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Roman.
Si Roman et Gabriele s'étaient connus plus tôt, sans doute auraient-ils eu un lien bien plus fort que ce qu'ils avaient à présent. Gabriele était le fils aîné d'Amalio, et il avait eu un frère jumeau, Alessandro, qui était à présent décédé dans des circonstances que Roman, quatrième fils après Gabriele, Alessandro et Gianni (qu'il ne connaissait pas), ignorait. Mais c'était à Limoges, fort récemment, que les deux frères avaient eu un peu le temps de faire connaissance. Passés quelques jours houleux au cours desquels leur rencontre avait pris la forme d'un désastre, Roman et Gabriele s'étaient fait remonter les bretelles par leur père et avaient prit la décision de faire acte de contrition, commençant par prendre le temps de se parler sans s'engueuler.

Il était advenu qu'ils s'appréciaient, d'une manière étonnamment évidente. Une sorte de confiance mutuelle aveugle avait pris place entre eux, permettant soudain l'ouverture de nouvelles portes. Ils s'étaient quittés en frères et non en ennemis, avec la promesse de s'écrire, et le regret de ne pas partager, pour le moment, là même route. Moins de deux semaines plus tard était arrivée la première lettre... et son contenu était celui que Roman espérait recevoir d'un frère. Le lien s'était tissé.


Gabriele. a écrit:

Fratello,

Que deviens-tu ? Comment se passe ton périple ?
J'ai rencontré une femme que tu as fait danser. Je peux te dire que tu as marqué son esprit. Elle n'a fait que parler de toi, toute la soirée. Visiblement, nous ne pouvons pas renier notre père : toutes les femmes qui croisent notre chemin tombe sous notre charme.
J'ai moi-même croisé une femme, qui nous suit à présent. Rose. Et figure toi qu'elle m'aime. Pas de bol, hein ? Les femmes sont d'un compliqué...
Tu devrais revenir, et la détourner de moi. Ca me permettrait de résoudre un gros problème.

Je pense à toi, souvent. Mi manchi, fratello mio.

Gabriele C.


Roman a écrit:

Fratello mio,

Ta lettre est un bienfait pour moi, je suis heureux que nous nous connaissions enfin assez pour échanger des messages et pour se donner de véritables nouvelles.

Tu as donc rencontré Fanette ! Je dois t'avouer qu'elle aussi a marqué mon esprit, et d'une belle façon. Elle est attachante, jolie et amusante, si fraîche et si limpide à la fois ! Mes pensées vont souvent vers elle. Je sais qu'elle a même parlé de moi à Pàpa... c'est surprenant. J'espère que cela continuera aussi bien que cela a commencé. Nos chemins divergent actuellement mais il est prévu que nous nous rejoignions dans les semaines à venir.

Je vois de quelle fille tu me parles, toi. Du moins je pense, mais je me trompe peut-être : est-ce la sauvageonne qui n'a pas de nom ? Je crois bien que j'ai entendu quelques personnes l'appeler Rose. Je ne suis pas surpris qu'elle t'aime, cependant : tu fais sans doute tomber les femmes sans peine ! Comme nous tous, enfants Corleone. Mais je lis bien que cela te pose un problème. Tigist est sans doute très ennuyée d'avoir pour compagnie une gamine amourachée de son beau mari !

Mais je ne puis pas revenir auprès de toi pour le moment. Mon contrat auprès d'Isaure n'est pas terminé, d'autant que je me prends d'une certaine amitié pour les gens que j'accompagne. Peux-tu m'en dire davantage sur ton problème ? Je ne sais pas encore comment je pourrais t'aider. Ne peux-tu pas la menacer ? Ou demander à Pàpa de le faire, s'il est toujours avec toi ? Il est doué pour ça, aussi.

Tiens-moi au courant. Nous sommes aujourd'hui à Poitiers, êtes-vous arrivés à Bordeaux ? Comment va Rodrielle ?

Ecris-moi bientôt.

