[RP] Une virée à la cascade

Élisa qui étais dans l'eau depuis un bon moment décida dans sortir pour finir les taches quelle n'avais pas eu le temps de faire avant la baignade elle retourna donc cher elle toute mouiller tout en prennent son temps

C'était les moments les plus agréables de leur vie, seuls, pour parler de tout et de rien, se regarder sourire s'embrasser, se taquiner...parler de leurs projets de leur présent.

Être eux et pas forcément des taverniers ou Madame et Monsieur le maire ... Être dans ses bras et le visage contre le sien, voilà pour lui la vraie détente, voilà la seule chose qui le repose vraiment, le seul moment où il recharge son énergie.
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Elle tien debout ...ma vie ... depuis que tu l'as renversé !

Doria venait juste d'entrainer Bermude dans un endroit discret, caché par la végétation florissante de la forêt.

Elle avait prit soin d'enlever les épines, les une après les autre à l'aide d'un ustensile qu'elle avait toujours dans sa trousse, au cas ou...

Le bougre n'osait pas crier... à chaque fois qu'elle otait une épine, il se retenait et serrait les dents.

Puis à force de patience, elle finit par en venir à bout.

Elle versa sur un linge une macération d'aggripaume pour favoriser la cicatrisation, ainsi que quelques gouttes de lavande pour éviter l'infection.

Voilà mon Berm, tu as un popotin tout neuf maintenant . Tu peux aller te baigner. Mais il te faudra passer à l'hotel Dieu pour que je te donne le remède, j'en ai pas assez sur moi.
Par contre, évites de t'assoir pendant 2,3 jours, sinon tu retardes la guérison, et de toutes façon c'est tellement douloureux que tu le feras pas...

Doria sourit à Bermude qui repartait, avec une démarche un peu plus naturelle...

Aliénor avait remarqué que la petite Clotilde était un peu tristoune en ce moment.
Elle passait beaucoup de temps à cajoler son louveteau, et très peu de temps à poser des questions embarrassantes aux adultes.
Non pas que ça lui manquait à Aliénor toute ses questions mais, la petite qui habituellement était pleine de vie, était en ce moment un peu trop renfermée sur elle-même.

Aliénor décida donc de l’emmener en ballade. Certes ce ne serait pas une ballade comme Clotilde en faisait avec sa feu-tante Euphrasie, mais ça devrait quand même lui changer un peu les idées.

Alors qu’Ovni s’entraînait pour les jeux inter-village, elle partie avec la fillette, suivies de prêt par le jeune loup, dans la campagne Alençonnaise.

Entendant le bruit d’un ruisseau, elles s’étaient dirigées dans cette direction, pensant pouvoir se rafraîchir un peu, par cette chaude journée d’été. Quelle ne fut pas leur surprise en sortant des bois, que de voir, non pas un ruisseau, mais une magnifique cascade !

Oh ! Regarde Clotilde comme c’est beau !
Ça te dit d’aller te baigner ?
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En voyage !!!

Euphrasie, Ananou, son papa pour elle toute seule, le Berry, les leçons de brigandage sur les chemins, Mira et Amb'... Voila une liste non exhaustive de tout ce qui manquait à Tilde depuis quelques jours déjà... Alors quand Aliénor lui avait proposé une balade - non pas que ce fut la personne avec qui elle aurait le plus aimé se balader, mais bon... - elle accepta avec un semblant de joie feinte dont elle avait le secret pour ne pas inquiéter son monde... En plus ça permettrait à Aïon de se dégourdir les pattes !

Durant le trajet, elle ne parla pas. Non pas qu'elle n'eut point voulu parler, mais plutôt qu'elle ne savait jamais vraiment quoi raconter à Aliénor. Elle ne pouvait pas parler de leur souvenirs communs, sa mémoire de bébé n'avait enregistré que de vagues images de son père, et quelques sensations lui rappelant sa mère... Elle ne pouvait pas parler de ses projets, la jeune femme n'étant pas portée sur le brigandage comme le reste des femmes de la famille... Elle ne pouvait pas parler de son père, elle n'obtiendrait pas les réponses qu'elle voudrait, elle le savait déjà...

