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[RP] Salle du trosne de Champagne

Tobias_maxence.
La Baronne laisse place à la Vicomtesse et je décide de rester debout. A quoi bon m’asseoir toutes les deux minutes si je dois me relever ensuite. Un coup d’œil à mon jumeau me permet de constater l’absence de Mexandre et j’imagine qu’il est auprès de May, souffrante et sans doute non loin de la mort. Je soupir légèrement et me rend compte des mains tendue à moi. Les prenants sans autre cérémoniale.

C’est froid, la tension est palpable et lorsqu’elle eu terminée, je réponds d’une voix monocorde :


Hersent d'Ar Sparfel, Vicomtesse de Vignory. J’accepte votre hommage et en retour, moi. Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise, Duc de Champagne. Représentant de Sa Majesté, Alvira de la Duranxie , Reine de France, sur les terres de Champagne. Je vous promet en retour et en son nom : Protection, justice et subsistance pour vos terres de Vignory.

Je l’aide à ce relever courtoisie élémentaire et bien que cela va sans doute encore m’être reproché comme étant un acte infâme et égoïste. Je l’attire dans une accolade vassalique de quelques secondes, ni plus, ni moins que la Baronne avant-elle. Là, je recule et la libère.

C’est jolie Vignory, comme nom de terres. Je souris et indique à Phylogène que si elle ne voit pas d’objection je suis prêt à recevoir la personne suivante.
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Phylogene


La vicomtesse de Vignory passée, c'était au tour d'une autre vicomtesse, doublement d'ailleurs qui était revenue d'une longue retraite.
Le petit signe de la Baronne de Payns ne passa pas inaperçu puisqu'elle eut réponse et fut ajoutée à la liste des nobles présents.


Que s'avance à présent monseigneur Oksana de Floret, pour les terres de Bourmont et de Romilly.

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Oksana
C'est dans une cérémonie loin d'être terminée que la Vicomtesse Oksana se traina d'un air las, à la suite de Hersent, sa toujours vassale. Cependant, étant présente à Reims, elle se devait de se montrer : son autre vassale, Klouska, recevait son fief de retraite.
Elle ne portait plus son manteau, version été ou hiver, de Pair mangé par les mites depuis le temps qu'elle ne l'état plus. En respect pour son passé de Commandante de l'Armée du « Grizzly sauvage », époque que seuls les jeunes ne pouvaient pas connaître, elle portait sa cape militaire, plus pratique et moins dangereuse que le manteau de Pair de France. Elle s'avança, d'un pas raide pour ne pas s'étaler de tout son long, vers le Duc.
S'agenouillant, elle fit son serment:


Nous Oksana de Floret, Vicomtesse de Bourmont, Vicomtesse de Romilly, Dame de Mathusalem, Membre de L'Ordre Royal du Lys, renouvelons l'assurance de notre loyauté à Nostre représentant sur les terres de Champagne, Sa Grâsce Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise comme Duc de Champagne et donc le représentant légitime de Sa Majesté Alvira de la Duranxie Beauharnais, Reyne de France, en ses terres champenoises.. Promettons de continuer à assurer à sa personne et à ses terres, obsequium, auxilium et concilium. 
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Tobias_maxence.
Tiens cette fois je n’ai pas le droit aux mains. Un coup d’œil vers Phylogène qui ne semblait pas jugé utile d’intervenir et moi elle avait toute ma confiance la Héraut. Alors j’écoute, en me demandant bien comment je vais gérer cela, je l’aide à ce relever comment sans mains moi ?

Il y a pas à dire parfois les problèmes ont l’air ridicule, mais son hyper grave quoi.


Oksana de Floret, Vicomtesse de Bourmont et de Romilly. J’accepte votre hommage et en retour, moi. Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise, Duc de Champagne. Représentant de Sa Majesté, Alvira de la Duranxie , Reine de France, sur les terres de Champagne. Je vous promet en retour et en son nom : Protection, justice et subsistance pour vos terres de Bourmont et Romilly.

Je bug quelques secondes et décide finalement de poser mes mains sur ses épaules pour l’aider à ce relever comme je peux, autant vous dire que je suis pas doué pour cela et lui accorder comme aux autres accolade vassalique, après quoi je recule et sourit murmurant :

Mes excuses, sans les mains cela n’est pas tout simple. Je ne vous ai pas fait mal j’espère ?


