Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >   >>

[RP] En avant, mauvaise troupe !

L_aconit
[Périgueux]

- 1000 ECUS !

Dit-il en jetant le papelard au feu. Oui. Il faisait encore du feu le soir, ça caillait à saint front. Puis Nicolas était frileux.


- Tu entends ça Salomon?

1000 écus pour ma soutane mède in benjen seulement! même Desiré m'a coûté plus cher, 1500 écus ! Sans compter qu'il a fallu payer 500 écus à Pierre et 500 écus à sa greluche pour l'escorte. Soit 25o0 écus pour ce merveilleux lévrier épiscopal!


Il regarde le chien qui remue bêtement la queue en l'entendant hausser le ton et prononcer son nom et ne peut s'empêcher de s'interrompre et de venir lui faire des crognougnous. Non parce que à ce prix là la beste était gentille, pensez bien. Une levrette de compétition qu'on vous dit!


- C'est honteux! Je vais me les faire. je vais me les faire ! Donnez moi ma crosse. ma Croooooosse!


Il échappe un tic nerveux en voyant revenir le petit oblat, neveu de son état et un hoquet d'horreur.


- Non, pas mon olisbos dieu du ciel!

Il se signe et arrache l'objet des mains innocentes pour le ranger quelque part. On ne vous dira pas où.

- ma crosse!

Le menton - fort beau - relevé, il enfile une soutane spéciale camouflage et une coquille de protection en gesticulant un peu. C'est qu'il était un peu gringalet, l'évêque de Périgueux.


- Comment ça on va sauver les Angoumoisins? Plutôt crever oui! On va montrer à ces radins le prix des choses. Teh. Pardi.

ça devenait vraiment contagieux. Il fallait cesser de trainer près de Samsa. mais que voulez vous, quand on est religieux, il ne reste plus des masses de divertissements et de plaisirs terrestres à scrougnougner... Alors il faut bien sauter sur la première occasion qui se présentait! Et on ne parle pas de Samsa.

_________________

(En Bleu italique, les pensées Laconiques.) galerie d'avatar-Recueil
Myelie
[Quelque part en rase campagne, avec la vilaine... Vilaine et demi donc]

Petit ennui deviendra grand. L’ennui, c’est cette nausée qu’elle sent latente depuis qu’elle n’a même pas été capable de manger son demi-pain. Après des heures passées à guetter et à attendre, le doigt de la gueuse pointait en direction des remparts. La noiraude l’avait suivi, une main placée au-dessus des prunelles pour faire écran et masquer le soleil. Ses yeux plissés étaient fixés sur le lointain sur la dite tour montrée et diversement nommée et indifféremment indiquée avec un autre doigt.
Évidemment qu’elle y avait participé. Le premier lançait le caillou, tandis que l’autre le frappait de toutes ses forces. Et les pigeons qui leur volaient autour comme des mouches autour d’une fiente de poney. Et Miel de crier « Poule » lorsqu’on en chopait un au vol… Et de courir le débarrasser du message… Lorsque la voix de Yap avait raisonné dans son dos :


-P'tain un peu qu'j'reste en liberté ! MYELIE ! Y a du boulot pour toi ! T'as t'jours le manuel "Comment insulter son prochain et rester chic" ?!


Bien sûr!

Pas de problème, la jeunette s’était installée au pied d’un arbre tout l’attirail d’écriture prêt à l’emploi et s’était mise à écrire tandis que la nausée s’était mise à monter de manière exponentielle :

Citation:
Par la présente, nous nous adressons à la fine fleur de l’intelligencia des bourricots : les canassons miniature, pour vous signifier notre envie de vous envoyer vous faire tondre le crin, vous faire faire des tresses et les décorer avec plein de jolis nœuds. Bref, prenez soins de vous.

Parce que oui bande de ragondins dégénérés, ce n’est pas qu’on en a rien à battre de votre justice anémique, c’est qu’on a mieux à foutre les deux prochains jours… Déjà, on a Poney, ensuite cours de Rame-ball et pour finir de l’aquaponey. Comprenez qu’avec un emploi du temps aussi chargé ce sera difficile, pour nous, de faire le déplacement et donc nous sommes dans l’obligation, bien malgré nous, de refuser votre invitation.
Et comme vous semblez avoir la vivacité d’un poisson écaillé, sans en évoquer l’odeur qui filerait la nausée à une vieille ribaude ménopausée,


Là, n’en pouvant plus, elle avait à peine eu le temps de tourner la tête pour se perdre dans un tas de vomi qui avait éclaboussé, ses braies, ses chausses ainsi que le vélin sur lequel elle écrivait. Essuyant ses lèvres avec sa manche, elle avait poursuivi en ces termes :
Citation:
(d’ailleurs, désolée pour les tâches, ma secrétaire à dégobillé sur le courrier) je resterais donc en liberté avant, comme vous me le suggérez, mais, après surement aussi en fait. Je suppose que vous n’y voyez pas d’inconvénient?

