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[RP] Levée de Brume... !

Karyaan
Se penchant légèrement vers Key et lui murmurant.

L'Orléans... Comtesse... c'est l'Orléans qui choisit son Duc ainsi, et le peuple qui élit son Gouverneur. Non le Maine qui est un Comté d'ailleurs.

Lui sourit puis reprend plus haut.

En Maine, il n'est plus besoin d'être baptisé pour accéder à des fonctions politiques depuis fin septembre 59.

Pour ce qui est de la validation des listes, en effet, en Maine, c'est le Collège Nobiliaire qui vérifie si les candidats sont conformes aux critères d'éligibilité. Cependant, de par l'Ordonnance de Montargis, personne ne peut invalider une liste dans son entièreté et de ça, le CN mainois y fait particulièrement attention.


Puis de nouveau tout bas

Si vous avez des questions sur le DR, surtout n'hésitez pas... je suis ce qu'on pourrait appeler... une spécialiste de la chose...

Clin d’œil
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"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
Namaycush
La Navarre, ce sujet méconnu, dévié, maltraité, pourtant elle serait peut-être la pièce racine de la féodalité qui contribuera à la grandeur de la France de demain.

Il prend le vélin qu’on lui transmet, il y répondra plus tard.

Il sourit au mari d’Aryanha, Namay le Gascon, oui mais Gascon de Dax, ville qui comme le sait à présent la Comtesse du Périgord produit les plus beaux Gascons de ce monde, mais aussi les plus têtus. Dax, patrie du mulet de Gascogne, espèce rare mais au combien forte de caractère, opiniâtre et besogneuse.

A l’Adishatz du sud-ouest, il répondit par un joyeux salut en patois de Navarre, mélange du catalan d’Aragon et béarnais pyrennéen.



Kaixo, Trixolas !

Quel bon vent t’amène ?



Tandis que Lisa s’ébouriffait de … quoi en fait ?

D’ une histoire qui a commencé à s écrire il y a longtemps, il était temps de tourner la page du passé, pour écrire le chapitre de l’avenir.



Madame d’Anjou, il sourit… à l’intervention de Keyfeya


Madame, la Navarre n’existe pas, elle n’est qu’une idéologie ce jour. Je peux concevoir que vous en avez marre, mais si vous en avez marre ce n’est pas en bloquant les votes que vous changerez quelque chose. Je ne suis pas un royaliste, je suis un féodal, et la différence est de taille. Je ne suis donc pas cette continuité institutionnelle.


Les doigts entremêlés aux siens sont une empreinte dont il ressent l’étreinte.
Sous une impulsion d’émotion il lui jette un regard long… qui lui chante… : « Ce soir, tu vas apprécier comment je t’écrirai une histoire… ! »



Et c’est tout aussi loyalement Sam, que je le ressens.


Puis revint à la petite Susi…


Je pense que nous aurons l’occasion d’en reparler de Navarre.


Afin de compléter Keyfeya vers le grand ambassadeur royal.


Exaltation Lablanche d'Abancourt, bienvenue !

Quel nom empathique !

Mon épouse et moi-même avons été reçus à Rome et nous avons pu débattre de nos idées en toute conviction et en pleine sérénité.

Je pense que je n’ai plus besoin de préciser que je suis aristostélicien de Rome, fervent croyant mais piètre pratiquant et mes désaccords avec les princes de l’Eglise comme avec les Souverains de France ont parfois été conflictuels.

Aussi, dans un partenariat de confiance, dans une relation à long terme basée sur la sincérité, il convient de procéder par étapes.

La première étant que le droit canon soit respecté et que mes plaintes, en tant que Général de France, à l’Inquisition soient traitées de manière impartiale. A savoir que des membres dont des grands maîtres des Ordres Militaires Religieux ont intégré au mépris du droit canon des armées temporelles impériales alors que ce droit canon l’interdit formellement. Le Cardinal-Connétable a donné dérogation pour intégrer ces armées mais uniquement pour la défense. Lors que ces armées impériales assaillent la mienne en position de repli à quatre contre un, il n’y plus de défenses là-dedans. Il convient donc d’établir la relation de confiance et que ces membres des OMR quittent les armées temporelles impériales.

Je pense aussi à tous ces soldats qui tombent au front ou que j’ai vu se faire massacrer pour une certaine idée de la France.

