[RP] Jenifaël Luna ... Pour un autre choix !

Elle afficha un sourire.

"- Pense-tu, qu'élever un enfant, sans savoir comment faire, c'est l'aimer ? Alors que demander l'aide de quelqu'un pour s'en occuper au mieux, c'est ne pas l'aimer ? Pour moi, c'est le contraire, je pense que le fait de demander de l'aide permet à l'enfant à venir, non seulement d'apprendre plus de choses, mais aussi d'avoir sans cesse l'attention de quelqu'un, qui lui est entièrement dévoué. "

Non, Castelnau ne sera jamais dévoué à un enfant, alors que les rares fois où elle a eu un enfant à côté d'elle, elle semblait en panique, pratiquement aux larmes.

"- Que voudrais-tu faire pour les paysans qui travaillent dans la champs ? Pour ma part, je pense que déjà en libérant les seigneurs de la guerre pour un règne, cela permettra aux campagnes de revives. D'ailleurs, les animations royales ne sont pas forcément ouvertes seulement à la noblesse. Où crée seulement pour elle. "

La solution ? Comment régler l'éternel problème féodal alors que le roi, délègue ses terres à des vassaux, pour que ceux-ci prennent soin de ses terres et de ses gens ?

"- Tu sais, normalement, c'est au seigneur des terres, de faire en sorte de prendre soin de sa population, en veillant à ce qu'elle ne subissent pas de saccage à cause d'une guerre et en allant la défendre. Ou par exemple en redistribuant correctement les denrées collectées et stockées dans les greniers, pour que personne ne meurt de faim durant l'hiver. C'est au seigneur, également de veiller à ce que les paysans et artisans est une activité suffisante pour assurer leur subsistance et en cas de manque, de les exonérer d'impôts. "

Elle s'installa sur le rebord de l'estrade, pour pouvoir continuer.

"- Par exemple, mon époux qui est comte de Haro et vicomte d'Olite, à été condamné par sa suzeraine à lui fournir 1465 brebis pour un acte qui lui à déplût. Mais, nous n'allons pas prélever tous les troupeaux de nos terres, pour satisfaire cette demande, alors nous avons décidé d'en prélever seulement quelque unes tous les six mois, pour laisser le temps aux brebis de faire des petits et d'en acheter un peu aussi. Nous mettrons surement du temps à payer la dette, mais cela évitera que les terres de mon mari soit en guerre contre sa suzeraine qui est plus puissante que lui. "

Elle termina donc.

"- Le souverain est aussi là pour montrer l'exemple, alors peut-être serait-il sage d'encourager les seigneurs à plus de sagesse envers leurs terres ... Mais cela passe par l'échange et les événements de cours, sont parfois un lieu de débat et d'échanges plutôt intéressants. Bien sûr, cela dépend d'avec qui l'on discute et comment. "

Et la malédiction ?

"- Non, je ne crois pas en la magie, mais certaines choses dans notre monde son bien étrange et Déos est plein de mystères ... "

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Un petit lait de chèvre, et un. Toujours bien ses petites réunions pour promouvoir ses produits. Il s'incline devant le saint Lait de biquette.

Mmmmm. Onctueux, doux et fort. Miam. Au suivant.

"- En faire ou non, ce n'est pas un choix, c'est un devoir envers sa famille et son mari. Et le mariage est un devoir également envers sa famille. "

Et elle ne veut pas être vue, comme un boulet par le princier cousin et la petite bâtarde, comme il le dit si bien, à réussir à apporter une union avantageuse pour leur famille. Et pour les deux Castillans.

"- Pourquoi la Guyenne se serait pas indépendante ? Et bien, ma foi, car, la Guyenne prête allégeance au Souverain de France, pas la Bretagne et que la Bretagne est reconnu comme un état indépendant, avec son propre système héraldique, ses propres reconnaissances et traité et son propre mode électoral. "

Elle termina.

"- De plus, imposer à la Bretagne de revenir dans le giron français, serait obliger les Bretons, qui ne veulent pas de cela à quelque chose et cela encouragerait la guerre. Je ne veux pas la guerre. "

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Elle soupira.

"- C'était il y a très longtemps, vraiment ... Je n'étais même pas née, alors tout ce que je pourrais faire, c'est étudier les écrits qui relatent cette indépendance. "

La brunette semblait embêtée. Cette obsession de la Guyenne de surcroît ...