Blablabla politesses d’usage…


Et s’était levée, blanche comme un cierge, pour tendre le courrier à celle qui semblait regarder… un… un spectacle de rue ? En pleine forêt ?
Reste plus qu’à valider et signer. lui avait-elle lancé lettre en main, figée, blême, devant le spectacle affligeant des trois énergumènes dansants… Miel restait sans voix.
Samael.
[Rochechouard victoire d'un soir, nuit de désespoir.]

Oui parce que tout avait bien commencé.
Les clefs quasiment laissées dans la serrure, politesse oblige, il avait laissé rentré ses dames d'abord, la caisse, l'odeur des saucisses grillées, la bouteille de gnôle dans sa besace, la promesse du Graal sur le bureau du maire, tout pour passer une nuit d'enfer
Mal lui en pris quand le poète de la Jeannine déboula et entama le combat. C'est qu'il était tenace le gringalet, peut être un soupçon de rancune après son égorgement manqué. Et puis faut dire que le petit malin l'avait pris de révère, le plat de sa lame venant heurter la fesse gauche- fort jolie aussi- du roux, y laissant une entaille plus ou moins profonde et un chapelet de jurons. De douleur et de rage, il avait désarmé son adversaire, distribuant quelques baffes, encaissant quelques retours et finalement s'était octroyé un supplément en tranchant la phalange du petit doigt d'Aldonce.

Renard pensait avoir retrouvé sa dignité lorsque plus tard et après une bonne dose de préliminaires, sa Magdelon dans un élan d'euphorie lui ouvrit les portes du paradis.
Sauf que voilà, les semaines de privation et d'attente, la douleur lancinante d'une cuisse prise pour un jambon, le zic, pour la première fois de sa vie se retrouva fort dépourvu lorsque la panne fut venue. Pas un seul recoin pour cacher sa honte, il finit par emmener sa femme dans leur petite chambre d'auberge et s'endormir, frustré.


[Angoulême, ça en est pas fini avec les problèmes, deux jours plus tard]


En plein milieu de la nuit, alors que le groupe avance, Magdelon vient se glisser aux côtés du Renard, lui picore le cou de quelques baisers, cale une main en haut de sa cuisse et dépose au creux de sa main un petit mot.

Citation:
Mon renard,

je suis désolée pour tout à l'heure, j'imagine que c'est parce que je suis encore bien trop maigre et avec tout plein de bleus que t'as pas eu envie de moi. C'est sans doute un signe, je sais pas. Y a un peu tout qui me montre que je dois rester pucelle, faut sans doute pas que je dévie de ma trajectoire. Je sais bien que c'est tout ma faute et que c'est à cause de moi que tes papillons à toi sont pas venus. Pardonne-moi de pas être à la hauteur.

Va voir les putains, elles savent faire elles, c'est sans doute mieux pour toi.

M. 


    Bordel de...non mais...comment ça rester pucelle? Elle s'appelle pas Jeanne que je sache !


Il cacha la missive et resta impassible toute la journée, complotant avec Myelie d'enlever Adrian si celui-ci leur faisait faux bond, le vieux tenu par les chibidules était bien moins heureux que Rouquin, comme quoi la baise de fait pas le bonheur complet d'un homme...mais tout de même, juste une fois...rien qu'une petite fois....
Il parvint à dérider un bref instant son ami, gesticulant sous son pif, fier comme un pape , les lèvres retroussées dans un semblant de sourire sur une dentition trop écartée. il lui offrit le bout de doigt de son rival, comme un trophée.

Quelques civilités échangées avec la troupe, il bouscula une Yap à bannière rose à paillette, bourrée comme un coing trop mur, claqua la porte de la taverne, jura que si elle lui dégueulait dessus pendant l'attaque, il lui frotterait le nez dedans. Il passa devant les décombres de l'église d’où émanait encore une forte odeur de cochon brûlé, ricana un peu puis exténué de la bêtise humaine, entra dans l'étable ou Pedro mâchouillait mollement et s'affala sur une botte de foin.

Il dormit.
Trop longtemps.
Ça sentait pas bon ça...pourquoi personne ne l'avait réveillé ?
Il tâtonna dans la pénombre sous les ânonnements de protestation.
La porte...coincée ?
Non vérouillée de l'extérieur...non mais...c'était une plaisanterie ?
Il s'acharna à tirer, pousser, frapper, hurler...
Plop.
On l'avait enfermé.

    OUVREZ-MOI PTAIN DE BORDEL DE MERDE !!!



Résumons : mal au cul, mal aux couilles, prisonnier et un brin énervé, Rouquin éventra toutes les bottes de foin en hurlant sa frustration, tout cela sous le regard impassible de Pedro.

Bof, vous n'avez pas tellement envie de vous révolter aujourd'hui

_________________

le Renard
Morgan__
[Périgueux, dans son bureau]

Morgan était attablé à son bureau, occupé à ses différents courriers depuis le début de la journée, entre deux calculs.
Il s'était donc autorisé une pause, qui au-delà de la tranquillité de l'esprit qu'elle imposait, lui permettait de s'amuser.
Elle consistait en un équilibre paramétré de ses piles de documents, par ordre d'urgence de réponse.
Et puis une autre pour le fun. Objectif simple : arracher du tas une feuille au hasard, sans faire écrouler le bordel, et tester à la Newton le point de non-retour à partir duquel l'équilibre n'était plus, et échouerait au sol les différents documents qui étaient, pour ceux-là, de toute façon destinés à la poubelle.

