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[RP - Mai - Ouvert] Passons donc à la débauche

Nikolai_jagellon
Ce RP est ouvert aux clients et au personnel souhaitant se joindre à l'installation de la débauche dans le salon. Pour remettre dans le contexte, mon Nikolaï a payé sa tournée au bar et se retrouve là avec l'une ''employées''.


Accompagné de la jeune femme, il s'installe sur l'un des sofas, attendant un dernier verre et un peu plus de personnes pour commencer à bouger sur la musique.

Et comment t'appelles tu ?
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Signature non conforme aux règles du forum.

Retirée par Mouchette
Marie_onelia


[Au centre du salon]

La Garce s’installa sur une causeuse, au coté du "gentleman", assez proche de lui pour que l’ambiance soit à la sensualité, mais toutefois assez éloignée pour adopter le ton de la conversation. Pour l’instant le salon était à eux, les autres toujours au bar, recevant probablement la tournée généreusement payée. Cependant, tout commençait par des présentations.

Marie Onélia pour vous servir messire.

Sur ces mots, elle passa un bras dans son dos, et se pencha légèrement, inclinant la tête en avant, délaçant légèrement d’un doigté adroit son corset, faisant glisser le haut de la robe à la limite de sa poitrine, découvrant même un peu ses tétons. Ne voulait-il pas la voir délacer son corset après tout. Se redressant, le tissu suivant le mouvement. La nudité n’était pas destinée au public. Impudique, la blonde aurait pu assouvir tous les désirs du client, ici sur la causeuse ; malheureusement elle était d’une jalousie maladive, telle, que son principal plaisir était de profiter et posséder entièrement son amant. Mais chaque chose en son temps, pour le moment elle voulait en savoir plus sur lui, ses attentes, ses désirs, son prénom…

Et qui ai-je l’honneur de servir ?

Nikolai_jagellon
Le blond se laissa faire, un petit sourire aux lèvres, tout en acquiesçant quant au prénom de la femme. N'ayant aucune mémoire pour cela, il essaya toutefois de graver celui-ci dans sa tête afin de pouvoir en venter les mérites (ou non) dans un futur plus ou moins proche.

Toujours est il que la soirée débutait pour le mieux. Chacun demeurait cependant au bar et ne venaient point se mêler à eux. Peut-être faisaient ils peur... Pourtant, l'ambiance du lieux laissait paraître l'adolescent bien moins froid qu'à l’accoutumée.

Le Jagellon constata avec plaisir qu'elle avait suivit son conseil quant au corset et se permit de posé un petit baisé sur l'une des mamelles presque découverte. Ceci simplement afin de lui prouver que la taille lui convenait.
Elle lui adressa alors la parole lui demandant à son tour son identité. Cependant, conscient qu'il ne pouvait salir le nom de son auguste famille en ces lieux, bien que son frère semblait tout aussi ''déviant'' que lui, il se contenta de lui avouer son prénom.


Je me nomme Nikolaï...

Dites moi, ou plutôt, chuchotez moi... Pourquoi devrai-je passer ma soirée en vostre compagnie ?... Serte vostre physique est avantageux, mais cela ne fait pas tout n'est il pas ?..

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Retirée par Mouchette
Marie_onelia


Nikolaï voila un nom qui, elle l’espérait, resterait gravé dans son esprit. Le nom quelle souhaitait entendre lorsque l’on lui annoncerait qu’il y avait un client pour elle, le nom qui la ferait vibrer, le nom quelle hurlerait peut être, le nom qui sonnait comme une promesse à ses oreilles. Mais surtout, la personne quelle initierait. La Garce nourrissait beaucoup d’espoir en ce jeune homme. Elle espérait seulement qu’il puisse répondre à ses exigences. La blonde n’était pas la pour l’argent, mais plutôt pour le plaisir, autant le sien que celui du client. L’Aphrodite était avant tout sa maison. C’était bien la première des choses qui la différenciait de la plus part des courtisans et du personnel. La seule personne qui eu en commun cette même passion était l’anglais. Comme elle le regrettait, comme il lui manquait…
Chassant se souvenir par le sourire que suscita en elle l’interrogation du jeune blond, petit sourire suffisant doublé d’un regard moqueur, la courtisane se redressa légèrement sur les coussins, ses émeraudes plantées dans ses azurs.


