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[RP] Salle du trosne de Champagne

Tamano
D'autres gardes et soldats firent leur apparition, mais très vite le Prévôt vint vers lui et l'interpella

Totoph a écrit:


- Bonjour sir, ou monseigneur? Navré, je n’ai pas révisé les appellations.

- Excusez-moi, on m'a communiqué votre nom parmis ceux assurant la sécurité de l'événement. Vous pouvez rejoindre le groupe et m'y attendre s'il vous plaît? Nous allons commencer les préparatifs.

- concernant les équipes donc, j'avais pensé à mettre Dame Mélina et Heka ensemble, votre lien de parenté étant un point fort, vous ferez un bon groupe. Dame Lutuxya, votre expérience en maréchaussée est un atout, je pensais vous mettre avec Clara, ca serait bénéfique pour elle selon moi et la rassurerait. Sir Tamano, je vous avais mis avec Cyanob, vous avez tous deux une expérience non négligeable qui me semble être appropriée en protection du Duc. Ceci dit Cyanob n'est pas encore arrivé.






Tamano suffira Messiredit-il pour lui répondre puis il suivit les consignes et alla rejoindre le petit groupe pour recevoir les instrcutions


Je crois apercevoir le dénommé Cyanob messire... tout en désignant du menton l'individu en question qui venait de faire arrivée

C'est un honneur que d'assurer la protection de Sa Grâce, puis-je en être digne au cours de cette cérémonie


Il s'était habillé de façon très simple, et ce n'était pas par hasard. Sous sa bure, il avait dissimulé poignard et épée. La discrétion était de mise lors de tel événement. La protection rapprochée du Duc n'en serait que meilleure et au moins il se fondrait dans la masse


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Ex archevêque de Reims. En reconstruction
_hersent
[Siège des Ambassades de Champagne, Hôtel particulier de Ratafia en Reims]

Hersent avait envoyé Lubin à l'Hôtel particulier du Ban champenois, elle eut la désagréable surprise de le voir revenir fort marri.

Que se passe-t-il Lubin? On vous a interdit l'entrée du Ban?

Non Votre Excellence, il n'y avait personne à s'affairer.

Ah... me serais-je trompée d'endroit? Normalement les cérémonies d'hommage se déroulent au Ban champenois, et cette salle est accessible à tout Champenois qui souhaite assister, en simple spectateur, aux prestations d'hommage de la Noblesse.

Elle relut le parchemin envoyé par Phylogène et fronça les sourcils. Elle avait tellement l'habitude du Ban qu'elle n'avait pas fait attention à la mention du lieu.

Lubin, pourriez-vous vous rendre en salle du trône et me dire si j'ai le temps de me préparer?

Lubin fit son office et plus tard, revint effaré.

Tudieu, vous faites une de ces têtes! Auriez-vous rencontré le Sans Nom?

Votre Excellence, il y a des gardes partout, j'ai même cru croiser des maréchaux. Il y a l'alerte sur la Champagne à cause des Rats mais ils ne marchent pas sur Reims, n'est-ce pas? Le Duc craindrait-il pour sa vie?

Hersent n'en croyait pas ses oreilles. Le jeune Duc semblait avoir perdu tout sens des réalités. Elle haussa les épaules et soupira.

Il est temps de me préparer. Lubin, je vous confie Ratafia le temps de la cérémonie d'hommage au Duc. Il n'y a pas de Rats à Reims, du moins aux dernières nouvelles, le Duc doit juste avoir envie de montrer que la Champagne sait prendre soin de ses Nobles.

D'aucuns pourraient croire que la Vicomtesse prend ses désirs pour des réalités...ou qu'elle est d'une naïveté indécrottable.
Hersent se retira dans son appartement de fonction pour se préparer.