Il était sur le point de réussir, quand la porte s'ouvre, sans même frapper, le nez se relève, il s'apprête à râler.
Et puis très vite, les yeux s'arrondissent, sa bouche forme un O, sans qu'aucun son ne parvienne à sortir. Leyah en tenue d'Eve apparaît, le sourire aux lèvres.


'Soir vous ! J'ai besoin de votre plume !
Un brin troublé, la première chose qui sort...
Vous avez... rejoint la...la brume? Vu la saison, c'est surement un nom de code. Ne pas sembler étonné.
Et puis la phrase est décomposée.
Replay.

Les mots prennent alors tout leur sens.
Ma plume ? M'enfin pour quoi faire? Question conne. Et de corriger.
Non, pour écrire à qui ? Tente de retrouver ses esprits et se lève pour se diriger vers son armoire, et d'attraper, index sur le menton, une de ses chemises, pour lui tendre dans la foulée.
Mettez ça, vous allez attraper la crève.
Et de rajouter.
C'est bien la dernière chose qu'il vous faut. Et qu'il ne souhaite pas non plus.

La plume est posée en évidence sur le bureau.
_________________
Zephyre

[Le calme avant la Tempête]

[Périgueux, en direction de Sarlat]... (le camp hélvète, si si même en Angoumois)



Il se raconte que les voyages forment la jeunesse. Soit. Mais quand on a passé la fleur de l'âge et qu'on approche de l'entame de la pente descendante de la vie ils servent à quoi ? Non pas que ça devienne ennuyeux, cependant, quand on a beaucoup beaucoup voyagé -et pour l'époque où une majorité de casaniers est souvent prise de bougeotte ça ne dénote pas tant que ça dans le paysage de ceux qui s'encroûtent vraiment- c'est difficile d'y trouver encore des nouveautés. Mais, c'est que... vous n'avez jamais voyagé à l'aveuglette vous ! Ni même accompagné par une simple jeune fille et une simple d'esprit qui a trop fumé les simples d'ailleurs.

Voilà donc notre Aérée du ciboulot qui, ayant ouï dire dans le fin fond de son couvent albigeois qu'il y avait du mouvement à quelques encablures à peine, au pays des vaches grasses limousines (quelconque similitude avec toute personne haut placée n'est que fortuite coïncidence), a décidé, comme ça, un beau matin, ou plutôt un soir, bref.. a décidé de dénouer les racines qui lui avait poussé au bout des orteils pour s'en venir assister au grand charivari comme d'autres se décident à aller au spectacle. Ça ne coûte pas un rond (sauf si on est pris dans les mailles du filet avec les poches pleines, pas d'chance alors), ça ne fait pas mal (sauf si un coup perdu se transforme en un gnon dans votre goule, pas d'chance non plus) et ça fait bien rire (en même temps, si vous y avez laissé des dents c'est déjà moins drôle). Tout ceci pour expliquer la présence d'une quasi enterrée, morte aux yeux de certains, oubliée pour d'autres, sur les terres où elle avait juré de ne plus mettre les pieds depuis son.. accident. Trois années et demi. Et la mémoire encore bien fraîche si d'autres en ont des trous percés à variation sélective et à la notion de temps toute relative.

Toujours est-il donc, qu'elle avait fini, on se sait trop comment d'ailleurs, après s'être trompée de route à la sortie de Sarlat et prit voie de Périgueux au lieu de Limoges, par se laisser embobiner par le chef de milice local et fait partie d'une ronde nocturne au cours de laquelle elle aurait pu être gravement endommagée avec la perte d'une oreille subséquemment au passage d'une flèche qui n'avait rien à faire là, comme si les deux yeux ça n'était point déjà suffisant ! D'ailleurs, si elle les avait conservés, ces yeux, eux si affûtés en leur temps, elle aurait pu signaler la présence de trois ombres furtives qui laissaient présager quelques mauvaises intentions. Et si elle ne s'était pas confinée pendant des mois, des années même, dans des couvents, elle aurait pu aussi apprendre que leur apparence pouvait faire penser à des noms de haut vol (dans tous les sens du terme) du grand banditisme. Et si elle n'avait pas cherché à être recluse, à ne plus côtoyer personne, elle aurait même pu faire connaissance au détour d'une taverne avec Sieurs Filochard, Pierre, et le petit nommé Tav. Mais, comme on dit, avec des "Si" on mettrait Lutèce en amphore, enfin... Paris en bouteille. Alors évidemment, tout ça, elle n'en sait fichtre rien ! Et donc dans son rapport nocturne, avec l'autre milicien elle ne signalera que l'incident presque castrateur d'une esgourde, et le passage d'avinés et de chats hurlants. C'est qu'ils doivent savoir y faire les bougres pour parvenir à déjouer les sens en éveil de la brunette aux aguets. Ils ont savamment dû se tenir coi au passage de la garde pour ne pas attirer l'attention même d'un bruit infime et pouvoir continuer à tracer leur route.