Il est vrai messire, que vous pourriez passer la soirée en bonne compagnie avec n’importe quelle courtisane ici. Je suis sûre que chacune d’entre elle pourrait vous mener au paradis.

Faire preuve de dédains et d’arrogance était peut être convenable et nécessaire avec les courtisans, mais peu adapté avec les clients. Si elle ne pouvait l’avoir, peut être qu’une autre aurait cette chance. Elle ne pouvait pas se permettre de les rabaisser devant le blond sous le simple prétexte que de les tyranniser était une source de jubilation insatiable. Mais elle ne comptait pas non plus leur laisser ce client.


Se penchant alors à l’oreille du jeune homme, non que cela soit un secret, mais pour le simple fait que le murmure instaurait une sorte d’intimité, de secret passionnelle, une allure de complot, lui permettant ainsi de poser sa main sur sa cuisse, offrant également au blond une vue plongeante sur l’intérieur de son décolleté. Sa bouche à quelques centimètres de son oreille, elle pouvait sentir le souffle du client dans son cou. Souriant à la simple pensée de l’émoi des sens que cette position entrainait. Et commença à susurrer de sa voix la plus enjôleuse.

Quand à moi … Je fais des choses que nul ici ne peut vous offrir. Mes pratiques sont scandaleuses, même en ce lieu.

Elle fit une pause volontaire, laissant la tension s’alourdir, pleine de sous entendu.

Sexe… Soumission... Douleur … Et Plaisir...

Murmurant ses mots dans un souffle, une pause entre chacun. Sa main se fit elle aussi plus inquisitrice, glissant lentement vers l’intérieur de sa cuisse au rythme de ses paroles.

Je vous conduirais droit en enfer…

A présent, la blonde était assez proche de son client pour qu’il puisse pratiquement sentir ses lèvres sur son oreille, prête à mordiller son lobe. Mais elle recula rapidement, pas trop, emportant avec elle la promesse de ses lèvres, sa main faisant le chemin inverse. Elle rompait ainsi la tension, sans plus de manière.

Cela vous va-t-il messire ? Vous sentez vous prêt pour ce genre de débauche ?


Malgré sa réponse, le jeu commençait, et son initiation aussi.


Alphonse_tabouret
Le flamand posa la bouteille sur la table basse adjacente à la causeuse, la petite bonne et son plateau de verres au bras pour servir qui les rejoindrait. Marie Onelia avait déjà aiguisé ses griffes et les posait, féline, maligne, sur le jeune homme. De toutes les courtisanes, la garce était sans doute sa préférée, celle qu’il connaissait le mieux pour avoir vu ses jupons trainer à l’Aphrodite tous les soirs où il s’y était présenté avant d’y être cloitré, pour avoir attendu que l’anglais se libère d’un client à ses lèvres vermeilles, convoitées, attrapées, mordues, léchées, possédées sans pourtant jamais la consommer, pour avoir vidé quelques bouteilles de vin en pestant comme des gouailleurs après tout et rien à la fois… Elle était belle, la blonde, toute puissante dans ses vices, égoïste à en crever, prenant le plaisir où il était… ils se ressemblaient au fond… Et quant au flot du verbe, elle parlait pour deux la plus part du temps, ce qui lui convenait très bien.

Il invita Angela à s’assoir d’un geste dans un confortable fauteuil aux larges accoudoirs, avant de se présenter à Nikolai en s’inclinant brièvement :

-Alphonse Tabouret, Messire, Comptable à l’Aphrodite, et voici Angela, notre toute nouvelle domestique. Nous venions vous remercier de votre générosité en prenant un verre à vos côtés, j’espère que nous ne vous dérangeons pas, fit il en remplissant deux verres, en tendant un à la brune, et gardant l’autre en main. Angela avait beau être soubrette, elle n’en était pas moins conviée à la table pour le temps de quelques gorgées et serait traitée de ce fait comme une hôte par le Maitre de maison.