PS car IG Hersent est à Troyes, ville franche

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Aimelin
[Un peu avant la cérémonie, Reims, Manoir des Millelieues]

Il avait longuement hésité à y aller en armure... enfin armure de cuir car il y a longtemps qu’il avait opté pour une protection efficace, légère et belle, vu qu’en parfait champenois, son armure n’était jamais bien loin. Oui parfois il aimait bien la revêtir hors des joutes, pour aller au marché, se balader, cueillir des nèfles, se rendre au castel ou tout simplement pour faire joli. Quoi que non au castel s'asseoir ainsi équipé n'était pas des plus pratique, et ça abîmait les coussins des fauteuils des conseillers et ensuite on ne pouvait plus dormir.
Non mais je déconne là !
Lorsque le brun était ainsi équipé, c'est qu'il était mobilisé en armée, et les jours qu'il avait passé en armée que ce soit en Champagne, ou ailleurs, soldat ou chef, ne se comptaient plus par dizaines, mais par centaines. Guerres de Compiègne contre l’Artois, guerre contre des béarnais, si si, contre des lions de juda et des genevois, contre des canards, contre des fatums, contre des impériaux, et aujourd’hui contre des rats. Que de bestioles !
Peut être demain se battrait il contre des belettes ou des lézards. Qui pouvait prédire l’avenir en ce bas monde.

Donc aujourd'hui, il était habillé élégamment, comme toujours, mais simplement car les fanfreluches n'étaient pas pour lui. Pantalon noir assorti à un veston de cuir sous lequel une chemise de lin écru laissait bouffer ses manches. Sur son veston, fixée à son épaule droite par une fibule en forme de fer à cheval, flottait doucement au rythme de ses pas, une cape nuancée de brun et marine, confectionnée dans un tissu léger. A ses pieds, des bottes couleur brun foncé elles aussi, et à sa taille, une ceinture de même ton à laquelle était accrochée comme toujours, sa lame.

Un tour sur lui même devant le miroir, et un sourire satisfait, il était beau, il ne sentait pas le sable chaud mais une légère effluve de fraîcheur boisée l'entourait, source d'une huile de senteur qu'il utilisait parmi d'autres.



[Salle de cérémonie, le 27 avril 1466 ]

Et c'est donc au bras de son épouse, qu'il entra dans la vaste salle, avant de stopper net, regardant Aliénor et lui murmurant.

diantre nous nous sommes trompés de salle.
Tout ce monde ne peut pas être là pour l’hommage je ne vois aucun des nobles habituels.


Avant de repérer Millie et de laisser ses aciers parcourir la salle à la recherche du Héraut.
Phylogène était là, l'ex Proc fou était donc dans la place !
Un peu gêné de tant de monde alentours, il entraina son épouse vers Millie qu’il salua d’un sourire avant de se poser à ses côtés.


bonjour Millie tu va bien ?
Que de monde, moi qui n’aime pas la foule je suis trop heureux.


Et de laisser son sourire amusé s'élargir, tout en gardant la main de sa blondinette dans la sienne. Trop de monde et il ne voulait pas la perdre.
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~ blason provisoire ~présence très réduite le week end
Tobias_maxence.
J’observais la foule arriver et souriait aux cotés de mon jumeau. Ne souhaitant pas lui faire louper une seule petite minuscule miette de ce moment. Sagement, j’observais l’arrivée d’une femme qui m’était inconnue et devant sa révérence je souris courtois, l’invitant à ce redresser comme le veux la politesse.

Bonjour… Grand dieu ou était son blason ? Ah là ! Baronne. Je vous remercie. Je me nomme Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise. Aurais-je l’honneur de connaître votre prénom avant l’hommage ? Ou gardez-vous le mystère ?

Mon regard glisse sur Totoph quelque instant et le voyant très occupé, j’approuve en reposant mes azures sur l’inconnue Baronne assurément.

Le Duc parfaitement adulte, que j’étais être bien heureux d’ouvrir cette cérémonie aux Champenois méritant. Après un mois sur les remparts ils avaient le droit d’être eux aussi mis en avant et si j’aurais pu ils seraient aussi passés devant moi. Cela ne plait pas aux nobles ? Dommage, c’est encore mon choix et mon droit de le faire. C’est vilain de critiquer en pensé et pas très bon joueur. Mais je présume que c’est là, l’unique attaque des faibles. Je regarde Thitus ravi et lui offre un sourire emplit de sous-entendu.


Tu sais quoi ? Je te remercie de m’avoir remonté le moral la nuit passée Thitus. Pendant quelques secondes j’avais oublié d’où je venais.

Je murmure à son oreille et fixe le trône. Tantôt je vais devoir m’y installer, mais j’attendais encore les informations du Héraut. Il semblait que celle-ci aimerait savoir comment allait ce dérouler la cérémonie et j’avais mon idée sur cela également. Pauvre habitues, elles prennent un coup de balais dans le fondement.