"- Pour l'instant, moi, toute seule. Je ne peux que promettre une chose. Écoutez les requêtes, mais également écoutez les conseillers et essayer d'agir au mieux, en évitant absolument la guerre. Non, toutes les provinces ne pourraient pas être indépendantes, cela ne fonctionne pas comme ça, en devenant indépendantes, elles se coupent alors du monde politique français et de son économie, à moins de signer des traités, or, ces traités doivent être ratifiés par le duc ou le comte en fonction, mais je suis certaine, que des solutions pacifiques peuvent être trouvées, sans que tout le monde essaye de devenir indépendant chacun chez soit, car notre force, c'est notre unité, alors que certains pays, comme l'Espagne, sont tellement divisés, que les guerres sont monnaie courante et ... Je ne vois pas en quoi cela est une bonne chose. "

Elle inspira.

"- En cours, je pense que je mettrais tout en oeuvre, pour trouver une solution pacifique, mais pour l'heure, je ne peux rien affirmer de catégorique sur ce genre de sujet, mais je suis certaine que l'aide de conseillers est primordiale dans ce genre de problèmes. "

A elle alors de poser une question.

"- Tu me parle de Guyenne car tu es de Bazas n'est-ce pas ? Mais une indépendance est quelque chose de souhaiter par une majorité ... Pourtant, pour l'instant, il me semble que la Guyenne à un duc, élu et reconnu par la France est donc, vassal de la France et non pas indépendant. "

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La mini biscuit comme à chaque élection faisait le tour des stands, elle ferai prévenir ses officiers pour les plus timides qui auraient des questions en vu et place des programmes affichés tôt ou tard.

En attendant elle se présenta simplement attendant un blanc.

Lo bonjorn, Niamh Mc Beth Premier Secrétaire d'Etat. J'espère ne pas déranger.

Regarde un peu, le stand vérifie qu'elle n'a pas loupé un programme ou autre affichage histoire de ne pas faire tache. Regarde la candidate et patiente avant de poursuivre tout en saluant poliment ceux présent dont une fillette.
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Et à la jeune fille, de saluer d'une inclinaison de tête mini-grandeur.

"- Le Bonjour, votre excellence. "

C'est bien ça, non ?

"- Que puis-je pour vous ? "

Elle se relève, après s'être assise sur le bord de l'estrade. Pour saluer l'arrivante.

"- Vous voulez boire ou manger quelque chose ? "

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Arnold faisait le tour des stand électoraux, il avait remarqué une petite fille et l'avait même écouté, c'est fou, quand, elle avait pratiquement posé les mêmes questions que son maître. Il ne savait pas si elle le faisait exprès ou simplement par naïveté, mais cela lui sauvait du temps.

Son maître ayant une certaine somme a donné pour acheter des votes, il avait beaucoup de question à donner. Néanmoins, une question restait en suspend.

Il s'approche, il s'était acheté un petit sucre d'orge mais comme la petite avait fait tout le travaille pour lui, il s'approchait d'abord d'elle et lui tend le sucre d'orge.

Merci petite pour tes questions, cela me sauve du temps. C'est un petit cadeau pour toi pour avoir posé ces questions.

Après, il regarde la dame Jenifael.

Bonjour dame la première secrétaire, je suis Arnold et mon maître m'envoi pour poser des questions aux candidats. Il préfère rester anonyme pour qu'il ne se fasse pas harceler, il a l'intention d'acheter des voies et les donner au candidat de son choix, il a quand même une bonne somme.

Sourit, prend une respiration, rester sur un ton neutre, ne pas faire de gaffe, être courtois se dit-il.

Mon maître trouve votre programme à la sénéchaussée un peu trop vide. J'ai ainsi pu écouter les questions de la petite et vous avez répondu à la majorité des questions de mon maître.

Par contre, j'aimerais savoir ce que vous sous entendez par plus de liberté aux religions. Est-ce que vous comptez ajouter des lignes à l'Édit du Mans?

Deuxième question, vous parlez de paix, la petite a fait état de l'indépendance des provinces. Que comptez vous faire de l'Anjou, du Berry et de l'Artois. Au-delà de ça, comptez vous donnez les mêmes droits aux provinces du DR qu'aux provinces vassales? Mon maître dit que ça règlerait la grogne qu'il y a à l'intérieur du DR.

Mon maître fait dire aussi qu'il serait préférable que la couronne devrait nommer à son choix une province vassale domaine royale. Ainsi, on éliminerait le DR et chaque souverain nommerait sa propre province Domaine Royale où il aurait un droit de regard durant son règne. Ainsi, toutes les provinces seraient traitées en égaux.

Se tait, il y avait plusieurs questions dans son discours et son maître lui avait interdit, il fallait laisser parler la personne et poser les questions une à la fois. Le page un peu maladroit se mordait l'intérieur de la joue.

Entre deux échanges ainsi la mini salua la candidate.

Je viens échanger vis à vis de votre programme je ne vous cache pas être sur ma faim et étant fort curieuse me voici.

