--Fatoune
La Noiraude avait fait le pas. Enfin elle avait fait le geste de postuler dans un lieu de maison close. Être courtisane lui serait bénéfique. Elle pourrait assouvir ses bas instincts en offrant aux hommes ce dont ils n'arrivaient pas à recevoir. Qu'importait qu'ils étaient ou non célibataire. Ceci étant le cadet de ses soucis. Si souci il y avait.
Ainsi, bout de parchemin en main, avec l'adresse de l'endroit où se rendre dans cette ville bien immense, Fatoune, pour la nommer ainsi, désireuse à demi de ne pas offrir son véritable nom, trouva enfin l'Aphrodite. Du coup, apercevant la haute maison elle en vint à penser qu'elle s'était trompée jusqu'au moment où elle se souvint d'un détail, qu'il y avait deux maisons en une. Et que la seconde, sa porte, était sur le côté et non le devant de la maison.
Faisant alors la grimace, elle franchit le seuil qui séparait le bâtiment de la rue et marcha le long du petit sentier qui sentait vraiment pas très bon.
Dans quelle aventure sordide t'aventures-tu ma jolie ? se murmura-t-elle tout en poursuivant son chemin. Après tout elle en avait connu des bien pire des histoires moribondes. Ce n'était surement pas cela qui allait l'arrêter...
Forte de ses pensées positives, elle arriva à la porte et frappa sur celle-ci quelques coups. Nulle effrayée. Après tout, ce qu'elle s'apprêtait à faire ici, elle l'avait fait pendant plusieurs années, sans qu'on lui demande son consentement. Alors que là, elle le faisait de son plein gré et avec un désir plus qu'évident.
Non l'endroit ne flairait pas bon la bienséance. Non, il ne lui semblait pas de bons augures. Mais... Il l'interpella. Elle sentait d'office, devant cette porte, qu'elle trouverait une certaine famille qui lui ressemblait fortement.
Il ne fallait surtout pas se fier à son apparence ordinaire quand elle était vêtue. Elle aimait bien offrir l'apparence d'une femme bien éduquée.
Par contre, il ne fallait surtout pas oublier qui elle venait voir. Alphonse_Tabouret se répéta-t-elle mentalement, tout en fixant la porte devant elle tout en serrant dans la poche de sa braie, une lettre de recommandation si cela s'avérait nécessaire.
Ainsi, bout de parchemin en main, avec l'adresse de l'endroit où se rendre dans cette ville bien immense, Fatoune, pour la nommer ainsi, désireuse à demi de ne pas offrir son véritable nom, trouva enfin l'Aphrodite. Du coup, apercevant la haute maison elle en vint à penser qu'elle s'était trompée jusqu'au moment où elle se souvint d'un détail, qu'il y avait deux maisons en une. Et que la seconde, sa porte, était sur le côté et non le devant de la maison.
Faisant alors la grimace, elle franchit le seuil qui séparait le bâtiment de la rue et marcha le long du petit sentier qui sentait vraiment pas très bon.
Dans quelle aventure sordide t'aventures-tu ma jolie ? se murmura-t-elle tout en poursuivant son chemin. Après tout elle en avait connu des bien pire des histoires moribondes. Ce n'était surement pas cela qui allait l'arrêter...
Forte de ses pensées positives, elle arriva à la porte et frappa sur celle-ci quelques coups. Nulle effrayée. Après tout, ce qu'elle s'apprêtait à faire ici, elle l'avait fait pendant plusieurs années, sans qu'on lui demande son consentement. Alors que là, elle le faisait de son plein gré et avec un désir plus qu'évident.
Non l'endroit ne flairait pas bon la bienséance. Non, il ne lui semblait pas de bons augures. Mais... Il l'interpella. Elle sentait d'office, devant cette porte, qu'elle trouverait une certaine famille qui lui ressemblait fortement.
Il ne fallait surtout pas se fier à son apparence ordinaire quand elle était vêtue. Elle aimait bien offrir l'apparence d'une femme bien éduquée.
Par contre, il ne fallait surtout pas oublier qui elle venait voir. Alphonse_Tabouret se répéta-t-elle mentalement, tout en fixant la porte devant elle tout en serrant dans la poche de sa braie, une lettre de recommandation si cela s'avérait nécessaire.