J’hésite entre baiser vassalique et accolade. C’est un dilemme je dois t’avouer. Toi tu n’hésiterais pas un instant. Moi si, est-ce trompé ? Ne rit pas ! Idiot ! Je te connais tu vas rire ou lever les yeux au plafond. T'es chiant, là !

Je tiens beaucoup à la fidélité sans faille que j’accorde à mon Chat. Le dilemme est encore plus grand après cela.
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Oksana
La Poilue, la Momie, le Grizzly, les trois à la fois, arrivèrent en salle du trône et marquèrent un temps d'arrêt: ça grouille de gardes inconnus.

Où suis-je tombée? Hersent m'a bien dit que c'était là et que je devais en être car Klouska reçoit son fief de retraite. Où sont-elles mes deux vassales? Pensait-elle en franchissant le seuil.

Elle cherche des têtes connues et voit le Millelieues et son épouse. Elle allonge la foulée, s'emmêle dans sa cape et tape l'incruste auprès du couple.


Mes salutations, vous ne rêvez pas, la Bourmont est de retour. Montre le jeune homme près du trône. C'est lui le duc? C'est lui qui écrit des lettres larmoyantes? Je peux attendre Hersent et Klouska à vos côtés?

L'échange se fit à voix très basse, aucun garde n'était dans les parages.
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Arthur_ar_sparfel
Avec nonchalance, Laferté entra dans la salle du trône.

Crapaud dans la place, c'est moâââ. Je zyeute voir qui qui qu'est là. La jolie Millie, naaannn, coââââ??? Elle!!!! Didiouuuu, il neigera bientôt en Champagne, pour sûr.
Je souris, crapaudesque jusqu'au bout des doigts palmés.

Y a la Reyne qui vient à l'Hommage? Y a un de ces services d'ordre dans le coin. Dit-il à la cantonade.

J'aperçois Heka et Melina et les maréchaux que je côtoie au QG, je les salue. Puis j'aperçois Phylogène, je lui fais un tit signe de la mimine et je rejoins le groupe où se trouve la suze de Mère.

Bonjour, bonjour. C'est dingue ce monde. Vous pensez que la Reyne sera présente à la cérémonie? Il y a un sacré service d'ordre, zavez-vu!

Je fais un baisemain à la jolie Duchesse Alienor et m'incline devant la Vicomtesse Oksana.

Vicomtesse, c'est un honneur de vous voâââr. J'espère que le duduc le comprendra. Duchesse Alienor, toujours aussi élégante et gracieuse.

Sourit à Aimelin:

Ben vi, zavez qu'à pas avoâââr une aussi belle épouse comme ça les jeunes godelureaux comme moâââ n'en feraient pas boisseaux.
Comment allez-vous bien, Duc Aimelin? Je suis content que vous soyez récompensé aujourd'hui. Je n'ai toujours pas compris le refus pour Oncle Yvain, je me dis que son tour viendra bien un jour.


Je compte l'ordre des arrivées. Hahahaha, j'aurai pas trop long à attendre.

Alors, alors, on aura droâââ à coâââ? Une baffe ou un bisou dit de paix?

Je suis dans la place, en pleine forme.
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Alienor_vastel
    [Un peu avant la cérémonie, Reims, Manoir des Millelieues]

Au moins n'avaient-ils pas eu à faire la route depuis Sézanne, étant stationnés à Reims depuis le début du mois. Ils avaient pu quitter le campement de l'armée pour se préparer dans leur manoir rémois, et tandis qu'Aimelin hésitait entre armure et tenue plus civile, les pervenches d'Aliénor passaient, pensives, de l'un à l'autre des contenus des deux coffrets posés sur leur couche.

Puisque, pour changer, la cérémonie aurait lieu en salle du trône en lieu et place de l'habituelle salle de cérémonie du ban champenois, la petite Duchesse avait particulièrement soigné sa mise, mettant à l'honneur le travail des tisserands, couturiers et plus généralement artisans sézannais. Ainsi, les manches ouvertes de son surcot de cendal bleu à l'encolure délicatement brodée d'or laissaient entrevoir une cotte ajustée de lin safran. Une ceinture de métal doré et émaillé était posée négligemment sur ses hanches et la tiare ornée d'un saphir, cadeau de mariage de la part de Maltea, venait ceindre son front.