Bien que je doute être capable de faire mal à qui que ce soit. C’est plutôt le genre de Thitus cela.
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Phylogene


Les choses semblaient aller bon train, les hommages se suivaient mais ne se ressemblaient pas à la tête du jeune Duc qui attendait, semblait il, son approbation pour une raison qui échappait à la maréchale d'armes et comme il continua, la raison resterait peut être inconnue.

Serment fait, elle pouvait appeler le noble suivant, encore un vicomte.


Que s'avance à présent monseigneur Arthur ar Sparfel, pour les terres de Laferté sur Aube.

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Jujoss
Quoi ? Oh... encore ?

Encore quoi ? Encore une cérémonie ? Bof, Ju ça ne la dérangeait pas vraiment. Encore en retard par contre...

C'est tout de même dingue ! Je suis capable de faire plein de choses, mais être à l'heure ça... Impossible !

Et elle continua ainsi à maugréer toute seule tandis que Rosa l'aidait à s'habiller pour la circonstance. Heureusement elles étaient déjà à Reims. Démarrer depuis Conflans ou pire Paris. Elle n'y serait jamais arrivée. Hop, vaille que vaille elle se présenta dans la salle du trône. Oula il y en avait du monde. Jujoss salua les personnes qu'elle connaissait d'un regard, prenant bien soin de ne pas déranger la cérémonie.

De fait, pas de dérangement vocal. Par contre un gros BOUM se fit entendre. Elle venait de renverser un vase qui se tenait là comme décoration. Il était en milles morceaux. D'un air catastrophé elle regarda l'assemblée et rougit jusqu'aux oreilles


Oh euh... Pardonnez moi

Bref, la gaffeuse a encore frappé
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Arthur_ar_sparfel
Il discutaillait le Crapaud avec les uns et les autres. Il avait toujours du mal à se faire à la foule gendarmesque, en pleine observation du cirque, il sentit une tape sur la tête.
Didiouuu c'est le suze qui se pointe.


Coâââ Vot'Grasce, zavez peur que le roâââ de la mare ne coâââsse plus? Comment ça va bien dans votre armée? J'ai appris qu'il y avait eu du lattage de vilains.

Il suivit d'une oreille distraite l'hommage de sa mère et de la Vicomtesse Oksana et sursauta quand Phylo l'appela.

Hop, hop, hop, le Crapaud sautille pour rejoindre l'allée centrale. Quitte à être au cirque autant faire le bohémien. Jujoss lui vole la vedette en fichant un vase hors de prix par terre. Didiouuu, pour sûr elle se fera enguirlander par le Bailli, namého!

Je m'avance vers le Duc et mets genou à terre pour faire mon hommage. Toute manière c'est à la Reyne et à la Champagne que je fais picétou.
Je pose mon épée d'apparat la pointe posée sur le dallage de pierre et je récite, le regard posé sur le blason de la Champagne, au-dessus du trône -oué, comme ça je donne l'impression de regarder le Duc, ni vu ni connu - :

Moâââ, Arthur d'Ar Sparfel, Vicomte de Laferté sur Aube et Seigneur de Grancourt, vous reconnais Votre Grâce Tobias Maxence de Talleyrand Cheroâââ d'Ambroâââse comme Duc de Champagne et légitime représentant de Sa Majesté Alvira de la Duranxie, Reyne de France. Je vous rends hommage ainsi qu'à la Couronne et vous promets Obsequium, Auxilium et Consilium.
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Tobias_maxence.
Entre l’annonce du Héraut et l’arrivée du Vicomte, il y eu un BOUM ! Un énorme BOUM et je sursaute en fixant mon frère jumeau inquiet. Pour tout dire j’avais déjà fait un pas vers lui Thitus impassible fixant Jujoss de son regard de prédateur et je claque la langue dans un ordre clair : Pas touche.

Terminant mon pas dans un second, je fixe mon jumeau et prononce quelques mots :


Thitus, voudrais-tu t’assurer que la Duchesse n’a rien, s’il te plait.

