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[RP] Salle du trosne de Champagne

Phylogene


Épée remise et une fois la dame d'Omey retirée, la Valten appela la personne suivante, il lui semblait qu'une poignée de rappels serait peut être à envoyer.

Que s'avance à présent sa grasce Altaiir Auditore da Firenze, pour les terres de Buzancy.

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Altaiir
Tandis que le roi de la mare réagit en croassant à la tape, les hommages se poursuivent tranquillement.

Oui oui tout va bien, nous avons eu un petit groupe qui a forcé le passage sur la capitale.

Et alors que l'annonce du plus indiscret noble de Champagne se prépare à faire son hommage, un bruit sourd traversa toutes les rangées, presque à croire que c'était encore un coup de son fidèle vassal, mais non. En tout cas le hasard a bien fait que le désordre tombe pile à son appel.

Finalement, après un petit moment, le Ligurien est appelé à faire son devoir à son tour, s'avançant au devant du Duc pour ployer genou et tendre ses paumes à sa rencontre.



Nous , Altaiir Auditore da Firenze, Duc de Buzancy, reconnaissons sa Grâce Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise comme Duc de Champagne et légitime représentant de sa Majesté Alvira de la Duranxie, Reyne de France.

Nous jurons de nouveau d'offrir à sa Majesté fidélité, aide armée et conseils.


Un coup d'oeil en biais vers Phylogène des fois qu'elle prépare une intervention dont elle a le secret, la tempête est passée ?
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Batistine
La blonde n'avait jamais assisté à ce genre de cérémonie, c'était une première pour elle. Chacun y était allé de sa belle toilette ou encore de sa tenue d'apparat. Forcément... B et sa tenue d'homme faisaient tâche mais elle n'est pas désolée pour une fois, elle est bien trop mal vissée pour ça.
Quand Juju fait une entrée fracassante, la blonde se mord la lèvre pour ne pas pouffer comme une bécasse. Elle va pour se porter au secours de son amie quand Max envoie son double pour l'aider et la rassurer.
Elle interrompe son élan et se rencogne encore un peu plus dans son coin en attendant la fin de la cérémonie.

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Tamano
Concentré sur sa mission, Tamano profitait néanmoins du moment pour regarder la cérémonie se dérouler sous ses yeux.

Les noms des nobles lui étaient familiers, certains même Tamano avait eu l'occasion de les rencontrer. Notamment Millie ou encore Altaiir... Mais là n'était pas la priorité. Il ne craignait guère les seigneurs de champagne mais bien les visages peu connus qui pouvaient les entourer

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Ex archevêque de Reims. En reconstruction
Tobias_maxence.
J’avance vers moi Altaiir, je lui souris avec une certaine forme de respect et l’observe poser genou à terre en attrapant ses mains tendues à moi. Mains que je prends dans les miennes et ne cessant de le fixer. Ecoute attentif, soudainement il observe Phylogène et je ne comprends pas. Mais les minutes passent rien n’arrive alors :

Altaiir Auditore da Firenze, Duc de Buzancy. J’accepte votre hommage et en retour, moi. Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise, Duc de Champagne. Représentant de Sa Majesté, Alvira de la Duranxie , Reine de France, sur les terres de Champagne. Je vous promet en retour et en son nom : Protection, justice et subsistance pour vos terres de Buzancy.


Je l’aide à ce relever, gardant mes mains dans les siennes. Puis incline la tête et murmure :

Merci Votre Grâce de votre aide, vous êtes assurément discret. Mais terriblement précieux du Duché. Suivez cependant ce conseil : Faite vous entendre lorsqu’on vous oublie.

Je lui accorde un clin d’œil et lâche ses mains pour entourer ses épaules de mes bras et l’attirer contre moi dans une accolade vassalique de quelques secondes.
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Actarius
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      _____Et le Malzac d'Euphor dans tout cela ? Il était là, arrivé en compagnie de sa DCA. Et il était en armure quasi complète, car seul manquait le armet à l'appel. Il avait bien évidemment salué les personnes présentes, avait pris place dans un éclat métallique et avait assisté aux premiers hommages sans véritablement s'émouvoir. Il avait conservé un visage de marbre, le regard fier porté sur l'occupant du trône et ne bronchait pas, arborant l'air le plus sérieux qui fût.

      Bref, il attendait sagement son tour après quoi il rejoindrait à nouveau une armée.