Roman

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Roman.
Avec Eleus, c'était différent. Le lien entre eux était beaucoup plus évident, d'abord parce qu'ils s'étaient connus plus jeunes, et aussi parce qu'ils étaient de la même mère, et qu'ils avaient pu passer plusieurs mois ensemble avec leurs deux parents, ce qui n'était probablement jamais arrivés aux autres rejetons du patriarche. Joanne et Amalio avaient fait route commune avec Roman et Eleus au printemps 1463. Cela faisait donc deux ans que les deux frères ne s'étaient plus vus, chacun ayant continué sa route de son côté, et les parents du leur. Mais en arrivant à Limoges au début de l'automne 1465, Roman avait trouvé le nom d'Eleus sur le registre public de la mairie... ce qui signifiait qu'il était en ville. Le tout était de savoir à quel endroit, et sous quelle identité ! Dans le doute, Roman avait écrit un message qu'il avait cacheté puis laissé à la mairie, de sorte qu'Eleus pût le trouver en se rendant au marché des emplois. La réponse n'avait pas tardé, à son grand plaisir.

Eleus a écrit:
R.

Suis libre !
Mais j'ai foiré mon coup. Même les sbires du viocq m'ont vu veni ! La honte.
Tu savais qu'il était en Berry ? Une jambe en moins ou quelques choses comme ça.
T'es ou toi ?

E.

P.S. : Y'a qui avec toi ?


Roman a écrit:
Libre ? Tu étais donc emprisonné ?! Que s'est-il passé ? Voilà près d'un an que je ne t'ai plus vu. Maman m'a parfois demandé de tes nouvelles et je n'en avais pas. Papa aussi se demandait où tu avais disparu. C'est moi qui lui ai dit que tu étais à Limoges, et c'est simplement parce que j'ai trouvé ton nom sur le registre de la mairie ! Cela ne me dit pas si tu loges à l'auberge, dans une maison ou dans la prison, seulement que tu te trouves en ville.

Oui, le vieux a été sévèrement touché, il s'est pris une armée juste après avoir perdu un combat en lice contre le vieux Kheldar (un gars comme lui, mais plus entraîné, à ce qu'il semblerait). Cela fait déjà plusieurs mois qu'il est en convalescence mais je crois qu'il ne récupère plus aussi bien qu'avant, vu son âge.

Je suis à Limoges, avec ma compagne Fanette et quelques amis. Nous allons nous marier dans les semaines qui viennent, il faudra que je te présente ! Retrouvons-nous à l'auberge municipale ou au Hanap Couronné, car je ne peux pas te faire venir, pour le moment, là où nous logeons. Je t'expliquerai, c'est un peu long. Nous sommes chez la princesse Mélissandre de Malemort. Longue histoire mais charmante personne.

Il me tarde de te retrouver,

Roman

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Roman.
L'inattendu surgit alors que les jours s'apaisaient enfin dans la douceur d'un automne... Alors que Roman goûtait à une vie paisible à Limoges, retrouvait quelques connaissances et apprivoisait (tant bien que mal) son jeune frère Eleus, des nouvelles en provenance du sud du pays vinrent mettre à mal ce calme bienvenu. Fanette, un soir, lui avait dit avoir entendu parler d'un article publié récemment par l'AAP, qui parlait des combats qui ravageaient l'Armagnac. Les Corleone, associés à trois autres clans de brigands, avaient pris le contrôle de Lectoure et Saint Liziers, mais la trahison d'un membre du clan italien avait fait échouer la seconde vague d'attaques...

Roman a écrit:

Fratello mio,
Les nouvelles que nous recevons ici par l'AAP nous inquiètent. Eleusio auss m'a demandé de tes nouvelles. Que se passe-t-il ? Qui a trahi le clan ?
Réponds-moi au plus vite, je m'inquiète.
R.