Ce n'est que peu après que le danger se précise. Ce barouuuuuf... mais ce barouf dans les rangs angoumois ! Affichage sur le tableau municipal rapporté par Toinette, missive d'alerte encore lue par Toinette, crieurs publics en émois qui font grincer les oreilles, équipées sauvages organisées en dernière minute pour ratiboisage sur les chemins.... tant de battage pour pas grand chose, si ça doit tomber, ça tombera. Un peu comme ces corbacs que vous tentez d'effrayer à grand coup de louche sur une casserole en tambour, qui s'envolent mais se reposent un peu plus loin, attendant patiemment pour faire la curée (et avoir le curé au passage ?). Enfin bon, pas moyen d'avoir des retrouvailles avec son amie en paix seulement ! Et la frustration, celle de ne rien pouvoir faire, ne pas se sentir utile.


Dis ma Brune, tu nous accompagnes pour aller taper du malandrin sur les routes ?
M'enfin ma Cramouille, je vais vous servir à quoi ? Impotente et empotée comme je suis devenue ! Tu veux quoi ? Que je tournoie du bâton en l'air dans le vide sans savoir sur qui il retombera ?
Non non, moi je cogne et je les balance vers toi pour que tu les achèves
Oui enfin c'est bien joli mais je fais quoi si je m'en prends un ?
Qu'ils oooosent te toucher, et ils sauront ce que ça fait de frapper mes moitiés !!! Foi de Samsa té pardi !


Té pardi ouais. Ca sent le coup foireux à plein nez. Moult tergiversations plus tard, l'assurance de sa moitié brune encore valide du cervelet (enfin, pas si lucide que ça quand on apprend qu'elle veut devenir Reine) ôtant quelques doutes, le soutien de Maurice qui est sorti de son bocal pour certifier qu'il ne lâcherait pas la guerrière des yeux ni l'aveugle, et la voilà qui confie la moitié blonde rêveuse au couvent, la gamine au curé (c'est pas un jeune garçon elle ne risque rien), pour suivre la moitié brune dans sa lubie tapageuse. La chose l'inquiète, l'amuse, l'excite un peu, lui rendant un semblant de sentiment de vie, sentiment qui ne l'habite plus depuis bien longtemps. Il faut dire que cette troupaille-ci, qui joue à "qui s'y frotte s'y Pique", lui rappelle bien des souvenirs, de feue la Grandiose Hydre. Ca c'était la classe et le panache de la brigande. Presque elle les admirait en son temps. Temps que les moins de 20 ans ne peuuuuuvent pas connaîiiitreuu.* Rhalala, fait pas bon vieillir pour finir à ressasser le passé qu'était mieux avant. Pour l'heure, ces p'tits jeunots, et moins jeunots aussi croit-elle, tentent de se faire un nom on dirait bien, ou de le refaire connaître et briller. Pirates de Terre.

Ca va cogner, oui, fort, aussi... mais sur qui.....





*Merci au Grand Charles pour ce passage que je lui ai piqué... Mr Aznavour, la jeunesse ne vous a pas oublié !

_________________
Yeleyna
[Campement, pitance dégueu, tout ça quoi...]


Des salons mondains au terrain crotté il n'y a qu'un pas, si si et Yeleyna est en train de l'expérimenter. Les chevauchées fantastiques derrière une Altesse Royale ou même une Majesté, ça elle connaissait la gamine mais là... D'abord, il avait fallu négocier qu'il y ait de l'eau potable, des feuilles pour les tisanes, du lait et du miel pour le lait chaud. Cela n'avait pas été une mince affaire dans ce Comté de poneys poivrots et dégénérés -comment ça, ça veut dire la même chose ?.

Ensuite, force lui avait été de reconnaitre que personne n'avait fait la moindre allusion à la perte de son jupon à la C dl N et elle leur en avait été reconnaissante. En même temps en vouloir à la terre entière n'était plus à l'ordre du jour, elle avait vieilli -un an et demi vous pensez bien- et donc pris en sagesse, en maturité, en recul -rigolez pas vous au fond j'vous ai entendus tss.

Enfin, y'avait eu la première ronde, garde, chevauchée où elle avait eu à supporter les flatulences et le crottin nauséabond du canasson de devant. Elle avait bien essayé de négocier avec son proprio qu'il lui mette des langes histoire d'épargner les autres cavaliers - enfin surtout elle- mais le barbu blond était encore plus têtu que la carne qu'il montait.

La brune avait ruminé toute la journée à la solution idéale pour s'épargner d'autres rondes nocturnes dans la merdasse équine. Elle fit venir un écorceur afin de lui expliquer son projet.


- C'est pourtant pas compliqué c'que j'vous d'mande si ?
- C'est pas la question Dame, c'est juste que ça serait tout de même plus pratique si l'on pouvait prendre des mesures, la circonférence 'voyez.
- Il est impossible d'approcher la bestiole sans être vu des gens qui trainent dans la zone écurie, je ne pourrai le faire qu'une fois et avec une complicité de l'intérieur donc vous allez vous contenter du dessin que je vous ai fait.
- Si on fabrique votre truc de trop petite taille, vous risquez de vous le prendre dans l'oeil à la prochaine sortie.
- Ben faites-le plus gros !
- S'il est trop gros vous arriverez jamais à l'enfoncer sans que l'canasson vous ait fichu un coup de sabot avant.
- Qui vous a dit que la bête aurait son sabot de libre...


