Thomas_sauveur
Le trop plein d'émotion qui envahi le Talleyrand en cet instant était palpable. Partagé entre la joie de retrouver son vieux pote et celle d'apprendre son chagrin, mais l'homme était plutôt attentif aux malheur des uns ou des autres, aussi il posa ses fesses sur le bord du bureau et bras croisé écouta le récit, voyant son regard triste il ne résista pas au besoin de lattirer contre lui en soufflant au creux de son esgourde. Le poison était l'une des pire façon de trépasser, une méthode de lâche qui n'assument pas son désir de meurtre. Son ami était réellement touché par la mort de Quentin et quoi de plus nature en soit. Aussi il était lhérité de ces lieux, bon cadeau en soit capable de rapporter beaucoup. Ses doigts passé dans la nuque de son ami massa ses muscles quelques temps pensif. Oui l'attachement était un défaut et une qualité également. Aussi était-il heureux de le revoir, c'était réciproque forcément ! Qui ne pouvait pas être satisfait de renouer avec le passé.
La discutions coula sur son épouse, cette brune qui lui avait enlacé le cou d'une corde d'or. Comment allait se passer la rencontre avec Alphonse, Elina était jalouse des hommes proche de son époux, elle avait aussi l'intelligence de savoir qu'il n'était pas question de crise de colère sans conséquences. Cependant si au lit elle était soumise et obéissante, en dehors de la couche restait à définir qui portait la culotte. Rejetant sa tête en arrière il rit de bon coeur, ses mains perdu dans les cheveux d'Alphonse. Prude ? Non elle n'était pas prude, pas complètement délurée non plus, gourmande définissait bien la personne, gourmande et inassouvissable. Il laissa faire son ami qui ce perdit sur les traits de son visage, approuva les risques à laisser son homme seul dans une pièce aussi petite avec Alphonse et sourit à l'idée des yeux que ferait Hellina à l'annonce.
Nous ne pouvons point vous dire pourquoi nous sommes revenus. Plaisez vous à croire que c'est vous et votre cul qui nous ont pousser à revenir. Cela en soit n'était pas si faux, souriant il s'approcha à nouveau de lui, caressa sa joue et ce pencha pour y murmurer quelques mots aux creux de l'oreille. []la vérité est moins plaisante.[/b] Redressé le Talleyrand, savait que l'heure de partir arrivait, mais il reviendrais c'était certain à présent. Nous vivons en Lorraine, Épinal. Nous ne refusons pas une chambre que nous payerons au prix qui sera le vôtre. Cependant nous devons nous retirer à présent.
Il ce pencha encore une fois cette fois pour embrasser sa joue et l'enlacer contre lui, l'âme en peine de devoirs le quitter, mais ce fut pour mieux le retrouver.
Nous nous reverrons dans quelques mois Alphonse avec notre épouse cette-fois ! Et indiqué notre la date de votre mariage que nous puissions nous noyer dans l'alcool.
La discutions coula sur son épouse, cette brune qui lui avait enlacé le cou d'une corde d'or. Comment allait se passer la rencontre avec Alphonse, Elina était jalouse des hommes proche de son époux, elle avait aussi l'intelligence de savoir qu'il n'était pas question de crise de colère sans conséquences. Cependant si au lit elle était soumise et obéissante, en dehors de la couche restait à définir qui portait la culotte. Rejetant sa tête en arrière il rit de bon coeur, ses mains perdu dans les cheveux d'Alphonse. Prude ? Non elle n'était pas prude, pas complètement délurée non plus, gourmande définissait bien la personne, gourmande et inassouvissable. Il laissa faire son ami qui ce perdit sur les traits de son visage, approuva les risques à laisser son homme seul dans une pièce aussi petite avec Alphonse et sourit à l'idée des yeux que ferait Hellina à l'annonce.
Nous ne pouvons point vous dire pourquoi nous sommes revenus. Plaisez vous à croire que c'est vous et votre cul qui nous ont pousser à revenir. Cela en soit n'était pas si faux, souriant il s'approcha à nouveau de lui, caressa sa joue et ce pencha pour y murmurer quelques mots aux creux de l'oreille. []la vérité est moins plaisante.[/b] Redressé le Talleyrand, savait que l'heure de partir arrivait, mais il reviendrais c'était certain à présent. Nous vivons en Lorraine, Épinal. Nous ne refusons pas une chambre que nous payerons au prix qui sera le vôtre. Cependant nous devons nous retirer à présent.
Il ce pencha encore une fois cette fois pour embrasser sa joue et l'enlacer contre lui, l'âme en peine de devoirs le quitter, mais ce fut pour mieux le retrouver.
Nous nous reverrons dans quelques mois Alphonse avec notre épouse cette-fois ! Et indiqué notre la date de votre mariage que nous puissions nous noyer dans l'alcool.