Qu'entendez vous par paix durable? Elle vient d'être signée et surtout la trève a duré fort longtemps, pensez vous que l'équilibre soit trop fragile?

Bon ça c'était la question 1, les autres viendraient.
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Les élections… voilà une chose qui lui était clairement passé au-dessus de la tête. Sa santé était bien trop précaire depuis plus d’une semaine pour s’y intéresser réellement. Mais cloitrée au fond de son lit durant des jours, ses seules occupations furent d’écouter les rumeurs rapportées par quelques servantes. A les entendre, ces élections allaient être digne d’une blague de mauvais gout. Depuis quand les élections royale perdaient tout leur prestige ? Depuis quand n’importe qui pouvait se donner la prétention de devenir le Monarque de cet illustre Royaume ? Quand elle entendait le nom de certain candidat son cœur se serrait d’avance. Le royaume allait se transformer soit en guerre interminable, en royaume de traitre, en royaume des bisounours, ou pire encore en fête de la saucisse comme dirait-il. Elle imaginait déjà le prestige de la France s’écrouler sous ses yeux. Elle ne savait si elle devait rire de ces élections, ou réellement s’inquiéter. Un peu des deux finalement, elle ria d’abord, et finit par réellement s’inquiéter. Tant, qu’elle finit même par sortir du lit.

Elle profita donc d’être conduit à la Maison Royale pour une réunion, pour se rendre sur les stands des candidats. Enfin non, uniquement sur un seul. Elle connaissait la candidate uniquement de nom, soit très mal. Mais il en était peut-être là son seul espoir. Du moins son programme était encore trop vague pour qu’elle ne se fasse une idée précise, mais au moins rien n’était encore perdu.

La solaire, qui en fait ne l’était plus en rien tant la pâleur avait envahi tout son être se fit conduire en se tenant au bras de son valet. Ses jambes ne cessaient de lui désobéir et de se dérober sous elle depuis plusieurs jours. Il aurait était carrément de mauvais gout de s’étaler en pleine place Parisienne devant tous. A son arrivée elle remarqua directement la présence de sa douceur biscuitée. Sa suzeraine, sa cousine, son pilier en soit. Sa simple vue suffit à rendre le sourire sur son visage fatigué. Cette fois elle ne put lui sauter au cou en poussant des hurlements stridents comme elles en avaient l’habitude. Elle se contenta donc de lui sourire avec douceur, se tenant fermement à Albert qui était son ombre.

«- Ma douceur, je suis heureuse de te voir. Dès que les beaux jours reviendrons nous nous ferons un de nos séjours Sudiens, nous avons des choses à nous raconter je crois.»

Façon, elles avaient toujours un milliard de choses à se raconter. Réunis, elles étaient vraiment insupportables.
Elle finit par se tourner tout de même par la principale concernée du jour. Elle la détailla discrètement un instant pour se faire une idée première de la candidate, et lui sourit doucement.

«- Bonjour à vous, Je suis Geneviève de Courcy, j’ai été intrigué par votre brève présentation, et l’espoir d’un autre choix comme vous le dites si bien, m’a donné envie d’en découvrir plus. »

Ou comment dire poliment : « Vas-y balance tout et donne une lueur d’espoir pour nous sauver de ce merdier ! » Mais Mary est polie tout de même. Des fois.
Neyco et un homme semblaient avoir posés certaines questions, elle attendait curieusement la réponse. Les siennes viendraient sans doutes en suite.
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En premier. Neyco. Donc, pourquoi une paix durable ? En dehors du fait, qu'on n'ira pas taper sur les copains, quoi ...

"- L'équilibre d'une paix, à l'aube d'un règne de deux pays en guerre depuis longtemps est toujours fragile votre Excellence, c'est du moins ce que je pense et j'aimerais que nous passions du temps à consolider cette paix, pour la rendre le plus durable possible. Néanmoins, l'Empire n'est pas la seule menace, peut-être êtes-vous au courant de quelques agitations sur les territoires Ibérique et cela pourrait nous menacer également. C'est ce que je crains malheureusement et c'est pour cela, que j'aimerais que nous consolidions certains liens, certaines alliances, pour éviter à tout prix cela. "

Comment dire, que se payer un bon jambon ibérique est plus simple que d'aller le faire directement là-bas, en ce moment ? Et qu'elle redoute à chaque instant, un potentiel voyage de son mari, vers la France à cause de l'agitation qui règne là-bas ?
Elle passa, néanmoins, aux autres questions, celles de l'homme, notamment, laissant la Secrétaire d'État réfléchir sur les premières et préparer les suivantes, alors qu'on lui remettait un courrier discrètement, sur lequel elle identifia des armes religieuses.