Les comploteurs se séparèrent et la brune vaqua innocemment à ses occupations quotidiennes l'air de rien, un léger sourire plaqué sur le visage.
_________________
Filochard
[ Sur le 350 entre Sarlat et Bergerac ]

Filochard t'écris quoi?

Mes mémoires...

Citation:
28/05/1466 04:10 : Vous avez racketté un groupe composé de ***** et de *** qui possédait 607,74 écus et des objets. Nous
29/05/1466 04:09 : Vous avez racketté ***** qui possédait 6,54 écus et des objets. Nous
29/05/1466 04:09 : Vous avez racketté ********* qui possédait 17,52 écus et des objets. Ca c'est le L'Arsouille
31/05/1466 04:09 : Vous avez racketté ****** qui possédait 5,31 écus et des objets. La Yap


P'tain ça fait pas lourd...

Cette fois les grands sauveurs étaient là ! Ils étaient venus ! Houraaa !

"Courage et Honneur" criait la foule au départ de Sarlat devant les danseuses décidées à bouffer de la crapules.
Les espions et matraqués se succédaient dans les burelingues pour les rapports.
Tout était clair et ficelé :

Ils sont 3, costaux et déterminés !

C'est donc 4 justiciers ferraillés jusqu'au cou, p'têtre 5, parfumés dans la culotte et habillés comme des princes qui débarquèrent au repère des brigands.

Les tire laine étaient 5, balaises, et ça allait chier...

On nous avait dit 3 !
_________________
Leyah
[ Périgueux, bureau personnel du Bailli ]

Face à la bouille bouche en mode carpe du bailli, la rouquine sourit. Toujours jaune, parce que même si le culot l'a fait bien marrer le cul dans l'eau, ça l'agace tout de même.
Elle pointe son index contre sa propre lèvre façon miroir devant le Blond

Vous bavez un peu là
Large sourire moqueuse
C'est vous qui êtes dans la brume, youhou ! On se réveille
Et de claquer des doigts avant de poser son fessier sur la chaise et de lui piquer la plume.
Langue sortie sur le côté, on s'applique, histoire que les lettres soient bien rondes et bien lisibles et on fait fi de la chemise tendue .

Mettez ça, vous allez attraper la crève. C'est bien la dernière chose qu'il vous faut.
Pfi !
Très éloquent.
Quelques lettres de plus écrite, une signature qui ponctue le tout " L " comme toujours et de cette fois empoigner l'étoffe, l'enfiler par dessus, et de repartir non sans avoir pincé la fesse droit du blond avant de disparaitre

Des choses à faiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiireeeeeeeeeeee
_________________
Anefleur03
[Quelque part en campagne…]

Un buisson gémit…

J'aiii soiiiiiiif !

Ane, cachée parmi les feuillages, était déjà sur ses réserves. Les bouteilles de bière vides à ses pieds s'empilaient, elle n'allait pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme.

Y sooont oùùù les brigaaands ? J'ai besoin de me dérouiller les paaattes !

La jeune fille, en rose pailleté dans son buisson, se cachait le plus discrètement qu'elle pouvait. Si, si ! Elle était discrète là ! Elle veillait la route sans trop savoir si ses compagnons étaient près ou pas d'elle. Ils étaient tellement silencieux… Elle n'entendait que le grincement d'une armure de temps en temps. Un hululement dans les branchages attira son attention.

Enfin !

Quelqu'un approchait, repéré par Ka, sa chouette. Elle posa sa main sur la tête de Terrine, son cochon, la retenant jusqu'au signal. Quand elle l'eut, c'est une avalanche de rose qui tomba sur le malheureux.

Taiooooooo !
Grouiiiiiiiik !


Sous les morsures, les coups, et les débattements, Ane n'aperçut pas de suite l'homme qu'ils attaquaient. Une fois celui-ci immobilisé et que son visage apparut, elle écarquilla les yeux.

Haaaaaaaaaaaaaaaaaan ! Maiiis je le connaiiiis ! Vous croyez qu'il est mort ? Haaaaan ! Il est mort c'est ça !?

Écarquille les yeux, et regarde le frère d'Orkaange, sans trop savoir quoi faire du corps…

Et si on lui prenaiiit sa bourse ? Je la remettrais à ma cheeeffe ! C'est son frère… Ça va lui faire plaisir comme souvenir ! Elle va être ravie !

Elle se mit à fouiller les poches du jeune homme en souriant.
_________________
Adrian.w
Rase-campagne version trou du cul du monde

Depuis plusieurs jours, ils squattaient la campagne périmoisie. Groupe divisé censé vider quelques poches. Sauf qu'aucune poche ne passait à portée.
Alors la Marguerite s'éclipsait de bon matin et ne revenait que lorsque les ronflements jaillissaient à qui mieux mieux, le renard chassait en bête solitaire et frustrée et Romerick siestait encore plus qu'un chaton nouveau-né.
Laissé à ses propres tourments, le Gascon ruminait l'envie de sa femme en homme esseulé. Cramponné aux doux souvenirs qu'il avait d'elle, il passait les heures à les effeuiller, oeil clos près du feu qu'il entretenait, menthe en bouche. Le mot était tombé en même temps que le jour.


