Ariana_anthea
Elle salue gentiment la jeune femme d'un signe de tête poli puis laisse les hommes discourir entre eux. Elle, pendant ce temps, accueille Eléos et Valentina qui viennent quémander leurs baisers du matin. Elle s'accroupit donc légèrement afin de déposer un doux baiser sur la tête de sa fille puis caresse sa joue avec tendresse avant de passer à son presque petit-fils qu'elle serre doucement contre son cur et embrasse sur le front. Se relevant avec lenteur, elle leur murmure...
Retournez vous asseoir Mes Anges, Romaric et moi vous rejoignons.
Romaric, d'ailleurs, tend déjà les bras vers sa mère ce qui la fait sourire. Elle l'attire dans ses bras et marchant bas, faute à sa jambe, rejoint la table et assoit l'enfant près de son père.
Ne bouge pas et sois sage, je vais te chercher ton repas.
Elle caresse ses doux cheveux et s'en va vers l'âtre et les fourneaux. Un bol en terre remplit de lait frais et elle prépare une bouillie qu'elle sucre au moyen d'une généreuse cuillère de miel. Quant à elle, un broc d'eau chaude et un pot de plantes séchées feront son bonheur pour sa tisane quotidienne. Retournée à table, elle prend place près de son fils et son époux et prend Romaric sur ses genoux pour l'aider à manger. Jouant un instant à "Une cuillère pour Suau, une cuillère pour Valentina, une pour papa et maman" elle nourrit son petit dernier avec une tendresse largement visible. Pendant tout ce temps, elle écoute aussi la conversation et son regard est attiré par les marques de tendresse de Louis envers sa compagne. Elle aussi, autre fois, n'hésitez jamais du moment qu'ils n'étaient pas en public, à avoir les mêmes. Or, désormais, elle n'ose plus vraiment. De fait, alors qu'il y a encore quelques mois elle aurait déposé un baiser sur les cheveux de son époux, là, elle n'a rien fait. Il suffit de voir sa propre réaction lorsque accidentellement leurs mains se touchent pour comprendre que plus rien ne va. Cette situation l'attriste et la désespère mais elle ne sait comment y remédier, alors elle ne fait rien...ce qui n'arrange rien et contribue à creuser le fossé entre les deux amants autrefois si complices.
C'est grâce à son fils, qui tapote sa main pour avoir la suite de son repas, qu'elle revient à lui. Elle s'excuse d'un baiser sur son front et reprend son jeu de la cuillère. Pourtant une chose attire son attention, un nom, celui qu'elle porte désormais. Elle attend que Louis en ait fini et elle ose d'une petite voix...
Von Frayner dites-vous ? Veuillez me pardonner mais qui est-il par rapport à Leurs Altesses Charlemagne et Franc de Castelmaure-Frayner ?
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Retournez vous asseoir Mes Anges, Romaric et moi vous rejoignons.
Romaric, d'ailleurs, tend déjà les bras vers sa mère ce qui la fait sourire. Elle l'attire dans ses bras et marchant bas, faute à sa jambe, rejoint la table et assoit l'enfant près de son père.
Ne bouge pas et sois sage, je vais te chercher ton repas.
Elle caresse ses doux cheveux et s'en va vers l'âtre et les fourneaux. Un bol en terre remplit de lait frais et elle prépare une bouillie qu'elle sucre au moyen d'une généreuse cuillère de miel. Quant à elle, un broc d'eau chaude et un pot de plantes séchées feront son bonheur pour sa tisane quotidienne. Retournée à table, elle prend place près de son fils et son époux et prend Romaric sur ses genoux pour l'aider à manger. Jouant un instant à "Une cuillère pour Suau, une cuillère pour Valentina, une pour papa et maman" elle nourrit son petit dernier avec une tendresse largement visible. Pendant tout ce temps, elle écoute aussi la conversation et son regard est attiré par les marques de tendresse de Louis envers sa compagne. Elle aussi, autre fois, n'hésitez jamais du moment qu'ils n'étaient pas en public, à avoir les mêmes. Or, désormais, elle n'ose plus vraiment. De fait, alors qu'il y a encore quelques mois elle aurait déposé un baiser sur les cheveux de son époux, là, elle n'a rien fait. Il suffit de voir sa propre réaction lorsque accidentellement leurs mains se touchent pour comprendre que plus rien ne va. Cette situation l'attriste et la désespère mais elle ne sait comment y remédier, alors elle ne fait rien...ce qui n'arrange rien et contribue à creuser le fossé entre les deux amants autrefois si complices.
C'est grâce à son fils, qui tapote sa main pour avoir la suite de son repas, qu'elle revient à lui. Elle s'excuse d'un baiser sur son front et reprend son jeu de la cuillère. Pourtant une chose attire son attention, un nom, celui qu'elle porte désormais. Elle attend que Louis en ait fini et elle ose d'une petite voix...
Von Frayner dites-vous ? Veuillez me pardonner mais qui est-il par rapport à Leurs Altesses Charlemagne et Franc de Castelmaure-Frayner ?
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