De seconde, si ce droit canon s’applique dans la plus pure impartialité, nous renégocierons le concordat. Ensemble. La base de l’ancien servira à établir le nouveau. Il va sans dire que ce n’est pas au Souverain de faire le ménage dans la maison de l’Eglise, mais que ce n’est pas à l’Eglise de faire le ménage dans la maison du Souverain. J’aime bien cette métaphore employée par mon épouse lors de ces discussions, c’est très symbolique.



La regarde, son épouse…., et un homme sans ventre, c’est comme une maison sans meubles…sourit à la malice… mais ne le dira pas. Pas ici.


De Tierce, si nous obtenons un bon concordat, plein de bon sens, sans imposition, l’ordonnance du Mans n’aura plus lieu d’être.

En ce qui concerne la guerre, l’Empereur ne veut pas de paix, j’ai mis une copie de son écrit à Rome d’ailleurs aux alentours. Pourtant à un moment il faudra bien trouver une solution. Aussi, à cinq reprises, nous nous sommes vus lui et moi et ma proposition était honorable pour tout le monde. Je reste d'ailleurs tout à fait ouvert s'il changeait d'avis.

A savoir un Pas d’Armes, en armées, une de chaque bord et la dernière debout sera considérée comme le champion du vainqueur. C’est une proposition tout à fait raisonnable.

En ce qui concerne la Lorraine, dont le cas de figure n’a rien à voir avec la Savoie, après référendum elle a donné allégeance à la France et la France lui a accordé protection. A présent le conseil a changé, il négocie avec Strasbourg, mais si la Lorraine le désire toujours, il est du devoir de la France de répondre à son vassal, mais ni La France, ni la Lorraine sont à vendre oui à abandonner.



Il sourit à Jonhatan et enchaîne sur les paroles de Keyfeya.


La première j’en parlais, la seconde aussi, celle-ci, je l’applique la diplomatie. Le débat des Ordres Royaux, qui fournit la plus grande partie des chevaliers, est pour le moins vaste. D’autres ne font pas partie des ordres. A mon sens, un chevalier, peut défendre de vassaux, oui.


Observe la panse gonflée de Makcimus, pense que non seulement il devient épais, mais en plus aveugle tant il n’a pas l’air d’avoir vu le joli buffet de Kahhlan.
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Keyfeya
La brune qui réalise, en écoutant Karyaan.

J'ai dis Maine ? Ah merde...Merci.

Bon ben je reprends la partie sur le grand Duc...

Cela dit concernant les provinces du DR, il y a une différence il me semble entre l'Orléans et les autres provinces, il n’y a que l'Orléans qui a un Grand Duc qui est élu par le Conseil Nobiliaire et ce mode de fonctionnement a je crois été choisi par le peuple d'Orléans, pour l’élection du gouverneur ou pour l’élection des maires c’est bien un vote par le peuple qui est fait.


Regard de nouveau vers la brune.


Oui j'veux bien, j'avoue j'suis pas calée sur le domaine Royal, et puis avec deux modes de fonctionnement différent, je trouve ça fouillis.
Karyaan
Cinq... il y a cinq modes de fonctionnement.

Léger sourire, puis se penche à nouveau à son oreille pour lui murmurer quelques mots inaudibles.

Vous avez vraiment cru que vous alliez savoir ce qu'elle lui dit ? Mouarf
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"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
Xalta
Elle salue également Jonhatan, elle écoute attentivement les réponses qui lui sont fournies, elle tique mais il semble qu'il y ai reprise , finalement elle reprend la parole.

Je vais me permettre de vous reprendre pour Orléans, ce n'est pas un Grand duc seulement un duc élu par une Grande Chambre composé de 12 nobles et des 12 élus ducaux, d'un représentant de l'ost orléanais et fut même une époque il y avait un representant de l'église.
Il est donc choisi au suffrage indirect.
C'est une sorte de système bicéphale même si je sais que certains ont en horreur ce terme en Orléanais un duc et un gouverneur. Le duc prete hommage et sera fieffé en fin de regne s'il le souhaite, le gouverneur même si duc ig est un simple élu avec malgré tout une prééminence sur les autres. C'est un système que je connais fort bien pour avoir été gouverneur et duchesse sur les belles terres d'Orléans.


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Fauve_ebene
Citation:
Pas de bouffe, pas de vote.