Ne restait plus maintenant que l'apprêt final, le collier. Et là était le dilemme de la petite blonde. Celui de Secrétaire d'Etat n'avait pas été envisagé, l'hommage qui allait se tenir n'ayant pas de relation avec sa charge. Mais il en restait deux. Mathusalem ou Lys ? Car si le premier était champenois, le second marquait davantage la solennité d'un événement qui, bien que revenant au gré des élections provinciales, n'en marquait pas moins le lien d'Aliénor avec la Couronne de France.
Les doigts fins passèrent de l'un à l'autre, effleurant le métal ; un léger sourire lui vint sur les lèvres au souvenir de la fierté qu'elle avait ressenti lorsque chacun des deux ornements lui avait été passé au cou; et son regard s'arrêta sur un des coffrets. Sa décision était prise.



    [Cérémonie d'hommage - énième]

Et ce fut donc le Lys. Car après tout, au delà d'une cérémonie champeno-champenoise, il s'agissait surtout de renouveler leur serment à la Reyne. Le collier de l'ordre royal était donc signe de révérence à l'égard de leur suzeraine. Et puis, il était assorti à la couleur de ses yeux.

Ses yeux d'ailleurs, qui croisèrent, perplexes, ceux de son époux à l'entrée dans la salle d'où se dégageait une impression d’affluence et d'effervescence inhabituelle.
Et en réponse à sa remarque, un hésitant...
Eh bien... Avant d'aviser deux jeunes femmes de connaissance et dont la présence les rassura... Ah non regarde, Phylogène et Millie sont là, on doit être au bon endroit.

Regard curieux en avançant, toujours au bras de son brun, vers la jeune Baronne, saluant au passage Mélina et adressant un signe de la tête au Duc. Et l'attention détournée par l'arrivée de la vicomtesse de Bourmont à qui elle adressa alors un sourire amusé avant de lui répondre sur le même ton.

Heureusement que vous avez précisé la réalité de votre présence, j'ai cru, un instant, voir un mirage ! Il semble décidément que cette cérémonie offre son lot de surprise...
Avant de tourner la tête dans la direction indiquée par leur interlocutrice Oui c'est lui... sourcils haussés des lettres larmoyantes, vraiment ?
En tout cas, c'est un plaisir que de vous voir, et un grand jour pour Klouska, nous l'attendons également.


Et à défaut de Klouska, dans l'immédiat ce fut Arthur qui les rejoignit et qu'Aliénor accueillit avec un grand sourire, riant au baise-main qu'il lui fit.

Et vous, Arthur, vous êtes toujours aussi flatteur !

Avant de regarder autour d'elle, pensive...

La Reyne ? Ah, peut-être, ceci expliquerait cela. Après tout, cela ne serait pas la première fois qu'un Monarque viendrait recevoir l'hommage de sa noblesse en personne, cela avait déjà été le cas sous le mandat de Brugny.
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[présence fortement réduite les we]
Thitus
Tu me frappes et je ris silencieusement, sachant me faire discret même pour dire des conneries. Cela a toujours été mon fort de faire le mariole discrètement, pendant les cérémonies, les cours ennuyeux, les réunions de famille interminables et je sais que cela te plaît que je sois ainsi, à incarner ton ombre divertissante.
    - Bien mon Dieu sublime et tout puissant créateur de toute chose et surtout de mon bonheur.
Je perds quelque peu mon sourire lorsque tu évoques ton Chat puisque j'ai déjà regardé autour de nous pour n'y voir que des inconnus ou des Champenois, mais point de Chat à l'horizon alors que je sais combien tu aimerais qu'il soit présent pour toi.

