons. On lui avait donné se sobriquet quand il était arrivé à Brissel, cela n’était pas pour lui déplaire, après tout cela était plus facile à porter que Vide Gousset, Pendulard ou Valtrousier. Et devant les esprits plus innocent il pouvait toujours faire croire qu’on le surnommer ainsi parce qu’il était tisserand.

La belle s’avance, s’approche, elle se redresse à quelques centimètres de lui pour se mettre à l’œuvre. Sa poitrine est dévoilé, mais le voleur n’a que peut de temps pour l’apercevoir car sa tête est rejeté en arrière par une main décider. Le contact froid de la lame sur sa gorge contraste avec la chaleur provoqué par la vision de cette nudité dévoilé.

Le barbier fou s’amuse, sa folie se laisse entrevoir un instant dans son regard tandis qu’une mise en garde et susurrer doucement à son oreille. Etrangement cela le fait sourire de plus belle, l’amuse. Non pas qu’il ne la croit pas capable de l’oxir là dans son bain, au contraire, il est même sur qu’elle prendrait son pied, mais c’est plutôt que l’ancien brigand ne craint pas la mort. Il a déjà tout perdu, femme, enfants, liberté, respect, amis... il ne lui reste que la blonde avec laquelle il joue depuis environ un mois, pas de quoi s’accrocher désespérément à la vie.

Alors Jean décide de s’amuser à son tour, de provoquer, de lui faire comprendre que si d’autre la craigne, il n’en est rien pour lui. La folie, la vrai, il connait, il la côtoyait à Brissel durant des années. Il s’est battu becs et ongles pour ne pas céder à son emprise ces derniers temps, et si il a gagné la bataille, il n’a pas encore finit la guerre. Peut être que cela est de l’inconscience, de l’imprudence comme elle le dit, mais il n‘en ai rien. Le chat joue avec la souris seulement si la souris cherche à se terrer, apeuré, mais si la souris se mets elle-même a chasser le chat, à votre avis, que se passe t-il ?

Tandis qu’elle commence à le raser d’une main sûr, les mains du vieux brigand elle se glisse doucement sur sa taille, ces hanches. Ces doigts caressent delicatement les cicatrices qu’il y sent.
Ce geste, une lame si prés de sa gorge, peut lui être fatal, il le sait. Mais l’envie de la toucher, de sentir sa chaleur entre ces doigts, de rendre se moment volé plus concret, est trop présent en lui. Peut être est-ce sa part de folie qui ressurgit à ce moment là ? Ou son amour pour les jolies femmes trop longtemps contraint qui guide ces gestes ?
Ces lourdes mains calleuses enserrent doucement la taille de la belle, ses lèvres, elles, retenue loin du corps de la mère des rats par une lame affuté, répond sagement à la question.


- Il n’y a pas grand-chose à dire sur moi, je suis loin d’être aussi intéressant que vous Vivia, je ne suis qu’un parmi tant d’autre. Ancien rat devenue canetons le temps de quelques virées hasardeuse sur les routes de ce royaume. Tenue à l’écart de ce monde par quelques argousins durant une décennie. Je ne suis ni inconscient, ni imprudent, j’ai conscience de la valeur de chaque chose, et vous pouvez bien prendre ma vie, elle ne vaut rien dans ce monde.

L'utilisation de son prénom est volontaire, comme une provocation supplementaire. Le sourire qui se dessine de nouveau sur ces lippes, et l’éclat amusé de ces yeux, contraste avec la noirceur de ces mots. La vie est une putain. Jean le sait et il est bien décider à la baiser jusqu'à son dernier souffle. Et si ce moment est arrivé, alors il sera mort avec le corps d’une femme entre ces doigts.
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Vivia
Amusé, le Blond malgré la présence de la lame contre son derme. Conscient, il semble l'être de la folie qui malmène les tempes bicolores et pourtant, il se fait joueur voir envieux à en croire ses mains qui se portent à ses hanches pour en découvrir le derme et les imperfections. Petit insolent.
Impassible, elle fait fit de ses mains qui la découvre, apportant néanmoins de temps à autre des coups d'oeil en coin à cette ascension. Ce n'est que lorsqu'il s'aventure au delà de ce qu'elle peut accepter que la main sur la mâchoire se fait plus menaçante. Son échine. Ses flétrissures. Ses marques. Les vestiges de sa captivité et de ses mois de torture. Rares étaient les amants de la Fêlée et plus rares encore étaient ceux qui osaient effleurer ces diverses cicatrices.

