Taurin
[Taurin, soldat dans "Justiciers Expéditionnaires Urgentistes" armée dirigée par lAmiral Abraxes]
Taurin n'est pas militaire, mais il a déjà fait de nombreux combats, et la dernière guerre d'Anjou. Il sait manier une épée et un bouclier, suffisamment bien pour tuer.
Après avoir passé la soirée dans la taverne des "Vrais Saigneurs" à Angers, et après quelques verres il est vrais, il était temps pour lui de prendre sa garde.
Épée à sa ceinture, bouclier à la main, tout allait bien sur les hauts et forts remparts d'Angers.
"L'hiver approche, les première pluies glacées ont déjà fait leurs uvres, sa va être marrant de se castagner dans la boue." Se disait-il.
Même si il nattendait rien de cette nuit, comme les précédentes d'ailleurs. Aucuns mouvements prémonitoires depuis les petites lueurs des nombreux camps Français ne laissait présager quoi que ce soit de leur part. Pour cette nuit en tout cas.
Taurin continua son tour de garde. Comme on lui avait indiqué, il descendit les remparts et alla rejoindre le poste avec quelques uns de ces compagnons d'armées.
Il arriva au poste, il vu Janis, il l'avait brièvement vu en taverne avec un ami à lui, sûrement. Il s'approcha d'eux pour leurs demander des nouvelles, si tout sa passait bien.
Quand d'un coup, Janis leva sa tête brusquement vers le ciel pour ensuite sabriter précipitamment sous son bouclier.
Le jeune Taurin, ne mit pas longtemps pour comprendre, il s'écrasa sous son bouclier, et, après un léger sifflement, une nuée de flèche sabattit sur lui. Un boucan monstrueux et d'une intense violence fit trembler son bras duquel il tenait fermement son bouclier.
Le déluge terminé, il resta quelques secondes encore sous son bouclier, pour être sûr.
Janis et son ami, à côté de lui, s'agitait déjà en entendant l'alerte des sentinelles situées sur les tours des remparts.
De nombreux cris s'élevèrent devant eux, des cris de guerriers, bien déterminés à en découdre.
"Maintenant, il n'y aura plus de flèche, sort de sous ton bouclier et bat toi !!"
Taurin voyait ses compagnons, accourir, toutes lames dehors sur les assaillants de la Couronne Française.
Il se mit à courir, hurlant de tout ses poumons vers les Français.
Les archers Angevins tirant déjà sur les lignes Françaises, mais ils durent vite arrêter, sans quoi, ils décimeraient leurs compagnons.
Il engagea le combat contre une femme, sans armures ni armes. Taurin hésita une seconde avant de se décider de la frapper de son fer. C'était une seconde d'hésitation de trop, une seconde qui fut assez longue pour qu'une compagnon de cette femme, lui assène un violent coup d'épée au flanc.
Le coup de Taurin dévié, la jeune femme sans armures ne reçu son coup que sur l'épaule et non sur sa tête, objectif initialement prévu par le jeune guerrier pour l'abattre directement. Un coup puissant, malgré le choc qu'il avait reçu au flanc, Taurin entendit un cris de douleur et vit la jeune femme tomber dans la boue. Juste avant que lui aussi ne tombe, sur le dos.
Heureusement pour lui qu'il avait une armure, sans quoi, il serai tombé K.O sur le coup et son assaillante lui aurai planté sa lame dans le torse immédiatement. Taurin pu se protéger grâce à son bouclier de ce coup mortel.
Le coup fut violent, et l'onde de choc se répercuta dans tout son corps, il était sonné. Heureusement pour lui, le bouclier résista, et l'épée de son assaillante se retrouva bloqué dedans, il pu se relever le temps que son adversaire ne fasse voler en éclat son bouclier à grands coups de pieds.
Taurin n'hésita pas une seule seconde cette fois là, et pris son épée à deux mains pour tuer. Malheureusement pour lui, son estocade fut bloqué d'une parade magistrale de son adversaire. La lame de Taurin se brisa sous la puissance du choc, celle de son adversaire malgré un léger frémissement, resta entière. Il se retrouvai donc sans arme ni bouclier, une blessure au flanc. La femme en face de lui, lui fit perdre connaissance en le mettant K.O d'un coup à l'épaule.
Taurin allait mourir, il le savait, ce qu'il ne savait pas, c'était que les renforts arrivaient derrière lui, et allait obliger la femme à battre en retraite, ainsi que touts les autres Royalos cette nuit là.
Taurin fut ramené au camp, où il fut soigné en vu d'une nouvelle bataille.
Les Français avaient perdus une bataille mais pas la guerre, et ils reviendraient, tôt ou tard. Mais cette fois, Taurin, n'hésitera pas à frapper....
