--Dacien2
Des voix qui flottaient dans lair ambiant de la grande salle. Alphonse discutant avec Adélaïde mais aussi celles de la clientèle émettant des chuchotis légers pour égayer latmosphère. Il y avait longtemps que le frisson dentamer une nuit de travail frénétique ne lavait pas parcouru. Pour, au final, se rendre compte que cela lui avait manqué. Certes, lArrogant sen voulait encore davoir eu cette soif de curiosité acide. A ses dépends, il ne le serait plus. Et sil navait pas été à la rencontre du Chat, cétait bien parce quil savait quil lui aurait formulé un non de revenir. Après tout, le Comptable nétait que comptable et heureusement, Dacien avait su revenir au bon moment, avant que le Grand Patron ne soit plus visible de quiconque.
Le Brun avait conscience davoir perdu un ami. On savait toujours ce que lon perdait de toute manière. Et pour toutes les conneries déjà entreprises, le retrouver serait plus que complexe. Voire, inenvisageable. Lignorance que le Félin décuplait en cette soirée venait de mettre un terme à toute parenthèse future. Il y survivrait. Il avait vécu bien pire.
Ses émeraudes furent attirées par le Portier qui vint se placer au bar quelques minutes. Un levé de sourcil ne comprenant pas pourquoi cette aisance à vouloir être avec eux. Mouais. Les choses avaient bien changé au Bordel. Il fallait à présent y refaire sa place, son trou comme lon aurait pu dire. Et là, Dacien se sentait un poil désuvré. Comme une impression de ne servir à rien et dêtre lintrus dans ce monde qui avait tourné sans lui pendant tous ces mois. Pas grave. Le Courtisan retrouverait sa place dantan en passant par la case découverte de ce monde pour les apprendre en silence, chacun leur tour.
Et le claquement à la porte obligea le Portier à se remettre à sa fonction. Ah! Au moins, lui, il faisait son boulot dune maitrise implacable pour laisser pénétrer une ombre noire encapuchonnée. Seul un regard clair apparaissait avec cette stature légèrement arrogante en se déplaçant. La capuche fut tombée pour laisser apparaitre les ébènes qui cachaient furtivement son visage. Quelques pas de cette jeune femme pour se diriger vers le bar. Doucement, elle sinstalla au comptoir. Une gorgée découlant dans son gosier tout en observant ses joues creuses qui paraissaient accentuées par les reflets des bougies. Une voix légère, fluette. La pauvre Dame navait pas lair rassuré et, dun mouvement de hanches, son minois se retrouva face à elle.
Bonsoir Dame.
Dun ton calme et posé. Un fin sourire histoire de la mettre à laise.
Puis-je vous offrir un verre?
Simple courtoisie pour lheure. Son arrivée fut presque providentielle. Elle pourrait lui changer les idées quelques minutes, voire plus si cela était souhaité.
Le Brun avait conscience davoir perdu un ami. On savait toujours ce que lon perdait de toute manière. Et pour toutes les conneries déjà entreprises, le retrouver serait plus que complexe. Voire, inenvisageable. Lignorance que le Félin décuplait en cette soirée venait de mettre un terme à toute parenthèse future. Il y survivrait. Il avait vécu bien pire.
Ses émeraudes furent attirées par le Portier qui vint se placer au bar quelques minutes. Un levé de sourcil ne comprenant pas pourquoi cette aisance à vouloir être avec eux. Mouais. Les choses avaient bien changé au Bordel. Il fallait à présent y refaire sa place, son trou comme lon aurait pu dire. Et là, Dacien se sentait un poil désuvré. Comme une impression de ne servir à rien et dêtre lintrus dans ce monde qui avait tourné sans lui pendant tous ces mois. Pas grave. Le Courtisan retrouverait sa place dantan en passant par la case découverte de ce monde pour les apprendre en silence, chacun leur tour.
Et le claquement à la porte obligea le Portier à se remettre à sa fonction. Ah! Au moins, lui, il faisait son boulot dune maitrise implacable pour laisser pénétrer une ombre noire encapuchonnée. Seul un regard clair apparaissait avec cette stature légèrement arrogante en se déplaçant. La capuche fut tombée pour laisser apparaitre les ébènes qui cachaient furtivement son visage. Quelques pas de cette jeune femme pour se diriger vers le bar. Doucement, elle sinstalla au comptoir. Une gorgée découlant dans son gosier tout en observant ses joues creuses qui paraissaient accentuées par les reflets des bougies. Une voix légère, fluette. La pauvre Dame navait pas lair rassuré et, dun mouvement de hanches, son minois se retrouva face à elle.
Bonsoir Dame.
Dun ton calme et posé. Un fin sourire histoire de la mettre à laise.
Puis-je vous offrir un verre?
Simple courtoisie pour lheure. Son arrivée fut presque providentielle. Elle pourrait lui changer les idées quelques minutes, voire plus si cela était souhaité.