Citation:
Je te hais.

J.


Finis les mots mielleux et les W qui l'agaçaient avec, malgré tout, une pointe d'orgueil plaisant.
Puisque Myelie ne partageait plus les bouteilles avec lui et vomissait dans son coin en frappant des poulets, Adrian s'enfila la gnôle du camp de fortune en solo. L'ivresse rendue mauvaise par le trop plein d'envie et d'elle et de liberté, il commença la lettre de la dernière chance, d'une écriture maladroite.


Spoiler:
Citation:
Femme.
Mienne.
J'ai peut-être merdé, à vouloir te satisfaire au lieu de rester honnête. Tes angoisses m'emmerdent parce que je suis incapable de les apaiser, malgré tous mes efforts. Et Déos sait que j'en ai fait. L'anneau, c'était pas que pour te rassurer. C'était pour marquer mon respect à la femme que j'aime. Pour te protéger. Parce que ton monde n'est pas celui des coups d'un soir. Parce que si j'avais eu le malheur de t'engrosser, ça aurait protégé tes gosses du sobriquet de bâtard qui t'a fait tant de mal. Parce que je pensais jusqu'à ça. Pour toi.
Et tu me manques. Et te savoir loin de moi m'épuise en remords. J'arrive à prétendre que je m'en fous royalement, mais ce n'est qu'à moitié vrai. Moins que ça, même.
Reviens-moi. Retrouve-moi à Cambrai. On essayera. Encore. Et encore. Jusqu'à ce que nos cercles se fondent en un.
Dis-moi oui. Encore.
Parce que tu me palpites. Toujours.
Adrian


La nuit était bien avancée quand le petit chef annonça le départ. Complètement torché, le mercenaire récupéra ses affaires, lettre en pogne et suivit le convoi en tanguant.

Ils leur tombèrent dessus peu de temps après.
En bonne bande de bras cassés, le combat tourna court. Le Gascon vit le renard se défendre nettement moins bien que d'habitude, sans percuter pourquoi. Lui même avait tellement la gerbe au bord de lippe qu'il peinait à rendre les coups qu'il recevait. Impossible de voir les deux autres dans la mêlée. Lui finit par s'écrouler, le nez pété -encore- et le bras sénestre démis et avant de s'évanouir dans son propre vomi. Grande classe.
Lettre perdue dans la bagarre.


02/06/1466 04:40 : Vous êtes si envieux ! Vous voici plongé dans une mélancolie spirituelle qui éloigne de vous tout espoir de bonheur, fini la Boulasse quoi ! Mais vous vous sentez capable d’agripper et de porter plus de choses... jusqu'à ce que vous vous confessiez !

02/06/1466 04:09 : Vous avez été racketté par un groupe composé de Elio de Fofinha et de Quarbonne14 .
02/06/1466 04:09 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Elio de Fofinha et de Quarbonne14 (coefficient de combat 15), qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ.
Romerick
[Quelque part dans un coin paumé du Périgord ou de l'Angoumois, lui-même ne le savait pas vraiment...]

OH PUT*** !

Amis lecteurs, je pense que vous avez déjà vécu cette situation d'arroseur arrosé. C'est un peu ce qui est arrivé au Borgne. Plusieurs jours à guetter le petit nobliot ou le gros bourgeois sur les routes, avec ce fol espoir de s'en foutre des écus plein les poches et de vivre comme le nabab' de l'époque, pour se retrouver in fine plus pauvre que le pauvre ! Certaines personnes avaient vraiment une dalle au moins proportionnelle à ce qu'on attendait de la profession... Troisième fois en moins de deux mois que le Dauphinois, devenu sans foy ni loy ni roy, se voyait dépouiller de toutes ses affaires. Bon, c'est vrai qu'il n'en avait pas des masses, mais cela n'enlevait rien à la symbolique de la chose.

Le réveil fut donc rude. Enfin, plus rude qu'à son habitude.
Une odeur de sang séché lui titillait les narines et il avait l'impression que l'âne de la Magdelon lui avait roulé dessus, façon course de baudets. Peinant à se relever, il passa une main sur le derrière de son crâne qui lui faisait un mal de chien et, sans surprise, il se rendit compte que son odorat ne l'avait point trompé.


Fais ch***...

Comme si c'était pas assez de s'être fait démonter le dos à Rochechouart. Le sort s'acharnerait-il sur lui ?

DOOOOC ?!

Cherchant des yeux l'Adrian, le gus' dont il avait découvert l'utilité il y a à peine quelques jours autre que compagnon de route, il ne trouva personne. S'étaient-ils tous barrés ou avait-il encore la vision troublée par le coup qu'il avait reçu sur la caboche... ?
Leyah
[ Et pendant c'temps là ... Castel de Périgueux ]

Ressappée grâce à la chemise du bailli et une paire de braies qu'elle a choppé dans un tiroir, la donzelle avait rappliqué dans son bureau tête un rien ébouriffée, la boucle rebelle qui lui pendouille devant le nez et forcément, toujours pieds nus.