    - Peut-être viendra-t-il s'il est parvenu à se libérer. Tu peux également compter sur moi pour m'occuper de Mexy et lui apprendre à reluquer convenablement les nobles.
Je partage ton regard taquin, sachant aussi bien te répliquer pour tenter de gagner la bataille du plus taquin des deux avant de retrouver mon calme puisque tu es malgré tout le Duc ce qui demande un peu de respect et de convenance. J'observe les gens te saluer, leur sourit en retour tout en me disant que cela sera sans doute la première fois qu'un noble hésite entre deux jumeaux pour présenter ses hommages, même si tu portes la couronne qui te revient, je m'amuse d'être ton reflet identique en cet instant et hésite fortement à te piquer ta couronne sans rien n'en faire de peur de gachêr ton jour de gloire par quelque blague déplacée. D'ailleurs tu me remercies d'avoir été ton ombre cette nuit et je te renvoies un sourire chaleureux alors que ma main s'empare discrètement de la tienne pour la serrer malgré que cela ne soit pas très en rapport avec les convenances tradictionnelles. La suite de tes inquiétudes me fait rire comme tu l'as si bien prévu et j'esaie de me reprendre pour te donner une réponse qui puisse te coller à la peau.
    - Moi j'embrasserai volontiers les jeunes et belles nobles tandis que je ferais une simple accolades aux hommes et aux vieilles. Cependant, au vu de tes angoisses, même si le baiser vassalique ne s'apparente pas à tromper, tu devrais seulement faire l'accolade à tous afin de ne pas souffrir intérieurement après la cérémonie d'un quelconque doute à propos de ta fidélité. Fais leur un bon gros câlin, ils en seront autant ravis que de sentir ton haleine remplis d'ail de trop près.

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Lhynne..
Nouveau Régent nouvelle allégeance et nouveau courrier du Héraut avec le lieu où se déroulait la cérémonie . Je me préparait donc et enfila ma tenue de cavalière car je devais également aller à une autre cérémonie ou je connaissais quelqu'un qui devait être fort impatient de me voir arriver.

Je fis sellé mon étalon et me dirigea vers Reims évitant les routes trop ouverte afin de ne pas tomber sur des brigands . Black filait comme le vent et je pus arriver à temps . J'attachais mon cheval et me rendit vers la salle ou Phylogène et Tobias attendaient. Un garde m’arrêta dans ma lancée et m'ordonna de déposer mon épée . Je le regardais droit dans les yeux et lui répondit d'un ton glacial


Mon épée ? Hors de question

Je fis un écart et passa à coté de lui . Ce dernier se mit à me suivre pour essayer de m'arreter en m'ordonnant de stopper

Qu'on l'arrête , qu'on l’arrête , elle va tuer le duc

Je ne m’arrêtais pas malheureusement et entra dans la salle en soupirant en entendant ce garde débiter des âneries mais qu'elle fut pas ma surprise en voyant la prévoté se tenir pret

D'un pas assuré je m’avançais vers Phylogène et Tobias ainsi que son jumeau tout en saluant les personnes présentes

Bonjour Votre Grasce, bonjour Phylogène et euh bonjour le jumeau du duc

Puis je regardais parmi tout ce monde si je ne voyais pas les quelques personnes devant leur allégeances . Je souris en voyant Aimelin et Alienor ainsi qu'Arthur apparemment surpris de voir autant de monde et il ne devait pas être le seul à vrai dire,Je m'avançait donc vers eux

Bonjour Aimelin, Alienor , Arthur

Vous allez bien ? La reine vient à l'allégeance qu'il y a autant de monde

Je souris à Millie , la fille de mon amie Klouska et la salua également

Bonjour Millie

Votre mère n'est pas venue avec vous ?


Puis je saluais la dame qui était aussi à leur coté

Bonjour Dame
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Aimelin
Ils ne restèrent pas isolés bien longtemps et tant mieux.
D'abord Oksana qui devança le sautilleur de peu. Aliénor les salua de quelques mots et il prit la relève lorsqu'elle eut terminé.


bonjour Vicomtesse, en effet je me demandais si je n'avais pas la berlue moi aussi à vous voir sortir.
Mais je suis tellement heureux pour Klouska, c'est un beau jour bien mérité pour elle.


Un sourire amusé et vérifiant qu'aucune grande oreille indiscrète ne trainait à côté d'eux, il baissa la voix..

Des larmiches sur vélin ? En tous les cas il n'est guère poli avec notre Chambellan au conseil, c'est certain.
Et bien sûr que vous pouvez rester à nos côtés, les deux jeunes femmes ne devraient pas tarder.


Et de rire aux mots d'Arthur, une jeune Vicomte que le brun appréciait autant pour son travail irréprochable que pour son humour, sa politesse et ses répartis.
Le Capitaine Royal venait de les rejoindre et le jeune Duc salua leur amie.


