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[RP] Taverne du Prisonnier Sans-Nom

Daermon
DAERMON



Citation:
« Rien ne ressemble tant à un honnête homme qu'un coquin qui connaît son métier. » de George Sand


[Dans la cave]

La situation était critique et le funambule gardait tant bien que mal l'équilibre sur son fil à moitié coupé.
Daermon avait l'habitude de cette situation, c'était un trait de son personnage. Il aimait à se mettre dans des histoires périlleuses et il s'y engouffrait toujours sachant même parfois les risques auxquels il allait être confronté.
Tout était gris, noir même et sa tête s'enfonçait entre ses deux épaules lorsqu'il écouta Alton. Le repas du jour qu'on lui proposait était plus qu'épicé et déjà Daermon sentit son ventre se nouer jusqu'à...

Une proposition, une affaire, un travail de quoi remonter dans l'estime d'Alton. Il savait qu'il n'allait pas être payé pour le coup mais rien n'allait l'empêcher plus tard d'essayer d'en tirer quelque chose.

Un regard vers Roger et le fanfaron reprit de sa superbe.


Pour la compétence ce n'est point un problème, je suis vostre homme.


Daermon termina sa phrase avec son large sourire habituel.
Alton
ALTON


- Bien si vous êtes intéressés par la proposition je vous invite à me suivre.

Alton invita Roger et Daermon à le suivre dans une salle voisine.
Accompagné du géant Maxance ils pénétrèrent par un passage dans le mur semblant mobile grâce un mécanisme sophistiqué. Après plusieurs mètres dans un mince boyau éclairé d'une lumière tamisé, ils débouchèrent dans une large pièce au sol marbré. Ici, luxe et bon goût contrastaient avec ce qui pouvait être vu à l'étage. (pour plus de détails voir première page)

Dans la grande salle patientaient déjà deux personnes, un homme à l'allure étrangère et une dame fort belle aux atouts plus qu'étalés.



- Bienvenue dans mes modestes appartements.
C'est un endroit confiné mais l'un des plus accueillants de la Cour des Miracles.


La plaisanterie était de mauvais goût. La totalité du salon était luxueux et les meubles, tableaux et autres statues étaient digne d'un roi. On pouvait facilement se demander de quelle provenance venaient tous ces objets. Mais la réputation qu'on connaissait du patron permettait facilement de se donner une vague idée de la source de cette caverne d'Ali Baba.

Alton machinalement se dirigea vers Arnos lui tendant volontiers la main.


- Je m'excuse du retard mais vous connaissez les affaires. Si je pouvais troquer toutes ces vieilles reliques, sans nul doute que le tout serait donné contre le don d'ubiquité.
Mais excusez mes plaisanteries.


Le maitre des lieux se tourne alors vers la dame. Après un baise main dévoilant pour le coup le niveau d'éducation de Alton, il se permit d'ajouter.


- Je vois que vous êtes accompagné Arnos et du plus beau garde du corps qui m'a été tenu d'observer. Mes salutations ma dame je suis le sieur Alton.

Alton regarde ensuite vers Maxance le montrant du doigt.

- Je vous présente mon fidèle Maxance. Il n'a pas forcément les mêmes atouts mais je l'ai déjà vu vaincre à lui seul cinq chevaliers teutoniques en armures et en armes à la seule force de ses mains. Un véritable cadeau de la nature en qui j'ai toute confiance. Mais permettez moi d'en venir au fait !

Il se tourne alors vers les quatre invités.

- Si vous êtes rassemblés ici ce soir c'est que je recherche des personnes capables de réaliser une besogne qu'on pourrait qualifier de périlleuse... Pour les modalités concernant la récompense comprenez qu'elle dépassera toute celle que vous pourrez imaginer.
Lam_de_llobregat
Va falloir, que je le lui dise alors comme cela elle se dépassera je pense, Lam sourit, il prend la chope et bois doucement, pour pouvoir apprécier tout l'arôme du liquide.