L'effervescence, des cartes partout,des pions en forme de bonhommes posés dessus, si si la technique était terrible.
S'en suit une longue discussion avec une partie du conseil parce que faut pouvoir dessiner sur les cartes et faire une stratégie qui ressemble à quelque chose.
Un peu compliqué l'histoire puisque chacun à son charabia et la rousse la première.
C'te bordel .... A s'arracher la tignasse. Quoique celle ci étant plus moins normalement fournie, en perdre un peu , n'était pas encore trop trop grave, mais fallait pas que ça dure quoi !


Ouaiiis mais non , regardez, juste là , c'est , fin voyez quoi entre Bergerac et Sarlat!
Non, mais ce n'est pas clair
Ah si si !


Fin bref, ce genre de dialogue de sourd qui avait fini par une carte, des points rouges, des points verts, des petits bonhommes et tirelipimpon sur le chiwawaaa


Ah et puis si on fait ça, et puis ça. Puis là, savez, quelque part dans ce coin là, un truc comme ça et puis .. ben oui ! Paf !
Des chocapics ?
On leur pète la gueule !
Dédicace à Papy Pit.
C'est sur que tout ça était très clair, mais au final, on finit toujours par se comprendre.

Plus tard un messager lui donnera une nouvelle qui la fera grincer des dents.
Un autre, lui fera faire un bond en l'air, avec un
Youhou ! bien prononcé , avec l'index qui tourne sur le velin, regardant les noms, avant de le pointer sur l'un deux et d'annoncer Celui-là , va être mon premier caprice. Ben ouais elle est capricieuse CYPRIEN ! LES MOUETTES ! Le vieux qui traîne toujours partout derrière elle et qui a l'habitude, s'exécute, la Rousse elle, hausse les épaules Ben quoi .. un peu de torture n'a jamais tué personne ... Le sourcil s'arque Si ? Puis posant l'affiche de rançon sur une table et tapant littéralement dessus avec sa main .. Et celui là, j'le veux en statue et a poil dans mon bureau ! Comme dirait Yom :" Caprice de Dreux, Caprice des Dieux"

On était pas sortis du sable...

_________________
L_aconit
    et lui pendant ce temps là... [Faust Nicolas / Samsa/ Theodoric / Kleze]



02/06/1466 04:10 : Vous avez racketté Nabeill qui possédait 24,15 écus et des objets.


Kleze... J'ai faim.

Kleze. J'ai soif.

Kleze? Où elle est Samsa?

Kleeeeeze! J'ai entendu un bruit !

Kleze... J'ai glissé de la poudre dans votre poche. Faites gaffe...


Deux jours qu'ils campaient sur leur noeud. Deux. Et la seule victime qui passa: un roux. Enfer et damnation. Faust pria avec ferveur pour le salut de ce pauvre roux qui n'avait rien demandé. Lui qui aimait toujours autant ces crinières du diable, se désolait dejà d'avoir participé à grands coups de poudres bleues, vertes et rouges au passage à tabac en règle, bien qu'il faut le dire, le plus virulent était l'handicapé de service. Qui eut cru qu'on puisse être si souple avec de telles roulettes?

Deux jours, ça rapproche... Et pour passer le temps, Nicolas avait fini par jouer à la confesse avec maurice. Kleze de son vrai prénom lui apprit ainsi de folles choses sur des tas de gens qu'il connaissait. Du genre d'Arry Zolen qui fabriquait et vendait des olisbos... Une règle avait émergé, entre deux évanouissements du clerc qui commençait sérieusement à avoir la dalle : Ce qui se disait sur le noeud restait sur le noeud.

Tout le monde y passa. Du beau frère absent et flegmatique à sa folle de soeur, des bigotteries d'Isaure aux mariages trafiqués de la plèbe. même les coucheries d'un sidjéno auquel on l'apparentait souvent. Faust apprécia même la technique du compagnon de fortune, qui consistait à donner des noms à des bouts de bois pour les foutre au feu: maximilien ... Erwelyn ... Ah non. ça c'était le sien.

De longs soupirs égayèrent les bois jusqu'à la nuit noire. C'état peut être ça finalement, qui éloignait les voleurs.


Citation:

À Orkaange
Objet heps

on fait quoiiiiiiiiiiiiiiiiii ce soir?



Citation:
De Orkaange de Bors
Objet Re: heps

Là même chose que hier

Citation:

À Orkaange
Objet

Tenter de conquérir le monde? Allez! ça change de la prière!


Citation:

De Orkaange de Bors

Objet Re: Re: Re: heps

Ouais! On pourrait! M'enfin pas avec vous hein! Oubliez pas qu'on se déteste!!



Citation:

À Orkaange
Objet Re: Re: Re: Re: heps

ah oui pardon, c'est la gnole de maurice....


Citation:

De Orkaange de Bors
Objet Re: Re: Re: Re: Re: heps

Tiens si vous pouviez avoir une utilité quelconque. Je m'apprête à aller venger papa dans la campagne entre Bergerac et sarlat. Mais je pense que j'en sortirai pas vivante. VOus croyez que Ari pourra me ressusciter si vous lui demandez gentiment?


