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[RP] La Belle d'Angoulême, taverne municipale

Sybille
Le bâtiment était relativement imposant pour la petite ville qu'était Angoulême. Placé face au marché, ses fenêtres permettaient de surveiller les étals. Son emplacement était donc stratégique.

La façade était recouverte de fleurs et de lierres vers le jardin...


Mais du côté rue :


Elle entra dans la grande salle. La lumière y était douce, au fond un grand âtre permettait de cuire de bons petits plats et de chauffer la salle.


Sybille portait une branche de gui. Elle devait trouver la poutre idéale pour l'accrocher. Elle attendrait Mano pour cela.

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[
Yavana_
Juste envie de se poser quelques minutes ....

La jeune femme était éreintée ... Elle avait fait le chemin entre Bourganeuf et Angoulême à pied, non seulement elle était frigorifiée mais elle avait attrapé la fièvre !

Si sa mère la voyait dans cet état ... si elle savait que sa fille était partie sans le sou et sans le moindre vêtements hormis ceux qu'elle portait .... Pour sur, la Comtesse serait folle d'angoisse ! Mais Ange ne lui avait rien dit, ses missives se voulaient rassurantes ...

Elle avait déambulé parmi les échoppes un long moment avant de se diriger vers la taverne ... un coup d'oeil au travers l'une des fenêtres ... personne ... parfait ! .... Elle poussa la porte, la refermant doucement derrière elle ... un soupir de soulagement alors qu'elle se précipite vers l'âtre ... elle tend les mains vers les flammes dansantes ... ferme les yeux l'espace d'un instant, savourant ce moment ... Dieu que cela est bon ... la chaleur semble s'immiscer dans la moindre parcelle de son corps ... un fin sourire se dessine sur les lèvres de la blonde tandis qu'elle rouvre les yeux ... tire un siège devant cette source inépuisable de chaleur et prend place ... le dos bien calé contre le dossier, elle laisse sa tête rejoindre celui ci à son tour ... soupir de bien-être ... C'est tout ce dont elle avait besoin ....

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Tahin
Un beau bâtiment !

Tahin sent venir l'envie d'une bonne bière !

Une taverne !!!

Tahin pousse la lourde porte..... hum.... l'odeur de potée...de soupe ...et de bière !!!

B'jour ! je suis de passage mais j'aimerais bien un bon repas et quelques bons verres !

bon..... c'est pas l'ambiance ....... mais Tahin prends une chaise..sors une miche de pain ........allez tavernier !!!! servez moi un bon repas où je vous fais l'affront de manger mon pain icelieu !!!

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A ziwall e sec'hed a ziwall e yech'ed
Fafa.
Se promenant dans les rues d'Angoulême, il passe devant une taverne avec une belle façade. Curieux il poussa la porte et pénétra dans la bâtisse ; il fût agréablement surpris de voir la grandeur de la salle si joliment aménagée.

Une fois qu'il eut salué le monde déjà en place, il s'installa au comptoir ou il vît une charmante tavernière ; la salua avec son plus beau sourire.


Bonjour Mademoiselle, vous auriez la gentillesse de me servir une bière bien fraîche ?

Une fois servi, il l'a savoura lentement tout en se retournant afin de contempler la pièce.
Wyatt.
Quel bon lit douillet! Quelle belle chambre que propose la taverne municipale! Wyatt. tend sa main juste ce qui est nécessaire pour attraper son petit bateau puis il joue quelques instants avant de se lever. Il regarde ses habits posés à même le lit et se dit que: "Non je va m'habiller après le lait et ma tartine."

Les marches sont descendues en sautillant mais prudent il se tient à la grosse rampe de bois sculptée.
Il s'habillera après car rien ne presse, ses leçons se feront sur une table il est inutile de se vêtir pour cela, àmoins que Cassiopée sa maman ne lui donne l'ordre de monter le faire. Le garçonnet sent l'odeur du bois dans l'âtre et entend des voix: Sa maman est quelques clients certainement, elle se lève toujours très tôt pour s'occuper de faire les petits-déjeuners.

Mamaan d'amour que j'aime! appelle-t-il en arborant un grand sourire, je suis réveilléééé!
Wyatt.
La journée est passée. Après quelques bêtises, des pleurs et des "pardon maman", la taverne se retrouve enfin au calme.

