--Sybil
Baiser d'Adryan sur son front, elle sourit doucement, si contente d'avoir trouvé dès son arrivée un allié ! Puis entrée du patron qui fait la morale à Étienne, sur le ton de la plaisanterie. Et lui fait compliment sur sa robe. Le sourire s'agrandit donc, elle a bien fait de s'écouter, finalement !
- Merci, Alphonse !
Puis, dans l'enchaînement, ce fut à Angella de lui répondre, la complimentant également, et lui proposant son aide en cas de besoin. Elle allait lui répondre, quand... Le Griffé s'empara du Chat, et plus précisément de ses lèvres. Soit. Sa bouche ouverte se referme sans qu'elle ait prononcé un mot, mais le regard ne se détourne pas. Après tout, elle n'était pas choquée, ce genre de pratiques étaient légion dans le confinement des bordels. Se contentant donc de prendre note des goûts de ces deux-là, elle finit enfin par braquer ses yeux vers Adryan, regrettant de n'avoir pris à boire. Mais elle ne commanda pas pour autant de verre, parce qu'elle avait dépensé tout son pécule dans les trois robes et n'avait plus un sou vaillant en poche. Elle se contenta donc de hausser les sourcils, rouler des yeux et sourire en coin, espérant par ses mimiques amuser le barman.
Mais sans transition, voilà qu'Étienne se tourna vers elle pour lui faire la conversation. Prête pour son premier client ? Ha, si seulement on pouvait en revenir au tout premier ! Toujours sans se départir de son sourire, elle lui répond, malicieuse :
- Tout à fait prête. Mais ne t'inquiète donc pas, ce ne sont ni les gros ni les vieux qui me font peur...
Plutôt les désaxés. Il y avait une fille, dans l'autre bordel, qui s'était retrouvée avec un il crevé à la suite d'une rencontre avec un malade pareil... Rien que d'y penser, elle en frissonnait.
- Quant à pouvoir me réconforter, tu sais... Je ne suis pas sûre que tu en aies les moyen !
Mais la porte s'ouvrit, et, curieuse, la jeune femme détourna le regard vers l'entrée du salon. Urgh ! L'homme qui entra ne lui inspira absolument pas confiance. A vrai dire, avant même qu'il n'ouvre la bouche, elle le classa dans la catégorie des cinglés. Une telle apparence... Comble du malheur, elle était la seule femelle disponible de la pièce, ses collègues au féminin n'ayant pas encore daigné faire leur apparition.
Se penchant donc à l'oreille du Ligny, elle lui glissa :
- Lui, par contre, il me fait peur.
Heureusement, pour l'instant, tout ce qui semblait l'intéresser était le bar. Plus qu'à espérer que d'autres fassent leur entrée rapidement.
- Merci, Alphonse !
Puis, dans l'enchaînement, ce fut à Angella de lui répondre, la complimentant également, et lui proposant son aide en cas de besoin. Elle allait lui répondre, quand... Le Griffé s'empara du Chat, et plus précisément de ses lèvres. Soit. Sa bouche ouverte se referme sans qu'elle ait prononcé un mot, mais le regard ne se détourne pas. Après tout, elle n'était pas choquée, ce genre de pratiques étaient légion dans le confinement des bordels. Se contentant donc de prendre note des goûts de ces deux-là, elle finit enfin par braquer ses yeux vers Adryan, regrettant de n'avoir pris à boire. Mais elle ne commanda pas pour autant de verre, parce qu'elle avait dépensé tout son pécule dans les trois robes et n'avait plus un sou vaillant en poche. Elle se contenta donc de hausser les sourcils, rouler des yeux et sourire en coin, espérant par ses mimiques amuser le barman.
Mais sans transition, voilà qu'Étienne se tourna vers elle pour lui faire la conversation. Prête pour son premier client ? Ha, si seulement on pouvait en revenir au tout premier ! Toujours sans se départir de son sourire, elle lui répond, malicieuse :
- Tout à fait prête. Mais ne t'inquiète donc pas, ce ne sont ni les gros ni les vieux qui me font peur...
Plutôt les désaxés. Il y avait une fille, dans l'autre bordel, qui s'était retrouvée avec un il crevé à la suite d'une rencontre avec un malade pareil... Rien que d'y penser, elle en frissonnait.
- Quant à pouvoir me réconforter, tu sais... Je ne suis pas sûre que tu en aies les moyen !
Mais la porte s'ouvrit, et, curieuse, la jeune femme détourna le regard vers l'entrée du salon. Urgh ! L'homme qui entra ne lui inspira absolument pas confiance. A vrai dire, avant même qu'il n'ouvre la bouche, elle le classa dans la catégorie des cinglés. Une telle apparence... Comble du malheur, elle était la seule femelle disponible de la pièce, ses collègues au féminin n'ayant pas encore daigné faire leur apparition.
Se penchant donc à l'oreille du Ligny, elle lui glissa :
- Lui, par contre, il me fait peur.
Heureusement, pour l'instant, tout ce qui semblait l'intéresser était le bar. Plus qu'à espérer que d'autres fassent leur entrée rapidement.