Un Rat devenu Caneton..C'est que vous devez avoir un trouble certain pour partager la cour de ces fêlés-ci. Oui, Desidératum lui avait laissé un vague souvenir et si elle respectait en tout point l'attachement et cet identité propre à Brissel, elle trouvait que cette quête à la Folie finirait à coup sûr par avoir raison d'eux. Un peu comme les Dodos qui furent eux même la cause de leur extinction, m'voyez.

Néanmoins, si vous tenez à profiter de l'instant..et le prolonger, je vous invite a retirer ces mains de mon échine. A la menace, le rasoir vient volontairement s'enfoncer dans le derme pour en casser la fibre et laisser un léger filet de carmin enrobé la lame. Là, était son vice et si entre ses tempes, le colocataire aspire à d'avantage de maux, d'hémoglobine, elle n'en fait rien. Il ne s'agti que mise en garde, un holà qu'il va lui falloir respecter.

D'ailleurs, devant ces dextres qui s'autorisent une exploration en tout point osée, la Sicilienne se fait plus cruelle encore. Son bassin vient se positionner sur le sien, enfourchant alors les cuisses mâles qu'elle enserre entre les siennes. Immobile, captif et pourtant sensiblement provoqué. Sadique ? Vivia l'avait toujours été. Dominante ? Toujours. A une exception près.

Doucement, elle poursuit le rasage, de près. Laissant à sa barbe quelques jours de sursis afin d'affirmer un caractère tout en évitant de lisser ses traits au risque de leur en retirer toute leur virilité. Quant à cet excédent, l'amas chute dans le réceptacle qu'elle dirige de temps à autre sous la mâchoire virile. Il ne faudrait pas non plus souiller le bain.

Et comment se fait-il que je ne découvre votre carcasse que maintenant, Jean? Où étiez-vous tout ce temps ? En cavale ? En geôle ? Dans les bras d'une épouse ? Dans la merde ? Oui, la question était à choix multiple.

Amusée, garce et perverse, elle sent que sous l'opaque de l'eau se niche une ardeur qui nargue la hauteur de ses cuisses. Lentement, la main libère la mâchoire pour saisir l'autre côté et entamé le travail à l'identique. Il ne faudrait pas que le Mouton reparte, à moitié tondu. Taquine, elle avance ses lippes à l'orée de son oreille, mordille légèrement la peau, la mordille, la croque alors qu'elle laisse couler une remarque vipérine. Hyène prenait plaisir à se jouer du Mouton. Hm..Soit je vous plais, soit vous vous enflammez..rapidement..Jean..Les deux peut être ?..Je sens que quelque chose se darde à mes cuisses, non?

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Tire_laine
La chaleur du corps de la jeune femme entre ses doigts, contraste avec la froidure de la lame qui, doucement, s’enfonce dans sa chaire. Le corps du voleur se tend d’instinct, sa tête se recule légèrement pour en atténuer le contact. Le liquide poisseux qui s’échappe du derme coule lentement dans son cou, il le sent couler sur sa gorge et s’arrêter à l’arrête de sa clavicule. Pourtant si la menace est réelle, le vieux brigand n’a pas fini son exploration, et si ces mains ne descendent plus le long du corps de la jeune femme, elle n’en reste pas moins posée sur ces hanches. Peut-être est-ce là son trouble dont elle parle. Celui qui la poussé à patauger pendant quelques années dans la mare des canards, à considéré Desideratum comme sa fille au regard du père infâme dont elle était affublé.

Serait-se ce même manque de raison qui le pousse ainsi à l’insolence ? S’amusant à provoqué la patience d’un barbier fou qui tient sa vie au bout de sa lame ?