Dernière édition par Wyatt. le 27 Fév 2016 06:38; édité 1 fois
Phyladelphia
Bonjour
Nous venons d'arrivé a Angoulême et prévoyons d'y attendre quelque amis
Si nous pouvions avoir une chambre pour quelque jour ?
Je vous remercie...


En attendant une éventuelle réponse
Phyla s'assis prés de la cheminée et envoya les courriers invitant les habitants a venir les rencontré pour débattre ouvertement des prochaine élection...
45 pigeons partirent dans tout les sens de la taverne
Une fois ce travail terminé elle secoua ça main pour la reposer quelque peu et attendit son homme ou les villageois...
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http://avalon.naturalforum.net/
Rodown
Les pieds traînant, genoux usés et fatigués, un homme plutôt de petite taille entra dans la taverne.
Il s'étira a en taper la charpente, non littéralement bien entendu. Comme d'habitude, à chaque arrivée dans une nouvelle ville, la première quête était la même: La retrouver. Elle ne peut s'empêcher de courir à droite ou à gauche, une véritable enfant.

Bonjour à tous! Vous n'auriez pas vu un dame de cette hauteur là?
Il plaça main bien 10cm en dessous du sommet de sa tête. L'audience ne semblait pas attentive à ce qu'il disait.
Enfin bon...

En tant que bon client, il commanda deux bières qu'il, une fois servie, empoigna ferment et s'installa en plein milieu de la taverne. Cette fois-ci, ce ne sera pas un coin pour changer!
Scrutant les environs, il attrapa du regard une femme qui avait prit place à deux tables de lui. Il commença à boire d'une chope accompagné d'un sourire et leva la seconde en sa direction.
Aitore
Le tribun et tavernier municipal accueillit la femme en inclinant la tête. L'écoutant avec attention, il se retourna et saisit un trousseau de clés qu'il déposa sur le comptoir, désignant par la même une plume et un parchemin présents sur le côté.

    Bonjour. En effet nous avons ce que vous souhaitez. Si vous pouviez inscrire votre identité sur le registre je vous prie. Si vous ne savez toutefois le faire, je puis vous aider.

En effet, bien que son interlocutrice semblait correctement vêtue, il se trouvait courant de voir une personne analphabète en ces lieux et à cette époque. Mieux valait prendre les devants.

Sur cet entre fait, un homme fit son entrée. Répondant à son boujour, il secoua toutefois négativement la tête.

    Il ne me semble pas.
Phyladelphia
Phyla regarda l'homme qui venait d'entrer
Sans même faire attention ce que barjaquait le tavernier... qui visiblement n'aimait pas son travail...

Elle ce leva et alla prendre place vers l'homme

Bien le bonsoir messire
Merci pour cette bière...
Comment allez vous ? Vous cherchez quelqu'un ?

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http://avalon.naturalforum.net/
Aitore
Souriant en coin face à l'impolitesse des plus flagrante de la personne jusqu'alors au comptoir, le goupil la laissa s'éloigner et récupéra seulement les clés afin de les ranger. Il se ré-installa ensuite et se remit à travailler sur la démographie Angoumoisine, travail aux côtés du conseil municipal qui faisait plus que porter ses fruits et nécessitait de ne pas être lâché.
Raymond_de_petrus
    Tournée comtale, paillettes et nausées


Sorianne était malade. Raymond ignorait de quoi, mais Orkaange s'était engouffrée dans la brèche joyeusement, annonçant que la couturière était enceinte. Il avait fallu tout son self-control à Raymond pour éviter de pâlir comme un linge et garder une allure normale.
La couturière avait nié, et s'était enfuie rapidement pour éviter la conversation, laissant le peintre perplexe et inquiet.

Il partit à la recherche de Sorianne, ce qui ne fut pas long puisqu'il savait ou elle irait se réfugier.
Tout au long du chemin, il avait du lutter contre le maelström d'émotions qui l'avait envahi à cette idée, cette hypothèse. Il lui fallut encore un moment à se concentrer avant de rentrer dans la chambre de la couturière.

Il se racla la gorge, le malaise était sensible.


Ecoute Sorianne, on en jamais vraiment parlé toi et moi...

Comme d'un tas d'autres choses d'ailleurs...

Enfin je pensais que tu prenais de quoi... ne pas avoir d'enfants.

Mais... mais enfin si tu l'es vraiment...
Je l'assumerai, en tout cas.

