197856
Angevins, Angevines, de Craon, La Fleche, Angers et Saumur,
LAnjou arrive aujourdhui à la croisée des chemins, la noblesse Angevine dont je suis un représentant comme les plus novices dentre vous devront faire des choix. Certains parmi nous, ont connu les heures de gloire et les défaites amères, mais ont toujours défendu lhonneur et la justice pour lAnjou.
Aujourdhui encore, nombreux sont ceux qui par leur implication participent à la restauration de la grandeur Angevine. Lexpérience nous a pourtant appris bien des choses, souvent à nos dépends, mais lenvie est toujours la. Le principal est quune évolution nest possible que dans un but commun, pour lAnjou, pour nous tous.
Le caractère angevin est ce quil est, et il est inutile de penser que lAnjou se fera le toutou dune France en proie au doute, et restera dans le marasme ambiant, mais lAnjou se devra de faire les concessions nécessaires à sa pérennité.
Aujourdhui il mapparaît que lAnjou nest pas une terre capable de se défendre, ni de faire valoir ses idées, ce qui, jen suis certain la mènera à sa perte. Lheure nest plus au consensus, en ce qui concerne directement lAnjou et son avenir. Notre déficit ne décroit pas et nos forces armées sont du type pathétiques ou ridicules ; voila pourquoi aujourdhui, Nous, 197856 de Penthièvre, avec le soutien dune part de la noblesse dont lambition nest que la prospérité de notre Duché, instaurons en ce jour une Gouvernance, dans le respect des lois et de notre serment de vassalité.
Nous, décrétons en ce jour, mettre en place un régime visant à rendre à lAnjou, dans le temps le plus court possible, la capacité, entre autre financière, de progresser. Il y a, bien sur, un coût à cela, et cest donc vous et moi qui le payerons, mais cela ne passera que par le sacrifice de tous. Certain sy plieront volontiers je le sais, dautres uniquement sous la pression, mais nous avons besoin de chacun. Cest une chose difficile à évoquer dans le cadre délections, ou il faut aussi savoir plaire pour espérer siéger.
La vision politicienne nest plus adéquate, il nest plus question de séduire mais bien dagir et de rendre au peuple son devoir envers lavenir de cette province.
Les derniers conseils ducaux nous ont montré une chose, il ny nul avenir dans un gouvernement fait dune multitude ayant des divergences dopinion et ne souhaitant pas uvrer communément. Ainsi sil est nécessaire quune voix simpose, jestime quelle revient à ceux qui sont aptes à offrir à lAnjou protection et à eux de prendre leurs responsabilités, cest chose faite.
Jai personnellement en de nombreuses occasions mentionné le fait que la puissance diplomatique, ou politique dun duché passe par sa capacité à se défendre, et à ceux que la prise dAngers par les Poitevins na pas convaincus, regardez la Bourgogne qui sous ses airs de donneuse de leçons, fut aux prises avec les difficultés que représente la présence darmées hostiles en sa terre
Jengage tous ceux qui entrevoient la nécessité de mon action à nous rejoindre.
Jincite ceux qui sindignent à agir, car sinon, cela ne changera rien aux faits.
Jenclins ceux qui souhaiteraient sopposer à le faire et à sattendre à en subir les conséquences.
Jentends dici les critiques, mais je naurais quune réponse : les Armées font Loi.
Que ceux qui sestiment plus apte fassent plus quuniquement le susurrer à loreille de la population, quils le montrent par des faits. Que ceux qui comprennent que là est la seule voie sengagent et que lAnjou marche droit vers son avenir, consciente de la difficulté et fière de construire son futur.
Les lois de la féodalité sont désormais de mise, jusqu'à ce que lAnjou se redresse, dune manière ou dune autre.
Sachez que je ferais tout mon possible pour maintenir cet état de fait, pour que chaque ville rapporte au duché monnaie sonnante et trébuchante et soit défendue convenablement et enfin que toute la noblesse soit forcée à simpliquer dans ce processus ou ne soit plus considérée comme telle.
Chacun ici est tributaire de lAnjou que cela entre bien dans vos esprits, ainsi vous comprendrez quil faut de toute urgence agir, avant quon ne vous le fasse comprendre et ne vous y oblige.
(le verbe enclindre n'existerait pas, y a bien etre enclin mais ca va pas plus loin. Mais je doute qu'avec ses maigres 20% en langue moderne, on vienne reprocher à 19 d'inventer des verbes.)