Mais il n’est pas le seul joueur. Le corps de la belle s’avance, elle l’enfourche, son bassin nue vient frôler le siens. Elle le provoque dans son immobilité. Le frisson de l’interdit se fait ressentir, de plus en plus fort. Le désir qui, insidieusement, s’était fait connaître lorsqu’elle avait pénétré dans le bain se transforme en envie. L’envie de la pénétrer à son tour. Le rasage se poursuit mais Jean ne sent que le contact de sa peau contre la sienne. Le son rauque du rasoir contre sa barbe. L’imminence de sa propre mort au moindre geste déplacé. Ces sens sont en éveille, et son envie se fait plus pressante. L’excitation le gagne, donnant vie à sa virilité. Virilité qu’elle sent contre ses fesses. Elle le taquine, se penche vers lui, tandis que ces lèvres le mordille, la pointe de ces seins, eux, viennent frôler son torse. Des mots sont lâché, moqueurs.
Oui il s’enflamme rapidement, mais parce que la belle ne le laisse pas indifférent. Elle respire le danger, la folie. Elle est attirante, marqué, comme lui, elle est le pont entre le Tire Laine d’autre fois et le Jean d’aujourd’hui.
Oui il a envie d’elle, et ne le cache pas, ses lèvres s’ouvrent, un murmure en sort :


- Ma carcasse était en geôle… peut être que cela explique que je m’enflamme rapidement à votre contact… ou peut-être est-ce simplement la résultant de l’attraction que vous me faites ressentir. L’envie de votre corps où la folie se mêle au danger… L’excitation d’une mort imminente…

Ses mains descendirent le long de sa croupe et vinrent épouser l’arrondi de ces fesses. Il la souleva en douceur, la maintenant en suspension. La folie ne pèse pas lourd. Puis la pénétra. Comme ça, simplement.
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Vivia
Provocante, Vivia l'a toujours été et pourtant, rares étaient ceux qui étaient à même de lui prendre les cuisses de plein gré. Pourtant la rumeur inverse avait bon train mais qu'importe. La Bicolore était d'avantage portée sur ce besoin, viscérale et sadique, de faire ressortir le pire de chacun des êtres qu'elle rencontrait. S'ils étaient assumés, elle passait son chemin. S'ils étaient refoulés, interdits, là..Elle prenait son pied. Pourtant, à cet instant, il n'y a aucune besoin de vice, aucun besoin de faire souffrir Jean. Juste, cette provocation et cet interdit qui se niche entre ses niches et la darde autant qu'elle le nargue.

Rares étaient les fois où Vivia écoutait d'avantage son envie, l'instant présent sans se poser d'avantage de question, en éludant le reste, le contexte. Non là, l'envie est là, simple..tout aussi simple que ces mains qui lui prennent les hanches pour la faire descendre d''avantage, pour contraindre la chair à rejoindre celle d'un autre. Ne faire qu'un. Abandonner un soupir d'aise, laisser le rasoir en suspens, cette menace, pour frémir d'avantage.

Elle ne s'offusque pas de ce geste, au contraire. Si tel avait été le cas, longtemps que la lame aurait épousé la gorge pour en toucher l'artère. Ainsi donc, il sortait de géôle. Elle comprenait d'avantage cette roideur anticipée, ce besoin de retrouver la chair féminine et de s'y perdre en son étau.

Doucement, elle achève le travail, comme si de rien était alors que le bassin ondule et impose à ce baquet quelques ondulations rythmées. L'eau se mouve, le corps également et c'est une douceur fourbe que la Sicilienne joue de ses reins. S'il venait de sortir de prison, il serait dommage de le faire mourir, si tôt..si prématurément..sans en profiter autant que faire se peut.

Hmmm..Ravie de vous combler alors..D'être la première femme qui vous soulagera de cette captivité..Entre anciens..captifs, on sait le prix de la liberté et de ces travers..N'est-ce pas..