Bonjour Lhynne et nous nous posions justement la question à propos de Sa Majestée.
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~ blason provisoire ~présence très réduite le week end
Tobias_maxence.
La salle ce reprit petit à petit et au murmure de mon frère à mon esgourde, j’ajoute les murmures ou paroles ici ou là. Doucement mon regard tourne vers le Héraut qui doit s’en doute organiser les derniers préparatifs ? Il y a des visages connus d’autres moins, certains m’arrachent un sourire, d’autre me laisse indifférent. Une unique chose me choque, la distance. J’ai bien souvent critiquer la Bourgogne et en étant noble la cérémonie d’allégeance, mais je dois avouer qu’ici c’est différent.

Lançant un regard à mon frère, je songe aux paroles dites plutôt me confiant qu’il aimerait me voir moins emplit de doutes et bien plus sûr de moi. J’accorde désormais crédit aux mots et tousse, avant de le quitter pour me mettre un poil plus en avant.


Bonjour ! S’il vous plait, pourrais-je avoir votre attention un instant. C’est gentil à vous, Bonjour donc disais-je. J’espère que vous allez bien tous et toutes. Avant que les hommages commencent et que Phylogène ne prossède. J’aimerais vous parler.

Je souris, sans me retourner sachant parfaitement que mon jumeau n’a pas bougé d’un pouce. Mais connaissant mon frère, il as dû assurément poser ses azures sur moi et me protéger d’un regard ferme et décidé. Je ne peux m’empêcher de penser à notre père aujourd’hui et même si son visage envahi mon esprit, je reste impassible, fixant la nobles assemblées pas encore totalement complète.

Je devrais sans doute attendre tout le monde, mais je suis certain qu’ils seront au courant de mes mots. Après tout, les échanges sont toujours rapportés. N’est-ce pas ? Bien, certains d’entre vous on peut-être remarqué la présence de notre Prévôt Maître Totoph ainsi que de certains miliciens. Ceci est mon choix et il s’explique assez facilement. Aussi permettez-moi de vous l’expliquer afin que cela soit clair pour vous.

La vache je deviens diplomate maintenant, et bien que je ne doute pas que certaines langues vont encore jugé, et critiquer et tout le trinfouin, j’assume mon choix et le trouve respectueux à défaut d’unanime.

Ces hommes et ces femmes non nobles Champenois et présents ici même dans cette salle. Ont défendu Reims et le Duché depuis plus d’un mois. Certains ont reçu des coups, d’autres se sont particulièrement investis à la défense, d’autres encore le font depuis des années dans leurs villes. Sans attendre de remerciements, dans demander quelque chose en retour de cela. Et je pense sincèrement qu’il est de mon devoir de reconnaître leurs implications au sein du Duché. Non pas en écrivant de jolie courriers de remerciement ou en distribuant des titres comme l’on offre des miches de pains. J’avais donc envie de les remercier en leurs demandant d’être présent aujourd’hui. Non pas parce que je crains pour ma vie, pas non plus pour me devoir de Protection envers vous. Simplement parce que j’estime que tout comportement apportant bénéfice et paix en Champagne mérite d’être reconnu par le pouvoir en place.

Simplement parce que en bon père de famille, je me suis promis de reconnaître ceux et celles qui s’investissent. Bien sûr ils sont nombreux et tous ne sont pas présent ici aujourd’hui. Ils seront présents à d’autres moments, dans d’autres circonstances et je lis l’étonnement dans vos regards lorsque vous êtes entrés. Je le comprends, cependant maintenant que ceci est clair, j’espère sincèrement que vous comprendrez mon désir. Si ce n’est pas le cas… Tant pis.


J’hausse les épaules, avais-je besoin de plaire à tout le monde ? Non, j’avais besoin de rester moi-même et de ne pas changer parce qu’une couronne orne ma tête.

Ah j’oubliais, j’ai crus entendre que la salle n’était pas celle habituel ? Je me tourne vers le Héraut légèrement perplexe. Vous ne faites point cela en salle du trône habituellement ?(*)



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Batistine
La blonde est vexée, vexée grave de chez grave. Max l'a même pas invitée ! La mine boudeuse, elle avait profité de son rôle de DCA du GPF pour se faufiler dans le flux de ceux qui étaient invités eux !