Citation:


À Orkaange
Objet Re: Re: Re: Re: Re: Re: heps

Arry? Arry Zolen fabrique et vend des olisbos, je viens de l'apprendre, et si j'étai pas ivre ce soir à la gnôle de coing, j'devrais pas vous l'dire, hormis ça, je sais pas !


On ne peut clairement pas demander à un clerc qui s'ennuie de garder des secrets...

_________________

(En Bleu italique, les pensées Laconiques.) galerie d'avatar-Recueil
Daisy.
[Quelque part par-la ...a se limer les ongles]


Elle lui avait dit! Ah non pas le Périgord!
Et il lui avait répondu! Nous avons rien d'autre a faire!
Alors c'est de reculons que la blonde irlandaise avançait vers les bourgs de "Valley Poney" comme elle avait jadis renommé ce Comté qui était rose de par les élucubrations de l'Orkaange et sa petite troupe.
Remarquez! qu'il était vrai également qu'ils n'avaient pas grand chose d'attrayant a faire au vu qu'ils avaient décidés d'un commun accord que la politique ce serait a l'automne préférant profiter de l'air estival pour se refaire une santé physique mais surtout mentale.
Ils en avaient chiés des pendules lors du dernier mandat et Plaisance avait du se taper toutes les fonctions ou presque .. courant de gauche a droite dans les corridors du Palais de l'Ombrière en sachant que le repérage et elle ça fait pas bon ménage et apres s’être enfilé les fonctions ...les unes derrière les autres se claquant limite ce qu'on nommera quelques années plus tard un "Burn Out",se la couler douce était jamais de tres bon augure!
Car avec elle..ça tourne jamais comme on le souhaiterait!


On nous demande d'aller se battre sur une route du Périgord!
-Pardon?
-Oui vous avez bien entendu!
Alors a votre affirmation ce sera un NON!!! catégorique! et remarquez la facon que j'insiste sur le CATÉGORIQUE!
-Je suis en fin de demande de grâce au plaid,peut-etre l'avez vous oublié mon cher précieux?
-Ah zut!
-Oui zut! Hors de question que je casse mes beaux ongles car de quoi j'aurais l'air devant notre bonne reyne ?
-En effet! Faisons en sorte de garder vos ongles intacts
-Bin voila!
-Et d'ailleurs rappelez moi de demander a l'épouse de mon ex-mari qu'elle me redonne le nom de son vernis a ongle car j'hésite entre le "shanne-elle numéro32 rose framboisé ou le "shanne -elle numéro 78 rose pétillant!
-Hum!



Apparemment,enfin selon certaines informations,la Black devait intégrer l'armée périgourdine et elle en soupirait a l'avance ça devait bien faire trois mandats ducaux qu'elle devait enfilée l'uniforme en ferraille mais bon que voulez-vous a croire que depuis quelques mois ,la fausse blonde était devenu "Mere Thérésa ".
Alors s'est en levant sa dextre afin d 'en admirer le limage des griffes qu'elle lui dit


-Votre Grace Angat !
-Vous croyez que le capitaine accepterait que je sois le porte-drapeau ?


Et rebelotte..on repart pour un tour! In The Navy!!!
Capitaine!!! Aillas et Plaisance sont au poste!

_________________
L_aconit
    Dans la jungle, terrible jungle...[Faust Nicolas / Samsa/ Theodoric / Kleze]



l'évêque s'ennuyait ferme sur sa souche d'arbre. Il avait bien tenté de tailler une crosse neuve, mais s'était coupé. Puis dans le genre camarade de planque, Théodoric était d'un barbant! Toujours à ressasser ses plans pour devenir le maitre du Périgord...

Heureusement , un petit messager vint les trouver, et par chance, personne ne le confondit avec un âne, une biche, ou un autre roux.

Lorsque le religieux lut avidement le message qui avat bravé les brigands, les désespérés défenseurs et les seins d'orkaange, dans l'espoir infini d'une lettre d'Alphonse. Peine perdue. Une lettre d'une inconnue.


Blablabla... Empêcher les brigands de manger en taverne....blablabla.... Liste de nom à retenir .... Blablabla... Personne affiliées ...... Blablablaaa..... Bordel de cul. même pas un petit casse-dalle avec l'écrit... ON A FAIM! Bouge pas petit... que je te rédige une bafouille de réponse.


Contrarié, il griffona derrière le vélin. L'évêque du cru crevait la dalle à attendre le mauraud et on se préoccupait de l'estomac des brigands. Sans blague ! Et on envoie même pas un pigeon à becquetter... Non. Un enfant. Et gringalet avec ça.



Citation:
Heu bah.

C'est gentil merci. mais ma fille, je suis épaté, comment diable avez vous eu tous ces noms? Les brigands ont été assez idiots pour vous les donner?

Et puis permettez moi d'en douter. Il y a dans cette liste le nom de Pierre. PIERRE. mon escorte boy! Ce ne peut être qu'une fause information.

Attention, le mensonge c'est la page sept du pénitenciel. c'est cher !

mgr l'Aconit


Il releva le nez sur maurice.



Bon. On rentre?

_________________

(En Bleu italique, les pensées Laconiques.) galerie d'avatar-Recueil
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)