Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP mai] B.D.C Telle mère, telle fille

--Kayah
La jeune fille regardait le corps étendu devant elle recouvert d’un drap blanc, la belle pencha la tête mais ne versa aucune larmes pourtant la forme inerte devant elle n’était autre que sa mère.

La marâtre mit une main sur son épaule, lui indiquant qu’elle devait partir de cette maison, en effet la mère de Kayah n’était autre qu’une catin comme elle, comme le dit le bon vieux dicton « telle mère telle fille».
Elle redressa fièrement la tête, remis sa chevelure brune en place, puis se tourna vers la patronne


Dès que j’aurais du travaille je partirais.

Sans rien rajouter de plus, la belle partit vers sa chambre, enfin si l’on pouvait appeler cette pièce une chambre, elle prit un vélin et une plume et commença à rédiger une lettre.
Une des filles lui avait parlait d’un nouvel établissement l’Aphrodite, très beau nom d’ailleurs, sa mère avait beau être une catin, cette dernière lui avait quand même appris à lire écrire et lui avait donnée une éducation que les courtisane n’avait pas forcément, c’est d’ailleurs cela que les clients aimaient chez elle, ils pouvaient avoir une vrai conversation avec elle. D’ailleurs elle n’avait jamais compris ce genre de clients qui préféraient parler que de se donner quelques plaisirs charnels.




Dame, Sir,

Je me permets de prendre la plume en ce jour afin de poser ma candidature dans votre établissement. Je me nomme Kayah, courtisane depuis mes douze ans, comme on dit telle mère telle fille, mon établissement est dans l’incapacité de me garder pour des soucis financiers.

Je vous sollicite afin de ne pas devoir exploiter mes atouts en rues. Je suis une personne de taille moyenne, brune, au visage pâle, aux yeux verts noisette.

Je ne sais comment plus me vendre et obtenir un entretient avec vous

Respectueusement

Kayah


La lettre envoyait la belle se leva, se prépara, enfila une robe qui mettait sa poitrine en valeur, remonta ses cheveux raides dans un chignon faussement négligé et partit à son rendez-vous habituel, avec son client habituel

Sieur le Comte comme je suis ravis de vous rencontrer de nouveau…

Riant et souriant elle lui prit le bras et l’entraina dans sa piaule pour une nuit, en espérant une réponse positive de l’Aphrodite
Alphonse_tabouret

Le flamand décacheta la lettre, parchemin parmi tant d’autres sur son bureau qui ne désemplissait pas de demandes en tous genre. Certaines, cachetée, parfumées, exhalaient des accents de noblesse, de demandes bien spécifiques, car à quoi bon fréquenter un bordel si l’on n'y trouve pas la perversion que l’on est venu chercher. D’autres, plus obscures, tachetés de mots, signalait par quelques codes alambiqués l’arrivage de marchandises dont on ne voulait pas savoir plus que le strict nécessaire, et si Alphonse veillait à ce que seul le commerce d’une chair lascive se prête au sein de l’établissement, il n’en laissait pas moins passer des négoces condamnables. L’Aphrodite se permettait tout à l’exception de l’assassinat et de l’esclavage.
Et pour finir, on trouvait également dans le fatras du vélin, les lettres sobres de ceux qui n’avaient plus que leurs corps pour se sustenter.

Il parcourut la lettre et entreprit d’y répondre, sans pouvoir ôter de ses tempes, le sarcasme qui avait tendance à lui rompre les nerfs depuis la mort de l’anglais.




Dame,
Une bien curieuse demande que voilà.
Si vous ne savez plus comment vous vendre, comment le saurais-je à votre place ?
Si vous vous présentez à l’Aphrodite, tachez d’en avoir une idée. Je n’expose pas de poupées au sein d’un bordel, n’ayant pas le gout des collections, mais propose à mes clients un large choix de caractères et de profils. Qu’importe votre physique, la perversion se trouve dans les moindres recoins de l’âme et ma fois, il en faut bien pour tous les gouts.
Je vous attends, ou pas, prochainement pour votre entretien.

Alphonse Tabouret,
Comptable de l’Aphrodite.


De mauvais poil, certainement, le flamand relut la missive sans se départir d’un sourire insolent, convaincu que ne valait un un coup de griffes pour savoir à qui l’on avait affaire.

_________________
--Kayah
Assise sur sa fenêtre en regardant la rue se peuplée lentement la catin aperçus un émissaire arriver avec un pli, elle n eu le temps de dire ouf que déjà une des filles, Lucinda, était là entrain de remuer le plis en l’air avec un sourire narquois.