Dès le lendemain, Roman avait fait porter un courrier à son frère Gabriele, meneur du groupe des Italiens. Qui était le traître à la famille ? Qui donc avait osé mentir à son sang ? L'inquiétude rongeait déjà Roman car il imaginait toutes les implications que pouvait porter une trahison de cette ampleur. Y avait-il eu des morts dans la famille ? Qui était blessé ? Qui avait été pris et fait prisonnier ? Qui risquait d'être pendu ? L'article de l'AAP mentionnait même que la tête du traître avait été mise à prix par le clan Corleone... Mais lorsque Roman reçut la réponse de Gabriele, il tomba des nues, et il se sentit pâlir tandis qu'une sueur froide lui couvrait les tempes. Comment cela pouvait-il être... ?

Gabriele a écrit:

L'écriture est faite de brisures. Le parchemin est tâché d'encre, bien loin du soin apporté habituellement à ses écrits.

Roman,

Tigist... C'est Tigist. Tigist...

G.


La feuille de vélin tremblait presque dans la main de l'assassin. Tigist. La femme de Gabriele. L'abyssinienne sulfureuse et dangereuse pour qui il avait à la fois admiration et affection. Cette belle-soeur qu'il aurait cru être la personne la plus fiable des "pièces rapportées" du clan... Pour quelle raison avait-elle trahi Gabriele, les Corleone et tous leurs associés ? Pourquoi faire échouer les attaques et risquer des morts dans les rangs des Italiens ?

Roman a écrit:

Ho, merde. Je ne comprends pas. Tu te poses sans aucun doute toi-même la question, mais : pourquoi ? Pourquoi elle ??


Gabriele a écrit:

Non so. Je ne sais plus rien. Ni pourquoi, ni...Ce que je veux faire. Je veux mourir : ça c'est une certitude. Je trouverai bien un moyen.

G.


À la lecture de ces mots, Roman fut pris d'une grande angoisse. Gabriele, bien qu'éloigné de lui, était son frère aîné, l'un des rares qu'il connût parmi les enfants de son père. Le savoir prêt à se tuer dépassait ce qu'il était capable d'accepter. Sa plume courut aussitôt sur le premier bout de vélin qu'il trouva assez grand pour contenir quelques mots :

Roman a écrit:

Fratello mio, ne fais rien d'irréparable et dis-moi où tu es ! Je viens te chercher avec Eleus. Papa sera à Limoges dans trois jours.


Eleus. Leur petit frère était prêt à venir à la rescousse de cet aîné qu'il ne connaissait même pas. Un sentiment d'affection, encore naissant, vint affleurer l'âme de l'Italien. Finalement, malgré l'éclatement géographique et familiale des bâtards du vieil Amalio, les liens de sang ne se trahissaient pas. Gabriele répondit assez rapidement, et le vélin mentionnait l'endroit où il se trouvait, en plus d'une petite phrase qui ne fit qu'ajouter à l'inquiétude de Roman :

Gabriele a écrit:

... Au moins les enfants auront quelqu'un...
G.


Roman a écrit:
Je préviens Eleus. Nous pourrons peut-être partir ce soir. Gare à toi si je te trouve mort !

_________________
Roman.
Roman a écrit:

Padre mio,

Je suis parti de Limoges avant ton arrivée, et en urgence, car Gabriele est en grand danger C'est Tigist qui a trahi le clan. Tu imagines dans quel état se trouve Gab. Il m'a écrit qu'il voulait se tuer. Je suis parti avec Eleusio hier soir, nous sommes à ... Je vais aller le récupérer à ... avec ses enfants, et les ramener à Limoges.

Je sais que tu arriveras bientôt dans la capital. En mon absence, je voudrais que tu restes auprès de Fanette. Elle est souffrante depuis plusieurs jours et je n'ai pas de cabinet médical qui me permette de confectionner les bons remèdes. De plus, le médecin indiqué par Vera n'a pas répondu à ma lettre pour obtenir une consultation. Pourras-tu soulager au moins quelques-uns de ses maux ? Je lui ai laissé des potions mais elle est si malade qu'elle pourrait ne pas les prendre à bonne dose. N'oublie pas qu'elle est enceinte.

Nous aurons le temps de parler quand Gab sera sain et sauf avec nous à Limoges.