Alors quand leurs pas les menèrent, non pas à un ruisseau, mais à une cascade, Clotilde était bien contente, cela ferait un sujet de conversation.

Oh ! Regarde Clotilde comme c’est beau !
Ça te dit d’aller te baigner ?

Pas eu le temps de répondre que déjà Aïon galopait à toutes pattes vers l'eau fraîche et bouillonnante, essayant de rejoindre le point de chute de l'eau. Comme quoi, même les loups sont écolos, ils préfèrent les douches aux bains ! (c'était la blagounette du jour ^^).

Heu... Il est plus rapide que moi sur ce coup là ! Un sourire qui passe furtivement sur ses traits.
J'peux m'baigner toute habillée ou pas Ali ?? J'ai pas de vêtement de rechange, mais ça lavera au passage ! ^^

Elle s'attarda un instant sur la vue. C'est vrai que c'est cro beau !!
"Mais pas autant que le lac de Bourges" pensa-t-elle.
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Aliénor sursauta en sentent le loup passer entre elle et Clotilde.
Jamais elle s’habituerait à cet animal ! Elle ne l’avait pourtant jamais vu se comporter comme un « vrai » loup, mais c’était plus fort qu’elle : Rien que de savoir de quoi il pourrait être capable l’effrayait ...
Cependant elle ne pu s’empêcher d’éclater de rire en le voyant se précipiter sous la cascade.

Heu... Il est plus rapide que moi sur ce coup là !

Oh, c’est sur ! Et il a l’air d’aimer l’eau en plus !
Je ne savais pas que les loups aimaient l’eau moi.

Elle sourit à Clotilde.

Bon, quitte tes chausses quand même. Et oui, tu peux garder ta chemise et tes braies. De toute façon, avec la chaleur qu’il fait aujourd’hui, ça sèchera vite !

Aliénor fit la même chose : Elle ôta ses chausses, et retroussa légèrement ses braies, avant de tremper ses orteils dans l’eau.

Mmm … Elle est fraîche ! Ça fait du bien !

Et elle avança un peu plus dans l’eau.
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En voyage !!!

Clotilde ôta ses chausses avec toute la dextérité d'une gosse de presque 6 ans, c'est-à-dire en s'aidant de son autre pied ! Elle courut ensuite jusqu'à l'endroit où se trouvait Aïon et plongea à quelques mètres de lui...

D'abord un gros "plouf", puis plus rien, juste quelques vaguelettes à la surface, des bulles, du remous... Clotilde ne savait bien sûr pas nager !!! XD
Le louveteau plus si jeune que ça nagea avec prestance jusqu'à l'endroit d'où les bras de la gamine commençaient à se faire voir. La gosse s'agrippa à une touffe de poil et remonta le nez à la surface de l'eau.

Reprenant son souffle, elle cria en direction d'Ali :

C'est pour ça qu'il aime l'eau, parce que sans lui je peux pas me baigner, je sais pas bien nager !!

Battant des pieds, elle tenta de garder la tête hors de l'eau toute seule, mais garda tout de même une main sur l'animal.
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Alors qu'Aliénor avançait prudemment dans l'eau, Clotilde à l'inverse, s'y jeta dedans, éclaboussant out ce qui se trouvait à proximité, dont sa belle-maman.

Norf ! Clo ! J'suis trempée !

Dit-elle en s'adressant à ... rien, puisque Clotilde avait disparu dans les eaux bouillonnantes.

Norf !

Alinénor se précipita.
Heureusement, le louveteau était plus rapide qu'elle, et avait déjà récupéré sa petite maitresse. Il était moins maladroit qu'Aliénor également, puisque, en se précipitant, elle glissa sur une pierre, et se retrouva à son tour submergée.

Elle se redressa et allait à nouveau émettre cette expression typiquement berrichonne, quand elle réalisa que, finalement ça faisait un bien fou d'entre entièrement dans cette eau.

Mmm .... on est bien ici finalement !

Elle nagea en direction de Clotilde.

Oui ma puce, je vois que Aïon s'occupe bien de toi !
Alors, qu'est ce que tu en penses ? C'était une bonne idée cette ballade non ?
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En voyage !!!