Ni une ni deux la brune se leva et sauta littéralement sur la rousse, qui les entraîna toute deux sur le parquet, visiblement la rousse ne voulait pas lui remettre la lettre, regardant Kayah avec défis, sans dire mot la belle passa une main entre les cuisses de la catin, et caressa doucement le fruit défendu, avec un toujours ce petit air de défis qui la caractérisait tant. Un brin provocatrice elle glissa sa bouche le long du cou de la rousse arrivant aux formes désireuses, elle s’empressa de s’amuser de ses dents et de sa langue ses bouts roses déjà tendu sous le désir naissant, tout en appuyant un peu plus ses caresses, soupire de plaisir sortit de la bouche de Lucinda, voyant que cela ne suffisait pas, la brune lui retira ses frusques et lentement traça du bout de sa langue un chemin jusqu’au trésor, c’est à quatre pattes que Kayah écarta doucement les cuisses de son amie et commença de tendre baiser sur ce fruit tant désiré, sa bouche doucement goûta au bourgeon excité, tout en venant explorer de deux doigts l’ atelier de Vénus, puis d’un coup la rousse capitula et son corps se tendit laissant la lettre sans protection.
Dans un geste rapide la belle prit le plis tant convoité et se mit a faire la lecture à haute voix, assise à même le sol, elle resta là un sourire en coin puis se redressa rapidement, laissant son amie au sol.

La courtisane se prépara, une robe mettant en évidence, mais pas trop, sa poitrine et son corps tout simplement, elle s’attacha sa tignasse ébène en chignon laissant ainsi apparaître son cou et ses épaules. Un coup de maquillage très léger et la voilà prête, elle se regarda dans un miroir enfin même si cela était purement pour son coté narcissique car elle savait qu’elle était belle et pouvait plaire aux hommes, autant qu’aux femmes d’ailleurs.

Elle quitta son bordel et partit à l’Aphrodite, certes il faisait jour mais les affaires ne dorment jamais n’est-ce pas ? Enfin la voilà arrivée elle regarda le portier en lui tendant la missive, avec un sourire poli non ce n’était pas lui qu’elle devait séduire, après quelques instant d’hésitation il la laissa entrer.

Tout était calme, les clients étaient partit et les courtisans dormaient surement ou devaient compter leur gains. Elle frappa doucement à la porte du bureau et attendit patiemment qu’on l’invite à rentrer, enfin si on ne la laissait pas entrer elle n allait pas se gêner pour faire intrusion dans le bureau


Alphonse_tabouret

Les coups portés à la porte attirèrent son attention et lorsqu’il jaugea l’heure, il fut presque étonné de constater que la fin de la matinée pointait déjà. Il se souvenait avoir fait un détour par le bureau aux petites heures du matin, quand le bordel avait fermé derrière son dernier client, pour s’assurer d'une note au bas d’un contrat, et de fils en aiguille, de documents en documents, il avait fini par s’engouffrer dans cette brèche magique qu’étaient les chiffres. Une fois jeté si volontairement dans les lignes de comptes et les missives qui allaient avec, il s’y abandonnait complétement, y trouvant pour l’heure son unique refuge pour éviter de ressasser des pensées encore trop fraichement morbides.


-Entrez, invita-t-il en posant sa plume , frottant brièvement de ses doigts fins ses yeux cernés, forçant son attention à ne plus s’obscurcir d’additions et de soustractions pour se concentrer sur la silhouette qui pénétrait dans son bureau. Jeune, jolie, un air mutin rehaussant les lèvres, un cou mis en valeur par quelques nœuds retenant une crinière noire… Alphonse se livra à une observation silencieuse, ni longue, ni lente, mettant à profit ce moment où extirpé d’un monde, on vous jette dans un autre sans sommation, et on l’on a besoin de ces quelques secondes qui semblent interminables aux autres mais qu’ils vous laissent, magnanimes, pour être de nouveau accordé avec ce qu’ils attendent de vous. Et celle-ci attendait après lui. Il passa en revue les rendez-vous de la matinée et n’en trouvant aucun qui correspondait à la charmante opportune, lui opposa un sourire fatigué mais courtois. Vous désirez ?
_________________
--Kayah
Le temps d’attente n’était pas aussi long que ce qu’elle n’aurait pensé, ma foi pas plus mal sa patience avait des limites.

Elle pénétra dans le bureau sombre, ses iris parcoururent le lieu sobre mais élégant, quand cette rétrospection fut finie, la courtisane s’approcha du bureau, se mit face à l’homme.
Et avec un petit sourire en coin la belle, car oui elle se savait très belle ce qui rajoutait un peu plus à son arrogance et narcissisme même si malgré ces défauts elle était très dévouée loyale et gentille, mais ce n’est pas ce qui ressortait aux premiers abords , elle se mit à son tour à regarder le brun en face d’elle, en penchant légèrement la tête sur le côté.
Un brun, aux traits plutôt agréables, en somme cet homme en face d’elle était tout à fait charmant, à cette pensée le sourire mutin s’étira un peu plus, c’est sans quitter de ses noisettes tirant sur le vert que la brune, caressa doucement le bureau puis s’installa sur le fauteuil mis à disposition en face. Il y avait quelques chose cependant dans cet homme, une émotion qu’elle n’arrivait pas forcément à distinguer.