Et pouffer de rire dans mon coin! Je ne connaissais Mak que de vue, sans jamais avoir eu matière à lui parler.
Cependant, je l'avais souvent écouté donner les ordres et répondre à ceux du Cap'. J'en appréciais la droiture et le respect qui émanait de l'homme d'arme, de foy aussi comme j'avais pu le constater au mariage de Namay et Key.

Il était vrai, commençait à il y avoir du monde, possible que le soldat ai loupé le buffet, mais quand même!

Discrètement, je m'approchais de lui pour lui souffler à voix basse.


Hey! Le buffet est dans le coin là. Et il est foutrement bien garni ! Moi je dis qu'après cinq mois de disette, on a bien le droit de se remplir aux frais du candidat nan?


J'affiche un large sourire tandis que mes émeraudes brillent de toute leur malice.
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[img]https://www.hostingpics.net/viewer.php?id=978476bannie768refauverouge.png]
Makcimus.
Hey! Le buffet est dans le coin là. Et il est foutrement bien garni ! Moi je dis qu'après cinq mois de disette, on a bien le droit de se remplir aux frais du candidat nan?

Il se tourna et un large sourire apparut sur son visage. Bien le bonjour Fauve ! AH ? De mauvaise foi… Je cherchais un camarade que j’ai cru apercevoir… Mais j’ai beau tourner et virer… J’ai du rêver. Elle l’avait certainement entendu ronchonner mais malgré tout et mine de rien… Je n’ai guère d’appétit en ce moment mais…. Il fit semblant d’hésiter… Mais oui … Excellente idée je vous accompagne.

Et tel un coq bien heureux de se faire discrètement guider et d’apparaître en si belle compagnie, il gonfla la poitrine et tendit le bras. Tenez je vais tenter de nous frayer un passage…. C’est fou ca, avec le nombre de pique-assiettes on n’en aperçoit même plus le buffet.

Tu parles, essayer c’était déjà échouer et Makcimus n’avait certainement pas l’intention de rater le buffet. Il était déjà très en retard et du certainement bousculer un peu a l’approche des victuailles. Il osa même… Pardon… Pardon. La dame ne se sent pas très bien et elle à la tête qui lui tourne, laissez un peu de place merci. Allant même jusqu'à s’offusquer… Oui bon et bien c’est une priorité un peu de galanterie et de s’avoir vivre … merci. !!

L’autre solution consistait a distribuer quelques gnons, mais bon, s’il commençait à assommer les électeurs potentiels cela n’allait pas le faire et Namay allait gueuler. Il marcha tout de même - involontairement bien évidemment - sur quelques pieds lents à s’écarter.

Une fois idéalement placé entre le salé et le sucré, il se tourna grand sourire, vers Fauve… Oui bon… Il faut ce qu’il faut…. Il gonfla a nouveau la poitrine, fier Chevalier servant et comme s’il était à porter secours. Bon Fauve, et il le savait était capable de se défendre toute seule… Mais l’objectif n’était il pas de se faire exploser la panse gratuitement ?

Le regard brillant, et ne tenant plus… La… Tenez… Attendez je vais gouter, car des fois avec les chaleurs… La bouche pleine.. Moui… Ammez y c’est Mée li mieux!!

Et déjà de tendre la main en direction des mignardises.

Et oui… L’était vertueux le Makcimus… Il avait juste une petite faiblesse… La gourmandise.

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Fauve_ebene
Ah c'est qu'il avait de l'humour ce Mak!
Léger froncement de sourcil...

-Euh... nan en fait il est sérieux là?
-Est ce qu'il essaie vraiment de me faire croire qu'il n'est pas affamé?

Je l'observais faire mine d'hésiter puis sans commenter je glissais mon bras dans le sien, très amusée par sa prestation de comédien. Encore plus par son attitude chevaleresque lorsqu'il nous guidait torse en avant au travers de la foule. Vraiment, en d'autres lieux j'aurais rit aux éclats. Mais bon, là c'était pas trop l'endroit alors je me retins et je fis bonne figure en déambulant au bras de l'homme si fier.

Second coup de sourcil, un seul, comme toujours.

- Comment ça je me sens pas bien?

Regard derrière moi, retour à Mak.

- Eh ouais, c'est bien de moi qu'il parle!

Bah du coup, je décidais de jouer le jeu et je pris une mine un peu étourdie parce que pâle, je l'étais déjà de nature.

- Quoi je m'écroule ou pas?
- Nan, pas de drama, faut pas pousser on y est presque!