Clotilde éclata de rire en voyant Ali se casser la figure dans l'eau. Elle ne se moquait pas bien, sûr, elle ne faisait que rigoler ! ^^

Oui ma puce, je vois que Aïon s'occupe bien de toi ! La gamine joignit le geste à la parole d'Aliénor, et tapota le dos d'Aïon, qui lui tournait autour tout en nageant.
Alors, qu'est ce que tu en penses ? C'était une bonne idée cette ballade non ?

Elle aurait pu être mieux cette balade, avec papa et maman par exemple, ou encore dans les marais boueux de Bourges, mais pas la peine de vexer la jeune femme ou de plomber l'ambiance. Clotilde afficha un léger sourire satisfait, ses cheveux tout mouillés aidant à lui retirer toute expression sérieuse sur le visage.

Ui... Si j'avais su, je serais venue ici plus tôt. Ca occupe de se baigner, et la cascade est jolie.

Elle empoigna la fourrure trempée d'Aïon.
Va jusqu'à la cascade, mon gros ! Allez !!

L'aidant en battant des pieds, le louveteau se mit en route vers la douche en plein air ! XD
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Tout mouillé et vu de plus prêt, le loup n'avait l'air si effrayant que ça finalement ! Et il avait l'air vraiment très attaché à Clotilde !
C'est donc sans crainte (ou presque) qu'Aliénor suivit la fillette et l'animal en direction de la cascade.

Arrivé là bas, Aliénor aida Clotilde à monter sur une pierre plate, et toutes deux laissèrent l'eau couler sur le visage et leur corps, en souriant.

Mmm ... c'est vraiment très agréable une douche comme ça !
Dommage qu'il n'y ait pas de cascade à St Aignan !

Leur vêtements leur collaient à la peau, et la chemise blanche d'Aliénor était devenue transparente. Elle ne s'en était pas encore rendue compte, toute au bonheur de cette douche rafraichissante ....
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En voyage !!!

Clotilde aimait crapahuter. Y aurait-il eu encore en plus des passants à brigander au détour d'un rocher, qu'elle n'aurait pas été plus heureuse au monde ! Malheureusement pas de victime en vue, et Ali n'était pas branchée bourses... (^^)

Elle se contenta donc de la douche ! Qui n'était pas désagréable cela dit ! Des énormes gerbes d'eau se fracassaient sur son visage avec une force légère et rafraichissante. Ses cheveux étaient aussi trempés que ses vêtements. Aïon grimpa à son tour sur une pierre, près de sa jeune maîtresse, et commença à s'ébrouer avec force, projetant des éclaboussures d'eau tout autour de lui. La gamine ferma les yeux et s'imagina ailleurs un court instant. Où ? Aucune idée, mais ailleurs, très loin, avec sa maman cette fois-ci. Puis elle rouvrit presque aussitôt les yeux, pas la peine d'être trop nostalgique, elle détestait ça. Elle se tourna vers Ali.

Dommage plutôt que Bourges n'ai pas de cascade ! je veux habiter à Bourges moi ! Avec Anja peut-être, près des tombes de maman et tatie Euphra.

Un air étrangement sérieux passa dans son regard, puis elle leva de nouveau le visage vers le torrent d'eau qui innondait ses vêtements. Un coup d'oeil vers Ali... On voyait "ses petites doudounes tombantes", comme aurait dit tatie Mira pour certifier que les siennes étaient les mieux en comparaison ! Mais fallait savoir que pour tatie Mira, tout était petit et tombant du moment que c'était pas à elle ! ^^ La gosse pouffa de rire à cette pensée.
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Dommage plutôt que Bourges n'ai pas de cascade ! je veux habiter à Bourges moi ! Avec Anja peut-être, près des tombes de maman

Aliénor poussa un soupir.

Y’a rien à Bourges, que veux-tu aller faire là bas ? On s’y ennuie à mourir.
Remarque, tu auras personne à embêter en leur demandant de te montrer leur zizi. Mais pas de camarades de jeu non plus. Tu t’étais trouvé quelques copains et copines à St Aignan, non ?