Assise, elle se mit droite en croisant ses jambes, son sourire malicieux se changea en un sourire courtois et aimable enfin tout ce qui était des plus polis, cependant ses yeux reflétaient eux tout autre chose, on pouvait y lire la malice l’envie de jouer, car oui c’était une joueuse.
Un petit instant que ce petit jeu de regard avait débuté, mutuellement les deux protagonistes s’étaient dévisagés sans aucun mot échangé. Arrivait ce moment où les regards ne suffisaient plus et les mots prirent cette place.


    -"Ce que je désire n’est autre que votre désir puis se souvenant des mots de la lettre, car il me semble que la perversion se trouve dans les moindres recoins de l’âme et j’en suis certaine que votre âme en regorge."


Kayah ne dévoila pas son identité, peut être que cette petite phrase allait mettre sur la voie le taulier même si elle en doutait légèrement. Le goût du jeu était plus fort que tout, c’est ce qu’elle nommait ainsi que le commun des mortels, la séduction, elle adorait séduire, se mettre en évidence, se faire remarquer aux yeux de la personne en face.

Son goût du jeu lui avait valu d’ailleurs quelques coups, et il en restait d’ailleurs une petite cicatrice sur la cuisse droite. Un sale épisode, un homme un peu ivre, dans une nuit d’hiver froide, le sang chaud de l’homme avait eu raison de son corps, la ruant de coup,malgré les larmes et la douleur, le boulot fait était fini, elle se devait de garder cette assurance ce jeu pour mettre un ou deux clients dans sa poche . Mais rien n’avait fait changer l’attitude de la courtisane, provocatrice, joueuse et amante, telle mère telle fille.


Alphonse_tabouret
La jeune femme rentra, prenant le temps de regarder autour d’elle, les lieux dans lesquels elle faisait irruption, laissant la question du Comptable flotter entre eux comme un mystère sur le point de se résoudre mais gardant le piquant du silence pour ménager son effet.
Ce fut ensuite à lui de passer aux fers de l’examen, et il s’y substitua, sans la moindre once de réserve, habitué à ce qu’on le détaille bien avant qu’il ne prenne place à ce bureau, tour à tour chasseur et proie, examiné, craint, gourmandé dans les iris de ces autres qu’il avait déjà croisé. L’œil de la demoiselle luisait d’une espièglerie lascive, ce qui égratigna définitivement sa concentration pour ne la reporter que sur elle. Se laissant lentement basculer en arrière, se calant dans le large fauteuil qui lui servait de second lieu de vie, il prit soin de ne point troubler l’accalmie mise en place, seulement froissée par le bruit des jupons de la jeune femme qui, dans le croisement de ses jambes, ne manquèrent pas d’attiser la ouate du silence.


-"Ce que je désire n’est autre que votre désir car il me semble que la perversion se trouve dans les moindres recoins de l’âme et j’en suis certaine que votre âme en regorge."

La mémoire était une chose surprenante, tour à tour sélective, anodine, voire déformée par le prisme des sensations. Alphonse n’échappait pas à certains oublis, quelques cafouillages, mais dans l’ensemble, il se souvenait assez bien des choses, qui plus est quand il les écrivait. Le clin d’œil de la catin fut reçu, comme sa propre signature au bas du vélin, et se revoyant écrire le nom de l’expéditrice sur le parchemin envoyé quelques jours plus tôt, le nom de Kayah apparut devant ses yeux.
Il prit le temps d’observer quelques instants de plus la jeune femme, le sourire las toujours flottant à ses lèvres, lui trouvant une fraicheur somme toute agréable, notant sur son visage, l’expression mutine qu’elle avait prise et tandis qu’il baissait le regard vers les parchemins à sa gauche, fouilla dedans du bout des doigts.

-Mes perversions vont bien au-delà de vos compétences, fit il enfin, doucement narquois lorsqu’il trouva le courrier qu’il cherchait, le sourire s’égayant d’un jeu, qui, s’il ressemblait à celui de Kayah n’en était pourtant pas le même. Mon âme… Il releva ses onyx sur elle, les plantant dans ses yeux… ...possède comme vous le suggérez de multiples recoins, cela dit, je vous conseillerai d’y ajouter les méandres et les falaises… Quant à mon désir… Son regard se reporta au papier… le fait que vous vous y soumettiez de bonne grâce me ravit. Son sourire s’aiguisa, le fauve refaisant brièvement surface dans cet aparté. Il semblerait, Demoiselle, que depuis votre dernier courrier vous ayez appris à vous vendre… La lettre remise en tête fut déposée devant lui quand il en parcourait les derniers mots. Vous cherchez du travail, donc ? L’Aphrodite peut vous en fournir, à quelques menues conditions, la première étant de faire preuve d’une discrétion des plus absolues en ces lieux. Êtes-vous une jeune femme discrète, Kayah, dès lors qu’il s’agit d’affaires ?, demanda-t-il en la dévisageant, la mine peinte d'une moue où le jeu et le travail trouvaient à s’entendre.
_________________
--Kayah
Kayah regarda l’homme en face, puis se penchant en posant ses coudes sur le bureau, laissant ainsi apparaître la naissance de sa poitrine, et posant son minois dans la paume de ses mains avec une moue espiègle et joueuse, le sourire mutin s’agrandissant, un joueur enfin une personne avec qui jouer…