Je n’aurais nullement eu besoin de parler, c’est mon frère, lui et moi cela remonte à l’utérus de notre mère et avant cela neuf mois dans son ventre. Parlez est très secondaire pour nous, parler c’est même inutile bien souvent. Je pense que nous décisions de le faire par courtoise, tout comme les mots que je prononce. Cela n’est que pure courtoisie, un seul regard aurait suffit à lui faire comprendre mon désir de ne pas laisser Jujoss plantée là seule et dans la honte. Connaissant Thitus il arrangera la situation en moins d’une minute. De mon double, je passe à mon duo d’une époque qui me semblait bien lointaine et lui offre un sourire. Ce n’est qu’une vase et je m’en fiche de surcroît, une babiole sans doute pas importante et si elle l’était, je l’ignorais et donc m’en fichait. Je n’ai jamais été très amoureux des objets de décoration.

Me tournant vers le Vicomte de Laferté sur Aube, je retourne à ma place devant lui donc et pourtant ne cesse d’observer la scène au loin d’un œil soucieux. Je ne remarque pas l’épée et encore moins son regard posé dieu sait ou. Heureusement ceci étant sinon j’aurais pensé qu’il était décidément comme sa mère et la Vicomtesse avant lui, ils ne sont vraiment pas très différents. Une histoire de pomme et d’arbre sans doute.

Mon regard ce porte sur lui à la fin de l’hommage, décidant enfin à le regarder.


Arthur d'Ar Sparfel, Vicomte de Laferté sur Aube. J’accepte votre hommage et en retour, moi. Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise, Duc de Champagne. Représentant de Sa Majesté, Alvira de la Duranxie , Reine de France, sur les terres de Champagne. Je vous promet en retour et en son nom : Protection, justice et subsistance pour vos terres de La ferté sur Aube. Relevez-vous je vous prie afin que je vous offre accolade vassalique.

Je veux bien aider les gens à ce relever, mais si on me tend pas la main autant dire que le coup des épaules et inutile. J’attends donc pour lui faire un gros câlin qu’il concède à ce redresser et dans un geste courtois tend mes mains, d'un coup qu'il cherche de l'aide.
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Arthur_ar_sparfel
L'hommage est fait, j'ai plus qu'à me relever. Je prends appui sur le pommeau de l'épée et me retrouve debout, tout seul comme un grand.
Y a plus qu'à attendre la suite, après quartier libre, direct au buffet.

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Tobias_maxence.
Pendant que le Bailli ce relève, je lance un regard à mon frère de quelque seconde. Puis je m’approche et accorde l’accolade vassalique de quelques secondes comme tout les autres. Une fois chose faite, j’ajoute un petit mot sympa comme pour les autres :

Jolie épée. Peut-être qu’un jour nous ferons un duel.

Et je me tourne vers Phylogène attendant le ou la suivant(e) sur la liste. J’admirais sa mémoire, pour moi chaque nom était une suprise.
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Arthur_ar_sparfel
Je reçois l'accolade et je retourne à ma place.
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Thitus
A Klouska qui me salue, je lui adresse un grand sourire et lui réponds naturellement en savourant sa politesse de me remarquer puisque souvent, les gens ne remarquent pas le miroir de Tobias que je suis qui reste dans son ombre.
    - Thitus de Talleyrand Cheroy d'Ambroise, frère similaire de Notre Grâce.
Déjà tu rejoins ton trône et me place en retrait sur le côté sans toutefois te quitter des yeux pour observer avec amusement que tu as choisi la timide mais respectée accolade vassalique pour conserver ta fidélité entière et intacte même si cela est très controversé qu'un baiser vassalique soit de la tromperie, cela est ton choix et je te chambrerai plus tard à ce sujet. Les hommages s'enchaîne et je trouve que tu t'en sors plutôt bien jusqu'à ce qu'une vicomtesse te bouleverse dans ta routine déjà presque installée de régnant et que tu doives l'attraper par les épaules pour la relever avec ce masque de gêne qui m'amuse, je t'entends dans mes entrailles marmonner ta crainte de lui faire mal et je ris silencieusement puisque à part peut-être à une fourmi que tu n'avais pas vu, je n'ai pas connaissance de quelque douleur infligée de ton plein gré un jour. Le boum qui survient ensuite me fait sursauter et j'observe avec quelque intérêt Jujoss étalée au cas où un bout de cuisse viendrait animer la cérémnoie lorsque je sens sur moi ton regard désapprobateur qui me fait soupirer une fois de plus et me dirige déjà vers le Duchesse en question avant même que ta bouche n'en ai posé la volonté.
    - Bien entendu Votre Grace.
Cette communication silencieuse que nous possédons et conservons comme un don du Très-Haut ne laisse personne indifférent et nous avons appris à la masquer pour ne pas provoquer quelque gêne dans notre entourage. Elle m'apporte autant que ton mécontentement à ce que je puisse baiser tes conseillers ou tes amies nobles m'indispose. Cependant, puisqu'il en est ainsi, j'ai laissé derrière moi mes yeux de dragueurs et c'est une main de gentleman que je tends à Jujoss, ainsi qu'un sourire rassurant.
    - Duchesse, si vous voulez bien accepter cette main salvatrice, faute qu'elle puisse réparer ce vase, j'aimerai qu'elle vienne effacer quelque facheuse maladresse dont nous ne saurions vous en tenir rigueur.