Roman

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Amalio
Le Clan resserrait ses liens, se serrait les coudes dans l'adversité... et l'on prévenait le vieil Amalio que son fils aîné était dans une situation plus que préoccupante. Son inquiétude pour Gabriele se doublait d'une fierté certaine à l'idée que ses autres fils et même Jenifael s'inquiétaient de son état...

Jenifael a écrit:

De Jeni,
A Amalio,

Je ne sait pas où tu es ... mais ton fils à besoin de toi. Celui que j'aime pas : Gabriele. par contre, je ne sait pas non plus où il se trouve.

Prends toi de la famiglia & surtout de toi,
Jeni.



Roman a écrit:

Padre mio,
Je suis parti de Limoges avant ton arrivée, et en urgence, car Gabriele est en grand danger C'est Tigist qui a trahi le clan. Tu imagines dans quel état se trouve Gab. Il m'a écrit qu'il voulait se tuer. Je suis parti avec Eleusio hier soir, nous sommes à .... Je vais aller le récupérer à ... avec ses enfants, et les ramener à Limoges.

Je sais que tu arriveras bientôt dans la capital. En mon absence, je voudrais que tu restes auprès de Fanette. Elle est souffrante depuis plusieurs jours et je n'ai pas de cabinet médical qui me permette de confectionner les bons remèdes. De plus, le médecin indiqué par Vera n'a pas répondu à ma lettre pour obtenir une consultation. Pourras-tu soulager au moins quelques-uns de ses maux ? Je lui ai laissé des potions mais elle est si malade qu'elle pourrait ne pas les prendre à bonne dose. N'oublie pas qu'elle est enceinte.

Nous aurons le temps de parler quand Gab sera sain et sauf avec nous à Limoges.

Roman



Lo_scunizzo a écrit:

Père.

Je ne sais pas si tu es au courant des derniers évènements et de la trahison de la femme de mon frère.
Je suis déphasé et je ne sais comment agir face à cette situation car en même temps, la mienne a fui . Elle aurait été soi-disant violée et pour sauver mon enfant qu'elle porte, je me suis enfilé dans une histoire pas possible.

J'ai croisé Gabriele, sur le retour. C'est devenu une ombre, sans volonté, tout mou et hagart, il m'a fait peur. Il semble tout rejeté.
Tu le connais mieux que moi, dis-moi ce que je dois faire?

Alessandro



L'avalanche inhabituelle de courriers avait de quoi l'inquiéter autant que le rassurer. Gabriele ne serait pas laissé à lui-même. Le vieux père commença à répondre aux lettres...

Amalio a écrit:

Alessandro, mon garçon,
Voilà une lettre qui est bienvenue, même si j'aurais aimé avoir de tes nouvelles dans d'autres circonstances. J'arriverai demain à Limoges. Tes frères Roman et Eleus sont partis chercher Gabriele à .... Je te donnerai des nouvelles dès que j'en aurais, ou bien tu peux écrire à Roman.
Pour ta femme, je suis navré. Je ne la connaissais même pas. Veux-tu m'en dire davantage ?
Où te trouves-tu en ce moment ? Avec Gabriele ? Peux-tu venir à Limoges avec lui ?
Fais ce que tu peux pour Gabriele. Être une épaule pour lui, le surveiller surtout pour ne pas qu'il fasse de connerie.
J'attends de tes nouvelles.
A.



Amalio a écrit:

Salut Jeni,
J'ai bien reçu ton message, presque en même temps que ceux de Roman, Eleus et Alessandro. Roman a pris les devants et est parti avec Eleus à cheval pour aller chercher Gabriele et le ramener à Limoges. Quant à moi, j'y serai demain. Je suis fier de voir que tu te préoccupes tout de même de Gab.
Donne-moi donc aussi de tes nouvelles.
A.