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Phylogene


Le duc de Buzancy ne tarda pas à son appel pour venir prester hommage, bon il fallait bien avouer que le coup d'oeil dudit duc la surpris aussi un tantinet car après tout le serment n'était pas faux puisque fait à la Reyne via son représentant donc il était même plus que juste pour elle bien qu'une formulation similaire ait été utilisée par la Vicomtesse de Bourmont juste avant et que rien ne fut relevé, m'enfin s'il s'agissait bien de cela que l'interrogation concernait.
Sans relevé de sa part, le serment se poursuivit avec la réponse de Tobias puis le retour après l'accolade, dans les rangs de la noblesse, place au suivant donc.

Que s'avance à présent la baronne Cecilya Dellabosia, pour les terres de Payns.

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Cecilya_dellabosia
Ce fut sont tour d'être appelée pour accomplir son devoir. Elle du donc s'avancer devant le Duc pour ployer genou et tendre ses paumes à sa rencontre.


Nous , Cecilya Dellabosia, baronne de Payns, reconnaissons sa Grâce Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise comme Duc de Champagne et légitime représentant de sa Majesté Alvira de la Duranxie, Reyne de France.

Nous jurons de nouveau d'offrir à sa Majesté fidélité, aide armée et conseils.

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Tobias_maxence.
Je souris un peu au Héraut et entre Altaiir et Cecilya m’offre quelques secondes pour me rendre auprès du buffet et boire une gorgée ou deux de vins. Il faut dire que j’ai soif à force moi. Bien entendu je fais rapidement et passant entre les nobles, m’inquiète de l’état de Ju’, posant même ma main sur l’épaule du Duc de Vertus. Puis hop, me revoilà à ma place juste à temps pour recevoir la Baronne.

J’écoute sagement en prenant ses mains dans les miennes. Puis répond :


Cecilya Dellabosia, baronne de Payns. J’accepte votre hommage et en retour, moi. Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise, Duc de Champagne. Représentant de Sa Majesté, Alvira de la Duranxie , Reine de France, sur les terres de Champagne. Je vous promet en retour et en son nom : Protection, justice et subsistance pour vos terres de Payns.

Un sourire et me voilà à l’aider à se relever, m’imaginant que Chat à réellement intérêt à ce pointer à ce rythme je vais avoir besoin d’un massage pour mon pauvre dos rapidement. Puis je l’attire dans mes bras, pour une accolade vassalique de quelques secondes là encore.

Enchanté de vous rencontrer Baronne, première rencontre et un calin vivement la seconde.

Qui à dis que j’étais doué avec les femmes ? Personnes, nous sommes bien d’accord.
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Phylogene


Une de plus, il allait être temps d'envoyer les rappels pour les quelques absents encore, une fois que la maréchale d'armes aurait appelé la personne suivante bien entendu. Ah ben tiens, la Kerfadec.

Que s'avance à présent sans rien casser, sa grasce Jujoss de Kerfadec, pour les terres de Vadenay et d'Othe.

Petit sourire amusé.

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Jujoss
Jujoss était rouge de honte, cela devenait d'ailleurs une habitude dans ce genre de cérémonies. Il faudrait crier "Attention ! la Kerfadec arrive planquer tout !"
Thitus vint à son secours. Ils se ressemblaient tellement que Jujoss pendant un court instant pensa que c'était Toby mais impossible, il était entrain de recevoir les hommages. La blonde adressa un sourire au jumeau qu'elle connaissait moins, reconnaissante de son aide


Je vous remercie. Je suis tellement maladroite...

La jeune femme tenta de se calmer et de se donner une contenance avant d'avancer vers les nobles parmi lesquels elle aurait aimé se trouver directement sans passer par la case "cassage de vase inestimable". Elle se tint tranquille pour le reste de la cérémonie. Promis !
Quand ce fut son tour, elle s'avança auprès de Toby, non sans rougir une nouvelle fois à l'annonce de Phylogène. Bon, on oublie la marche fière et le regard lointain, ce ne serait vraiment pas adéquat et ça ne sied guerre à la blonde catastrophe.
Ainsi, elle s'agenouilla devant le Duc et lui présenta ses mains avant de déclamer son hommage qu'elle pensait sincèrement


Moi, Jujoss de Kerfadec, reconnait Sa Grâce Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d'Ambroise...