Dit ta bien un secret, hein, le genre de secret qu'on ne dit qu'une fois dans sa vie, à une personne qu'on aime bien, e général c'est un homme tu vois, qui est marié, et qu'on aime bien, parce que cette homme marié, il est marié à une femme. La personne qui a le secret à une relation spécial avec la femme du marié, parce qu'elle est de sa famille. Non, non je rigole, garde ton secret ma petite Seraza. J'ai une affaire à régler, je revient de suite, promis.

Il se lève et se dirige vers l'homme qui est assis à une table qui donne droit sur les escaliers.

Belle place Jack, cela fait longtemps trop longtemps. Dit-moi qu'est ce que tu surveille ? dit-il tout en s'asseyant à sa table.

Serveuse, deux eaux de vie, merci.

Alors, comme cela tu me demande, ici en ses lieux, et tu ne me dit rien ! On est ami, mais cela ne m'empêche pas de te rappeler que tu as une dette en vers moi, sinon tu serais mort aujourd'hui. De plus cela ne me gêne pas de te jette aux hommes du guet, sache le, alors je te conseil de te tenir à carreaux et de ne pas tourner autour autour du pots.


Il n'y avait aucun son plus fort que l'autre, les moment était prononcé sans grande menace, et c'est cela qui faisait bien comprend qu'il n'avait pas aimé cette invitation surprise.
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Il n'y a qu'une noblesse, la noblesse de coeur.

Son métier dresseur de chevaux.
--Ragnelle


Ragnelle regarde un instant les deux hommes à leur table. Allons bon.. ils se connaissent ces deux là.. Espérons qu'ils n'ont pas de comptes à régler du même genre que les autres gueulards. Ils étaient combien à s'être donné rendez vous ici ?
D'un regard discret, elle refait le tour des présents, jaugeant les visages et les allures.. Tous des durs à cuire.. ou qui voulaient paraître ainsi. Surement, ils n'étaient pas là pour rien. Peut être des invitations d'Alton.. ou alors, les rumeurs circulaient bon train à la Cour...
Très possible aussi.

D'un petit saut vif, mais non dénué d'élégance, elle se relève de son tabouret, et sert deux eaux de vie dans deux verres propres d'une main assurée. Le liquide transparent la tente encore un peu.. l'odeur l'appelle fortement... mais elle se contient. Elle se doit de garder la tête froide au cas où...
Relevant ses ébènes, elle contourne le comptoir et se dirige vers la table près de la porte de la cave.


Voilà vos boissons, Messires..

Puis regardant le nouveau venu, elle se présente simplement, dans un fin sourire

Ragnelle.. qui sert ici..
Vous êtes venu pour affaire avec Alton vous aussi ?


La brune jette un regard intrigué sur son comparse avec lequel elle a déjà causé, puis pose ses mains sur ses hanches, attendant la réponse.
--Grandroger




Les voici donc dans le saint des saints, une cachette tellement secrète et impénétrable qu'un chat n'y retrouverait pas ses jeunes. C'est avec des yeux ronds d'incrédulité que Grandroger débouche dans le bureau d'Alton, après plusieurs mètres d'une progression incertaine dans un boyau étroit et sombre, qui lui fait penser à ces grottes de province qui servent d'entrepôt et de quartier général aux malfrats.

Et là, surprise du chef, il y a déjà du monde : l'étranger au regard de braises et la catin aux tétines ravageuses. Difficile de poser les yeux ailleurs que sur les pare-chocs proéminents de la donzelle. Y'a pas à dire, y'a du monde au balcon. Alton semble apprécier la vue également, et le bougre se fend de quelques compliments et d'un baise-main digne du Roy de France.

Après quelques fines plaisanteries qui ne font rire personne, Alton termine les présentations. Miss « Gros nibards » est donc la garde du corps d'Arnos. C'est toujours bon à savoir. Le patron profite de l'occasion pour rappeler à tout le monde que son fidèle Maxance pourrait briser les reins de toute cette joyeuse bande en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Bon, bon, on a compris, pas la peine d'insister.