Je sais bien que ta maman et tatie Euphra te manquent, mais habiter là bas ne te les rendra pas.
Et puis tant qu’elles sont encore dans ton cœur et dans tes pensées, elle sont pas vraiment mortes.
Et ne t’en fait pas, dans mes pensées à moi, elles y sont à chaque fois que je te regarde !

Oui, Clotilde était une fillette ravissante, qui ressemblait beaucoup à sa maman.
Ananou … une femme belle, drôle, sympathique, qui avait tout pour elle … sauf peut être le principal.
Quand à Euphrasie, elle la retrouvait dans le caractère de cochon de la fillette.

Aliénor sorti de ses pensées en entendant Clotilde pouffer de rire.

Qu’est ce qui te fait rire ma puce ?

Dit, on reste encore un peu ou on va se balader ailleurs ?
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En voyage !!!

Qu’est ce qui te fait rire ma puce ?
Dit, on reste encore un peu ou on va se balader ailleurs ?

Clotilde retint son fou rire au maximum. Pas la peine de vexer Ali en lui expliquant pourquoi elle rigolait. Pour une fois qu'elle avait droit à une balade...

Rien rien... Elle sauta aussitôt sur la seconde question. On peut aller à l'étang un peu plus bas ? J'aime bien les étangs... et les lacs... Aussitôt dit, aussitôt fait, Clotilde replongea dans l'eau pour rejoindre la rive, suivie de près par Aïon comme bouée de sauvetage. Tout en nageant, la petite réfléchissait... Elle n'avait pas la capacité d'abstraction des grandes personnes. Quand elle se regardait dans un miroir, elle ne voyait qu'elle-même, pas sa mère ou sa tante... Elle ne voyait même pas vraiment son père en elle. Même Aïon présentait plus de similitudes de caractère avec elle !

Relaçant ses chausses, elle se tourna ensuite vers Ali qui l'avait rejointe.

Dis ? Tu dis tout le temps que maman elle était gentille, mais t'aimais pas non plus tatie Euphra toi ? Un court instant elle eut un air particulièrement mauvais en pensant à son père et sa tante. Elle t'aimait plus que papa toi ! Elle disait que ça aurait été bien de faire une famille tous les quatre, que toi tu aurais tenu la maison, papa il aurait fait semblant de travailler pour gagner des sous pour nous, et elle elle aurait vraiment rapporter les sous à la maison sans travailler. Et que moi elle voulait que j'ai un précepteur germain. Et pis Aïon il aurait gardé la maison, hein Aïon ?? La grosse bête velue s'ébroua juste à se moment là, balançant des gerbes d'eau alentour. Oh bah oui mon gros, t'es tout mouillé !

Elle ramassa sa besace, ressortit son médaillon de sous ses vêtements, et attendit Ali pour continuer la balade.
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Patoche et Racam restèrent un bon moment l'un contre l'autre tellement longtemps qu'ils en avaient cesser de parler ,Patoche se sentant au bord de l'assoupissement se releva doucement après avoir déposer un baiser à un Racounet tout somnolant lui aussi.
Elle s'apperçut qu'il y avait de nouveaux arrivants ,une mère et sa fille ainsi qu'un jeune louveteau.

Patoche s'approcha de l'eau pour se rafraichir le visage lorsque la voix de la jeune femme lui fit relever la tête :

En regardant plus attentivement ,les traits de le jeune femme ne lui était pas inconnue... Rhalala foutue mémoire Pensa t'elle .

Elle se redressa et se décida de s'approcher en éspèrant qu'elle se souviendrait de qui il s'agissait avant d'arriver à sa hauteur au risque de se rendre ridicule ...Elle continua de s'approcher et elle ne se souvenait pas ...Elle arriva à sa hauteur ...Ben te voilà bien maligne ...Soudain ça lui revenait .. enfin sauf le nom .

Bonjour ,vous vous souvenez de moi? On c'est vu à Montmirail,nous avons fait route ensemble jusqu'ici.Je m'apelle Patoche. Jetant un coup d'oeil à l'enfant. C'est votre fille? elle à l'air de bien s'amuser .