Amalio a écrit:

Roman, fils,
Je suis fier que tu sois déjà parti à la rencontre de ton frère. Soyez prudents, Eleusio et toi, car vous pourriez être pris dans les combats, les Français sont sans aucun doute en train de rechercher les Corleone et leurs affiliés. Eleus sait-il se défendre ? Il est encore jeune. Tu devras redoubler d'attention. Je te fais confiance.
J'ai aussi reçu une lettre de votre autre frère, Alessandro, le jumeau de Gabriele. J'ai cru comprendre qu'il était auprès de lui. Il est très inquiet également mais lui aussi a perdu sa femme. Tâche de faire revenir tout le monde à Limoges. J'y serai demain et je surveillerai ta Fanette.
Ecris-moi dès que vous aurez trouvé Gabriele.
A.



Et, bien sûr, il écrivit à Gabriele... son fils aîné, sa fierté. Celui de ses fils qu'il connaissait sans doute le mieux.

Amalio a écrit:

Gabriele, mon fils, mon garçon,
J'ai appris par différents courriers ta situation. Alessandro, Roman et Jenifael m'ont écrit pour me prévenir. J'ai cru comprendre qu'Alessandro était déjà auprès de toi, et Roman arrivera sans doute bientôt, il est en route. Ne fais pas de conneries en attendant et écris plutôt à ton vieux père, que nous causions un peu entre hommes avant de nous retrouver à Limoges.
Je t'interdis de te détruire.
A.


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Roman.
Alessandro a écrit:

Buona sera.

Nous ne nous connaissons pas. Je suis Alessandro, le jumeau de Gabriele.Notre père m'a dit de t'écrire.
J'étais à ses côtés et une retraite ainsi que l'enlèvement de ma femme nous a séparés.
Hier nos routes se sont brievement rencontrées et j'ai eu face à moi un être enfermé dans son chagrin, drogué et enfoutiste de tout. Ca m'a tellement attristé que la colère a pris le dessus.
J'aurais voulu qu'il me demande de l'aide, q'il s'agrippe a moi, il ne l'a pas fait..moi non plus alors que j'en crevais de résister...nous sommes ssans doute les deux etres les plus stupides de la creation.
J'ai donc poursuivi ma route mais depuis je suis bouffé par le remord et pourtant je me dois d'honorer une promesse faite.
Peut tu me dire quand tu seras prêt de lui? Si je dois faire demi-tour de suite?
Et pour sa femme, la traitresse que faire? Il m'a interdit de la toucher
réponds-moi vite.
A


Roman a écrit:

Bonjour à toi, mon frère.
J'aimerais faire ta connaissance en de plus fastes occasions. Mais sauver Gabriele est ce qui prime aujourd'hui. Je serai dès demain matin à Villefranche avec mon frère Eleus. Tu ne le connais sans doute pas non plus, nous sommes les fils de Joanne. Je compte ramener Gabriele à Limoges où Papà nous attend déjà. Y seras-tu aussi ? Ou es-tu parti à la recherche de ta femme ? Dis-m'en davantage, si je puis t'aider. Même si nous ne nous sommes jamais vus, nous sommes frères.
Roman

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Jenifaelr
    Elle fronça les sourcils et faillit vomir. Non, la pensée du cousin ne provoquer pas de nausée, les grossesses intempestives, oui par contre. Et puisqu'elle était au début d'une nouvelle grossesse, il y avait de l'ambiance dans son ventre. C'est après cette délicieuse note de la matinée, qu'elle écrivit à Amalio.



    Amalio,

    Rêve-pas, ça ne tiendrait qu'à moi, il crèverait seul. Je ne l'aime pas, il a passer son temps à m'insulter lorsque j'étais enceinte ou non et à m'emmerder.
    À la limite, je me préoccupe de ceux qui l'aime lui. Toi, par exemple.

    Mes nouvelles ... Ma foi, je suis avec Stain, j'entends par là, un couple et je suis enceinte. De quoi animée ma nuit et ma matinée, de nausées et d'autres maux, que je ne te citerais pas, tu es médecin, tu les a étudié. Arsène va bien et je regrette toujours aussi, ce que le groupe est devenu. Comment va Roman? Je l'aime bien lui !

    Prends soin d'eux.

    Jeni.

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