Alton en vient enfin aux raisons de cette discrète entrevue. Il cherche quelques durs-à-cuire pour un boulot périlleux qui sera bien payé. Grandroger cogite un brin et regarde lentement autour de lui. Et que voit-il ? Une brute épaisse qui n'a rien dans la caboche. Un étranger surgi d'on ne sait où. Un magouilleur de première classe en la personne de Daermon, en qui il n'a guère confiance. Et pour finir une greluche qui ne pense qu'à exhiber ses pastèques. Point final. Ça n'a vraiment rien d'une brillante équipe. Est-ce réellement raisonnable de se lancer dans un coup risqué avec une telle bande de bras cassés ? Se poser la question, c'est y répondre. Mais bon, l'appât du gain est là, bien présent, et le blond décide d'en savoir plus.


Arrête de tourner autour du pot, Alton. J'pense qu'il faut nous en dire plus. En ce qui me concerne, je ne me prononcerai pas sans connaître les détails de l'opération !

Voilà, tout est dit. Grandroger dévisage ses voisins afin de voir s'ils partagent son avis, ou bien s'ils ont décidé de suivre aveuglément l'aubergiste. Sera t-il le seul à se manifester ? Patience ...

Lam_de_llobregat
Lam regarde Ragnelle.

Ragnelle, que ce jolie nom soit noté à tout jamais dans mes pensées, comme votre beauté.

Il lui pris la main et lui fit un baise main, tout en sentant que par ce geste son compagnon aurait bien voulu l'étriper, le crucifier sur place.
Voyez Ragnelle, lui il attend le messire Alton, moi non, je dois juste lui rendre un petit service. Au fait, il vous a bien traité Ragnelle ? dit il tout en lui faisant un doux sourire.
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Il n'y a qu'une noblesse, la noblesse de coeur.

Son métier dresseur de chevaux.
Seraza
Oui, il pouvait bien lui dire à sa filleule. M'enfin, valait mieux pas qu'elle prenne de la graine de sa marraine. La pauvre ne saurait plus où donner de la tête sinon.
Ben, il était vrai que la blondasse n'avait pas une idiosyncrasie facile. Fallait pénétrer la profondeur de son être et cela n'était pas donné à tout le monde. Quelques uns y arrivaient oui quand même mais à leurs risques et périls certainement.

Le tabouret commençait à être bien inconfortable. Son fessier sentait la dureté du bois. Son verre était déjà enquillé et de se resservir encore. Encore un pour la route. Voilà, elle avait vidé la bouteille du Colosse qui se trouvait à quelques pas avec une brune qui avait l'air......coriace.
Lam était de l'autre côté en train de discuter avec le gringalet qui avait voulu la défendre. Encore un qui se prenait pour ce qu'il n'était pas.
La sirène se leva de son siège avec un pas hésitant en le posant à terre. Assise, ça allait bien, debout cela était une autre histoire. Le comptoir commençait à se dédoubler. Défection! Elle avait un coup dans la face. Bon! Fallait faire bonne figure. La Sera tourna sa tête vers la serveuse.


Vous pourrez remettre un rhum au Gamin?

Elle déposa quelques écus sur le comptoir en indiquant à Ragnelle que le litre était payé. Finissant sa chope d'eau-de-vie, la belle emboîta le pas direction Lam. Lui glissant tout doucement avec un regard plutôt noir pour la demi-portion.

Je m'en vais. Ravie de t'avoir vu très cher. Passes le bonjour à ta femme. J'espère qu'elle t'accompagnera la prochaine fois.

Une bise, un joli sourire en coin et direction la porte de sortie -ou d'entrée comme on veut- en passant non loin du Géant. Ses mains étaient en position horizontale le long de son corps comme si elle allait à tâtons pour mettre un pied devant l'autre. La tête baissée, elle regardait à terre entre deux pas pour être sûre que le sol était toujours présent. Ça tanguait un peu là-dedans mais elle tenait debout la donzelle.
Une main apposée dans le dos du garçon, se retrouvant deux secondes après devant lui. La petite blondasse leva la tête et lui fît signe de se pencher. Le dérangement ne prendrait qu'un tout petit instant. Son esgourde à portée de ses lèvres.