    -"Si vos perversions vont au-delà de mes compétences alors je ne serais pas catin, Sir, contez donc moi cela."


Tout en disant ces mots, un de ses pieds fut déchaussé et glissa lentement le long de la jambe du futur patron, venant ensuite caresser doucement la virilité encore cachée, ce petit jeu avait aiguisé les sens de la courtisane, la tentation était trop forte pour laisse le brun sans aucun aperçus.
Tout en gardant se même aire de provocation, et accentuant légèrement la pression de sa caresse, elle répondit calmement à l’homme


    -"Les désirs des autres ne sont autre que les miens, me soumettre aux désirs des autres est d'autant plus, pour moi, une chose tellement agréable."


Tout en s’adossant au fauteuil, la belle bomba légèrement son torse et dans un léger mouvement de robe rendit le décolleté outrageux.Son oeil s'illumina d'un désir profond et sans équivoque. Oui, la belle voulait posséder l'homme qui se trouvait en face d'elle pour quelques instants. Elle désirait provoquer en lui la frénésie de lui appartenir et de vouloir lui décupler les sens les plus profonds qui semblaient s'être endormi. Peu importe le temps que cela prendrait, si ce n'était pas ce jour, ce serait un autre.

    -"Ce vendre sur un papier est sans aucun intérêt, la réalité est tellement mieux, surtout quand on sait que l’on peut goûter…toucher"
Son pied continua de taquiner le sceptre de l’homme en face d’elle.

Sa caresse remonta doucement sur le bas ventre de l’homme, son pied s’accrocha enfin à ce qui tenait en place les braies et doucement tira pour libérer l’objet du désir.

    -"Le terme discrétion et courtisane, vont de de paires."


Puis elle plongea son regard dans le sien, caressant la verge maintenant mise à nue, tout en se mordant la lèvre inférieur avec ce petit sourire en coin, Kayah glissa lentement de son fauteuil, tel un prédateur ayant trouvé sa proie, pour se retrouver sous le bureau à quatre pattes.

Attendant un oui ou un non de sa part, rien ne servait à aller trop vite...


Alphonse_tabouret
Joliment délurée, voilà ce qu’il s’était dit lorsque la jeune femme avait offert à son regard les charmes vallonnés de ses seins, le grain de peau rosé qui semblait poudré d’une douceur toute juvénile, et Alphonse se demanda brièvement l’âge qu’avait la donzelle, avant que son attention ne soit détournée par le pied audacieux qui venait de remonter le long de sa jambe pour trouver le creux de son ventre.

-"Si vos perversions vont au-delà de mes compétences alors je ne serais pas catin, Sir, contez donc moi cela."

Sur son visage, le sourire ne disparut ni ne grandit, Alphonse offrant ce qu’il avait de plus travaillé chez lui : l’impassibilité. Oh certes, l’artifice ne tiendrait pas éternellement, son corps livré depuis toujours à la pâture de ses rencontres fauves sachant se délecter des moindres occasions pour s’assouvir et quelques temps auparavant, évidemment qu’il aurait choisi de se plier à l’alléchante provocation, de profiter de cette bouche gourmande qui égrenait les mots visant à titiller l’envie quand son pied s’échinait à réveiller ses sens… avec un certain succès…

-"Les désirs des autres ne sont autre que les miens, me soumettre aux désirs des autres est d'autant plus, pour moi, une chose tellement agréable."

Oh ma jolie, tu ignores les règles les plus élémentaires du jeu, songea le chat sentant ses crocs lui démanger les babines quand la vision de ses seins au creux d’un décolleté devenu ravageur d’un coup d’épaule excita sournoisement sa concupiscence.

-"Se vendre sur un papier est sans aucun intérêt, la réalité est tellement mieux, surtout quand on sait que l’on peut goûter…toucher"

Agiles, les doigts de pieds de Kayah s’entortillèrent autour du nœud de ses braies pour les délier et laisser place à une vérité crue : un homme n’est qu’un homme. Aussi nonchalant que resterait Alphonse, son corps parlait un langage propre à la chair, découvrant aux yeux gourmands de la demoiselle, l’érection qu’elle y avait provoqué.