Patoche adressa un sourire à la jeune femme et regarda la fillette jouer se disant qu'il était dommage que Marta soit déjà partie elles se seraient bien amusées ensemble,Marta n'avait malheureusement pas beaucoup d'enfant de son âge avec qui jouer.
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Décidément, les enfants, ils ne fallait pas grand chose pour les faire rire !
Aliénor n'avait pas bien compris pourquoi la petite riait, mais elle était contente de la voir heureuse. Et si aller au lac lui faisait plaisir, et bien elles iraient !

Allé zouh ! Direction le lac !

Elle plongea dans l'eau et suivit Clotilde.
Elle nageait mieux qu'elle et elle aurait pu la doubler facilement, mais elle était sure que Clotilde serait contente d'arriver en premier sur la berge.
Elle la suivit donc tranquillement, et la rejoignit, alors qu'elle enfilait déjà ses chausses.

Tu as l'air bien pressée dit donc !

Aliénor s'assit dans l'herbe, et pris le temps d'essuyer ses pieds, ses jambes, ses bras, et même ses cheveux avec sa cape, qui était au fond de sa besace.
Malgré que ce ne soit pas très seyant, une cape, il n'y avait rien de tel en voyage: Ça servait à tout !
Elle remarqua alors seulement la transparence de sa chemise.

Norf !

Aussitôt elle mis sa cape sur elle pour cacher sa peau qu'on voyait beaucoup trop à son gout, sous le tissus.
Mais elle se rendit compte qu'elle aurait beaucoup trop chaud là dessous. Regardant à droite à gauche, elle ne vit que peu de monde aux alentours. Elle ôta donc sa cape et la remis dans son balluchon. Peut être qu'en le portant dans ses bras, au lieu de sur son dos, ça cacherait le principal ...

Alors qu'elle réfléchissait à la question, Clotilde la sortie de ses pensées.

Dis ? Tu dis tout le temps que maman elle était gentille, mais t'aimais pas non plus tatie Euphra toi ?

Oui, j'aimais beaucoup ta maman ...
Comme Euphra lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, physiquement je veux dire, je pense que j'espérai la retrouver à travers elle ... mais non, c'est pas comme ça que ça marche ...
De toute façon,ta tatie avait un caractère de cochon ! Et je n'appréciait pas le fait qu'elle n'avait aucune confiance en Ovni, et ne le laissait pas te voir !

Elle disait que ça aurait été bien de faire une famille tous les quatre, que toi tu aurais tenu la maison, papa il aurait fait semblant de travailler pour gagner des sous pour nous, et elle elle aurait vraiment rapporter les sous à la maison sans travailler.

Une famille tous les quatre !
Non tu rigoles ! Ça n'aurait jamais marché !
Et imagine ce que les gens auraient dit, si ton papa vivait avec deux femmes ! C'est un coup à finir au bucher ça !

Alors qu'elle essayait de se retenir de rigoler, en imaginant la famille que venait de décrire Clotilde, afin de ne pas la vexer, le loup les aspergea toutes les deux.

Norf !
M'enfin ! Nous revoilà trempées maintenant !

Aliénor ronchonna et ressorti sa cape afin de se sécher un peu.

Tiens Clotilde, tu devrait te sécher un peu toi aussi. Tu risques d'attraper froid si non. Le chemin pour aller au lac est bien ombragé.

Alors qu'elle allaient repartir, une dame vint les rejoindre:

Bonjour ,vous vous souvenez de moi? On c'est vu à Montmirail,nous avons fait route ensemble jusqu'ici.Je m'appelle Patoche.

Oui, oui, bien sur , je me rappelle de vous !
Comment allez vous ?

C'est votre fille? elle à l'air de bien s'amuser

Non, non, c'est la fille d'Ovni, mon chéri que je suis venue rejoindre à Mortagne. Elle s'appelle Clotilde !

Alors ... vous venez prendre le frais vous aussi ?

Tout en discutant avec Patoche, Aliénor avait récupérer discrètement son baluchon, et l'avait placé devant elle, afin de cacher un peu ce que le tissu mouillé laissait apparaitre.
Même si la jeune femme était charmante,e t qu'elle avaient voyagé une journée ensemble, Aliénor était un peu mal à l'aise.
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En voyage !!!