Tu as une bouteille de rhum qui t'attend là-bas.

La belle hocha de sa tête pour lui baliser l'endroit. La Sera se tourna vers la porte et s'avança en cette direction. Peut-être reviendrait-elle.....un jour.
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La franchise est une vertu, ne serait-ce qu'à cause de sa rareté......(Fan inconditionnelle de JD Axelle^^)
--Ragnelle



Ses ébènes suivent les lèvres de l'homme qui effleurent sa main, et son bras se couvre de chair de poule en un instant. Que lui valait tant d'honneur ? Les hommes galants ont rarement été présents dans sa vie. Son mari étant totalement étranger à la chose... A moins que le summum de la galanterie était de prêter sa femme à son propre père..
Non, ça s'saurait...
Elle lui sourit cependant, et l'écoute sans broncher.

Est ce qu'il m'a bien traitée ?.. quelle question étrange..
Sans vraiment en prendre conscience, elle caresse sa dextre à l'endroit effleuré, pensive, en regardant l'homme à son coté.. Non, il n'avait guère été aimable. Mais en quoi était ce donc important ? Elle n'avait pas souffert.. Elle se fichait d'ailleurs éperdument de tout ce que les gens pouvaient lui dire. Ils n'étaient rien.. des ombres tout au plus dans son spectacle intérieur.

Son regard se reporte vers le brun qui lui parle.. Que lui répondre ? Elle hésite un peu, puis haussant les épaules..


Tout va bien...
Je note que vous n'attendez rien d'Alton.. Je lui aurais passé l'mot sinon..
Désirez vous autre chose ?


Déjà, un peu plus loin, une autre commande est lancée... Elle fait un léger signe de la main à la femme, pour confirmer qu'elle a entendu, sourit, puis regarde à nouveau l'homme, attendant sa réponse.
Lam_de_llobregat
Elle lui sourit cependant, et l'écoute sans broncher.

Sans vraiment en prendre conscience, elle caresse sa dextre à l'endroit effleuré, pensive, en regardant l'homme à son coté..

Son regard se reporte vers le brun qui lui parle.. Que lui répondre ? Elle hésite un peu, puis haussant les épaules..


Lam sourit en la voyant sourire, c'est vrai, elle a un jolie sourire aussi.
Tout va bien...
Je note que vous n'attendez rien d'Alton.. Je lui aurais passer l'mot sinon..
Désirez vous autre chose ?


Bien, alors est-ce que la plus jolie des femmes, qui porte son nom tel une déesse, et qui rayonne de mille soleil, qui raisonne au doux et charmant nom de Ragnelle aurez un petit plat créer de ses mains si douce que même la déesse de l'art en tomberai tel que c'est bon.
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Il n'y a qu'une noblesse, la noblesse de coeur.

Son métier dresseur de chevaux.
--Jack_letueur
Il le regarde, ne dit mot, il le comprend, il doit le supporter, il a une dette envers Lam, et c'est cela qu'il ne supporte pas. Il ne réfléchis pas trop il tape, il tue, alors que l'homme qui est en face de lui, est tout son contraire, il réfléchis, il est polis, et ne frappe que quand il sait qu'il peut avoir une chance.

Jack le regarda et plus il attend, plus son envie de lui en logé une lui fait envie, sauf qu'il a besoin de lui. Il sourit quand la catin de serveuse lui dit que tout va bien, elle va voir quand il aura terminé cette petite discutions, il lui montra qui est le maître, enfin avant il devait discuté avec pas mal de personne, et cela le ragoût, c'était un homme d'action et non de parole.


