Vivia
Entre ses propres mots et la chance du Judicael, elle peine à entendre ce qui se trame derrière la porte. A croire qu'elle cherche à faire sécher les retardataires ou les vieux. Doucement, après les paroles du Renard, la Sicilienne observe donc le cadastre et les zones visées. Rien à redire, cela semble légitime et logique après tout. Quant aux bains, s'il ne les revendique pas, Blondie en revanche ne s'en privera pas. Mieux qu'une partie de Monopoly ce cadastre.
Quelqu'un a-t-il quelque chose à redire sur ces premiers choix ?
D'un geste, elle invite le Sanguinaire à se rapprocher pour qu'il prenne note de ces éléments et ce, dans l'attente qu'ils soient validés par tous. S'il y en a bien un, capable de remettre en ordre ce cadastre et d'y consacrer du temps, c'était bien le Cramé. Puis, enchaînant un second geste, elle attire la servante qui semble porter une attention toute particulière à ce qui se trame derrière la porte. Le museau de la Blondie se relève, l'oreille se tend et la servante avoue que des voix se perdent de l'autre côté de la porte.
Nous avons des retardataires... D'un pas déterminé, le Barbier s'avança jusqu'à la porte pour l'ouvrir et faire face au vieux gitan et à une jeune brune. Si l'un est connu comme la peste, l'autre reste pour l'heure encore inconnue pour la Bicolore. Petit hochement de tête, elle les invite à pénétrer mettant ainsi fin à une possible - conversation stérile et imaginaire.
Petit traitement de faveur vu l'âge du gitan mais également pour ce vécu qu'il représente, tant sur sa trogne ridé que pour ces pavés. Contente que tu sois venu, Sandino. Tu pourras à loisir réaffirmer les contours de ce vestige que tu représentes. Bien sûr, le tact du Barbier n'était plus à démontrer et certains d'ailleurs en avait déjà fait les frais. D'ailleurs, pas de jaloux...
La Brune est venue avec lequel ou laquelle d'entre vous ? Bah oui, si les Rats la tenaient régulièrement au courant de ce qui se trame dans la Cour, il arrive que quelques informations elles, stagnent à l'état de larve sur les pavés. En somme, elle ne la connaît pas et se demande bien ce qu'elle fou ici. Alors, qui se porte garant pour la Brunette ?
Quant à la porte dans tout ce merdier ? Elle reste ouverte pour avoir un il sur les prochains retardataires car en effet, si le cabinet était fermé exceptionnellement, il était évident que seuls ceux qui avaient été destinataires du courrier étaient à même de s'y pointer. D'ailleurs, il restait encore un encapuchonné...
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Quelqu'un a-t-il quelque chose à redire sur ces premiers choix ?
D'un geste, elle invite le Sanguinaire à se rapprocher pour qu'il prenne note de ces éléments et ce, dans l'attente qu'ils soient validés par tous. S'il y en a bien un, capable de remettre en ordre ce cadastre et d'y consacrer du temps, c'était bien le Cramé. Puis, enchaînant un second geste, elle attire la servante qui semble porter une attention toute particulière à ce qui se trame derrière la porte. Le museau de la Blondie se relève, l'oreille se tend et la servante avoue que des voix se perdent de l'autre côté de la porte.
Nous avons des retardataires... D'un pas déterminé, le Barbier s'avança jusqu'à la porte pour l'ouvrir et faire face au vieux gitan et à une jeune brune. Si l'un est connu comme la peste, l'autre reste pour l'heure encore inconnue pour la Bicolore. Petit hochement de tête, elle les invite à pénétrer mettant ainsi fin à une possible - conversation stérile et imaginaire.
Petit traitement de faveur vu l'âge du gitan mais également pour ce vécu qu'il représente, tant sur sa trogne ridé que pour ces pavés. Contente que tu sois venu, Sandino. Tu pourras à loisir réaffirmer les contours de ce vestige que tu représentes. Bien sûr, le tact du Barbier n'était plus à démontrer et certains d'ailleurs en avait déjà fait les frais. D'ailleurs, pas de jaloux...
La Brune est venue avec lequel ou laquelle d'entre vous ? Bah oui, si les Rats la tenaient régulièrement au courant de ce qui se trame dans la Cour, il arrive que quelques informations elles, stagnent à l'état de larve sur les pavés. En somme, elle ne la connaît pas et se demande bien ce qu'elle fou ici. Alors, qui se porte garant pour la Brunette ?
Quant à la porte dans tout ce merdier ? Elle reste ouverte pour avoir un il sur les prochains retardataires car en effet, si le cabinet était fermé exceptionnellement, il était évident que seuls ceux qui avaient été destinataires du courrier étaient à même de s'y pointer. D'ailleurs, il restait encore un encapuchonné...
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