Son regard glissa sur Marie Onelia en laissant se dessiner un imperceptible sourire à la commissure de ses lèvres. Il connaissait assez bien la courtisane pour savoir qu’elle aimait s’accaparer toute l’attention de sa proie et cette entrave passagère à ses plans aurait de quoi l’aiguiser un peu plus. S’asseyant sur l’un des accoudoirs, dans une pose qui signalait qu’il ne faisait que passer sans savoir combien de temps précisément, le jeune homme offrit un sourire à leur hôte, levant le verre.


-A votre venue en nos murs…
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--Angella


A leur arrivé, Angella vit la blonde aguicher un client, enfin, l’aguicher était un faible mot, peu habitué a ce genre de comportement, la petite brune retint une grimace en la voyant faire, qu’aurait-elle donné pour partir s’occuper ailleurs, a n’importe quoi, plus tôt que d’être là, non, elle devait prendre sur elle, après tout cela serait peut-être bientôt, bien trop tôt avait dire, son nouveau lieux de travail, et ce genre de scènes deviendrait alors banal et habituel, autant s’y fait dé a pensent …

Suivant les mouvements de son potentiel futur patron, la petite chose, tête baissée et regard fuyant le « couple », lâcha doucement le bras de l’homme et vint poser le plateau plein sur la table, puis, surprise par le geste de son « juge » , alla prendre place au bord de l’un des fauteuils, le plus loin possible de la garce qu’elle souhaitait éviter a tout prix, son accompagnateur et future patron se présenta sous le nom d’Alphonse Tabouret, nom qu’elle comptait bien retenir, Angella repensa aux paroles précédentes de la blonde, a ces « conseilles » trompeurs pour attirer la sympathie de l’employeur qu’elle disait bien connaitre … en se retrouvant face a l’homme, elle n’y avait plus pensé, un mal pour un bien, qui sait ce qu’elle aurait fait si on lui avait laissé le temps de se préparer, apeurée, elle aurait bien put faire l’erreur de prendre en compte certains conseilles trompeur.

Lorceque son nom fut mentionné, la petite brune redressa légèrement la tête, puis esquissa son sourire polie, et se risqua un leger coup d’œil vers la causeuse, une attention rapidement détourné par le verre tendu vers elle, Angella le prit, quelque peu genée, murmurant un « merci » a peine audible, la petite chose ne s’autorisa qu’une gorgée, gardant le dos bien droit, voulant presque se grandir pour peut être ainsi se sentir moins genée, ou alors disparaitre, se faire oublier, privilège des gens servant les autres.

Eve_desvilles
Avertie du désir de fête d'un client nouvellement arrivé, elle approcha discrètement.

L'homme était déjà entouré de toutes les plus représentatives personnes de la Maison Haute :. Marie-Onelia, la plus expérimentée des courtisanes dont l'esprit se ressentait à distance comme ces alcools dont la vue suffit à apporter une première ivresse, Marie-Onelia dont elle savait aussi l'instinct territorial ; lui dont elle tairait le nom et dont elle voyait pour le première fois les jambes, mais non pas assez clairement cependant pour en éprouver une certitude ; et la jeune domestique qu'elle reconnut à ses oreilles et à la tension des mains.

Elle longea l'ombre à l'extrême orée des chandelles, pas feutrés sur le tapis pour venir livrer son corps juste dans l'aube de lumière à la distance exacte où le regard du jeune blond pourrait la saisir d'un coup d'oeil s'il le désirait sans qu'elle fût trop proche pour paraître intrusive.

Robe cuisse de nymphe d'un doux rose pâle dont la teinte faisait illusion de chair mais avec pudeur, aux endroits de la gorge et de la taille, rehaussée de bordures noires, en particulier autour du col où venait paresser les ondulations d'une chevelure sanguine sombre que deux nattes courant des tempes au dessus des oreilles pour s'emmêler en une plus longue à l'arrière retenaient délicatement d'un désordre trop ample pour se passer d'un oreiller, Mauve laissa flotter la clarté limpide de ses yeux sur le cou de l'homme. Présence offerte pour une rencontre au plus simple éveil d'un regard, présence diffuse, volatile, prête à se dissiper pour ne pas heurter l'émotion déjà tissée.

Le temps d'une inspiration plus profonde gonflant sa poitrine, elle se laissa prendre d'un sourire cachotier et gourmand comme en réponse aux pensées que lui évoquaient la vue de ce cou, proie de son regard à elle seule, tandis que les autres devisaient.

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