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Phylogene


L'entrée bruyante de Jujoss juste après que la Valten ait appelé le vicomte la surprit davantage que le reste tant elle ne s'y attendait pas, aussi une fois les informations sur le comment du pourquoi traités par son chef, elle s'empêcha de sourire devant la malchance de Vadenay en se mordant la lèvre inférieure.

Une fois le vicomte debout et l'accolade effectuée entre les deux hommes, la Valten appela la personne suivante.


Que s'avance à présent la dame Lhynne Aymerie, pour les terres d'Omey.

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Lhynne..
Les hommages se faisaient et j'attendis près du Marechal qui m'avait rejoint à la salle du trone et avec son épée également . Je lui souris en signe de merci d'être venu puis lui chuchota

vous avez pris aussi votre épée à ce que je vois et les gardes ont du vous ennuyer également

Puis nous avions pu entendre un fracas sur le sol et me retourna et vit Marraine . Ben oui évidemment Marraine la tornade ou marraine la maladroite oui ca sonnait mieux et poursuit mon murmure au Marechal

et ce qui a fait ce bruit c'est marraine qui a du faire tomber quelquechose

Je voulais rire mais je me retins . J'allais aller la voir quand le jumeau du duc alla à sa rencontre et que Phylogène m'appella . Je remis mon épée au Maréchal en lui disant

Je vous confie mon épée , j'en ai pas pour longtemps

Je m'avançais donc vers Tobias en récitant son nom dans ma tête car il avait un très long nom le duc et c'était pas le moment de se tromper.

Arrivée à sa hauteur , je ployais genou à terre et tendis mes mains afin les joindre aux siennes puis récita mon serment en faisant bien attention au nom


Moi , Lhynne Aymerie Von Stavanger, dame d'Omey et de Baillou, reconnaissons sa Grâce Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise comme duc de Champagne et légitime représentant de sa Majesté Alvira de la Duranxie, Reyne de France. De ce fait je renouvelle mon hommage pour les terres d'Omey et vous promettons ainsi Obsequium, Auxilium et Consilium

Je crois que c'est bon j'avais rien oublié et attendit donc le serment du duc et l'accolade avant de rejoindre le maréchal et ma marraine
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Tobias_maxence.
A la routine, quoi de mieux ? Aux mains tendues, j’attrape et sourit. Puis écoute et incline la tête en guise de … je ne sais pas trop. Par envie sans doute ? Ou besoin. Après quoi je réponds.


Lhynne Aymerie Von Stavanger, dame d'Omey. J’accepte votre hommage et en retour, moi. Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise, Duc de Champagne. Représentant de Sa Majesté, Alvira de la Duranxie , Reine de France, sur les terres de Champagne. Je vous promet en retour et en son nom : Protection, justice et subsistance pour vos terres d'Omey.


Après quoi, je l’aide à ce redresser n’ayant pas trop de mal vu les mains offerte et l’attire contre moi pour un câlin tout vassalique, quelques secondes suffiront comme tout les autres et je lui souris.

Apportez l’épée du Capitaine Royal de Champagne, je vous prie.

Demandais-je à qui l’avait, alors que je regarde Lhynne et ajoute pour elle seule :

Je vous remercie de votre aide Capitaine, votre présence à la Prévôté et votre aide ne passe pas inapercu.
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