-"Le terme discrétion et courtisane, vont de de paires."

Amusé, trop, sentant bouillir en lui une espièglerie lascive, il ne broncha pas, se délectant du regard d'envie qu’elle posait sur lui, sur l’objet de son désir qui dardait ses hauteurs dans les plis défaits du tissu et lorsqu’elle glissa à quatre pattes sous le bureau, il attendit, ravi, qu’elle ne pointe son minois entre ses jambes pour lui relever le menton d’un doigt.

-Nous allons mettre vos talents à l’essai, ma chère. Son sourire s’aiguisa en une seconde, révélant dans son dessin, une lueur sombre. Si elle voulait jouer et le convaincre, il lui offrirait la chance de la faire. Pour commencer… Son doigt suivit le fil de la mâchoire blanche, lentement, au fur et à mesure des mots, prononcés avec un certaine douceur… ma plus grande perversion s’adresse aux hommes et ça, catin de génie ou pas, vous n’y pouvez rien… La caresse s’égara sur la joue, douce, légère. Il vous manque donc pour cela, un attribut de taille. Son sourire adopta une moue doucement insolente. Il nous faudra voir dans d’autres circonstances si vous sauriez me faire oublier le gout du sel au profit de vos reins… Si le félin avait en tête tout autre chose dans l’instant, il ne doutait pas un seule seconde que sorti de ce bureau, dans les murs de la Maison Haute il ne rechignerait pas à trousser ses jupons pour en gouter les délices… Mais Kayah avait choisi de jouer… et Alphonse était joueur… Si mes désirs sont les vôtres, si vous y soumettre est agréable… reprit-il d’un ton encore plus bas, d’une voix en sourdine, chaude, presque complice, jouant de sa mise en scène… vous allez exaucer le mien… Sa main entière prit possession de la joue, le pouce flirtant aux lèvres entrouvertes dont le souffle venait chatouiller le sexe qui se dressait à quelques centimètres. Ce n’est pas moi aujourd’hui, qui passe un entretien d’embauche… La lueur dans ses yeux s’égaya d’une pointe de perversion. Montrez-moi ce que verront vos clients… restez juste à mes pieds, comme ça… et caressez-vous, jusqu’à l’extase, lui intima-t-il dans un chuchotement en glissant son doigt plus avant dans la bouche jusqu’à trouver la texture de sa langue à sa pulpe

Veux-tu toujours jouer Kayah ?

_________________
--Kayah
Toujours aux pieds du patron la belle, le regardait avec son petit sourire narquois, le désir et l’envie étaient de mise dans ce jeu du chat et la souris. Elle n’avait pas encore eu l’autorisation de le toucher de le goûter, soit cela ne lui donnait que plus envie de l’attirer une fois le moment importun d’être dans son lit…

Ses iris toujours plongeaient dans les siennes, elle écoutait attentivement sans faire de remarque ou autres, laissant les doigts du patron découvrir le minois dans une douceur qui surpris Kayah, mais qui n’était pas pour la déplaire bien au contraire. Sentant ses lèvres caressaient la belle ouvrit un peu plus la bouche pour venir taquiner les doigts de l’homme en face sa langue venant y jouer dessus.

Puis elle distingua cette lueur dans son regard, son sourire en coin s’étira, et son désir fut énoncé dans un chuchotis presque intime comme si la perversion était chose que l’on devait dissimuler.


    -"Mais à vos ordres Messire."



Son pouce s’introduit dans sa bouche, elle se mit à jouer avec comme lors d’une gâterie, d’une main elle retira sa robe, laissant apparaître son corps à la vue de l’homme, invitation à contempler et à juger par lui-même de l’anatomie de la catin.

Une de ses mains se mit à caresser ses monts de Vénus, pressant légèrement sur les tétons déjà durci par l’excitation montante. Cette main vagabonde descendit lentement vers le fruit défendu, venant écarter délicatement les chaires rosit avant que ses doigts ne prennent possessions du bourgeon. Un soupire de plaisir s’échappa des entrailles de la brune qui n’avait pas quitté le regard du joueur, la courtisane se mit à genoux venant presser tout contre son sexe sa poitrine durcie.
Sa dextre vient alors taquiner l’antre déjà humide, deux doigts s’y introduisent, arrachant un petit gémissement de la brune, ses mains s’activèrent d’abord dans un rythme lent et doux pour par la suite se transformer en des caresses plus féroce dans un rythme endiablés. Son corps se tendit au fur et à mesure.