Sadique, fêlée, le regard se perd dans celui du blond alors qu'elle se relève légèrement, contraignant l'étau à perdre pour s'emparer d'un linge. Amusée, elle se repaît de cette fraîcheur qui doit l'enrober et enfin se décide d'y mettre un terme en regagnant son bassin, sa chaleur. Lui. Le linge se pose sur le visage, elle essuie le reste de cette barbe de taulard pour lui redonner cette apparence convenable, descente, ce renouveau qui s'imprime déjà de bon préceptes, de bons frémissements.

Le rasoir chute au sol, la main s'empresse de regagner cette chevelure encore ébouriffée et longue pour l'empoigner. Le visage mâle est contraint à se pencher en arrière alors qu'elle vient porter ses lippes à sa mâchoire, à sa joue avant de s'échouer contre sa bouche. Elle y étouffe le soupir, le gémissement infime pour y abandonner une fougue, une envie prenante, mordante qui contraste avec la douceur de ses cuisses.

Je vous interdit..de mourir..tant que je vous en donne pas l'ordre..Seriez-vous prêt à accepter..le défi..à me faire mourir avant vous ?...

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Tire_laine
Les clapotis de l’eau résonnaient des va et vient du corps de la jeune femme, ne laissant aucun doute, de leur bruit régulier, sur ce qui se passer dans le baquet. Si certaines prunelles curieuse prenaient des airs de reproche lorsqu’ils se tournaient vers eux, ils se détournaient bien vite en apercevant la propriétaire des lieux. La présence de ce publique, principalement des servantes, ne gêner nullement le blond, à vrai dire il y faisait complètement abstraction au regard des sensations que lui procurer ce bain improviser. L’eau pourtant si agréable à son entrée lui paraissait soudain bien froide, contrastant avec la chaleur que lui provoquer les ondulations de ce corps.

La lame n’était pas venue prendre sa vie. La peur de la mort devant l’audace dont il avait fait preuve fut remplacer par le soudain soulagement et la satisfaction de l’entendre gémir doucement contre lui. Donnant à ce cinq à sept improvisé une dimension bien plus profonde encore.

Ces cheveux furent empoignés en arrière, ces lèvres prises avec fougue. Se baiser mordant l’enivra. La belle n’était que contraste et la partie allait se pimenter si le sens des mots murmurer entre deux soupirs était bien celui comprise par le voleur.
D’abord inquiet à l’évocation de la mort, le bruit mat du rasoir s’échouant sur le sol le rassurera sur la signification de ces mots. Il ne s’agissait pas de la mort avec un grand M mais bien de la petite mort, celle qu’au contraire on accueil à bras ouvert.
Le défi allé être de taille. Dix années d'abstinance ce n'est pas rien, et si parfois sa main venait le soulager de quelques caresses, ce n'était rien en compraisont d'intensité de ce moment.

Serait il capable de résister jusque là ? Pourrait-il lui procurer sa mort ainsi entravé de ces mouvements par l’étroitesse du baquet, prisonnier de ces cuisses ?
Mais le voleur était joueur, et si elle était la première en effet qu’il prenait depuis sa sortie de geôle, son autre blonde avait sut le décharger d’un peu de son fardeau en jouant habillement de ces lippes.
Cela lui permettais d’espérer sortir vainqueur de ce défis, ou du moins de ne pas se montrer trop précoce à la tache.

Ces mains délaissent les courbes de sa croupe pour se poser sur ces hanches, imprimant son corps plus profondément dans le siens, ses jambes se plient légèrement, il redresse un peu son dos pour se pencher à son tour vers son oreille, lui murmure de sa voix grave, parfois rauque, brisé par les supplications de ces longues années enfermé :


- Le défi est de taille, je l’accepte, mais par curiosité, que se passera t-il si j’échoue a vous satisfaire ?