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Sorianne
Elle a fui, et ce n'est pas peu dire. Il est des choses compliquées à expliquer et celle ci en fait partie, et non désireuse de partager son intimité avec le monde entier, la brune est sortie rapidement, mettant fin à toute conversation pouvant s'avérer gênante. Retour à la chambre de l'auberge, et la noiraude se laisse tomber sur le lit avec un soupir, en parti soulagée.

Elle n'est pas très bien depuis deux ou trois jours, certes, mais de là à la dire engrossée... La brune n'a pas longtemps à attendre, voilà la porte qui s'ouvre, et aussitôt, elle se redresse, se rassoit sur le lit avant de voir la mine du peintre qui lui fait craindre bien des choses.

Elle accuse le discours sans trop savoir comment le prendre. Il y a tellement de choses dont ils n'ont pas parlé...


Raymond, je pourrai prendre toutes les tisanes du monde, si je devais être grosse, je le serai.

Rien n'est moins efficace que tout ce que l'on peut trouver ici ou là, mais pour sa part, elle n'a jamais eu la matrice facile, et tomber enceinte tient plus du miracle que du quotidien pour elle. Elle n'aime pas ce malaise ambiant, elle n'aime pas le discours. La So grimace doucement, le nez se fronce. Tant de promesses qu'on lui a faites et qui sont passées dans les oubliettes...

Si tu dois me promettre ou m'assurer d'une chose, c'est de ne rien me promettre, jamais. Parce que quoi qu'on me promette, ce n'est jamais tenu.

Mais elle ressent grand besoin de réconfort, aussi se lève-t-elle pour venir se poser tout contre Raymond.

Je ne suis pas enceinte. Je dois juste couver quelque chose.

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Raymond_de_petrus
La couturière nia sa grossesse, dans une formulation qui laissa Raymond perplexe. Elle poursuivit et le malaise s'accentua chez le peintre.

Le camouflet de Sorianne, qu'il encaissa non sans douleur, le renvoya à la trivialité de leur situation. Il était marié, l'issue était écrite, et il se posait en tant qu'une espèce de chevalier blanc prêt à assumer ses égarements ? La belle affaire.
Et comment présenter cela de façon intelligible ? "Je n'ai jamais pu avoir avoir d'enfant viable avec ma femme, alors j'espérais que..." ?


Je...
Pardon.


Le regard de Raymond fuit la scène, se concentrant sur un détail du parquet.

Finalement Sorianne s'approcha de lui et l'étreinte fut brève, sans passion, l'esprit de Raymond loin de l'instant présent, renvoyé à des souvenirs lointains et des regrets qu'il n'avait jamais su oublier. Il finit par prendre Sorianne par les épaules et la repousser. Ils s'étaient promis les bons moments, et il savait que ce soir, il n'en serait rien pour lui.


Je ne serai pas de bonne compagnie ce soir.

Il envisagea de mentir, d'invoquer la prévôté. Finalement il n'en fit rien.

On se voit demain.

Il s'écarta alors d'elle, pour pouvoir prendre la porte.
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Sorianne
Repoussée.
Ce geste simple lui parait être l'équivalent de la pire gifle qu'elle pourrait recevoir. Le regard se relève à la recherche de celui du peintre mais il a déjà tourné talons pour rejoindre la sortie.


Raymond?

Croit-il qu'elle ment?
Le sourcil est froncé, l'inquiétude se sent chez la brune qui se retient de le supplier de rester. A la place, la noiraude va se poster contre la porte devant lui, retenant l'ouverture, le nez levé vers le visage détourné.


Ne pars pas Raymond, je me fiche que tu ne sois pas de bonne compagnie, on est ami, les amis se soutiennent non?

Non non, qu'il ne parte pas, Sorianne s'en angoisse, elle n'aime pas ces situations et rage intérieurement contre l'homme qui a eu la vilaine idée de parler grossesse juste parce qu'elle n'a pas eu envie de boire cette maudite choppe et qu'elle ne se sent pas bien. De ne pas savoir ce qui passe par la tête du peintre ne contribue pas à la rassurer, et c'est pire que tout. Elle secoue la tête, de dépit.

Je t'assure, sois rassuré, je suis presque certaine de ne pas attendre d'enfant.

C'est que la situation vient à lui coller un doute, même si elle est persuadée de son incapacité à la chose depuis plus d'une année.
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