D'ailleurs qui donc était ce Max qui portait couronne et recevait en salle du trône ? Pas celui qui machouillait un brun le cul dans l'herbe à ses côtés il y a moins d'un an. Celui-là ne l'aurait jamais oubliée lui...

B se cale dans un recoin, note la présence du jumeau, celle d'Hersent quant aux autres, elle ne les connait pas, tout au plus une ou deux personnes qu'elle avait croisées à son arrivée en Champagne, c'est dire si ça faisait des lustres pour elle.

Troyes enfin rentrée dans le giron champenois, elle s'était permis de s'absenter pour constater de ses propres yeux que son ami était bien le nouveau Duc. Dans l'ombre afin de ne pas perturber la cérémonie, la blonde fixe de ses ambres le couronné et attend la suite.

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Hoel
[Siège des Ambassades de Champagne, Hôtel particulier de Ratafia en Reims avec Hersent]

Garde du corps de sa presque épouse, gardien de ses secrets, amoureux, père du petit Mélaine.
Cela était suffisant pour Hoel, pour venir en compagnie d'Hersent. C'est sur sa jument, en bas des marches, qu'il attendit sa belle. La Champagne n'était pas le duché, le plus connu de notre Breton, mais c'était l'endroit ou Hersent aimait vivre. Il acceptait cet état des choses, car jamais, au grand jamais, il n'était pas question de faire des concessions dans leur choix de vivre.
Hersent
[Avant la prise de parole du Duc]

Hersent enfin prête, le collier de l'Ordre de Mathusalem au cou, vêtue d'une cotte hardie aux couleurs de Vignory et de la famille Ar Sparfel, se présenta en salle du trône. L'effervescence battait son plein, elle dut se frayer un chemin entre les gardes ducaux et les maréchaux.
Un regard par dessus son épaule pour lancer un sourire à son fiancé.


Regardez, ma suzeraine est là! C'est un miracle, Klouska sera heureuse de recevoir sa Vicomté sous les yeux attentifs d'Oksana.

Ils rejoignirent le groupe composés d'une partie de la Noblesse champenoise. En fendant la foule, elle fit un signe à la fille de son amie Klouska, la délicieuse Millie, et salua Phylogène d'un signe de tête.

Le bonjour tout le monde. Est-ce que la Reyne est conviée? Lubin m'a informée que la cérémonie ne se déroulait pas à l'endroit habituel et qu'il y avait un service d'ordre important.

Elle se rapprocha de sa toujours suzeraine, même si la cérémonie de ré anoblissement n'était pas pour demain ni après-demain, et lui prit les mains entre les siennes.

Oksana, vous ne pouviez pas nous faire plus plaisir à Klouska et moi en venant à l'Hommage. Je pense que tout le monde ici l'est également. Vous êtes une figure champenoise importante.

En prenant place pour la cérémonie son regard se posa sur la jeune Batistine. Cela voulait dire qu'Actarius ne tarderait pas.

[Allocution du Duc]

Elle se demandait pourquoi le sosie du Duc était aux côtés de ce dernier. Elle savait qu'il avait un jumeau et cela l'étonnait toujours d'en croiser. Allez savoir pourquoi.
Elle n'eut pas le loisir d'étendre davantage ses pensées car le Duc prit la parole. Elle murmura, entre ses dents, entendue uniquement des personnes proches d'elle:


Il ne nous épargnera donc rien. Pauvre Champagne.

Elle chercha la main de son fiancé pour y puiser réconfort et énergie.
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Participe au Challenge RP
Phylogene


Le duc de Champagne ne tarda finalement pas à arriver avec une belle escorte qu'elle n'avait pas loisir de voir tout le temps en sus des gardes ducaux présents à chaque entrée de salle ou chaque angle de couloir permettant d'assurer la sécurité au sein du palais ducal.
Sans parler du premier homme qu'elle vit à la suite du Duc et qui ressemblait comme deux gouttes d'eau au Duc lui même que la Valten saluait déjà, le reste de la petite troupe se salua et prit place petit à petit dans la salle laissant pour le moment un ressenti un peu étrange à savoir qu'ils étaient bien plus nombreux que les nobles de la province, en tous les cas, pour le moment.

Le bonjour votre grasce, je suis ravie de pouvoir enfin vous rencontrer après tous ces échanges épistolaires, j'espère que toutes les questions que vous aviez ont pu trouver réponse afin que cette journée se passe agréablement pour tout le monde.
Puis à celui qui semblait être le jumeau du premier, le bonjour sieur.