Son regard provocateur et emplie de désir ardent était toujours porté sur les prunelles d’Alphonse pour elle le jeu continuait et il s’arrêterait que lorsqu’elle quittera ce bureau. Et d’ailleurs elle allait pousser un peu plus loin le jeu…

La catin se releva lentement, se mettant entre le bureau et la proie qu’elle avait par la force des choses choisit, le pouce de l’homme toujours en bouche subissait le traitement coquin de sa langue, ses mains avaient repris leur place et s’activaient toujours dans cette douce torture, son sexe frôlant de temps en temps le glaive de chaire du brun sans pour autant y venir s’y loger. Puis elle se pencha et dans un souffle au creu de son oreille lui proposa :


    -« Jouez donc avec moi. »


Son sourire mutin s'étira sur son visage, le regard de plus en plus provocateur. Alors on joue?

Alphonse_tabouret
Au chaud du regard braisé de la jeune femme, Alphonse lut le gout le plus ardent du stupre, l’envie de satisfaire et son plaisir et celui de l’autre, l’éclat que la frustration allumait quand on l’opposait à ce corps gorgé de désirs… Et le fauve sut exactement comment se finirait cet entretien d’embauche, arrachant un sourire affuté à ses lèvres.
La chair moelleuse des seins de la catin le surprit brièvement en venant le cueillir, écrin de velours tendre, ferme, et sa mâchoire se crispa doucement pour étouffer le grognement rauque du plaisir immédiat dont son corps frissonna, érigeant malgré lui plus roidement, ce que Kayah désirait ardemment. La certitude joyeuse qu’il ne lui céderait rien ce jour affermit un plus sa volonté dans l’affront qu’elle lui faisait, dans la trahison sans équivoque de son corps quant à l’habilité de ses gestes. Juste assez ébranlé pour se laisser émouvoir par cette bouche humide dont la langue insidieuse venait ourler le pouce, placébo outrageux dont elle s’appropriait savamment les courbes à défaut de pouvoir se nourrir de son véritable dessein, il se perdit quelques secondes dans la contemplation rêveuse du visage qu’il surplombait, de cette moue où la pudeur n’apparaissait nullement, tout en prise au plaisir qu’elle s’infligeait de ses mains.
Si les dés n’en avaient pas été jetés dès lors qu’elle avait si joliment choisi de le défier de son air mutin et de son pied déchaussé, s’il n’avait pas tenu à lui infliger le cuisant de l’envie la plus sournoise pour mieux attiser le feu qu’il devinait rouler en ondes folles sous sa peau parfaite, il aurait fini par saisir la masse de ses cheveux à pleine mains pour la mener à épanouir la faim qu’elle faisait naitre dans son ventre… Mais le flamand en avait décidé autrement, jaugeant dans le bouillonnement fébrile de la jeune femme, qu’il ne lui céderait rien ce jour, pour mieux la posséder demain.
La frustration, malgré l’extase.
Kayah avait beau être une joueuse émérite, son tort était de montrer sans aucun voilage, de quoi elle avait envie. Dans un métier où les apparences étaient le maitre mot du commerce, Alphonse, insolent et égoïste grand seigneur, lui donnait ce qu’il estimait être sa première leçon… Le diamant était de qualité et ne demandait qu’à se tailler correctement pour être complétement irrésistible et le jeune homme se sentait à ce moment-là des envies d’orfèvre.

Pupilles dans pupilles, l’attention toute tournée l’un vers l’autre, il suivit attentivement le mouvement qu’elle amorça en se relevant, jouant désormais de sa hauteur pour écorner des mouvements graciles de son corps, la concentration studieuse dont il faisait preuve, frôlant, audacieuse, ce sexe raide qui démentait toute l’attitude maitrisée du comptable.

-« Jouez donc avec moi. »
-Encore faudrait-il, ma chère, que vous suiviez les règles imposées, rétorqua-t-il sur le même ton, en la privant de son pouce à sa bouche, la lueur brulante de ses yeux descendant jusqu’au buisson où disparaissaient les doigts outranciers et poisseux d’excitation, dispersant au corps juvénile des frissons de plus en plus langoureux. La senestre, libérée du cocon humide de sa bouche, dévala la poitrine, effleura le nombril pour finir sa course au bas de son ventre, y rencontrant, impudiques, ceux qu’elle y faisait déjà jouer. Son regard se durcit tandis que sa paume glissait à l’entre jambe, propriétaire, affermissant les caresses qu’elle se dispensait déjà. L’air lucide de la domination brilla dans ses prunelles noires tandis que deux de ses doigts se frayaient un passage au chaud des chairs moites, s’enfonçant, autoritaire, sans heurt, dans le cloitre divin de ses cuisses brulantes, curieux, avide, d’y lire sa réaction, la flamme qui y brillerait désormais, le défi qui se perpétrait au-delà des murs du ce bureau. La désobéissance a bien des vertus , admit il d'une voix plus haute mais toujours douce, en commençant un imposer un mouvement lancinant à son poignet pour la soumettre à un nouveau plaisir, un plaisir à moitié solitaire dont l’étau ne se relacherait que lorsque l’ivresse de la jouissance aurait ravagé ses traits comme il le lui avait demandé, un sourire ravi aux lèvres… mais elle se paye au prix fort… payez moi, et je vous embauche…

On joue, on joue… mais avec mes règles, ma jolie…
_________________
--Kayah
Alors que ses caresses se faisaient de plus en plus intense, une main aventureuse lui parcourut le corps commençant sa course érotique de sa poitrine pour finir à son trésor, la belle étira un sourire provocateur, ses yeux s’illuminèrent de malice sous cette domination si subtile, une domination qui ne faisait qu’aiguiser les sens de la brune, lui donnant encore plus envie de ce défis qui était que cet homme en face d’elle la possède, peu importe le temps que cela allait prendre mais elle l’aurait un jour.