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LAnjou arrive aujourdhui à la croisée des chemins, la noblesse Angevine dont je suis un représentant comme les plus novices dentre vous devront faire des choix. Certains parmi nous, ont connu les heures de gloire et les défaites amères, mais ont toujours défendu lhonneur et la justice pour lAnjou.
Aujourdhui encore, nombreux sont ceux qui par leur implication participent à la restauration de la grandeur Angevine. Lexpérience nous a pourtant appris bien des choses, souvent à nos dépends, mais lenvie est toujours la. Le principal est quune évolution nest possible que dans un but commun, pour lAnjou, pour nous tous.
Le caractère angevin est ce quil est, et il est inutile de penser que lAnjou se fera le toutou dune France en proie au doute, et restera dans le marasme ambiant, mais lAnjou se devra de faire les concessions nécessaires à sa pérennité.
Aujourdhui il mapparaît que lAnjou nest pas une terre capable de se défendre, ni de faire valoir ses idées, ce qui, jen suis certain la mènera à sa perte. Lheure nest plus au consensus, en ce qui concerne directement lAnjou et son avenir. Notre déficit ne décroit pas et nos forces armées sont du type pathétiques ou ridicules ; voila pourquoi aujourdhui, Nous, 197856 de Penthièvre, avec le soutien dune part de la noblesse dont lambition nest que la prospérité de notre Duché, instaurons en ce jour une Gouvernance, dans le respect des lois et de notre serment de vassalité.
Nous, décrétons en ce jour, mettre en place un régime visant à rendre à lAnjou, dans le temps le plus court possible, la capacité, entre autre financière, de progresser. Il y a, bien sur, un coût à cela, et cest donc vous et moi qui le payerons, mais cela ne passera que par le sacrifice de tous. Certain sy plieront volontiers je le sais, dautres uniquement sous la pression, mais nous avons besoin de chacun. Cest une chose difficile à évoquer dans le cadre délections, ou il faut aussi savoir plaire pour espérer siéger.
La vision politicienne nest plus adéquate, il nest plus question de séduire mais bien dagir et de rendre au peuple son devoir envers lavenir de cette province.
Les derniers conseils ducaux nous ont montré une chose, il ny nul avenir dans un gouvernement fait dune multitude ayant des divergences dopinion et ne souhaitant pas uvrer communément. Ainsi sil est nécessaire quune voix simpose, jestime quelle revient à ceux qui sont aptes à offrir à lAnjou protection et à eux de prendre leurs responsabilités, cest chose faite.
Jai personnellement en de nombreuses occasions mentionné le fait que la puissance diplomatique, ou politique dun duché passe par sa capacité à se défendre, et à ceux que la prise dAngers par les Poitevins na pas convaincus, regardez la Bourgogne qui sous ses airs de donneuse de leçons, fut aux prises avec les difficultés que représente la présence darmées hostiles en sa terre
Jengage tous ceux qui entrevoient la nécessité de mon action à nous rejoindre.
Jincite ceux qui sindignent à agir, car sinon, cela ne changera rien aux faits.
Jenclins ceux qui souhaiteraient sopposer à le faire et à sattendre à en subir les conséquences.
Jentends dici les critiques, mais je naurais quune réponse : les Armées font Loi.
Que ceux qui sestiment plus apte fassent plus quuniquement le susurrer à loreille de la population, quils le montrent par des faits. Que ceux qui comprennent que là est la seule voie sengagent et que lAnjou marche droit vers son avenir, consciente de la difficulté et fière de construire son futur.
Les lois de la féodalité sont désormais de mise, jusqu'à ce que lAnjou se redresse, dune manière ou dune autre.
Sachez que je ferais tout mon possible pour maintenir cet état de fait, pour que chaque ville rapporte au duché monnaie sonnante et trébuchante et soit défendue convenablement et enfin que toute la noblesse soit forcée à simpliquer dans ce processus ou ne soit plus considérée comme telle.
Chacun ici est tributaire de lAnjou que cela entre bien dans vos esprits, ainsi vous comprendrez quil faut de toute urgence agir, avant quon ne vous le fasse comprendre et ne vous y oblige.
(le verbe enclindre n'existerait pas, y a bien etre enclin mais ca va pas plus loin. Mais je doute qu'avec ses maigres 20% en langue moderne, on vienne reprocher à 19 d'inventer des verbes.)
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