Et finalement nous étions arrivé au buffet tant convoité. Gloussement contenu comme une gosse qui vient de faire une bêtise, regard amusé vers le complice du jour. Et là j'écarquillais les yeux de voir que la galanterie le poussait jusqu'à goûter avant moi. Quel homme ce Mak! Nan, sérieusement il en fallait plus pour me duper, mais à son regard vers le buffet j'avais bien compris qu'il ne pouvait y résister une seconde de plus. Amusée je l'écoutais me rassurer quand à la qualité des mets proposés. Suivant son exemple, je m'emparais d'un morceau de fromage, apéritif qui accompagnerait à merveille les deux cervoises que je dérobais à un serveur, en tendant une à Makcimus après l'avoir goulûment goutée sans l'attendre pour trinquer. Et dans un sourire taquin.


Vous pouvez la boire, elle est fraîche!
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Lorelei_
Une foule oppressante. Des visages connus, ou non, ou presque. Elle n'aimait toujours guère ces lieux de débats politiques. Mais ambition du tonton oblige, elle se devait d'être la. Surveillance du buffet. Du moins, merveilleuse excuse pour être un peu à l'écart. C'était sans compter sur la forte présence de pique assiette. Le pied est écrasé. Un grognement se fait entendre. Suivi de quelques mots forts charmants.

Non mais vous ne pouvez pas faire attention ? Et vu la masse que je viens de recevoir sur le pieds, vous devriez vous éloi ...

Le nez se relève vers "l'écraseur". La tête se penche légèrement sur le coté. Et merde. Elle va se prendre une rouste en plus d'avoir le pied en compote. T'as bien fait de venir Loreleï tiens. Le nez se plisse légèrement.

'jour papa !

Puis un salut de tête vers la femme, déja croisée ailleurs.

Bonjour !

Et hop, on tente de changer de sujet.

Il parle bien tonton hein ? Et puis ma cousine est très douée pour préparer de somptueux buffets.

Et oui, quand on ne peut pas amadouer un homme avec les femmes, on le fait avec la bouffe. Principe de base. Et puis bon, elle est la pour le tonton, pas flingueur, pas encore. Enfin son paternel à l'air bien prévenant avec cette jolie demoiselle. C'est louche tout de même.
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Serein
Serein avait fait le déplacement. Il faut dire, ces élections royales, ce n'était pas tout les jours non plus. Et cela determinerait grandement se qu'il se passera ensuite en France...et ailleurs. Il avait donc pris le temps de venir écouter les prétendants.

Ces hommes et ces femmes avaient tous "leur personnalité", et tous avaient quelque chose d'intéressant à dire. Mais certain l'interpellait plus que les autres. Il les observa...assez longement. Il aurait aimé poser des questions, mais ne sachant vraiment si une personne de sa condition pouvait réellement se le permettre il se ravisa et décida de se rendre à la cérémonie de Reims. Là, peut-être aurait-il l'occasion de s'exprimer.

C'est donc après s'être rendu à chacun des "meetings" des candidats, éparpillés un peu partout dans le royaume, et avoir écouté chacun, qu'à grand regret, il tourna les talons sans mot dire.


L'accompagnateur: celui-là me parait un très bon prétendant aussi, il sait défendre le royaume, bien qu'un peu va-t-en guerre

Serein: Il parait
Susi
Les échanges avaient pris un rythme plus soutenus, ça fusait de toute part. Susi avait un peu de mal à continuer à se concentrer, elle opina du museau vers Namay. En reparler bien sur c'était très intéressant.
Puis elle répondit brièvement à Keyf avant qu'elle reparte à répondre à d'autre.

Gorborenne, c'est quelqu'un de bien, vraiment j'le pense.

Mais avait-elle plus a dire? Les échanges en taverne avec Gorborenne lui avaient peut être juste appris que quoiqu'on était ou que l'on pensait, la seule chose qui comptait vraiment dans leur monde était la parole donnée et la confiance. Susi avait toujours fonctionné ainsi et Gorborenne l'avait prise dans sa troupe de la même façon.
Elle regardait les visages défiler, certains connu comme Taf ou Aziliz, certain croisé comme celui de Xalta les autres complétements étrangers, et dans cette valse de parole Susi se sentait de moins en moins à sa place.