Alors que les mouvements de poignet turlupinant, la brune lâcha un gémissement plus prononcé, posant son séant sur le bord du bureau afin de subir les assauts divin du taulier, ses pies se posèrent sur les bords du fauteuil dévoilant ainsi impudemment son intimité excitée. Ses doigts continuant de taquiner le bout rosit, laissant ses chaires moites a Alphonse. Son bassin se mit à onduler au rythme qu’on lui imposait, son corps parcouru de frisson ne demandait que d’être libéré de cette pression, mais elle s’y refusait ne voulant pour l’instant que d’être soumise aux tortures de l’homme.

Ses prunelles plongeaient dans les siennes, son sourire en coin toujours présent, la belle commençait fortement à se contacter, et dans l’instant suivant, son visage se crispa, son dos se cambra, et un petit cri sortit de ses entrailles, le cri de la délivrance, le cri de la jouissance. Lors de celle-ci, toujours dans son jeu, elle n’avait pas quitté un seul instant les onyx de l’homme.

Kayah souffla alors légèrement, un sourire de satisfaction se dessina sur ses traits fin, alors que le premier set était joué, elle prit la main d’Alphonse, elle porta à sa bouche les doigts souillés, le tout dans un regard provocateur, puis elle tourna légèrement la tête regardant les papiers autour d’elle sans faire vraiment attention à ce qu’il pouvait être écrit dessus.

Puis se saisit d’une plume et avec un petit regard en biais avec ce petit sourire en coin, qui l’a caractérisait tant, elle demanda sur un air dégagé et malicieux


    -"Où dois je signer?


La jeune femme se souleva légèrement sortant les papiers qui lui avait servi de coussins, et en fit un joli tas à coté d’elle, hum plutôt confortable ce bureau en fin de compte


Alphonse_tabouret
Au plaisir du corps qui s’animait de plus en plus, écorchant les nerfs de la jeune femme qui lui faisait face d'un plaisir montant, se liaient son ventre se gonflant doucement d’une respiration plus vive et son souffle ricochant en ondes courtes le long de sa gorge pale, la plus grande jouissance se jouant peut être dans le jeu de regards qui s’affrontaient.
Dans celui d’Alphonse le plaisir distant, satisfait, et orgueilleux d’être obéi selon sa concupiscence, jusqu’à l’exaltation de l’affront fait à ce corps offert avec une délicieuse impudeur, d’avoir contrarier la faim de la naïade, ne lui laissant d’autre choix que de prendre ce qu’il voulait bien lui donner… Son sourire s’affina, prenant des accents de chat sur le qui-vive quand, possédée par une énergie qui venait lui ravager les reins, Kayah laissa son bassin venir chercher dans une emphase nouvelle, le dû que ses chairs réclamaient quand ses doigts poursuivaient leur va et bien, rythmant ce corps qui se soumettait à son appétit blasphématoire... Car à l’exception de cracher à la figure du Très haut lui-même, qu’y avait-il de plus outrageant que de refuser un sexe aussi raide à des cuisses aussi moites ?

Le délice fit frissonner la catin en herbe et ses reins rencontrèrent avec reconnaissance le bureau où elle choisit de caller ses fesses joliment rondes, venant taquiner le diable enfoui en lui en posant, audacieuse, presque insolente, définitivement exhibitionniste, ses pieds sur chacun des accoudoirs, offrant à ses yeux le spectacle voyeuriste de son extase proche.
Il leur faudrait un cœur solide, à ces futurs clients, pour affronter une vague aussi brutale de désir, et Alphonse bénit brièvement toutes les femmes que les envies poussaient à dépasser leurs retranchements… Kayah n’était pas courtisane que pour s’offrir un repas chaud et un toit… Non, non, Kayah n’était pas de ces gamines qui se réfugiaient dans la prostitution parce que rien d’autre n’a su le leur épargner et au fond, qu’importait comment elle avait atterri sur le trottoir, parce, aussi terrible que cela paraissait, son regard lui disait qu’elle aimait ça, qu’elle prenait plaisir à lui offrir cette vue délictueuse sur leurs doigts mêlés tout occupés à lui faire perdre pied, elle aimait soumettre la lubricité de l’autre à la sienne, démesurée, virulente…