Dit une fois que tu auras mangé, on pourra peut être parler sérieusement, tu veux que l'on attend le désert. Parce que si je t'ai demandé c'est pour un service, mais j'espère qu'il en demandera pas un autre de ma part. D'ailleurs en parlant de service, comment dire, cela risque heu... de posé un problème, pour ma dette en vers toi. Mais ni voit aucune offense gamin, voie cela comme un avantage petit, tu ne m'auras plus dans les pattes si ce que je prévois marche.

Plus il parlait, plus sa main se diriger vers son arbalète près à s'en servir.
--Maxance


Le mécanisme s'active en un craquement ce qui confère au lieu une ambiance mystérieuse. Qui sait, si on pousse une briquette du mur peut-être que des piques embrocheront les convives ? Qu'il est bon de rêver... Dans tous les cas ce petit tour de manège (qui a causé la mort du charpentier pour que ça reste un privilège et un secret) a toujours le don d'étonner. On dirait des puceaux devant une putain. Ça en serait presque mignon...

Le colosse se voûte et suit le petit monde, gardant bien un oeil sur son maître. La moindre lame qui brille à la lueur de sa torche, et il rompt les cous comme du petit bois. Ça pour sûr, Alton n'aura pas le temps d'avoir un poignard dans le dos.

Tiens... Y'a déjà du monde qui fait la queue. C'est dingue comme ça attire les coups foireux.

Les yeux de Maxance s'illumine. Sa bouche émet un petit hoquet de surprise. Une brune ! Il aime les brunes. Il les adore. Il les chérit. Il les serre si fort que parfois elles ne respirent plus. Ce dernier souffle au creux de l'oreille, ça vaut bien les larmes qui perlent dans leurs yeux quand il les éviscère. Une brune c'est un plaisir. Son petit vice à lui.

Le géant se sent ému. Il aimerait bien jouer avec elle. Jouer à deux, puis jouer tout seul. C'est si amusant une marionnette... Il fait un pas vers la donzelle.


Je vous présente mon fidèle Maxance. Il n'a pas forcément les mêmes atouts mais je l'ai déjà vu vaincre à lui seul cinq chevaliers teutoniques en armures et en armes à la seule force de ses mains. Un véritable cadeau de la nature en qui j'ai toute confiance.

La phrase suspend son geste. Il baisse la tête vers l'assemblée.

Z'avez compris que je peux tous vous aplatir de la paume de la main ? Vous balayer d'un coup de pied ? Vous rompre les os pour le plaisir du bruit ? Sauf toi ma chérie... Pour les petites brunes je prends mon temps.

Il esquisse un sourire poli, qui tient plus d'une grimace.
--Ragnelle


[A l'étage..]


Un ptit plat créé de ses mains..
Un léger soupir suit ses mots, tandis que son regard se relève pour suivre la femme qui sort. Elle reprend la direction du comptoir pour voir si elle a de quoi préparer quelque chose. Elle n'allait pas entreprendre de cuisiner quoique ce soit, elle n'en avait guère le temps avec toutes les commandes qui affluaient.
Ouvrant le garde manger, elle en sort un gros saucisson bien fariné, dont elle découpe une vingtaine de rondelles et taille une large tranche épaisse dans une terrine de pâté de lapin.

Les odeurs de charcuterie lui chatouillent le nez tandis qu'elle découpe et dispose le tout dans une grande assiette, avec une ribambelle de cornichons. Elle attrape entre deux doigt une tranche de saucisson qu'elle avale en un seul morceau, surveillant vaguement la salle du coin de l’œil. Diable, que c'était bon ! Elle en engouffre aussitôt une deuxième qu'elle déguste les yeux brillants.

Un parfum d'enfance tout ça... quand elle allait piquer, jeunette, des poignées de framboises dans le cellier familial. Un temps merveilleux où il faisait bon vivre. Pourquoi avait il fallu que leur Père rencontre la famille de son mari, venant rompre à tout jamais ce bonheur inégalable ? Le mariage avait été trop rapidement conclu, et la fillette trop vite abandonnée à une famille, peut être riche, mais aux mœurs douteuses.

