Mj_
D'Ormeval se mit à trembler. La tête dans le coton, émergeant à peine, attaqué de dos, en position de faiblesse, les mains sur le bureau, incapable de réagir... Il avait juste compris qu'il ne devait pas bouger et se réservait un peu de temps pour réfléchir à la conduite à tenir... gagner du temps... ça il savait faire. Il reconnu toutefois la voix du garçon. Ce garçon... il savait qu'il fallait s'en méfier. Il aurait du se douter qu'il finirait par se rebeller. Et le maitre d'arme n'était surement pas étrangé à tout ça... Il fallait réfléchir et vite...
Pendant ce temps, les cris du majordome avaient fini par réveiller toute la maisonnée. Quelques secondes s'étaient écoulées, qu'on toqua à la porte.
Toc toc toc Chéri, tu es là ? Tu passes encore ta nuit à faire tes comptes ? Qu'est-ce qui se passe en bas ? Chéri ? Tu es là ?
Louis reconnu la voix de madame d'Ormeval. Le maitre des lieux cherchait un moyen de prévenir sa femme... mais que faire, crier aurait été trop dangereux. Le gamin, il ne fallait pas l'effrayer. S'il se sentait acculé, perdu pour perdu, il n'hésiterait pas à lui trancher la gorge. Il fallait lui offrir de l'espoir. Le gamin voulait donc des papiers sur ses origines... il pouvait essayer de jouer avec ça...
D'Ormeval resta donc silencieux, espérant que sa femme ouvrirait la porte, malgré la consigne qu'il lui avait donné de ne jamais le déranger quand il travaillait... Après tout, il n'y avait pas de lumière qui passait sous la porte. Si ça femme réfléchissait, elle devrait se dire que son mari n'est pas là... et peut être que la curiosité féminine... Ou bien qu'il était là, mais qu'il s'était endromi... et alors il n'était pas au travail, ce qui lui donnerait un alibi pour entrer. D'Ormeval pria pour quelle entre.
Pendant ce temps, les cris du majordome avaient fini par réveiller toute la maisonnée. Quelques secondes s'étaient écoulées, qu'on toqua à la porte.
Toc toc toc Chéri, tu es là ? Tu passes encore ta nuit à faire tes comptes ? Qu'est-ce qui se passe en bas ? Chéri ? Tu es là ?
Louis reconnu la voix de madame d'Ormeval. Le maitre des lieux cherchait un moyen de prévenir sa femme... mais que faire, crier aurait été trop dangereux. Le gamin, il ne fallait pas l'effrayer. S'il se sentait acculé, perdu pour perdu, il n'hésiterait pas à lui trancher la gorge. Il fallait lui offrir de l'espoir. Le gamin voulait donc des papiers sur ses origines... il pouvait essayer de jouer avec ça...
D'Ormeval resta donc silencieux, espérant que sa femme ouvrirait la porte, malgré la consigne qu'il lui avait donné de ne jamais le déranger quand il travaillait... Après tout, il n'y avait pas de lumière qui passait sous la porte. Si ça femme réfléchissait, elle devrait se dire que son mari n'est pas là... et peut être que la curiosité féminine... Ou bien qu'il était là, mais qu'il s'était endromi... et alors il n'était pas au travail, ce qui lui donnerait un alibi pour entrer. D'Ormeval pria pour quelle entre.