"- Concernant l'Edit du Mans, la question m'a était déjà posé en privé et je vous répondrais alors ce que j'ai répondu. Et cela tombe bien que notre Première secrétaire d'État soit ici. Je pense que l'Edit du Mans est incomplet. Qu'il nécessite d'être révisé pour accorder des droits similaires aux citoyens français quelles que soient leurs religions, car la religion est l'un des piliers de notre construction personnel, mais pas de nos compétences, de notre valeur à exécuter un travail. "

Elle prit une inspiration.

"- Je pense donc, qu'il est important de respecter aussi les us et coutumes de ces autres religions. Par exemple, un mariage Aristotélicien Réformé, se fait avec le seul témoignage d'un homme, pour les hommes. Le couple n'a nul besoin de plus et je ne vois pas pourquoi, l'on devrait, par exemple, obliger ces croyants à demander le concours d'un héraut ou d'un secrétaire d'état Aristotélicien Romain à prouver leurs unions devant les institutions, alors que pour les Aristotéliciens Romain, un certificat suffit. Comprenez-vous le malaise ? Au final, cela permettrait à l'office des Secrétaire d'État de se recentrer sur leurs travaux premiers, et de même pour les hérauts, à qui l'on trouve sans cesse de nouvelles tâches. "

Elle ajouta enfin.

"- Il serait de bon ton également je pense, d'encourager, puisque l'on ne peux clairement pas obliger, les provinces à abroger les lois concernant l'inéligibilité en fonction de la religion. Ce genre de privations, de malaises est la source malheureusement de conflits et ce n'est pas le but de tout cela. "

Puis l'autre question.

"- Chaque problèmes, trouvera je pense une solutions en temps voulut et surtout une oreille attentive. Néanmoins, je ne peux que m'opposer à cette idée de vouloir nommer une seule province qui serait le Domaine Royale. Le Domaine Royale est un territoire non-divisible. De plus, nommer une province, domaine royal rendrais le pays plus instable que jamais. Là n'est pas mon désir. Quant à l'indépendance des autres ... Je vous l'ai dit, chaque problème aura sa solution. "

Et enfin, voilà un nom connu qui s'avance.

"- Courcy. Cela me parle. "

Elle ajouta donc.

"- Ma présentation est brève, car je ne souhaite pas promettre de choses fausses, d'où mon dernier point sur l'écoute, car je pense que les décisions du souverain doivent découler de l'écoute qu'il possède envers ses sujets. Un souverain est là pour donner une impulsion, une direction, au gouvernement, non pas pour imposer ses seuls choix. Il doit pouvoir être à l'écoute et profiter de son silence, pour réfléchir à des solutions. "

Sages paroles, qui auraient peut-être plu à la grande Béatrice, ou peut-être pas. Quoiqu'il en soit, la jeune femme semblait prendre lentement goût à cette campagne et elle ferma les yeux un instant, elle voulait être à la hauteur de la Castelmaure, mais sont cœur était serré néanmoins en y pensant. Elle ouvrit de nouveau ses olivines, pour écouter les nouvelles questions et la suite du débat.

"- Je tiens à préciser, d'ailleurs, que vous aurez peut-être remarqué l'absence de Quartier Général de ma campagne. Cela est tout à fait normal, je ne souhaite en aucun cas, caché des choses aux gens, alors j'ai décidé de tout faire ici même, de façon ouverte. Et ... Je pense que si les électeurs, me permettent de représenter notre pays en devenant leur souveraine, j'essayerais d'opérer le plus souvent qu'il le sera possible de la même façon. "

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Elle soupira, avant de répondre.

"- Je ne suis pas reine et donc, pas en mesure de prendre la décision pour l'instant, mais simplement d'écouter, sans pouvoir trouver une solution réel à un problème qui nécessite de la réflexion. Or, j'ai l'impression que vous voulez que je vous donner une réponse absolue, une chose miracle que je pourrais faire, et si c'est ce que votre maître attend de moi, je suis sincèrement désolé de ne pouvoir accéder à cette requête. Je ne peux qu'écouter et y réfléchir pour l'instant ... Et si je devenais reine, alors étudier et réfléchir à ce souci. Si cela en est bien un. Mon but, sire, n'est pas de promettre monts et merveilles, mais d'agir au mieux."

Oui. On n'invente pas des solutions en deux minutes, en ayant pas de documents, de requête et d'autres avis. Et surtout, on ne propose pas de choses fausses.

"- Pour les religions, je suis très sincèrement vous dire, que si cela été respecté réellement, alors le problème ne serait pas posé et je vous assure, par expérience, qu'il est bel et bien réel et nécessite, d'après moi, d'être étudié. "

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