Avisant le poulet froid au fond du meuble, elle en détache une cuisse dorée qu'elle dépose au milieu de l'assiette. Puis suçotant ses doigts, elle rajoute quelques œufs durs au cas où le Messire aurait vraiment faim.

Pour finir, enfin, elle coupe plusieurs tranches de pain frais qu'elle arrange dans une corbeille. Puis, la mine réjouie, elle apporte le tout à la table des deux hommes, et repart après un sourire aussi vite qu'elle est venue.
Lam_de_llobregat
Lam regarde Ragnelle s'éloigner, une fois cela fait il se retourne vers Jack et commence à faire passer un pièce entre ses mains.

Dit une fois que tu auras mangé, on pourra peut être parler sérieusement, tu veux que l'on attend le désert. Parce que si je t'ai demandé c'est pour un service, mais j'espère qu'il en demandera pas un autre de ma part. D'ailleurs en parlant de service, comment dire, cela risque heu... de posé un problème, pour ma dette en vers toi. Mais ni voit aucune offense gamin, voie cela comme un avantage petit, tu ne m'auras plus dans les pattes si ce que je prévois marche.

Lam allait lui dire qu'il l'écoutait, puis il se mis à sourire. Il ne dit mot, il reporta son regard sur Ragnelle, et lui embrassa tendrement la main pour la remercier, tout en lui donnant assez d'argent pour payer le repas, les chopes qu'il avait commander, louer une chambre pour quelque nuit, ainsi que les services d'une prostitué s'il l'avait voulus, mais cette somme était le pour-boire.

Il regarda Ragnelle d'un doux regard et déclara d'une voix plus pour faire comprend à Jack qu'il prendrait tout son temps.


Je crois que je vais prendre une chambre belle ange si cela est possible, la plus belle, comme cela je ne pourrais point penser à vous doux yeux de diamant et à votre sourire de déesse Il lui sourit, et bus un coup avant de commencer à manger.

HUmmmmm tu s'es pas ce que tu rates, mon vieux, une merveille, la déesse de l'amour, le dieux de la fête, et le dieux des dieux en serraient tout retourné. Je sais pas si ta déjà goût cela ? belle ange vous fait des merveilles, dit il avec clameur.
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Il n'y a qu'une noblesse, la noblesse de coeur.

Son métier dresseur de chevaux.
Arnan
Des poulets? Où ca? P'quoi elle parlait d'poulet dans cette piole perdu dans ses ruelles sombres hin? Bah, y haussa juste des épaules. C'est des nana, fallait pas chercher à comprendre.

Y la prit par la taille plutot. Non, y avait pas le gout de se joindre au deux tarlouze du fond, ni a la miss j'cris partout qui, y savais pas pourquoi, y était sur qui allait la recroiser.

Le Gaillard s'assoit sur la table, sans rien ajouter et assis sa donzelle de frangine sur ses genoux.


Et pis, raconte un peu la p'tite, y s'est passer quoi depuis qu'on s'est pas vu?
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Un gros merci à JD Lililith!
--Jack_letueur
Je sais pas si ta déjà goût cela ? belle ange vous fait des merveilles
Non, mais je veux bien m'occuper de ta petite face de rat, et te la mettre à bouffer aux corbeaux qui viennent dire bonjour au mort !
écoute moi, petit gamin, morveux de bas étage, je vais te demandais une chose et après je quitterai cette endroit. Mais je reviendrai te voir un jour et je te tuerai de mes propres main, j'aurais bien voulus le faire ici, cependant j'ai besoin d'un service d'un petit morveux comme toi et du seigneur de ses lieux alors je vais être gentil avec toi.


Jack était totalement énervé, il n'en pouvait plus d'attendre, et il lui avait dit ce qu'il ferait une fois le service rendus, s'il l'acceptait.

Alors le service est simple, je veux quitter cette ville et me faire oublie j'aurais donc besoin de savoir combien d'homme patrouille près des forêt et montagne que je vais pénétrer, je veux aussi savoir quand les routes sont libres, et quand les voyages ne point sur les routes. Après je te laisserai la vie sauve pour cette fois.
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