Respire

... C'est qu'il faut du souffle pour prononcer ton nom !

ah oups elle l'avait dit tout haut. Hop hop vite la suite

Je vous reconnais en tant que Duc de Champagne et légitime représentant de Sa Majesté Alvira de la Duranxie, Reyne de France. Je renouvelle donc mon hommage pour les terres de Vadenay et d'Othe et vous promets Obsequium, Auxilium et Consilium

Et oui, elle avait même mélangé tutoiement et vouvoiement. Quelle gourde
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Tobias_maxence.
J’étais là, debout bougeant parfois une jambe ou l’autre détendu et peut-être un peu rêveur. Mais j’étais présent et plus ou moins droit, observant entre sache passage l’un ou l’autre nobles présents, suivant les déplacements d’un regard ni trop souple, ni trop ferme. Puis Phylogène prononça le prénom et le nom de Ju’ et inévitablement un sourire ce dessina sur mon visage :

Jujoss, Vadenay, je connaissais bien. Pour avoir failli y mourir et perdu un peu de moi là-bas ou du moins de mon audition. Fort heureusement personne n’a semblé le remarquer et je prends soin de faire attention à ce que cela reste ainsi. Aussi, lorsque mon duo de choc arrive auprès de moi, je repense à notre mandat ensemble et inévitablement j’en deviens nostalgique. J’ai très mal vécu l’abandon de Ju’ et même si désormais je lui pardonne, je reste très ému de la voir et un peu triste aussi.

La belle époque. C’est du passé.

Je prends les mains dans les miennes et les presses légèrement, écoutant plus attentivement que pour d’autres. Je souris et pouffe même légèrement de rire à la remarque, mais aussi au passage soudain du ‘tu’ au ‘vous’.


Votre Grâce Kerfadec, je vous prie de vous décider entre le vouvoiement et le tutoiement. C’est brouillon votre histoire.

Je lui accorde un clin d’œil, luttant sérieusement pour la prendre dans mes bras maintenant, là ! De suite. Puis dans un sourire, sans laisser le temps de répondre. Déclare :

Jujoss de Kerfadec, Votre Grâce.

Mes azures étaient dans son regard et mes mains pressaient plus encore ses doigts.

J’accepte votre hommage et vous assure que, moi, Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d’Ambroise, Duc de Champagne, représentant de Sa Majesté Alvira de la Duranxie, Reine de France. Je vous promets en retour et en son nom :

Je m’interrompe un instant, car la promesse faite en cet instant me semblait plus important alors que tantôt.

Protection, justice et subsistance pour vos terres de Vadenay et d’Othe.

Et sans attendre je tire sur ses mains, la relève d’un coup et l’écrase contre moi, une main quittant la sienne pour tenir son dos, un autre allant sans ses cheveux pour la blottir. Rien à foutre, accolade vassalique un peu transformée en câlin. Mais guère plus longue que les autres. Je recule, pose une main sur sa joue et murmurant tout bas.

Tu me manque Ju’. Je souris à demi triste et recule, offrant sa liberté à la Duchesse. Je suis trop sentimentaliste et je le sais, un coup d’œil à mon jumeau sachant bien qu’il doit être inquiet. Thitus est toujours soucieux lorsque je m’attache aux autres, il connaît les dégâts que cela provoque ensuite. J’incline la tête, souhaitant le rassurer un peu et offre un sourire. Suivant ? Quelque chose me dit que là encore cela sera riche en émotion, de mon coté du moins.
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Phylogene


Si la Valten n'avait pas vu les derniers hommages avant celui là, nul doute que le contraste aurait été moins flagrant que présentement. Qu'à cela ne tienne, heureusement qu'il ne s'agissait pas du baiser vassalique, probablement.

M'enfin, la duchesse retournée auprès de ses pairs, le noble suivant pouvait être appelé avant les primes hommages si aucun autre retardataire ne se pointait d'ici là.


Que s'avance à présent, sa grasce Actarius d'Euphor, pour les terres de Vertus.

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Actarius
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      _____Ses sourcils se froncèrent. Le Malzac d'Euphor était parfois taquin, il aimait à plaisanter et à rire, mais s'il était une chose qu'il ne prenait pas à la légère, c'était bien les cérémonies d'allégeances ou d'hommages. Donner sa parole, l'engager sur des termes aussi importants était trop important à ses yeux pour se perdre en baiser langoureux, en accolade interminable ou d'autres excès qu'il avait vu des dizaines de fois et qui le laissait à chaque fois perplexe. Un rabat-joie ou alors une personne qui voyait dans ces échanges la base même du Royaume.

