Thomas_sauveur
Une besace qui tombe sur le sol de la pièce, quelques documents qui termine sur une table à la gauche de la porte et deux bottes volant dans un coin. Les pieds nus, la silhouette avance dans sa chambre, il lui avait préparer depuis quelques temps, mais jamais l'homme n'y avait encore mi les pieds. Il n'était pas chez lui dans cet endroit, pas encore, tant mieux. Aucune attache, aucun lien voilà ce que cherchait notre ami en venant s'isoler dans cette pièce. Il n'est plus, ces mots résonnent dans sa tête comme les notes d'un mauvais pianiste, Bordel comment avait-il put ainsi ce laisser surprendre par la mort de son sang, comment n'avait-il pas prévu ce fait et ainsi fermer les remparts de son coeur. Maintenant il n'était qu'une loque, une merde dans l'océan des sentiments.
L'homme échoue sur le lit, grand prévu pour son épouse sans doute, mais elle n'est pas présente et c'était sans doute une bonne chose. Il n'avait rien dit, de toute façon que dire : '' Chérie, notre cousin et amant est mort.'' Elle n'aurait pas compris et puis son frère était aussi partis et cela la touchait atrocement, une mort suffit pour une seule femme. Alors il avait écrit à Alphonse, parce qu'on écrit toujours aux amis dans ce genre de cas et qu'il était le plus vieux après Philip celui qui savait que Thomas était sexuellement déviant, qu'il savait que son cousin était son amant, son coeur, son âme et qu'il avait connu une perte importante. Les mains du Talleyrand passèrent dans ses cheveux et terminèrent sur sa nuque dans un profond soupir. Est-ce une bonne idée d'être ici alors qu'il n'avait pas tout ses esprits ? Après tout Alphonse n'était pas le saint-père et lui avait un tel besoin de réconfort que le mot danger clignotait de partout. Il leva son regard sur la chambre que son ami lui avait fait préparer, celle-ci était convenable, la table ou tonnaient ses parchemins, un placard vide et un autre plein de vêtement toujours utiles comprendra qui pourras-, deux chaises, un lit quelques tableaux tout à fait correct et de quoi faire une rapide toilette. Que demander de plus, si ce n'est quelques livres sur l'économie, mais Alphonse avait prévu sans doute caché là dans ce petit meuble ou ailleurs après tout est-ce important. L'homme ouvrit sa chemise et la retira avant de s'avancer vers la porte pour la refermer d'un coup sec, il aurait dû la refermer et chercher le sommeil, mais...
Toi ! Dit au comptable que Thomas est présent pour quelques jours. Précise qu'il pourras venir avec une bonne bouteille de vin.
Il plongea une main dans ses poches et en sorti un écu brillant avant de le rendre à l'illustre inconnue et refermer la porte d'un claquement sec. Manque cruel de courtoisie, peu importe tout le monde à le droit à un écart de conduite après tout nulle justification à avoir. Il alla rejoindre son lit et à demi-nu s'y coucha fixant le plafond à la lueur d'une bougie. Il aurait dût parier que son ami ne tardera guère à venir le voir, il savait son désarrois et sa culpabilité dans toute cette histoire. Il viendras... Thomas voulait qu'il vienne, la solitude le bouffe, l'attire dans les ténèbres d'un passé trop douloureux
L'homme échoue sur le lit, grand prévu pour son épouse sans doute, mais elle n'est pas présente et c'était sans doute une bonne chose. Il n'avait rien dit, de toute façon que dire : '' Chérie, notre cousin et amant est mort.'' Elle n'aurait pas compris et puis son frère était aussi partis et cela la touchait atrocement, une mort suffit pour une seule femme. Alors il avait écrit à Alphonse, parce qu'on écrit toujours aux amis dans ce genre de cas et qu'il était le plus vieux après Philip celui qui savait que Thomas était sexuellement déviant, qu'il savait que son cousin était son amant, son coeur, son âme et qu'il avait connu une perte importante. Les mains du Talleyrand passèrent dans ses cheveux et terminèrent sur sa nuque dans un profond soupir. Est-ce une bonne idée d'être ici alors qu'il n'avait pas tout ses esprits ? Après tout Alphonse n'était pas le saint-père et lui avait un tel besoin de réconfort que le mot danger clignotait de partout. Il leva son regard sur la chambre que son ami lui avait fait préparer, celle-ci était convenable, la table ou tonnaient ses parchemins, un placard vide et un autre plein de vêtement toujours utiles comprendra qui pourras-, deux chaises, un lit quelques tableaux tout à fait correct et de quoi faire une rapide toilette. Que demander de plus, si ce n'est quelques livres sur l'économie, mais Alphonse avait prévu sans doute caché là dans ce petit meuble ou ailleurs après tout est-ce important. L'homme ouvrit sa chemise et la retira avant de s'avancer vers la porte pour la refermer d'un coup sec, il aurait dû la refermer et chercher le sommeil, mais...
Toi ! Dit au comptable que Thomas est présent pour quelques jours. Précise qu'il pourras venir avec une bonne bouteille de vin.
Il plongea une main dans ses poches et en sorti un écu brillant avant de le rendre à l'illustre inconnue et refermer la porte d'un claquement sec. Manque cruel de courtoisie, peu importe tout le monde à le droit à un écart de conduite après tout nulle justification à avoir. Il alla rejoindre son lit et à demi-nu s'y coucha fixant le plafond à la lueur d'une bougie. Il aurait dût parier que son ami ne tardera guère à venir le voir, il savait son désarrois et sa culpabilité dans toute cette histoire. Il viendras... Thomas voulait qu'il vienne, la solitude le bouffe, l'attire dans les ténèbres d'un passé trop douloureux