Etienne_de_ligny
Ordonner qu’il la prenne. Première et grossière erreur. Une putain exécute mais n’ordonne pas.
Plaquer sans sensualité contre son visage, son antre pour en réclamer des délices. Rédhibitoire et vulgaire. Le client prend mais ne se soumet pas aux caprices d’une putain. Les initiatives et les gestes se doivent d’être enjôlés et voluptueux.
Deux erreurs grossières qui par leur enchainement embrase le Griffé dont la rigueur s’abat avec sécheresse et violence à travers un coup de crocs contre ses lèvres intimes. Pour qui se prenait-elle pour oser revêtir la tenue de dominatrice? Qui était-elle pour croire qu’un Griffé allait ainsi se laisser commander par une vulgaire femelle ? Elle n’est qu’une putain, un présent qui se comporte comme une puterelle des bas-fonds et dont la grâce s’essouffle sous le poids d’une soif incontrôlable. Si elle n’avait pas été un présent, Etienne l’aurait laissé là, pantoise et haletante, sans réclamer son dû pour aller trouver ailleurs de quoi se sustenter. Mais le potentiel malgré tout est là, sous ces courbes aguicheuses, sous cette bouche et cette gorge dont les délices ne sont plus à corriger. Pourtant, par cette vulgarité, l’Opale avait souillé l’image douce et sensuelle que se devait de revêtir une courtisane de luxe.
D’un geste froid, il soulève le bassin de la putain pour dégager son visage de ses cuisses d’albâtre. La poigne est ferme mais néanmoins contenue alors que le courtisan, sanguin, peine à contenir ses instincts machistes et primaires. L’Opale est rallongée sur la couche et Etienne posé à ses côtés, observe le couple qui s’active et alors que le comportement de la putain aurait suffi à lui seul pour calmer toute ardeur, la vision d’Alphonse irrigue ce vit dont la roideur reste de marbre.
Recommence.
L’ordre est donné, sec et méprisant envers l’Opale dont la perversion et le talent peuvent, selon lui, s’élever au-delà de cette grossière mascarade. Regagnant le bord de la couche, s’asseyant aux côtés de l’Amant, le Griffé fixe sa proie. Sa voix porte et les conseils se perdent à l’adresse de la future courtisane.
L’Opale sache qu’en plus d’être un présent, tu passes également ton test pour devenir une courtisane digne de l’Aphrodite. Mais qu’une chose soit claire, ne t’avise plus jamais de te comporter de la sorte avec moi. A mes yeux, une femme n’est rien qu’un ensemble charnel dédié au plaisir. Une harmonie de formes utiles et salvatrices composée d’un cul, d’un con, de monts et d’une bouche et cette vision, tes clients la partageront également. Alors comporte-toi comme une courtisane et non comme une putain affamée et vulgaire. Si un client a besoin d’être dominé, on saura faire appel à tes services. Mais de toi à moi…Ne te trompe pas de client. Je suis un dominant…Non une fiotte que tu pourrais impressionner par tes jeux de cuisses et sache que par cette unique morsure, tu restes bien chanceuse.
Le Griffé prend...Règle de base.
La Femelle obéit...Règle de bienséance.
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L'Aphrodite, une invitation indécente.
Plaquer sans sensualité contre son visage, son antre pour en réclamer des délices. Rédhibitoire et vulgaire. Le client prend mais ne se soumet pas aux caprices d’une putain. Les initiatives et les gestes se doivent d’être enjôlés et voluptueux.
Deux erreurs grossières qui par leur enchainement embrase le Griffé dont la rigueur s’abat avec sécheresse et violence à travers un coup de crocs contre ses lèvres intimes. Pour qui se prenait-elle pour oser revêtir la tenue de dominatrice? Qui était-elle pour croire qu’un Griffé allait ainsi se laisser commander par une vulgaire femelle ? Elle n’est qu’une putain, un présent qui se comporte comme une puterelle des bas-fonds et dont la grâce s’essouffle sous le poids d’une soif incontrôlable. Si elle n’avait pas été un présent, Etienne l’aurait laissé là, pantoise et haletante, sans réclamer son dû pour aller trouver ailleurs de quoi se sustenter. Mais le potentiel malgré tout est là, sous ces courbes aguicheuses, sous cette bouche et cette gorge dont les délices ne sont plus à corriger. Pourtant, par cette vulgarité, l’Opale avait souillé l’image douce et sensuelle que se devait de revêtir une courtisane de luxe.
D’un geste froid, il soulève le bassin de la putain pour dégager son visage de ses cuisses d’albâtre. La poigne est ferme mais néanmoins contenue alors que le courtisan, sanguin, peine à contenir ses instincts machistes et primaires. L’Opale est rallongée sur la couche et Etienne posé à ses côtés, observe le couple qui s’active et alors que le comportement de la putain aurait suffi à lui seul pour calmer toute ardeur, la vision d’Alphonse irrigue ce vit dont la roideur reste de marbre.
Recommence.
L’ordre est donné, sec et méprisant envers l’Opale dont la perversion et le talent peuvent, selon lui, s’élever au-delà de cette grossière mascarade. Regagnant le bord de la couche, s’asseyant aux côtés de l’Amant, le Griffé fixe sa proie. Sa voix porte et les conseils se perdent à l’adresse de la future courtisane.
L’Opale sache qu’en plus d’être un présent, tu passes également ton test pour devenir une courtisane digne de l’Aphrodite. Mais qu’une chose soit claire, ne t’avise plus jamais de te comporter de la sorte avec moi. A mes yeux, une femme n’est rien qu’un ensemble charnel dédié au plaisir. Une harmonie de formes utiles et salvatrices composée d’un cul, d’un con, de monts et d’une bouche et cette vision, tes clients la partageront également. Alors comporte-toi comme une courtisane et non comme une putain affamée et vulgaire. Si un client a besoin d’être dominé, on saura faire appel à tes services. Mais de toi à moi…Ne te trompe pas de client. Je suis un dominant…Non une fiotte que tu pourrais impressionner par tes jeux de cuisses et sache que par cette unique morsure, tu restes bien chanceuse.
Le Griffé prend...Règle de base.
La Femelle obéit...Règle de bienséance.
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L'Aphrodite, une invitation indécente.