Il repousse légèrement le corps de la blonde, ses lèvres prenant un instant son cou avant de se faire plus aventureuse et de venir trouver un sein pour en mordiller doucement la pointe. Ces mains, elles, se glissent au bas de son dos, à la naissance de ces fesses, pour la maintenir tandis que son bassin se fait plus avide. Il n’est malheureusement pas en position de gérer la danse, et tandis que son corps savoure chaque contact, chaque ondulation, son esprit, lui, se concentre pour ne pas céder à cette jouissance dont il a été si longtemps privé.
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Vivia
[Baquet : Vivia/Tire Laine : Hyène/M'Agneau]

Vivia jouait rarement à la loyale et savoir que ce petit agneau sortait tout droit des géôles, était une aubaine. A coup sûr, elle allait gagner et comment pouvait-il en être autrement. Après tout, un homme a des besoins et lorsque ces derniers sont si longtemps réprimés, il semble évident qu'une telle initiative soit à même de causer, une petite mort précoce. Les coups de reins et diverses ondulations perfides bien qu'agréable tant pour l'un que l'autre aident un peu. Mais que dire de ces plaintes, ces gémissements fourbes et taquins qu'elle abandonne volontairement à l'oreille mâle. Ces Hmm..c'est hann..encore chaud, fiévreux qu'elle glisse là, sournoisement à l'orée de son oreille, entre deux mordillements, deux murmures délicats.

D'ailleurs, ces vils subterfuges semblent avoir raison de cet entrain. Les hanches sont saisies, aggrippées avec ardeur alors que le clapotis de l'eau se fait virulent, plus bruyant ce qui finit par attirer la curiosité de ces servantes. Un regard en coin, un sourire amusé, Vivia n'a que faire d'être vu en si bonne et si brûlante compagnie. Les bains sont publics et s'il ne s'agissait pas de la Cour des Miracles, nul doute que la tenue aurait été de rigueur. Mais là..Qu'importe. Tout est permis chez Eux.

Doucement, le plaisir se fait d'avantage ressentir. Il grandit à ses reins, à ses cuisses, à son échine et ces murmurs, ces gémissements simulés pour provoquer plus aisément la chute du Mouton se font plus vrais. Prise à son propre jeu de dupe, de chair et de stupre, elle prend ses aises et savoure chaque contact, la caresse qu'il abandonne à ses monts, cette gourmandise qui se perd à sa peau pour en étouffer les frémissements. Que dire d'ailleurs de ce murmure qu'il perd à son oreille, qui aussitôt, taquine cette zone si délicate, réactive. Le museau rentre un peu vers son cou, comme pour se détourner de ce frisson indécent qui lui brûle le bas ventre.

Que se passe-t-il s'il échoue ? En vrai, elle n'y avait que vaguement réfléchit, préférant laisser son esprit trouver une solution toute faite entre un ou deux soupirs. Mais voilà que la réponse devait se faire et que sous cette posture, elle affiche un sourire narquois. Les jambes siciliennes s'enroulent à sa taille, le buste se redresse à son tour tandis que les mains viennent prendre appuie sur le rebord du baquet. Si Vivia n'avait pas de force, il n'en reste pas moins que son dicton est le suivant : A défaut d'être forte, soit fine. Rusée, la Hyène use d'un profond coup de bassin pour tirer le Blond à lui, par un habile jeu de levier en somme, contraint le corps mâle à perdre son équilibre. Proie est donc à portée mains, de vice et c'est sans attendre qu'une dextre lâche le baquet pour venir saisir la crinière mâle et plonger le reste sous l'eau. Éprise de lui, encore comblée par sa chaleur, elle pourrait presque se repaître de ces soubresauts, de ce moment où le corps se débat pour le sentir d'avantage en elle. Le bain était traître, il avait le don de soulager le poids d'un corps et une femme, d'apparence vile, pouvait ainsi contourner cette faiblesse avec quelques subterfuges.

Tête est maintenue dans l'eau, un petit moment. Juste le temps de se rappeler ce moment où ce fût elle, qui avait la tête dans l'eau glacée avant que son ancien fiancée ne daigne la ramener d'entre les limbes à coups de bassins, ou lorsque Piastre s'amusait de temps à autre à la noyer pour mieux fragiliser sa carcasse dont l'esprit insoumis peinait à se briser. D'ailleurs, les souvenirs sont longs..Trop peut être. D'un geste vif, elle le sort de l'eau et lui laisse prendre cette bouffée vitale..

Une fois fait, à peine était-il repu, à peine venait-il de cracher l'excédent d'eau qu'elle vient happer ses lippes et étouffer le reste de souffle. Baiser envieux, fiévreux, possessif et malsain. Elle pousse le corps à reculer, l’accule contre le bord du baquet et ne peut retenir ses griffes qui viennent aussitôt étreindre l'échine mâle..