Taurin n'est pas militaire, mais il a déjà fait de nombreux combats, et la dernière guerre d'Anjou. Il sait manier une épée et un bouclier, suffisamment bien pour tuer.
Après avoir passé la soirée dans la taverne des "Vrais Saigneurs" à Angers, et après quelques verres il est vrais, il était temps pour lui de prendre sa garde.
Épée à sa ceinture, bouclier à la main, tout allait bien sur les hauts et forts remparts d'Angers.
"L'hiver approche, les première pluies glacées ont déjà fait leurs uvres, sa va être marrant de se castagner dans la boue." Se disait-il.
Même si il nattendait rien de cette nuit, comme les précédentes d'ailleurs. Aucuns mouvements prémonitoires depuis les petites lueurs des nombreux camps Français ne laissait présager quoi que ce soit de leur part. Pour cette nuit en tout cas.
Taurin continua son tour de garde. Comme on lui avait indiqué, il descendit les remparts et alla rejoindre le poste avec quelques uns de ces compagnons d'armées.
Il arriva au poste, il vu Janis, il l'avait brièvement vu en taverne avec un ami à lui, sûrement. Il s'approcha d'eux pour leurs demander des nouvelles, si tout sa passait bien.
Quand d'un coup, Janis leva sa tête brusquement vers le ciel pour ensuite sabriter précipitamment sous son bouclier.
Le jeune Taurin, ne mit pas longtemps pour comprendre, il s'écrasa sous son bouclier, et, après un léger sifflement, une nuée de flèche sabattit sur lui. Un boucan monstrueux et d'une intense violence fit trembler son bras duquel il tenait fermement son bouclier.
Le déluge terminé, il resta quelques secondes encore sous son bouclier, pour être sûr.
Janis et son ami, à côté de lui, s'agitait déjà en entendant l'alerte des sentinelles situées sur les tours des remparts.
De nombreux cris s'élevèrent devant eux, des cris de guerriers, bien déterminés à en découdre.
"Maintenant, il n'y aura plus de flèche, sort de sous ton bouclier et bat toi !!"
Taurin voyait ses compagnons, accourir, toutes lames dehors sur les assaillants de la Couronne Française.
Il se mit à courir, hurlant de tout ses poumons vers les Français.
Les archers Angevins tirant déjà sur les lignes Françaises, mais ils durent vite arrêter, sans quoi, ils décimeraient leurs compagnons.
Il engagea le combat contre une femme, sans armures ni armes. Taurin hésita une seconde avant de se décider de la frapper de son fer. C'était une seconde d'hésitation de trop, une seconde qui fut assez longue pour qu'une compagnon de cette femme, lui assène un violent coup d'épée au flanc.
Le coup de Taurin dévié, la jeune femme sans armures ne reçu son coup que sur l'épaule et non sur sa tête, objectif initialement prévu par le jeune guerrier pour l'abattre directement. Un coup puissant, malgré le choc qu'il avait reçu au flanc, Taurin entendit un cris de douleur et vit la jeune femme tomber dans la boue. Juste avant que lui aussi ne tombe, sur le dos.
Heureusement pour lui qu'il avait une armure, sans quoi, il serai tombé K.O sur le coup et son assaillante lui aurai planté sa lame dans le torse immédiatement. Taurin pu se protéger grâce à son bouclier de ce coup mortel.
Le coup fut violent, et l'onde de choc se répercuta dans tout son corps, il était sonné. Heureusement pour lui, le bouclier résista, et l'épée de son assaillante se retrouva bloqué dedans, il pu se relever le temps que son adversaire ne fasse voler en éclat son bouclier à grands coups de pieds.
Taurin n'hésita pas une seule seconde cette fois là, et pris son épée à deux mains pour tuer. Malheureusement pour lui, son estocade fut bloqué d'une parade magistrale de son adversaire. La lame de Taurin se brisa sous la puissance du choc, celle de son adversaire malgré un léger frémissement, resta entière. Il se retrouvai donc sans arme ni bouclier, une blessure au flanc. La femme en face de lui, lui fit perdre connaissance en le mettant K.O d'un coup à l'épaule.
Taurin allait mourir, il le savait, ce qu'il ne savait pas, c'était que les renforts arrivaient derrière lui, et allait obliger la femme à battre en retraite, ainsi que touts les autres Royalos cette nuit là.
Taurin fut ramené au camp, où il fut soigné en vu d'une nouvelle bataille.
Les Français avaient perdus une bataille mais pas la guerre, et ils reviendraient, tôt ou tard. Mais cette fois, Taurin, n'hésitera pas à frapper....