Elle alla juste glisser à l'oreille de Keyf :

Je dois rentrer maintenant, le Béarn est en proie à des troupes de brigands envoyé par l'Armagnac et je dois faire mon devoir. J'espère vraiment que je pourrai venir te voir au PA, j'suis vraiment très heureuse d'avoir pu te revoir et discuter avec toi, j'ai encore plein de choses à te raconter .


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Makcimus.
Makcimus attrapa avec un plaisir non dissimulé la cervoise … Merci !

Et de se faire bousculer encore et d’entendre ronchonner. Il allait répliquer d’un bon coup d’épaules involontaire, lorsque … 'jour papa !

Le temps de poser rapidement son verre et de soulever de terre la petite, légère comme une plume… Lorelei !! Je me demandais ou tu t’étais caché. Tu as belle mine.Et de sourire a nouveau… Je te présente Fauve, qui a passé un bon moment avec nous sur le front. Fauve je vous présente Lorelei_, ma fille.

Le temps de reposer, la prunelle de ses yeux et il se saisit d’une nouvelle bouchée. Ces retrouvailles le mettaient en appétit.
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Keyfeya
Un sourire à Karyaan.

Et ben je suis pas rendue.

Puis un hochement de tête aux murmures. Puis regardant en souriant de nouveau la GARF.

Merci votre Excellence, c'est gentil de compléter et de rectifier. Avons nous répondu à vos questions ?

Puis regardant le manège de Mak, elle se penche vers son époux.

Tu crois qu'il va en laisser pour les autres ? Tu lui donnes jamais à manger ou quoi ?

Décidément s'il était un fervent croyant et défenseur de l’Église Aristotélicienne en matière de pêché de gourmandise celui ci avait l'air de s'y connaitre, il dévorait plus qu'elle et pourtant la Pétrocorienne était une grande gourmande, elle retourna son regard vers sa Susi tout en gardant ses doigts enlacés à ceux de Namay. Et déposa un baiser sur la tempe de la jeune femme.

Nous nous reverrons Susi, je te promets, je crois même que tu vas entendre parler de moi en Béarn, tu m'as manqué et j'ai été moi aussi très heureuse et touchée de te revoir. Et fait une bise à Pierobero de ma part.


Elle lui sourit, une dernière fois.
Fauve_ebene
Je regardais la jeune femme s'envoler dans les bras du Makcimus et un large sourire se posais sur mon minois. Hocher la tête pour les présentations. Amusée de voir l'homme aussitôt replonger sur le buffet. Mon attention se reporta sur Lorelei, je l'avais déjà vue, surement au campement.

On s'est déjà croisées n'est ce pas? Au moins, les présentations sont faites à présent! Vous nous accompagnerez bien pour quelques... friandises?

Je me penchais un peu vers elle pour lui souffler à l'oreille.

Dépêchez vous si vous en voulez, il semblerait que le paternel ait une faim de loup!

Gloussement discret.

Mais je me posais quand même une question... Elle avait appelé Mak papa, et Namay tonton... pourtant ils n'étaient pas, pas vraiment, frère... Il allait encore falloir que je prenne une leçon de généalogie moi...

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[img]https://www.hostingpics.net/viewer.php?id=978476bannie768refauverouge.png]
Basile
Sur ses tribunes royales le Pelamourgue avait déjà eut à faire des passages, du moins de mémoire, cependant c'était la première fois qu'ail allait à soutenir un candidat. Choix fait par ailleurs rapidement non par hâte mais par conviction rapidement acquise par les idées, et qui n'avait pas été ni à déplorer, ni à regretter pour au contraire découvrir ce qui se trouvait au travers des premières idées et imageries qui se faisait. Le résultat en était que le Pelamourgue si frileux à accepter de suivre quelqu'un pour éviter de finir comme un dindon farcie, prenait le pas de le faire sans réserve.
Il n'y avait pas réellement de question à poser, et aucune prétention à donner réponse ici aux question posés, c'était donc en soutient que le barbu se présenta. Simple effort de présentation, un pourpoint enfilé - de mauvaise grâce n'étant guère de ses vêtures de tissus - , et sa coterie de sang ou de geste qui serait à suivre.
Des visages connues, des visages moins connus, des visages inconnus, un salut de forme et global, et plus marqué au prétendant du lieu.


    - " Adishatz Général " et aux autres présents plus global sinon on en avait pas finit de faire le tour. " Senher, Donà. " Petit hochement de tête régulier vers quelques uns des plus proches.

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