Ce qu'il risque de se passer s'il échoue...Il venait d'en éprouver un avant goût.

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Tire_laine
So why you laughing at me? Yeah why are you laughing at me ?
Is that what you want from me? Is that all you wish from me? (Mother "Bleep")
Watching me losing my peace. Pushing me down to my knees, bastard
Do I need to beg you please? It's feeling more like a trick
Than treat, Now you think that I don't know
That you're playing with me doctor throw
You just want living to give dippings
You're bringing out the worst of me, now I kill
I tried to pay my thoughts inside, To not turn into Mister Hyde
But honestly, it's a crave to see, This bloody beast living inside me
Let's play hide and seek


Ces murmures, ces supplications, tous cela s'immiscent doucement dans son corps. Le Blond ferme un instant les yeux, se délectant de ces cries de plaisir qui emplissent son être d’une chaleur bien plus présente encore que le seul plaisir charnelle, et alors qu’il se bat pour ne pas céder à cette jouissance précoce qui commence déjà à battre dans ces reins, soudains tous ces repères s’effondrent.

Ces yeux s’ouvrent tandis que son corps est entraînait au fond de l’eau, il perd pied, se sent basculer, comme si on le poussait dans le vide, et au moment ou un léger cri de surprise allait sortir de ces lèvres, ses cheveux sont tirés en arrière, son visage entraîner dans l’eau. Eau qui s’engouffre dans sa bouche, lui brûle les poumons. Le blond suffoque, se noie, pourtant la pression sur la tête reste inchangé. Il se débat, oubliant celle qui continue ces ondulations sur son bassin, et si le plaisir est ressenti, il est bien loin d'être sa principale préoccupation, seul compte la peur qui bat à présent entre ces tempes. Il essaie de se calmer.
Et c’est là qui la sent. Elle. La folie. Celle qu’il avait sur tenir à distance toutes ces années, même quand on l’enfermait dans le grand silence; se raccrochant à ceux qu’il avait aimé pour ne pas céder. Mais présent il ne ressentait qu’un grand vide dans son cœur.
Vide qu’avait laissé sa femme et ses filles en mourant.
Vide dont la folie s’emparer doucement au fur et à mesure que le souffle lui manquait et que la petit mort laissait place à la grande.
Ce passage immergé ne dura quelques longues secondes, deux minutes tout au plus, mais elle avait suffi à réveiller chez l’ancien voleur la raison qui avait poussé les gardes à l’enfermer durant ces dix dernières années.

Sa tête fut sortie de l’eau. L’eau recraché. Les goulées d’airs avalés. Ses lèvres sont prises dans un nouvel assaut, fougueux, avide, envieux, son corps reculé, comme s’il n’était qu’une vulgaire marionnette entre ses mains, les ongles se plantent dans son dos.
Cette intermède aura servir au moins à lui faire reculer la jouissance dont il était si près à céder, mais à présent une nouvelle forme de désir lui bat les tempes, une soif de violence, de sexe, de sang.
Le barbier fou portait bien son nom, mais le Canard n’en restait pas en reste.
Il perdit le contrôle de lui-même, la flamme de sa propre démence illuminant à présent ces iris froide.

Une main s’empare à son tour des cheveux de la blonde, les tires en arrière avec force. Ses lèvres caresses son cou, sa langue joue sur sa peau avant que ces dents ne se plantent dans la chaire tendre de son épaules.
Ses mains se font avides, un sein est saisi, serrait dans son poing. La douceur de ces précédent coups de hanche se mut. Il devient bestiale, sauvage, ce n’est plus Jean qui est dans ce baquet, non il ne reste que l’ancien Piques, celui qui a perdu la raison, celui qui a perdu pied, qui a basculé…

« Il suffit d'une seule mauvaise journée pour réduire l'homme le plus sain d'esprit du monde à la folie...Juste une mauvaise journée » - The Killing Joke