Le souffle de la brune se désagrégea d‘abord dans un silence étranglé, avant de jaillir à sa gorge quand son corps se tétanisait brièvement et que son ventre se resserrait en vagues terribles le long de ses doigts, et les regards mêlés le restèrent, le sien à lui, repu de son autorité, le sien à elle, rassasié de l’extase et brillant d’une lueur de défi aux couleurs de l’orgie. Il connaissait ce regard qui mordillait la peau comme un avertissement pour l’avoir laissé glisser sur lui de nombreuses fois, il lisait ce que la brune avait en tête et ne lui cachait pas… le jeu risquait de s’étendre à toute l’Aphrodite avec une aussi ravissante tête de mule dont la chaleur des reins aurait fait passer le foyer de l’âtre pour une matinée de novembre.

Elle saisit ses doigts, les délogea de leur antre où faiblissaient les spasmes délicieux de la jouissance, et la laissa les porter à sa bouche, amusé par le volcan qui bouillonnait encore dans le regard qu’elle posait sur lui avant de la lui ôter. Profitant que ses yeux ne s’égarent enfin sur le bureau, délaissant la morsure du défi qui était désormais lancé, il confina son envie roide, intacte, au creux du tissu et relaça ses braies tandis qu’une plume à la main, elle se permit une dernière provocation qui lui arracha un de ses rires silencieux, brefs, secouant à peine ses épaules :


-"Où dois je signer?

Alphonse se pencha, frôlant les reins suaves qui avaient su le convaincre à défaut de le sustenter, offerts si gracieusement à sa vue, effleurant de son bras la taille fine sans s'y arrêter.

-Laissez-moi un instant pour trouver ça, je crains que votre enthousiasme n’ait laissé quelques séquelles à mes papiers… Sa main se tendit pour chercher dans les documents étalés puis ramassés, celui qu’il désirait avant d’en ramener un à leur hauteur, poursuivant, d’une voix redevenue neutre, affichant une indifférence volontairement neuve à sa nudité et à ce qui venait de se passer dans le bureau : Voici le contrat d’embauche. Prenez soin de le lire. Si vous êtes aussi fiable que délurée très chère, nul doute que vous ferez fortune entre ces murs … Un sourire redessina discrètement son visage quand son doigt tapotait le bas du vélin, volontairement insolent et directif. Signez ici… Et rhabillez-vous avant de prendre la porte pour découvrir vos quartiers à la Maison Haute… vous ne voudriez pas distraire les hommes de main… Nous n’avons pas tous le même travail ici, vous l’apprendrez très vite…
_________________
--Kayah
Alors que l'extase était finis, et que le jeu continuait entre les deux la belle croisa ses jambes, redressa son dos, en somme une position d'une femme de bonne famille, à un détail près elle était encore nue.
Mais peu importe, alors que le bras frôla ses hanches, la belle ne réagit pas, il jouait l’indifférence à son tour d’en faire autant, mais cette indifférence était toujours trahis par ce sourire toujours présent, un petit sourire en coin.

Pendant que le brun rangeait ses papiers, la brune se demandait déjà comment elle allait de nouveau relancer le jeu lors de leur prochaine rencontre, car oui il allait en avoir d’autres, elle en était certaines, et si lui ne venait pas à elle alors elle ferrait le premier pas. Le désir de le posséder n’était pas un secret, elle se doutait bien que le patron savait ce désir et qu’il allait en jouer avec… et au plus grand bonheur de la courtisane
.
Kayah se pencha un peu offrant pour une des dernière fois à la vue de l’homme sa poitrine, fredonnant un air, jouant de sa plume sur son visage tout en lisant le contrat qui se présenté à elle, faisant mine de bien l’étudiée or elle savait très bien qu’elle allait en fin de compte signer en bas de page. Elle posa son seing sur le vélin avec un petit sourire de satisfaction, avant de remettre la plume dans son encrier et de regarder le patron en face en gardant la même position.


    "Et pourquoi pas les distraire après tout… Ce sont des humains comme les autres ayant comme tous des désirs charnels qui doivent être exploité Elle se redressa et enfila sa robe lentement, enfin tant que leur fortune leur permette bien évidemment…"


Elle détacha ses cheveux, les recoiffa rapidement et ouvrit la porte, elle fit un pas et s’arrêta brusquement, tourna la tête et regarda Alphonse avec un moue mutine

    -"Et puis je vous dis à très vite, n’est-ce pas ?"


Un petit rire, et la belle referma la porte n’attendant pas la réponse et alla découvrir la Maison Haute, ainsi que les occupants de celle-ci.
Puis se met à songer, à sa vie, mon dieu qu'elle vit ou elle avait la possibilité d'allier plaisir et travail, maintenant elle pouvait dire telle mère telle fille.


See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)