Etienne_de_ligny
La main du noble se perd dans la tignasse bretonne doù se dégage le parfum de décadence et de culpabilité pour laquelle Etienne peine à retrouver lintégralité de ses sens et limpartialité de sa raison. Le souffle se fait court, rauque et entrecoupé de râles de plaisir alors que ses mains pressent, étreignent la chair du Félin. Le palpitant saccélère, le bas ventre se serre sous la pression du plaisir mais le corps de son partenaire lui échappe. Létreinte seffrite, se dissipe pour finalement disparaitre, pourtant Etienne est encore en lui, présent dans son être, compressé par cette jouissance à venir. Doit-il quérir sa peau, étreindre son corps contre le sien ? Le noble ne peut sy résoudre, trop fier, trop orgueilleux pour admettre que ce contact est agréable.
Agacé et peinant à maitriser sa jouissance, Etienne relâche ses hanches et serre les poings. Le Breton abuse de son pouvoir, de sa dette et de la patience du Griffé. Son dû est là sous les traits de ce corps languissant et haletant qui attend dêtre saisie à pleine main, à bras le corps. Pourtant, le noble ne peut se résoudre et laffront est de trop. Il nest pas prêt à assumer ce besoin de contact, à lier union masculine et jouissance, à assimiler tendresse, attention et virilité.
Léchine se redresse, fière et impudente, le regard sassombri et alors que le visage du Breton se tourne vers lui afin de lobserver une dernière fois et visualiser le trouble dans lequel le noble est plongé, Etienne abat violement son poing contre sa mâchoire. Le coup est brutal, libérateur, et salvateur. Laffront ainsi balayé dun revers de poing, lhonneur quelque peu retrouvé, Etienne sabandonne pleinement aux bienfaits de livresse, de cette vague de plaisir qui vient semparer de son bas ventre pour venir séchouer dans le corps du Breton. Le râle est profond et vibrant loin de toute notion de discrétion, de confidence.
Le visage du Griffé savance vers la joue rougie du Félin et alors quil déplie ses phalanges endolories, il laisse couler quelques mots, pesés et calmes, dans le creux de son oreille.
- "Ton affront avait la saveur amère dune dette, bien trop salée."
Doucement Etienne séloigne du Breton, essuyant son front et sa nuque ravagée par la sueur et laffront. Il sait le poids de son acte, de ce plaisir qui la ravagé et guidé jusquà la jouissance, le goût écurant et infect du contact et du souffle qui effleure la peau, lodeur nauséabonde de son parfum, de son essence qui reste encore encré dans ses narines. Le noble séloigne et se rhabille alors que sa raison sempresse de justifier son acte et sa perdition. Assoiffé, il sempare du verre resté à labandon et le finit cul sec savourant sa douce brûlure. De nouveau présentable, le goût dAlphonse irradié par le spiritueux, Etienne lorgne le félin.
- "Rassurez-vous, je ne frapperai pas les clientes, sauf si elles me le demandent."
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L'Aphrodite, une invitation indécente.
Agacé et peinant à maitriser sa jouissance, Etienne relâche ses hanches et serre les poings. Le Breton abuse de son pouvoir, de sa dette et de la patience du Griffé. Son dû est là sous les traits de ce corps languissant et haletant qui attend dêtre saisie à pleine main, à bras le corps. Pourtant, le noble ne peut se résoudre et laffront est de trop. Il nest pas prêt à assumer ce besoin de contact, à lier union masculine et jouissance, à assimiler tendresse, attention et virilité.
Léchine se redresse, fière et impudente, le regard sassombri et alors que le visage du Breton se tourne vers lui afin de lobserver une dernière fois et visualiser le trouble dans lequel le noble est plongé, Etienne abat violement son poing contre sa mâchoire. Le coup est brutal, libérateur, et salvateur. Laffront ainsi balayé dun revers de poing, lhonneur quelque peu retrouvé, Etienne sabandonne pleinement aux bienfaits de livresse, de cette vague de plaisir qui vient semparer de son bas ventre pour venir séchouer dans le corps du Breton. Le râle est profond et vibrant loin de toute notion de discrétion, de confidence.
Le visage du Griffé savance vers la joue rougie du Félin et alors quil déplie ses phalanges endolories, il laisse couler quelques mots, pesés et calmes, dans le creux de son oreille.
- "Ton affront avait la saveur amère dune dette, bien trop salée."
Doucement Etienne séloigne du Breton, essuyant son front et sa nuque ravagée par la sueur et laffront. Il sait le poids de son acte, de ce plaisir qui la ravagé et guidé jusquà la jouissance, le goût écurant et infect du contact et du souffle qui effleure la peau, lodeur nauséabonde de son parfum, de son essence qui reste encore encré dans ses narines. Le noble séloigne et se rhabille alors que sa raison sempresse de justifier son acte et sa perdition. Assoiffé, il sempare du verre resté à labandon et le finit cul sec savourant sa douce brûlure. De nouveau présentable, le goût dAlphonse irradié par le spiritueux, Etienne lorgne le félin.
- "Rassurez-vous, je ne frapperai pas les clientes, sauf si elles me le demandent."
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L'Aphrodite, une invitation indécente.