Sa main lâche le sein, tandis que son autre mains la force à se cambrer, tirant toujours sur la chevelure empoignait, son intimité n’est plus coincé contre les hanches du voleur, et Jean vient la caresser, la titiller. Elle la veut sa petit mort ? Il va lui offrir. Il va lui arracher sa jouissance dans un capharnaüm de violence et de baise.
Il n’y a pas d’agneau aux miracles.
Seulement des loups déguisé, et elle venait de lui arracher sa pelure frisé, réveillant sa douleur, sa peur, sa folie.
Il lui en veut pour cela, le jeu est terminé pour lui, il veut simplement le lui faire payer, il veut l’entendre gémir sous ces coups de reins, il veut se laisser aller en elle tandis qu'elle le suppliera de la lâcher, quand tout devient trop sensible après avoir atteint l’orgasme…

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Vivia
Grenade

Regard changeant, fêlé, brisé, masqué, allumé. Le Blond diffère, le Blond divague, le Blond se perd. Folie est là, étreignant les coups de reins, les muant en coups de butoir. Tignasse est tirée, écho de ce geste jumeau qui se porte à la tempe adverse. Mouton devient Loup au regard brillant d'un vice trop longtemps étouffé. Folie se déverse et loin d'être effrayée, Mère des rats jubile de faire ressurgir un Mal enfouit, de voir renaître des eaux, un Fils des Rues, un Caneton fêlé.

    Suis-moi, dans la ville blafarde et je te montrerai,
    Comme je mords comme j'aboie,

    Prend garde, sous mon sein.. la grenade.
    Sous mon sein, là..Regarde.
    Sous mon sein, la Grenade.

    Hey toi, qu'est-ce que tu crois,
    Je ne suis qu'un animal,
    Déguisé en madone...

    Hey toi, je pourrais te faire mal,
    Je pourrais te blesser oui,
    dans la nuit qui frisonne...


Corps se heurtent, se battent, luttent, gémissent, se plaignent, s'essoufflent. Murmures se perdent entre deux coups de reins, deux griffures, deux coups de crocs. Folie consume. Folie dévore. Folie rassure et exacerbe les sens. Une gifle se perd à la joue mâle, claquant, vrillant la mâchoire adverse pour ralentir l'écho de cette brûlure qui enflamme les reins féminins et qui pourraient causer une petite mort précoce. Non, Folie se savoure.

    Prend garde, sous mon sein..La grenade.


Le corps s'emballe, frémit et sous l'attrait de ce corps enfin, Vil, enfin Fou, la Bicolore esquisse un sourire en coin. Satisfaite de se mesurer à un confrère, de se gorger d'une autre Folie. De lier ses doigts fous aux siens, d'étouffer ce soupir rauque, ce Mal qui se communique.

Sous les échos, un rideau est tiré pour offrir plus d'intimité à ce qui se trame dans le baquet lorsque l'eau déborde, que les corps parfois s'en extirpe à moitié pour faire claquer leur corps, leurs reins.

Mm...Jean... Là, le murmure se perd dans le creux de son oreille alors que son visage est collé au sien, qu'une main abandonne les griffes à son échine et que l'autre maintien le bassin contre le sien pour le sentir au fond de son bas ventre. L'attrait est bestial mais s'il continue ainsi, elle finirait par avoir raison de lui et serait contrainte de le noyer à nouveau..Essoufflée, haletante, cheveux humides et corps ruisselant, elle freine l'ardeur, le feu et lâche la hanche pour saisir l'arête de sa mâchoire pour lui faire voir la couche. Suivez-moi...

Envieuse, les doigts se lient au sien, comprimant ce besoin charnel, bestial, cette folie qui aussitôt lovée sur les étoffes s'empare des corps. Mains se plaquent sur le torse mâle, le contraint à s'allonger sur l'étoffe alors qu'elle surplombe, le chevauche, enjambe son bassin et revient quérir son dû, se gorgée de Lui sous un soupire désormais plus doux..

Ondulation reprend alors que le regard sombre se noie dans l'azur... Provoquez ma mort... Doucement, elle guide la main mâle à son bas ventre, à ce bourgeon et au sommet de son con.


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