Un léger retroussement de lèvre supérieure se fit en entendant un "votre altesse" dans la salle, ces personnes ne connaissaient que peu la maréchale d'armes mais l'étiquette et cette dernière étaient des amies d'enfance très proches, enfin, tout le monde ne maitrisait pas forcément non plus ladite étiquette aussi se garda t'elle de tout commentaire, pour le moment.
Ce qui filtra des diverses discussions ou propos tenus fut qu'il s'agissait de la maréchaussée, ah! Une bonne idée, à voir si en Touraine cela fonctionnerait, il lui faudrait en glisser un mot à son retour.

Par ailleurs, le '"jumeau" du Duc semblait effectivement ne pas l'être que physiquement mais généalogiquement aussi de la présentation de Tobias au Prévost Ducal, sauf que, des registres consultés avant la cérémonie dans les familles Chéroy et Talleyrand, il n'y avait ni trace de l'un, ni de l'autre, les mises à jour étaient à faire et secrètement, la Valten espérait qu'il ne s'agisse pas d'usurpation quand elle râlait déjà après des collègues qui ne vérifiaient pas ou ne demandaient pas vérification avant de produire des actes contenant les noms de familles, ce qui inscrivait dans le marbre la reconnaissance donnée à ces personnes, mais là n'était pas le sujet, son esprit s'égarant déjà dans des dossiers alors qu'il y en avait d'autres plus importants/urgents en ce moment et depuis l'été dernier.


Un visage connu fit enfin son entrée car mine de rien, depuis juillet qu'elle côtoyait la noblesse de plus ou moins loin, ce n'était pas la même chanson pour les petites gens qui affluaient ce jour. Un sourire adressé à Millie qui la saluait alors.

Le bonjour baronne, je vais bien et vous même? Prête à reprendre le travail?
Fit elle un peu taquine.

Ayé, les nobles semblaient arriver tant l'Hauterroche était suivi d'Aimelin, une autre paire de petites mains champenoises qui arriva à hauteur de son interlocutrice précédente.
Le bonjour vos grasces, à cérémonie officielle, le protocole dont on parlait peu avant.
Une autre personne s'incrusta dans le petit groupe qui lui disait quelque chose sans pour autant pouvoir en donner le nom, pour un héraut d'armes sensé annoncer les nobles, ça la foutait mal, quoique par déduction, elle arriverait peut être à trouver.
Déjà un autre noble, le vicomte de Laferté sur Aube, la mimine trouva réponse dans un hochement du chef qui faisait aussi office de salutations.
La place fut laissée à la dame Lhynne qui joignait aussi le petit groupe,
le bonjour à vous dame.

Avant que le Duc ne s'adresse à l'assemblée présente, la Maréchale d'Armes venait d'effectuer un dernier tour pour vérifier que tout était en place notamment au niveau du buffet qui semblait prisé et indispensable à toute cérémonie, allez savoir pourquoi.
L'ambiance en Champagne semblait un peu étrange à la vue des réactions et de la précisions apportée par le Régnant qu'elle se permit de compléter un chouilla une fois qu'il eut terminé.

Votre grasce, la cérémonie qu'elle soit d'allégeance ou d'hommage a toujours été ouverte à qui le souhaitait, elle n'a jamais été réservée à la noblesse et seulement à la noblesse. Seulement, quand on n'était pas noble et que l'on suivait une cérémonie, on pouvait dire connaitre les suivantes qui se ressemblaient assez.
Cela étant, la suite.


Le bonjour à tous, pour ceux ne me connaissant pas, je suis Phylogène, Maréchale d'Armes de tutelle de la Champagne, en ce vingt sept avril mil quatre cent soixante six, nous sommes réunis pour la cérémonie d'hommage de la noblesse champenoise à sa Majesté Alvira de la Duranxie Beauharnais, Reyne de France, à travers son représentant, sa Grasce Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise.
Puis à Tobias, souhaitez vous que la cérémonie se déroule au premier venu ou bien par préséance? A savoir que j'ai déjà reçu plusieurs courriers que je vous montrerai au fur et à mesure de la cérémonie pour que vous puissiez y répondre petit à petit.

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