      Avec sa moue solennelle, il progressa lorsque son tour vint. Pas de sourire, pas de clin d'oeil, rien de parasite à ses yeux. Juste sa démarche martiale et son regard fixé sur le Duc qu'il connaissait pourtant. Arrivé devant lui, il posa un genou à terre, tendit ses mains, les paumes tournées vers le ciel et prononça son hommage avec ferveur et, bien sûr, son accent du sud.


      _____ - Je promets à Sa Majesté la Reine de France, Alvira de la Duranxie, et à vous, votre Grasce, son légitime représentant sur les terres champenoises, fidélité, aide, service armé et conseil pour les terres de Vertus.

      Sobre, profond et sincère.

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Tobias_maxence.


Sans aucun doute la salle du trône de Champagne était en ce jour, l’une des pièces animées du château, assurément la plus animée d’ailleurs. Lieu prestigieux où se réunissaient quasiment tous les nobles du Duché, à quelques exceptions faites dont je ne tenais pas rigueur, pour l’heure du moins. Mon regard, tantôt, se perdait dans la contemplation des lieux, le nez rivé au plafond glissant sur les toilettes agréable des dames et les tenues des hommes qui ne manquait pas d’arriver elles aussi mon regard gourmand.

La voix de Phylogène me parvient et peu de temps après le cliquetis métallique semblait s’approcher. Mon regarde ce pose sur l’homme s’avançant à moi et je constate qu’il ne sourit pas, ne semble ni fâché, ni dans un état particulier d’ailleurs. Je déglutis luttant contre mon envie irrésistible de reculer. Quelque chose en lui m’avait toujours impressionné, est-ce les récits de ses batailles dont Lemerco lui-même ventait les mérites ? Ou le charisme naturellement présent chez le Grand Prévôt ? À moins que ce soit l’âge qui nous sépare, ou plus vraisemblablement son talant, devrais-je inné, pour être imposant justement. Quoi qu’il en soit, si je ne recule pas et ne détourne pas le regard, je n’en reste pas moins mal à l’aise.

Lorsqu’il pose un genou à terre, mon angoisse est à la limite de l’évanouissement tant la situation me semble complètement improbable. Je suis obligé de sourire cette fois, ou je risque de tourner de l’œil dans ses bras. Prenant une bouffée d’air, je pose mes yeux dans les siens et c’est très ému que je tends mes mains, pour les unir aux siennes.

Combien de fois m’avait-il aidé, conseillé et plus généralement sorti de situation complexe et guère agréable. Je lutte réellement pour ne pas me mettre à sa hauteur, je crois que je découvre le respect réel. Pas celui de façade, le vrai respect celui qui vous prend aux tripes et ne vous lâche pas.

C’est à mon tour, je le sais. Mais ma bouche et sèche et de mes pouces de presse sa chair doucement, avant de déclarer.


Actarius Malzac d'Euphor, j’accepte votre hommage et vous assure que moi, Tobias Maxence de Talleyrand Cheroy d'Ambroise, Duc de Champagne représentant de Sa Majesté, vous promet en retour et en son nom, Protection Justice et Subsistance.

C’est un peu brouillon non ? Très mêlé en vérité et si je rougis légèrement, j’en reste pas moins droit et confiant en apparence du moins. Ne lâchant pas les mains, je l’aide à se redresser et souris fixant soudainement le sol. J’ai pas souvenir d’avoir fait la moindre accolade à Actarius, SI une fois ! Une unique fois et sous son regard surpris, je n’ai jamais recommencé. Lâchant les mains du Prince, j’ouvre légèrement les bras et m’approche de lui pour une accolade toute vassalique. Osant OH comble de l’audace finir par une légère tape dans le dos, excuse parfaite pour murmurer quelques mots à son oreille :

J’aimerais vraiment avoir quelques heures en votre compagnie, voilà plusieurs mois que je souhaite vous parler de vive voix. Mais le contexte aujourd’hui n’est pas le bon, Monsieur.

Et reculant lui rendant toute liberté, je m’incline légèrement n’y voyez pas aucun favoritisme, un simple réflexe que je corrige rapidement les joues vraiment rouge désormais.

J’ai cru avoir aperçu le gant de Monsieur au sol. Un stupide reflet.
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